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Armes electroniques

Les armes V2K, manipulation des êtres humains.

https://www.wired.com/2008/05/army-removes-pa/


TRADUCTION

La très étrange page web de l’armée sur les armes « Voice-to-Skull » a été supprimée. C’était étrange qu’il soit là, et c’est encore plus étrange qu’il soit parti. Si vous le recherchez sur Google, vous verrez l’entrée pour « Voice-to-Skull device », mais, si vous cliquez sur le site, le lien est mort.

L’article, toujours disponible sur le site Web de la Federation of American Scientists, se lit comme suit :

Arme non létale qui comprend (1) un dispositif neuroélectromagnétique qui utilise la transmission par micro-ondes de sons dans le crâne de personnes ou d’animaux au moyen d’un rayonnement micro-ondes modulé par impulsions ; et (2) un dispositif sonore silencieux qui peut transmettre les sons dans le crâne de personnes ou d’animaux. REMARQUE : La modulation sonore peut être des messages vocaux ou audio subliminaux. Une des applications de V2K est l’épouvantail électronique pour effrayer les oiseaux à proximité des aéroports.

Le groupe britannique Christians Against Mental Slavery (Chrétiens contre l’esclavage mental) a noté le changement pour la première fois (ils ont aussi une copie d’écran permanente de la page). Un représentant du groupe me dit qu’ils ont contacté le webmestre, qui leur a seulement dit que l’entrée était « définitivement supprimée ».

L’image ci-dessus est une représentation autoproclamée par une personne de la façon dont une arme « voix vers crâne » pourrait fonctionner.



The Army’s very strange webpage on « Voice-to-Skull » weapons has been removed. It was strange it was there, and it’s even stranger it’s gone. If you Google it, you’ll see the entry for « Voice-to-Skull device, » but, if you click on the website, the link is dead.

The entry, still available on the Federation of American Scientists‘ website reads:

Nonlethal weapon which includes (1) a neuro-electromagnetic device which uses microwave transmission of sound into the skull of persons or animals by way of pulse-modulated microwave radiation; and (2) a silent sound device which can transmit sound into the skull of person or animals. NOTE: The sound modulation may be voice or audio subliminal messages. One application of V2K is use as an electronic scarecrow to frighten birds in the vicinity of airports.

The U.K.-based group Christians Against Mental Slavery first noted the change (they also have a permanent screenshot of the page). A representative of the group tells me they contacted the Webmaster, who would only tell them the entry was « permanently removed. »

The image above is one person’s self-styled depiction of how a « voice-to-skull » weapon might work.

[Image: Raven1.net]

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La fusion du cerveau humain à l’ordinateur est pour bientôt

« Les développements technologiques ouvrent la voie à un monde où il est possible de décoder les processus mentaux des personnes », soulignent-ils. « Cela pourrait également créer l’occasion de manipuler directement les intentions, les émotions et les décisions de ces individus. »

Cela est possible depuis les années 60 et le sinistre José Delgado , qu’on pourrait qualifier de fils spirituel du Dr Mengele, ne vous a pas attendu Mr Musk…

Voir Clinatec : le laboratoire de la contrainte


Article paru sur le site l’express : Audrey Duperron 24 avril 2019

 

Neuralink, une startup créée par Elon Musk, serait sur le point d’annoncer la création d’une interface permettant de connecter le cerveau humain aux ordinateurs. C’est ce qu’affirme un tweet du milliardaire américain d’origine sud-africaine, sans préciser aucun autre détail

Neuralink a été créée en 2016 avec l’ambition de développer des équipements pour améliorer le cerveau humain. Néanmoins, ses activités sont demeurées très discrètes, et l’on en sait très peu sur leur teneur exacte.

« Fusionner avec l’intelligence artificielle »

Sur son site internet, elle évoque une technologie basée sur une connexion reposant sur « une bande passante ultra-élevée » entre le cerveau et l’ordinateur.  L’année dernière, Musk a expliqué lors d’un podcast de « The Joe Rogan Experience » que cette technologie permettrait aux humains de « fusionner efficacement avec l’intelligence artificielle ».

Précédemment, le concept de cette connexion avait été détaillé dans un article de la revue Nature Nanotechnology. Il évoquait l’injection d’un circuit flexible dans un cerveau vivant. « Nous essayons de brouiller la distinction entre les circuits électroniques et les circuits neuronaux », avait alors déclaré Charles Lieber, chercheur à Harvard, qui avait co-rédigé cette étude. « Nous devons marcher avant de pouvoir courir, mais nous pensons que nous pouvons vraiment révolutionner notre capacité d’interface avec le cerveau. »

L’IA risque « de transformer les humains en animaux domestiques »

Lors d’une conférence sur la technologie en 2016, Musk a averti que les humains finiraient par être traités comme des animaux domestiques par des machines disposant de l’IA. « Je n’aime pas l’idée de devenir un chat domestique (…) et je pense que la meilleure solution pourrait consister à ajouter une couche d’IA. »

Musk est en effet convaincu que la seule manière d’éviter que l’homme ne soit pas dominé par l’intelligence artificielle est de faire fusionner l’intelligence biologique avec les machines. Les connexions puissantes que l’homme pourrait parvenir à établir entre son cerveau et un équipement numérique devrait donc lui permettre d’échapper à son asservissement.

L’effet perturbateur de l’intelligence artificielle ne réside pas seulement dans sa capacité à effectuer des tâches spécifiques de manière plus efficace que les humains, mais concerne également la vitesse avec laquelle elle peut communiquer avec d’autres des appareils connectés. Les ordinateurs communiquent beaucoup plus vite entre eux que ne le font les humains, ce qui augmente la potentielle menace posée par leur supériorité en matière d’intelligence.

Selon Musk, une dentelle neuronale interagissant directement avec le cerveau permettrait aux utilisateurs de communiquer leurs pensées au travers d’ordinateurs avec davantage de bande passante et avec beaucoup moins de latence que ce qui est actuellement possible via des mécanismes de saisie d’informations tels que le clavier et la souris. C’est donc ce qu’il cherche à créer avec Neuralink : une symbiose entre l’intelligence humaine et la machine.

Des risques de piratage

Cependant, certains experts restent dubitatifs. Ils concèdent que cette technologie pourrait considérablement augmenter la puissance du cerveau humain, mais mettent en garde contre les risques de piratages.  Des individus malveillants pourraient en effet utiliser l’intelligence artificielle pour contrôler et diriger les pensées, les décisions et les émotions des gens, disent-ils.

« Les développements technologiques ouvrent la voie à un monde où il est possible de décoder les processus mentaux des personnes », soulignent-ils. « Cela pourrait également créer l’occasion de manipuler directement les intentions, les émotions et les décisions de ces individus. »

«Les avantages cliniques et sociaux potentiels des diverses applications de la neurotechnologie sont très vastes. Mais pour en bénéficier, nous devons guider ces développements pour qu’ils respectent l’humanité, qu’ils la protègent, et garantissent qu’elle n’offre que ce qu’elle a de meilleur. «
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