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“Stranger Things” : le projet secret de la CIA qui a inspiré la série Netflix

Le Projet MK résumé par France-Inter, forcément édulcoré, faudrait pas tomber dans le complotisme en spéculant sur le pourquoi de la « suppression » de quasiment toutes les archives, et ne surtout pas enquêter sur la réalité qui fut cachée… Mais bon, même si on n’apprend rien, on ne va pas bouder quand il est question de ce sujet dans les médias avec un petit lien en prime vers targetedindividualscanada.com (Je me doute que ce lien ne tiendra pas dans le temps…)


À première vue, qui pourrait penser que “Stranger Things”, une série entre fantastique, horreur et science-fiction, s’inspire de faits historiques ? Pourtant, le pitch est directement inspiré par de mystérieuses et très controversées expériences que la CIA mena pendant la guerre froide : le projet MK-Ultra.

                                                         Millie Bobby Brown, dans le rôle d’Eleven – Stranger Things, saison 1 © Netflix

Dans Stranger Things, le personnage d’Eleven est une jeune fille dotée de pouvoirs exceptionnels et étudiée dans un mystérieux laboratoire. Si les pouvoirs de télékinésie d’Eleven relèvent d’un registre fantastique propre à la série, le type d’expériences scientifiques vécues par le personnage de Terry Ives (sa mère dans la série) ont véritablement existé tels que décrits dans un épisode  : « Ils payaient des gens comme ma sœur [Terry Ives] 200 balles, ils leurs donnaient de la drogue, principalement du LSD, puis ils la déshabillaient et la mettaient dans des caissons d’isolation sensorielle. […] Ils voulaient repousser les limites de l’esprit. »

Ces expérimentations ont constitué ce qui s’est appelé le projet MK-Ultra : un projet secret, développé par la CIA dans les années 1950.

Derrière « Stranger Things », le projet MK-Ultra

L’idée était de tenter toutes sortes d’expériences afin de révéler ou de déclencher des capacités extraordinaires, pour s’en servir dans le contexte de la Guerre froide. Ils développaient des techniques de contrôle mental en mélangeant toutes sortes de psychotropes, (notamment du LSD, de la psilocybine et de la mescaline) à de la manipulation mentale, afin d’induire certains comportements chez les individus.

  • Le programme BlueBird, développé entre 1951 et 1953 cherchait, par exemple, à créer une sorte de sérum de vérité (également appelé « la sauce« ) en alliant des techniques de manipulation mentale à la prise de LSD.
  • De 1951 à 1963, le programme Artichoke alliait l’hypnose, la prise de drogues et le sevrage forcé, afin de mettre les cobayes dans un état second et les rendre soit plus coopératifs (dans le cadre d’un interrogatoire par exemple), ou de créer chez eux de véritables amnésies (et de préserver ainsi des secrets).
  • Le 10 février 1954, le programme MK-Ultra parvient à pousser quelqu’un au crime. Une femme, phobique des armes à feu, est placée sous hypnose et reçoit comme instruction de tirer sur quelqu’un. L’expérience réussit et les documents affirment que la femme cobaye ne se souvenait de rien au réveil, refusant même de prendre l’arme qu’on lui tendait.
  • D’autres substances ont également été testées afin de provoquer une impulsivité chez le sujet et ainsi le discréditer en public, ou encore pour aider un individu à supporter la torture, la privation ou un lavage de cerveau pendant un interrogatoire.

Un mémo du programme Artichoke, daté de janvier 1952, ne laisse aucun doute sur la ligne directrice du programme :

Pouvons-nous avoir le contrôle d’un individu au point où il fera ce que l’on veut, contre sa volonté, et même contre les lois fondamentales de la nature, telles que la préservation de soi ?

Mise en place du projet, dans le plus grand des secrets

L’idée du projet émerge après des témoignages de soldats américains qui soutiennent avoir vu, pendant la Guerre de Corée (1950-1953), des Nord-Coréens modifier le comportement de prisonniers américains en ayant recours à de la manipulation mentale. Selon eux, la Chine et l’URSS auraient aidé la Corée à développer ces techniques et c’est ainsi que, pour lutter contre l’URSS, les États-Unis décident de développer des techniques similaires.

Afin de mener à bien ces expérimentations dans le secret – et donc sans déclencher une nouvelle enveloppe budgétaire qui rendrait la chose publique – l’administration américaine signe un arrangement avec la CIA qui vise à réserver un certain pourcentage de son budget au projet MK-Ultra (6 %).

