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Neurodroits: Le Chili veut protéger le cerveau de ses citoyens contre les technologies

En inscrivant des « droits du cerveau » dans sa Constitution, le Chili veut empêcher les nouvelles technologies d’être utilisées pour perturber l’intégrité des individus.

TECHNOLOGIE – Le Chili est en passe de devenir le premier pays au monde à légiférer sur les neurotechnologies et à inscrire dans sa Constitution des droits du cerveau ou “neurodroits” qui pourraient être le germe d’une jurisprudence à venir en matière de droits humains.

Le projet de loi a déjà été voté à l’unanimité au Sénat et doit maintenant être approuvé par la Chambre des députés.

La réforme constitutionnelle en cours d’examen entend préserver “l’intégrité physique et psychologique” du citoyen, de sorte qu’“aucune autorité ou individu” ne puisse, par le biais des nouvelles technologies sur le cerveau humain, “augmenter, diminuer ou perturber cette intégrité individuelle sans le consentement approprié”.

Protéger “l’esprit” des Chiliens  à l’avenir

Le sénateur Guido Girardi, l’un des promoteurs du texte qui transcende les clivages politiques, explique qu’il vise à protéger la “dernière frontière” de l’être humain: son esprit.

Les législateurs chiliens estiment que les neurotechnologies sont capables de mettre en place des procédés “de lecture” et “d’écriture” dans le cerveau permettant d’enregistrer les données mentales d’une personne et, dans un avenir proche, les modifier ou en ajouter de nouvelles.

“Si cette technologie peut lire (vos pensées), avant même que vous ne soyez conscients de ce que vous pensez, elle peut écrire dans votre cerveau des émotions, des pensées, des histoires de vie qui ne sont pas les vôtres et que votre cerveau ne sera pas capable de distinguer comme vôtres ou d’une pure création” artificielle, souligne le sénateur.

D’où “l’importance”, selon lui, de légiférer dès maintenant sur une réalité future qui pourrait menacer “l’essence de l’être humain, son autonomie, sa liberté et son libre arbitre”.

Un futur pas si lointain

La réalité aurait donc-t-elle déjà rattrapé la science-fiction? Interrogé par l’AFP, un des experts mondiaux en la matière, le scientifique espagnol Rafael Yuste, assure que des chercheurs sont déjà parvenus à implanter dans le cerveau de souris des images de choses qu’ils n’ont jamais vues, qu’ils assimilent à leurs propres idées et incorporent dans leur comportement naturel.

“Si vous pouvez entrer là-dedans”, dans les processus chimiques du cerveau, “les stimuler ou les inhiber, vous pouvez changer les décisions des gens. C’est quelque chose que nous faisons déjà avec les animaux”, assure ce chercheur de l’université Columbia de New York, aux États-Unis.

Mais il rassure: “La neurotechnologie peut faire peur si l’on pense à des scénarios dystopiques, mais pour chacun il y a dix scénarios bénéfiques”. Il cite en exemple les possibilités dans un avenir proche de guérir la surdité avec des implants, ou la cécité après des essais probants réalisés en laboratoire sur des chimpanzés. Ou même d’implanter des stimulateurs cérébraux capables d’améliorer la vie de patients atteints de la maladie de Parkinson, d’Alzheimer ou de schizophrénie.

Dans un autre domaine, il rapporte que le réseau social américain Facebook “est en train de développer une interface cerveau-ordinateur connectée directement à l’écran” et destinée à “remplacer les claviers”. “Je leur donne au moins cinq ans pour mettre sur le marché un dispositif qui peut écrire 100 mots par minute avec 1.000 mots de vocabulaire”, dit-il. Cette neurotechnologie serait “non seulement capable de déchiffrer les mots que vous voulez écrire, mais peut-être aussi d’autres types de pensées ou d’états mentaux”.

Légiférer avant l’arrivée d’humains “augmentés”

Face à ces découvertes, le projet de loi chilien entend légiférer dans quatre domaines fondamentaux: la sauvegarde des données de l’esprit humain ou “neurodonnées”, l’établissement des limites de la neurotechnologie de la lecture et surtout de l’écriture dans le cerveau, la détermination d’une distribution équitable de l’accès à ces technologies et la fixation des limites des “neuroalgorithmes”.

Car, selon Rafael Yuste, d’ici une décennie pourraient apparaître des humains hybrides, augmentés cognitivement grâce aux neurotechnologies, avec des idées ou connaissances qui seraient le fruit d’algorithmes.

“Pour éviter une situation à deux vitesses avec des humains augmentés et d’autres qui ne le sont pas, nous pensons que ces neurotechnologies devraient être réglementées d’un point de vue de principe universel de justice, dans l’esprit de la Déclaration universelle des droits de l’Homme”, estime-t-il.

Lors du 27e sommet ibéro-américain fin avril en Andorre le président chilien Sebastian Piñera a d’ailleurs proposé aux pays participants de légiférer conjointement sur ces droits d’un nouveau genre.

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Le Chili prépare une loi pour protéger les cerveaux humains de la technologie

C’est en passe d’être le premier pays au monde à instaurer des « neurodroits » pour protéger l’identité des individus, leur conscience et leur libre-arbitre face aux avancées des neurotechnologies.

Elon Musk potasse ses implants cérébraux Neuralink, Facebook dévoile un prototype de bracelet pour contrôler un clavier par la pensée… Et le Chili ne compte pas rester les bras ballants face au développement de ces interfaces cerveaux-machines. Le pays est sur le point d’inscrire dans sa constitution un droit des cerveaux ou « neurodroit »  et de légiférer sur les neurotechnologies. Le 22 avril, le Sénat a approuvé à l’unanimité le projet de réforme constitutionnelle. Il doit maintenant être approuvé par la Chambre des députés.

L’idée de cette initiative, portée par le sénateur Guido Girardi, est de préserver l’« intégrité physique et psychologique » des individus, et de faire en sorte qu’il ne soit pas possible d’« augmenter, diminuer ou perturber cette intégrité individuelle sans le consentement approprié ».

L’une des avancées qui inquiète particulièrement les législateurs chiliens est la possibilité de lire des pensées, voire de modifier et d’« écrire » des pensées et souvenirs. La chose a déjà été réalisée en laboratoire sur des souris, affirme Rafael Yuste, neurobiologiste américain proche du sénateur Guido Girardi, à l’AFP. Le chercheur ne nie pas pour autant l’espoir que représentent ces technologies pour traiter des maladies comme Parkinson et la schizophrénie.

Les législateurs tiennent par ailleurs à ce que les neurotechnologies se développent de manière égalitaire, de sorte à ne pas créer une double société avec d’un côté des humains augmentés et de l’autre ceux qui n’auront pas accès à ces nouvelles capacités.

La loi en retard sur les données personnelles, peut-être pas sur les données cérébrales

L’objectif est aussi de ne pas laisser la technologie aller plus vite que la loi, comme c’est souvent le cas. « Nous avons raté le train de la protection des données personnelles sur Internet et celui des données cérébrales est sur le point de quitter la gare », expliquait Rafael Yuste à Ouest France en décembre 2020. Le Chili apparaît comme un pionnier, explique le journal La Tercera. La communauté internationale, et notamment la France, l’Espagne et les États-Unis, pourraient suivre son exemple.

 

 

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Les armes Micro-Ondes, l’effet Frey

Article trouvé sur le Blog de Paul Jaurion « COMMENT SE DÉBARRASSER DES GÊNEURS » OU « ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS ! »

Vidéo : Solid State – Active Denial Technology

Cette vidéo illustre un article du New York Times que voici, brut de décoffrage

Une théorie effrayante sur les maladies des diplomates américains à Cuba

Les médecins et les scientifiques disent que les frappes aux micro-ondes peuvent avoir causé des délires soniques et des dommages cérébraux très réels parmi le personnel de l’ambassade et les membres de la famille.

Par William J. Broad
1er septembre 2018

Pendant la guerre froide, Washington craignait que Moscou ne cherche à transformer le rayonnement micro-ondes en armes secrètes de contrôle de l’esprit.
Plus récemment, l’armée américaine elle-même a cherché à mettre au point des armes à micro-ondes qui pourraient rayonner invisiblement dans la tête des gens avec des impacts douloureusement bruyants et même des mots parlés. Les objectifs étaient de neutraliser les attaquants et de mener une guerre psychologique.
Aujourd’hui, les médecins et les scientifiques disent que ces armes non conventionnelles peuvent avoir causé les symptômes et les maux déconcertants qui, à partir de la fin de 2016, ont frappé plus de trois douzaines de diplomates américains et de membres de leur famille à Cuba et en Chine. Les incidents cubains ont entraîné une rupture diplomatique entre La Havane et Washington.
L’équipe médicale qui a examiné 21 diplomates cubains affectés n’a fait aucune mention des micro-ondes dans son rapport détaillé publié dans le JAMA en mars. Mais Douglas H. Smith, auteur principal de l’étude et directeur du Center for Brain Injury and Repair de l’Université de Pennsylvanie, a déclaré lors d’un récent entretien que les micro-ondes étaient désormais considérées comme un suspect principal et que l’équipe était de plus en plus sûre que les diplomates avaient subi des lésions cérébrales.
« Tout le monde était relativement sceptique au début, dit-il, et maintenant tout le monde est d’accord pour dire qu’il y a quelque chose. Le Dr Smith a fait remarquer que les diplomates et les médecins parlent en plaisantant du traumatisme comme d’une commotion cérébrale immaculée.
Selon certains experts, les attaques aux micro-ondes expliquent de façon plus plausible les rapports de sons douloureux, de maux et de traumatismes que d’autres coupables possibles – attaques sonores, infections virales et anxiété contagieuse.
En particulier, un nombre croissant d’analystes citent un phénomène étrange connu sous le nom de l’effet Frey, du nom d’Allan H. Frey, un scientifique américain. Il y a longtemps, il a découvert que les micro-ondes peuvent amener le cerveau à percevoir ce qui semble être des sons ordinaires.


Les fausses sensations, disent les experts, peuvent expliquer un symptôme déterminant des incidents diplomatiques – la perception de bruits forts, y compris les sonneries, les bourdonnements et les grincements. Au départ, les experts ont cité ces symptômes comme preuve d’attaques furtives à l’aide d’armes soniques.
Les membres de Jason, un groupe secret de scientifiques d’élite qui aide le gouvernement fédéral à évaluer les nouvelles menaces à la sécurité nationale, disent qu’il a examiné le mystère diplomatique cet été et pesé les explications possibles, y compris les micro-ondes.

Interrogé sur la théorie des micro-ondes, le département d’État a déclaré que l’enquête n’avait pas encore identifié la cause ou la source des attentats. Et le F.B.I. a refusé de commenter l’état d’avancement de l’enquête ou toute théorie.
L’idée du micro-ondes regorge de questions sans réponse. Qui a tiré les poutres ? Le gouvernement russe ? Le gouvernement cubain ? Une faction cubaine malhonnête qui sympathise avec Moscou ? Et, dans l’affirmative, où les attaquants ont-ils obtenu les armes non conventionnelles ?
À son domicile à l’extérieur de Washington, M. Frey, le scientifique qui a découvert le phénomène neural, a déclaré que les enquêteurs fédéraux l’ont interrogé sur l’énigme diplomatique et que le rayonnement micro-ondes est considéré comme une cause possible.
M. Frey, aujourd’hui âgé de 83 ans, a beaucoup voyagé et a longtemps travaillé comme entrepreneur et consultant pour un certain nombre d’organismes fédéraux. Il a émis l’hypothèse que les Cubains alignés sur la Russie, alliée de longue date de la nation, pourraient avoir lancé des frappes aux micro-ondes pour tenter de miner les liens entre Cuba et les États-Unis.
« C’est une possibilité », a-t-il dit à sa table de cuisine. « Dans les dictatures, il y a souvent des factions qui ne pensent pas à aller à l’encontre de la politique générale si cela convient à leurs besoins. Je pense que c’est une explication parfaitement viable. »

Développer une nouvelle classe d’armes

Les micro-ondes sont omniprésentes dans la vie moderne. Les ondes radio courtes alimentent les radars, cuisinent les aliments, relaient les messages et relient les téléphones cellulaires aux tours d’antennes. Il s’agit d’une forme de rayonnement électromagnétique sur le même spectre que la lumière et les rayons X, mais seulement à l’extrémité opposée.
Alors que la radiodiffusion radio peut employer des ondes d’une longueur d’un mille ou plus, la taille des micro-ondes varie d’environ un pied à une minuscule fraction d’un pouce. Ils sont considérés comme inoffensifs dans des utilisations quotidiennes comme les aliments au four à micro-ondes. Mais leur petite taille permet aussi une mise au point serrée, comme lorsque les antennes paraboliques transforment les rayons désorganisés en faisceaux concentrés.
Les dimensions de la tête humaine, disent les scientifiques, en font une antenne assez bonne pour capter les signaux micro-ondes.
M. Frey, biologiste, a dit qu’il a trébuché sur l’effet acoustique en 1960 alors qu’il travaillait pour le Centre d’électronique avancée de General Electric à l’Université Cornell. Un homme qui mesurait les signaux radar dans une installation G.E. à proximité s’est approché de lui lors d’une réunion et lui a confié qu’il pouvait entendre les impulsions du faisceau – zip, zip, zip, zip, zip.
Intrigué, M. Frey s’est rendu sur le lieu de travail de l’homme à Syracuse et s’est positionné dans un faisceau radar. « Lo », se souvient-il, « je l’entendais aussi. »
Les articles de M. Frey – rapportant que même les personnes sourdes pouvaient entendre les faux sons – ont fondé un nouveau champ d’étude sur les impacts neuronaux des rayonnements. Le premier article de M. Frey, en 1961, rapportait que les densités de puissance 160 fois plus faibles que « le niveau de sécurité maximal standard pour une exposition continue » pouvaient induire les délires sonores.


Comment dès lors ne pas remettre en cause le sérieux des expertises psychiatriques. Nous avons là, avec l’effet Frey, la preuve qu’une partie des symptômes de la schizophrénie peuvent être induits par des Armes à Energie Dirigée DEW


Son deuxième article, en 1962, a identifié le site récepteur du cerveau comme étant les lobes temporaux, qui s’étendent sous les tempes. Chaque lobe porte une petite région – le cortex auditif – qui traite les signaux nerveux des oreilles externe et interne.
Les enquêteurs se sont précipités pour confirmer et prolonger les conclusions de M. Frey. Au début, ils ont baptisé le phénomène d’après lui, mais ils l’ont finalement appelé l’effet auditif micro-ondes et, avec le temps, plus généralement, l’audition par radiofréquence.
Les Soviétiques en ont pris bonne note. Peu de temps après ses premières découvertes, a dit M. Frey, il a été invité par l’Académie soviétique des sciences à visiter et à donner des conférences. Vers la fin, à la surprise générale, il a été emmené à l’extérieur de Moscou dans une base militaire entourée de gardes armés et de barbelés.
« Ils m’ont fait visiter les différents laboratoires et discuter des problèmes, y compris les impacts neuronaux des micro-ondes, se souvient M. Frey. « J’ai eu un aperçu de leur programme confidentiel. »
Moscou était si intriguée par la perspective du contrôle de l’esprit qu’elle a adopté une terminologie spéciale pour l’ensemble de la classe des armes envisagées, les appelant psychophysiques et psychotroniques.
La recherche soviétique sur les micro-ondes pour la « perception interne du son », averti en 1976 par la Defense Intelligence Agency, s’est révélée très prometteuse pour « perturber le comportement du personnel militaire ou diplomatique ».
Sur le plan mondial, la menace s’est accrue.
L’Agence de sécurité nationale a donné à Mark S. Zaid, un avocat de Washington qui obtient régulièrement des autorisations de sécurité pour discuter de questions classifiées, une déclaration sur la façon dont une puissance étrangère a construit une arme « conçue pour baigner les quartiers d’habitation d’une cible dans des micro-ondes, causant de nombreux effets physiques, y compris un système nerveux endommagé ».


