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Armes electroniques

Partie 2, Karl Hecht : Les pensées sont libres… mais avec la numérisation mondiale c’est fini

6 L’électronique et le contrôle mental décrits dès 1973,

une publication scientifique est parue sur l’utilisation des micro-ondes pour le contrôle mental. Cette possibilité est décrite comme suit par l’auteur Lawrence : Selon Weiner, une feuille de métal suspendue au plafond et reliée à un générateur électrostatique d’une fréquence de 10 Hz peut provoquer des sensations désagréables chez les gens. À une intensité de champ de 1 ou 2 volts par centimètre carré, ce champ alternatif coïncide à peu près avec la fréquence du rythme alpha des ondes cérébrales humaines. Ce champ électrique tente maintenant de maintenir les ondes cérébrales à la fréquence fixe du générateur. Les machines à dormir électroniques fonctionnent sur des principes similaires, avec des courants d’amplitude et de longueur d’impulsion fixes (généralement des impulsions carrées) qui traversent le crâne et le cerveau à l’aide de masques conducteurs.

Lawrence [1973] considère également les ondes cérébrales comme l’entrée de l’influence externe des champs électromagnétiques.

7 Une excursion dans la neurophysiologie du cerveau humain

Le cerveau humain compte en moyenne environ 100 milliards de cellules nerveuses. Celles-ci sont interconnectées de telle sorte que des connexions sont possibles de chacune de ces cellules nerveuses vers d’autres. Cette connexion fonctionnelle peut se faire selon 10 niveaux d’intensité différents. Il en résulte des possibilités de connexion de chaque cellule nerveuse du cerveau. Des réseaux nerveux fonctionnels sont formés pour chaque réaction, action, pensée. Cela se fait à la vitesse de la milliseconde à l’aide de l’activité des ondes cérébrales, qui peut être mesurée à l’aide de l’EEG, entre autres. EEG = électroencéphalogramme. Les fréquences de l’EEG sont sujettes à une extraordinaire variabilité dans le temps, qui peut entrer en résonance avec les fonctions électromagnétiques naturelles.

Figure 7 : Le cerveau humain et les cellules cérébrales (neurones avec synapses) en divers agrandissements [modifié d’après Benson 1997]

Quatre formes différentes d’EEG sont décrites selon une nomenclature internationale, de fréquences 0,1-50 Hz. Ceux-ci peuvent se présenter sous différentes configurations et amplitudes, reflétant une grande variété de fonctions.

Figure 8 : Les quatre classes de l’EEG avec les phénomènes spéciaux supplémentaires d’une personne saine dans leur variabilité de fréquence et de configuration [d’après Birbaumer et Schmidt 1996]

F igure 9 : Représentation modélisée de la manière dont les ondes électromagnétiques peuvent s’insinuer dans les ondes cérébrales sans perception consciente et provoquer des modifications des fonctions cérébrales et du psychisme.

Toutes les ondes radio électromagnétiques peuvent également imposer leur fréquence aux ondes EEG, surtout à très faible intensité de champ, et provoquer des modifications correspondantes des fonctions cérébrales. L’exemple suivant l’illustre.

7.1 Conditionnement des pulsations 10 Hz du WLAN Formation d’une mémoire de stress De courtes impulsions 10 Hz sont insérées dans les fréquences 2,4 gigahertz du WLAN.

