Grace aux sites d’info alternatifs, la COVID a permis de me faire découvrir la charte Bidermann. C’est frappant de constater que tout ce qui m’a été fait par V2K, depuis 34 ans, suit exactement la trame point par point (8 points, cf plus bas). Un cerveau malade, schizo, puisque ce serait le diagnostic de l’expert, pourrait donc entendre des voix, mais qui lui appliquent des techniques de manipulations mentales totalitaires, (ex-URSS et ensuite USA) dûment documentées par les services secrets et les travaux sur le comportement humain (behaviorisme, Pavlov, Delgado etc…) Le but serait donc que la personne se suicide (*fuite) ou soit enfermée et sédatée à vie (*fuite/mise HS), subissant de surcroît des effets secondaires comme l’impuissance, la prise de poids jusqu’à atteindre 200 Kg (réduisant son espérance de vie) et la perte de plusieurs dizaines de points de QI, amenuisant d’autant la possibilité de se dépêtrer, de ce qui paraît être une maladie mentale à Mme Michu, madame français moyen.
Quid du stress accumulé qui finit par faire dysfonctionner le cœur ? J’ai eu récemment un infarctus précédé depuis des mois de douleurs abdominales intenses. J’ai compris plus tard, en écoutant *Henri Laborit, parler de « l’inhibition de l’action » et de l’importance du stress dans ce qui venait de m’arriver. Il disait textuellement après ses études sur des animaux que le stress se porte sur les fonctions intestinales et cardiaques. 
https://youtu.be/IKU1x43gWzY?feature=shared
Laborit nous montre toute la gamme de comportements possibles, transposables dans la situation d’un TI. Cela explique pourquoi les choix, du suicide, du pétage de plombs aux USA (tueurs de masse) et les attentats en Europe (loups solitaires), les maladies pour les autres… À mon avis, une grande partie des faits d’extrême violence suscités sont ainsi explicables et souhaités afin de gouverner par le chaos, ceci est par ailleurs corroboré par le lieutenant-colonel « X » dans son ouvrage Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21e siècle – Lieutenant-colonel X, Jacques Léger, dont j’ai parlé ici
La science a permis de se brancher sur les ondes cérébrales et ensuite ? Elle a choisi le côté obscure ! Imaginez ne plus connaitre le silence depuis plus de 30 ans, être soumis à un stress auditif permanent, tantôt de faible intensité (V2k par IA & acouphènes), tantôt de forte intensité (V2K par des Humains + IA +…), la botte sur le visage jusqu’à la mort ! Je parle un peu de mon cas personnel, parce que j’ai déjà plusieurs dysfonctions corporelles (Psoriasis depuis 20 ans, thyroïdectomie, algoneurodystrophie résistante depuis presque 10 ans, infarctus, tout ça à 52 ans…) qui me mènent à penser que je me rapproche de la sortie. J’ai des photos de moi qui montrent des taches rouges de brûlures sur la peau à l’endroit du coeur et de la thyroïde. Ces endroits on été ciblés pendant des années.
Une interview de Barrie Trower, dont voici un extrait, rend tout à fait plausible l’hypothèse que j’avance concernant mes ennuis de santé. Barrie Trower est un physicien britannique qui a travaillé il y a plusieurs décennies sur les technologies micro-ondes gouvernementales et les systèmes de guerre électronique micro-ondes. Formé dans les années 1960 à un programme spécialisé en guerre électronique micro-ondes, il a ensuite servi dans le déminage sous-marin à l’aide de systèmes micro-ondes. Il affirme avoir interrogé des agents formés à la guerre électronique micro-ondes et au renseignement. Son parcours universitaire comprend la physique, la physiologie humaine et l’enseignement. Après avoir pris sa retraite de la fonction publique, il a enseigné la physique, les mathématiques et la physiologie avant de s’exprimer publiquement sur ce qu’il considère comme les risques cachés liés aux technologies modernes de communication sans fil et de surveillance.
J’ai peu posté durant les deux dernières années, je pense rester anonyme parmi les TI français et m’astreindre à donner signe de vie ici, une fois par an, tout en restant joignable via le mail de ce site. Si je ne réponds plus pendant plusieurs mois, vous en tirerez les conclusions… Vous souhaitant bon courage à vous les TI pour votre survie et votre combat quotidien !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Biderman_de_la_torture_psychologique
La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu.
Malgré les origines de la charte à l’époque de la guerre froide, l’organisation non gouvernementale Amnesty International a déclaré que ce tableau contient les « outils universels de la torture et de la coercition ». Au début des années 2000, ce tableau a été utilisé par des interrogateurs américains au camp de détention de Guantanamo Bay à Cuba. Elle a également été utilisée pour analyser les abus psychologiques commis par les auteurs de violence domestique1.
