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La guerre propre, France Inter, 17.11.2002.

La guerre propre, France Inter, 17.11.2002
Emission « Histoires possibles et impossibles »  Robert Arnaut
Durée totale : 29 min. 39 sec.

Les armes électro-magnétiques et psychotroniques, la lumière qui détruit, l’onde qui paralyse, le radar tueur, la désinformation : ce sont les nouvelles armes des futurs conflits, des armes « sans bavures » pour une guerre « propre »…

Audio déniché sur le site de Daniel Depris, l’un des participants à l’émission.

Émission ne faisant pas partie des archives du Dimanche 17 novembre 2002 : Volonté délibérée ou non de mettre sous le tapis ce genre de sujet ?

C’était l’époque où le service public Français était complotiste 🙂


Encore quelques preuves que ce qu’avancent les TI en racontant de quoi ils sont victimes, n’est peut-être pas à prendre comme la parole de fous Schizo… Il est visiblement plus commode de penser que l’on a encore notre libre arbitre et que nous sommes servis, en tant qu’administrés, par une gentille bande de démocrates bienveillants.


Avec la participation de Messieurs Daniel Depris Pdt du comité Européen pour la protection de l’habitat et l’environnement et de la santé, Francois Debout sous Directeur Technique de la direction des systèmes de force et de la prospective à la direction générale pour l’armement et Michel Hugon pharmacien en chef du service de santé des armées détaché à la direction générale pour l’armement. Reportage Philippe Clair .

09:25 On parle du taureau télécommandé de José Delgado (sans le citer)… puis demande à son interlocuteur si l’on peut enregistrer les ondes cérébrales du taureau et les utiliser à l’inverse. Réponse : il pense que c’est anecdotique, il n’est visiblement pas au courant.


L’animateur fait clairement allusion à ce qui est décrit par Marc Filterman dans son livre Les Armes De L’ombre dont je soumets à votre sagacité l’extrait en question :


12:30 Ces armes existent et servent ! Des armes électromagnétiques secrètes ont été utilisés par l’Allemagne contre les militants verts anti-nucléaire. Et par la police US pendant les émeutes de LA.

-> réponse complètement à côté de la plaque en parlant du Taser.

14:20 Armes anti-personnelle. Le gars qui vous tire dessus avec un canon électromagnétique, vous ne savez même pas où il est. C’est une arme crapuleuse, on comprend que les militaires ne soient pas très tentés d’en faire l’évocation.

22:50 Il va falloir tenir compte de l’arme psy, il n’y aura forcément pas bcp d’info et peut-être de la désinfo.

23:05 On possède déjà des armes favorisant l’autosuggestion des individus, imaginons ces armes entre les mains d’un groupe mal intentionné. Les ondes représentent sans doute l’arme la plus terrible que l’homme n’ait jamais conçu, parce qu’elle peut agir sur notre cerveau, qui est une usine électro-chimique, il est donc possible d’induire des signaux artificiels de façon à provoquer les réactions voulues aussi bien au niveau musculaire que psychique. Il est possible que ce genre d’expérience ai déjà été tentée sur les malades mentaux. En tout cas il est certain que des systèmes de manipulation physique ou mentale par induction électromagnétique sont aujourd’hui disponibles.

25:45 Évocation d’HAARP

26:20 La nouvelle génération d’arme non létale handicapera l’adversaire, le paralysera, le manipulera, modifiera son comportement.


En cette période de COVID, vous vous demandez pourquoi le peuple est tellement influençable ? Je replace un autre extrait des armes de l’ombre de Marc Filterman, que j’ai relu récemment.
De plus, en relisant l’article, j’ai tiqué sur ce petit quelque chose : Rappelez-vous le bodycount quotidien par le fossoyeur Jérôme Salomon. L’effet d’une telle propagande y est aussi décrite :
Ainsi plus la TV nous fait peur, plus nos défenses immunitaires baissent. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y voir un lien de cause à effet…
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Armes electroniques

Karl Hecht : Les pensées sont libres… mais avec la numérisation mondiale c’est fini

Partie 1 de la Traduction de la pièce jointe dans l’article kla.tv : « Les pensées sont libres… » – Libres, dites-vous ?

Die Gedanken sind frei. aber mit der globalen Digitalisierung ist es damit vorbei

Karl Hecht

Professeur de neurophysiologie et professeur émérite de physiologie pathologique expérimentale et clinique de l’Université Humboldt (Charité) à Berlin Membre de l’Académie internationale d’astronautique Membre de l’Académie des sciences de Russie Président honoraire de l’Académie européenne de prévention médicale Stress, sommeil, chrono, environnement, médecine spatiale Müggelschlößchenweg 50, 12559 Berlin,
Telefon 0049/30/674 89 325, Telefax: 0049/30/674 89 323
EMail: hechtka@googlemail.com;

 

Les pensées sont libres… mais avec la numérisation mondiale c’est fini

Stimulation du cerveau par des ondes radioélectromagnétiques et des interfaces cerveau-ordinateur pour contrôler et influencer les pensées et la conscience – le concept inhumain des experts en numérisation

Karl Hecht

La raison d’écrire cet article est l’invention Neuralink par Elon Musk, patron et fondateur de Tesla Inc. annoncée par les médias en août 2020. Les médias ont rapporté qu’Elon Musk expérimente un implant d’interface cerveau-ordinateur sur des cochons. Il s’agit de connecter un smartphone ou un ordinateur aux fonctions des cellules du cerveau humain. Cet implant, appelé neuralink, est censé avoir la taille d’une pièce de monnaie et être poussé par une incision dans le cuir chevelu sur le sommet du crâne où il se développe. Musk : « à part une petite cicatrice sous les cheveux, il ne restera aucune trace ». Musk a poursuivi en expliquant que cette technologie de communication entre le cerveau et le smartphone peut avoir de nombreuses applications. Par exemple, il peut être utilisé pour combattre la douleur, les problèmes de vision et les lésions de la moelle épinière. De mon point de vue, ce neuralink est une entaille profonde dans la nature de l’Homo sapiens ou, selon les termes des chrétiens, dans la création de Dieu. L’implant est censé pouvoir communiquer avec une application sur un smartphone via une radio Bluetooth. Musk affirme qu’à l’avenir, les humains devront relier leur cerveau à des ordinateurs afin de suivre l’évolution de l’intelligence artificielle. Musk : Il s’agit d’une fibrite avec des fils fins dans la tête, semblables aux trackers de fitness qui sont généralement portés au bras. [Sources : nbt 2020 ; Drew 2020 ; Cellan-Jones 2020 ; Holzki et Telgheder 2020].

Le Neuralink est un robot, en quelque sorte, qui peut diriger psychiquement les gens et recevoir et transmettre des données sur les fonctions physiques et mentales des personnes. Bien qu’en tant que neurophysiologiste je connaisse déjà beaucoup de choses dans ce domaine (j’y reviendrai plus tard), ce neuralink est un projet odieux qui contredit toutes les règles éthiques et humanistes. Pourquoi ? Le neuralink implanté au sommet du crâne est une intervention indépendante de la personne dans la psyché humaine, ce qui signifie une intervention dans la pensée et les sentiments, dans le libre arbitre et l’action consciente, dans le but de mécaniser, de numériser et de robotiser les personnes. L’opinion de Musk selon laquelle la vie devrait être liée à l’ordinateur afin d’aligner l’intelligence artificielle sur l’intelligence humaine est vue par Armin Grunwald, chef de l’Office d’évaluation des technologies au Bundestag allemand, dans son livre : Der unterlegene Mensch : L’avenir de l’humanité face aux algorithmes, à l’intelligence artificielle et aux robots [riva premium], comme un danger pour l’humanité car avec la numérisation et la surveillance totale de l’esprit humain, toute démocratie est éliminée, avec la citation suivante [page ] Que se passerait-il si la démocratie était remplacée par une dictature dans notre pays ? L’infrastructure numérique resterait entièrement en place. Il pourrait alors être utilisé par les nouveaux dirigeants sans aucun contrôle démocratique. Et pour quoi faire, si ce n’est pour soutenir la dictature par une surveillance totale ! C’est effrayant : jamais dans l’histoire de l’humanité les conditions techniques d’une dictature totale n’ont été aussi bonnes qu’aujourd’hui. Comparé à nos technologies de surveillance numérique, tout ce qu’Hitler, Staline ou Mao avaient à offrir n’était guère plus que des jouets d’enfants, et toute banalisation est extrêmement éloignée de mon esprit. Au dos du livre d’Armin Grunwald, le principal évaluateur d’impact technologique d’Allemagne, figure le texte suivant : Tout le monde parle de la numérisation. De merveilleuses perspectives d’avenir s’esquissent. Le confort et la prospérité, une meilleure santé et peut-être l’immortalité numérique nous attendent. Mais ces nouvelles commodités ne sont qu’un côté de la médaille. La dépendance croissante à l’égard des technologies numériques, le risque d’une surveillance totale, le rachat massif d’emplois humains par des robots, la manipulation de l’opinion publique, la perte menaçante du contrôle humain sur la technologie – cet autre côté présente des caractéristiques menaçantes. Il s’agit d’un avertissement très sérieux de la part d’un expert et d’un véritable connaisseur de la numérisation aux partisans irresponsables de la dictature de la numérisation.