Cette pulsation n’a pas une forme d’onde sinusoïdale et n’a pas la moindre ressemblance avec la résonance de Schumann de 10 Hz. Ces impulsions de 10 Hz du rayonnement WLAN provoquent des perturbations intenses dans les processus fonctionnels du corps. Ils peuvent être enregistrés de manière visible, par exemple dans l’électromyogramme. Les 10 Hz du WLAN se manifestent dans tous les processus de régulation électrique de l’être humain. Dans ce cas, il est démontré comment une fréquence WLAN de 10 Hz apparaît dans l’électromyogramme (électroactivité musculaire). gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Figure 10 : à gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Le résultat sensationnel de la recherche du Prof. Dr. Lebrecht von Klitzing : EMG artificiel après une exposition prolongée au WLAN [Umwelt-Medizin-Mensch ] Le Prof. Lebrecht von Klitzing en tire la conclusion logique suivante :  » Il y a ici clairement un conditionnement des signaux nerveux périphériques par la modulation périodique et techniquement conditionnée de 10 Hz dans le WLAN « . En tant que neurophysiologiste, je m’identifie pleinement à cette conclusion. Il s’agit d’une découverte scientifique dont les implications doivent être reconnues au niveau mondial. La pulsation WLAN 10 Hz forme une mémoire de stress de la pulsation WLAN analogue à la mémoire de la douleur. Pour la compréhension, quelques brèves remarques sur la mémoire de la douleur. Lorsqu’une personne éprouve une douleur intense pendant une longue période, une mémoire de la douleur se forme. Dans ce cas, la personne a encore mal alors que la cause de la douleur a été supprimée. La douleur fantôme est connue depuis des siècles. Par exemple, si une personne souffrait d’une douleur intense au niveau du gros orteil et que cet orteil ou toute la partie inférieure de la jambe a été amputée, la douleur intense persiste. La douleur se reflète dans le cerveau lorsqu’une mémoire de la douleur s’est formée. C’est pourquoi, en médecine, on s’efforce de prévenir la formation d’une mémoire de la douleur chez les patients qui ont mal, par exemple en combattant rapidement la douleur. La formation d’une mémoire de contrainte de pulsation WLAN 10 Hz est analogue à cela. Cela permet à l’électrohypersensibilité chronique, au mal des micro-ondes, au stress oxydatif et à d’autres symptômes déclenchés par les rayonnements CEM techniques, qui ont été mentionnés plus haut, de se graver si profondément dans la mémoire qu’ils persistent à vie. C’est certainement le cas des personnes souffrant d’électrohypersensibilité. En se référant à ces résultats scientifiques, on peut imaginer ce qui peut arriver aux enfants dont les écoles sont équipées de WLAN. Les enfants sont, comme le montrent les résultats scientifiques, particulièrement sensibles aux rayonnements CEM. Avec le rayonnement WLAN 10 Hz, la symbiose normale entre la résonance de Schumann et les ondes cérébrales, qui s’est développée au cours de l’évolution, est également empêchée, ce qui nuit chroniquement à la santé des personnes. Dans ce contexte, il convient également de mentionner que les fonctions cérébrales sont étroitement liées au système immunitaire. La biologiste moléculaire américaine Candace B. Pert a décrit ce phénomène en détail dans son livre « Molecules of Emotions » [2001] et a prouvé que les fonctions cérébrales perturbées affaiblissent également le système immunitaire. Les formations de mémoire de ce type sont également formées dans ce cas. Ce phénomène est décrit en détail dans le livre des médecins allemands Manfred Schedlowski et Uwe Tewes « Psychoneuroimmunology » [1996]. Sur la base des connaissances scientifiques, on peut postuler que la pulsation WLAN 10 Hz lors d’une exposition continue est un facteur très dangereux pour la santé humaine, en particulier pour les enfants. Recommandations du ministre de la santé de Russie pour l’utilisation des systèmes électroniques, y compris la télévision.

  • Enfants de moins de 6 ans pas de smartphone
  • Enfants de 6 à 12 ans 2 h/jour avec des pauses (30 min de travail, 45 min de pause)
  • Enfants de 3 à 4 h/jour avec des pauses
  • Adultes de plus de 18 ans 4 à 6 h/jour avec 30 min de pause après chaque heure de travail

L’utilisation continue des smartphones provoque des troubles et des maladies mentales. Gertraud Teuchert-Noodt, professeur de recherche sur le cerveau à l’université de Bielefeld [2017]. Interview : Cyberattaque contre les réseaux neuronaux du cerveau Où va la révolution numérique ? Environmental Medicine Society 30/3, S La citation suivante, tirée de l’interview des auteurs, apporte une comparaison convaincante qui en dit long sur l’effet des ondes radioélectriques des CEM.

