Après le dernier post sur « Kubark : Le manuel secret de manipulation mentale et de torture psychologique de la CIA », voilà un chapitre du livre « Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21 e siècle » concernant Les méthodes d’élimination sociale des individus. Ce qui est décrit est très semblable à l’élimination sociale et économique que j’ai eu à vivre, semblable aussi à ce que décrivent les autres TI. C’est un des buts recherché par le gang stalking. Ça ne sort pas de quelques esprits faibles ou dérangés, ce sont des méthodes éprouvées depuis des siècles.
J’avais parlé de cet ouvrage le 22/07/2019, j’ai supprimé le post afin de faire remonter l’article augmenté d’extraits du livre. Ajout d’extraits 28 Juil 2025 :
L’auteur explique le mobbing ou gang stalking au travers des jeux de rôles, ce qui peut répondre aux gens qui se demandent comment font-ils pour avoir une si grande armée qui se mobilise autour d’eux :
Harcèlement :
Puis diverses techniques, qui sont aussi utilisées sur les TI, personnellement, je valide tout, je reconnais toutes ces techniques ou presque, elles m’ont été appliquées (et bien plus, avec le ciblage électromagnétique, il y a des couches supplémentaires). L’auteur explique aussi que les cibles poussées à bout finissent souvent dans les faits divers. Les tueries de masses sont en partie expliquées…
Puis une technique que j’ai eu à subir pour ma part, le vigile me sautait littéralement dessus dès mon entrée dans la supérette et me marquait à la culotte jusqu’à ma sortie. J’étais, à l’époque, habillé en costume, du fait de mon job, pas vraiment le profil streetwear et capuche :
Autre ouvrage du Lieutenant-Colonel « X », après Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21e siècledont j’avais parlé ici
Un extrait qui parle des travaux d’Henri Laborit sur l’inhibition de l’action et de ses effets délétères sur le corps humain, le cœur etc. J’avais déjà parlé de Laborit et de mes soucis de santé ici
C’est avec tristesse que j’ai appris qu’Helen Ibe vient de rejoindre les rangs des TI. Son témoignage est poignant, je me revois dans cette phase avec ces 10 000 questions qui t’assaillent quand tu es fraichement ciblé.
Je m’étais abonné à sa chaine parce que je trouvais l’artiste intéressante et surtout pour la personne tellement souriante. En effet, c’est (je devrais sans doute utiliser le passé) une personne solaire, et cela me faisait du bien, simplement, de regarder quelqu’un dans l’allégresse. La joie, c’est fini…
Préfèrerais-je être aveugle que de voir ça ?
Si elle est atteinte de V2k, ne tarderont pas les acouphènes et elle pourra faire un joli feu de joie avec ses belles guitares devenue inutilisables… Ça sent le vécu !
Lecture des images cérébrales, extrait de la Conférence d’Idriss Aberkane : Pourquoi l’Intelligence Artificielle est-elle un bien meilleur élève que nous?
«Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique» : pourquoi faut-il absolument regarder cette série documentaire sur CANAL+ ?
La série documentaire «Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique», disponible à partir du 9 octobre sur CANAL+ et myCANAL, met en lumière les attaques non-conventionnelles ciblant des espions et des diplomates américains à travers le monde.
Le mystère reste entier. CANAL+ vient de mettre en ligne la série documentaire «Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique», dans laquelle les journalistes Jules Giraudat et Arthur Bouvart se penchent sur les attaques non-conventionnelles dont plus de 1.000 diplomates et espions américains en poste sur tous les continents ont été la cible, sans que les États-Unis ne soient en mesure d’identifier – du moins officiellement – leur provenance, ou les auteurs.
La parole est notamment donnée à un ancien agent de la CIA qui, alors qu’il travaillait à l’ambassade de Cuba en 2016, quelques mois après le rétablissement historique des relations diplomatiques entre les États-Unis et Cuba, va être victime d’un étrange événement à son domicile. «Un jour, je suis rentré seul de l’ambassade. Arrivé chez moi, je me suis étendu sur mon lit. Soudain, tous les chiens du quartier se sont mis à aboyer. Peu après, un son perçant a fait irruption dans ma chambre. C’était comme un coup de batte. Comme une onde qui se refermait sur moi. Et la pression m’écrasait peu à peu le crâne. Il y avait un son aigu, continu, un bruit presque mécanique», témoigne-t-il.
Digne d’un roman d’espionnage
Ce son strident qui vient de lui pressurer la boîte crânienne va se révéler extrêmement grave pour sa santé, le laissant avec des séquelles neurologiques irréversibles. À partir de la deuxième moitié de l’année 2016, des attaques similaires vont également viser le responsable de la sécurité diplomatique, le médecin chef de l’ambassade, le secrétaire de l’ambassadeur, ainsi que le vice-consul adjoint. Des employés occupants des postes clefs au sein d’une ambassade, ce qui ne peut pas être le fruit du hasard, selon lui.
