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Hacking du cerveau, la menace ultime

Quand les dormeurs vont tomber de leur cocotier ça va leur faire drôle… Déjà 24 ans que je dois vivre avec ça, ils ne font que peaufiner… 24 ans que je me dis il va bien finir par y avoir un lanceur d’alerte, mais le système est tellement bien verrouillé, notamment par la définition clinique de la schizophrénie

La schizophrénie est un trouble psychique se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec d’autres individus, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.

Les facteurs connus pour être liés au développement d’une schizophrénie sont multiples : d’ordre biologiques (génétique, neurobiologique, prise de toxiques (comme le cannabis), infectieux), psychologique (stress) et encore social (environnemental, isolement). Au début du XXIe siècle, ils sont cependant largement incompris. Les mécanismes de cette pathologie sont eux aussi incomplètement compris.

Elle se manifeste souvent au début principalement par un sentiment d’étrangeté, une bizarrerie, des intérêts étranges, ésotériques, des incohérences dans le discours, un manque de motivation, des troubles de concentration, parfois un sentiment de persécution. Ceci peut aboutir au développement d’un délire paranoïde. On retrouve une désorganisation de la pensée et du discours. Dans 20 à 30 % des cas, la personne peut avoir des hallucinations, surtout auditives. Ces voix imaginaires (souvent les mêmes), parlent au malade pour commenter ses actes et ses choix. La schizophrénie engendre des dysfonctionnements qui évoluent avec des phases aiguës et des phases quasi asymptomatiques1.

Voir les critiques du DSM-5 (bible de la psychiatrie) par Dr Allen Frances Après avoir dirigé le DSM-­IV en 1994 http://www.finanzas.com/xl-semanal/conocer/20140907/allen-frances-psiquiatra-guerra-7575.html  PDF en Français : Allen Frances_ Un psychiatre en guerre

Article connexe sur les lobbys pharmaceutiques qui ne reculeront devant rien puisqu’ils peuvent eux même définir les symptômes des pathologies: http://news360x.fr/maladies-vendre/

Il y a pourtant le Dr Barrie Trower qui à laisser fuiter quelques éléments.Voir aussi Les_armes_non_letales_et_la_recherche_sur_la_modification_du_comportement_part1

Extraits :

Une expérience consistait à cibler une personne ordinaire, la rendre folle, et faire en sorte qu’elle aille chez un psychiatre qui n’était pas au courant de l’expérience, et qu’il diagnostique une schizophrénie, une paranoïa ou une autre maladie psychiatrique. Dans ce cas, l’expérience avait réussie et la personne passait le reste de sa vie dans un asile, dans le malheur. Mais pour le gouvernement, c’était un succès.

Des voix dans la tête :

Rien de plus facile que de créer des voix. Tout ce que vous avez à faire est de stimuler la cochlée avec une fréquence de résonance donnée. C’est très facile de faire entendre des voix. Et c’est pas que les gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. Quand je vous parle, ma voix n’est pas dans votre cerveau. Ma voix ne dépasse pas quelques centimètres dans votre oreille, elle ne va pas plus loin. C’est le signal électrique qui vous fait interpréter le son que je produis, et une fois que vous avez ce signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup d’autres choses, vous pouvez faire entendre

physiquement des voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant comme le diable, cela peut être n’importe quoi.

 

 

Revenons en au hacking de cerveau :

Laurent Alexandre était invité à alerter les responsables de la sécurité des systèmes d’information réunis pour les dernières Assises de Monaco(1), début octobre, sur les dangers d’un monde dans lequel neurosciences et IT ont commencé à fusionner. Chirurgien urologue, mais aussi énarque… et créateur d’entreprises, Laurent Alexandre s’est fait connaître au cours de la première décennie de ce siècle pour avoir lancé, puis revendu, Doctissimo.

Aujourd’hui, il préside la société belge Dna Vision, spécialisée dans le séquençage et l’interprétation de l’ADN. Mais il a, surtout, depuis un an, endossé l’habit du prophète pour nous mettre en garde, de tribunes dans les média en plateaux télé et en passant par les congrès les plus prestigieux, sur les dérives potentielles du neuro-business et la domination que sont en passe d’exercer les GAFA (Google-Amazon-Facebook-Apple).