Tout comme les pirates informatiques peuvent paralyser l’alimentation électrique d’un hôpital, les utilisateurs de médias numériques peuvent désactiver le centre d’alimentation de leur propre cerveau pour tout traitement de l’information à un niveau psycho-cognitif et provoquer un épuisement mental. Peut-être qu’un accident cérébral est encore pire. Le professeur Teuchert-Nood demande que l’utilisation des smartphones soit soumise à un permis, comme le permis de conduire pour les voitures dès l’âge de 16 ans.

7.2 FOMO, digital dementia, and our dangerous experiment

Larry Dossey, MD (2014) : Titre original : FOMO, Digital dementia, an our dangerous experiment. Publié dans : Explore, Volume 10, Numéro 2, S Publié en allemand dans Diagnose Funk Brennpunkt

Numéro FOMO est l’abréviation anglaise de fear of missing out. Le terme est apparu dans l’Urban Dictionary, un dictionnaire en ligne de mots d’argot anglais, comme mot du jour le 14 avril 2011. La FOMO est considérée comme un type d’anxiété sociale : une crainte obsessionnelle de manquer une occasion d’échange social, une nouvelle expérience ou un autre événement enrichissant. Elle est souvent déclenchée par des messages sur des sites de médias sociaux. La FOMO reflète la crainte que des amis puissent vivre des expériences enrichissantes dont on ne fait pas partie. L’auteur décrit un parcours de développement de la FOMO à la démence. Il conclut en lançant un appel aux parents : il n’y a qu’un seul cerveau en croissance pour chaque enfant et il est sans pièces détachées. Le cerveau des enfants est malléable, fragile, vulnérable, étonnamment prometteur et d’une valeur indescriptible, mais il n’est pas sage. C’est pourquoi les parents doivent l’être. La devise de ma mère était : « Sors et joue ».