Le programme est placé sous la direction du docteur Sidney Gottlieb, un psychiatre militaire, également chimiste.

D’abord menées sur des prisonniers, les expériences sont élargies à des volontaires en échange d’une rémunération (dont Ken Kesey, l’auteur de Vol au-dessus d’un nid de coucou, en 1962, qui n’est pas sans lien avec cette histoire…). Une quarantaine d’universités américaines proposent à leurs étudiants de prendre part à ces expériences. Il semblerait même que certaines expériences aient également été menées sur des cobayes, à leur insu : employés de la CIA, membres de l’armée ou de l’administration américaine, prostituées, malades mentaux ou toxicomanes en centre de désintoxication. Une rumeur qui a pris en crédibilité après l’affaire de la mort mystérieuse du chimiste militaire, Frank Olson, employé de la CIA dont l’autopsie révéla qu’il avait absorbé du LSD à son insu. Une maison close a également été montée de toutes pièces, afin d’étudier, derrière des miroirs sans tain, des clients sous prise de LSD, versé sans qu’ils le sachent dans leur verre : l’opération Midnight Climax, réalisée à San Francisco, à Marin County et à New York, en 1955.

Une rumeur, confirmée le 3 août 1977, dans un discours du sénateur Edward Kennedy :

Le directeur adjoint de la CIA a révélé que plus d’une trentaine d’universités et d’institutions participaient à un programme « d’essais approfondis » comprenant des tests de drogue dissimulés sur des citoyens inconscients « à tous les niveaux sociaux, hauts et bas, Américains indigènes et étrangers ». Plusieurs de ces tests impliquaient l’administration de LSD à des « sujets involontaires dans des situations sociales ».

Et là où les expériences qui sont menées sur le personnage d’Eleven, dans la série, ne sont pas si éloignées de la vérité, c’est qu’à l’époque, des expérimentations ont bel et bien été menées sur des enfants.

Plusieurs femmes en ont témoigné le 15 mars 1995 : le docteur et thérapeute Valérie Wolf, spécialisée dans l’aide aux victimes, ainsi que deux victimes présumées : Christine DeNicola et Claudia Mullen. Des enfants auraient ainsi été soumis à des techniques de manipulation mentale afin d’en faire de parfaits espions ou d’excellents assassins.

Malheureusement, en 1973, le directeur de la CIA, Richard Helms ordonna la destruction de toutes les archives du programme MK-Ultra, ce qui rend extrêmement difficile le travail des enquêteurs et des journalistes sur ce sujet. Quelques documents échappèrent à la destruction, et en 1977 le New York Times révélait déjà que la CIA avait mené des expériences illégales, sur le territoire américain et des sujets américains.

Plus tard, suite au témoignage des présumées victimes, Christine DeNicola et Claudia Mullen, et après de nombreuses autres révélations (l’opération Midnight Climax, la mort mystérieuse de Frank Olson…) le président américain en date, Bill Clinton, décida de faire des excuses publiques (le 3 octobre 1995) pour les expériences ayant eu lieu sur le sol américain. Toutefois il n’entra jamais vraiment dans les détails de ces “expériences”.

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Le mystérieux Hendricus Loos et ses dispositifs de manipulation du système nerveux

Traduction d’un article intéressant. Intéressant aussi de voir comment avorte une tentative d’enquête journalistique sur un sujet sensible comme le Mind Control. Il existe des brevets déposés, visiblement exploités par une société, mais on ne sait pas pour quoi pour/contre qui etc… Les recherches n’aboutissent à rien, circulez…

 


Les mots « dispositifs de manipulation du système nerveux » suffisent à attirer l’attention de la plupart des gens. Le concept appliqué de contrôle de l’esprit, largement considéré comme n’étant rien de plus que de la science-fiction, est apparemment de plus en plus réaliste.

L’un des derniers dispositifs brevetés utilise un téléviseur ou un écran d’ordinateur pour envoyer des ondes électromagnétiques au spectateur (1). La charge électrique s’accumule sur la peau et déclenche un comportement contrôlé du système nerveux. On pense que l’appareil pourrait également avoir un impact sur le système endocrinien, en donnant accès aux hormones et aux fonctions cérébrales, ainsi qu’à la capacité de contrôler d’autres systèmes du corps.