Fil rouge de sa démonstration : nous ne sommes pas si loin de disposer des outils permettant de hacker le cerveau, en tout cas de commencer par savoir le lire, si ce n’est de le manipuler. Le développement rapide des technologies NBIC (2) montre que le continuum est en train de s’établir entre le cerveau biologique, l’intelligence artificielle, l’IT et les neurosciences. « La guerre des cerveaux a commencé, avertit Laurent Alexandre. Les GAFA, et surtout Google, mènent la danse. »

« La neurosécurité va devenir le premier des droits de l’homme », prédit alors le chirurgien à l’attention des responsables sécurité. « Qui aurait dit, il y a 15 ans, que les professionnels de l’IT allaient être au cœur des enjeux éthiques et neuropolitiques les plus fondamentaux de la société du 21e siècle ? ». Il expose – brillamment – les visées de la Silicon Valley en la matière, et son objectif premier de tuer la mort (3). Il insiste sur les investissements réalisés par Google et le projet « démiurgique » de ses dirigeants : « le vrai territoire de Google, c’est notre cerveau ». Une analyse qui tendrait en tout cas à prouver qu’il y a là une « urgence éthique » (selon les termes qu’il emploie d’ailleurs dans une tribune publiée par Le Monde en mars dernier : La futurologie médicale est une urgence éthique).

Via http://fr.sott.net/article/23501-Hacking-du-cerveau-la-menace-ultime

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Armes electroniques

Dr. Barrie Trower – L’utilisation des micro-ondes dans le contrôle des populations

Une traduction qu’on peut trouver un peu partout de l’ interview du Dr. Barrie Trower. via http://newsoftomorrow.org

newsoftomorrow.org-Dr_Barrie_Trower__Lutilisation_des_microondes_dans_le_contrle_des_populations

 

Extraits :

Une expérience consistait à cibler une personne ordinaire, la rendre folle, et faire en sorte qu’elle aille chez un psychiatre qui n’était pas au courant de l’expérience, et qu’il diagnostique une schizophrénie, une paranoïa ou une autre maladie psychiatrique. Dans ce cas, l’expérience avait réussie et la personne passait le reste de sa vie dans un asile, dans le malheur. Mais pour le gouvernement, c’était un succès.

Des voix dans la tête :

Rien de plus facile que de créer des voix. Tout ce que vous avez à faire est de stimuler la cochlée avec une fréquence de résonance donnée. C’est très facile de faire entendre des voix. Et c’est pas que les gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. Quand je vous parle, ma voix n’est pas dans votre cerveau. Ma voix ne dépasse pas quelques centimètres dans votre oreille, elle ne va pas plus loin. C’est le signal électrique qui vous fait interpréter le son que je produis, et une fois que vous avez ce signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup d’autres choses, vous pouvez faire entendre

physiquement des voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant comme le diable, cela peut être n’importe quoi.

 

 

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mindcontrol, l’occident dans le déni, la Russie, elle légifère !

On ne légifère pas sur quelque chose qui n’existe pas…

Via Mind Justice :

First of the Three Duma Readings
(i.e. revisions) of Addendum
Signed into Law by V. Putin in 2001

 Please see 2005 update: http://mindjustice.org/russ9-05.htm#1
The third reading by the Duma of this Addendum was signed into law by V. Putin in 2001.

Thanks to Emilia Cherkova for sending this Nov. 2000 first Duma reading of the addendum. Translation by Ramon Ruelas.

Mind Justice Home Page

Federal Assembly –Parliament of the Russian Federation

Govermental Duma

Committee on Safety

Resolution

From the 30th of November of the year 2000           No. 28/3

Regarding the draft of the Federal Law
« About the submission of addendum to Article 6 of the Federal Law « About weapons »

Having examined the draft of the Federal law « About the Submission of addendum to Article 6 of the Federal law « About Weapons », The Committee of the Governmental Duma for Safety has ruled:

  1. To recommend that the Governmental Duma adopt the draft of the Federal law « About the submission of addendum to Article 6 of the Federal Law « About weapons » in the first reading.
  2. To appoint a second speaker in accordance with the directiveon law-drafting from the deputy of the Governmental Duma [Iljukhin] Victor Ivanovich.
  3. To authorize the actual Resolution with the text of the [law-drafting] and all of its supporting documents in the Soviet Governmental Duma, for inclusion in the [law- drafts] of the day’s plenary meeting of the Governmental Duma for the 20th of December of the year 2000.

Committee Representative
A.I. Gurov

9[m] 1053 CN Sunday, 25 September 2000, 17:36 Page No. 1(1)

Resolution

The Law-draft proposes an addendum to Article 6 of the Federal law « About Weapons » status, in accordance with which, in the territory of the Russian Federation, is prohibited the circulation in a civilian capacity and military, weapons and other objects, the offensive [attack] operations of which are based on the use of electro-magnetic radiation, infra-sonic radiation and ultra-sonic radiation.The achievements of contemporary science and technically predetermined informational and psychological technologies allow for the creation of means and methods of secret, remote influencing on the psyches and physiology of a person or of a group of people.

There exists a wide spectre [range] of devices with capabilities of guaranteeing the alteration of the mental capacities of a person, to program his behavior, to breakdown adequate reactions and to artificially foster symptoms of dependency.