1  Terrible développement d’idées du Prof. Dr. José Delgato à Elon Musk

Les informations sur la nouvelle invention d’Elon Musk, Neuralink, me rappellent l’appel d’origine sur ce sujet, le neurophysiologiste Prof. Dr. Delgado et ses expériences sur les singes Delgado [ ] était professeur à l’université de Yale dans les années 1960. Avec ses idées de recherche, il a défendu l’idée suivante : pourquoi adapter l’environnement à l’homme, alors que l’homme peut s’adapter à son environnement ! Son principe de base : la télécommande électrique ou électromagnétique pour les pensées et les sentiments doit être. Il s’est inspiré du physiologiste suisse Rudolf Hess, qui a reçu le prix Nobel pour cela en 1949. Il a pu prouver, lors d’expériences sur des animaux, que de faibles stimulations électriques placées dans certaines régions du cerveau par le biais d’électrodes à aiguille implantées pouvaient déclencher des émotions, par exemple par une stimulation électrique dans les régions du cerveau que sont l’hippocampe et l’amygdale. Ces recherches ont d’abord servi à élucider les fonctions du cerveau.

Ces expériences de Rudolf Hess ont contribué à l’état actuel des connaissances sur les émotions. Voici un bref aperçu pour la compréhension.

Les neurosciences, qui s’intéressent aux fonctions du cerveau, ont permis d’élargir considérablement notre connaissance des émotions au cours des dernières décennies. Ainsi, nous connaissons aujourd’hui les processus structurels et fonctionnels des émotions (figure 1).

Figure 1 : Processus cérébraux au cours des émotions (représentation schématique)

Au cours des émotions, les lobes frontaux du cerveau, l’hippocampe, l’amygdale et l’hypothalamus sont les structures les plus importantes. Tout stimulus libère des transmetteurs (substances messagères) au niveau des synapses. Ils activent ou inhibent la fonction de l’hippocampe, de l’amygdale et, à travers ces deux-là, de l’hypothalamus. Au cours de ce processus, nous faisons l’expérience du bonheur, de la colère, de la joie ou de la peur. Puis l’excitation passe à l’autonomie.

le système endocrinien et les muscles. De cette façon, les processus de régulation des fonctions vitales importantes sont déclenchés dans tout le corps. Le terme « émotions » est dérivé du mot latin movere = se déplacer. Le préfixe e ajoute dans le sens d’aller vers. Cette traduction littérale signifie que la fonction d’agir et de réagir est inhérente aux émotions.

La stimulation électrique du cerveau a également été utilisée à des fins thérapeutiques.

La stimulation par de fines électrodes à aiguilles implantées a été utilisée dans les années 1960 dans les cliniques neurologiques des États-Unis et de l’Union soviétique pour les patients atteints de la maladie de Parkinson souffrant d’une grave paralysie par secousses et pour les patients souffrant de crises d’épilepsie.

Figure 2 : En complément de la figure 1, cette section du cerveau est destinée à montrer les régions du cerveau qui régulent et contrôlent normalement les émotions. Les émotions peuvent être stimulées électriquement à l’aide d’électrodes à aiguilles.

Personnellement, j’ai eu l’occasion de découvrir cette option thérapeutique à la clinique neurologique de l’Académie des sciences de Saint-Pétersbourg. Bechterewa, la fille du neurologue Bechterev, qui a donné son nom à la maladie, a mené cette action pendant un certain temps avec de bons résultats. Ces patients ont été équipés d’électrodes très fines placées dans les zones cérébrales correspondantes par des méthodes stéréotaxiques. Lorsque des crises se produisaient, par exemple une grave paralysie par tremblement ou des crises d’épilepsie, de faibles impulsions de courant étaient émises par cette connexion d’électrodes dans les zones cérébrales correspondantes. En quelques secondes, ces crises ont cessé. Cette thérapie a été utilisée pour les patients pour lesquels les médicaments n’ont pas aidé. Les épileptiques étaient principalement ceux qui avaient des épilepsies qui avait été causée par des blessures de guerre. Cette thérapie n’était donnée que par des neurologues hautement qualifiés. Ces personnes qui avaient été blessées au cerveau par des éclats d’obus ou des balles avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie par jour sans ce traitement. C’est une charge très lourde. On peut les aider avec cette méthode.

2 Stimulation du cerveau également possible par télécommande avec des ondes radio électromagnétiques

Delgado a prouvé qu’il pouvait modifier complètement la pensée et l’état émotionnel de ses cobayes en changeant la fréquence, l’intensité du champ, l’amplitude et la forme d’onde à distance.

Figure 3 : Le livre de Delgado, Physical Control of the Mind [1971], décrit le contrôle des processus mentaux et neuronaux par des ondes radio électromagnétiques

2.1 Comment j’ai (Karl Hecht) vécu l’expérience de Delgado

En 1968, le Congrès mondial de physiologie se tenait à Washington. Lors d’une conférence filmée, Delgado y a présenté son expérience impressionnante mais aussi controversée sur les singes. Dans ce film, Delgado a montré un troupeau de singes avec un chef agressif. Lorsque ce singe leader se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, criait et battait ensuite les animaux de son troupeau. Delgado a expérimenté ce troupeau de la manière suivante. Le singe principal avait sur la tête la puce du stimulateur, qui était déjà à l’époque une interface entre le cerveau (avec le stimulateur) et un émetteur. Ce stimulateur pouvait être activé par des ondes radio électriques en appuyant sur un grand levier. Cela se faisait au moyen d’un émetteur qui, lorsqu’on appuyait dessus, envoyait des ondes radio à la puce de stimulation implantée dans le singe de tête, qui pouvait alors stimuler certaines régions du cerveau. Lorsque le singe de tête se mettait en colère et criait, un singe du troupeau courait vers le levier, l’actionnait et transformait le singe de tête en colère en un état paisible de domestication des agneaux. En quelques secondes, le comportement émotionnel du singe principal a été complètement transformé. Delgado a ensuite utilisé sa télécommande sur des taureaux en colère dans les arènes espagnoles, les transformant en créatures pacifiques grâce à sa méthode. Cependant, Delgado a ensuite travaillé en partie sans sa puce stimulateur car les résultats de la recherche ont montré que l’on pouvait pénétrer directement dans les fonctions du cerveau avec des fréquences d’ondes radio électromagnétiques via l’activité bioélectrique (ondes de courant cérébral). Il suffisait de mettre en résonance la fréquence, l’intensité du champ, l’amplitude et la forme d’onde des ondes cérébrales ou d’utiliser les ondes cérébrales comme ondes porteuses pour les ondes électromagnétiques. L’homme, en tant qu’être vivant électromagnétique, peut entrer en résonance avec les ondes électromagnétiques présentes dans l’environnement.

 

3 L’électromagnétosphère, l’environnement naturel de notre planète

L’homme est, comme décrit, un être électrique vivant dans une enveloppe électromagnétique sur la planète Terre. La magnétosphère de la Terre (champ géomagnétique), située à des kilomètres au-dessus de la surface de la Terre, est vitale pour les humains et pour toute vie sur notre planète. Le champ géomagnétique émet naturellement des ondes de Schumann (dans la gamme 7-12 Hz sous forme de variabilité de fréquence). Ces fréquences correspondent au rythme alpha de l’EEG. Le champ géomagnétique et la lumière sont quasi-stationnaires et constamment présents et sont soumis à des fluctuations diurnes correspondantes. Les fréquences extrêmement basses, c’est-à-dire les micropulsations, ont une gamme de fréquences d’environ 1-30 Hz. La plus grande force de ces pulsations se situe entre 7 et 12 Hz. Or, il s’agit de la gamme de fréquences du rythme intrinsèque des assemblées de cellules, notamment des cellules nerveuses. (L’onde de Schumann est donnée comme une valeur moyenne de 7,8 Hz.)

 

4 Les investigations sensationnelles de Rütger Wever sur les interrelations entre les rythmes circadiens chez l’homme et la fréquence de 10 Hz du champ géomagnétique dans le bunker d’Andechs près de Munich.

Prof. Dr. Rütger Wevers Aufgabenstellung. Les facteurs physiques non perçus peuvent-ils influencer la périodicité circadienne ?

Selon Wever, il était nécessaire de clarifier comment des facteurs physiques qui ne sont pas perçus consciemment, par exemple les CEM, peuvent affecter la périodicité circadienne des fonctions corporelles. Selon Wever [1968], il s’agit des champs électriques et magnétiques présents dans notre atmosphère ; et ici le champ électro-magnétique d’une fréquence d’environ 10 Hz de Schumann et König [1954] est particulièrement intéressant, car ce champ a un cycle diurne prononcé dans son intensité et pourrait donc éventuellement contribuer à la synchronisation à une période de 24 heures – conclusions de Wever : La preuve de l’effet des champs de 10 Hz sur la périodicité circadienne de l’homme répond en même temps à la question de l’effet possible de ces champs sur l’homme. La fréquence d’environ 10 Hz est également intéressante pour cette question : Les composantes d’onde de l’électroencéphalogramme ont une fréquence moyenne de 10 Hz [Berger 1929]. En outre, toute la surface du corps des animaux à sang chaud vibre mécaniquement à une fréquence d’environ 10 Hz, de manière variable selon la fréquence [Rohracher 1949] ; Après la découverte du rayonnement atmosphérique de 10 Hz (la surface de la terre vibre également à une fréquence de 10 Hz [Rohracher 1949]), la question d’un effet des vibrations terrestres sur l’homme en influençant les vibrations humaines à la même fréquence [König et Ankermüller 1960]. Pour répondre à cette question, la mesure de la période circadienne dans des conditions constantes s’est avérée être un test particulièrement sensible.

Dans une cage de Faraday, l’influence de la résonance de Schumann sur les humains a été éliminée.

La preuve est faite : la résonance de Schumann agit sur l’horloge interne (rythme circadien) via le noyau supachiasmatique du cerveau et sur la glande pinéale, qui régule le système de la mélatonine.

La mélatonine est l’hormone du sommeil qui est amenée dans la circulation sanguine par la glande pinéale lorsqu’il fait nuit et qui induit ainsi le sommeil.