FOMO

Stress permanent

Dépendance aux médias numériques

Altération du cerveau

Démence

8 Comment l’engouement pour la numérisation contrôle le cerveau de l’enfant en classe

Un projet de recherche est en cours au Campus scientifique Leibniz de l’Université de Tübingen : Une interface cognitive pour améliorer l’enseignement : analyse de l’attention des élèves pendant les cours en classe. La mesure permanente de l’attention pendant les cours scolaires est effectuée à l’aide d’un bandeau EEG (bandeau Focus-Eden de la société Brain-Co) et d’une méthode d’oculométrie. Cela permet de suivre en temps réel les pensées et les émotions sur la base des ondes EEG et des fonctions oculaires (par exemple, les changements de pupille). Une LED connectée aux deux systèmes d’enregistrement indique en différentes couleurs l’attention présumée de chaque élève sur le bandeau et est transmise par radio à l’enseignant. Les niveaux d’attention suivants sont signalés par chaque élève : bleu : inattentif, détendu jaune : attentif rouge : très concentré Les données de la série chronologique de l’enregistrement sont stockées. Cela signifie que les enseignants peuvent également vérifier les niveaux d’attention après la leçon et, par exemple, documenter aux parents combien leur enfant est attentif et bien élevé ! L’objectif de ce contrôle des fonctions cérébrales est de stimuler les élèves pour qu’ils soient plus performants. Ce système de bandeau cérébral ne se contente pas de mesurer les pensées d’attention de chaque élève. L’attention de tous les élèves est mise en réseau et indique un niveau moyen de concentration pour l’ensemble de la classe. Les éducateurs peuvent immédiatement voir qui s’écarte de ce niveau moyen et poursuit ses propres pensées [Diagnose Funk 2020]. Ce contrôle de la pensée par l’EEG ne laisse pas d’espace libre pour un jeu de pensée individuel ou pour l’extinction reposante des pensées. La mise en veilleuse des pensées est une fonction importante de notre cerveau. Le neurologue français Charot a décrit ce phénomène en 1850 comme une transe quotidienne. Notre cerveau est en fait soumis à un mouvement de conscience de type « flood-ebb ». Après un haut niveau de concentration, une transe quotidienne (relaxation) se produit soudainement. Ce signal est également appelé « Mach doch eine Pause ». Si un élève a signalé le rouge et envoie soudainement du bleu pendant un moment, il s’agit d’une réaction normale du cerveau. Grâce à cette technique de renforcement de l’attention, le signal de « pause » est supprimé et le cerveau de l’enfant est mis en état d’éveil permanent et donc de stress permanent [Hecht 2020]. Sur la base des connaissances scientifiques, j’appelle à une éducation humaine par des éducateurs passionnés et non par le contrôle numérique des esprits. Mais ce n’est manifestement pas l’objectif des responsables de l’éducation obsédés par la numérisation, comme Susanne Eisenmann, ministre de l’éducation du Land de Bade-Wurtemberg, qui soutient manifestement ce projet de recherche de Tübingen. L’Alliance for Humane Education a conseillé aux enseignants et aux parents de s’opposer à cette manipulation mentale, qui viole les lois sur la protection des données. Ce remodelage numérique des élèves en classe s’apparente à un dressage et peut conditionner ces processus cérébraux de manière à bloquer la capacité des élèves à penser par eux-mêmes. En tant que neurophysiologiste connaissant bien l’EEG pendant l’éveil et le sommeil, j’ai des doutes quant à la fiabilité de ce système. Avec des élèves qui ont généralement envie de bouger, des artefacts peuvent se produire lors de l’enregistrement et conduire à une mauvaise analyse. En outre, je doute que la classification « détendu », « alerte », « très concentré » puisse être classée avec précision par le logiciel correspondant. L’analyse automatique de l’EEG à l’état de veille et de sommeil a parcouru un long et contradictoire chemin. L’enregistrement de l’EEG dans une unité de temps d’une leçon de 45 minutes comporte de nombreuses incertitudes. Le cerveau est encore aujourd’hui une boîte noire pour le neuroscientifique et encore plus pour un expert en numérisation. C’est pourquoi je ne considère pas que les divisions des niveaux d’attention de l’expérience de Tübingen soient réalistes. L’avis d’un ancien employé de BraiCo, la société qui fabrique le bandeau EEG. Un ancien employé de BrainCo avoue que les mesures de l’EEG sont extrêmement imprécises, que l’équipe chargée des algorithmes de BrainCo est une véritable pagaille et que la société n’est pas vraiment une entreprise technologique, mais qu’elle veut plutôt gagner de l’argent auprès des parents chinois. [Source : chinese-parents?id=dec10429e7f1a63f]

Figure 11 : Le bandeau FocusEdu de la société BrainCo, qui surveille l’attention des nageurs et des élèves pendant les cours [CC-by- SA/Dennis Blomeyer]

8.1 Conclusion

L’utilisation de l’EEG et de l’eye tracking dans les cours scolaires est une violation du droit de l’homme à une éducation humaine et à une santé holistique. Nous avons besoin de personnes capables de maîtriser les processus de pensée créatifs, de personnes qui abordent toujours la nouveauté dans leurs processus de pensée, de personnes capables de maîtriser les rêveries. En bref, nous avons donc besoin de personnes qui réfléchissent, et ces personnes doivent être développées dans les écoles. Penser est l’un des plus grands plaisirs de la race humaine [Bertolt Brecht] Les élèves devraient apprendre ce plaisir sans numérisation, comme un plaisir de la vie et à l’école, mais sans technologie, mais avec de bons éducateurs.