Audio-visual influencing is accomplished through auditory or optical channels, when very weak, low-threshholds of irritation, which are not consciously perceived, are instilled deeply into the subconsciousness and imperceptibly orients the thinking and behavior of a person in an predetermined fashion.

With the aid of ultra-sonics, [devices {not legible}] or mechanical influences of [expansive] frequencies greater than 100 Hz, not noticed by a person, exert influences on the mental structures and nervous system, resulting in pain in the head, dizziness, a deterioration of the vision and of breathing [functions], and convulsions which can lead to the loss of consciousness.

The use of infra-sonic (very low-frequency, lower than 16 Hz) of a low intensity (of about 120 decibels) causes nausea, ringing in the ears, a deterioration of the vision, and generalized suffering. The sonic [sounds{effects}] of medium intensity (up to 130 decibels) break down the organs of digestion and the brain, resulting in paralysis and sometimes blindness. The effects of infra-sonics of an intensity of 130 decibels and higher can cause in the subject the stoppage of the heart.

Under the influence of ultra-high frequency radiation, there appears a breakdown in the interpretation of reality, weariness, dizziness, head pains; and the heart, the brain and the central nervous system can also be damaged. In the capacity of an [transmitive{as opposed to receptive}] antenna, for the transmission of such waves can be used telephonic equipment [devices], heating and sewer pipes, televisions, and fire-prevention [pipe/water supply systems{not legible}].

In practically the entire world, work on « methods of hidden influencing on the psyches of humans » are considered a [high] priority and enter into the roll of the most important technologies of the XXI century. The [intelligence agencies] of government insert into their military doctrines articles about the priority of the application on the front lines -in regional conflicts -of non-lethal weapons which allow for the attainment of victory with the least amount of losses, not only among its own troops, but also among the troops of the opposition.

At the initiative of the USA, within the framework of NATO, there was created a special workers group for the perspective use of devices of non-lethal effects for the coordination of [developments/breakthroughs] conducted in this field in Great Britain, France, Germany and Denmark. Generators were created in Frankfurt Institute for Chemical Technologies (Germany), intended for the treatment [dealing with/management] of large crowds in conditions of mass disorder. The transmissions of the latest French [devices{not legible}] are capable of not only penetrating through concrete and armour (plating), but also they can very quickly break them down. According to reports in means of mass information, the British army, in the year 1995, conducted in Northern Ireland field [real-time] testing of non-lethal weapons for dispersal of crowds. There are also available facts regarding the application of electro-magnetic weapons against subjects in Yugoslavia in the year 1999.

The creation of infra-sonic devices of [attack] was declared a priority in the USA, among all of the developments [in the field of] non-lethal weapons. According to the evaluation of military specialists, the American army, with the aid of un-manned, lethal devices, is capable -with the aid of a SVCh. (ultra-high frequency) generator –of stopping -at a distance of several hundred meters from shore, an enemy ship of a sea landing force. According to the appraisal of the Stockholm International Insitute of World Problems (SIPRI), in the next two years, expenditures in the USA for the development and purchase of non-lethal weapons will exceed a billion dollars.

At the present time, through the Federal law « About Weapons, » is it forbidden within the territory of the Russian Federation, in a civilian capacity and armed services, the circulation of weapons and other objects, the offensive operations of which are based only on the uses of radioactive radiation and biological factors, but they do not account for the development of informational and psychological technologies, the applications of which enable hidden influencing on the psyches and physiologies of people. This led to, in the Russian Congress, the possibility of the addendum to the Federal law « About Weapons, » which bear the aforementioned characteristics. This does not [weaken] the structure of the existing laws and is completely in keeping with its basic direction –the preservation [defense] of the lives of and the health of citizens and in guaranteeing public safety.

On the basis of the included, it is proposed that the draft of the Federal law « About the submission of addendum to Article 6 of the Federal Law « About weapons, » introduced by the Assembly of the Krasnojarskii region, be adopted in the first reading.

Committee Representative
A.I. Gurov

 

 

 

Russian Research

vIA MINDJUSTICE.ORG http://mindjustice.org/index.htm#4

  • For over ten years, V.N. Lopatin, a former Russian duma member, has worked to pass the 2001 Russian law banning electromagnetic weapons. Lopatin’s 1999 book Psychotronic Weapons and the Security of Russia is available at the UC Berkeley library and included an outline of the threat of psychotronic weapons and war and the importance of public relations concerning this global threat. Lopatin has a law degree and is currently the director of a large private firm in Moscow.V. N. Lopatin interview for 2006 Project Censored academic paper on mind control weapons. Lopatin wrote: « Entering a new century, humankind is facing a choice between war and peace again, but this time this is not a land or space war, not nuclear or chemical, but an information war. . . . Nevertheless, introduction of limitations of manufacturing and circulation of this kind of weapon, international ban on information wars, may and should be done. » The Lopatin interview contains new information on Russian laws, for example, prohibiting the « making and (or) distribution of TV, video, movie programs, documentary and feature films, and also computer files related to special mass media and programs of processing of information texts, that have subliminal messages, influencing people’s subconscious . . .  »  Click here for full translation.

