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Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains

Des laboratoires top-secrets mènent depuis des années leurs expériences sur des cobayes humains. Une pratique aussi confidentielle qu’effrayante. Découvrez une séléction des expériences les plus choquants.

Quand la CIA efface la mémoire

La CIA américaine a mené plusieurs projets pour effacer l’identité: Bluebird (ou Artichoke, 1951-1953) et МК ULTRA (MKSEARCH, année 1950-1960). Les principaux cobayes étaient des patients inertes des cliniques neurologiques, dont la plupart ignoraient tout des expériences menées sur eux. Bluebird avait pour but de créer un sérum de vérité infaillible. En utilisant des substances psychotropes et les électrochocs, les chercheurs provoquaient chez les sujets une amnésie artificielle, leur inculquaient de faux souvenirs et « multipliaient » leur identité.

Le projet MK ULTRA était incomparablement plus coûteux et global. Il étudiait toute la diversité des moyens d’impacter la raison (y compris des enfants): de la biologie à la radiologie. Par exemple, dans le cadre d’un des 149 sous-projets, plus de 1 500 soldats américains recevaient avec leur nourriture des produits psychotropes pour évaluer leur opérationnalité « sous l’emprise des substances ». L’information obtenue dans le cadre de MK ULTRA est utilisée aujourd’hui dans le travail des renseignements, même si en 1972 le projet a été fermé après un scandale et qu’une partie de sa documentation a disparu.

 

Pour une poignée de shekels 

L’armée israélienne a également mené des expériences sur ses soldats: on a appris en 2007 qu’entre 1998 et 2006, dans le cadre des projets secrets Omer-1 et Omer-2, des médecins militaires israéliens cherchaient un vaccin « contre une arme bactériologique similaire à l’anthrax ». Les 716 soldats participant aux expériences n’ont pas été informés des risques, des éventuelles conséquences et il leur était interdit d’évoquer les détails des recherches avec leurs proches.

En 2007, un groupe d’anciens sujets souffrant des conséquences de cette expérience – tumeurs, ulcères, bronchite, épilepsie – s’est adressé au ministère de la Défense pour se plaindre de leur mauvais état de santé. Ils ont été soutenus par le syndicat des médecins et l’organisation Médecins pour les droits de l’homme qui sont allés jusqu’à la Cour suprême pour exiger une enquête. Mais ils ont obtenu l’effet inverse: le tribunal n’a pas seulement décliné la requête mais il a interdit de publier une partie des informations sur l’expérience.

L’armée hésitait entre réagir en disant que rien ne s’était produit et mettre en avant que les soldats avaient accepté eux-mêmes. Il a été déclaré à la presse que les participants aux projets Omer étaient uniquement des volontaires qui savaient dans quoi ils s’engageaient et pouvaient quitter la partie à tout moment. Il a été suggéré aux victimes de s’adresser aux établissements médicaux où leur guérison promettait d’être longue, car les victimes ne disposaient pas de la moindre information sur les effets subis.

Le principal concepteur de l’expérience, le docteur Avigdor Sheferman (ancien directeur de l’Institut israélien de biologie), est parti ensuite au Canada pour mener des recherches identiques dans une compagnie médicale. Les résultats des projets Omer ont été remis à l’armée américaine pour plusieurs centaines de milliers de shekels.

 

Une véritable ségrégation médicale

Les États-Unis sont leaders de ce genre d’expériences. C’est dans ce pays qu’entre 1932 et 1972 se déroulait une expérience qu’on pourrait considérer à la fois comme un symbole de ségrégation raciale et de barbarie médicale. A Tuskegee, Alabama, le groupe médical sous la direction du docteur Clark Taliaferro avait pour objectif d’étudier tous les stades de la syphilis.

L’étude consistait à suivre un groupe de Noirs déjà contaminés. Pourquoi? Car à cette époque ils étaient encore considérés comme moins instruits et plus influençables. La plupart ignoraient leur maladie – c’était une condition de l’expérience. Toutes les manipulations étaient présentées comme des « soins du mauvais sang ». 76 des 399 participants sont restés en vie à l’issue de l’expérience. 128 personnes sont décédées de la syphilis et de ses complications. 40 hommes ont infecté leur femme et 19 enfants sont nés avec la syphilis.

En 1946 l’expérience a été élargie: une partie des médecins a été envoyée au Guatemala où pendant deux ans ils infectaient sciemment des soldats, des prostituées, des prisonniers, des mendiants ou des malades mentaux – jusqu’à 5 000 personnes au total.

C’est seulement en 1972 après la tribune d’un médecin dans le Washington Star qu’une commission spéciale s’est penchée sur les recherches à Tuskegee pour reconnaître leur illégitimité. Le gouvernement américain a alloué 9 millions de dollars pour aider les survivants, et 25 ans plus tard leurs proches ont entendu les excuses du président Bill Clinton. La trace latino-américaine n’a été découverte qu’en 2010 grâce à la publication des notes du docteur Cutler – l’un de ceux qui travaillaient pour ce programme au Guatemala. 750 victimes guatémaltèques ont porté plainte contre l’université Jones Hopkins, et Barack Obama a présenté ses excuses au peuple du Guatemala en la personne du président Alvaro Colom.

Des épidémies artificielles introduites dans le métro

Les chercheurs américains ne ménageaient pas vraiment leur grande nation. Des chimistes testaient sur les recrues l’effet toxique de l’ypérite (pour améliorer les masques à gaz), ou encore pulvérisaient des composants toxiques sur plusieurs villes canadiennes et américaines. Dans les années 1950, des épidémies artificielles ont été provoquées en Floride et en Géorgie. A la fin des années 1960, on a testé dans le métro de New York et de Chicago la vulnérabilité des passagers aux attaques biochimiques cachées en envoyant sous terre la bactérie Bacillus subtilis. En 1963-1969, le Pentagone a lancé sans avertissement sur les navires de sa marine plusieurs types d’armes chimiques et bactériologiques.

