C’est de l’histoire, pas des affabulations de malade mental schizophrène. Les victimes de l’époque, encore en état de se plaindre auront toutes les misères du monde pour se faire entendre. Elles étaient devant la même négation que les TI aujourd’hui. Maintenant MK-Ultra est déclassifié.
Le programme MK-Ultra n’est pas terminé, il s’est muté en un programme inconnu du grand publique. Il utilise des technologies avancées. Aujourd’hui les victimes ne sont plus attachées à un lit, privées de liberté, droguées au LSD, puis violentées, avec des électrodes pour leurs griller littéralement le cerveau aux électrochocs, comme le faisait en son temps le Dr Ewen Cameron à ses patients (sujets non consentants) du Allen Memorial Hospital à Montréal.
Les victimes d’aujourd’hui peuvent être attaquées n’importe où en utilisant des appareils compacts et un système de radar satellite. Leurs esprits sont bombardés de voix, de sons et de fonds sonores (voir les brevets V2K), certains d’entre eux perçoivent ces voix comme leurs propres voix intérieures. Ces victimes sont également soumises à des radiations et à des tactiques de harcèlement psychologique inspirées du harcèlement nazi/Stasi. Certaines victimes ont eu la chance de survivre à plusieurs phases du « programme, » et peuvent découvrir qu’elles sont la cible d’ armes silencieuses. Certaines victimes se sont suicidées, mortes sans connaître la vérité. D’autres sont institutionnalisées avec des psychotropes et étiquetées comme délirantes ou paranoïaques, schizoïdes ou que sais-je encore. Les médias grand publiques ne couvrent pas ces crimes parce qu’ils appartiennent à des sociétés en lien avec le « programme » et font partie intégrante de la machine à laver les cerveaux. Leur Job est de banaliser Le MK, notamment à l’aide de supports vidéo, en reléguant cette réalité au rang de fiction, mais aussi de désensibiliser les masses, pour qu’elles ne se sentent pas concernées par ce type de terrorisme, pour qu’elles renoncent à leur intimité et aux droits de l’homme. »
Charles Freeman Geschickter
Freeman, faut le faire quand on a participé au programme MK.
A 1970s Senate investigation of CIA activities found that the CIA had provided funds to Geschickter’s private research foundation, which were in turn used for a research building at the Georgetown Medical Center.[4] It appears that the funds were used for human and animal experiments related to defenses against interrogation and brainwashing, although Georgetown University denied any knowledge of such experiments.[7] In 1977 Geschickter testified before the Senate committee that over a period of thirteen years up to 1967 his foundation had funded over $1 million of research at Georgetown and $2 million of research at other universities. The Georgetown research related to drugs that produced amnesia. The Gorman Annex was funded by money provided to his foundation by the CIA. Since this appeared to be private money, the Federal government provided matching funding
En relation avec Sidney Gottlieb
Plus tard, le cas du Dr Ewen Cameron au Allen Memorial Hospital à Montreal.