    Description of fundamental publications of V.N. Lopatin about problems of research in the sphere of informational security. Books (monographs, scientific publications, books, textbooks). Click here.

    V.N. Lopatin’s answers to Project Censored interview questions, click here.

  • 2006 published Russian science article discusses the 2001 Russian law on the prohibition of electromagnetic weapons:Bioelectric Terrorism: Analysis Of Possible Threat

    Grigoriev O.A.1, Grigoriev Y.G.2, Stepanov V.S.2, Chekmarev O.M.3

    1. Center of electromagnetic safety*, Moscow
    2. SSC (State Scientific Center) Institute of biophysics, Moscow
    3. Center of State sanitary control of administrative department of President of the Russian Federation, Moscow

    The principle possibility of the use of biological action of the electromagnetic field (EMF) by terrorist elements is examined, and also the respective possible ways, methods and aims of electromagnetic influence on bio-object, corresponding measures on warning of negative consequences of such influence are analyzed. The article is prepared on the basis of the materials of lecture by authors at the 2nd International conference « World association against globalization of criminality and terrorism », holding in Moscow on January 20-21, 2004.

    See book excerpts here.

  • As reported in Los Angeles Times, January 29, 2005 « Giving Until It Hurts; »  by Kim Murphy,  « …In 2001, President Vladimir V. Putin signed into law a bill making it illegal to employ « electromagnetic, infrasound … radiators » and other weapons of « psychotronic influence » with intent to cause harm. An official note  attached to the bill said Russian scientists were trying to create « effective methods of  influence of humans at a distance. »  Actual russian law and background information posted here.
    Russian Mind Control Weapons: New 2005 Information and Brief Update
  • UC Davis Russian Psychotronics Book Translation Project
    2001 Russian Book Translation Project Results.  Also available as a pdf.
    Psychotronic Golgotha by by N.I. Anisimov, 1999
    Russian Protestors’ photos, from the book, with comparisons to U.S. protestors
    1999 Russian book on psychotronic weapons by L.I. Terehova, Moscow
    Letter of Appeal to World Community from Russian human rights group
    Russian federal law on electromagnetic weapons
    Draft law with detailed descriptions of psychotronic weapons, Nov. 2000.
    (Many thanks to the generous translation work of Ramon Ruelas.)
    Russian/U.S. International Coalition Formed
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Armes electroniques

La réalité des armes psychotroniques

En 2012, le président russe Vladimir Poutine donnait son feu vert aux armes psychotroniques qui seront utilisées à des fins « politiques et stratégiques » (pour reprendre ses mots lors d’une interview donnée au Daily Mail). Cette déclaration est d’autant plus alarmante que les dégâts provoqués par de telles armes pourraient s’avérer irréversibles et causer de sévères dommages aux organes.

Cependant, ce concept n’est pas nouveaux et les ingénieurs en technologie militaire travaillent depuis quelques années déjà sur des armes capables de toucher directement le système nerveux et d’endommager certains organes. L’importance des micro-ondes dégagées par ce type d’armes à l’aspect futuriste peut, par exemple, instantanément stopper les battements du cœur ou faire exploser les globes oculaires.

 

Bien que des armes similaires, avec une dose de micro-ondes beaucoup moins importante, aient déjà été mises à l’essai en Russie (notamment contre des manifestants), cette déclaration fait frissonner : si les militaires et forces de l’ordre venaient à en être équipé, il s’agirait d’une première dans l’histoire de l’armement… Mieux vaut donc ne pas tomber sur un excité de la gâchette !

Le ministre de la défense russe, Anatoly Seryukov, va encore plus loin en décrivant ce nouveau pistolet affolant de la sorte : « c’est une arme qui doit théoriquement rendre quelqu’un docile ou même rendre la personne complètement folle en attaquant directement le cerveau ». D’où le surnom étrange de Zombie Gun. En effet, si l’arme peut court-circuiter certaines fonctions du cerveau, il est paraît envisageable pour certains que la personne touchée se transforme en légume… Ou retourne à un état primitif et sauvage dont l’unique but serait de se nourrir… Où comment transposer la célèbre série américaine The Walking Dead, à la vie réelle !

Enfin, sachez que selon une étude, si à petite dose, les ondes affectent les cellules cérébrales et l’état psychologique, à forte dose, elles peuvent régir le comportement humain et pousser les victimes au suicides.