Les analystes de la radiation soignaient à différentes époques les adénoïdes avec des barres de radium et le cancer de l’estomac (les diagnostics étaient faux) avec des injections de plutonium, nourrissaient des futures mères avec des sels de fer radioactif sous la forme d’une boisson de vitamines, faisaient exploser des bombes atomiques dans le Nevada et sur les îles Marshall, testaient l’iode radioactif sur les femmes enceintes et en nourrissaient les nouveau-nés.

 

Des orphelins-cobayes

Les enfants ont toujours été les sujets les plus convoités par les chercheurs. « L’étude de l’effet des jugements de valeur sur la fluidité verbale des enfants » réalisée en 1939 à l’université de l’Iowa, connue comme « Monster study », est une expérience horrible même si elle n’a pas provoqué de nombreuses morts ni d’invalidités et impliquait seulement une influence verbale.

Le psychologue Wendell Johnson et son aspirante Mary Tudor ont sélectionné dans un orphelinat 22 enfants de différents âges, et dans les cinq mois qui ont suivi Tudor rendait régulièrement visite à chacun d’entre eux pour une conversation de 45 minutes. Certains appréciaient ces échanges car Mary les félicitait pour leur capacité de lecture et leur élocution. Mais d’autres enfants, après quelques visites, ont commencé à éprouver des problèmes d’élocution, de comportement et de réussite à l’école parce que Tudor se moquait d’eux et leur reprochait de faire des fautes verbales.

Il faut dire que Johnson était guidé par un intérêt tout à fait scientifique: les véritables causes du bégaiement n’ont toujours pas été établies. Il supposait qu’il était possible de provoquer un bégaiement même en l’absence de prédispositions physiologiques.

Les successeurs de Johnson et de Tudor jugent que les travaux de ces derniers sont les plus exhaustifs sur le bégaiement, y compris les premières informations qu’ils ont pu recueillir sur le rôle des sentiments et des pensées du bégayant. Par contre, les enfants traumatisés ont vécu avec leurs complexes toute leur vie.

A l’issue de l’expérience, Mary Tudor est revenue plusieurs fois à l’orphelinat pour se repentir, espérant redonner aux enfants leur estime de soi. L’université, pour sa part, a tenu secrètes ces recherches jusqu’en 2001, date à laquelle la presse en a pris connaissance: l’établissement a alors présenté des excuses officielles aux victimes. En 2003, six d’entre elles ont saisi le parquet de l’État pour exiger de les indemniser pour préjudice moral. Quatre ans plus tard, ils ont obtenu 925 000 dollars pour tous les plaignants.

 

Une expérimentation pour éradiquer l’homosexualité dans un pays

Les victimes des expériences homophobes d’Aubrey Levin pourront difficilement compter sur une indemnité ou même une enquête officielle. Entre 1970 et 1989, l’armée sud-africaine faisait l’objet d’un « nettoyage » des recrues homosexuels. Les données officielles parlent de milliers de victimes mais nul ne connaît le chiffre réel. L’information sur ce programme a été révélée en 1995 dans le journal sud-africain Daily Mail and Guardian. Dans une interview le responsable du projet, ex-psychiatre en chef d’un hôpital militaire Aubrey Levin, affirmait: « Nous ne considérions pas les gens comme des cobayes. Nous avions seulement des patients qui voulaient guérir et venaient de leur plein gré ». Il disait également pratiquer une « thérapie d’aversion sur les soldats homosexuels, sans pour autant recourir au choc électrique ». Alors que s’est-il passé en Afrique du Sud à cette époque?

Près de 900 opérations de « réorientation sexuelle » ont eu lieu dans des hôpitaux sud-africains dans les années 1970-1980 dans le cadre de programmes pour éradiquer l’homosexualité. Certains patients étaient « soignés » à l’aide de drogues et d’hormones, d’autres ont subi des méthodes radicales – un traitement d’aversion. Dans le cadre de ce dernier on reproduisait une forme « inadmissible » de conduite (par exemple, l’excitation de l’homosexuel avec des images pornographiques) tout en provoquant des sentiments désagréables (par exemple, un électrochoc), avant de montrer une image positive (photo d’une femme nue) sans électrochoc.

La pratique traditionnelle admet le traitement d’aversion uniquement en dernier recours, et même dans ce cas le sentiment désagréable doit être équivalent à la piqûre d’une aiguille, et non faire voler en l’air les chaussures de l’individu, comme ce fut le cas dans les expériences de Levin. La mesure extrême du projet Aversion était la castration ou un changement forcé de sexe, et beaucoup de ceux qui l’ont subi ont choisi le suicide plutôt que de vivre dans un corps étranger. Finalement, la partie « scientifique » du projet fut un fiasco mais les seuls ennuis que ses instigateurs ont connu étaient avec leur propre conscience.

 

La conscience par intraveineuse

Certains ignorent que les exploits des chercheurs soviétiques dans l’élaboration de poisons ont même dépassé le niveau atteint par les expériences des nazis. Le « Cabinet spécial » (Laboratoire 1, Laboratoire X, Cellule), laboratoire toxicologique créé en 1921 par la direction du NKVD dirigé par le professeur Grigori Maïranovski, procédait à la recherche de poisons impossibles à identifier. Les expériences étaient menées sur des détenus condamnés à la peine capitale: 10 personnes pour chaque produit (sans compter les expériences sur les animaux).

L’agonie de ceux qui ne mourraient pas immédiatement était suivie pendant 10-14 jours avant de les achever. Le poison recherché a été finalement trouvé: le carbylamine-choline-chloride ou K-2, qui tuait en 15 minutes et sans traces (les médecins légistes indépendants diagnostiquait un décès pour insuffisance cardiaque). Grigori Maïranovski travaillait également sur le « problème de sincérité » pendant les interrogatoires avec des produits médicaux et élaborait des poisons en poussière qui tuaient quand on les respirait…

Au total, le Laboratoire 1 a fait entre 150 et 300 victimes (des criminels mais également des prisonniers de guerre), parmi lesquelles on peut également compter les médecins de la Cellule: des années plus tard Maïranovski, finalement condamné, écrivait que deux de ses collègues avaient mis fin à leur vie, que deux autres avaient perdu la capacité de travailler et que trois étaient devenus alcooliques.