Figure 4 : Représentation schématique de la connexion de la résonance de Schumann dans la structure et le fonctionnement du cerveau humain

igure 5 : Représentation schématique des résultats de Rütger Wever après avoir éteint la fréquence de Schumann dans la cage de Faraday (bunker d’Andechs)

 

Ces fréquences vitales sont appelées résonances de Schumann, du nom de leur découvreur, le professeur Winfried Otto Schumann, professeur titulaire d’électrophysique à l’Université technique de Munich (1952,1954). Les découvertes de Schumann dans les années 1950 et 1970 sont devenues une condition préalable à la réussite de tout programme spatial. Son élève et successeur, le professeur Herbert L. König, a été le premier à mettre en évidence la correspondance entre la résonance de Schumann et les ondes cérébrales humaines (1974, 1975). Il a découvert le phénomène cosmique du couplage des fréquences de notre cerveau à la résonance Schumann du champ géomagnétique. Bien que les ondes de Schumann n’aient qu’une intensité minimale de 0,3 picowatts/cm², elles déterminent profondément notre vie. Sans eux, notre vie n’est pas possible. Comme toutes les ondes électromagnétiques naturelles ELF (extrêmement basse fréquence), elles pénètrent toutes les formes de matière, de la roche aux tissus organiques. Elles correspondent au schéma des ondes cérébrales dans l’électroencéphalogramme (EEG), plus particulièrement aux ondes alpha et thêta. Le rythme alpha-thêta est prédominant dans nos phases de relaxation et de rêve. C’est également là que se déroulent les processus d’autoguérison et le renforcement du système immunitaire de notre corps, ainsi que les phases de réparation des cellules. Les fréquences de nos ondes cérébrales sont accordées à la résonance de l’univers et du champ magnétique de la terre (géomagnétosphère). Ce champ géomagnétique protège la vie sur notre planète et empêche les radiations mortelles provenant du cosmos et du soleil. Toutefois, il peut être temporairement perturbé par les tempêtes solaires, ainsi que par les ondes radio CEM en cas d’exposition continue. Les orages magnétiques provenant du soleil peuvent désactiver temporairement la résonance de Schumann. Les orages magnétiques provenant du soleil provoquent des perturbations du champ magnétique terrestre et des perturbations associées dans la régulation du cerveau, en particulier la régulation de la mélatonine. La mélatonine est l’hormone du sommeil qui est amenée dans la circulation sanguine par la glande pinéale dans l’obscurité et induit ainsi le sommeil. Le sommeil est perturbé pendant les tempêtes solaires. Les ondes radioélectriques provoquent également le même effet [Schliepharke 1932].

Figure 6 : Les orages magnétiques du soleil et les systèmes d’ondes radio électromagnétiques puissants interrompent également la connexion naturelle entre les humains et les champs géomagnétiques vitaux (résonance de Schumann)

Tout comme les orages magnétiques du soleil, toutes les ondes radio électromagnétiques produites par les humains peuvent affecter les humains, et ce à des intensités de champ très faibles. Cela est particulièrement vrai pour le réseau mondial 5G, car les ondes radio sont des supports d’information et peuvent stimuler les processus cérébraux, mais aussi les détruire. Si le projet d’Elon Musk de déployer 10 000 satellites proches de la terre, afin de construire un réseau radio 5G mondial se réalise, l’humanité sera privée d’un facteur environnemental vital, avec au moins des effets tels que ceux que provoqueraient les orages magnétiques du soleil. En conséquence, les personnes vont subir un stress oxydatif [Yakymenko et al. 2014 ; Warnke et Hensinger 2013], des troubles du sommeil et donc un affaiblissement considérable du système immunitaire. Les virus et les bactéries disposent ainsi d’une base pour développer des maladies infectieuses, telles que la grippe et les infections coronaires. Depuis plus de 100 ans, les découvertes physiopathologiques (par exemple, Claude Bernard, ) ont montré que trois facteurs jouent généralement un rôle dans le déclenchement des maladies infectieuses :

1. l’environnement (par exemple, le manque d’hygiène, le rayonnement électromagnétique des ondes radio, la pollution de l’environnement)

2. le manque de résistance et de résilience, la faiblesse du système immunitaire

3. les germes de la maladie

Ce fait a également été souligné par les médecins de l’Initiative de compétence dans une lettre ouverte adressée à la chancelière allemande et à d’autres politiciens de premier plan en rapport avec la maladie corona, montrant que l’exposition permanente à la radio mobile affaiblit le système immunitaire. S’il existe un environnement naturel correspondant à l’homme et que celui-ci possède une résistance et une résilience prononcées, les bactéries et les virus ne peuvent pas devenir pathologiquement efficaces. C’est ce qu’a prouvé de manière convaincante le professeur Max Pettenkofer dans son expérience personnelle. Max Pettenkofer ( ), hygiéniste et médecin de l’environnement (du point de vue actuel), était un adversaire acharné de Robert Koch ( ), qui a prouvé de façon célèbre que les bactéries étaient la cause des maladies. Pour prouver le contraire, Max Pettenkofer a bu un verre de liquide contenant des millions de bactéries du choléra devant l’auditorium de l’université de Munich en 1892. Sa force physique et psychologique était si forte lors de la confrontation avec les bactéries qu’il a pu les vaincre. Il est resté en bonne santé.

L’irradiation à long terme par des ondes radio électromagnétiques (WLAN, radar, 5G, DECT, etc.) affaiblit la résistance et la résilience [Hecht 2012, 2019 ; Warnke 2004 ; Warnke et Hensinger 2013]

5 Les fonctions neurophysiologiques du cerveau offrent les meilleures conditions suivantes pour le contrôle de la pensée et de la conscience

L’influence des ondes radio électromagnétiques sur les pensées humaines peut déjà se produire à des intensités de champ très faibles (< 0,05 mv/cm²). À 10 mv/cm² (correspond à la valeur limite valable en Allemagne, en Europe et aux États-Unis), des modifications de l’activité bioélectrique sont détectées dans les études cliniques et épidémiologiques (électroencéphalogramme EEG). On peut supposer que des champs particulièrement faibles sont efficaces pour le contrôle mental, car des champs plus intenses peuvent déjà provoquer des perturbations dans le fonctionnement du cerveau (par exemple, dépression, changements de perception). Le docteur en sciences techniques Igor Orzhelskyi, qui avait pour tâche de fournir aux cosmonautes soviétiques des systèmes permettant de lutter contre les différents problèmes de santé des voyageurs de l’espace, a dressé une liste des intensités de champ électromagnétique auxquelles les changements dans l’organisme humain peuvent se produire. Les résultats sont issus d’une connaissance précise des études épidémiologiques cliniques réalisées à grande échelle dans l’ancienne Union soviétique. Une attention particulière a été accordée à l’intensité des champs électromagnétiques et à la durée de leur effet.

Ces paramètres n’ont pas été pris en compte lors de la fixation des valeurs limites en Europe et en Allemagne.

Intensité EMF (mW/cm2)

Changements observés

600

Sensations de douleur avec une courte durée d’irradiation

200

Suppression des processus de régénération de l’acide dans le tissu

100

Augmentation de la pression artérielle avec sa diminution ultérieure ;en cas d’influence – hypotension stable. Bilatéral. Cataracte

40

Sensation de chaleur, vasodilatation. Avec une irradiation de 0,5-

1 h augmentation de la pression à 20-30 Torr

20

Stimulation des processus redox dans les tissus (stress oxydatif)

10

Asthénie après 15 min. d’irradiation, changement de l’activité bioélectrique du cerveau.

8

Déplacements indéterminés du côté du sang avec un

temps d’irradiation total de 150 h, l’altération de la

Coagulation du sang

6

modifications électrocardiographiques, modifications dans l’appareil récepteur

4-5

Modifications de la pression artérielle avec répétition Rayonnement, leucopénie non permanente, érythropénie

3-4

Réaction vagotonique avec des symptômes de bradycardie, ralentissant la conductivité électrique du cœur

2-3

Baisse prononcée de la pression artérielle, tendance pour augmenter le pouls, des vibrations insignifiantes du Volume cardiaque

1

Diminution de la pression artérielle, tendance à augmenter la fréquence cardiaque, fluctuations insignifiantes du volume cardiaque. acceptation du tonus ophtalmique avec influence quotidienne au cours de 3,5 mois

0,4

Effet auditif en cas d’utilisation d’un CEM à impulsion.

0,3

Certaines modifications du système nerveux en cas d’exposition chroniqueinfluence sur 5-10 ans

0,1

Modifications électrocardiographiques

Bis 0,05

Tendance à la baisse de la pression artérielle chez les patients chroniques

 

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Le Chili prépare une loi pour protéger les cerveaux humains de la technologie

C’est en passe d’être le premier pays au monde à instaurer des « neurodroits » pour protéger l’identité des individus, leur conscience et leur libre-arbitre face aux avancées des neurotechnologies.

Elon Musk potasse ses implants cérébraux Neuralink, Facebook dévoile un prototype de bracelet pour contrôler un clavier par la pensée… Et le Chili ne compte pas rester les bras ballants face au développement de ces interfaces cerveaux-machines. Le pays est sur le point d’inscrire dans sa constitution un droit des cerveaux ou « neurodroit »  et de légiférer sur les neurotechnologies. Le 22 avril, le Sénat a approuvé à l’unanimité le projet de réforme constitutionnelle. Il doit maintenant être approuvé par la Chambre des députés.

L’idée de cette initiative, portée par le sénateur Guido Girardi, est de préserver l’« intégrité physique et psychologique » des individus, et de faire en sorte qu’il ne soit pas possible d’« augmenter, diminuer ou perturber cette intégrité individuelle sans le consentement approprié ».

L’une des avancées qui inquiète particulièrement les législateurs chiliens est la possibilité de lire des pensées, voire de modifier et d’« écrire » des pensées et souvenirs. La chose a déjà été réalisée en laboratoire sur des souris, affirme Rafael Yuste, neurobiologiste américain proche du sénateur Guido Girardi, à l’AFP. Le chercheur ne nie pas pour autant l’espoir que représentent ces technologies pour traiter des maladies comme Parkinson et la schizophrénie.