Le détenteur du brevet, Hendricus G. Loos, détient également de nombreux autres brevets pour des dispositifs similaires. Depuis 1978, M. Loos a obtenu des brevets pour onze dispositifs, dont la plupart visent la manipulation du système nerveux (2).

Parmi les brevets, vous trouverez des articles tels que « Manipulation acoustique subliminale des systèmes nerveux », « Manipulation magnétique à distance des systèmes nerveux », « Méthode et appareil de mémoire associative » et « Méthode et appareil de manipulation des systèmes nerveux ». Tous les autres brevets semblent être liés à la technologie d’administration de ces dispositifs de manipulation du système nerveux.

Si vous n’avez pas encore peur ou si vous n’êtes pas intimidé, nous n’avons pas fini.

L’histoire de Loos

L’homme derrière les brevets a sa propre histoire. Avant de travailler sur la manipulation du système nerveux, le Dr Loos a travaillé avec d’autres entreprises. À la fin des années 1950, son travail avec Plasmadyne Corporation lui a permis d’obtenir un brevet pour un « appareil et une méthode de production et de confinement du plasma à ultra-haute température » (3).

Quelques années plus tard, il a travaillé avec le département de recherche avancée de Douglas Aircraft pour étudier les champs électromagnétiques en utilisant la théorie de Yang-Mills (4). Il a poursuivi ses recherches en publiant un autre article sur les champs de Yang-Mills en 1969 dans l’American Physical Society Journal (5).

Dans les années 1980, il semble qu’il se soit installé dans sa maison de Fallbrook, en Californie, et qu’il ait développé le Laguna Research Laboratory, travaillant sur des projets gouvernementaux avec le ministère de la Défense, le ministère de la Santé et des Services sociaux et la Defense Advanced Research Projects Agency, communément appelée DARPA (6). Les projets comprennent des aérosols thérapeutiques rentables et des dispositifs de stockage de mémoire capables d’apprendre.

Au cours de son travail avec Laguna Research Laboratory, Hendricus Loos a participé à une conférence avec Neural Information Processing Systems, publiant un article sur Reflexive Associative Memories (7). Les documents correspondants se trouvent également dans le Centre d’information technique de défense (8).

Science Fiction ou réalité ?

Il est plus difficile d’obtenir de l’information sur le travail d’aujourd’hui et d’aujourd’hui. Les informations disponibles sont rares et troublantes.

Peu de temps après avoir breveté son dernier appareil, Hendricus Loos a pris la présidence de Cuewave Corporation. Jansje Loos a déposé une demande de permis d’exploitation (numéro d’entité : C2396570) en 2003, en utilisant la même adresse à Fallbrook, Californie, ainsi qu’une adresse résidentielle supplémentaire à Laguna Beach, Californie (9).

Le propre site de la société, www.cuewave.com, n’est rien de plus qu’une copie de site pour une entreprise de publicité située en Inde. Toute recherche sur l’entreprise ne produit rien de plus que des inscriptions dans les annuaires. Les listes elles-mêmes ne fournissent que peu de données supplémentaires, si ce n’est que l’entreprise est inscrite dans la catégorie « Recherche physique commerciale » et a un code de classification type des industriesle des systèmes nerveux

 

(1) Patents
(2) Inventor Hendricus Loos
(3) Patent US3009080
(4) World Cat
(5) APS
(6) SBIR
(7) NIPS
(8) US Military
(9) SOS
(10) CueWave Corp
(11) OSHA


The Mysterious Hendricus Loos and His Nervous System Manipulation Devices

The words “nervous system manipulation devices” are enough to pique most anyone’s attention. The applied concept of mind control, widely thought to be nothing more than science fiction, is seemingly more and more realistic.One of the latest patented devices, utilizes a television or computer monitor to send electromagnetic waves to the viewer (1). The electrical charge accumulates on the skin and triggers the nervous system to behave in a controlled manner. The device is thought to potentially impact the endocrine system as well, granting access to hormones and brain function, as well as the ability to control other body systems.

The patent holder, Hendricus G. Loos, also holds many other patents for similar devices. Since 1978, Dr. Loos has been issued patents for eleven devices, largely of which are aimed at nervous system manipulation (2).

Among the patents, you’ll find items such as “Subliminal acoustic manipulation of nervous systems,” “Remote magnetic manipulation of nervous systems,” “Method and apparatus for associative memory,” and “Method and apparatus for manipulating nervous systems.” Any other patents seem to be related to delivery technology of these nervous system manipulation devices.