Cette arme est une invention aussi flippante qu’impressionnante technologiquement parlant, on espère ne jamais se retrouver « zombifié » . On trouve ça carrément fou que les futures forces militaires puissent un jour être équipées de telles armes. Ça nous fait froid dans le dos de penser qu’elles pourraient être utilisées sur des civils. Pensez-vous que ce type d’armement soit nécessaire pour lutter contre la criminalité ou est-ce que la militarisation va trop loin ?

 

Source : dailygeekshow

Sauvegarde : La Russie met au point une arme psychotronique qui vous réduira à l’état de zombie | Daily Geek Show

Via : Le dailymail

Sauvegarde : Putin targets foes with ‘zombie’ gun which attack victims’ central nervous system | Daily Mail Online

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Articles de presse

Forbes : The Silent Speaker

Les chercheurs de la NASA peuvent entendre ce que vous dites, même si vous ne faites pas de bruit.
Dans l’espace, personne ne peut vous entendre crier. Utilisez un téléphone portable dans un train de banlieue bondé et tout le monde peut le faire.

Charles Jorgensen s’efforce de résoudre ces deux problèmes, en utilisant une étrange technologie appelée reconnaissance vocale subvocale. Jorgensen en fait la démonstration dans ses bureaux de l’Ames Research Laboratory de la NASA à Mountain View, en Californie. Il fixe un ensemble d’électrodes sur la peau de sa gorge et, sans qu’il n’ouvre la bouche ou n’émette de son, ses mots sont reconnus et commencent à apparaître sur un écran d’ordinateur. Le laboratoire d’Ames a déjà utilisé des commandes vocales pour conduire une voiture dans une ville virtuelle dans une simulation informatique et pour Google (nasdaq : GOOG – news – people ) le Web en n’utilisant que des termes de recherche et des commandes simples. Jorgensen voit de nombreuses applications pour sa technologie là où la parole audible est impossible : pour les astronautes, les sous-marins de la marine, les pilotes de chasse et les secouristes qui se déplacent dans des environnements bruyants et difficiles.

Lorsque nous parlons à haute voix, nous forçons l’air à passer le larynx et la langue, sculptant les mots en utilisant les muscles articulateurs de la bouche et de la mâchoire. Mais ces muscles entrent en action, que de l’air soit envoyé ou non devant eux. Tout ce que vous avez à faire est de vous dire les mots et vous envoyez de faibles courants électriques de votre cerveau aux muscles de la parole. L’astuce de Jorgensen consiste à enregistrer ces signaux (appelés électromyogrammes), à les traiter à l’aide d’algorithmes statistiques et à comparer la sortie avec des modèles de signaux préenregistrés de mots, phrases et commandes parlés. Lorsqu’il y a correspondance, le non-dit se transforme en parole.

Jorgensen, qui a obtenu un doctorat en psychologie mathématique en 1974 (avant qu’il ne soit connu sous le nom d’intelligence artificielle), a eu l’idée de la reconnaissance vocale subvocale après avoir travaillé sur des interfaces électromyographiques pour les pilotes de chasse. Ces travaux nous ont amenés à nous poser la question suivante : « Quelle est la puissance d’un courant électromagnétique que nous pouvons discriminer », explique Jorgensen. (Le fait que les nerfs produisent du courant est connu depuis 1848, date à laquelle Emil DuBois-Reymond s’est ouvert la main et a plongé son poing serré dans une solution saline, déclenchant un saut dans un galvanomètre attaché).

La reconnaissance vocale subvocale a encore besoin de beaucoup de travail avant de pouvoir obtenir des lectures cohérentes et précises. Les logiciels de reconnaissance vocale auditive sont désormais suffisamment performants pour convertir à la fois « tom-ah-to » et « tom-ay-to » en « tomate ». Dans des conditions optimales, un logiciel de reconnaissance vocale normal qui fonctionne avec des sons est précis à 95 %.

Mais la reconnaissance subvocale traite des électromyogrammes qui sont différents pour chaque locuteur. La cohérence peut être perturbée par le simple positionnement d’une électrode. Pour améliorer la précision, les chercheurs dans ce domaine s’appuient sur des modèles statistiques qui s’améliorent avec le nombre de fois qu’un sujet « parle » à travers les électrodes. Mais même dans ce cas, il y a des défaillances. À l’université Carnegie Mellon, les chercheurs ont découvert qu’un même « locuteur » avec un taux de précision de 94% un jour peut voir ce taux chuter à 48% un jour plus tard. Entre deux locuteurs différents, ce taux chute encore plus.

Selon Tanja Schultz, chercheuse à Carnegie Mellon, une application possible est un téléphone portable « silencieux » qui peut détecter et traduire des phrases simples comme « je suis en réunion » et « je vous appellerai plus tard ». Le Japonais NTT Docomo travaille sur un téléphone portable subvocal actionné par des capteurs portés sur les doigts et le pouce. Un locuteur s’agrippe au visage, mettant les capteurs en contact avec la pommette, la lèvre supérieure et le menton. Jusqu’à présent, le système de Docomo reconnaît les cinq voyelles japonaises 90 % du temps.