Les législateurs tiennent par ailleurs à ce que les neurotechnologies se développent de manière égalitaire, de sorte à ne pas créer une double société avec d’un côté des humains augmentés et de l’autre ceux qui n’auront pas accès à ces nouvelles capacités.

La loi en retard sur les données personnelles, peut-être pas sur les données cérébrales

L’objectif est aussi de ne pas laisser la technologie aller plus vite que la loi, comme c’est souvent le cas. « Nous avons raté le train de la protection des données personnelles sur Internet et celui des données cérébrales est sur le point de quitter la gare », expliquait Rafael Yuste à Ouest France en décembre 2020. Le Chili apparaît comme un pionnier, explique le journal La Tercera. La communauté internationale, et notamment la France, l’Espagne et les États-Unis, pourraient suivre son exemple.

 

 

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Dr. Karl Hecht : Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

Encore un témoignage d’un neurologue et chercheur en neuroscience concernant le contrôle social et individuel via les ondes électromagnétiques.


Jamais auparavant les conditions technologiques pour une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. À l’ère de la digitalisation, la manipulation de la pensée et le contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques, sont devenus une réalité omniprésente. Selon le Professeur Karl Hecht 96 ans, c’est seulement en renonçant consciemment à l’idéologie de la digitalisation qu’on peut éviter d’être réduit à l’état de robots humains totalement contrôlés. Voyez et écoutez dans cette interview, l’appel au réveil du célèbre médecin et chercheur en neuroscience.


 

https://www.kla.tv/18322

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement. Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés. Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020. Interview: Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ? Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article. Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ? Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain. Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé. Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez. Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau. Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur. Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau. Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux ! Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi. Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ? Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences. Modérateur : Oui, avec plaisir. Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant. Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur. Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles. Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ». Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est… Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement. Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G… Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses. Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ? Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc. Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ? Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible. Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot. Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature. Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ? Prof. Hecht : Se protéger… Modérateur : Oui, se protéger. Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer. Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens. Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2. Modérateur : C’est moins que la limite actuelle. Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets. Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut. Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article. Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

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BiblioTI – La Guerre secrète contre les peuples

 

 


Dans cet extrait du livre de Claire Séverac, il est question de Barrie Trower, du Dr Begich. Je reconnais des retranscriptions de Vidéos célèbres que l’on peut trouver sur Youtube, dès lors qu’on s’intéresse au mind-control.


HAARP, LA PREMIÈRE ARME DE MIND CONTROL À L’ÉCHELLE MONDIALE ?

Dès 1952, le Dr José Manuel Rodriguez Delgado, professeur de physiologie à Yale, avait découvert la possibilité d’influencer le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et de certaines ondes. Avec d’autres scientifiques comme Robert Becker, ils ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par HAARP, qui sont couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats très tangibles ».

Le Dr Begich explique que certaines ondes de très basses fréquences peuvent provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels comme des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour ». HAARP pourrait donc « influencer le comportement et les facultés mentales des individus, à des fins militaires, de maintien de l’ordre ou de contrôle politique », en plus « d’affecter la santé des personnes et d’avoir un impact biologique sur l’environnement[253] ». Son inquiétude est d’autant plus vive que des expériences sont menées dans ce sens aux États-Unis, notamment à Los Alamos, l’un des grands centres de recherche américains dans le domaine des armes de très haute technologie. Il se réfère aux travaux du Dr William Ross Adey, professeur d’anatomie et de physiologie, qui a découvert que des ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle et génèrent des signaux micro-électriques qui se propagent dans le système nerveux et informent le cerveau sur ce qui nous entoure. Ces ondes pulsées modifient le pH sanguin et affaiblissent le système immunitaire humain.

Une synthèse de nombreuses études qui prouvent « la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l’induction électromagnétique d’algorithmes fondamentaux » a été publiée dès juin 1995 dans Perceptual and Motor Skills. Son auteur, Micheal A. Persinger[254], chercheur à la Laurentian University d’Ontario, au Canada, indique : « La neuroscience contemporaine suggère l’existence d’algorithmes fondamentaux par lesquels toute transduction sensorielle est traduite dans le code intrinsèque spécifique au cerveau. La stimulation directe de ces codes dans les cortex temporel ou limbique humains par l’application de signaux électromagnétiques pourrait requérir des niveaux d’énergie à la portée tant de l’activité géomagnétique que des réseaux de télécommunications contemporains. Un processus couplé avec l’étroite bande de température du cerveau permettrait d’affecter tous les cerveaux humains normaux avec une sous-harmonique dont la fréquence aux environs de 10 Hz ne varierait que de 0,1 Hz. » L’étude précise aussi que Sandyk (1992) et Jacobson (1994) ont trouvé que les champs magnétiques complexes avec des durées de pulsation interstimulus variables pourraient provoquer des changements sans précédent dans les niveaux de mélatonine… La mélatonine qui, outre ses fonctions hormonales et d’antioxydant, jouerait un rôle particulier dans la protection de l’ADN nucléaire, dans l’ADN mitochondrial et le système immunitaire.

D’autres recherches ont mis en évidence l’interaction avec le réseau de neurones (Robert G. Jahn et Brenda Dunne, 1987), d’où l’association entre l’exposition à des champs électromagnétiques (60 Hz) et les tumeurs du cerveau.

Dans les années soixante-dix, Persinger, Ludwig et Ossenkopp, ont montré qu’avait émergé un potentiel, improbable à l’époque, mais réalisable avec HAARP. « Ce potentiel est la capacité technique d’influencer directement la majorité des six milliards de cerveaux humains sans la médiation des modalités sensorielles classiques, en générant l’information neurale dans le milieu physique où tous les membres de l’espèce sont immergés. »

 

Barrie Trower, ex-agent formé à l’usage militaire des micro-ondes, ayant travaillé pour la Navy, révèle que les micro-ondes étaient employées couramment, comme elles le sont de nos jours, par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les faire mourir à petit feu. Il a ensuite passé onze ans à collecter les informations des espions arrêtés ou retournés, à interroger aussi les terroristes, les criminels internationaux, quiconque présentant un intérêt pour savoir où les autres pays en étaient de leurs recherches… Et il raconte que tout a commencé par des expériences menées par les Soviétiques sur l’ambassade des États-Unis durant la Guerre froide. Les Américains se sont rendu compte qu’il y avait un taux anormal de cancers du sein, d’enfants atteints de leucémies et d’autres cancers parmi le personnel diplomatique, et ils ne comprenaient pas pourquoi. Alors ils ont changé certains employés, et les nouveaux ont aussi eu des leucémies et des cancers. Ils ont une nouvelle fois changé l’équipe, et ils ont fini par découvrir qu’ils étaient exposés à des micro-ondes.

« C’est là, nous apprend-il, que le gouvernement des États-Unis s’est mal conduit : ils ont décidé de ne rien dire, utilisant leur propre peuple comme des cobayes pour développer leurs propres armes. Quand on a découvert ce qu’il se passait, il y a bien sûr eu un démenti, comme d’habitude, puis un rapport secret ! » Finalement, une sommité de la science, le professeur John Goldsmith, rédigea le rapport définitif confirmant que les micro-ondes de faible intensité provoquaient une énorme quantité de cancers, de leucémies et d’autres troubles. Et Trower témoigne que depuis, quand les gouvernements veulent juguler un groupe de gens, ils utilisent les microondes comme ils l’ont fait à Greenham Common sur une manifestation pacifique de femmes qui protestaient contre la présence de missiles américains sur le sol anglais.

Il révèle que ces femmes ont été ciblées depuis la base américaine, bombardées d’ondes pour les rendre malades, et quand les résultats sont tombés, il y avait une quantité anormalement élevée de tumeurs, de changements de personnalité et de tendances suicidaires parmi elles. Même chose sur les catholiques d’Irlande du Nord.

Selon lui, il existe un engouement généralisé pour les micro-ondes en tant qu arme furtive, et celui-ci est flagrant depuis les années cinquante.

Certaines applications ont un effet immédiat. Il explique qu’avec « une fréquence pulsée, vous pouvez rendre quelqu’un suicidaire. Les personnes ne prennent alors plus la peine de manifester. Leur seul désir est de rester au lit ou de dormir toute la journée. Donc, si vous ciblez des manifestants, si vous les rendez dépressifs, ils ne cherchent plus à manifester. Ils sont épuisés. » D’autres sont plus insidieuses : « Si vous voulez induire une maladie mentale spécifique, il vous faudra un appareil infrarouge qui suivra la personne, et vous le ferez fonctionner avec un émetteur de micro-ondes aussi fin qu’un stylo, de sorte que le faisceau de micro-ondes cible toujours une glande ou une partie du cerveau en particulier, ou un œil, ou le cœur. »

« C’est une arme dont on ne sait pas qu’on est la cible, ajoute-t-il, parce que la dose est très, très faible, ce qui est encore plus dangereux que des doses élevées, et ça peut prendre un an ou deux avant de déclencher des dommages neurologiques et des cancers[255]. »

Justement, Barrie Trower confie que, parmi la cinquantaine de conversations hautement « top secrètes » qu’il a eues pendant ses années d’activité, deux d’entre elles concernaient la mort de chefs d’États : « Leurs successeurs m’ont dit qu’ils pensaient qu’ils avaient été tués par un rayonnement micro-ondes. Ils ont fait leur enquête et c’était leur conclusion… » Chavez lui-même évoquait la possibilité de complots à l’origine des cancers des chefs d’États sud-américains, et dénonçait une technologie américaine entre les mains de la CIA pour inoculer le cancer. Barrie mentionne à ce sujet que les armes à micro-ondes n’étaient pas un secret avant le milieu des années soixante-dix, « ils en parlaient librement autour de biscuits et d’une tasse de thé ». Puis les gouvernements ont saisi le plein potentiel de cette technologie et ont alors décidé de la faire tomber sous la loi des secrets officiels[256].