If you’re not scared or intimidated just yet, we’re not done.

Loos’ History

The man behind the patents has quite a history of his own. Prior to his work with nervous system manipulation, Dr. Loos worked with other companies. In the late 1950s, his work with Plasmadyne Corporation yielded a patent for an “apparatus and method for generating and containing plasma having ultrahigh temperatures” (3).

A few years later, he worked with Douglas Aircraft’s Advanced Research Department studying electromagnetic fields, utilizing the Yang-Mills theory (4). He continued his research, publishing yet another article about Yang-Mills fields in 1969 in the American Physical Society Journal (5).

In the 1980s, it seems he set up shop in his Fallbrook, California home and developed Laguna Research Laboratory, working on government projects with the likes of the Department of Defense, the Department of Health and Human Services, and the Defense Advanced Research Projects Agency, commonly known as DARPA (6). The projects include cost effective therapeutic aerosol devices and memory storage devices capable of learning.

During his work with Laguna Research Laboratory, Hendricus Loos participated in a conference with Neural Information Processing Systems, publishing a paper on Reflexive Associative Memories (7). Correlating documents can also be found in the Defense Technical Information Center (8).

mind control research

Science Fiction or Fact?

Flash-forward to today, and current work information is harder to come by. What information is available is sparse and unnerving.

Shortly after patenting his latest device, Hendricus Loos took on the roll of President at Cuewave Corporation. Jansje Loos filed for the business license (Entity Number: C2396570) in 2003, utilizing the same Fallbrook, California address, as well as an additional residential address in Laguna Beach, California (9).

The company’s own site, www.cuewave.com, is nothing more than a copy of site for an advertising business located in India. Any search for the business yields nothing more than directory listings. The listings themselves provide little additional data, other than the business is listed for “Commercial Physical Research” and has a Standard Industrial Classification (SIC) code of 8731 (10). This classifies them for commercial physical and biological research (11). The license is still active with the Secretary of State and has been for the past 11 years.

Outside of this information, Dr. Hendricus G. Loos – who also goes by Dr. Henry Loos and Dr. Hank Loos – along with his Cuewave Corp and his nervous system manipulation devices are a mystery. The kind of mystery that makes you wonder if the mind control we see in science fiction movies may really be right around the corner.

References & Image Credits:
(1) Patents
(2) Inventor Hendricus Loos
(3) Patent US3009080
(4) World Cat
(5) APS
(6) SBIR
(7) NIPS
(8) US Military
(9) SOS
(10) CueWave Corp
(11) OSHA

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Morphéus : Du harcèlement électromagnétique des populations à la neuro-politique du Nouvel Ordre Mondial

Les armes à micro-ondes sont utilisées contre les populations depuis des dizaines d’années. En Angleterre, dans les années 80, lors des grèves de mineurs, Margaret Thatcher avait fait installer des émetteurs dans les quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques.

Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses fréquences (ELF : Extremely Low Frequency) ou à l’inverse des ultra hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le cerveau humain.

C’est l’Institut Tavistock, spécialisé dans la modification du comportement humain, qui aurait développé ce système à partir des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (RMCT : Remote Mind Control Technology). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont trouvé que les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est avéré que ces ondes peuvent également endommager l’ADN. Il a combiné des ondes ELF avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets nocifs.

Sur la base US de Greenham Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande majorité de femmes) manifestaient, ces armes furent utilisées. Fin 1984, ces femmes visées par de hauts niveaux de radiations micro-ondes, ont été atteintes de cancer, nombre d’entre elles sont mortes. Ces armes permettent d’induire un cancer à distance en altérant l’ADN.

Ces armes utilisées secrètement contre les civils engendrent des paralysies temporaires, une désorientation, des brûlures dans certains cas d’exposition, des vertiges, des amnésies. Des scientifiques indépendants avaient constaté les hauts niveaux de radiations électromagnétiques autour de la base Greenham Common, preuve de l’utilisation de ces armes contre des manifestantes.

Armes ELF

Les armes à très basse fréquence (ELF) sont étalonnées selon certaines fréquences cérébrales étudiées et connues des militaires. 6,66 Hertz engendre la dépression, 4,5 hertz provoque une attaque cardiaque, d’autre vont moduler l’humeur de la victime irradiée en la rendant schizophrénique, paranoïaque, suicidaire, violente ou apathique.