La menace potentielle n’est toutefois pas prise au sérieux immédiatement par les autorités américaines. L’affaire va toutefois évoluer quand des cas similaires sont rapportés en Chine, et ailleurs dans le monde. À la manière d’un récit digne d’un roman d’espionnage, qui mêle armes d’un genre nouveau et affrontements souterrains entre nations, cette série documentaire propose une enquête fascinante sur une affaire susceptible de bouleverser l’ordre mondial. Un récit d’autant plus captivant qu’il est mis en valeur par les interviews exclusives de diplomates et membres des services de renseignement.
Grace aux sites d’info alternatifs, la COVID a permis de me faire découvrir la charte Bidermann. C’est frappant de constater que tout ce qui m’a été fait par V2K, depuis 34 ans, suit exactement la trame point par point (8 points, cf plus bas). Un cerveau malade, schizo, puisque ce serait le diagnostic de l’expert, pourrait donc entendre des voix, mais qui lui appliquent des techniques de manipulations mentales totalitaires, dûment documentées par les services secrets et les travaux sur le comportement humain (behaviorisme, Pavlov, Delgado etc…) Le but serait donc que la personne se suicide (*fuite) ou soit enfermée et sédatée à vie (*fuite/mise HS), avec des effets secondaires comme l’impuissance, la prise de poids jusqu’à atteindre 200 Kg (réduisant son espérance de vie) et la perte de plusieurs dizaines de points de QI, amenuisant d’autant la possibilité de se dépêtrer de ce qui paraît être une maladie mentale à Mme Michu, madame français moyen. Quid du stress accumulé qui finit par faire dysfonctionner le cœur ? J’ai eu récemment un infarctus précédé depuis des mois de douleurs abdominales intenses. J’ai compris plus tard en écoutant *Henri Laborit parler de « l’inhibition de l’action » et de l’importance du stress dans ce qui venait de m’arriver. Il disait textuellement après ses études sur des animaux que le stress se porte sur les fonctions intestinales et cardiaques.
Laborit nous montre toute la gamme de comportements possibles dans la situation d’un TI. Cela explique pourquoi les choix, du suicide, du pétage de plombs aux USA (tueurs de masse) et les attentats en Europe (loups solitaires), les maladies pour les autres… À mon avis, une grande partie des faits d’extrême violence suscités sont ainsi explicables et souhaités afin de gouverner par le chaos, ceci est par ailleurs corroboré par le lieutenant-colonel « X » dans son ouvrage Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21e siècle – Lieutenant-colonel X, Jacques Léger, dont j’ai parlé ici
La science a permis de se brancher sur les ondes cérébrales et ensuite ? Elle a choisi le côté obscure ! Imaginez ne plus connaitre le silence depuis plus de 30 ans, être soumis à un stress auditif permanent, tantôt de faible intensité (V2k par IA & acouphènes), tantôt de forte intensité (V2K par des Humains + IA +…), la botte sur le visage jusqu’à la mort ! Je parle un peu de mon cas personnel, parce que j’ai déjà plusieurs dysfonctions corporelles (Psoriasis depuis 20 ans, thyroïdectomie, algoneurodystrophie résistante depuis presque 10 ans, infarctus, tout ça à 52 ans…) qui me mènent à penser que je me rapproche de la sortie. J’ai peu posté durant les deux dernières années, je pense rester anonyme parmi les TI français et m’astreindre à donner signe de vie ici, une fois par an, tout en restant joignable via le mail de ce site. Si je ne réponds plus pendant plusieurs mois, vous en tirerez les conclusions… Vous souhaitant bon courage à vous les TI pour votre survie et votre combat quotidien !
La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu.
« Probablement aucun autre aspect du communisme ne révèle plus profondément son manque de respect pour la vérité et les individus que son recours à ces techniques ». Albert Biderman.
Albert D. Biderman, un spécialiste des sciences sociales de l’US Air Force, a été chargé de rechercher pourquoi de nombreux prisonniers de guerre américains capturés par les forces communistes pendant la guerre de Corée coopéraient. Après des entretiens approfondis avec des prisonniers renvoyés aux Etats-Unis, Biderman conclut qu’il y a trois éléments principaux constitutifs du contrôle coercitif utilisé par les interrogateurs communistes : « la dépendance, la débilité et la terreur »2. Biderman a résumé ses conclusions dans un tableau publié pour la première fois dans l’article « Communist Attempts to Elicit False Confessions From Air Force Prisoners of War » (tentatives communistes pour obtenir de fausses confessions des prisonniers de guerre de l’armée de l’air) dans le numéro de 1957 du Bulletin de l’Académie de médecine de New York . L’article présentait une analyse des méthodes de torture psychologique, plutôt que physiques, utilisées pour contraindre à la divulgation d’information et aux faux aveux3,2.