 

Les testicules de jeunesse éternelle

La création d’un poison idéal sera probablement toujours d’actualité, tout comme la recherche de la pierre philosophale et de la fontaine de jeunesse. Par exemple, le professeur Preobrajenski du Cœur de chien écrit par Mikhaïl Boulgakov, pratiquait une méthode de rajeunissement assez répandue pour les années 1920: son homologue vivant aurait pu être le docteur américain Leo Stanley – à l’exception de leur mentalité. Ce médecin en chef d’une prison de San Quentin (Californie) était un adepte de l’eugénisme et testait différentes méthodes de purification de la race humaine: la chirurgie plastique (car la laideur extérieure provoque la laideur intérieure et inversement), les manipulations des glandes génitales et, pour finir, la stérilisation.

Il a commencé à mener des expériences sur le rajeunissement en 1918 en transplantant aux détenus âgés les testicules de jeunes criminels exécutés. La « matière première » a rapidement commencé à manquer et le docteur s’est alors orienté vers les animaux en utilisant des testicules de boucs, de sangliers et de cerfs. D’après ses rapports, les sujets éprouvaient un « gain de forces et se sentaient mieux » – on ignore s’il s’agissait d’un effet placebo ou d’un véritable rajeunissement mais le docteur promettait la seconde variante.

Un autre but de l’étude était de confirmer l’hypothèse selon laquelle le comportement criminel dépendait des problèmes hormonaux. Pour régler les deux problèmes, il fallait donc stériliser le sujet — 600 détenus ont subi ce traitement jusqu’en 1940. Certains d’entre eux ne voulaient pas avoir d’enfants, d’autres voulaient rajeunir: le docteur Stanley présentait la stérilisation comme un moyen permettant de rajeunir et de guérir, il avait promis à certains un régime de détention plus souple. Cependant, son véritable objectif était de pacifier les gènes « criminels » et l’instinct sexuel qui poussait selon lui le criminel à récidiver. Il a poursuivi ses recherches jusqu’en 1951, et compte tenu de sa contribution à la réforme des établissements médicaux cette activité ne paraît pas absolument insensée.

 

L’hôpital du docteur Cotton

Contrairement aux recherches d’Henry Cotton, l’élève d’Alzheimer en personne à 30 ans déjà (à partir de 1907) dirigeait un hôpital psychiatrique à Trenton (New Jersey). Le poste de médecin en chef lui accordait de vastes opportunités pour tester en pratique son hypothèse sur l’origine des troubles psychiques. Il estimait que les gens devenaient fous par infection et que le foyer de cette dernière se trouvait avant tout dans les dents malades — très proches du cerveau. Par conséquent, la première procédure subie par les patients de Cotton était l’arrachage de dents.

Si cela ne fonctionnait pas, on continuait de chercher l’infection au hasard (ou par ablation): dans les amygdales, la vésicule biliaire, l’intestin, l’estomac, les testicules, les ovaires… Même la famille de Cotton n’a pas échappé à cette « chirurgie bactériologique » (nom donné par l’auteur de la méthode): il a arraché les dents de son épouse, de ses deux fils et même les siennes. Ce dernier acte avait été précédé par une dépression nerveuse suite à l’ouverture d’une enquête dans sa clinique par une commission du sénat local.

Malgré les données reflétant une efficacité élevée de sa méthode (85% de guérison) diffusées activement par le docteur dans ses discours et ses articles, ainsi que la forte popularité de l’hôpital de Trenton (même les hommes aisés et les célébrités y envoyaient leurs proches pour une grande somme d’argent), en 1924 le conseil de tutelle a senti que quelque chose ne tournait pas rond et a consulté l’université Jones Hopkins. La docteure Phyllis Greenacre envoyée à l’hôpital pour vérifier les statistiques a découvert que seulement 8% des patients de Cotton guérissaient, 41,9% ne ressentaient aucune amélioration et 43,4% mourraient. Sachant que les 8% n’avaient pas subi de soins et que les 43,4% décédés avaient fait les frais de la pratique de Cotton.

L’enquête de la commission créée par le sénat local avait précisément pour but de découvrir les causes de cet état de fait mais elle a à peine eu le temps d’entamer son travail: des collègues de renommée et même des hommes politiques ont pris la défense de Cotton, qui a tranquillement repris son travail pour prendre sa retraite cinq ans plus tard. Personne n’a voulu poursuivre ses recherches.

 

Les bonnes nouvelles

Au courant de l’été 2014, les utilisateurs anglophones de Facebook ont été surpris d’apprendre que 689 003 d’entre eux avaient joué le rôle de cobayes contre leur gré dans une expérience conjointe des chercheurs américains et du réseau social. Les résultats parus dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences stipulaient: « Les états émotionnels peuvent être transmis à d’autres individus à travers une infection émotionnelle, après quoi, sans en être conscients, ils peuvent éprouver les mêmes émotions ». Cela signifie que la bonne et la mauvaise humeur sont contagieuses de la même manière que l’absence d’un contact direct n’empêche pas cette infection. L’expérience était simple: un groupe de sujets recevait dans son fil d’actualité des posts positifs, l’autre des messages négatifs. Les utilisateurs ont immédiatement réagi: les « heureux » ont commencé à publier des commentaires optimistes et le groupe attaqué par des posts négatifs a commencé à écrire des choses négatives.