Ce type d’arme fut utilisé sur les populations chypriotes par l’armée anglaise, mais également sur les catholiques d’Irlande du Nord dans les années 80

MASER

Le système nommé MASER envoie des micro-ondes spéciales qui permettent de faire de la « télépathie synthétique ». Aujourd’hui on peut lire les pensées de quelqu’un à distance après avoir scanné les ondes électromagnétiques émises par le sujet dans différentes situations.

 

Manipulation du système nerveux

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d’une cible en diffusant certains type d’ondes.

D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait des systèmes manipulant le système nerveux contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80. Vicki Casagrande, ingénieure américaine, a expliqué devant une commission sur le harcèlement électromagnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « Les muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit légèrement ou violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau juste comme une sensation (…) Les victimes peuvent avoir froid par 40°C dehors, ou avoir chaud par -15°C. ».

L’ingénieure Casagrande explique que certaines victimes auraient eu des implants dans le cerveau depuis les années 60, 70.

300 plaintes

Actuellement, dans l’état du Missouri, un élu a recensé 300 plaintes concernant le harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Un certain nombre d’associations comme (l’International Committee on Offensive Microwave Weapons) se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter l’opinion et les décideurs politiques.

Armes interférométriques

Les armes électromagnétiques évoquées plus haut ont déjà 50 ans ou plus. Elles ont un inconvénient majeur, les sujets finissent par comprendre qu’ils sont victimes d’une attaque électromagnétique. Des systèmes beaucoup plus sophistiqués indolores pour manipuler les cerveaux sont à l’œuvre actuellement. On sait parfaitement simuler artificiellement l’activité interférométrique de n’importe quelle zone du cerveau humain. Avec l’assistance de l’intelligence artificielle, il devient possible de remodeler un cerveau à distance en modifiant l’inconscient puis le conscient d’un individu. De fait, nous voyons la 5G et la densification du smog électromagnétique comme des extensions intégrées de ces technologies. Les cerveaux ainsi baignés et modulés demanderont eux-mêmes plus d’asservissement sans même s’en rendre compte. Illusions de liberté, de fraternité ou d’égalité seront induites par des techno-scientifiques aux commandes du formatage cérébral des populations. C’est l’arme ultime d’asservissement des peuples.

L’asservissement techno-politique

Zbigniew Brzezinski lieutenant de David Rockefeller a toujours affiché sa volonté politique d’asservir les populations à l’aide de technologies :

« La société sera dominée par une élite de personnes libérées des valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance quasi permanente sur chacun des habitants de la planète ».

« Cette élite cherchera tous les moyens pour parvenir à ses fins politiques, comme de nouvelles techniques pour influencer le comportement des masses, ainsi que pour obtenir le contrôle et la soumission de la société ».

Hitler en aurait rêvé mais un homme comme Zbigniew Brzezinski dispose de l’intelligence artificielle et de toutes les sciences psychotroniques modernes pour parvenir à ses fins. Son rêve de contrôle mental des masses est à portée de main avec le concours des transhumanistes.

Laurent Alexandre transhumaniste accompli, décrit notre cerveau comme « un ordinateur fait de viande ». Quant à Marc Roux, président de l’association française transhumaniste, il affirme : « Nous avons aujourd’hui les outils pour intervenir sciemment sur notre propre condition. Nous pensons qu’il peut y avoir de bonnes raisons de modifier notre biologie, même de manière invasive, radicale et irréversible. » En Suisse, le Human Brain Project, largement financé par l’Union européenne, a pour but de créer un cerveau artificiel en travaillant sur les interactions entre les neurones et des processeurs électroniques. Le programme est annoncé sans détour. « L’audacieux programme transhumaniste va se répandre… Cela fait partie de la nature non démocratique de la technologie… » CQFD.

Avènement de la neuro-politique

Le Nouvel Ordre Mondial si cher à la famille Bush a toujours été lié à la possibilité technologique d’imposer secrètement une neuro-politique aux populations. Grâce aux avancées des neuro-sciences et des programmes militaires secrets de Contrôle Mental, la « paix mondiale » pouvait être imposée. La caste mondialiste devait faire monter en puissance tous les systèmes d’interconnexions assistés par intelligence artificielle afin que chaque cerveau n’en soit qu’une interface modulable à souhait.