Le psychiatre Robert Jay Lifton a mené des recherches similaires sur les mêmes méthodes communistes chinoises ; inventant le terme « réforme de la pensée » (maintenant connu sous le nom de « lavage de cerveau ») pour les décrire dans le même numéro du Bulletin4.
Méthodes de coercition
Le tableau comprend les méthodes de coercition suivantes3,5 :
isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité ;
monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d’insoumission ;
induire l’épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale ;
présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir ;
montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi l’accoutumance aux privations imposées ;
démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l’autorité ;
dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale ;
exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l’autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.
J’ai bien reconnu les 8 points dans le comportement et ce que me donnent à entendre les radio-opérateurs distants, les tenants de la V2K ! Donc, Monsieur le psy, toujours le même diagnostic ? Tous les TI finissent en HP s’ils expliquent de quoi ils sont les victimes…
Marier un implant cérébral à une IA pour permettre à des personnes paralysées de
s’exprimer… C’est le défi relevé par une équipe de scientifiques de la Stanford University.
Leur dispositif est capable de convertir de simples pensées en textes et en audio intelligible
en un temps record.
160 mots par minute… c’est la vitesse moyenne à laquelle nous parlons. De vrais moulins à parole
! Des dispositifs cérébraux existent depuis plusieurs décennies pour « redonner la parole » aux
personnes paralysées. Ils ont pour objectif, en quelque sorte, de traduire leurs pensées. Pour cela,
ces dispositifs utilisent de minuscules réseaux d’électrodes insérés dans le cerveau, qui
permettent de mesurer et d’interpréter l’activité neuronale. Toutefois, atteindre un tel débit de
parole s’avère être un vrai défi technologique. La traduction est donc beaucoup plus lente que
pour notre parler habituel, ce qui peut s’avérer éminemment frustrant pour les personnes qui
tentent de communiquer.
C’est donc la vitesse, principalement, qui constitue l’atout des recherches menées par une équipe
de la Stanford University. Ils ont adopté une approche innovante, tout en bâtissant sur les
1/3dispositifs existants. En effet, ils ont combiné un implant cérébral avec une intelligence artificielle.
Leurs recherches ont été publiées dans bioRxiv, ce qui, il faut le souligner, signifie qu’elles n’ont
pas encore été validées par des pairs.
Une invitation à rêver, prête à être portée.
Les expérimentations n’ont été menées que sur une seule personne pour le moment. Les
chercheurs admettent d’ailleurs bien volontiers que leur « démonstration est une ‘preuve de
concept’ qui montre que le décodage des tentatives de mouvements de parole à partir
d’enregistrements intracorticaux est une approche prometteuse, mais qu’il ne s’agit pas encore
d’un système complet et cliniquement viable ».
Et en effet, une fois toutes ces précautions posées, leurs recherches ont tout de même de quoi
impressionner. La personne sur laquelle les scientifiques ont mené leur étude est une femme de
67 ans, atteinte d’une sclérose latérale amyotrophique. Cette affection prive progressivement le
cerveau de sa capacité à activer les muscles, menant à une paralysie.
En l’occurrence, le sujet, nommé « T12 » dans l’étude, était encore capable d’émettre des sons en
essayant de parler. Toutefois, son discours était totalement inintelligible. Grâce à l’implant posé par
les chercheurs, elle peut désormais s’exprimer à une vitesse de 62 mots par minute. Pas encore
aussi rapidement qu’une personne qui s’exprime naturellement, donc, mais bien plus rapidement
que sur des dispositifs similaires. C’est trois fois plus rapide que les précédents records, précisent
les scientifiques.
Les pensées de T12 sont retranscrites sur un écran, et les mots sont prononcés par une voix de
synthèse en même temps. Au-delà de la vitesse, c’est aussi l’étendue du vocabulaire utilisable qui
marque les esprits. Le dispositif puise en effet dans une bibliothèque de 125 000 mots, ce qui
constitue une base de vocabulaire étendue.
Comment ça marche ?
Pour parvenir à ce résultat, l’équipe a allié deux technologies de pointe : l’implant neuronal et
l’intelligence artificielle. Côté matériel, les scientifiques ont placé quatre microréseaux d’électrodes
à des endroits stratégiques de la couche externe du cerveau. Deux zones ont été précisément
ciblées. La première est celle qui contrôle les mouvements des muscles faciaux entourant la
bouche. L’autre est connue pour être le « centre du langage » du cerveau. Cette zone est aussi
appelée « Aire de Broca ».