Les militants ont critiqué les méthodes des chercheurs et ont même supposé que pour certains, le contenu négatif avait pu être « la dernière goutte » — mais avec autant de probabilité le contenu positif a aussi pu redonner espoir à quelqu’un. Dans l’ensemble, les deux manipulations peuvent être perçues comme un petit pas vers la sophistication des méthodes pour influencer le public. Par conséquent, il faut remettre en question et analyser tout ce qui tombe dans le champ de votre attention, sans oublier la probabilité qu’à chaque instant vous faites peut-être partie d’une expérience.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609281027963256-laboratoires-secrets-experiences-humains/

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Articles de presse

Hackers may soon target your BRAIN

http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-3756140/Hackers-soon-target-BRAIN-Criminals-control-thoughts-feelings-attacking-implants.html

 

Criminals could control your thoughts and feelings by attacking implants.

  • Oxford University expert says we need to be prepared for ‘brainjacking’
  • Examples of possible attacks include altering stimulation settings so that patients with chronic pain are caused to be in even greater pain
  • A sophisticated attacker could potentially even induce behavioural changes such as hypersexuality or pathological gambling

We live in an interconnected age where wirelessly controlled computing devices make almost every aspect of our lives easier.

But they are also making us vulnerable to cyber-security attacks. 

Today, nearly everything can be hacked, from cars to lightbulbs. But perhaps the most concerning threat is the one posed by brain implants.

Writing for The Conversation, Laurie Pycroft a PhD candidate at the University of Oxford discusses how hackers could someday remotely control humans by taking over these devices. 

Experts have demonstrated the ease with which security on pacemakers and insulin pumps can be breached, potentially resulting in lethal consequences.

In a recent paper that I and several of my colleagues at Oxford Functional Neurosurgery wrote, we discussed a new frontier of security threat: brain implants.

Unauthorised control of brain implants, or ‘brainjacking’, has been discussed in science fiction for decades.

But with advances in implant technology it is now starting to become possible.

The most common type of brain implant is the deep brain stimulation (DBS) system.

It consists of implanted electrodes positioned deep inside the brain connected to wires running under the skin, which carry signals from an implanted stimulator.

The stimulator consists of a battery, a small processor, and a wireless communication antenna that allows doctors to program it.

In essence, it functions much like a cardiac pacemaker, with the main distinction being that it directly interfaces with the brain.

DBS is a fantastic tool for treating a wide range of disorders.

It is most widely used to treat Parkinson’s disease, often with dramatic results (see video below), but it is also used to treat dystonia (muscle spasms), essential tremor and severe chronic pain.

It is also being trialled for conditions such as depression and Tourette’s syndrome.

Targeting different brain regions with different stimulation parameters gives neurosurgeons increasingly precise control over the human brain, allowing them to alleviate distressing symptoms.

However, this precise control of the brain, coupled with the wireless control of stimulators, also opens an opportunity for malicious attackers to go beyond the more straightforward harms that could come with controlling insulin pumps or cardiac implants, into a realm of deeply troubling attacks.

Examples of possible attacks include altering stimulation settings so that patients with chronic pain are caused even greater pain than they would experience without stimulation.

WE COULD ALL SOMEDAY HAVE BRAIN IMPLANTS

Presidential candidate Zoltan Istvan believe that in a few decades, we could all be plugged into an AI ‘matrix’ using brain implants.

‘Eventually, this type of technology will allow us to be connected 24/7 to the internet and on social media,’ he told MailOnline.

‘This is the beginning of the hive mind, where everyone is interconnected to one another.’

The technology works by using the basics of electroencephalogram (EEG), which can read electrical signals produced by the brain.

‘But it will also have technology that can stimulate your brain back, likely through tiny electrical signals it can administer, that allows one to « feel » what the device’s input is,’ said Istvan.

‘If a machine creates this input, then true communication with a machine – or AI -in this case has been created.’

‘It’s rudimentary right now, but in 5 or 10 years, this type of technology could become widespread.’

A sophisticated attacker could potentially even induce behavioural changes such as hypersexuality or pathological gambling, or even exert a limited form of control over the patient’s behaviour by stimulating parts of the brain involved with reward learning in order to reinforce certain actions.

Although these hacks would be difficult to achieve as they would require a high level of technological competence and the ability to monitor the victim, a sufficiently determined attacker could manage it.

There are proposed solutions to making implants more resistant to cyber-attacks, but makers of these devices are in a difficult position when trying to implement security features.

There’s a trade off between designing a system with perfect security and a system that is actually usable in the real world.

Implants are heavily constrained by physical size and battery capacity, making many designs unfeasible.

These devices must be easily accessible to medical staff in an emergency, meaning that some form of ‘back-door’ control is almost a necessity.

New and exciting features, such as being able to control implants using a smartphone or over the internet, have to be balanced against the increased risk that such features can provide.

Brain implants are becoming more common.

As they get approved for treating more diseases, become cheaper, and get more features, increasing numbers of patients will be implanted with them.

This is a good thing overall but, just as a more complex and interconnected internet resulted in greater cyber-security risks, more advanced and widespread brain implants will pose tempting targets to criminals.

Consider what a terrorist could do with access to a politician’s mind or how coercive blackmail would be if someone could alter how you act and think.

These are scenarios that are unlikely to remain purely in the realm of science fiction for much longer.

It’s important to note that there’s no evidence to suggest that any of these implants has been subjected to such a cyber-attack in the real world, nor that patients with them currently implanted should be afraid.

Still, this is an issue that device makers, regulators, scientists, engineers and clinicians all need to consider before they become a reality.

The future of neurological implants is bright, but even a single high-profile incident could irreparably damage public confidence in the safety of these devices, so the risk of brainjacking should be taken seriously before it’s too late.

source : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-3756140/Hackers-soon-target-BRAIN-Criminals-control-thoughts-feelings-attacking-implants.html

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LE PROJET ABRAHAM

Je ne sais pas trop quoi en penser, surtout concernant les sources, c’est très vague. Mais ça approche le phénomène TI. Puis il y a un article du new scientist donné en fin d’article très intéressant sur les armes à énergie dirigé.  Je pose ça là, pour y revenir plus tard…

 

Les services secrets américains liés à la CIA et leurs équivalents français, ont un département spécial tenu secret appelé originalement « ABRAHAM PROJECT » chargé des assassinats politiques ou de personnes « qui dérangent » par des malades mentaux téléguidés pour accomplir ces crimes.