9 Elon Musk Neuralink

La figure 12 présente le fonctionnement du Neuralink sous forme de schéma simplifié. Les ondes radio vont du smartphone au Neuralink. Là, ils sont transformés de manière adaptative pour la fonction prévue et alimentent la fonction électrique du cerveau. De là, la réponse aux informations imposées a lieu et revient au smartphone. Les champs électromagnétiques faibles et athermiques établissent des connexions avec les cellules cérébrales entre le smartphone et l’implant via les cellules cérébrales bioélectriques et assurent un retour d’information. Avec cette interface cerveau-smartphone Neuralink, le cerveau et le smartphone ou l’ordinateur peuvent être connectés à l’infini et adaptés à l’intelligence artificielle. Il en résulte une dépendance humaine à cette technologie, comparable à la dépendance à la drogue ou à l’alcool. Vouloir mettre en œuvre ce système par Elon Musk à des fins médicales suscite également une grande inquiétude chez moi, car l’utilisateur n’a aucune connaissance médicale. Par exemple, si l’utilisateur devait utiliser ce système pour les maux de tête. Il peut faire plus de mal que de bien. La médecine connaît jusqu’à 150 causes de maux de tête. Aucun profane ne peut les juger. Aujourd’hui encore, la nomenclature diagnostique inclut les maux de tête causés par des médicaments. Le traitement des maux de tête à l’aide du smartphone Neuralink par l’utilisateur peut avoir des conséquences néfastes inimaginables pour le cerveau humain, qui sont irréparables.

Figure 12 : Représentation schématique simplifiée du fonctionnement du Neuralink développé par Elon Musk

10 La recherche médicale s’intéresse déjà à l’utilisation d’interfaces cerveau-ordinateur sur les patients

Il convient toutefois de mentionner qu’aujourd’hui la recherche médicale s’intéresse aux systèmes d’interface cerveau-ordinateur, que l’on appelle des supports BCI (BCI = Brain Computer Interfaces). Là encore, ce sont les patients atteints de la maladie de Parkinson et les épileptiques sur lesquels on tente de traiter la maladie avec la BCI. Selon un rapport de Larissa Holzki et Maike Telgheder publié dans le Handelsblatt, plus de 20 institutions et entreprises dans le monde se penchent sérieusement sur la BCI et voient un marché futur dans ce domaine. Le marché avec BCI est réputé avoir une dynamique de croissance élevée. Divers instituts de recherche s’attendent à ce que ce volume atteigne 3,7 à 3,9 milliards de dollars dans le monde d’ici à 2027, soit un triplement [Holzki et Telgheder 2020] 22.

Les neuroéthiciens qui traitent des ICB en tant que scientifiques expriment leurs préoccupations. Les BCI sont des interventions plus puissantes que les électrodes à aiguille utilisées dans les années 1960, qui n’ont pas permis une percée générale en tant que méthode thérapeutique. Aujourd’hui, il suffit de considérer que les systèmes BCI interviennent directement dans le processus de pensée humain et que les algorithmes de l’IA prennent des décisions à la place des gens, rendant imprévisible la paternité subjective de l’action. C’est là que la question d’une action peut se poser : C’est moi qui ai fait ça ou c’est mon implant ? [En outre, le système d’IA BCI ne peut exclure la possibilité de contrôler l’esprit et la pensée. La transmission de la pensée par les ondes radio n’est plus un problème. Personnellement, je ne me ferais jamais implanter un neuralink sous mon cuir chevelu et je mettrais en garde toute personne ayant cette intention contre les conséquences.

11 Brevets sur le contrôle mental et le transfert de pensée


US Patent, Nr. 4,877,027, Wayne B. Brunkan, 31.10.1969
US Patent, Nr. 6,017,302, Hendricus G. Loos, 25.01.2000
US Patent, Nr. 6,508,302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
US Patent, Nr. 6,508.302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
You can Patent That? Gary Stix, Scientific American, Juli 2003
US Patent, Nr. 5,123,562, Robert Monroe, 25.05.1993
US Patent, Nr. 5,356,368, Robert Monroe, 18.10.1994
Nachfolgend werden Auszüge eines Deutschen Patents zur Geda

Dans son livre [Michaeln Verlag, 2007], Nick Begich cite 27 brevets américains sur ce sujet. Quelques exemples comme sources de référence que chacun peut vérifier : Brevet américain, n° 4,877,027, Wayne B. Brunkan, Brevet américain, n° 6,017,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6,508,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6, , Hendricus G. Loos, Vous pouvez breveter cela ? Gary Stix, Scientific American, juillet 2003 Brevet américain, n° 5,123,562, Robert Monroe, Brevet américain, n° 5,356,368, Robert Monroe, Des extraits d’un brevet allemand sur le contrôle de l’esprit sont brièvement présentés ci-dessous.