Ceci rappelle entre autre les dires de Barrie Trower au sujet de la répression des révoltes ouvrières sous Thatcher, ou encore sur le harcèlement électromagnétique.


M. Zaid a dit qu’un de ses clients de la N.S.A. qui s’y est rendu a regardé avec incrédulité son système nerveux se déchirer plus tard, en commençant par le contrôle de ses doigts.

Washington a aussi prévu de nouveaux types d’armes

À Albuquerque, au Nouveau-Mexique, les scientifiques de la Force aérienne ont cherché à transmettre un discours compréhensible dans la tête des adversaires. Leur approche novatrice a obtenu un brevet en 2002 et une mise à jour en 2003. Tous deux ont été assignés au secrétaire de la Force aérienne, ce qui a permis de limiter la diffusion de l’idée.
L’inventeur principal a déclaré que l’équipe de recherche avait  » démontré expérimentalement » que le « signal est intelligible. En ce qui concerne les utilisations de l’invention, un formulaire de divulgation de la Force aérienne indiquait que la première demande était une « guerre psychologique ».
La marine a cherché à paralyser. L’effet Frey était d’induire des sons suffisamment puissants pour causer un inconfort douloureux et, si nécessaire, laisser les cibles incapables de bouger. L’arme, a noté la Marine, aurait une « faible probabilité de décès ou de blessures permanentes ».
Le contrat de 2003 a été attribué à des experts en hyperfréquences qui avaient émigré de Russie et d’Ukraine aux États-Unis.
On ne sait pas si Washington déploie de telles armes. Mais le Pentagone a construit une arme apparentée connue sous le nom de Active Denial System, le saluant dans une vidéo. Il tire un faisceau invisible destiné à dissuader les foules et les attaquants avec des sensations de feu.
La Russie, la Chine et de nombreux États européens sont considérés comme ayant le savoir-faire nécessaire pour fabriquer des armes à micro-ondes de base qui peuvent affaiblir, semer du bruit ou même tuer. Selon les experts, les pouvoirs avancés pourraient permettre d’atteindre des objectifs plus nuancés, par exemple en diffusant des mots parlés dans la tête des gens. Seuls les services de renseignement savent quelles nations possèdent et utilisent des armes qui ne leur sont pas familières.
L’arme de base pourrait ressembler à une antenne parabolique. En théorie, un tel dispositif pourrait être tenu à la main ou monté dans une fourgonnette, une voiture, un bateau ou un hélicoptère. Les bras hyperfréquences sont considérés comme travaillant sur des distances relativement courtes – sur la longueur de quelques pièces ou blocs. Les plus puissants peuvent être capables de tirer des faisceaux à travers plusieurs terrains de football, ou même sur plusieurs kilomètres.

L’épisode à Cuba

L’effondrement soviétique de 1991 a coupé les principaux liens de la Russie avec Cuba, un allié de longue date à seulement 90 milles des États-Unis. L’économie chancelante a forcé Moscou à cesser de fournir à La Havane de grandes quantités de pétrole et d’autres formes d’aide.
Vladimir Poutine, en tant que président et premier ministre de la Russie, a cherché à récupérer le poids économique, politique et stratégique que les Soviétiques avaient perdu. En décembre 2000, quelques mois après le début de son premier mandat présidentiel, M. Poutine s’est envolé pour l’île. C’était la première visite d’un dirigeant soviétique ou russe depuis la guerre froide.
Il a également cherché à ressusciter le travail soviétique sur les armes psychoactives. En 2012, il a déclaré que la Russie poursuivrait  » de nouveaux instruments pour atteindre des objectifs politiques et stratégiques « , y compris des armes psychophysiques.
En juillet 2014, M. Poutine s’est de nouveau rendu à Cuba. Cette fois, il a apporté un cadeau – l’annulation d’une dette cubaine d’environ 30 milliards de dollars. Les deux nations ont signé une douzaine d’accords.
Un navire espion russe, Viktor Leonov, a accosté à La Havane à la veille du début des pourparlers de réconciliation entre Cuba et les États-Unis au début de l’année 2015, et l’a fait de nouveau au cours des années suivantes. Moscou et La Havane se sont tellement rapprochées qu’à la fin de 2016, les deux nations ont signé un pacte de grande envergure sur la défense et la coopération technologique.

En tant que candidat, Donald Trump a critiqué la politique de normalisation de l’administration Obama comme étant  » un accord très faible  » et a menacé de le mettre au rebut dès son arrivée à la Maison Blanche. Quelques semaines après avoir remporté les élections, fin novembre 2016, l’ambassade américaine à La Havane s’est retrouvée aux prises avec une crise mystérieuse.
Les diplomates et leurs familles ont raconté des sons aigus dans les maisons et les chambres d’hôtel, parfois assez intenses pour les rendre incapacitants. À long terme, les symptômes comprenaient des nausées, des maux de tête écrasants, de la fatigue, des étourdissements, des troubles du sommeil et une perte auditive.
Le département d’État a déposé des protestations diplomatiques et le gouvernement cubain a nié toute implication. En mai, le F.B.I. a ouvert une enquête et ses agents ont commencé à se rendre à La Havane six mois après le début des incidents. Le dernier a frappé cet été-là, en août, ce qui a donné relativement peu de temps aux agents pour recueillir des indices.
En septembre 2017, l’administration Trump a averti les voyageurs de Cuba et a ordonné le retour à la maison d’environ la moitié du personnel diplomatique.
Rex W. Tillerson, qui était alors secrétaire d’État, a déclaré que le personnel de l’ambassade avait été délibérément pris pour cible. Mais il s’est abstenu de blâmer Cuba, et les fonctionnaires fédéraux ont laissé entendre qu’un tiers aurait pu être responsable.
Début octobre, le président Trump a expulsé 15 diplomates cubains, ce qui a provoqué un refroidissement entre les nations. Les critiques de l’administration ont déclaré que la Maison-Blanche utilisait la question de la santé comme prétexte pour mettre fin à la politique de réconciliation du président Barack Obama.
Le lendemain des expulsions, la Commission sénatoriale des affaires étrangères a tenu une audience à huis clos et très secrète sur la situation à Cuba. Trois fonctionnaires du département d’État ont témoigné, de même qu’un haut fonctionnaire sans nom de la Central Intelligence Agency.

L’hypothèse

Au début de cette année, en janvier, l’impact effrayant des micro-ondes sur le cerveau humain n’a jamais été évoqué lors d’une audience publique au Sénat sur la crise cubaine.
Mais dans un article scientifique du même mois, James C. Lin de l’Université de l’Illinois, un éminent investigateur de l’effet Frey, a décrit les maux diplomatiques comme provenant vraisemblablement des faisceaux de micro-ondes. Lin est le rédacteur en chef de Bio Electro Magnetics, une revue à comité de lecture qui explore les effets des ondes radio et des champs électromagnétiques sur les êtres vivants.
Dans son article, il a dit que des faisceaux de micro-ondes à haute intensité auraient pu provoquer chez les diplomates non seulement des bruits forts, mais aussi des nausées, des maux de tête et des vertiges, ainsi qu’une éventuelle lésion des tissus cérébraux. Les faisceaux, a-t-il ajouté, pouvaient être tirés clandestinement, ne touchant « que la cible visée ».
En février, ProPublica a mentionné dans une longue enquête que les enquêteurs fédéraux pesaient la théorie des micro-ondes. Séparément, il parlait d’une trouvaille intrigante. L’épouse d’un membre du personnel de l’ambassade, rapporte-t-elle, avait regardé à l’extérieur de son domicile après avoir entendu les bruits troublants et vu une camionnette s’éloigner à toute vitesse.
Une antenne parabolique pourrait facilement entrer dans une petite camionnette.
L’équipe médicale qui a étudié les diplomates cubains a attribué les symptômes de l’étude JAMA de mars à une « source d’énergie inconnue » très directionnelle. Certains membres du personnel, remarquait-il, s’étaient couverts les oreilles et la tête, mais n’avaient pas subi de réduction du bruit. L’équipe a déclaré que les diplomates semblaient avoir développé des signes de commotion cérébrale sans avoir reçu de coups à la tête.


Voir la section à propos du site où j’ai décrit ceci il y a quelques années : « 3-4 jours de douleur intense assimilable à un traumatisme crânien, douleur qui me clouait au lit, qui apparue subitement au réveil »


En mai, il est apparu que les diplomates américains en Chine avaient subi des traumatismes similaires. Le secrétaire d’État Mike Pompeo a qualifié les détails médicaux des deux groupes de « très similaire » et « tout à fait cohérent » l’un avec l’autre. Fin juin, le département d’État avait évacué au moins 11 Américains de Chine.
Jusqu’à présent, c’est Beatrice A. Golomb, médecin et professeur de médecine à l’Université de Californie, à San Diego, qui a présenté le cas médical le plus détaillé concernant les frappes aux micro-ondes. Dans un article à paraître en octobre dans Neural Computation, une revue à comité de lecture de la MIT Press, elle présente les preuves médicales potentielles d’une attaque aux micro-ondes à Cuba.
Elle a comparé les symptômes des diplomates à Cuba à ceux signalés pour les personnes qui souffriraient d’une maladie par radiofréquence. Les réponses des deux groupes en matière de santé, a écrit le Dr Golomb, « se conformer de près ».
En conclusion, elle a fait valoir que « de nombreuses caractéristiques très spécifiques » des incidents diplomatiques « correspondent à l’hypothèse » d’une attaque par micro-ondes, y compris la production de sons perturbateurs de type Frey.
Les scientifiques ne sont toujours pas d’accord sur ce qui a frappé les diplomates. Le mois dernier, la JAMA a publié quatre lettres critiquant l’étude de mars, certains reprochant au rapport d’exclure l’hystérie de masse.
Mais M. Zaid, l’avocat de Washington, qui représente huit des diplomates et des membres de la famille, a dit que les attaques par micro-ondes ont peut-être blessé ses clients.
« C’est un peu naïf de penser que ça vient juste de commencer, a-t-il dit. Globalement, a-t-il ajouté, les grèves secrètes avec les puissants faisceaux semblent se poursuivre depuis des décennies.
Francisco Palmieri, un fonctionnaire du département d’État, a été interrogé lors de l’audience publique au Sénat sur la question de savoir si les « attaques contre le personnel américain à Cuba » avaient été évoquées avec Moscou.
« C’est une très bonne question, a répondu M. Palmieri. Mais pour y faire face, a-t-il ajouté, il faudrait « un cadre classé ».
Pour sa part, M. Frey dit qu’il doute que l’affaire sera bientôt résolue. La nouveauté de la crise, sa nature sporadique et le contexte étranger ont rendu difficile pour les enquêteurs fédéraux de recueillir des indices et de tirer des conclusions, a-t-il dit, et encore moins de déposer des accusations.
« D’après ce que je sais, dit-il, cela restera un mystère. »

William J. Broad est journaliste scientifique et rédacteur principal. Il s’est joint au Times en 1983 et a partagé deux prix Pulitzer avec ses collègues, ainsi qu’un Emmy Award et un DuPont Award.  @WilliamJBroad.

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Armes electroniques

Armes Silencieuses, Les Infrasons

Un clin d’œil au texte « Armes silencieuses pour guerre tranquille »


DEADLY SILENCE  Fergus Day  Extrait d’un article paru dans le numéro 76 de X Factor .

Et s’il y avait une arme dont on ne pouvait ni voir ni entendre les effets, mais pourrait vous tuer à des centaines de mètres de distance ?

Fergus Day évalue le potentiel perturbateur des infrasons.

Imaginez le scénario. Vous marchez dans une rue très fréquentée de la ville lorsqu’une perturbation se produit. Soudain, vous êtes englouti par une masse de corps en mouvement. Vous luttez pour vous échapper, mais vous vous retrouvez bloqué à chaque tournant. Au milieu du chaos, vous entendez le son des sirènes de police qui s’approchent. Mais quand les policiers arrivent, ils ne portent pas les boucliers et les matraques habituels ; ils n’ont que ce qui ressemble à de grands haut-parleurs, tendus à bout de bras. Soudain, vous avez l’impression de ne plus pouvoir respirer ; votre tête bat la chamade alors que vous trébucherez à genoux. Submergé par la nausée, vous essayez de vous lever, mais vous êtes submergé par un sentiment d’anxiété intense et ne pouvez plus bouger. Alors que vous êtes allongé, vomissant de manière incontrôlée, ceux qui vous entourent tombent comme des mouches. Finalement, toute la foule se tord d’angoisse alors que la police entre en scène pour procéder à des arrestations. Au lendemain de votre épreuve, vous vous rétablissez complètement, mais une question demeure : qu’est-ce qui a causé les effets physiques dévastateurs que vous avez subis ? Vous n’avez pas été touché par une balle en caoutchouc, vous n’avez vu aucun gaz lacrymogène ou autre substance nocive dans l’air. Alors pourquoi tant de gens sont-ils tombés par terre comme s’ils étaient atteints d’une maladie invalidante ? La réponse est simple. Vous et votre entourage avez été victimes d’une nouvelle arme terrifiante : les infrasons.

Sound Logic

Depuis des décennies, les forces de police et les autorités militaires du monde entier sont de plus en plus désireuses de trouver des méthodes pour contenir les troubles civils sans les risques pour leurs propres agents qui sont associés aux méthodes actuelles de lutte antiémeute. Et, selon un certain nombre de chercheurs, dans le domaine des infrasons, les scientifiques militaires pourraient maintenant avoir trouvé la solution idéale à ce problème. Mais qu’est-ce exactement que les infrasons et comment sont-ils capables d’induire des effets physiques aussi profonds ? Les infrasons sont des ondes acoustiques puissantes à très basse fréquence. Tout le son que nous entendons, des basses les plus basses aux aigus les plus élevés, se situe entre 16 et 20 000 Hertz, soit des cycles par seconde. Les ondes sonores supérieures ou inférieures à ces niveaux ne peuvent être entendues par l’oreille humaine. Comme les infrasons sont, par définition, des ondes sonores d’un niveau inférieur à 16 Hertz, ils contournent nos oreilles mais peuvent être ressentis par notre corps sous forme de vibrations pures. Et ce sont ces vibrations, qui dépendent de leur intensité, qui, selon certains chercheurs, peuvent provoquer toute une série de symptômes, allant de la nausée, des maux de tête et des vomissements à la rupture d’organes internes et même à la mort. .