Le processus est simple: des malades mentaux, principalement des schizophrènes, sont répertoriés, qui vivent généralement seuls. Ensuite des systèmes audio sont installés en secret et en leur absence chez ces malades qui vont soit pendant leur sommeil, soit quand ils sont éveillés leur permettre « d’entendre des voix » se prétendant être « dieu » et qui leur demandent de tuer quelqu’un et qu’ensuite leur maladie sera terminée. Le propre des schizophrènes étant justement d’entendre des voix, on est bien évidemment la sur un terrain propice. Les malades mélangent leurs réels symptômes avec lesquels ils ont l’habitude de vivre et qu’ils traitent plus ou moins bien par de lourdes médications, avec ces messages qui sont eux bien réels et qui leur sont envoyés par les services secrets.

Ensuite lorsque le conditionnement est jugé suffisant, il est nécessaire de pousser le malade a passer a l’acte par un évènement physique. Car les pauvres schizophrènes sont habitués a négliger les voix qu’ils entendent et a les mettre sur le compte de leur maladie. A ce moment la un agent des services secrets les rencontre physiquement, en leur rappelant les messages qu’ils entendent chez eux et en leur disant que ce n’est pas leur maladie mais bien un message de « Dieu »… et qu’eux même sont les envoyés de ce même « dieu » qui leur confie une mission. Les agents sont déguisés pour renforcer l’impact avec par exemple des lentilles de contact fluorescentes, des perruques blanches, ou des pierres lumineuses semblant incrustées dans leur peau, tout cela pour que le malade soit fortement impressionné et pense réellement avoir a faire a un envoyé céleste. Il leur parle même de leur famille et leur révèle des choses que seul un proche de leurs parents a pu connaître, chose facile pour les services secrets qui on collecté ces informations pendant des mois voire des années. Ils leurs remettent enfin une arme provenant des stocks d’armes saisies dans les affaires de drogue ou de banditismes, et leur disent que la maladie qui les fait tant souffrir va disparaître dés qu’ils auront accompli la mission que « dieu » leur confie, et qu’ils seront acquittés lors du procès qui suivra car étant des malades mentaux reconnus… mais qu’étant guéris par »dieu » pour avoir accompli leur mission, au bout de quelques mois ils seront libres et guéris, sans compter leur récompense ultime qui sera d’être les bienvenus au paradis pour avoir accompli une mission divine et débarrassé la terre d’un agent du diable!

De telles perspectives pour des individus malades et souffrant épouvantablement tous les jours de leur vie, associées a un conditionnement savant, sont pratiquement toujours suivies de succès. Que se passe t il ensuite ? La cible est abattue… la police arrête le criminel… il raconte son histoire: que c’est dieu qui lui a demandé de tuer un agent du diable, qu’il a même rencontré un de ses anges qui lui a remis l’arme etc… et les médias et la police rapporte exactement les propos du tueur télécommandé qui, étant donné son passé psychiatrique sera acquitté et interné pour très longtemps en ne comprenant pas pourquoi la « guérison promise par dieu » qui devait lui permettre de sortir au bout de quelques mois ne se produit pas… et il raconte son histoire, encore et encore aux psychiatres ce qui lui garantit de finir ses jours a l’hôpital comme incurable…

Cet article est donné en source https://www.newscientist.com/article/dn13513-us-army-toyed-with-telepathic-ray-gun/

A recently declassified US Army report on the biological effects of non-lethal weapons reveals outlandish plans for “ray gun” devices, which would cause artificial fevers or beam voices into people’s heads.

The report titled “Bioeffects Of Selected Nonlethal Weapons” was released under the US Freedom of Information Act and is available on this website (pdf). The DoD has confirmed to New Scientist that it released the documents, which detail five different “maturing non-lethal technologies” using microwaves, lasers and sound.

Released by US Army Intelligence and Security Command at Fort Meade, Maryland, US, the 1998 report gives an overview of what was then the state of the art in directed energy weapons for crowd control and other applications.

A word in your ear

Some of the technologies are conceptual, such as an electromagnetic pulse that causes a seizure like those experienced by people with epilepsy. Other ideas, like a microwave gun to “beam” words directly into people’s ears, have been tested. It is claimed that the so-called “Frey Effect” – using close-range microwaves to produce audible sounds in a person’s ears – has been used to project the spoken numbers 1 to 10 across a lab to volunteers’.

In 2004 the US Navy funded research into using the Frey effect to project sound that caused “discomfort” into the ears of crowds.

The report also discusses a microwave weapon able to produce a disabling “artificial fever” by heating a person’s body. While tests of the idea are not mentioned, the report notes that the necessary equipment “is available today”. It adds that while it would take at least fifteen minutes to achieve the desired “fever” effect, it could be used to incapacitate people for almost “any desired period consistent with safety.”

Less exotic technologies discussed include laser dazzlers and a sound source loud enough to disturb the sense of balance. Both have been realised in the years since the report was written. The US army uses laser dazzlers in Iraq, while the Long Range Acoustic Device has military and civilian users, and has been used on one occasion to repel pirates off Somalia.

However, the report does not mention any trials of weapons for producing artificial fever or seizures, or beaming voices into people’s heads.

Potentially torturous

Steve Wright, a security expert at Leeds Metropolitan University, UK, warns that the technologies described could be used for torture. In 1998 the European Parliament passed a motion banning potentially dangerous incapacitating technologies that interfere with the human brain.

“The epileptic seizure inducing device is grossly irresponsible and should never be fielded,” says Steve Wright “We know from similar [chemically] artificially-induced fits that the victim subsequently remains “potentiated” and may spontaneously suffer epileptic fits again after the initial attack.”