Mais les expériences se sont succédé pour permettre de maîtriser de mieux en mieux la technique ! L’une d’entre elles consistait à cibler une personne ordinaire jusqu’à la rendre folle ; elle finissait par aller voir un psychiatre qui diagnostiquait une schizophrénie, une paranoïa ou une autre maladie psychiatrique. La personne se retrouvait enfermée dans un asile à souffrir pour le restant de sa vie ; mais pour le gouvernement, c’était un succès ! « Les humains étaient considérés comme des rats de laboratoires. S’ils voulaient mener des expériences sur vous, ou sur des milliers de personnes, ils le faisaient. On peut vous conduire à la folie et à la mort. Vous représentez une case que l’on coche sans aucune émotion. C’est ce qu’ils font, et c’est pour cela qu’ils sont au-dessus de la loi », dénonce-t-il.

Une autre manipulation du cerveau, très facile d’après Barrie Trower, est de faire entendre des voix. « Et ce n’est pas que les gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. » En fait, explique-t-il, quand on parle à quelqu’un, notre voix n’est pas dans son cerveau, elle ne dépasse pas quelques centimètres dans son oreille, c’est le signal électrique qui lui fait interpréter le son produit. « Et une fois que vous avez ce signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup d’autres choses, vous pouvez faire entendre physiquement des voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant comme le diable, cela peut être n’importe quoi[257]. »

Il y a aussi la possibilité de « pucer » les gens, et ensuite « si vous connaissez la localisation géographique de votre cible, vous pouvez utiliser les forces spéciales pour projeter un faisceau depuis un satellite ». Le faisceau active alors la puce, la met sous tension, et elle renvoie le signal. C’est un type de puce qui ne fonctionne que lorsqu’elle est stimulée. L’autre type de puce envoie en continu des impulsions pour stimuler à une fréquence donnée, par exemple, une glande du corps, qui va produire une substance chimique spécifique, entraînant une réponse spécifique dans le cerveau.

Rien de très étonnant quand on a lu le livre de Zbigniew Brzeziński, Between Two Ages – Americas Rôle in the Technetronic Era, dans lequel il déclare, page 28 :

« […] il peut être possible -et tentant -d’exploiter à des fins stratégiques et politiques, les fruits de la recherche sur le cerveau et le comportement humain. Gordon J. F. MacDonald, ce géophysicien spécialisé dans les problèmes de la guerre, a écrit que des décharges électroniques excitées artificiellement et mesurées avec précision “pourraient permettre de développer un système qui altérerait sérieusement les performances du cerveau de très vastes populations dans des régions sélectionnées sur une longue période… Peu importe à quel point l’idée d’utiliser l’environnement pour manipuler le comportement dans l’intérêt national de quelques-uns peut être dérangeante, la technologie permettant cette utilisation se développera très probablement dans les prochaines décennies”. » Notons qu’il écrit cela après avoir pris la peine de mentionner dans l’introduction que « ce livre n’est pas un exercice en futurologie », mais une façon d’aider les lecteurs « à mieux saisir la nature du monde politique dans lequel nous vivons, les forces qui le forment et les directions qu’il poursuit » ! C’était en 1970.

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Armes electroniques

Les armes Micro-Ondes, l’effet Frey

Article trouvé sur le Blog de Paul Jaurion « COMMENT SE DÉBARRASSER DES GÊNEURS » OU « ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS ! »

Vidéo : Solid State – Active Denial Technology

Cette vidéo illustre un article du New York Times que voici, brut de décoffrage

Une théorie effrayante sur les maladies des diplomates américains à Cuba

Les médecins et les scientifiques disent que les frappes aux micro-ondes peuvent avoir causé des délires soniques et des dommages cérébraux très réels parmi le personnel de l’ambassade et les membres de la famille.

Par William J. Broad
1er septembre 2018

Pendant la guerre froide, Washington craignait que Moscou ne cherche à transformer le rayonnement micro-ondes en armes secrètes de contrôle de l’esprit.
Plus récemment, l’armée américaine elle-même a cherché à mettre au point des armes à micro-ondes qui pourraient rayonner invisiblement dans la tête des gens avec des impacts douloureusement bruyants et même des mots parlés. Les objectifs étaient de neutraliser les attaquants et de mener une guerre psychologique.
Aujourd’hui, les médecins et les scientifiques disent que ces armes non conventionnelles peuvent avoir causé les symptômes et les maux déconcertants qui, à partir de la fin de 2016, ont frappé plus de trois douzaines de diplomates américains et de membres de leur famille à Cuba et en Chine. Les incidents cubains ont entraîné une rupture diplomatique entre La Havane et Washington.
L’équipe médicale qui a examiné 21 diplomates cubains affectés n’a fait aucune mention des micro-ondes dans son rapport détaillé publié dans le JAMA en mars. Mais Douglas H. Smith, auteur principal de l’étude et directeur du Center for Brain Injury and Repair de l’Université de Pennsylvanie, a déclaré lors d’un récent entretien que les micro-ondes étaient désormais considérées comme un suspect principal et que l’équipe était de plus en plus sûre que les diplomates avaient subi des lésions cérébrales.
« Tout le monde était relativement sceptique au début, dit-il, et maintenant tout le monde est d’accord pour dire qu’il y a quelque chose. Le Dr Smith a fait remarquer que les diplomates et les médecins parlent en plaisantant du traumatisme comme d’une commotion cérébrale immaculée.
Selon certains experts, les attaques aux micro-ondes expliquent de façon plus plausible les rapports de sons douloureux, de maux et de traumatismes que d’autres coupables possibles – attaques sonores, infections virales et anxiété contagieuse.
En particulier, un nombre croissant d’analystes citent un phénomène étrange connu sous le nom de l’effet Frey, du nom d’Allan H. Frey, un scientifique américain. Il y a longtemps, il a découvert que les micro-ondes peuvent amener le cerveau à percevoir ce qui semble être des sons ordinaires.


Les fausses sensations, disent les experts, peuvent expliquer un symptôme déterminant des incidents diplomatiques – la perception de bruits forts, y compris les sonneries, les bourdonnements et les grincements. Au départ, les experts ont cité ces symptômes comme preuve d’attaques furtives à l’aide d’armes soniques.
Les membres de Jason, un groupe secret de scientifiques d’élite qui aide le gouvernement fédéral à évaluer les nouvelles menaces à la sécurité nationale, disent qu’il a examiné le mystère diplomatique cet été et pesé les explications possibles, y compris les micro-ondes.

Interrogé sur la théorie des micro-ondes, le département d’État a déclaré que l’enquête n’avait pas encore identifié la cause ou la source des attentats. Et le F.B.I. a refusé de commenter l’état d’avancement de l’enquête ou toute théorie.
L’idée du micro-ondes regorge de questions sans réponse. Qui a tiré les poutres ? Le gouvernement russe ? Le gouvernement cubain ? Une faction cubaine malhonnête qui sympathise avec Moscou ? Et, dans l’affirmative, où les attaquants ont-ils obtenu les armes non conventionnelles ?
À son domicile à l’extérieur de Washington, M. Frey, le scientifique qui a découvert le phénomène neural, a déclaré que les enquêteurs fédéraux l’ont interrogé sur l’énigme diplomatique et que le rayonnement micro-ondes est considéré comme une cause possible.
M. Frey, aujourd’hui âgé de 83 ans, a beaucoup voyagé et a longtemps travaillé comme entrepreneur et consultant pour un certain nombre d’organismes fédéraux. Il a émis l’hypothèse que les Cubains alignés sur la Russie, alliée de longue date de la nation, pourraient avoir lancé des frappes aux micro-ondes pour tenter de miner les liens entre Cuba et les États-Unis.
« C’est une possibilité », a-t-il dit à sa table de cuisine. « Dans les dictatures, il y a souvent des factions qui ne pensent pas à aller à l’encontre de la politique générale si cela convient à leurs besoins. Je pense que c’est une explication parfaitement viable. »

Développer une nouvelle classe d’armes

Les micro-ondes sont omniprésentes dans la vie moderne. Les ondes radio courtes alimentent les radars, cuisinent les aliments, relaient les messages et relient les téléphones cellulaires aux tours d’antennes. Il s’agit d’une forme de rayonnement électromagnétique sur le même spectre que la lumière et les rayons X, mais seulement à l’extrémité opposée.
Alors que la radiodiffusion radio peut employer des ondes d’une longueur d’un mille ou plus, la taille des micro-ondes varie d’environ un pied à une minuscule fraction d’un pouce. Ils sont considérés comme inoffensifs dans des utilisations quotidiennes comme les aliments au four à micro-ondes. Mais leur petite taille permet aussi une mise au point serrée, comme lorsque les antennes paraboliques transforment les rayons désorganisés en faisceaux concentrés.
Les dimensions de la tête humaine, disent les scientifiques, en font une antenne assez bonne pour capter les signaux micro-ondes.
M. Frey, biologiste, a dit qu’il a trébuché sur l’effet acoustique en 1960 alors qu’il travaillait pour le Centre d’électronique avancée de General Electric à l’Université Cornell. Un homme qui mesurait les signaux radar dans une installation G.E. à proximité s’est approché de lui lors d’une réunion et lui a confié qu’il pouvait entendre les impulsions du faisceau – zip, zip, zip, zip, zip.
Intrigué, M. Frey s’est rendu sur le lieu de travail de l’homme à Syracuse et s’est positionné dans un faisceau radar. « Lo », se souvient-il, « je l’entendais aussi. »
Les articles de M. Frey – rapportant que même les personnes sourdes pouvaient entendre les faux sons – ont fondé un nouveau champ d’étude sur les impacts neuronaux des rayonnements. Le premier article de M. Frey, en 1961, rapportait que les densités de puissance 160 fois plus faibles que « le niveau de sécurité maximal standard pour une exposition continue » pouvaient induire les délires sonores.