Jorgensen voit le jour où des capteurs électromagnétiques seront tissés dans les fibres des cols roulés ou des tenues des secouristes. « Tant que les gens ont eu des machines et des outils, ils ont été dépendants de la physique du corps », dit Jorgensen. « Séparer ces activités de contrôle du corps et cela ouvre une toute nouvelle génération de conception des interfaces ».

 

David Armstrong 04.10.06  NASA researchers can hear what you’re saying, even when you don’t make a sound.  

Sauvegarde : The Silent Speaker – Forbes.com

 

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Articles de presse

Time : The Army’s Totally Serious Mind-Control Project

Les soldats qui s’aboient des ordres les uns aux autres, c’est le XXe siècle. C’est pourquoi l’armée américaine vient d’attribuer un contrat de 4 millions de dollars pour commencer à développer des « casques de pensée » qui exploiteraient les ondes cérébrales silencieuses pour sécuriser la communication entre les troupes. A terme, l’armée espère que le projet « conduira à un contrôle mental direct des systèmes militaires par la seule pensée ».

Si cela semble insensé, c’était il y a quelques années encore. Mais l’amélioration de la puissance de calcul et une meilleure compréhension du fonctionnement du cerveau poussent les scientifiques à rechercher les empreintes neurales distinctives qui se dégagent du cerveau lorsqu’une personne se parle à elle-même. L’objectif initial de l’armée est de capturer ces ondes cérébrales à l’aide d’un logiciel incroyablement sophistiqué qui traduit ensuite ces ondes en messages radio audibles pour les autres troupes sur le terrain. « Ce serait de la radio sans microphone », dit le Dr Elmar Schmeisser, le neuroscientifique de l’armée qui supervise le programme. « Parce que les soldats sont déjà entraînés à parler de façon claire, nette et formulée, ce serait un tout petit pas pour qu’ils pensent de cette façon. »

Les amateurs de films de série B se souviendront peut-être que Clint Eastwood a utilisé une technologie similaire d' »interface cerveau-ordinateur » dans le Firefox de 1982, du nom de l’avion de chasse soviétique dont les armes étaient contrôlées par les pensées du pilote. (Clint a été envoyé pour voler l’avion, natch.) Pourtant, ce n’est pas aussi farfelu que vous pourriez le penser : les joueurs vidéo attendent avec impatience une version commerciale rudimentaire de la technologie des ondes cérébrales – un casque à 299 $ de la société Emotiv Systems, basée à San Francisco – à l’été 2009.

Mais l’armée ne va pas aussi vite que les joueurs. Le système beaucoup plus sophistiqué de l’armée est peut-être à une ou deux décennies de la réalité, sans parler de sa mise en œuvre. Le contrat de cinq ans qu’elle a attribué le mois dernier à une coalition de scientifiques de l’université de Californie à Irvine, de l’université Carnegie Mellon et de l’université du Maryland, vise à « décoder l’activité des réseaux cérébraux » afin qu’un soldat puisse transmettre des ordres par radio à un ou plusieurs camarades en pensant au message qu’il veut transmettre et à qui il doit le transmettre. Au départ, les destinataires entendraient très probablement les transmissions rendues par une voix robotisée via des écouteurs. Mais les scientifiques espèrent finalement fournir une version dans laquelle les commandes sont rendues par la voix de l’orateur et indiquent la distance et la direction de l’orateur par rapport à l’auditeur.

« Avoir un soldat capable de communiquer sans mouvement apparent serait inestimable tant sur le champ de bataille que dans le cadre des soins aux blessés au combat », a déclaré l’armée dans l’appel d’offres de l’année dernière. « Cela fournirait une technologie révolutionnaire pour la communication silencieuse et l’orientation qui est intrinsèquement immunisée contre le bruit et la lumière de l’environnement extérieur ».

Le principal défi sera de développer un logiciel capable de localiser les ondes cérébrales liées à la parole captées par le réseau de 128 capteurs qui seront finalement enfouis dans un casque. Ces capteurs détectent les minuscules charges électriques générées par les voies nerveuses dans le cerveau lors de la pensée. Les capteurs génèrent un électroencéphalogramme – un tas de gribouillis déroutants sur un écran d’ordinateur – que les scientifiques étudient pour trouver ceux qui sont essentiels à la communication. « Nous pensons pouvoir entraîner un ordinateur à comprendre ces gribouillis au point qu’il puisse lire les commandes que votre cerveau envoie à votre bouche et à vos lèvres », explique M. Schmeisser. Malheureusement, il ne s’agit pas de trouver le bon gribouillis. « Il n’y a pas de neurone doré qui parle », dit-il.