Surround Sound

Mais les infrasons ne sont pas une invention nouvelle. Dans la nature, ils sont produits par des événements puissants et destructeurs, tels que les tremblements de terre, le tonnerre et les éruptions volcaniques. Les ondes sonores peuvent parcourir de nombreux kilomètres et ne sont pas bloquées par des pierres, des bâtiments ou d’autres sons. Les infrasons sont également très présents dans la technologie qui domine la vie urbaine dans les villes. Les objets en mouvement rapide tels que les moteurs de voiture, les ventilateurs et les climatiseurs sont responsables des faibles niveaux d’infrasons qui nous entourent quotidiennement. Le fait que certaines fréquences sonores ont des effets certains sur le corps humain est reconnu depuis longtemps par la science. Mais si les ultrasons (fréquences supérieures à 20 000 Hertz) ont été ouvertement exploités par la science à des fins aussi banales que repousser la vermine ou déloger le tartre des prothèses dentaires, l’étude et l’application des infrasons ont été beaucoup plus secrètes. Bien que les recherches sur les infrasons remontent à la Première Guerre mondiale, les études sur leurs effets sur les êtres humains n’ont commencé qu’au début des années 1960. À cette époque, la NASA a parrainé des études sur les effets potentiels sur les astronautes des infrasons produits par les vaisseaux spatiaux au moment du lancement. À la base aérienne Wright-Patterson de Dayton, dans l’Ohio, des sujets étaient placés dans des chambres de pression et soumis à des infrasons. Parmi les effets résultants, il y avait « des vibrations de la paroi thoracique, des sensations de nausé et des changements du rythme respiratoire ». Quelques années plus tard, en 1965, le sinistre potentiel des infrasons a été pleinement mis en évidence. Grâce à des études approfondies, Vladimir Gavreau, un scientifique du Centre national français de la recherche scientifique à Marseille, a découvert que divers effets physiques étaient produits lorsque des êtres humains étaient exposés à des fréquences sonores ultra-basses. Il a fait des expériences avec une série de tubes et de tuyaux d’orgue qui produisaient des notes d’environ 7 Hertz, et a découvert qu’en allongeant les tubes, les ondes sonores pouvaient être dirigées avec une certaine précision. .

Acoustic Lasers

En produisant ces dispositifs, Gavreau avait en effet inventé les « lasers acoustiques ». Ces faisceaux étroits d’infrasons pouvaient apparemment être dirigés avec précision, produisant des nausées, une désorientation et des maux de tête chez ceux qui étaient visés. Lorsque les niveaux d’infrasons étaient intensifiés, les sujets testés ont également fait état de sentiments de peur, de panique et de vision floue. Gavreau pensait qu’un dispositif à infrasons suffisamment puissant pouvait faire tomber des murs, briser des fenêtres et tuer tout le monde dans un rayon de 8 km. L’appareil ne serait pas difficile à fabriquer, a-t-il soutenu, mais il aurait un effet dévastateur. Certains chercheurs ont même affirmé qu’à la fin des années 1960, l’armée française s’est intéressée aux recherches de Gavreau et a utilisé ses découvertes pour élaborer une liste croissante d' »armes secrètes ». .

Military Appeal

Cependant, malgré les affirmations de Gavreau, beaucoup pensent que le développement d’armes à infrasons meurtrières est très peu pratique. Bien que relativement faciles à construire, de telles armes devraient être extrêmement grandes et puissantes pour tuer purement et simplement. Néanmoins, la recherche sur les armes à infrasons non létales se poursuit sans relâche. Le potentiel de ces armes à briser la résistance aux interrogatoires, à induire le stress, la confusion et la désorientation chez un ennemi les a rendues particulièrement attrayantes pour les scientifiques militaires. Si les fréquences infrasonores pouvaient être dirigées avec une extrême précision, comme l’aurait fait Gavreau, un individu ou un groupe pourrait soudainement s’évanouir, vomir ou souffrir d’une crise d’épilepsie, tandis que les personnes à proximité ne seraient pas affectées. Ces dispositifs pourraient également être de petite taille et facilement transportables dans un véhicule blindé. .

Pour beaucoup, la preuve que de telles armes sont en cours de développement depuis des décennies est fournie par un projet d’accord des Nations unies, élaboré en 1976, qui interdit le développement de nouvelles armes de destruction massive. Même à l’époque, les infrasons étaient considérés comme méritant une surveillance particulière, car les progrès réalisés dans le domaine de l’acoustique avaient fait des armes infrasonores une possibilité viable et attrayante. .

Infrasound Tests?

Malgré ces réglementations, de nombreux chercheurs pensent que des armes à infrasons ont déjà été utilisées sur un public peu méfiant. On prétend, par exemple, que dans les années 1970, l’armée britannique a testé des dispositifs à infrasons lors d’émeutes et de troubles civils en Irlande du Nord. Et, avec des niveaux d’investissement toujours plus élevés dans les technologies non létales, il semblerait que de tels incidents ne peuvent que devenir plus fréquents .

Aujourd’hui, les dispositifs à infrasons font partie d’une liste croissante d’armes « non-létales » – y compris les pistolets paralysants, les dispositifs électromagnétiques de contrôle mental et les irritants chimiques – qui sont facilement disponibles. En effet, un certain nombre de technologies à infrasons sont actuellement enregistrées auprès de l’Office américain des brevets. Il s’agit notamment de générateurs et d’émetteurs de bruit, de machines modifiant la conscience et de dispositifs d’excitation du système nerveux – la liste ne cesse de s’allonger. .

En 1995, 41 millions de dollars ont été dépensés pour des armes non létales aux États-Unis et cette technologie suscite un intérêt croissant. De nombreuses forces de police américaines, soucieuses de contrôler les troubles civils, estiment que les infrasons présentent un avantage par rapport aux gaz lacrymogènes, car ils peuvent être contrôlés beaucoup plus facilement. L’efficacité des infrasons a même reçu le soutien du Pentagone qui, dans un document récent, a affirmé que des infrasons de forte puissance pouvaient rendre un ennemi inapte à combattre par la nausée. Les nouvelles avancées en matière d’armes à infrasons suggèrent que les scientifiques militaires sont de plus en plus habiles à exploiter les ultra-basses fréquences. Un dispositif actuellement en cours de développement combinerait un dispositif à infrasons avec une lumière stroboscopique, et serait capable d’induire des crises d’épilepsie extrêmes et une désorientation sensorielle complète. Pourtant, malgré toutes les preuves, les autorités militaires continuent de nier toute implication dans les infrasons, et la nature réelle des recherches reste entourée de secret. Certains ont même affirmé que les prétendues propriétés des infrasons sont loin d’être prouvées. Récemment, le physicien allemand Jurgen Altmann a affirmé qu’après avoir étudié les propriétés des infrasons, il n’a trouvé aucune preuve que ceux-ci ont l’un des effets néfastes signalés. Ce point de vue a été repris par le lieutenant-colonel Martin N. Stanton de l’armée américaine, qui a apparemment trouvé des armes à infrasons peu utiles alors qu’il était basé en Somalie, pays déchiré par la guerre, dans le cadre de la force américaine de maintien de la paix. Stanton met en doute l’efficacité de ces armes, affirmant que les troupes anti-émeutes sont tout aussi sensibles aux effets des infrasons que les émeutiers. Néanmoins, un tel scepticisme ne semble pas avoir affecté ceux qui se sont engagés dans la production d’armes à infrasons. En 1999, Maxwell Technologies de San Diego a déposé une demande de brevet pour une nouvelle arme à infrasons potentiellement mortelle. Ce dispositif, conçu pour contrôler les foules hostiles ou neutraliser les preneurs d’otages, fonctionnerait sur une large gamme de fréquences et serait hautement directionnel. La société affirme qu’il est capable d’affecter des personnes jusqu’à 100 mètres de distance et peut prétendument causer une rupture du tympan à 185 décibels (dB), des lésions pulmonaires (poumon) à 200 dB et la mort à 220 dB.

Deadly Potential

Ces développements et d’autres encore suggèrent que les armes à infrasons sont loin d’être une chimère. Avec la nécessité de contrôler une population toujours croissante, il semble probable que, même si elle n’a pas encore été utilisée, la puissance potentielle des infrasons sera utilisée sous une forme ou une autre à l’avenir. Et comme de plus en plus d’appareils sont brevetés, ce jour pourrait être plus tôt que nous ne le pensons. .

Case: Wired by Sound

Outre la menace des armes à infrasons, un danger plus subtil peut résider dans les faibles niveaux d’infrasons qui nous entourent quotidiennement. Dans les objets quotidiens de la vie technologique urbaine se trouvent de nombreux dispositifs connus pour produire des infrasons. Les machines telles que les voitures, les systèmes de chauffage et les trains produisent tous des fréquences ultra-basses, et souvent les citadins se plaignent de maladies qui peuvent être déclenchées par cette « pollution infrasonore ». Les effets peuvent aller de la perturbation du sommeil et de l’irritation à des tendances suicidaires, mais cela pourrait-il, comme certains l’ont suggéré, être une oppression délibérée des masses ? Bien que cela soit peu probable, au milieu des années 1970, les inquiétudes concernant l’effet des infrasons (ci-dessus) faisaient la une des journaux alarmistes : Le tueur à petit feu : Les sons du silence peuvent-ils nous rendre tous idiots ? Les inquiétudes du public se sont dûment intensifiées et, durant cette période, un article de journal approfondi a apparemment reçu 800 réponses de personnes affirmant avoir souffert des effets des infrasons.


What if there was a weapon whose effects you couldn’t see or hear,
but could kill you from a distance of hundreds of metres?

Fergus Day assesses the disturbing potential of infrasound.

Picture the scenario. You’re walking through a busy city street when a disturbance breaks out. Suddenly, you’re engulfed by a mass of heaving bodies. You struggle to escape, but find your way blocked at every turn. Amid the chaos, you hear the sound of approaching police sirens. When the officers arrive, however, they are not carrying the usual riot shields and batons; they have only what look like large speakers, held out at arms length Suddenly, you feel as if you cannot breathe; your head is pounding as you stumble to your knees. Overcome by nausea, you try to get up, but are engulfed by a feeling of intense anxiety and cannot move. As you lie there, vomiting uncontrollably, those around you are dropping like flies. In the end, the entire crowd is writhing in agony as the police wade in to make arrests. In the aftermath of your ordeal, you recover completely, but one question remains: what caused the devastating physical effects you experienced? You were not hit by a rubber bullet, you saw no tear gas or other noxious substance in the air. So why did so many people fall to the floor as if overtaken by some crippling disease? The answer is simple. You and those around you had fallen victim to a new and terrifying weapon – infrasound.

Sound Logic
For decades, police forces and military authorities throughout the world have been increasingly keen to find methods of containing civil unrest without the risks to their own officers that are associated with current methods of riot control. And, according to a number of researchers, in infrasound, military scientists may now have found the ideal solution to this problem. But what exactly is infrasound and how is it capable of inducing such profound physical effects? Infrasound is a powerful, ultra-low frequency acoustic wave. All the sound that we hear, from the lowest bass to the highest treble, is between 16 and 20,000 Hertz, or cycles per second. Sound waves above or below these levels cannot be heard by the human ear. Because infrasound is, by definition, sound waves of a level below 16 Hertz, it bypasses our ears but can be felt by our bodies in the form of pure vibrations. And it is these vibrations, dependent upon their intensity, that some researchers say can induce a range of symptoms, from nausea, headaches and vomiting, to the rupturing of internal organs and even death. .

Surround Sound
But infrasound is no new invention. In nature, it is produced by powerful and destructive events, such as earthquakes, thunder and erupting volcanoes. The sound waves can travel many kilometres and are not blocked by stone, buildings or other sounds. Infrasound also features strongly in the technology that dominates urban life in towns and cities. Rapidly moving objects such as car engines, fans and air conditioners are responsible for low levels of infrasound that surround us on a daily basis. The fact that certain sound frequencies have definite effects on the human body has long been acknowledged by science. But while ultrasound (frequencies above 20,000 Hertz) has been openly harnessed by science to such mundane ends as repelling vermin or dislodging tartar from dentures, the study and application of infrasound has been far more secretive. Although infrasound research dates back as far as World War I, studies of its effects on human beings did not begin until the early 1960s. At this time, NASA sponsored studies into the potential effects on astronauts of infrasound produced by spacecraft at launchtime. At the Wright-Patterson Air Force Base in Dayton, Ohio, subjects were placed in pressure chambers and subjected to infrasound. Among the resulting effects were ‘chest wall vibrations, gag sensations, and respiratory rhythm changes’. Just a few years later, in 1965, the sinister potential of infrasound was fully uncovered. From extensive studies, Vladimir Gavreau, a scientist from the French National Centre for Scientific Research in Marseilles, found that a variety of physical effects were produced when human beings were exposed to ultra-low sound frequencies. He experimented with a series of tubes and organ pipes that produced notes of about 7 Hertz, and found that, by extending the tubes, the sound waves could be directed with some precision. .

Acoustic Lasers
In producing these devices, Gavreau had, in effect, invented ‘acoustic lasers’. These narrow beams of infrasound could apparently be aimed accurately, producing nausea, disorientation and headaches in those at whom they were directed. When the infrasound levels were intensified, test subjects also reported feelings of fright, panic and blurred vision. Gavreau believed that a powerful enough infrasound device could knock down walls, break windows and kill everyone within an 8km radius. The device would not be difficult to make, he argued, yet would have a devastating effect. Some researchers have even claimed that, during the late 1960’s, the French military became interested in Gavreau’s research and used his findings in the development of a growing list of ‘secret weapons’. .

Military Appeal
Despite Gavreau’s claims, however, many believe that the development of lethal infrasound weapons is highly impractical. Although relatively easy to build, such weapons would have to be extremely large and powerful to kill outright. Nevertheless, research into non-lethal infrasound weapons has continued unabated. The potential of such weapons to break down resistance to interrogation, to induce stress, confusion and disorientation in an enemy has made them particularly appealing to military scientists. If infrasound frequencies could be directed extremely accurately, as reportedly achieved by Gavreau, an individual or a group could suddenly faint, vomit or suffer an epileptic fit, while those nearby would be unaffected. Such devices could also be small and easily carried in an armoured vehicle. .

To many, evidence that such weapons have been under development for decades is provided by a United Nations draft agreement, drawn up in 1976, that prohibited the development of new weapons of mass destruction. Even at that time, infrasound was deemed deserving of special monitoring, owing to the fact that the progress made in the area of acoustics had made infrasonic weapons a viable and attractive possibility. .

Infrasound Tests?
Despite such regulations, many researchers believe that infrasound weapons have already been used on an unsuspecting public. It is claimed, for example, that, during the 1970s, the UK army tested infrasound devices in incidents of rioting and civil unrest in Northern Ireland. And, with ever-increasing levels of investment in non-lethal technology, it would seem that such incidents can only become more common. .

Today, infrasonic devices are among a growing list of ‘non-lethal’ weapons – including stun guns, electromagnetic mind-control devices, and chemical irritants – that are readily available. Indeed, a number of infrasound technologies are currently registered with the US Patents Office. These include noise generators and transmitters, consciousness-altering machines and nervous system excitation devices – the list is growing all the time. .

In 1995, $41 million was spent on non-lethal weaponry in the US and there is growing interest in the technology. Many US police forces, concerned with the control of civil unrest, believe that infrasound has an advantage over tear gas as it can be controlled much more easily. The effectiveness of infrasound has even received the backing of the Pentagon, who in a recent document, claimed that high-power infrasound could leave an enemy incapacitated by nausea. New advances in infrasound weaponry suggest that military scientists are becoming more and more adept at harnessing ultra-low frequencies. A device currently under development is said to combine an infrasound device with a strobe light, and is capable of inducing extreme epileptic fits and complete sensory disorientation. Yet despite all the evidence, military authorities continue to deny any involvement with infrasound, and the actual nature of research remains shrouded in secrecy. Some have even claimed that the alleged properties of infrasound are far from proven. Recently, German physicist Jurgen Altmann claimed that, having studied the properties of infrasound, he found no evidence that it has any of the adverse effects reported. This view has been echoed by Lieutenant Colonel Martin N. Stanton of the US Army, who apparently found infrasound weapons of little use while based in war-torn Somalia as part of the US peacekeeping force. Stanton questions the effectiveness of such weapons, claiming that riot-control troops are just as susceptible to the effects of infrasound as rioters. Nevertheless, such scepticism does not appear to have affected those engaged in the production of infrasound weapons. In 1999, Maxwell Technologies of San Diego applied to patent a new potentially lethal infrasound weapon. The device, designed to control hostile crowds or disable hostage takers, is said to work a cross a wide range of frequencies and is highly directional. The company says it is capable of affecting people up to 100 metres away and can allegedly cause eardrum rupture at 185 decibels (dB), pulmonary (lung) injury at 200dB and death at 220dB.