Comment dès lors ne pas remettre en cause le sérieux des expertises psychiatriques. Nous avons là, avec l’effet Frey, la preuve qu’une partie des symptômes de la schizophrénie peuvent être induits par des Armes à Energie Dirigée DEW


Son deuxième article, en 1962, a identifié le site récepteur du cerveau comme étant les lobes temporaux, qui s’étendent sous les tempes. Chaque lobe porte une petite région – le cortex auditif – qui traite les signaux nerveux des oreilles externe et interne.
Les enquêteurs se sont précipités pour confirmer et prolonger les conclusions de M. Frey. Au début, ils ont baptisé le phénomène d’après lui, mais ils l’ont finalement appelé l’effet auditif micro-ondes et, avec le temps, plus généralement, l’audition par radiofréquence.
Les Soviétiques en ont pris bonne note. Peu de temps après ses premières découvertes, a dit M. Frey, il a été invité par l’Académie soviétique des sciences à visiter et à donner des conférences. Vers la fin, à la surprise générale, il a été emmené à l’extérieur de Moscou dans une base militaire entourée de gardes armés et de barbelés.
« Ils m’ont fait visiter les différents laboratoires et discuter des problèmes, y compris les impacts neuronaux des micro-ondes, se souvient M. Frey. « J’ai eu un aperçu de leur programme confidentiel. »
Moscou était si intriguée par la perspective du contrôle de l’esprit qu’elle a adopté une terminologie spéciale pour l’ensemble de la classe des armes envisagées, les appelant psychophysiques et psychotroniques.
La recherche soviétique sur les micro-ondes pour la « perception interne du son », averti en 1976 par la Defense Intelligence Agency, s’est révélée très prometteuse pour « perturber le comportement du personnel militaire ou diplomatique ».
Sur le plan mondial, la menace s’est accrue.
L’Agence de sécurité nationale a donné à Mark S. Zaid, un avocat de Washington qui obtient régulièrement des autorisations de sécurité pour discuter de questions classifiées, une déclaration sur la façon dont une puissance étrangère a construit une arme « conçue pour baigner les quartiers d’habitation d’une cible dans des micro-ondes, causant de nombreux effets physiques, y compris un système nerveux endommagé ».


Ceci rappelle entre autre les dires de Barrie Trower au sujet de la répression des révoltes ouvrières sous Thatcher, ou encore sur le harcèlement électromagnétique.


M. Zaid a dit qu’un de ses clients de la N.S.A. qui s’y est rendu a regardé avec incrédulité son système nerveux se déchirer plus tard, en commençant par le contrôle de ses doigts.

Washington a aussi prévu de nouveaux types d’armes

À Albuquerque, au Nouveau-Mexique, les scientifiques de la Force aérienne ont cherché à transmettre un discours compréhensible dans la tête des adversaires. Leur approche novatrice a obtenu un brevet en 2002 et une mise à jour en 2003. Tous deux ont été assignés au secrétaire de la Force aérienne, ce qui a permis de limiter la diffusion de l’idée.
L’inventeur principal a déclaré que l’équipe de recherche avait  » démontré expérimentalement » que le « signal est intelligible. En ce qui concerne les utilisations de l’invention, un formulaire de divulgation de la Force aérienne indiquait que la première demande était une « guerre psychologique ».
La marine a cherché à paralyser. L’effet Frey était d’induire des sons suffisamment puissants pour causer un inconfort douloureux et, si nécessaire, laisser les cibles incapables de bouger. L’arme, a noté la Marine, aurait une « faible probabilité de décès ou de blessures permanentes ».
Le contrat de 2003 a été attribué à des experts en hyperfréquences qui avaient émigré de Russie et d’Ukraine aux États-Unis.
On ne sait pas si Washington déploie de telles armes. Mais le Pentagone a construit une arme apparentée connue sous le nom de Active Denial System, le saluant dans une vidéo. Il tire un faisceau invisible destiné à dissuader les foules et les attaquants avec des sensations de feu.
La Russie, la Chine et de nombreux États européens sont considérés comme ayant le savoir-faire nécessaire pour fabriquer des armes à micro-ondes de base qui peuvent affaiblir, semer du bruit ou même tuer. Selon les experts, les pouvoirs avancés pourraient permettre d’atteindre des objectifs plus nuancés, par exemple en diffusant des mots parlés dans la tête des gens. Seuls les services de renseignement savent quelles nations possèdent et utilisent des armes qui ne leur sont pas familières.
L’arme de base pourrait ressembler à une antenne parabolique. En théorie, un tel dispositif pourrait être tenu à la main ou monté dans une fourgonnette, une voiture, un bateau ou un hélicoptère. Les bras hyperfréquences sont considérés comme travaillant sur des distances relativement courtes – sur la longueur de quelques pièces ou blocs. Les plus puissants peuvent être capables de tirer des faisceaux à travers plusieurs terrains de football, ou même sur plusieurs kilomètres.

L’épisode à Cuba

L’effondrement soviétique de 1991 a coupé les principaux liens de la Russie avec Cuba, un allié de longue date à seulement 90 milles des États-Unis. L’économie chancelante a forcé Moscou à cesser de fournir à La Havane de grandes quantités de pétrole et d’autres formes d’aide.
Vladimir Poutine, en tant que président et premier ministre de la Russie, a cherché à récupérer le poids économique, politique et stratégique que les Soviétiques avaient perdu. En décembre 2000, quelques mois après le début de son premier mandat présidentiel, M. Poutine s’est envolé pour l’île. C’était la première visite d’un dirigeant soviétique ou russe depuis la guerre froide.
Il a également cherché à ressusciter le travail soviétique sur les armes psychoactives. En 2012, il a déclaré que la Russie poursuivrait  » de nouveaux instruments pour atteindre des objectifs politiques et stratégiques « , y compris des armes psychophysiques.
En juillet 2014, M. Poutine s’est de nouveau rendu à Cuba. Cette fois, il a apporté un cadeau – l’annulation d’une dette cubaine d’environ 30 milliards de dollars. Les deux nations ont signé une douzaine d’accords.
Un navire espion russe, Viktor Leonov, a accosté à La Havane à la veille du début des pourparlers de réconciliation entre Cuba et les États-Unis au début de l’année 2015, et l’a fait de nouveau au cours des années suivantes. Moscou et La Havane se sont tellement rapprochées qu’à la fin de 2016, les deux nations ont signé un pacte de grande envergure sur la défense et la coopération technologique.

En tant que candidat, Donald Trump a critiqué la politique de normalisation de l’administration Obama comme étant  » un accord très faible  » et a menacé de le mettre au rebut dès son arrivée à la Maison Blanche. Quelques semaines après avoir remporté les élections, fin novembre 2016, l’ambassade américaine à La Havane s’est retrouvée aux prises avec une crise mystérieuse.
Les diplomates et leurs familles ont raconté des sons aigus dans les maisons et les chambres d’hôtel, parfois assez intenses pour les rendre incapacitants. À long terme, les symptômes comprenaient des nausées, des maux de tête écrasants, de la fatigue, des étourdissements, des troubles du sommeil et une perte auditive.
Le département d’État a déposé des protestations diplomatiques et le gouvernement cubain a nié toute implication. En mai, le F.B.I. a ouvert une enquête et ses agents ont commencé à se rendre à La Havane six mois après le début des incidents. Le dernier a frappé cet été-là, en août, ce qui a donné relativement peu de temps aux agents pour recueillir des indices.
En septembre 2017, l’administration Trump a averti les voyageurs de Cuba et a ordonné le retour à la maison d’environ la moitié du personnel diplomatique.
Rex W. Tillerson, qui était alors secrétaire d’État, a déclaré que le personnel de l’ambassade avait été délibérément pris pour cible. Mais il s’est abstenu de blâmer Cuba, et les fonctionnaires fédéraux ont laissé entendre qu’un tiers aurait pu être responsable.
Début octobre, le président Trump a expulsé 15 diplomates cubains, ce qui a provoqué un refroidissement entre les nations. Les critiques de l’administration ont déclaré que la Maison-Blanche utilisait la question de la santé comme prétexte pour mettre fin à la politique de réconciliation du président Barack Obama.
Le lendemain des expulsions, la Commission sénatoriale des affaires étrangères a tenu une audience à huis clos et très secrète sur la situation à Cuba. Trois fonctionnaires du département d’État ont témoigné, de même qu’un haut fonctionnaire sans nom de la Central Intelligence Agency.

L’hypothèse

Au début de cette année, en janvier, l’impact effrayant des micro-ondes sur le cerveau humain n’a jamais été évoqué lors d’une audience publique au Sénat sur la crise cubaine.
Mais dans un article scientifique du même mois, James C. Lin de l’Université de l’Illinois, un éminent investigateur de l’effet Frey, a décrit les maux diplomatiques comme provenant vraisemblablement des faisceaux de micro-ondes. Lin est le rédacteur en chef de Bio Electro Magnetics, une revue à comité de lecture qui explore les effets des ondes radio et des champs électromagnétiques sur les êtres vivants.
Dans son article, il a dit que des faisceaux de micro-ondes à haute intensité auraient pu provoquer chez les diplomates non seulement des bruits forts, mais aussi des nausées, des maux de tête et des vertiges, ainsi qu’une éventuelle lésion des tissus cérébraux. Les faisceaux, a-t-il ajouté, pouvaient être tirés clandestinement, ne touchant « que la cible visée ».
En février, ProPublica a mentionné dans une longue enquête que les enquêteurs fédéraux pesaient la théorie des micro-ondes. Séparément, il parlait d’une trouvaille intrigante. L’épouse d’un membre du personnel de l’ambassade, rapporte-t-elle, avait regardé à l’extérieur de son domicile après avoir entendu les bruits troublants et vu une camionnette s’éloigner à toute vitesse.
Une antenne parabolique pourrait facilement entrer dans une petite camionnette.
L’équipe médicale qui a étudié les diplomates cubains a attribué les symptômes de l’étude JAMA de mars à une « source d’énergie inconnue » très directionnelle. Certains membres du personnel, remarquait-il, s’étaient couverts les oreilles et la tête, mais n’avaient pas subi de réduction du bruit. L’équipe a déclaré que les diplomates semblaient avoir développé des signes de commotion cérébrale sans avoir reçu de coups à la tête.