Ce brevet montre que la transmission de la pensée par des champs d’ondes électromagnétiques est une réalité et en aucun cas un produit de la théorie du complot comme le prétendent les ignorants. Ce brevet allemand n’est pas non plus le produit d’un étranger ou d’un fou. Comme nous l’avons déjà mentionné, Nick Beglich, dans son livre Mind and Thought Control, cite 27 brevets américains traitant de l’influence des ondes radio électromagnétiques sur divers processus corporels, par exemple, l’ Influence des sentiments et des pensées.

11.1 Utilisation d’ondes radio électromagnétiques comme arme psychotrope

Extrait du rapport du Conseil consultatif scientifique de l’US Air Force [Source : Conseil consultatif scientifique de l’USAF, New World Vistas, 1996, p ] I

Il est concevable de développer des sources d’énergie électromagnétique qui sont tellement pulsées et façonnées et qui peuvent être utilisées sélectivement pour interagir avec le corps humain d’une manière qui permette d’inhiber les mouvements musculaires indépendants, de contrôler les émotions (et donc les actions), d’induire le sommeil, de transmettre des suggestions et d’influencer la mémoire à court et à long terme. En outre, ce rapport décrit : Il serait également possible de générer des conversations dans le corps humain, ce qui permettrait d’utiliser des messages secrets et des conseils psychologiques. Lorsqu’une puissante impulsion de micro-ondes de l’ordre du gigahertz frappe le corps humain, on observe une très légère augmentation de la température. Cela provoque une expansion soudaine du tissu légèrement chauffé. Ce 27

L’expansion est assez rapide pour générer une onde acoustique. Si un courant pulsé est utilisé, il devrait être possible de créer un champ acoustique interne de l’ordre de 5 à 15 gigahertz, que l’on peut entendre à travers celui-ci. De cette manière, il pourrait être possible de parler à des adversaires sélectionnés, ce qui serait extrêmement perturbant pour eux. [Ces armes psychologiques peuvent être utilisées pour provoquer des hallucinations, la maladie du sommeil, la peur, etc. Les techniques utilisées sont non seulement les ondes radio électromagnétiques, mais aussi les ultrasons et même les rayons X. Le major russe I. Chernishev a décrit dans le magazine militaire Orienteer [février 1997] comment les armes psychotropes sont développées dans le monde entier. Il a mentionné les types d’armes suivants :

– Un puissant générateur psychotronique qui produit une forte les radiations électromagnétiques qui peuvent être transmises par les lignes téléphoniques, les radios et les téléphones portables. les réseaux de télévision, les pipelines et les ampoules électriques. Par le biais deces signaux, ceux qui sont en contact avec elle peuvent être manipulés.

– Un générateur de signaux fonctionnant dans la bande 10-150 hertz, qui des vibrations infrasoniques qui sont destructives pour toutes les créatures vivantes lorsqu’il fonctionne dans la gamme des 10-20 hertz.

– Un générateur de système nerveux conçu pour paralyser le système nerveux central des insectes. système nerveux des insectes. Ce système est en cours raffiné pour avoir le même effet sur les humains.

– Des signaux ultrasoniques d’un type très particulier ont également été inventés. Avec les dispositifs peuvent soi-disant être utilisés pour effectuer des opérations sans effusion de sang sans laisser de trace sur la peau. Ils peuvent également être utilisés pour tuer.