Deadly Potential
These and other developments suggest that infrasound weapons are far from a pipe dream. With the need to control an ever growing population, it seems likely that, even if it hasn’t been used already, the potential power of infrasound will be utilized in some form or other in the future. And with more devices being patented all the time, that day may be sooner than we think. .

Case: Wired by Sound
Aside from the threat of infrasound weaponry, a subtler danger may lie in the low levels of infrasound that surround us on a daily basis. Within the everyday items of urban technological living are numerous devices that are known to produce infrasound. Machinery such as cars, heating systems and trains all produce ultra-low frequencies, and often city-dwellers complain of illnesses that may be triggered by such ‘infrasonic pollution’. The effects can vary from sleep disturbance and irritation to suicidal tendencies, but could this, as some have suggested, be a deliberate oppression of the masses? Whilst this is unlikely, in the mid-1970s, concerns over the effect of infrasound (above) under the alarmist headline: The Low Pitched Killer: Can Sounds of Silence be Driving Us All Silly? Public worries were duly intensified and, during this period, one in-depth newspaper report apparently received 800 responses from people claiming to have suffered as a result of low levels of infrasound.

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Armes electroniques

Un conseiller de la DARPA révèle l’existence de superordinateurs (IA) conscients, utilisés pour le contrôle de l’esprit


 

Il est encore question du Dr James Giordano, déjà croisé dans une vidéo, où il présentait à un pare-terre d’élèves officiers de West Point, les avancées technologiques sur les neuro-armes, capables selon lui, de lire et écrire en temps réel dans le cerveau des êtres humains. Il fait donc partie des gars sympas, les chics types, dont les apparitions en publique sont suivis ici.


DARPA, European Human Brain Project, et le Dr James Giordano, conseiller au Pentagone, décrivent les armes de contrôle mental du cerveau neuronanorobotique à interface informatique pour la surveillance et la manipulation à distance des circuits neuronaux du cerveau. Cela permet de cloner la conscience d’un individu sur son propre avatar numérique dans une simulation de Sentient World sur un super-ordinateur. Un lien direct entre un individu ciblé et son avatar numérique existe afin que tout ce qui est fait dans le monde réel se produise dans la simulation sur ordinateur. En manipulant l’avatar numérique dans la simulation informatique, les pensées, les croyances, les perceptions et le comportement d’une personne sont manipulés dans le monde réel. C’est le contrôle de l’esprit à distance. MK ULTRA du 21e siècle. Ce n’est pas une théorie de conspiration. Ce n’est pas une blague. C’est la réalité. https://www.youtube.com/channel/UCBT3VPJlhJHeIvmDadeZB5w

James Giordano, PhD, MPhil, est chef du programme d’études en neuroéthique, chercheur en résidence, dirige le sous-programme d’éthique médicale militaire, et co-directeur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Centre Pellegrino de bioéthique clinique ; et est professeur dans les départements de neurologie et de biochimie au Centre médical de l’Université de Georgetown, Washington, DC, USA. Il est également professeur invité distingué en science du cerveau, promotion de la santé et éthique à l’Université des sciences appliquées de Cobourg, Cobourg, Allemagne, et était auparavant professeur invité de la Fondation JW Fulbright 2011-2012 en neurosciences et neuroéthique à l’Université Ludwig-Maximilians, Munich, Allemagne.

Le professeur Giordano est actuellement président du programme de neuroéthique du projet Brain de l’IEEE, et membre désigné du groupe consultatif sur la neuroéthique, les questions juridiques et sociales (NELSI) de l’Agence des projets de recherche avancée de la défense (DARPA). Il a précédemment été chercheur et chef de mission du sous-projet du projet européen sur le cerveau humain consacré à la science du cerveau à double usage, membre désigné du conseil consultatif sur la protection des chercheurs humains (SACHRP) du ministère américain de la santé et des services sociaux, et membre consultatif scientifique principal de la branche d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major commun du Pentagone.

Auteur de plus de 290 publications en neurosciences et en neuroéthique, de 7 livres et de 15 livres blancs gouvernementaux sur la neurotechnologie, l’éthique et la biosécurité, il est rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine, rédacteur en chef adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics et rédacteur en chef adjoint de Frontiers in Human Neuroscience.

Ses recherches en cours portent sur les bases neurobiologiques des troubles du spectre neuropsychiatrique et sur les questions neuroéthiques découlant du développement, de l’utilisation et de l’abus des techniques neuroscientifiques et des neurotechnologies en médecine, dans la vie publique, dans la santé mondiale et dans les applications militaires.

En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts, nommé membre étranger de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni), a reçu le prix des meilleurs anciens élèves de la City University of New York, la médaille d’or de l’Université de Cobourg pour ses réalisations exceptionnelles et a reçu le prix allemand Klaus Reichert de médecine et de philosophie.

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Surveillance neurale à distance : Comment ils espionnent vos pensées

Combien de fois avez-vous eu des pensées que vous n’avez jamais voulu partager avec quiconque et vous êtes constamment inquiet à l’idée que quelqu’un puisse jamais découvrir ces pensées ?

Nous sommes tous passés par là, et les nouvelles technologies améliorées qui sont développées dans le monde entier, soi-disant pour lutter contre la criminalité et le terrorisme, et qui, par inadvertance, empiètent sur la vie privée de chacun, devraient probablement nous amener tous au bord de la paranoïa. Ces technologies sont financées par les gouvernements au plus haut niveau et certains des pays concernés comprennent les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Allemagne et la France.

Récemment, la tristement célèbre Agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis a mis au point une méthode très efficace pour contrôler le cerveau humain.
Cette technologie, appelée « Remote Neural Monitoring » (R.N.M.), devrait révolutionner la détection et l’investigation des crimes.

La R.N.M. fonctionne à distance (on ne s’est jamais demandé pourquoi nous avons tous été poussés sans relâche vers les systèmes sans fil ?) pour contrôler le cerveau dans le but de détecter toute pensée criminelle se déroulant dans l’esprit d’un éventuel coupable.

L’inévitable question : Comment peut-on isoler une pensée criminelle si l’on ne dispose pas d’une mesure comparative des pensées non criminelles ?

Cet engagement repose sur deux principes :

Les recherches ont montré que l’intellect humanoïde pense à une vitesse d’environ 5 kilobits par seconde et, par conséquent, n’a pas la capacité de rivaliser avec les superordinateurs agissant via les satellites, les implants et la bio-télémétrie.
Le cerveau humain possède un ensemble caractéristique de structure de résonance bioélectrique. En utilisant des superordinateurs, le système R.N.M. peut s’en emparer et envoyer des messages par le biais du système nerveux d’un individu intégré afin d’affecter ses performances de manière préférentielle.

Le système entier a été développé après environ 50 ans ( !) d’expérimentations neuro-électromagnétiques sur l’homme, prétendument involontaires, mais il n’y a pas de preuves pour appuyer cette affirmation.

Selon de nombreux scientifiques impliqués dans ce programme (leurs noms ne sont pas révélés pour des raisons évidentes), d’ici quelques années, on s’attend à ce que des micropuces à ADN, sous le couvert de percées médicales qui seront présentées pour lancer les processus de guérison de la maladie sur la vitesse et l’efficacité, soient implantées dans le cerveau humanoïde, ce qui le rendrait intrinsèquement contrôlable. La R.N.M. aura alors la capacité de lire et de régir les procédures mentales émotionnelles d’une personne ainsi que les visions et les involontaires.

Actuellement, dans le monde entier, des superordinateurs surveillent des millions de personnes en même temps, à la vitesse de 20 térabits par seconde, en particulier dans des pays comme les États-Unis, le Japon, Israël et un certain nombre de pays européens. Un programme similaire est censé être en cours en Russie.

Comment fonctionne la R.N.M. ? Elle utilise un ensemble de programmes fonctionnant à différents niveaux, comme :

  • Le système d’intelligence des signaux qui applique des fréquences électromagnétiques (EMF), pour exciter le cerveau pour le système et le lien électronique du cerveau (EBL).
  • Le système de stimulation du cerveau qui a été conçu comme une intelligence d’émission de particules, ce qui signifie qu’il reçoit des informations provenant d’ondes électromagnétiques créées involontairement dans l’environnement. Cependant, il n’est pas lié à la radioactivité ou à la détonation nucléaire.
  • Les machines d’enregistrement qui disposent d’un équipement électronique permettant d’examiner à distance l’action électrique chez les êtres humains. Cette cartographie cérébrale générée par ordinateur peut toujours enregistrer tous les événements électriques dans le cerveau.
  • Le système d’aide à l’enregistrement déchiffre les cartes cérébrales individuelles à des fins de sécurité.

La technologie sous-jacente de ce système prend en considération le fait que l’activité électrique dans le centre de la parole du cerveau, peut être traduite dans les pensées verbales du sujet. Le R.N.M. peut envoyer des signaux cryptés au cortex audio du cerveau en contournant directement l’oreille.

Ce codage aide à détecter la communication audio. Il peut également effectuer une cartographie électrique de l’activité du cerveau à partir du centre visuel, ce qui est réalisé en évitant les yeux et les nerfs optiques, projetant ainsi les images de l’esprit du sujet sur un écran vidéo. Grâce à cette mémoire visuelle et audio, les deux peuvent être visualisées et analysées.

Les machines concernées peuvent, à distance et de manière non invasive, détecter des informations en décodant numériquement les potentiels évoqués dans les émissions électromagnétiques de 30 à 50 Hz, 5 mW du cerveau.

Les potentiels évoqués sont appelés « pics » et motifs créés par les nerfs, car ils produisent un motif électrique changeant avec une instabilité magnétique en constante évolution, qui émet alors une quantité constante d’ondes électromagnétiques. Ce qui est intéressant dans tout cela, c’est que l’exercice est effectué sans aucun contact physique avec le sujet.

Les émissions de CEM peuvent être décodées en pensées actuelles et en perception audiovisuelle, dans le bon sens du sujet. Il envoie des chiffres compliqués et des signaux d’impulsions électromagnétiques pour activer les potentiels évoqués à l’intérieur de l’esprit, générant ainsi des entrées sonores et visuelles dans les circuits neuronaux.

Grâce à ses réseaux de communication vocale, auditive et visuelle, la R.N.M. permet une connexion audiovisuelle complète entre l’esprit et l’ordinateur ou une association entre l’esprit et l’ordinateur.
Le mécanisme doit décrypter la fréquence de résonance de chaque site spécifique afin de moduler l’entrée d’informations à cet endroit précis du cerveau.

De plus, la R.N.M. peut détecter le son par le biais des micro-ondes et permet la diffusion de directives précises dans le subconscient, produisant des troubles visuels, des illusions et l’instillation de mots et de nombres dans le cerveau par le biais d’ondes de rayonnement.

Avec tous les bénéfices que l’on peut tirer de la recherche des activités illégales et traîtresses, les défenseurs des droits de l’homme et les scientifiques soulignent de nombreux dangers et alarmes. Les organismes de défense des droits de l’homme, dans le monde entier, ont critiqué le système comme étant un affront aux droits fondamentaux de l’homme parce qu’il viole la vie privée et la dignité des considérations et des événements de la vie.

Plusieurs pays s’y sont opposés et le considèrent comme une atteinte à leurs droits humains et civils. Avec d’autres préoccupations biologiques exprimées par les scientifiques, la R.N.M. reste une technologie controversée, qui est utilisée dans de nombreux pays pour le maintien de la sécurité et la surveillance.

References:

  1. Robert C. Gunn, PhD, Arbor, Michigan, NSA clinical psychologist currently indicted for human and Constitutional rights violations of Mind Control. Extracts from the passage of the affidavit of the indictment.
  2. Declassified documents by NSA of the MKULTRA project
  3. R.G. Malech Patent #3951134  “Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves” USPTO granted 4/20/76

Source

 

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Le mobbing

 

Chaque jour, des employés compétents, travailleurs et engagés subissent des violences psychologiques sur leur lieu de travail. Certains fuient des emplois qu’ils aiment, chassés par des collègues, des subordonnés ou des supérieurs mesquins – souvent avec l’approbation tacite de la direction.

Les auteurs, le Dr Noa Davenport, Ruth Distler Schwartz et Gail Pursell Elliott, ont écrit un livre pour chaque employé et manager en Amérique. Le livre traite de ce qui est devenu un mot courant en Europe : Le mobbing.

Le mobbing est un « rassemblement » de plusieurs individus, pour forcer quelqu’un à quitter son lieu de travail par des rumeurs, des insinuations, de l’intimidation, du discrédit et surtout de l’humiliation. Le mobbing est une forme grave de harcèlement non sexuel et non racial. Il a été légalement décrit comme un harcèlement aveugle au statut. Le mobbing affecte la santé mentale et physique des victimes. Il entraîne des coûts exorbitants pour les victimes, leurs familles et les organisations.

Avec ce nouveau livre, Mobbing : Emotional Abuse in the American Workplace, il y a un nom pour le problème et une aide pour les victimes. Le livre aide les lecteurs à comprendre ce qu’est le mobbing, pourquoi il se produit, comment il affecte une victime et les organisations, et ce que les gens peuvent faire. Les auteurs ont interviewé des victimes de tous les États-Unis et le livre contient de nombreuses citations qui illustrent de façon poignante la gravité de l’expérience du mobbing. Un aperçu de la littérature et de la recherche est fourni ainsi que de nombreuses stratégies pratiques pour aider les victimes, les gestionnaires, les professionnels de la santé et du droit. Des dessins originaux de Sabra Vidali expriment la profondeur de l’expérience et mettent en valeur le travail des auteurs.

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Armes electroniques

Neurosciences – Armes à Energies Dirigées, Dr Giordano, à l’académie militaire de West Point.

MK ULTRA – Dr James Giordano – Neurosciences – Armes à Energies Dirigées – Nano Implants – 2018

Traduction faite par Nicocible, d’une conférence du Dr Giordano, à l’académie militaire de West Point.

Nicociblé :

Son Site

Sa chaine Youtube


Dans cette vidéo, le Dr James Giordano parle aux cadets et aux professeurs de l’Académie militaire américaine du cerveau humain et de l’avenir de la guerre. Giordano est chef du programme d’études en neuroéthique et chercheur au Centre Pellegrino de bioéthique clinique de l’université de Georgetown. L’histoire récente a vu des avancées substantielles dans les domaines des neurosciences et de la neurotechnologie, explique Giordano. Il est presque certain que ces progrès auront un impact sur les guerres qui seront menées à l’avenir. À bien des égards, le cerveau pourrait même faire partie de l’espace de combat. Cet événement a été organisé par l’Institut de la guerre moderne.


Un passage important en capture d’écran

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Des armes à énergie dirigée invisibles utilisées sur des civils dans le monde entier

Un article trouvé par hasard, parce qu’il renvoi sur un document que j’ai mis en lien en 2014 dont voici la traduction.