The acoustic energy device that affects the ear canals, disrupting the motion sense, may require dangerously loud sound levels to be effective, points out Juergen Altmann, a physicist at Dortmund University, Germany, who is interested in new military technologies.

“[There is] inconsistency between the part that says “interesting” effects occur at 130-155 dB and the Recovery/Safety section that says that 115 dB is to be avoided – without commenting on the difference.”

Weapons Technology – Keep up with the latest innovations in our cutting edge special report.

Focus on America – Delve into the science and technology questions facing the USA in our special report.

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Articles de presse

Secret CIA Files on MK-ULTRA Public

There are also many thousands of documents released on MK-ULTRA. In the fifties, the CIA secretly experimented on unwitting subjects with the aim of finding a way to brainwash people.

In 1974, the New York Times reported that the CIA between 1953 and 1963, and possibly longer, conducted under the headings Artichoke and MK-ULTRA had experimented on unsuspecting people. The newspaper discovered that the CIA developed brainwashing methods.

The then head of the CIA, Richard Helms, had the scandal already provided in 1973 and then burned all the evidence. A stack of documents, however, was misfiled and was found intact.

MK-ULTRA had branches in more than 150 sub-projects with experiments in more than 80 hospitals and universities. The documents on this secret program can be downloaded here or if you want to view them piece by piece click here. All together is about 90,000 documents.

On crowdfunding site Kickstarter there is launched a project to get the nearly 13 million pages of CIA documents public, that are currently still secret.

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Armes electroniques

Les écrans TV et moniteurs peuvent être utilisés pour manipuler votre système nerveux

US Patent #6,506,148

Nervous system manipulation by electromagnetic fields from monitors

AbstractPhysiological effects have been observed in a human subject in response to stimulation of the skin with weak electromagnetic fields that are pulsed with certain frequencies near 1/2 Hz or 2.4 Hz, such as to excite a sensory resonance. Many computer monitors and TV tubes, when displaying pulsed images, emit pulsed electromagnetic fields of sufficient amplitudes to cause such excitation. It is therefore possible to manipulate the nervous system of a subject by pulsing images displayed on a nearby computer monitor or TV set. For the latter, the image pulsing may be imbedded in the program material, or it may be overlaid by modulating a video stream, either as an RF signal or as a video signal. The image displayed on a computer monitor may be pulsed effectively by a simple computer program. For certain monitors, pulsed electromagnetic fields capable of exciting sensory resonances in nearby subjects may be generated even as the displayed images are pulsed with subliminal intensity.

 

I claim:

1. A method for manipulating the nervous system of a subject located near a monitor, the monitor emitting an electromagnetic field when displaying an image by virtue of the physical display process, the subject having a sensory resonance frequency, the method comprising: creating a video signal for displaying an image on the monitor, the image having an intensity; modulating the video signal for pulsing the image intensity with a frequency in the range 0.1 Hz to 15 Hz; and setting the pulse frequency to the resonance frequency.

2. A computer program for manipulating the nervous system of a subject located near a monitor, the monitor emitting an electromagnetic field when displaying an image by virtue of the physical display process, the subject having cutaneous nerves that fire spontaneously and have spiking patterns, the computer program comprising: a display routine for displaying an image on the monitor, the image having an intensity; a pulse routine for pulsing the image intensity with a frequency in the range 0.1 Hz to 15 Hz; and a frequency routine that can be internally controlled by the subject, for setting the frequency; whereby the emitted electromagnetic field is pulsed, the cutaneous nerves are exposed to the pulsed electromagnetic field, and the spiking patterns of the nerves acquire a frequency modulation.

3. The computer program of claim 2, wherein the pulsing has an amplitude and the program further comprises an amplitude routine for control of the amplitude by the subject.

4. The computer program of claim 2, wherein the pulse routine comprises: a timing procedure for timing the pulsing; and an extrapolation procedure for improving the accuracy of the timing procedure.

5. The computer program of claim 2, further comprising a variability routine for introducing variability in the pulsing.

6. Hardware means for manipulating the nervous system of a subject located near a monitor, the monitor being responsive to a video stream and emitting an electromagnetic field when displaying an image by virtue of the physical display process, the image having an intensity, the subject having cutaneous nerves that fire spontaneously and have spiking patterns, the hardware means comprising: pulse generator for generating voltage pulses; means, responsive to the voltage pulses, for modulating the video stream to pulse the image intensity; whereby the emitted electromagnetic field is pulsed, the cutaneous nerves are exposed to the pulsed electromagnetic field, and the spiking patterns of the nerves acquire a frequency modulation.

7. The hardware means of claim 6, wherein the video stream is a composite video signal that has a pseudo-dc level, and the means for modulating the video stream comprise means for pulsing the pseudo-dc level.

8. The hardware means of claim 6, wherein the video stream is a television broadcast signal, and the means for modulating the video stream comprise means for frequency wobbling of the television broadcast signal.

9. The hardware means of claim 6, wherein the monitor has a brightness adjustment terminal, and the means for modulating the video stream comprise a connection from the pulse generator to the brightness adjustment terminal.

10. A source of video stream for manipulating the nervous system of a subject located near a monitor, the monitor emitting an electromagnetic field when displaying an image by virtue of the physical display process, the subject having cutaneous nerves that fire spontaneously and have spiking patterns, the source of video stream comprising: means for defining an image on the monitor, the image having an intensity; and means for subliminally pulsing the image intensity with a frequency in the range 0.1 Hz to 15 Hz; whereby the emitted electromagnetic field is pulsed, the cutaneous nerves are exposed to the pulsed electromagnetic field, and the spiking patterns of the nerves acquire a frequency modulation.

11. The source of video stream of claim 10 wherein the source is a recording medium that has recorded data, and the means for subliminally pulsing the image intensity comprise an attribute of the recorded data.

12. The source of video stream of claim 10 wherein the source is a computer program, and the means for subliminally pulsing the image intensity comprise a pulse routine.