Origine
« Probablement aucun autre aspect du communisme ne révèle plus profondément son manque de respect pour la vérité et les individus que son recours à ces techniques ». Albert Biderman.
Albert D. Biderman, un spécialiste des sciences sociales de l’US Air Force, a été chargé de rechercher pourquoi de nombreux prisonniers de guerre américains capturés par les forces communistes pendant la guerre de Corée coopéraient. Après des entretiens approfondis avec des prisonniers renvoyés aux Etats-Unis, Biderman conclut qu’il y a trois éléments principaux constitutifs du contrôle coercitif utilisé par les interrogateurs communistes : « la dépendance, la débilité et la terreur »2. Biderman a résumé ses conclusions dans un tableau publié pour la première fois dans l’article « Communist Attempts to Elicit False Confessions From Air Force Prisoners of War » (tentatives communistes pour obtenir de fausses confessions des prisonniers de guerre de l’armée de l’air) dans le numéro de 1957 du Bulletin de l’Académie de médecine de New York . L’article présentait une analyse des méthodes de torture psychologique, plutôt que physiques, utilisées pour contraindre à la divulgation d’information et aux faux aveux3,2.
Le psychiatre Robert Jay Lifton a mené des recherches similaires sur les mêmes méthodes communistes chinoises ; inventant le terme « réforme de la pensée » (maintenant connu sous le nom de « lavage de cerveau ») pour les décrire dans le même numéro du Bulletin4.
Méthodes de coercition
Le tableau comprend les méthodes de coercition suivantes3,5 :
- isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité ;
- monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d’insoumission ;
- induire l’épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale ;
- présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir ;
- montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi l’accoutumance aux privations imposées ;
- démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l’autorité ;
- dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale ;
- exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l’autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.
J’ai bien reconnu les 8 points de cette charte de contrôle et de conditionnement de l’humain venue des pays de l’ex-URSS, dans ce que disent les radio-opérateurs distants, les tenants de la V2K. Des hallucinations auditives qui utiliseraient des méthodes psy issues du KGB ??
Bonus / Charte Bidermann appliquée au COVID

Rapport Biderman de 1956 et pandémie de Covid‑19
Le tableau de coercition de Biderman. Tactiques de guerre psychologique communiste visant à soumettre, intimider, endoctriner et laver le cerveau d’une population entière. Protocole de coercition de la pandémie de Covid‑19.
- Isolement
Effets sur la victime : prive de tout soutien social, augmente la dépendance vis‑à‑vis de l’interrogateur, crée une préoccupation intense envers soi-même.
Moyens* : détention en isolement complet, isolement semi‑total, isolement de groupe.
Exemples liés à la Covid‑19 :
« 15 jours pour stopper la propagation » : port du masque obligatoire, distanciation physique, confinement à domicile, interdiction des rassemblements, fermeture des commerces, écoles, pertes d’emploi, et camps de quarantaine (contenement).
Empêche la participation aux activités de base comme les célébrations ou toute interaction interpersonelle.
Mise en quarantaine d’enfants seuls dans une pièce séparée pendant 14 jours (Canada).
- Monopolisation de la perception
Objectif : focaliser l’attention sur le précepte immédiat du bourreau, éliminer tout stimulus concurrent.
Méthodes : isolement physique, obscurité ou lumière intense, environnement austère, mobilité restreinte, alimentation monotone.
Application pendant la pandémie :
Restreindre les déplacements, créer monotonie et ennui.
Dominer tous les médias d’information et censurer les points de vue opposés (vérification de faits, suppression de contenus, interdictions) ; saturation 24 h/24 de la « messagerie » via des « sources fiables ».
Arrestations pour non‑port du masque (Australie).
Classification des opposants aux mandats médicaux comme terroristes domestiques (US DHS).
- Débilitation et épuisement induits
Conséquences : affaiblit la capacité mentale et physique de résistance.
Stratégies : exigences rigides, règles arbitraires, restrictions créant tension, peur et urgence.
Exemples :
Privation partielle, exposition, exploitation des blessures, privation de sommeil, contrainte prolongée, interrogatoires forcés, rédaction imposée, surmenage.
Interdiction d’utiliser les installations sportives partagées (Nouvelle‑Zélande).
Menaces de sanctions : amendes, emprisonnement, menaces de mort, isolement sans fin, menaces contre la famille, menaces vagues et changements mystérieux de traitement.
Slogan de l’OMS : « Personne n’est en sécurité tant que tout le monde ne l’est pas » (global).