Le Dr Mike D’Zmura de l’Université de Californie à Irvine, le scientifique en chef du projet, explique que sa tâche s’apparente à trouver les bons brins sur une assiette de pâtes. « Vous devez choisir les morceaux de spaghetti appropriés », dit-il, « et parfois il faut les déchirer et les rattacher à d’autres ». Mais avec une puissance de calcul toujours croissante, la tâche peut être effectuée en temps réel, dit-il. Les utilisateurs devront également être formés à penser fort. « Comment faire pour qu’une personne pense à quelque chose pour elle-même de manière à laisser un signal très fort dans les EEG que nous pouvons lire dans le bruit de fond ? demande D’Zmura. Enfin, comme l’EEG de chaque personne est différent, les personnes utilisant des « casques de pensée » devront être entraînées de manière à ce que les ordinateurs interceptant leurs commandes non dites reconnaissent le schéma mental unique de chaque utilisateur.

Les deux scientifiques nient de manière préventive les accusations attendues selon lesquelles ils s’amuseraient littéralement avec l’esprit des soldats. « Beaucoup de gens interprètent les fils qui sortent de la tête comme une sorte de lecture de l’esprit », soupire D’Zmura. « Mais il n’y a aucun moyen d’y arriver à partir d’ici », insiste Schmeisser. « Non seulement vous devez être prêt, mais comme votre cerveau est unique, vous devez entraîner le système à lire votre esprit – il est donc impossible de le faire contre la volonté de quelqu’un et sans sa coopération active et soutenue ».

Et ne négligez pas les avantages potentiels pour les civils. « Combien de fois avez-vous été ennuyé par des gens qui criaient dans leur téléphone portable ? » demande Schmeisser. « Et si au lieu de leur oreillette Bluetooth, c’était un casque Bluetooth et que leur bouche était fermée et qu’il y avait un silence béni tout autour de vous ? » On dirait une de ces rares tranches du budget militaire américain que même les pacifistes pourraient soutenir.

Sauvegarde The Army’s Totally Serious Mind-Control Project – TIME

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Micro implant et modification du comportement

New Legal Documents uploaded 09/11/2009

On July 10, 2009, Leon Panetta, Director of the Central Intelligence Agency, briefed Congressional members regarding a secret CIA program that was never disclosed to Congress. The June 26 letter reveals that the Bush Administration « concealed significant actions from all members of Congress, and misled members for a number of years from 2001 to this week ». As a result, the House Intelligence Subcommittee on Investigations announced on July 17, 2009, that it would begin an investigation into the CIA program. An even bigger announcement followed when Attorney General Eric Holder, on August 25, 2009 stated that the Department of Justice had an obligation to examine the program activities for possible violations of law and announced that U.S. Attorney John Durham would be leading the investigation.

CIA OMS neuroprosthesis implant from biomedical program
CIA medical program biomems neural prosthetic device
CIA implantable microstimulator device developed under secret biomedical program

The content within this section discloses the author’s involvement with the program and the disturbing activities which have been kept secret from the media, the public, and even Congress for over a decade. What has the CIA been hiding? The answer is unsettling and reveals what is perhaps the darkest chapter in the history of our nation. The secret program is based on implantable biomedical technology, deployed surrepititiously for surveillance, torture, and covert behavior modification activities conducted domestically by the CIA National Clandestine Service (CIA/NCS) and CIA Office of Medical Services (CIA/OMS).

Such activities, while new to some, are unfortuanately, nothing new for the CIA who has a long history of using biomedical technology against unwitting U.S. citizens, and this is being done to us with our own tax dollars. The origins of these activities are fairly well documented. In 1988, under the Reagan administration, emerging technology and advances in neural prosthesis, cochlear implant, artificial retina, and wireless data technologies prompted then Vice President George H.W. Bush to revive a controversial CIA program called « MK-ULTRA », which existed for a ten year span between 1953 and 1963. The CIA Inspector General, J.S. Earman, in 1963, conducted a review of the MKULTRA program and the ensuing report detailed highly unlawful activities which included the use of unwitting U.S. Citizens as research subjects during efforts to develop implantable biomedical devices and pharmaceutical substances capable of being covertly deployed during clandestine operations to control human behavior and remotely monitor biological processes. The Inspector General stated that the program « threatened the civil rights and liberties of U.S. citizens », lacked any legal protection or cover story for CIA officials, and raised the possibility that the program could be discovered if a citizen were to obtain adequate medical treatment. Ultimately, the Inspector General recommended termination of the program. The existence of the old MK-ULTRA program might not have been discovered at all were it not for the Congressional Committees established to investigate the CIA in the wake of the Nixon era Watergate scandal.