13. The source of video stream of claim 10 wherein the source is a recording of a physical scene, and the means for subliminally pulsing the image intensity comprise: pulse generator for generating voltage pulses; light source for illuminating the scene, the light source having a power level; and modulation means, responsive to the voltage pulses, for pulsing the power level.

14. The source of video stream of claim 10, wherein the source is a DVD, the video stream comprises a luminance signal and a chrominance signal, and the means for subliminal pulsing of the image intensity comprise means for pulsing the luminance signal.

[…]

Les conclusions : Il est donc évident que le système nerveux humain peut être manipulé par les émissions d’  impulsions d’image subliminales sur les écran de télévision.

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Cinq minutes de la peau d’un TI

Je me souviens du temps où, après une journée bien remplie, j’appréciais de me retrouver au calme… Décompresser est le terme. C’est juste ce qui nous permet de nous recharger.

Aujourd’hui ce n’est plus possible. Imaginez que du matin au soir, il n’y ait plus la possibilité de trouver un moment sans bruit. Pas possible de couper la radio ou la TV, que ces engins tournent dans toutes les pièces où vous vous trouvez, vous accompagnant partout, sans la possibilité de les éteindre. Pas drôle hein ? On ne peut pas vivre ainsi ! Et pourtant vous seriez étonnés, l’humain peut endurer bien pire encore. C’est le quotidien des TI (targeted individual). Encore moins drôle si la TV se payait votre tête, vous harcelait, surveillait le moindre de vos gestes, décidait de quand vous pouvez dormir, quand vous réveiller, comment insuffler le doute sur tout et tous, mais surtout sur vos proches. Juste pour le plaisir, juste pour vous mettre dans un état de fatigue intense, juste pour rire à vos dépens… Juste pour vous détruire à petit feu. Et si tout ça ne passait pas par un appareil acoustique connu et s’adressait directement à votre for intérieur ? Vous diriez ce que j’aurai dit avant que ça ne me prenne, c’est un schizo, qu’il se fasse soigner. Ou bien encore, qu’il enfile son chapeau en aluminium ! Et pourtant en fouillant un peu vous trouverez des brevets (électromagnétique, micro-ondes, voice to skull…), et des législations peu médiatisées, qui vous mettront le doute, ce n’est pas suffisant pour apporter une preuve irréfutable, mais peut-être qu’à force de témoigner, qui sait ? Aussi, il suffirait d’un scientifique en phase terminale, ne craignant plus rien pour lui ou pour ses proches, morts d’un accident ou disparus, victimes d’un quelconque malheur. Visiblement ça fait beaucoup de conditions à réunir… Cependant, il existe des précédents. Le MKULTRA, ce sont des faits reconnus officiellement par l’administration US. Des faits de tortures et d’expérimentations non consensuelles sur des humains, des ressortissants Américains, notamment en milieu psychiatrique (HP), certaines victimes ont même étés dédommagés, tout en recevant l’assurance bienveillante, par la voix de Bill Clinton (me semble-t-il), le président, que ces choses appartiennent désormais au passé.

« On ira les buter jusque dans les chiottes » disait V. Poutine, au sujet des terroristes. Eh bien voilà la vie de TI, pas un moment de tranquillité, jusque dans les chiottes. La douche ? Idem. L’intimité ? Un souvenir ! D’ailleurs me concernant, dans ces deux endroits, la pression y est toujours extrêmement plus forte, certainement parce qu’il est facile d’employer le shaming sur une personne qui défèque. Peut-être aussi pour te tenir à l’écart de la douche, quand tu sais ce que tu vas prendre, tu t’en éloignes, progressivement, inconsciemment. Être malpropre participe à la désocialisation, c’est sans doute le but. De toute façon, il peut se passer des semaines sans sortir, prisonnier d’une prison sans porte, parce que rendu agoraphobe ou vidé de toute force vitale. Mais quand bien même, on ne croise personne, c’est tomber bien bas que de négliger son hygiène. Ce sentiment que progressivement on se voit déclassé au rang d’animal, tant par le traitement qui nous est réservé que par la puanteur qu’on dégage. Alors certes, je ne sors jamais sans être lavé, mais il ne se passe pas moins des journées où je n’ai plus de force pour rien, même pour le minimum. Me préparer un repas en 24 heures, des fois, c’est le maximum de ce que je peux produire comme effort. Heureusement tous les jours ne sont pas ainsi faits. Il y a la résilience, ça permet de ne pas sombrer totalement. Mais pour combien de temps ?

Sommes-nous condamnés à vie ? Il semblerait à l’écoute de certains témoignages. Le canevas est prêt, si l’on en parle, ce sera les petites boules roses… Puisque ce sont les symptômes médicaux décrits dans le DSM, ce sera donc l’asile ou le RSA, si tu la fermes.

Ayez à l’esprit que ce que l’on nous fait vivre s’apparente à une des méthodes éprouvées par la Stasi, connue sous le non de zersetzung, un joli mot à passer par Google pour les curieux et les amoureux des « belles histoires ». Méthode augmentée d’une technologie inconnue du grand publique et verrouillée par le principe de ‘déniabilité’, offert par les définitions de certaines maladies psy du DSM. Imparable.