 

Il s’agit d’une offre de contrat pour la recherche dirigée sur les effets biologiques de l’énergie à effectuer sur les humains … cela parle de lui-même … le corps et la vie sont utilisés par le complexe industriel militaire à des fins lucratives tandis que ces victimes innocentes sont empêchées de gagner un revenu et sabotées de toutes les manières possibles … dans cette proposition, ils parlent de la «prédiction de la dégradation de la santé» alors qu’ils parlent également de la protection du sujet humain…

Il s’agit d’agression avec une arme mortelle … il s’agit de frapper des citoyens innocents avec des armes militaires sophistiquées … cette information est facilement disponible en ligne …

Je voudrais parler à ces entrepreneurs qui font de l’argent avec la misère humaine…

« TITRE: Recherche dirigée sur les bioeffets énergétiques (DEBR)

LE NIVEAU DE CLASSIFICATION DE SÉCURITÉ EST: Top Secret / SCI / SAP / SAR

1. Contexte, portée, buts, objectifs et besoins.

une. Contexte.

Le contrat Directed Energy Bioeffects Research (DEBR) soutient l’US Air Force, l’un des plus grands développeurs et utilisateurs d’appareils émettant des radiofréquences (RF) et des micro-ondes haute puissance (HPM) dans le monde, qui a été à la pointe de la recherche sur les effets biologiques des rayonnements RF / HPM depuis plus de 30 ans. L’utilisation de l’énergie dirigée (DE) s’étend aux applications militaires et commerciales. Alors que les clients ciblés pour cet effort sont principalement concernés par l’utilisation et l’application des technologies de rayonnement RF / HPM, les services conjoints et d’autres comme le Department of Homeland Security ainsi que les clients commerciaux bénéficieront probablement des recherches menées et des découvertes faites dans le cadre de ce programme.

Cet effort comprend la réalisation de recherches pour identifier les avantages, les risques et les capacités pour une large gamme de systèmes de rayonnement RF / HPM militaires. Cela comprend la prévision et l’atténuation des bio-effets du DE sur les performances du personnel et de la mission et l’exploitation des bio-effets du DE pour les applications DEW.
Mener des études protéomiques, génomiques et métabolomiques qui identifient les changements biochimiques ou moléculaires critiques après l’exposition au DE avant ou pendant les opérations de mission qui aident à prédire la dégradation de la santé.

Utilisation humaine.
L’entrepreneur utilisera des sujets humains dans les études de recherche dans le cadre de cet effort. « 

https://dictacrature.noblogs.org/fil…c-IDIQ-SOO.pdf

http://library.constantcontact.com/d…-2013-0002.pdf

Voyons maintenant certains des militants qui luttent contre cette atrocité…

David Voigts est un ancien officier de marine et diplômé de la US Naval Academy. Tout en travaillant sur la guerre électronique pour la Marine, il a pris connaissance des tests d’armes dirigées à l’énergie qui étaient effectués sur des civils innocents. Il parcourt l’Amérique pour faire connaître cette injustice. C’est un vrai héros américain.

Cette histoire a maintenant été publiée dans dix publications dont Bloomberg News…

http://www.bloomberg.com/research/markets/news/article.asp?docKey=600-201605250331M2______EUPR_____0c08000004d7d78a_3600-1

Si vous souhaitez soutenir cet effort, vous pouvez le faire ici:

https://www.gofundme.com/ti-in-america

Karen Stewart est une dénonciatrice de la NSA qui est maintenant harcelée par l’électronique. Vous pouvez lire son histoire ici…

http://www.washingtonsblog.com/2016/04/nsa-whistleblower-karen-stewart-speaks-candidly-illegal-criminal-nsa-fbi-programs-organized-stalking-electronic-harassment-usa-abroad.html

Elle recueille maintenant les noms des victimes pour une campagne de lettres à tous les fonctionnaires du pays… de nombreuses victimes ont déjà signé…

NSA Whistleblower, Karen Stewart: Synopsis of the Silent Holocaust Taking Place in the United States

Cet activisme ne s’arrêtera pas avant la fin de ces attaques contre des civils innocents.

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Tobias Rathjen, le tireur des fusillades racistes de Hanau, était un Targeted Individual (TI)

Tobias Rathjen

 

Je passe un copié collé d’un site racialiste/suprématiste au nom évocateur, blancheurope.com, qui a commenté et traduit le manifeste du tireur. Il ne fait pas de doute que Tobias Rathjen, était un TI.

Des gens que l’on rend affectivement insensible à leur propre mort (et celle des autres du coup)  grâce au fractionnement du moi par l’utilisation pendant de nombreuses années de la torture blanche (psychologique) . De parfaits exécutants pour qui veut semer le chaos afin de dresser les gens les uns contre les autres, maintenir le peuple occupé avec des guerres horizontales.

 


SOURCE : https://www.blancheurope.com/2020/02/20/manifeste-de-tobias-rathjen-et-analyse/

 

Neufs bougnoules au tapis, la mère et l’auteur de la fusillade morts. Les médias s’en donnent à cœur joie : l’auteur de l’attaque était raciste, voulait exterminer toutes les sous races et faisait même partie du mouvement National-Socialiste.

Depuis quand les journalistes sont des sources fiables ?

Dès que j’ai eu connaissance du manifeste de Tobias Rathjen, je me suis lancé dans une traduction. Qui peut comporter quelques maladresses, mon Allemand étant légèrement rouillé je me suis fait aider à plusieurs reprises.

Autant vous prévenir : ce n’est pas un texte à la cheville de Brenton Tarrant.

Nullement.

Ce n’est même pas un texte idéologique, simplement une vision de sa vie et de la paranoïa qui l’a guidée à penser que tout tournait autour de lui et qu’il avait été placé sous une surveillance par la pensée !

La folie n’explique pas totalement l’entièreté de sa pensée. Il a de nombreuses réflexions qui font état d’une intelligence développée et qu’il avait saisi une certaine vision raciale des choses, d’autant que son texte est d’un Allemand parfait. Simplement, il a pris de nombreuses coïncidences et sa capacité d’anticipation à grande échelle – sur des points politiques et économiques – comme étant la résultante d’une entité secrète qui surveillait ses pensées et s’en servait pour diriger le monde.

Une surveillance globalisée, qui ne se ferait plus par les smartphones ou les caméras, mais directement par les cerveaux.

Rien qu’évoquer cette possibilité nous fera tous sourire.

Pourtant, ce qui reste le plus drôle est la réaction des médias juifs qui se vautrent dans la désinformation la plus TOTALE.

Non, Tobias n’était pas antisémite, il ne se revendiquait pas non plus d’un quelconque mouvement politique et ne glorifiait pas le Troisième Reich.

Il n’est même pas fait mention une seule fois d’Adolf Hitler ou des juifs.

Mais nos chers (((journalistes))) ont-ils au moins pris la peine de lire les 24 pages qui constituent le manifeste ?

Je ne le pense pas. Voilà donc, à titre d’information – ne tombez pas dans le piège de la paranoïa qui touchait ce pauvre homme – la traduction de ce qu’il a vraiment écrit et pensé. Pas ce que racontent les médias pour tirer sans sommation sur l’extrême-droite et la “xénophobie” présente en Allemagne.

En lisant le manifeste, vous serez pris d’un léger mal de crâne et d’un sentiment de malaise. Autant vous rassurer, vous n’êtes pas sur écoute, je vous prendrais pour des imbéciles si je vous imaginais capable de le penser, mais sait-on jamais qui accedera à ce texte.

La situation de nos pays, submergés par les non-Blancs et gouvernés par des élites malades et (((corrompues))) créeront de nombreux Tobias. Des gens qui sont assez intelligents pour comprendre de nombreux sujets importants, tels que la question raciale ou la domination d’une élite, mais qui à force de se trouver seuls ou qui passeront leur temps libre devant des séries ou des films, tomberont dans une paranoïa et basculeront dans la folie.

La seule chose positive dans cette histoire, c’est que 9 envahisseurs soient hors d’état de nuire.

Comme il le dit si bien, il faut d’abord s’occuper de son ennemi intérieur avant de l’ennemi extérieur : soyez sains d’esprits et agissez avec sagesse.

De petits hommes verts ne viennent pas enlever des gens la nuit, et personne ne peut guider vos pensées ou vous contrôler à distance. Nous ne sommes pas dans un scénario de science-fiction.


Ici commence le « nanifeste » traduit

Introduction

Ceci est un message adressé à l’ensemble du peuple Allemand !

Dans ce document, je vais décrire ce qui m’est arrivé dans ma vie et pourquoi chaque Allemand doit le savoir, quel que soit le temps qu’il faudra pour que mon message soit considéré comme étant vrai et correct.

Avant de commencer, je voudrais faire cette déclaration essentielle :

Au cœur de mon message se trouve l’activité d’un soi-disant “service secret”. Je voudrais donc décrire plus précisément ce que j’entends par là à l’avance.

Je suis un citoyen ordinaire, ce qui signifie que je ne suis pas un agent de renseignement, et que je n’ai jamais travaillé pour une organisation de renseignement. Avant qu’un événement décisif de ma vie ne se produise, ma connaissance de ce qu’est un service secret, de ce qu’il fait, ou des moyens et des méthodes utilisées, provenait de sources librement accessibles, même si j’avais d’autres hypothèses très tôt dans ma vie.

Bien entendu, chaque personne qui les lira apportera ses propres idées sur ce qu’est un service secret ou en quoi consistent ses activités.

Mon souci est d’informer tout le monde sur ce qui est possible au-delà, et aussi sur ce que l’on croit être dans le cadre.

1) Au moment de cet enregistrement vidéo, des milliers de citoyens allemands sont sous la surveillance d’un service secret.

2) Cela se produit sans aucune raison concrète.

3) Lorsque je parle de “surveillance”, je veux dire principalement la surveillance acoustique et visuelle dans les maisons privées, dans les pièces du travail et dans d’autres lieux où des personnes sont présentes. Je ne parle pas des caméras qui sont placées de manière visible dans les lieux publics ou dans les magasins d’affaires de toute sorte.

4) Il y a des personnes qui travaillent pour ces “services secrets” qui sont capables de lire les pensées d’une autre personne et qui sont également capables de “s’y raccrocher” et, dans une certaine mesure, de réaliser une sorte de “contrôle à distance”.

5) Ce qu’Edward Snowden a révélé il y a quelques années, cependant, n’est que la partie émergé de l’iceberg”.

Lorsque je parle de “service secret” dans le cadre de ce message, je n’entends pas explicitement un service secret connu par son nom, tel que le Service fédéral de renseignement, la CIA ou la NSA, mais plutôt une organisation qui fonctionne sur la base d’un service secret, mais qui n’apparaît pas officiellement par son nom.

Je vais maintenant décrire pourquoi je sais que je suis sous la surveillance d’un service secret et pourquoi la confirmation de ce que je dis est extrêmement importante, même si je ne peux pas en être témoin maintenant.

Première hypothèse

Ma vie peut être divisée en deux parties. L’une est le moment où je me suis demandé de temps en temps s’il était possible que je sois surveillé, et l’autre est le moment où j’ai acquis la certitude absolue que c’était le cas.

La période pendant laquelle j’ai eu le soupçon qu’un “service secret” me “surveillait” peut être datée rétrospectivement du jour de ma naissance jusqu’au 11 septembre 2001.

Chronologiquement, je voudrais commencer par une impression qui a eu lieu peu après ma naissance.

Aujourd’hui, je ne peux plus dire exactement ce qui n’est finalement pas si important, si 5 jours, 8 jours ou 12 jours se sont écoulés depuis la naissance effective à l’hôpital, mais approximativement dans cette période de temps, j’ai pris conscience pour la première fois, ou en d’autres termes, j’ai perçu mon environnement pour la première fois et je peux donc dire que mon humanité avait réellement commencé à ce moment-là.

J’étais dans l’appartement de mes parents et j’ai été retenu dans la baignoire par ma mère, qui m’a remise peu après à mon père, car elle avait évidemment des difficultés à me tenir et à me laver, ou puis-je encore me rappeler une phrase de ma mère : “Il est si petit …”.

Parallèlement à ces premières impressions, j’ai entendu une voix dans mon esprit, que j’entendais maintenant pour la première fois, mais qui n’était pas amicale et disait : “Oh, c’est idiot, je suis tombé dans le piège”. J’ai immédiatement répondu à cette voix féminine par un “Non” et je me suis rendormi peu de temps après.

Avec le recul, je me souviens encore de plusieurs séquences de mes premières années de vie et surtout du fait que, dès ces premières années, la pensée m’est venue de savoir s’il était possible que je sois supervisé par d’autres personnes, cette pensée étant principalement basée sur la première impression de mon réveil, c’est-à-dire sur la voix que j’ai entendu dans la salle de bains et qui m’a marqué durablement. En outre, j’ai saisi l’humanité elle-même, le monde qui m’entoure et j’ai rapidement réalisé que les gens, pour dire les choses simplement, ne sont pas toujours gentils les uns avec les autres ou qu’une personne est l’ennemi d’elle-même.

Ma question est restée sans réponse, bien sûr, mais j’en suis personnellement arrivé à la conclusion, même petit garçon, que c’était possible, ce qui, bien sûr, était tout sauf une conclusion agréable.

Je n’ai jamais parlé à personne de cette hypothèse à l’âge de 2 ans ou plus tard à l’âge de 6 ou 11 ans et j’ai reporté la réponse à cette question à plus tard, lorsque j’étais adulte.

Je ne veux pas dire que j’y ai pensé tout le temps, mais de temps en temps, quand j’étais jeune, je me demandais s’il y avait des gens qui n’avaient aucune inhibition à envahir ma vie privée ou celle d’autres personnes. La question que je me suis posée était donc la suivante : est-ce concevable ou possible ?

Malheureusement, j’ai dû répondre à cette question par l’affirmative. Cependant, à l’époque, je ne pouvais pas me défendre contre cela et j’ai dû vivre avec ce soupçon.

Conversation décisive avec un collègue de classe – apprentissage bancaire

Je voudrais maintenant remonter dans le temps jusqu’en 1999, car à bien des égards, j’ai eu une conversation importante avec un ancien collègue de l’apprentissage bancaire.

À l’époque, j’avais 22 ans et je l’avais rencontré dans son nouvel appartement à Francfort et nous avions discuté de diverses choses.

Cette conversation, que je reproduis ici, n’est bien sûr pas une conversation selon la formulation exacte, mais un résumé des contenus essentiels.

Je voudrais commencer par dire que j’ai remarqué que les “services secrets” étaient présents lors de la conversation ce jour-là, car je pouvais sentir un “verrouillage”.

Un des sujets de notre conversation était la criminalité, ou plus généralement le mauvais comportement de certains groupes ethniques, à savoir les Turcs, les Marocains, les Libanais, les Kurdes, etc.

Il y avait déjà eu auparavant une sorte de consensus entre nous deux sur cette question.

Nous avions tous deux des expériences personnelles similaires à cette époque, ce qui a entraîné une aversion pour ces groupes ethniques et nous étions donc sur la même longueur d’onde à cet égard.

Du point de vue actuel, je peux certainement décrire ces expériences personnelles comme “inoffensives” entre guillemets, comme les disputes délibérément provoquées sur le chemin du retour de l’école ou les coups stupides portés à quelqu’un dans une discothèque. Inoffensif car il n’a entraîné aucun dommage personnel sous forme de blessures ou de perte d’objets de valeur. Cependant, des amis de l’école ou d’autres connaissances ont également signalé d’autres résultats ou variantes, comme des attaques physiques réelles ou même des attaques au couteau et les blessures correspondantes. Dans les journaux, par exemple, on pouvait lire des bagarres de 5 étrangers contre un Allemand et les blessures graves ou même les décès qui en résultent.

Au cours de ma formation d’employé de banque, j’ai également assisté directement à un braquage de banque et j’ai du consulter les fiches de plusieurs centaines de suspects potentiels au poste de police en tant que témoin, ces personnes étant composées à environ 90% de non-Allemands. Ces non-Allemands étaient à leur tour principalement des méridionaux, c’est-à-dire des Turcs et des Nord-Africains.