Le président américain Joe Biden a déclaré que les Américains non vaccinés faisaient face à « un hiver de maladie sévère et de mort » à cause du variant Omicron (États‑Unis).
Déploiement de forces de défense pour conduire les cas positifs et leurs contacts vers des centres de quarantaine (Australie).
Emission de contraventions, emprisonnement, restrictions de droits (voyage, achats, etc.) et recrutement d’entreprises, autorités scolaires et voisins comme enforceurs.
Signalement aux forces de l’ordre des voisins qui se rassemblent trop (Royaume‑Uni).
- Indulgences occasionelles
But : offrir une motivation positive pour la conformité.
Mécanisme : petites faveurs, fluctuations d’attitude de l’interrogateur, promesses et récompenses pour une conformité partielle.
Illustrations :
Autorisation ponctuelle d’assouplir certaines restrictions en guise de récompense.
Augmentation progressive du nombre de personnes autorisées à se réunir (ex. : de 2 à 5 personnes à Singapour).
- Démonstration d’omnipotence (« Omni », pouvoir absolu)
Message : la résistance est futile ; le contrôle total sur le destin de la victime est assuré.
Techniques : rendre le sujet dépendant de l’indoctrinateur, supprimer toute autonomie perçue, dénigrer toute vision alternative en discréditant la personne ou le groupe qui la porte.
Exemples concrets :
Le Premier ministre de Victoria (Australie) a affirmé que les autorités n’hésiteraient pas à frapper « porte‑à‑porte » pour réaliser des tests COVID obligatoires.
La police de Sydney a perquisitionné des centaines de domiciles sous pouvoirs d’urgence pour vérifier le respect des règles COVID.
Un conseiller de Biden a indiqué que le gouvernement ciblerait des États comme l’Alabama, l’Arizona, la Géorgie, la Floride et le Texas avec une campagne de vaccination « porte‑à‑porte ».
Arrestations pour non‑port du masque dans un supermarché à Costa Mesa (Californie, USA).
- Dégradation (humiliation et honte)
Objectif : faire paraître le coût de la résistance plus dommageable pour l’estime de soi que la capitulation.
Méthodes : privation d’hygiène personnelle, punitions humiliantes, insultes, déni de vie privée.
Cas observés :
Masques obligatoires dans les lieux de travail (restaurants, bars, magasins, transports publics).
Utilisation de tests PCR défectueux chez les personnes asymptomatiques qui ressentent de la honte à être testées positives.
Stigmatisation via les médias corporatifs (TV, radio, réseaux sociaux) des personnes qui ne respectent pas les règles.
Suppression des restrictions de masques et de distanciation pour les personnes entièrement vaccinées, tout en maintenant ces mesures pour les non‑vacinés.
Entreprises demandant le statut vaccinal avant d’autoriser l’entrée ou de laisser les clients se passer de masque.
- Imposition de demandes triviales
But : développer l’habitude de la conformité.
Stratégie : instaurer une multitude de règles « triviales » visant à « corriger » les comportements jugés inadéquats.
Mises en pratique :
Sessions d’« éducation » pour les personnes récalcitrantes, suivies de sanctions sévères si les comportements ne sont pas corigés.
Promotion d’une mentalité où chaque demande doit être satisfaite, supprimant ainsi la capacité de pensée indépendante et de libre arbitre.
Exemple : dire aux membres de la famille de garder une distance de deux mètres lors du dîner de Thanksgiving.
Conseils médicaux recommandant le port du masque même pendant les rapports sexuels et d’éviter les baisers (Canada).
Expulsion de parents des réunions du conseil scolaire pour refus de porter un masque.
Arrestations pour non‑respect du port du masque dans les banques (USA).
Arrestations d’étudiants du secondaire et universitaire pour non‑port du masque en classe (USA).
Arrestations pour violation des règles de distanciation sociale à New York.
Résumé des points clés
Isolement : séparation totale ou partielle, souvent justifiée par des mesures sanitaires (quarantaines, confinements).
Monopolisation de la perception : contrôle de l’information et limitation des stimuli extérieurs.
Débilitation et exhaustion : contraintes physiques et psychologiques visant à réduire la capacité de résistance.
Indulgences occasionelles : petites récompenses pour encourager la conformité.
Omnipotence afichée : démonstration de pouvoir absolu pour décourager toute opposition.
Dégradation : humiliation publique et honte pour pousser à la soumision.
Demandes triviales : multiplication de règles mineures afin d’instaurer une habitude de conformité généralisée.
Ces techniques, présentées dans le texte original comme une comparaison entre le Rapport Biderman de 1956 et les mesures prises durant la pandémie de Covid‑19, illustrent comment des stratégies de coercition peuvent être appliquées à différents contextes historiques et contemporains.