Ajout octobre 2021

Quand j’ai rédigé cet article, c’était aussi pour parler de réflexes conditionnés façon chien de Pavlov. Ce qui m’est infligé quand je rentre dans la SDB ou la cuisine est de cet ordre. Le harcèlement passe en haute fréquence, de sorte que fréquenter ces pièces devient une torture. Le but étant une fois de plus d’obtenir un impact sur le réel de la cible. Malpropre et mal nourri n’aideront pas à conserver des liens sociaux…

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Clinatec l’avenir de l’humanité

A lire : 4 Articles qui ressortent avec la recherche de nom « Delgado » http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=recherche&recherche=+delgado

Extrait du pdf Clinatec : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Clinatec.pdf

En réalité, Alim-Louis Benabid n’est pas l’inventeur de cette technique, contrairement à ce que laisse croire son abondant dossier de presse. Le Grenoblois a remis au goût du jour les expériences menées trente ans plus tôt par le physiologiste hispano-américain José Delgado. Puisqu’il ne le fait pas lui-même, rendons hommage au prédécesseur de Benabid.
À l’université de Yale, dès 1950, Delgado teste la « stimulation électrique du cerveau » chez l’animal et l’homme. D’abord avec des électrodes reliées à l’extérieur par des fils électriques, puis avec un appareil de son invention, le « stimoceiver », à la fois stimulateur cérébral et récepteur d’ondes, capable d’envoyer des impulsions au cerveau par commande radio. La plus fameuse prouesse de Delgado est l’arrêt d’un taureau en pleine charge par un signal radio. On sait moins qu’il manipulait couramment le comportement de singes. « Sous l’influence de la stimulation électrique, les animaux se comportent comme des jouets électriques, » écrit la journaliste du New York Times qui visite le labo de Delgado en 1970, décrivant des singes et des chats « télécommandés ». 24 Des expériences qui sont depuis poursuivies, notamment au Downstate Medical Center de New York, où John K. Chapin pilote à distance des roborats équipés d’électrodes cérébrales. 25 Delgado s’amuse aussi avec les humains, se plaisant à raconter le cas d’une patiente jouant tranquillement de la guitare, quand une impulsion de son « stimoceiver » l’enrage au point de briser son instrument contre un mur, ou celui d’une autre patiente, que la stimulation rend amoureuse de son thérapeute – le temps de
la séance -, ou encore celui d’un patient dont le poing se ferme automatiquement, sans possibilité de le rouvrir. « Je crois, docteur, que votre électricité est plus forte que ma volonté », dit-il à son médecin ravi. Delgado assure créer des hallucinations, comme l’audition d’un morceau de musique complet, ou la sensation de déjà-vu. Et de conclure que ses travaux « amènent à la conclusion déplaisante que les mouvements, les émotions, et l’humeur, peuvent être contrôlés par des signaux électriques et que les
humains peuvent être contrôlés comme des robots en appuyant sur des boutons ». Ce qui, en vérité, ne lui déplait pas du tout.
Dès 1970, le physiologiste américain envisage de traiter la maladie de Parkinson par une sorte de « pacemaker cérébral ». Ce que fera Benabid. À la différence de celui-ci, Delgado annonce la couleur : ce stimulateur permettra aussi, selon lui, de traiter l’anxiété, la peur, les obsessions, les comportements violents. 26 Ayant testé – avec succès – la stimulation électrique des amygdales pour diminuer l’agressivité d’un singe, il conclut : « certaines formes indésirables de l’activité cérébrale – par exemple liées à des
comportements agressifs ou antisociaux – pourraient être reconnues par l’ordinateur avant même d’atteindre la conscience pour déclencher la pacification du sujet. » Telle est la « société psychocivilisée » que Delgado appelle de ses vœux. 27 On comprend que ses travaux soient co-financés par le Pentagone (l’Office de recherches navales). Devant le Congrès américain, il déclare : « Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le
contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le
cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau. » 28 Au moins Delgado assume-t-il ses convictions totalitaires – au point d’accepter l’invitation du régime franquiste à revenir travailler en Espagne en 1974, après avoir combattu auprès des Républicains
durant la guerre civile.

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Revue de presse Février 2016

Alors comme d’habitude ceci est présenté de manière à toujours mettre en avant les merveilleuses applications médicales de ces découvertes…D’autres fois, au milieu, un petit paragraphe traitant des aliens, histoire de décrédibiliser l’ensemble de l’article, technique bien souvent employée mais suffisante pour détourner les esprits rationnels du reste du texte.

Do You Really Want to Live in a World Where Computers Read Your Mind?

Do You Really Want to Live in a World Where Computers Read Your Mind?

NY Times Reporter Murdered in Dominican Republic Spoke about Psychotronic Warfare and MK-ULTRA

http://www.abreureport.com/2016/02/ny-times-reporter-murdered-in-dominican.html

Psychotronic Warfare Legal Against US Citizens

http://www.abreureport.com/2013/08/psychotronic-warfare-legal-against-us.html

Un pas de plus vers le décodage automatique des pensées

http://www.science-et-vie.com/2016/02/un-pas-de-plus-vers-le-decodage-automatique-des-pensees/

Ce système fait entendre tout haut ce que notre cerveau raconte

http://www.science-et-vie.com/2015/06/ce-systeme-fait-entendre-tout-haut-ce-que-notre-cerveau-raconte/

LES TECHNOLOGIES DU MIND CONTROL APPLIQUÉES A L’HUMANITÉ !

http://www.morpheus.fr/spip.php?article376

Les pensées humaines dévoilées en temps réel par un ordinateur

http://fr.sputniknews.com/sci_tech/20160130/1021342173/pensees-humaines-devoilees-ordinateur.html

Un implant cérébral se connectera avec 1 million de neurones

Un implant cérébral se connectera avec 1 million de neurones

DARPA looks to revolutionize neural interface implants

http://www.gizmag.com/darpa-neural-interface/41434/

DARPA develops “Terminator” vision implant, plugs directly into a person’s DNA, visual cortex

http://theantimedia.org/darpa-terminator-vision-dna-visual-cortex/

Notre humeur influencée par le son de notre propre voix

http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/sentiments-notre-humeur-influencee-son-notre-propre-voix-61324/#xtor=RSS-8

Surveiller le cerveau avec un implant soluble

http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-surveiller-cerveau-implant-soluble-61301/#xtor=RSS-8

La DARPA poursuit ses travaux sur la mémoire humaine

http://fr.ubergizmo.com/2015/10/14/darpa-memoire-humaine-projet-ram.html

scientists-use-transcranial-magnetic-stimulation-to-make-you-stop-believing-in-god

http://truthstreammedia.com/2015/10/14/scientists-use-transcranial-magnetic-stimulation-to-make-you-stop-believing-in-god/