Comme aucune expérience comparable n’avait été faite avec les “Allemands”, j’avais déjà à ce stade tiré une conclusion personnelle de toutes ces expériences et impressions.

Ce gain de connaissances s’est fait en plusieurs étapes :

Tout d’abord, je me suis posé la question fondamentale suivante : comment est-il possible que de tels groupes ethniques se trouvent dans mon pays ?

Ces personnes ont un refus instinctif extérieur et, de plus, n’ont pas fait preuve d’efficacité dans leur histoire.

D’autre part, j’ai appris à connaître mon propre peuple comme un pays d’où les meilleures et les plus belles choses que ce monde a à offrir grandissent et se développent. Il ne m’est pas possible d’énumérer ici toutes les réalisations dans tous les domaines de la science, mais les faits parlent d’eux-mêmes.

À mes yeux, quelque chose ne collait pas ici.

D’une part, mon peuple est en partie responsable de l’élévation de l’humanité dans son ensemble, mais d’autre part, il semble que certaines personnes de mon propre pays aient contribué au fait que nous avons maintenant des groupes ethniques, des races ou des cultures parmi nous qui sont destructeurs à tous égards.

J’en suis venu à la première conclusion que lorsque je viens au monde, ces personnes ne devraient pas être là du tout. C’est absurde.

Mais comme ces peuples sont particulièrement nombreux sur cette planète et ne sont évidemment pas disposés à renoncer volontairement à se reproduire ou, au contraire, se trouvent même étonnamment particulièrement grands, alors qu’ils ne le sont pas, un problème doit donc être résolu.

Mon autre conclusion était la suivante :

Par conséquent, un effort pour parvenir à une expulsion complète de ces personnes de notre pays ne peut plus être une solution, car l’existence de certains groupes ethniques est en soi une erreur fondamentale et le problème n’est que reporté sur les générations futures. Il n’est pas possible que je doive faire face à un tel problème, et toutes les générations futures ne devraient pas avoir à faire face à un tel problème en premier lieu.

C’est pourquoi j’ai dit que les peuples suivants doivent être complètement détruits : Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Israël, Syrie, Jordanie, Liban, toute la péninsule saoudienne, Turquie, Irak, Iran, Kazakhstan, Turkmekistan, Ouzbékistan, Inde, Pakistan, Afghanistan, Bangladesh, Vietnam, Laos, Cambodge et Philippines.

Et ce serait d’abord le nettoyage grossier. Ensuite viendrait la purification fine, qui touche les autres États africains, l’Amérique du Sud et centrale, les Caraïbes et bien sûr notre propre population.

C’est ainsi que j’ai remarqué que tous ceux qui possèdent aujourd’hui un passeport allemand ne sont pas de race pure et de valeur ; une réduction de moitié de la population, je peux l’imaginer.

S’il y avait un bouton disponible pour faire cela, j’appuierais immédiatement dessus, si vite que vous ne pourriez même pas regarder. La seule condition pour moi serait que cela se produise d’une seconde à l’autre, parce que je ne suis pas coupable de la souffrance de ces personnes ni intéressé par elle, parce qu’il est concevable qu’il y ait un cycle infini de vie dans cet univers, de sorte que dans toute autre vie, je suis exactement la personne que je veux détruire aujourd’hui. Mais j’éliminerais tous ces gens, même si nous parlons de plusieurs milliards, il faut le faire, surtout compte tenu du fait que nous devons atteindre un objectif ultime, à savoir la “solution de l’énigme”.

Car, je tiens à souligner que nous n’avons pas créé le paradis sur terre avec cela et que quelqu’un doit croire qu’un état satisfaisant serait maintenant atteint sur cette planète lorsque 500 millions de personnes d’origine germanique se promèneront sur terre.

Par “résoudre l’énigme”, je veux dire que la seule chose qui compte est que nous, les humains, nous sachions ce qui se passe réellement. Comment un univers peut-il naître, de quoi s’agit-il, comment la vie en général peut-elle naître, comment l’humanité peut-elle naître, où tout cela mène-t-il, c’est-à-dire forcer systématiquement l’illumination complète, qu’elle soit scientifique et/ou spirituelle.

Il s’agit bien sûr d’une tâche énorme qui nécessitera des milliers de générations supplémentaires, bien qu’il ne soit évidemment pas possible de donner ici un temps exact, si cela prendra 2 000, 5 000 ou 300 000 ans – si tant est qu’il en faille.

Car la question de savoir si l’humanité y parviendra un jour est aussi une question à laquelle on peut certainement répondre par la négative, car il est également concevable que nous ne soyons pas une “espèce victorieuse”.

L’”espèce victorieuse” est définie uniquement par le fait que nous avons résolu le mystère et non par le fait que nous avons en moyenne 120 ans, que nous avons vaincu le cancer, que nous pouvons construire des maisons de 2 kilomètres de haut ou que nous pouvons atteindre les planètes les plus éloignées.

En outre, nous devons faire une “boucle temporelle” et détruire la planète où nous vivons, avant que la première vie ne naisse il y a plusieurs milliards d’années. Parce que nous ne pouvons pas laisser subsister ce qui s’est passé sur cette terre, les millions de fois la souffrance que les humains ont endurée.

En outre, dans cette seule mission pertinente, nous ne disposons pas d’un temps illimité, car il faut tenir compte des catastrophes naturelles de toute sorte, qui peuvent ne pas nous éliminer complètement avant d’atteindre l’objectif, mais qui peuvent toujours nous faire reculer de manière décisive.

Toutefois, à ce jour, seuls quelques peuples ou races y ont apporté une contribution positive, tandis que d’autres races et cultures non seulement n’y ont pas contribué, mais sont destructrices – en particulier l’Islam.

D’où ma conclusion d’éliminer lesdits “pays avec leur population” afin que l’humanité ait une chance de “résoudre le puzzle”, car cela ne réussira certainement pas en présence d’une majorité de crétins numériquement nettement supérieure.

Bien sûr, j’étais alors et je suis maintenant pleinement conscient du sens de ce que je disais, j’ai donc ajouté la question suivante : si mon point de vue est rejeté, à quoi devrait ressembler le développement de l’humanité ?

Ainsi, si l’on nie les différences raciales et donc les différences de performances entre les races, on est probablement convaincu que ces différences ont d’autres causes et ne sont donc que temporaires et qu’un développement positif est possible.

Mais la question se pose alors de savoir comment cette évolution doit se présenter et être réalisée concrètement.
Comme il est impossible d’accueillir des milliards de personnes sur notre territoire pour leur donner de meilleures conditions de vie, nous devons probablement aller vers ces personnes.

Donc pas d’immigration pour nous, mais de l’aide sur place.

Cette aide sur le terrain peut maintenant prendre diverses formes humanitaires et est pratiquée depuis des décennies.

Cependant, outre les préoccupations superficielles telles que le manque de soins médicaux, la faim et l’absence d’un système éducatif, il y a souvent le problème beaucoup plus crucial des régimes criminels corrompus qui prennent le contrôle de leur propre peuple et le font vivre dans un enfer, que ce soit par soif de pouvoir ou par illusion religieuse.

La torture et le meurtre s’y produisent de mille façons différentes, et cela n’est pas empêché par ce qu’on appelle l’Occident, et cela ne peut pas être la solution.

À l’époque, j’ai nommé spécifiquement deux pays, l’Afghanistan et l’Irak, qui peuvent être considérés à la fois géographiquement et politiquement comme le centre du mal ou du retard et qui doivent être développés par l’Occident.

À cette fin, j’ai maintenant exposé des tactiques concrètes et une stratégie de base pour une élimination militaire réussie de ces régimes.

Je ne donnerai pas de détails ici et je me référerai à mon site web www.tobias-rathjen.de.

Si ces guerres sont menées, deux thèses essentielles pour l’avenir de l’humanité peuvent être mises à l’épreuve :

1.) Ces groupes ethniques peuvent se développer pour le mieux ou
2.) Tout espoir est perdu et donc l’anéantissement total est légitime

Mon opinion, à l’époque comme aujourd’hui, était que la thèse 2 est correcte. Les générations suivantes peuvent maintenant vérifier si j’avais raison ou non.

Stratégie pour les États-Unis

Comme les États-Unis étaient à l’époque la seule puissance capable de mener ces guerres, j’ai commencé à traiter fondamentalement de la situation des États-Unis dans la conversation.

En 1999, les États-Unis étaient la première puissance mondiale.

Ma question était, mais le seront-ils encore dans le futur ?

Un regard sur le passé montre que toutes les puissances mondiales, on peut aussi parler ici de civilisations avancées ou de grands empires, que les humains ont jamais créés, sont tombés après un certain temps. Ainsi, s’il existe une sorte de principe naturel d’émergence, d’épanouissement et de déclin, alors les États-Unis ne pourront pas non plus échapper à cette logique d’ascension et de chute.

Prévoir le déclin des États-Unis n’est donc pas un coup de maître intellectuel.
J’étais sûr que dans 5 ou 10 ans, les États-Unis seront toujours une puissance mondiale ou la seule puissance mondiale. Mais qu’en sera-t-il dans 20, 30 ou 40 ans ? Qu’en est-il de la Chine ? En raison de l’importance de sa population, il est possible qu’à un moment donné, il n’est possible que de l’estimer, mais peut-être que vers 2040, elle sera devenue si forte qu’elle sera en concurrence avec les États-Unis pour le titre de superpuissance.

C’est à ce moment que j’ai commencé à formuler une stratégie visant à faire des États-Unis la première puissance mondiale au-delà de 2040.

L’objectif doit être de rester au plus haut niveau, tant sur le plan économique que militaire.

D’abord, l’économie.

Comment identifier une superpuissance économique ?

Bien sûr en comparant le produit national brut, c’est-à-dire que les États-Unis et la Chine ont atteint le même niveau à un moment donné.

Cependant, il faut souligner que la force économique ne dépend pas seulement de la taille du produit national brut ou de l’existence de parts de marché élevées dans le plus grand nombre de secteurs possible, comme 75% pour les machines à laver ou 80% pour les rasoirs, mais aussi de la capacité d’une nation à déclencher des innovations progressives, comme l’invention du téléphone, de la voiture, de l’avion, de la fusée, de l’ordinateur, des remèdes médicaux, etc.

Sur la base de cette performance, il sera décidé si la Chine parviendra à assumer un rôle de premier plan et à devenir ainsi une superpuissance.

À l’époque, en 1999, la situation était la suivante :

La Chine n’est pas encore un pays qui excelle dans le domaine de la haute technologie, c’est-à-dire que même ici, elle fournit des inventions à une échelle significative.

De nombreuses entreprises occidentales ont contribué à la construction de la Chine, soit du point de vue des coûts, afin de servir leurs propres marchés de manière plus compétitive, soit pour être les premières à participer à un futur grand marché très lucratif.

La situation actuelle à l’époque était que les succursales ou les installations de production ouvertes par les entreprises occidentales n’étaient souvent pas des produits de haute qualité ou complexes, mais on peut supposer que cela ne sera qu’une première étape dans une série d’autres étapes de développement.

En outre, il faut s’attendre à ce que les dirigeants chinois s’efforcent de devenir de plus en plus indépendants des connaissances occidentales afin de pouvoir, à terme, fabriquer eux-mêmes les produits et services les plus modernes. Ce ne sera qu’une question de temps.

L’image suivante s’est donc dégagée pour moi :

Cette montée imaginable de la Chine ne sera pas seulement un processus naturel qui ne pourra être arrêté et qui sera fondé sur la diligence du peuple chinois et l’intelligence des dirigeants chinois, mais nous, c’est-à-dire l’”Occident”, porterons nous-mêmes une part substantielle de la responsabilité d’une telle évolution.

Le problème de base peut être décrit comme suit :

Nous ne parlons pas d’un corps homogène lorsque nous parlons des “États occidentaux”. Nous sommes nous-mêmes en concurrence les uns avec les autres, donc ce sera toujours pour les États individuels
ou les entreprises des États-Unis ou d’Europe d’être attractives d’un point de vue microéconomique ou pour un profit à court terme afin de mener à bien des affaires avec la Chine.

Par conséquent, nous devons créer une nouvelle organisation qui fonctionne de manière similaire à l’OTAN et qui est, d’un point de vue économique, une alliance de défense contre la Chine. L’objectif premier de cette organisation doit être de veiller à ce que notre haute technologie n’entre pas en Chine, en d’autres termes, à ce qu’une certaine forme de verrouillage technologique soit imposée et surveillée.

Pour illustrer cette nécessité, j’ai essayé l’exemple suivant :

Supposons qu’au cours des prochaines décennies, 18 technologies clés émergeront dans le monde, que j’ai définies comme des technologies qui ont non seulement le potentiel de créer des industries entièrement nouvelles, mais aussi d’éliminer complètement plusieurs industries.

Sans une telle organisation, la Chine pourrait réussir à posséder 8 de ces technologies par transfert volontaire de technologie ou par copie/espionnage.

Avec une telle organisation ou en raison de ses propres performances, par exemple seulement une ou deux.

Pour résumer : Si la Chine parvient à rattraper la superpuissance américaine en 2040, c’est avant tout un échec de notre part, car l’Occident ne s’est pas uni contre son adversaire et a fait passer les intérêts de profit à court terme avant le succès à long terme.

Outre la Chine, j’ai identifié une autre nation qui doit être mise en avant : Le Mexique.

Dès 1999, je soupçonnais que l’accord de l’ALENA ne serait pas bénéfique pour les États-Unis. Ici, j’ai fait la différence entre deux perspectives. Pour les entreprises américaines, c’est-à-dire du point de vue de la gestion, il peut être intéressant de délocaliser la production au Mexique, c’est-à-dire que cela peut être logique ou judicieux du point de vue de la gestion de l’entreprise. Toutefois, du point de vue de ce qui est bon pour l’ensemble du pays, cet accord de libre-échange s’avérera négatif, car des emplois et des branches entières de l’industrie seront perdus, ce qui ne peut être dans l’intérêt de l’État ou de la population dans son ensemble, surtout s’ils ne peuvent être remplacés par des emplois équivalents ou de nouvelles industries.

Je ne pouvais que deviner les déficits commerciaux avec la Chine et le Mexique que nous connaissons aujourd’hui.

D’autre part, le Mexique est le point de départ de deux autres problèmes auxquels il faut s’attaquer, à savoir le trafic de drogue et l’immigration clandestine.

Ce problème peut être résolu assez facilement en construisant un “mur” continu vers le Mexique.
Retour en Chine. Indépendamment de la question de savoir si la Chine sera en mesure de rattraper économiquement les États-Unis d’ici 2040, il y a un deuxième côté de la médaille, à savoir celui de la force militaire.

Dans cette optique, la divergence entre les deux nations était et est encore plus évidente.

Mais nous parlons de scénarios possibles 40 ans plus tard dans le futur.

Si la Chine doit rattraper économiquement les États-Unis à l’avenir, les ressources sont également là pour construire une superpuissance militaire correspondante.

Bien entendu, il n’est pas conseillé de supposer que l’avance actuelle se poursuivra automatiquement pendant des décennies.

Autrement dit, la première conclusion est qu’il faut faire quelque chose qui va au-delà du maintien du budget de la défense au même niveau et du recours abstrait à une sorte de système de combat que l’on reconstruit petit à petit, comme un nouvel avion de chasse, un hélicoptère d’attaque, un porte-avions, un système de défense anti-missiles, etc.

D’après moi, le pouvoir militaire s’exprime principalement par des troupes ayant une expérience pratique.