Voir la section à propos du site où j’ai décrit ceci il y a quelques années : « 3-4 jours de douleur intense assimilable à un traumatisme crânien, douleur qui me clouait au lit, qui apparue subitement au réveil »


En mai, il est apparu que les diplomates américains en Chine avaient subi des traumatismes similaires. Le secrétaire d’État Mike Pompeo a qualifié les détails médicaux des deux groupes de « très similaire » et « tout à fait cohérent » l’un avec l’autre. Fin juin, le département d’État avait évacué au moins 11 Américains de Chine.
Jusqu’à présent, c’est Beatrice A. Golomb, médecin et professeur de médecine à l’Université de Californie, à San Diego, qui a présenté le cas médical le plus détaillé concernant les frappes aux micro-ondes. Dans un article à paraître en octobre dans Neural Computation, une revue à comité de lecture de la MIT Press, elle présente les preuves médicales potentielles d’une attaque aux micro-ondes à Cuba.
Elle a comparé les symptômes des diplomates à Cuba à ceux signalés pour les personnes qui souffriraient d’une maladie par radiofréquence. Les réponses des deux groupes en matière de santé, a écrit le Dr Golomb, « se conformer de près ».
En conclusion, elle a fait valoir que « de nombreuses caractéristiques très spécifiques » des incidents diplomatiques « correspondent à l’hypothèse » d’une attaque par micro-ondes, y compris la production de sons perturbateurs de type Frey.
Les scientifiques ne sont toujours pas d’accord sur ce qui a frappé les diplomates. Le mois dernier, la JAMA a publié quatre lettres critiquant l’étude de mars, certains reprochant au rapport d’exclure l’hystérie de masse.
Mais M. Zaid, l’avocat de Washington, qui représente huit des diplomates et des membres de la famille, a dit que les attaques par micro-ondes ont peut-être blessé ses clients.
« C’est un peu naïf de penser que ça vient juste de commencer, a-t-il dit. Globalement, a-t-il ajouté, les grèves secrètes avec les puissants faisceaux semblent se poursuivre depuis des décennies.
Francisco Palmieri, un fonctionnaire du département d’État, a été interrogé lors de l’audience publique au Sénat sur la question de savoir si les « attaques contre le personnel américain à Cuba » avaient été évoquées avec Moscou.
« C’est une très bonne question, a répondu M. Palmieri. Mais pour y faire face, a-t-il ajouté, il faudrait « un cadre classé ».
Pour sa part, M. Frey dit qu’il doute que l’affaire sera bientôt résolue. La nouveauté de la crise, sa nature sporadique et le contexte étranger ont rendu difficile pour les enquêteurs fédéraux de recueillir des indices et de tirer des conclusions, a-t-il dit, et encore moins de déposer des accusations.
« D’après ce que je sais, dit-il, cela restera un mystère. »

William J. Broad est journaliste scientifique et rédacteur principal. Il s’est joint au Times en 1983 et a partagé deux prix Pulitzer avec ses collègues, ainsi qu’un Emmy Award et un DuPont Award.  @WilliamJBroad.

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BiblioTI : A lire ! Neuro-Esclaves.

Dans la même veine qu’un « Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens », il présente l’intérêt d’éclairer le plus grand nombre sur les mécanismes du cerveau et d’attirer notre attention sur ses faiblesses pour mieux nous préserver d’éventuelles manipulations. Un livre d’utilité public.

Paolo Cioni est neuropsychiatre, professeur de psychopathologie, ancien responsable du service de santé mentale auprès de la ASL de Florence, enseignant à l’Ecole de spécialisation en psychiatrie de Florence. Il est l’auteur de divers traités ainsi que de monographies de psychologie et de psychiatrie. Il est également le co-auteur, avec Marco Della Luna, de Neuro-Esclaves. Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse.

Au menu du chapitre 11 quelques raffinements notables


J’avais commencé à compiler un tas de passages intéressants en relation avec le sujet de ce site. Devant la complexité, j’ai finalement abandonné. C’est un ouvrage à lire par tous les TI et le gens s’intéressant au phénomène.

Le bouquin est régulièrement mis à jour et augmenté, j’ai la seconde version en pdf.

Marco-Della-Luna_Paolo-Cioni-Neuro-Esclaves

 


Extrait 1

Concernant les acouphènes des TI, je pense pour avoir à les subir de manière intense depuis que j’ai découvert le forum Peace Pink (PP), qu’il s’agit en fait d’un bruit blanc auquel on ajoute un sifflement. Une fois de plus ce qui est utilisé pour de la privation sensorielle (bruit blanc) sera perçu pour qui aurait à diagnostiquer (médecin, enquêteur, journaliste…) la situation comme un problème d’acouphène et non d’agression extérieure.

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L’implant cérébral de Neuralink devrait permettre de diffuser de la musique directement dans le cerveau

L’implant cérébral de Neuralink devrait permettre de diffuser de la musique directement dans le cerveau


Appelé de ses vœux par le Dr (Mengele) Delgado, pour une société psycho-civilisée, ce type d’implant est testé sur des victimes non consentantes (votre serviteur…) depuis des décennies (Le sujet de ce blog). D’après sa fiche Wikipedia, le Dr Delgado a mis au point un système radiocommandé : le « stimoceiver ». Il écrit en 1952 son premier article sur le sujet où il affirma que « le transmetteur peut rester dans la tête d’une personne durant toute sa vie. L’énergie pour le faire fonctionner est transmise par les ondes radio »3, il faisait peut-être référence à une batterie rechargeable par induction électromagnétique. En stimulant ainsi différents sites du cerveau, il parvient à plusieurs effets, sur la motricité, sur les émotions et l’humeur, et sur d’autres points.



Elon Musk a créé Neuralink dans le but de développer l’interfaçage cerveau-ordinateur, une technologie destinée, à court terme, à traiter certaines maladies neurologiques et, à plus long terme, à améliorer et perfectionner les capacités cognitives de l’être humain. Mais Neuralink souhaiterait également intégrer une dimension divertissante à sa technologie ; ses puces cérébrales pourraient aussi permettre la diffusion de contenu audio dans le cerveau.


 

Une vieille histoire que de vouloir nous faire écouter de la musique (mais surtout des messages subliminaux)… Delgado disait également pouvoir inspirer un mot dans les pensées et provoquer des hallucinations auditives comme l’écoute d’un morceau de musique du début jusqu’à la fin. Il affirma: « Nous sommes seulement au début de notre compréhension de la stimulation électrique du cerveau, mais nous savons qu’elle peut retarder un battement cardiaque, bouger un doigt, inspirer un mot dans la mémoire [les pensées], et provoquer des sensations ». Il put également provoquer la remémoration d’événements oubliés depuis longtemps. Ce qui est utilisé contre les TI afin de les plonger pendant des heures dans leur mémoire traumatique.


 

La startup Neuralink travaille sur une interface cerveau-ordinateur qui permettra aux utilisateurs de diffuser de la musique directement dans leur cerveau, selon Elon Musk. Ce dernier est sur le point de révéler de nouvelles informations sur ce projet le mois prochain, mais a lentement publié des détails sur Twitter ces derniers jours. Répondant à l’informaticien Austin Howard, Musk a confirmé que la technologie de Neuralink permettrait aux gens « d’écouter de la musique directement à partir de nos puces électroniques ». Il a également déclaré que Neuralink « pourrait aider à contrôler les niveaux d’hormones et à les utiliser à notre avantage (capacités et raisonnement améliorés, soulagement de l’anxiété, etc.) ». Depuis sa création en 2016, Neuralink n’a organisé qu’une seule présentation publique majeure sur le fonctionnement de sa technologie. S’exprimant lors de l’événement de 2019, Musk a déclaré que l’entreprise travaillait sur un appareil de type machine à coudre qui fournirait une connexion directe entre un ordinateur et une puce insérée dans le cerveau.

 

La technologie pourrait d’abord être utilisée pour aider les personnes souffrant de maladies cérébrales comme la maladie de Parkinson, mais le but ultime de Neuralink est de permettre aux humains de rivaliser avec l’intelligence artificielle avancée. Le processus d’ajustement de la puce sera similaire à la chirurgie oculaire au laser Lasik, selon Musk.

Une partie de celui-ci impliquera un robot neurochirurgical, qui insère des « fils » flexibles dans le cerveau connectés à une minuscule puce informatique implantable. Un document de recherche détaillant le dispositif affirme qu’un seul câble USB-C fournira « un flux de données sur toute la bande passante » au cerveau. Neuralink a 11 offres d’emploi répertoriées sur son site Web, offrant des rôles pour un ingénieur mécanique, un ingénieur logiciel robotique et un « technicien en histologie ».

 

Musk a laissé entendre que la puce de Neuralink serait capable de guérir la dépression et la dépendance en « rééduquant » les parties du cerveau responsables de ces troubles. Des essais ont déjà été effectués sur des animaux et des essais sur des humains devaient initialement avoir lieu cette année, bien que les détails ne soient pas encore rendus publics.