Si techniquement tout cela est devenu possible, en revanche cette approche induit, par pressions électromagnétiques, une telle destruction qu’elle mène à un lent suicide programmé de l’humanité. Rationnellement, il convient de faire machine arrière. Mais il semble que la rationalité ne soit plus à l’ordre du jour. Nous ne savons plus si la caste mondialiste agit et pense par elle-même ou si elle a été assimilée par sa propre technologie de contrôle neuronal. Face à ce fléau, la révolution consciente des peuples devient le seul garde-fou et le temps nous est compté.

Sources : https://aphadolie.com

LIESI & Morphéus

publié dans Morphéus n°93 mai-juin 2019

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« Attaques acoustiques » : le cerveau de diplomates américains à Cuba a été altéré

L’EXPRESS Plusieurs diplomates américains en poste à La Havane se sont plaints de maux qui restent inexpliqués. Mais une étude assure que « leurs cerveaux ont subi quelque chose ».

Que leur est-il arrivé ? Les cerveaux d’une quarantaine de diplomates américains, victimes de phénomènes mystérieux à Cuba, montrent des différences par rapport à un groupe témoin, ont annoncé mardi des chercheurs, qui les ont analysés par imagerie médicale à la demande du gouvernement américain.

L’étude, publiée par le Journal de l’Académie américaine de médecine (Jama) et menée par des professeurs et médecins de l’université de Pennsylvanie, ne permet pas de dégager une cause aux symptômes observés chez les diplomates entre fin 2016 et mai 2018. Mais elle confirme que « leurs cerveaux ont subi quelque chose qui a causé ces changements », explique Ragini Verma, professeure de radiologie à l’université de Pennsylvanie, et spécialiste de l’imagerie médicale.

« Ce n’est pas imaginaire », avance-t-elle. « Cela s’est bien produit dans leur cerveau. Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver. » « Ce qu’il s’est passé n’est pas dû à un antécédent médical », ajoute la spécialiste.

Des diplomates en plein « brouillard cognitif »

Entre fin 2016 et mai 2018, des diplomates en poste à La Havane, ainsi que des membres de leurs familles, ont souffert de maux divers incluant des problèmes d’équilibre et de vertige, de coordination, de mouvement des yeux, ainsi que de l’anxiété, de l’irritabilité et ce que des victimes ont appelé un « brouillard cognitif ».

Les Etats-Unis ont rappelé la majorité de leur personnel diplomatique de La Havane en septembre 2017. Certains sont aujourd’hui rétablis, mais d’autres restent en rééducation, selon Ragini Verma.

Washington n’a jamais établi publiquement la nature du phénomène, ni confirmé qu’il pourrait s’agir d’énigmatiques « attaques acoustiques » ou micro-ondes, comme la presse américaine s’en est fait l’écho, sans toutefois apporter aucune preuve. Cuba rejette toute responsabilité. Le Canada a de son côté dénombré 14 « victimes » et également rappelé la majorité de son personnel en janvier.

Pas de « conclusions scientifiques claires », répond Cuba

A la demande du département d’Etat américain, 44 diplomates et membres de leurs familles ont été envoyés à partir de mi-2017 au centre des traumatismes cérébraux de l’université de Pennsylvanie pour subir des examens par imagerie par résonance magnétique (IRM).

Les chercheurs ont comparé les résultats à ceux de 48 personnes comparables de groupes témoins. Les différences sont statistiquement significatives et concernent la matière blanche du cerveau, ainsi que le cervelet, la partie qui contrôle les mouvements.

Un porte-parole du département d’Etat a dit saluer « l’implication de la communauté médicale dans ce problème incroyablement complexe. La priorité du département reste la sûreté, la sécurité et le bien-être de son personnel ». La chercheuse Ragini Verma insiste sur l’importance de suivre l’ensemble des patients régulièrement pour suivre l’évolution des changements dans leurs cerveaux.

Cuba a pour sa part disqualifié cette étude mardi. Celle-ci « ne nous permet pas d’arriver à des conclusions scientifiques finales claires », a déclaré Mitchell Valdés-Sosa, directeur du Centre des neurosciences de l’Etat cubain, lors d’une conférence de presse. L’étude « ne prouve pas, contrairement à ce qui a été spéculé et à ce qui est affirmé dans l’article précédent (de la Jama, publié en mars 2018), qu’un groupe de diplomates a souffert des lésions cérébrales pendant leur séjour à Cuba, » a-t-il déclaré.