Larson Media Founder Dave Larson has been directly involved in the development efforts of the program biomedical technology, as a research subject, biomedical engineering student, and through an informal relationship with NIH, DOD and CIA contract personnel connected to « the program ». Facts and materials appearing throughout this site are the result of more than 12 years of research, direct involvement in the program, FOIA requests, investigation, and communications with agency personnel and contractors.

Formal disclosures submitted to Congress have alleged that implantable biomedical devices have been deployed domestically for surveillance and torture and that administration war on terror and detention policies were specifically crafted with intent to prevent criminal prosecution for domestic use of the technology against Americans. The administration has used the technology domestically for partisan political purpose, and continues to deny Congressional oversight. It has become abunduntly clear that media attention and litigation is needed to address past abuses, prevent further abuse and is absolutely necessary to establish much needed oversight.

Le document : 2009HIS

Ce qui reste sur webarchive.org http://web.archive.org/web/20091101061849/http://www.larsonmedia.net/special_access/documents.htm

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Les armes à énergie dirigée

1)Les armes à énergie dirigée ou DEW (pour Directed Energy Weapon)

noam

table des matieres

document

2) Directed Energy Bioeffects Research:  Basic-IDIQ-SOO

 

3)CTTL : Continuous ClandestineTagging, Tracking, andTagging, Tracking, and Locating
-Human Signature Detection
-Nano scale Devices
-Signature Amplification/Translation

 
 

4 ) Un job ?:

3-Sep-13 Air Force General Dynamics Information Technology General Dynamics Corp. $49,000,000 FA8650-13-D-6368 General Dynamics Information Technology, Fairfax, Va., has been awarded a $49,000,000 indefinite-delivery/indefinite-quantity (IDIQ), cost-plus-fixed-fee (CPFF) contract for the Directed Energy Bio-effects Research program. The program covers conducting bio-effects research on directed energy and kinetic energy systems to develop novel bio-effects applications and assist in transitioning Department of Defense technologies. Research efforts will include the following technical areas: directed energy weapon effectiveness and safety, directed energy bio-mechanisms, radio frequency bio-effects modeling and simulation, and human effectiveness analysis and integration. Work will be performed at Joint Base San Antonio-Fort Sam Houston, Texas, and is expected to be completed by March 2, 2020. Fiscal 2013 research and development funds will be obligated for a total amount of $725,745 that are being used to incrementally fund the initial task order 0001 for a total CPFF price of $3,232,252 under the basic IDIQ contract; no expiring funds are being used. Air Force Research Laboratory/RQKHA, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio, is the contracting activity. (FA8650-13-D-6368) http://www.defense.gov/contracts/contract.aspx?contractid=5125
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           General Dynamics Information Technology, Fairfax, Va., has been awarded a $49,000,000 indefinite-delivery/indefinite-quantity (IDIQ), cost-plus-fixed-fee (CPFF) contract for the Directed Energy Bio-effects Research program. The program covers conducting bio-effects research on directed energy and kinetic energy systems to develop novel bio-effects applications and assist in transitioning Department of Defense technologies. Research efforts will include the following technical areas: directed energy weapon effectiveness and safety, directed energy bio-mechanisms, radio frequency bio-effects modeling and simulation, and human effectiveness analysis and integration. Work will be performed at Joint Base San Antonio-Fort Sam Houston, Texas, and is expected to be completed by March 2, 2020. Fiscal 2013 research and development funds will be obligated for a total amount of $725,745 that are being used to incrementally fund the initial task order 0001 for a total CPFF price of $3,232,252 under the basic IDIQ contract; no expiring funds are being used. Air Force Research Laboratory/RQKHA, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio, is the contracting activity. (FA8650-13-D-6368)

 

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PROBANT – detection à l’intérieur des bâtiments

probant

PROBANT : Développement, intégration et la validation des
technologies permettant aux opérateurs d’observer des
personnes en temps réel situés à l’intérieur des bâtiments

pdf : eu_probant2008

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Armes electroniques – Nausée

Les armes électroniques, disponibles pour grand publique, ce n’est pas une légende.

Petit dispositif électronique, peut contraindre les clients qui ne veulent pas partir après la fête est finie. Facilement caché et difficile à localiser, produit des ondes sonores gênantes et de désorientation que les gens sentent, mais n’entendent pas, et ne peuvent pas tolérer! Fonctionne sur piles 9-12 volts ou un adaptateur mural de 12 V pour des applications plus permanents.

Commande à distance qui permet de commander l’ appareil sur 300 mètres. Avoir beaucoup de plaisir à jouer des blagues, ou l’utiliser comme un outil efficace contre les intrusions non désirées et les congestions de personnes.

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http://www.amazing1.com/products/sonic-nausea-device-with-radio-control.html

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