De plus, la question de savoir si je dois ou non être une superpuissance est en fin de compte de nature purement fictive, si je n’exerce pas réellement le pouvoir réel que je pourrais exercer.

Par conséquent, la question posée au début, à savoir ce que je peux faire dans la perspective actuelle pour maintenir le statu quo, est la mauvaise question – si le déclin est de toute façon inévitable, ou même si ce contournement réussi du défi chinois ne fait que reporter le véritable dilemme, mais ne le résout pas vraiment.

La question cruciale est de savoir ce que je fais quand j’ai le pouvoir et les moyens, comment j’utilise le statut de superpuissance.

Ma réponse a été la suivante : il y a actuellement suffisamment de despotes, de tyrans et de régimes criminels dans ce monde qui ne représentent pas une menace militaire immédiate, mais il est moralement et humainement plus que nécessaire de les éliminer.

Maintenant, vous pouvez combiner deux choses.

D’une part, utiliser la puissance au profit de l’humanité, d’autre part, soumettre sa propre armée à un entraînement, ce qu’aucune manœuvre de paix ne peut faire.

En plus de la formation de toute la structure de commandement, de la tactique, l’aspect de l’innovation est le point décisif. Puisque, en fin de compte, seule la pratique peut donner les indications décisives sur ce qui fonctionne (en matière d’équipement, de technologie, de tactique) et ce qui ne fonctionne pas, la guerre est en fin de compte le meilleur moyen de développer votre armée.

Mon conseil était donc le suivant : Faites la guerre avec votre machine militaire, car seule la guerre vous rend meilleur. Si vous libérez l’Irak et l’Afghanistan, vous faites aussi quelque chose de bien.
Afin de préserver les ressources, il faut ensuite prévoir une période de repos pour la consolidation d’environ 20 ans.

Recommencez à partir de 2030 avec la formation de vos militaires.

Cette formation devrait garantir que, dans la période 2040, la machine militaire soit à un niveau tel qu’on ait toujours le statut de “puissance mondiale n°1”, même si, économiquement, l’état de parité aurait dû se produire.

Soit dit en passant, la stratégie choisie est extrêmement résistante du point de vue de l’espionnage, car il n’est jamais exclu qu’un service secret étranger puisse apprendre, par exemple, les détails techniques d’une arme et être autorisé à la copier.

Lorsqu’une division ou une armée entière est en service de guerre, elle apprend à mieux faire les choses au quotidien, les procédures changent, s’adaptent, la qualité et la puissance d’une armée ne se mesurent plus seulement au nombre de chars, à la qualité des blindages, etc. mais surtout à l’expérience pratique des personnes qui l’utilisent dans des situations hostiles. Personne ne peut copier cela, s’il ne fait pas la guerre lui-même.

Par rapport aux guerres passées des États-Unis, comme le Vietnam, la Corée ou la Seconde Guerre mondiale, les pertes humaines dans ces deux missions seront nettement inférieures. Je considérais à l’époque que 2 000 à 3 000 morts étaient réalistes. Sans compter les pertes des nations alliées.

En résumé, ma recommandation stratégique pour les États-Unis était la suivante :

Phase 1, axée sur l’armée en renforçant l’armée par la guerre en Irak et en Afghanistan, puis phase 2 avec le renforcement de la propre économie en mettant l’accent sur l’élimination du déséquilibre dans les relations commerciales avec le Mexique et la Chine,

J’ai mentionné qu’un milliardaire (pour la phase 2) devrait prendre la barre, car c’est lui qui, en raison de sa personnalité, est le plus susceptible de fixer le cap économique des États-Unis.

A l’époque, je pensais encore à l’échec de Ross Perot.

Ma stratégie est actuellement mise en œuvre aux États-Unis !

C’est un grand honneur pour moi !

Mais l’histoire ne s’arrête pas là.

Haute trahison

Il y a 20 ans déjà, je suis arrivé à la conclusion, lors de l’analyse du problème, pourquoi l’Allemagne tolère-t-elle ce crime constant des étrangers, que les étrangers délinquants ne sont qu’un côté de la médaille, parce que de l’autre côté, il y a des Allemands, qui sont soit ignorants, soit trop faibles ou trop stupides pour résoudre le problème, c’est-à-dire pour renvoyer tout le monde hors du pays.

Ici, des raisons historiques peuvent jouer un rôle ou un manque d’information, d’empathie ou de “mauvaises expériences”.
Par conséquent, si vous voulez résoudre la question de la “criminalité des étrangers”, vous ne devez pas vous précipiter pour attaquer l’”ennemi extérieur”, mais d’abord vaincre l’”ennemi intérieur”.

Cet ennemi intérieur peut être vous-même ou votre propre peuple.

Puisque, comme je l’ai déjà mentionné, j’avais l’impression ou la présomption qu’un service secret écoutait cette conversation, j’ai fait la déclaration suivante par analogie :

Imaginez que nous soyons tous les deux assis ici et que nous soyons mis sur écoute pendant qu’un étranger commet un crime à quelques kilomètres de là, en ce moment même où nous parlons.

Ce serait une monstruosité et une insolence sans pareilles, car cela signifierait que les Allemands surveilleraient les Allemands sans raison, mais qu’en même temps des crimes seraient commis par des étrangers contre les Allemands, ce qui ne serait pas empêché alors qu’il serait facile de les empêcher, ce qui équivaudrait à une double trahison.

Je suis même allé jusqu’à dire que lorsque j’aurais hérité de la maison de mes parents, je la vendrais et utiliserais le produit de la vente pour faire mon enquête.

Cependant, nous n’avons pu en arriver là, car les prétendus “agents des services secrets” ont joué un jeu malveillant avec moi.

Cependant, le dernier point, qui est en fait une question secondaire, est apparu à peine deux ans plus tard, le 11 septembre 2001.

Au sujet des femmes

Je voudrais revenir sur la conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire, qui a bien sûr aussi abordé le sujet des “femmes”. Tout d’abord, je dois dire que jusqu’à présent, je n’avais pas de petite amie stable, parce que je n’aimais que très peu les “regards” ou que j’avais des attentes particulièrement élevées.

Puisque chaque personne a le désir de ne plus être seule ou le désir de trouver le bon partenaire, l’état de non-réalisation peut être un obstacle à la joie et à la performance.

J’ai ressenti cette chose de 15 à 22 ans. Cependant, un compromis que j’aurais certainement pu faire, à savoir prendre une femme moins belle avec laquelle je m’entendais d’une manière ou d’une autre, était hors de question – je voulais le meilleur ou rien du tout.

Les services secrets, qui m’ont surveillé toute ma vie, connaissaient ce “talon d’Achille”, et j’avais ouvertement déclaré la guerre à ces gens, qui étaient invisibles et inconnus pour moi.

En octobre 2000, j’ai commencé mes études de commerce à Bayreuth dans l’espoir d’y rencontrer enfin une femme attirante.

Au début, je ne devais pas être déçu, car une jeune élève de l’extérieur correspondait à mes attentes.

Cependant, cette rencontre, ainsi que la non-rencontre, était contrôlée par cette “organisation secrète”, dont je n’avais pas connaissance à l’époque.
Au début, je vivais donc dans l’espoir de trouver enfin mon bonheur amoureux, le premier semestre a passé et le semestre d’été 2001 a commencé.

L’évolution suivante n’est pas facile à communiquer, d’autant plus qu’en tant qu’être extérieur, on peut facilement avoir l’impression que ma vie tournait constamment autour du fait que j’étais espionné. Ce n’est pas le cas.

Je voudrais donc souligner que depuis ma conversation d’il y a deux ans, j’ai très rarement eu de telles pensées, voire pas du tout.

Il y a eu une occasion pour cela, mais je ne veux pas en discuter plus ici, car cela n’a finalement aucun rapport avec la question. Mais ce que je peux dire aujourd’hui, rétrospectivement, c’est qu’ils ont voulu tracer une fausse piste.

Par conséquent, je voudrais laisser de côté les détails superflus à ce stade, pour en venir directement au point pertinent, à savoir qu’à un moment donné, j’ai soupçonné que les parents de cette élève m’avaient mis sous surveillance.

J’ai commencé à faire face à cette situation et après quelques semaines, j’ai commencé à parler aux personnes invisibles directement dans mon appartement d’étudiant. Je ne voulais pas porter plainte directement auprès de la police, mais je voulais attendre de voir.

Dans ma naïveté, je croyais à l’époque que c’était le moyen d’amener les gens à s’arrêter et à cesser la surveillance.

Par exemple, j’ai dit : “Pouvez-vous s’il vous plaît arrêter de m’écouter et me regarder…”

Si j’avais su à l’époque que j’étais déjà surveillé à vie, je n’aurais certainement pas dit certaines choses, telles que les suivantes :

(Image qui représente la parole citée si-dessus).

La raison pour laquelle j’ai dit ces choses peut peut-être s’expliquer psychologiquement de telle manière que cette “attention” que vous ressentez, qui est bien sûr extrêmement désagréable d’une part, mais qui est d’autre part une sorte de projecteur dans lequel vous voulez faire bonne figure ou montrer ce que vous savez ou pouvez faire.

J’ai donc commencé à élaborer une stratégie pour la DFB, par exemple, afin de pouvoir à nouveau remporter des tournois. Pour ce qui est des détails, je voudrais revenir sur mon héritage écrit.

Autre exemple : la raison initiale de mon intérêt pour la gestion d’entreprise est due au fait que j’avais lu de nombreux rapports d’entreprise, par exemple du Handelsblatt, du Manager Magazin ou de livres, ce qui a suscité de plus en plus mon intérêt pour la question de savoir ce qui différencie les entreprises qui réussissent de celles qui échouent. Quelles en sont les raisons ? La réponse à cette question est également devenue de plus en plus évidente, car elle a quelque chose à voir avec le terme “stratégie”. Je voulais en savoir plus sur ce sujet.

La réalité de l’université en a été d’autant plus décevante que c’est précisément cette question passionnante et décisive qui n’a pratiquement jamais été abordée. On dansait autour du sujet, pour ainsi dire, et on traitait de questions moins importantes ou dérivées.

J’ai donc exprimé le souhait de créer une nouvelle commission. Ce programme devrait s’appeler “Gestion internationale” et être consacré à l’importante question de la mondialisation de l’économie.

Je ne m’attendais pas vraiment à ce que cela soit mis en œuvre, mais vous pouvez en parler …

Plus précisément, je voulais que le professeur ait un peu plus que l’expérience pratique habituelle et vienne de Siemens. J’ai également commandé l’assistante ou la doctorante en fonction de “certaines apparences” (cheveux blonds courts, avec une grosse poitrine)…et quelques années plus tard, j’ai effectivement obtenu ce que je désirais.

Ce détail mérite d’être mentionné car une si jeune femme devait répondre à plusieurs critères, un diplôme d’études commerciales, l’apparence décrite et bien sûr être capable intellectuellement de remplir un poste de doctorat. À ce moment-là, il n’y aura pas eu trop de femmes en Allemagne qui auraient pu prétendre à un tel poste. Mais ils y sont parvenus, ce qui m’amène à la conclusion que l’intensité de la surveillance en Allemagne est très élevée, et que nous devons supposer qu’il existe un véritable État de surveillance.

Retour au semestre d’été 2001, qui s’est terminé sans le bonheur de l’amour et avec la certitude toujours plus grande d’être suivi.

C’est aussi un fait que les services secrets devaient maintenant supposer que, très probablement pour la première fois de leur histoire, quelqu’un sous leur surveillance était au courant et leur en a même parlé.

Un ami d’école, dont le père avait un parent à la CIA, m’a donné l’idée de faire appel à son aide, ce que j’ai refusé à l’époque.

Dans la nuit du 10 septembre 2001 au 11 septembre 2001 – c’était encore la pause semestrielle, mais entre-temps j’étais de retour dans mon appartement à Bayreuth – j’ai fait un rêve, qui était si désagréable qu’on peut parler d’une visualisation de “surveillance”, et si fort que je me suis réveillé dans mon lit la nuit et me suis exclamé “tu vas récupérer ça”, par lequel je voulais dire les personnes qui me regardaient évidemment en ce moment.

Le lendemain, le célèbre attentat contre le World Trade Center a eu lieu.

Intuitivement, je savais qu’il y avait un lien avec moi ou que cette attaque avait été perpétrée par les États-Unis eux-mêmes.

Pendant plusieurs semaines, j’ai résisté à la pression, mais je voyais mes études en danger, et je ne comprenais pas encore tout le contexte des raisons pour lesquelles quelqu’un avait laissé le 11 septembre se produire.

En janvier 2002, je suis donc allé à la police pour la première fois pour signaler une surveillance illégale.

Malheureusement, je n’en suis pas arrivé à un résultat.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, le tableau s’est peu à peu ouvert à moi et si j’avais supposé auparavant que j’étais sous surveillance depuis mes études, j’ai malheureusement dû me rendre compte que j’avais déjà été aux prises avec une organisation secrète toute ma vie.

À l’automne 2004, j’ai de nouveau signalé l’affaire, cette fois à un autre poste de police, et elle a de nouveau été rejetée.

En 2019, j’ai fait la troisième et dernière tentative.

J’ai contacté plusieurs enquêteurs privés et j’ai déposé deux plaintes, l’une auprès du ministère public à Hanau et l’autre auprès du procureur général fédéral à Karlsruhe.

Le meilleur résultat possible a été qu’un enquêteur privé m’a recommandé un institut de “télédétection” en Autriche, que je devrais contacter. Mais aussi ce monsieur (Bernd Gloggnitzer) m’a écrit quelques semaines plus tard qu’il ne pouvait pas m’aider.

Hollywood

J’aimerais maintenant aborder un sujet qui, au départ, sort de l’ordinaire, mais qui a néanmoins une pertinence décisive.

L’organisation secrète qui me surveille influence le choix des films hollywoodiens ou du contenu qui est filmé.

Un autre sujet de conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire a également porté sur les films et j’ai mentionné certaines choses que j’aimerais voir au cinéma ou comment ces films devraient êtres.

Voici quatre exemples :

Comme j’ai trouvé ou trouve encore Sharon Stone très séduisante, j’ai dit que j’aimerais revoir un deuxième volet de Basic Instinct ; ce film devait se dérouler en Angleterre.

Il serait intéressant que Tom Cruise joue un tueur, car cela sortirait complètement du cadre de son rôle précédent.

Au-dessus de cela, j’ai développé une idée plus détaillée sur deux contenus d’une série ou sur la façon dont cette série devrait être structurée.

Je lui ai dit qu’étant petit garçon, j’avais vu à la télévision le film “Escape from Alcatraz” avec Clint Eastwood, que je trouvais très excitant. Donc, comment l’histoire a été racontée sur la façon dont quelqu’un réussit à s’évader d’une prison, mais aussi qu’à la fin du film, il était dommage que le film soit terminé maintenant :j’aimerais en avoir plus, donc d’une façon ou d’une autre, ça devrait continuer. Je me suis dit que beaucoup de spectateurs ressentiront la même chose, qu’ils sont captivés par un film et qu’ils aimeraient en avoir plus. L’idée m’est donc venue qu’un tel film devrait être tourné à nouveau, mais pas comme un long métrage (donc de plus de 90 ou 120 minutes), mais comme une série et l’histoire devrait être étendue à 10 heures. Cela créerait une toute nouvelle dimension de suspense. En outre, la période suivant l’épidémie pourrait également être filmée dans une nouvelle saison.

Avec la série télévisée “Prison Break”, cela a été mis en œuvre en conséquence – très bien, à mon avis.

Donc, en y repensant, j’ai inconsciemment fourni l’idée de base à l’époque, mais bien sûr je n’ai ni écrit le scénario, ni choisi les acteurs, ni contribué à la réalisation réelle de cette saison.