 


SCIENCES & AVENIR  Attaque acoustique à Cuba : le cerveau des diplomates américains altéré

En 2017, une affaire digne d’un roman d’espionnage avait fait grand bruit : celle de « l’attaque acoustique » visant des diplomates américains à Cuba. Une étude publiée par le Journal de l’Académie américaine de médecine (Jama) le 23 juillet 2019 avance que les cerveaux d’une quarantaine de ces diplomates montrent des différences par rapport à un groupe témoin.

Certains ont souffert « de légères lésions cérébrales d’origine traumatique »

Les premiers faits suspects ont été signalés fin 2016, mais le gouvernement américain a attendu août 2017 pour évoquer de mystérieux « symptômes physiques » constatés chez plusieurs salariés de l’ambassade des États-Unis à Cuba. Certains ont souffert de « migraines, nausées« , mais aussi « de légères lésions cérébrales d’origine traumatique et d’une perte définitive d’audition« , révélait ensuite le syndicat de la diplomatie américaine. Des problèmes d’équilibre, de vertige, de coordinations mais aussi de mouvements des yeux et d’anxiété ont également été signalés. Le 14 septembre 2017, le nombre d’employés touchés était de 21, avec un dernier « incident » constaté en août, selon Washington. Côté canadien, une source proche de l’ambassade précisait sous couvert d’anonymat que plus de cinq familles avaient été touchées, dont plusieurs enfants. Les États-Unis ont rappelé la majorité de leur personnel diplomatique de La Havane en septembre 2017. Certains sont aujourd’hui rétablis, mais d’autres restent en rééducation.

Washington n’a jamais établi publiquement la nature du phénomène. En 2017, l’agence américaine Associated Press (AP) avait divulgué un enregistrement réalisé par un employé de l’ambassade. Lorsque l’enregistrement leur a été présenté, des victimes de l’attaque l’ont clairement identifié comme le son qu’ils avaient entendu, comme l’expliquait alors Sciences et Avenir dans un précédent article.

« Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver »

A la demande du département d’Etat américain, 44 diplomates et membres de leurs familles ont été envoyés à partir de mi-2017 au centre des traumatismes cérébraux de l’université de Pennsylvanie pour subir des examens par imagerie par résonance magnétique (IRM). Les chercheurs ont comparé les résultats à ceux de 48 personnes comparables de groupes témoins. Les différences sont statistiquement significatives et concernent la matière blanche du cerveau, ainsi que le cervelet, la partie qui contrôle les mouvements.

L’étude – faite à la demande du gouvernement américain donc – menée par des professeurs et médecins de l’université de Pennsylvanie ne permet pas de dégager une cause aux symptômes observés chez les diplomates entre fin 2016 et mai 2018. Mais elle confirme que « leurs cerveaux ont subi quelque chose qui a causé ces changements« , dit à l’AFP Ragini Verma, professeure de radiologie à l’université de Pennsylvanie, et spécialiste de l’imagerie médicale. « Ce n’est pas imaginaire« , avance-t-elle. « Cela s’est bien produit dans leur cerveau. Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver. » « Ce qu’il s’est passé n’est pas dû à un antécédent médical« , ajoute la spécialiste. La chercheuse insiste désormais sur l’importance de suivre l’ensemble des patients régulièrement pour suivre l’évolution des changements dans leurs cerveaux.

Cuba a pour sa part disqualifié cette étude. Celle-ci « ne nous permet pas d’arriver à des conclusions scientifiques finales claires« , a déclaré Mitchell Valdés-Sosa, directeur du Centre des neurosciences de l’Etat cubain, lors d’une conférence de presse. L’étude « ne prouve pas, contrairement à ce qui a été spéculé et à ce qui est affirmé dans l’article précédent (de la Jama, publié en mars 2018), qu’un groupe de diplomates a souffert des lésions cérébrales pendant leur séjour à Cuba, » a-t-il déclaré.

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Les méthodes modernes d’élimination des individus : l’élimination sociale

Après le dernier post sur « Kubark : Le manuel secret de manipulation mentale et de torture psychologique de la CIA », voilà un chapitre du livre « Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21 e siècle » concernant Les méthodes d’élimination sociale des individus. Ce qui est décrit est très semblable à l’élimination sociale et économique que j’ai eu à vivre, semblable aussi à ce que décrivent les autres TI. C’est un des buts recherché par le gang stalking. Ça ne sort pas de quelques esprits faibles ou dérangés, ce sont des méthodes éprouvées depuis des siècles.

Les méthodes modernes d’élimination des individus