Sources : bioRxiv

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Armes electroniques

Un conseiller de la DARPA révèle l’existence de superordinateurs (IA) conscients, utilisés pour le contrôle de l’esprit


 

Il est encore question du Dr James Giordano, déjà croisé dans une vidéo, où il présentait à un pare-terre d’élèves officiers de West Point, les avancées technologiques sur les neuro-armes, capables selon lui, de lire et écrire en temps réel dans le cerveau des êtres humains. Il fait donc partie des gars sympas, les chics types, dont les apparitions en publique sont suivis ici.


DARPA, European Human Brain Project, et le Dr James Giordano, conseiller au Pentagone, décrivent les armes de contrôle mental du cerveau neuronanorobotique à interface informatique pour la surveillance et la manipulation à distance des circuits neuronaux du cerveau. Cela permet de cloner la conscience d’un individu sur son propre avatar numérique dans une simulation de Sentient World sur un super-ordinateur. Un lien direct entre un individu ciblé et son avatar numérique existe afin que tout ce qui est fait dans le monde réel se produise dans la simulation sur ordinateur. En manipulant l’avatar numérique dans la simulation informatique, les pensées, les croyances, les perceptions et le comportement d’une personne sont manipulés dans le monde réel. C’est le contrôle de l’esprit à distance. MK ULTRA du 21e siècle. Ce n’est pas une théorie de conspiration. Ce n’est pas une blague. C’est la réalité. https://www.youtube.com/channel/UCBT3VPJlhJHeIvmDadeZB5w

James Giordano, PhD, MPhil, est chef du programme d’études en neuroéthique, chercheur en résidence, dirige le sous-programme d’éthique médicale militaire, et co-directeur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Centre Pellegrino de bioéthique clinique ; et est professeur dans les départements de neurologie et de biochimie au Centre médical de l’Université de Georgetown, Washington, DC, USA. Il est également professeur invité distingué en science du cerveau, promotion de la santé et éthique à l’Université des sciences appliquées de Cobourg, Cobourg, Allemagne, et était auparavant professeur invité de la Fondation JW Fulbright 2011-2012 en neurosciences et neuroéthique à l’Université Ludwig-Maximilians, Munich, Allemagne.

Le professeur Giordano est actuellement président du programme de neuroéthique du projet Brain de l’IEEE, et membre désigné du groupe consultatif sur la neuroéthique, les questions juridiques et sociales (NELSI) de l’Agence des projets de recherche avancée de la défense (DARPA). Il a précédemment été chercheur et chef de mission du sous-projet du projet européen sur le cerveau humain consacré à la science du cerveau à double usage, membre désigné du conseil consultatif sur la protection des chercheurs humains (SACHRP) du ministère américain de la santé et des services sociaux, et membre consultatif scientifique principal de la branche d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major commun du Pentagone.

Auteur de plus de 290 publications en neurosciences et en neuroéthique, de 7 livres et de 15 livres blancs gouvernementaux sur la neurotechnologie, l’éthique et la biosécurité, il est rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine, rédacteur en chef adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics et rédacteur en chef adjoint de Frontiers in Human Neuroscience.

Ses recherches en cours portent sur les bases neurobiologiques des troubles du spectre neuropsychiatrique et sur les questions neuroéthiques découlant du développement, de l’utilisation et de l’abus des techniques neuroscientifiques et des neurotechnologies en médecine, dans la vie publique, dans la santé mondiale et dans les applications militaires.

En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts, nommé membre étranger de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni), a reçu le prix des meilleurs anciens élèves de la City University of New York, la médaille d’or de l’Université de Cobourg pour ses réalisations exceptionnelles et a reçu le prix allemand Klaus Reichert de médecine et de philosophie.

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Articles de presse

Manipulation de l’esprit : Une réalité probablement inquiétante

 

Un article qui date un peu, qui relève que ce sujet semble étrangement n’ inquiéter personne ou pas grand monde. Ce que met en lumière la conclusion de l’article : Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.

 


 

 

September 29th, 2014

Il y a quelques années, un grand nombre d’articles ont été publiés afin de sensibiliser le public aux dangers que les neurosciences font courir à chaque individu, aux petites communautés et même à la société dans son ensemble.
Et puis, il n’y a plus rien eu. Pas de rapports de suivi, pas de publications, rien. Comme si personne ne s’en souciait plus, au lieu de gens qui manifestaient dans la rue.

Il a été annoncé que la tristement célèbre Agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis a commencé à utiliser une méthode « scientifique » appelée surveillance neurale à distance, censée renforcer la capacité des forces de l’ordre à lutter contre la criminalité et les activités terroristes.

Les conséquences de cette méthode sont horribles, quelle que soit la définition qu’on en donne.Et puis il n’y a rien eu. Plus personne ne semble s’en soucier, au lieu de poursuivre par tous les moyens légaux disponibles. Et puis, il n’y a rien eu.

Pour les non-initiés, la neuroscience est l’étude de la façon dont le système nerveux se développe, de sa structure, de ce qu’il fait, et se concentre surtout sur son impact sur le comportement et les fonctions cognitives. C’est une science pluridisciplinaire qui fait le lien avec les mathématiques, la linguistique, l’ingénierie, l’informatique, la chimie, la philosophie, la psychologie, la génétique et la médecine. C’est-à-dire tout. On suppose que la science vise à aider les personnes souffrant de troubles neurologiques, psychiatriques et neuro-développementaux.
Tout cela semblait assez discret jusqu’à ce que certaines de ses expériences voient le jour et que le public prenne conscience (ou non… il semble que non) du danger inhérent à cette méthode. L’une des expériences – aux effets plus légers – a révélé que les expérimentateurs ont appliqué des électrodes à un certain nombre de femmes pour tester l’efficacité du processus contre la dépression.

L’expérience a été qualifiée de réussite, car les sujets n’ont subi aucun dommage physique et ont été initiés à des sentiments agréables qui ont permis de dissiper leur trouble.

Les acclamations ont duré jusqu’à ce que l’on découvre que les femmes étaient toutes tombées amoureuses de leurs expérimentateurs au point d’en être absurdes. L’affaire a été portée devant les tribunaux, qui ont jugé que l’effet était imprévisible ( ?) et involontaire ( ?) et ont ordonné que tous les dossiers (identités des expérimentateurs et des sujets, lieux, délais, etc…) soient scellés et effacés.

Il n’y a jamais eu un mot sur la façon dont les sujets ont été traités après cette expérience (journalisme typique – si ça ne se vend pas, c’est que ce n’est pas intéressant) et d’autres expériences ont révélé des résultats bien pires.

D’autres enquêtes menées par d’autres journalistes ont révélé que de grandes entreprises avaient engagé des neuroscientifiques pour créer des moyens d’augmenter l’intérêt du public envers leurs produits.

Leurs armées d’avocats avaient introduit les directives pour que la recherche soit dans les limites de la loi et tout a été balayé sous le tapis.

Mais les implications sont extrêmement claires.
Une fois de plus, on ne savait pas si ces études seraient abandonnées ou si elles seraient mises en œuvre. Puisque les affaires sont les affaires, elles ont probablement été attirées par une couverture plus profonde et mises en œuvre, mais il n’y a aucune preuve de cela.

Pour ceux qui n’ont pas encore été informés, la surveillance neurale à distance fonctionne à distance et tente de contrôler le cerveau dans le but de détecter toute pensée criminelle se produisant dans l’esprit d’un éventuel coupable. La science est basée sur les principes que :

le cerveau humain est trop lent et, par conséquent, ne peut pas rivaliser avec les superordinateurs et que chaque cerveau possède un ensemble distinct de systèmes de résonance biométrique et, par conséquent, est isolable et peut être affecté.
L’ensemble du programme a été financé par les agences de sécurité des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne et de la France. On a laissé entendre qu’un programme similaire avait été développé pour la Russie, mais là encore sans aucune preuve. Les répercussions sont terribles et pourtant personne ne semble s’en inquiéter ! Non pas que l’on puisse vraiment faire quelque chose contre un programme financé par les gouvernements au plus haut niveau…

Ce ne sont pas une, mais deux prétendues sciences qui visent directement le contrôle mental et neural de l’être humain.
Et les gens vaquent à leurs occupations tous les jours, continuent leur vie et s’assoient confortablement dans leur canapé pour regarder la télévision… D’énormes sommes d’argent ont été dépensées (en secret, bien sûr) pour payer des scientifiques afin qu’ils produisent des moyens efficaces de manipulation de l’esprit. Et les gens meurent de faim ou sont plongés dans la pauvreté sans pouvoir y faire quoi que ce soit.

Si une grande entreprise peut vous ordonner d’acheter son produit, si un scientifique vous induit des sentiments et des comportements à volonté, si une agence de sécurité sait exactement à quoi vous pensez, à tout moment, ce qu’il reste qui mérite d’être appelé liberté ?

Où sont passés tous les principes de la liberté de pensée, de parole et de procédure ? Où sont passés les principes « constitutionnels » (du moins pour les pays qui prétendent encore avoir une constitution) ? La réponse : par la fenêtre.

Et la question du suivi est incontournable. Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.


References for neuroscience:

  1. Zull, J. (2002). The art of changing the brain: Enriching the practice of teaching by exploring the biology of learning.
  2. Bear MF, Connors BW, Paradiso MA (2001). Neuroscience: Exploring the Brain.
  3. Goswami U (2004). “Neuroscience, education and special education”
  4. “Brain Facts: A Primer on the Brain and Nervous System”. Society for Neuroscience.

References for Remote Neural Monitoring:

  1. Robert C. Gunn, PhD, Arbor, Michigan, NSA clinical psychologist currently indicted for human and Constitutional rights violations of Mind Control. Extracts from the passage of the affidavit of the indictment.
  2. Declassified documents by NSA of the MKULTRA project
  3. R.G. Malech Patent #3951134 “Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves” USPTO granted 4/20/76

 

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