Je peux dire la même chose de la série “Vikings”.

Ici aussi, j’ai eu l’idée qu’il serait intéressant et passionnant de raconter l’histoire des Vikings dans la perspective d’aujourd’hui avec la puissance d’Hollywood. A commencer par les premiers voyages en Angleterre, les raids, le mode de vie, le premier contact avec une nouvelle religion – le christianisme, la conquête de Paris. Je me souviens que j’ai mentionné que dans une telle épopée, il est important de tourner autant que possible dans la vraie nature, ou en d’autres termes, d’éviter autant que possible les scènes de studio.

Je pourrais donner d’autres exemples, mais je suis sûr qu’il est devenu évident que cela ne peut plus être une coïncidence.

Pendant le semestre d’été, lorsque j’ai parlé aux auditeurs présumés dans l’appartement, j’ai dit, entre autres, que ce fait que j’étais surveillé – j’ai déjà indiqué que j’avais l’intention de me défendre en conséquence – si nécessaire, je me rendrais dans un immeuble en avion pour attirer l’attention appropriée – entrerait dans l’histoire du monde, et que des films hollywoodiens seraient un jour tournés après moi.

Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé à quel point j’avais raison de prononcer ces mots.

Parce que non seulement après le 11 septembre 2001, des films ont été réalisés grâce à mon inspiration, mais le lien avec Hollywood existait avant cela.

De manière cachée, c’est-à-dire dans un format de long métrage, ces personnes ont développé leurs propres capacités ou les capacités extraordinaires qui leur sont accessibles et inconnues du public, parfois de manière plus ou moins concrète.

Voici quelques exemples :

“Regardez qui parle” – Dans le film, le spectateur peut écouter les pensées des petits enfants – en réalité, ces personnes peuvent lire les pensées de moi ou de n’importe qui d’autre.

“The Cell” avec Jennifer Lopez – Le film dépeint une femme qui a le don particulier de pouvoir se brancher sur le cerveau d’un être humain. Plus précisément, elle interfère avec celle d’un meurtrier pour en faire quelque chose de bien, à savoir sauver une femme emportée par la mort – en réalité, elle est utilisée sur moi ou d’autres personnes, sans raison particulière, et vole ainsi leur intimité complète.

“Starship Troopers” – Ce film traite d’un avenir pas trop lointain, où les futures unités spéciales d’une armée ont déjà des “capacités télépathiques” – c’est la réalité depuis un certain temps.

Il y a peut-être beaucoup d’autres séquences de ce type tirées de films et de séries, mais je ne les connais pas toutes et je ne peux pas ou ne dois pas les énumérer ici.

En résumé, je voudrais utiliser ces exemples pour illustrer que cette capacité de “lire les pensées” et de pouvoir “se brancher sur le cerveau d’une autre personne” est exactement traitée en film par la même organisation qui possède cette capacité !

Le verrouillage de cerveau

Comme mentionné ci-dessus, j’ai parlé avec les services secrets à différents jours dans mon appartement pendant l’été 2001. J’ai demandé, entre autres, à être informé des dernières méthodes de renseignement.

Ils ont réalisé ce souhait en illustrant la possibilité de “se brancher sur le cerveau d’un autre” par le rêve.

Dans ce “rêve”, j’ai vu mon père descendre les escaliers de notre maison avec un téléphone à l’oreille alors que je me tenais en bas.

Peu de temps après, j’ai vu une “femme”, qui tenait également un téléphone à l’oreille et me parlait, “cela pourrait être encore plus flagrant” …

Elle m’a donc fait comprendre qu’elle pouvait ainsi influencer le fait que mon père commence à me parler et qu’elle pouvait aussi influencer le contenu ou l’humeur de mon père.

Remarque : Pour éviter tout malentendu, en l’état actuel de mes connaissances, la manipulation fonctionne sans téléphone physique – le téléphone doit donc être compris comme une métaphore.

Normalement, je devrais décrire ce point de manière beaucoup plus intensive, car il pousse l’intensité de la surveillance à l’extrême, puisque même ses propres pensées ne sont plus intimes, c’est-à-dire que le vol de la vie privée s’effectue à presque 100 %, et il décrit également le passage de la surveillance passive à l’intervention active dans la vie, et en particulier en ce qui concerne mes efforts pour porter cette surveillance à la connaissance du public, car les personnes que j’ai appelées à l’aide ont été exposées à cette manipulation.

Cependant, il est resté avec cette seule allusion, en revanche il a été aussi court que je vous l’ai décrit.

Synthèse

Si j’oublie un instant que je n’ai jamais eu de sphère privée ou intime jusqu’à ce jour, il y a plusieurs événements qui ont fait l’histoire du monde qui sont dus à ma volonté et je pourrais m’en réjouir. Deux régimes criminels ont été éliminés, les États-Unis adaptent leur grande stratégie en fonction de mes idées et les films d’Hollywood ont été réalisés selon mon inspiration. À ce stade, je voudrais mentionner brièvement que ce n’est de loin pas tout. Je pourrais citer bien d’autres exemples de la même dimension. Et … Et … ce qui est le plus important maintenant, je ne suis qu’un jeune homme ordinaire d’Allemagne. Au moins, j’étais jeune quand je pensais et disais ces choses, maintenant j’ai 42 ans. C’est vrai, grâce à beaucoup de choses, je pouvais me sentir bien et je l’ai fait.

Cependant, au total, il y a de nombreux effets secondaires négatifs pour moi, que je voudrais préciser ici encore.

L’une des principales conséquences est, par exemple, que je n’ai pas eu de femme ou de petite amie pendant toute une vie, pas au cours des 18 dernières années, simplement parce que je ne veux pas de femme si je sais que je suis surveillé.

Comme j’ai dit à mon collègue que j’irais finalement jusqu’à vendre la maison de mon père, juste pour savoir si quelqu’un m’observait, la réponse ne s’est pas fait attendre, car quelques mois plus tard, mon père a perdu son emploi de directeur d’agence, est resté au chômage pendant plusieurs années et n’a jamais vraiment pu trouver quoi que ce soit d’égale valeur par la suite, mettant ainsi plus ou moins en péril le financement de la maison, qui était toujours en cours.

Cela a été un lourd fardeau psychologique pour ma famille.

Comme la pension n’est pas suffisante, mon père est actuellement obligé de travailler à plein temps à l’âge de 70 ans.

Ce licenciement, soit dit en passant, n’est pas le résultat de deux employés des services secrets qui se sont présentés personnellement à l’ancien employeur de mon père et l’ont amené à donner un préavis de licenciement, mais invisiblement, ils ont puisé dans le cerveau et produit le résultat souhaité par télécommande.

Pour compléter le tableau, je voudrais ajouter que j’ai subi quelques blessures physiques, que j’attribue également à cette “organisation” et qui présentent des traits sataniques ou peuvent être décrites dans la terminologie juridique comme “dangereuses pour le public”.

Je voudrais m’abstenir de toute désignation concrète à ce stade, car l’avenir mettra la vérité en lumière.

Bilan

Pour l’origine de ma surveillance, deux variantes me semblent actuellement possibles.

En raison de la Seconde Guerre mondiale perdue et de la guerre froide qui a suivi, je peux imaginer un contexte américain, où l’Allemagne et sa population étaient visées de manière générale, ce qui était justifié par le passé national-socialiste ou l’espionnage soviétique.

Une autre possibilité est que les auteurs soient des “Allemands”, qui doivent avoir un lien solide avec les États-Unis.

Qu’importe quelle variante soit correcte, le fait est le suivant :

Ces personnes sont (pour le dire simplement à ce stade) quelque peu différentes des gens ordinaires que vous rencontrez.

Cela résulte de ce qui est décrit, car d’une part vous avez été mon compagnon constant dans la vie et selon votre logique vous êtes intervenu tantôt positivement, tantôt négativement dans ma vie.

Je tiens à souligner que j’écris ces lignes avant tout parce que je ne suis certainement pas un cas isolé, et que beaucoup d’autres personnes en Allemagne ou dans le reste du monde sont également prises dans un piège similaire et ont dû vivre des choses similaires, dont elles n’ont même pas pu imaginer la véritable cause.

Ces personnes se tiennent au-dessus du président américain, qui, selon le langage courant, est considéré comme l’homme le plus puissant de la planète.

Lorsque j’ai commencé à communiquer ouvertement avec ces personnes au cours de l’été 2001, cela a probablement déclenché quelque chose que je m’explique comme suit :

Le fait que j’ai été témoin que l’on me surveille est une réussite, peut-être même une réussite exceptionnelle, et certains me qualifieront de “génie” parce que j’ai été capable mentalement de saisir et d’imaginer un processus invisible. Et … il faut le souligner ici encore pour avoir raison !

Comme il doit s’agir non seulement d’une organisation très puissante, mais aussi d’une organisation plus importante comptant au moins plusieurs centaines de personnes, j’avais attiré l’attention à l’intérieur ou à l’extérieur de cette organisation de telle manière qu’un nouveau groupe “s’est impliqué”, car c’est ce que j’associe au 11 septembre.

En bref, quelqu’un a aimé qui je suis, ce que j’ai dit, comment je pense et comment je vois les choses.

Leur principale réussite à ce jour est qu’ils sont restés soudés sur une très longue période. Aucun d’entre eux n’en est arrivé à un point où ils doivent s’arrêter, exposer leurs méthodes et donc l’organisation.

La source de financement n’est pas claire. D’où vient l’argent nécessaire pour effectuer ce contrôle ?

Dans leurs rangs se trouvent des personnes qui ont des dons particuliers, à savoir la capacité de lire les pensées d’une autre personne et de pouvoir s’y engager de manière manipulatrice. La question est de savoir s’il s’agit d’une capacité innée ou d’une capacité qui peut être “apprise” ? Quelles conditions doivent être remplies pour que cela réussisse ? Je ne sais pas non plus avec quelle intensité cette “télécommande” peut être pilotée. Personne ne se heurtera volontairement à un mur, c’est-à-dire qu’on peut être poussé à des actions absurdes, mais dans le contexte de la vie quotidienne, les rencontres, les conversations et les virages peuvent être orientés dans une certaine direction.

Peut-on manipuler quelqu’un pour qu’il se pende ? Cela leur permettrait de réaliser le crime parfait, car ils ne devraient jamais être présents en personne au moment où le crime a été commis ou aucune personne normale ne conclurait que la cause du décès a été causée de cette manière.

Comme j’étais probablement le seul parmi la population à bien deviner ce qu’ils faisaient, je suis devenu un cas ambivalent pour eux.

D’une part, cela l’a certainement impressionné, d’autant plus que j’avais déjà correctement évalué la situation à un très jeune âge, peut-être même en établissant le record mondial ultime, puisque rétrospectivement, j’ai interprété correctement la situation après seulement quelques secondes de ma vie. D’un autre côté, ce n’était pas une situation souhaitable pour eux, car à long terme, ils pouvaient imaginer que je deviendrais un problème pour eux si je n’abandonnais pas et ne poursuivais pas l’éducation jusqu’au bout.

Lors de la mise en œuvre de la stratégie de la DFB, je dois me poser la question suivante : ont-ils réussi à le faire exclusivement par le biais de ce qu’on appelle la “télécommande” ou un représentant de la DFB a-t-il jamais vu mon visage ou entendu un mot que j’ai dit ?

Les données personnelles d’Oliver Bierhoff et de Jürgen Klinsmann, ainsi que celles des entraîneurs américains de fitness, sont la partie visible de la mise en œuvre de ma recommandation stratégique.

Je ne peux pas répondre à la question de savoir si l’équipe de la DFB s’est effectivement retirée volontairement lors du championnat d’Europe 2004, et je ne sais pas non plus dans quelle mesure mes autres recommandations ont été mises en œuvre.

Je doute également que Donald Trump mette sciemment en œuvre mes recommandations, car je suis sûr que cela fonctionne grâce à la soi-disant télécommande.

Il existe donc bien un soi-disant “gouvernement de l’ombre” !

Bien sûr, je ne peux que deviner l’intensité de la surveillance en Allemagne. Mais l’image qui se dégage pour moi est qu’elle doit être d’une ampleur et d’une intensité inimaginables.

Une de mes principales préoccupations est donc qu’une future surveillance centrale de la population ne sera jamais mise en place ou que celle qui existe déjà sera exposée et éliminée.

Conclusion

Tout cela ne peut pas être une coïncidence :
-La guerre en Irak et en Afghanistan (surtout dans la manière dont elle a été menée)
-Les coordonnées de la DFB, les stations d’entraînement de Jürgen Klopp
-La chaire “International Management” à l’université de Bayreuth
-Les films hollywoodiens répertoriés
-Le fait qu’un milliardaire aux Etats-Unis applique maintenant ma recommandation politique (j’ai même développé quelques slogans comme “America First, Buy American et Hire American”)

Comme mentionné ci-dessus, je pourrais donner plusieurs autres exemples qui entrent dans la même catégorie.

J’ai eu le privilège de réfléchir à ces événements marquants au cours des 18 dernières années et d’entraîner mes capacités cérébrales en fonction de ces signaux stratégiques.

Pour moi personnellement, il ne fait aucun doute depuis longtemps que j’ai raison de dire que je suis surveillé par une organisation secrète.

A l’époque, j’avais composé sans le savoir le 911 de la police américaine, ou pour mieux dire, ils m’ont laissé le faire.

Cependant, cet appel d’urgence n’a pas apporté son aide.

Bien sûr, les contenus et les exemples présentés ne représentent qu’une petite partie de ce que j’ai vécu ou dit dans ma vie.

Il n’est pas possible de reproduire toute une vie en quelques pages, surtout les impressions subjectives, ce qui a été vu et vécu, et tous ce a quoi j’ai pensé.

L’objectif principal de mes remarques est de dégager l’essentiel, que je voudrais résumer à nouveau ici :

L’humanité sur cette planète est prise pour une masse d’idiots par une très petite “élite”, qui possède un savoir secret qu’elle cache délibérément aux masses.

Je vous renvoie à d’autres secrets, que vous trouverez sous forme de liens sur ma page d’accueil.

Lorsqu’un voleur ordinaire s’introduit dans une voiture ou entre dans une maison, vous n’avez peut-être vu personne, mais vous savez que vous avez été victime d’un crime parce que vous avez manqué des objets ou que vous pouvez voir des signes d’effraction.

Si une organisation secrète met en place une surveillance, vous êtes également victime d’un crime. Cependant, en règle générale, on n’a même pas remarqué que le crime a été commis.

C’est la seule différence sérieuse et décisive.

Comment la population peut-elle et doit-elle se défendre contre un crime dont elle ne sait même pas qu’il a lieu ?

La deuxième particularité est que les auteurs du “crime” ont été informés de toutes les mesures que j’ai prises pour porter le crime à la connaissance du public. Même en écrivant ces lignes, ils ont pris note en temps réel.

En outre, je suppose que les personnes respectives de la police ou des autorités que j’ai appelées ont été manipulées en conséquence, de sorte qu’elles ont pu empêcher leur propre poursuite.

Quand je n’avais que quelques années, je me suis juré que si j’avais raison sur le fait d’être surveillé, alors il y aurait la guerre !

Pour toutes ces raisons, je n’avais donc pas d’autre choix que d’agir comme je l’ai fait afin d’obtenir l’attention nécessaire.

Cette guerre doit être comprise comme une double frappe, contre l’organisation secrète et contre la dégénérescence de notre peuple !

Les gens vont et viennent. Ce qui reste, c’est le peuple !

À l’avenir, regardez bien qui sont les gens.