L’idée est de détecter au niveau du cerveau les mouvements qu’aurait faits la personne atteinte de
paralysie si elle avait pu bouger ses muscles pour parler. Les scientifiques voulaient donc capter à
la fois ce que la personne souhaite dire, mais aussi l’exécution de la parole par les mouvements
musculaires. Une proposition audacieuse, souligne SingularityHub dans un article : « nous ne
savons pas encore si la parole est limitée à une petite zone du cerveau qui contrôle les muscles
de la bouche et du visage, ou si le langage est codé à une échelle plus globale dans le cerveau »,
2/3rappelle en effet le média. Toutefois, les scientifiques ne se sont pas basés uniquement sur les
informations fournies par les implants pour reconstituer les phrases.
Ils ont ajouté une touche « d’intelligence artificielle ». « Nous avons entraîné un décodeur à réseau
neuronal récurrent (RNN) à émettre, à chaque pas de temps de 80 ms, la probabilité que chaque
phonème soit prononcé à ce moment-là. Ces probabilités ont ensuite été traitées par un modèle
de langage pour déduire la séquence de mots sous-jacente la plus probable, compte tenu des
probabilités des phonèmes et des statistiques de la langue anglaise », décrivent les scientifiques.
En effet, les scientifiques se sont aperçus que les RNN existants étaient capables de différencier
avec une précision de 92% les types de mouvements faciaux adoptés en fonction des phonèmes
prononcés : froncer les sourcils, plisser les lèvres, faire claquer la langue… Et ce, sur la seule
base des signaux neuronaux. Un phonème est la plus petite unité articulatoire distinctive que l’on
puisse isoler dans un langage : en français par exemple, il en existe 36.
Ils ont ainsi constaté que, même paralysée depuis longtemps, une personne garde toute cette
panoplie articulatoire en mémoire, et envoie les signaux neuronaux correspondants. En résumé,
l’IA capte les phonèmes prononcés grâce aux implants, et déduit les suites logiques des
phonèmes. Même si elle ne s’applique pour le moment qu’à une seule personne, cette recherche
pourrait donc bénéficier à de nombreux patients. Elle aura toutefois besoin d’améliorations : pour
le moment, le système montre un taux d’erreur de 10% environ sur une bibliothèque de 50 mots,
et de près de 24% pour celle de 250 000 mots.
Source : bioRxiv
Cliquer pour agrandirhttps://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-53689QE.htm
Question N° : 53689
de M. Goasguen Claude ( Union pour un Mouvement Populaire – Paris )
QE
Ministère interrogé :
recherche
Ministère attributaire :
recherche
Question publiée au JO le : 21/12/2004 page : 10180
Réponse publiée au JO le : 22/02/2005 page : 1970
Rubrique :
recherche
Tête d’analyse :
politique de la recherche
Analyse :
psychotechnologies
Texte de la QUESTION :
M. Claude Goasguen attire l’attention de M. le ministre délégué à la recherche sur la recherche et le développement des psychotechnologies. Ces technologies sont basées sur les connaissances des processus de fonctionnement du cerveau humain et sur celles dans les domaines chimique, électrique et des ondes sonores. Les psychotechnologies peuvent donc faire l’objet de recherche et de développement, tant militaire que civile, pour être utilisées comme armes non létales. Les manipulations de l’homme qui autrefois relevaient de la littérature de science-fiction s’avèrent aujourd’hui scientifiquement réalisables. Le progrès, dans les domaines de la science, nous oblige donc à redéfinir l’éthique et la morale. Il est important, d’une part, de mettre en oeuvre, au niveau national, des organismes d’expertise et de contrôle de ces technologies. D’autre part, cette question devrait également être encadrée par des dispositifs juridiques communautaires, ces technologies utilisées comme armes ne respectant pas les frontières. C’est pourquoi il souhaite savoir quelles sont les mesures envisagées par le Gouvernement pour garantir le strict contrôle des psychotechnologies.
Texte de la REPONSE :
Les expériences portant sur les images subliminales, l’utilisation de drogues ou l’inhalation de nanoparticules sont quelques exemples de technologies susceptibles d’avoir un impact sur le psychisme humain. En ce qui concerne les activités de recherche officielle, qui seules sont du ressort du ministère chargé de la recherche, il existe un dispositif de contrôle au plan national. En effet, à partir du moment où ces recherches parviennent au stade de l’expérimentation humaine, comme pour tous les essais chez l’homme, elles relèvent de la loi de bioéthique promulguée en août 2004. Cette loi prévoit que toute expérimentation humaine est soumise à autorisation préalable, d’une part, de l’AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé) et, d’autre part, d’un comité de protection des personnes. L’application de ces dispositions implique que toute expérimentation ne répondant pas aux critères éthiques attendus est proscrite.