– Les Japonais ont mis au point des cassettes contenant des subliminaux, grâce auxquels il est possible de superposer à la musique des modèles de stimuli, qui se situent dans la gamme des fréquences ultra-basses. Ces modèles sont repris par le l’esprit subconscient ». [cité dans Begich 2007]

Ces deux exemples devraient suffire à montrer les possibilités qui sont déjà pratiquées avec les ondes radio électromagnétiques. Mais toutes ces possibilités ne sont pas encore connues du public. Ces faits ne sont pas crus par la masse des gens et sont rejetés comme des théories de conspiration. Dans ce contexte, il convient de mentionner : Jim Keith, dans son livre Mind Control, cite Marshal McCluhan :

« Seuls les petits secrets doivent être protégés. Les grandes sont gardées secrètes par l’incrédulité du public. Les recherches psychologiques de ces dernières années ont montré que la plupart des gens croient davantage aux mensonges qu’aux vérités ».

Ce problème concernait également Wolfgang Johann Goethe : « Il faut toujours répéter le vrai, car l’erreur est aussi toujours prêchée autour de nous ; et pas seulement par des individus, mais par les masses. Dans les journaux et les encyclopédies, dans les écoles et les universités, l’erreur est partout en tête ! Et il est à l’aise dans le sentiment de la majorité qui est de son côté. »

[Johann Wolfgang Goethe ] C’est pour cela que j’ai écrit cet article, pour répéter la vérité.

12 Que sont les pensées ? Quel rôle jouent-ils dans la vie d’une personne ?

Les pensées sont des processus du cerveau humain qui surviennent en interaction avec des stimuli (informations) provenant de l’environnement global et avec certains stimuli physiques et mentaux d’une personnalité. Les pensées sont déclenchées pendant toutes les activités sensorielles, par exemple, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût, les sensations, les sentiments, les volitions et la douleur, la marche, la course, la natation et le cyclisme, le jardinage et le travail créatif, la télévision et l’utilisation d’un smartphone, les rêves diurnes et nocturnes et même pendant le sommeil, sauf dans le sommeil profond. Les pensées sont des pensées perpétuelles. On dit qu’un humain adulte en bonne santé produit jusqu’à pensées dans une journée de 24 heures. Les pensées sont stockées et s’expriment sous forme de souvenirs. Les pensées peuvent être utilisées pour parcourir le monde, pour entrer en contact avec des personnes éloignées. Les pensées sont la réaction humaine la plus rapide. La formation et le développement des pensées sont toujours liés au fonctionnement du cerveau et peuvent être contrôlés grâce aux fréquences des ondes cérébrales. Dans le cerveau, les pensées se fondent sur la construction et la destruction à court terme des réseaux de cellules nerveuses et se déroulent toujours sur la base de l’électricité cérébrale (ondes cérébrales de différentes fréquences). Une connexion de réseau de cellules nerveuses à court terme implique au moins plusieurs milliers de cellules nerveuses, sur les 100 millions de cellules nerveuses que compte le cerveau humain. Lorsque la musique retentit ou que les oiseaux gazouillent, les ondes sonores rencontrent les ondes électriques du cerveau en tant qu’informations (stimulus) et des réseaux de cellules nerveuses fonctionnelles se forment sélectivement et produisent des pensées agréables. Lorsqu’une personne regarde le soleil se lever, des ondes de lumière visible de quelques nanomètres atteignent les ondes cérébrales et forment sélectivement un réseau de cellules nerveuses à la base de pensées agréables et positives. De la même manière, les ondes électromagnétiques naturelles et artificielles non perceptibles peuvent également provoquer des réseaux de cellules nerveuses dans le cerveau et développer des pensées. Certaines fréquences, avec la configuration et l’amplitude correspondantes des ondes électromagnétiques, peuvent produire des réseaux de cellules nerveuses fonctionnels et des pensées correspondantes de cette manière ou modifier les fonctions des réseaux de cellules nerveuses naturels. Puisque chaque excitation (chaque sortie) de chaque cellule nerveuse est stockée, une mémoire se développe, qui se forme surtout lorsque les stimuli (informations) sont répétés. Les pensées sont conditionnées de cette manière. 29

13 Les pensées positives sont absolument nécessaires au développement de la personnalité – Les pensées négatives rendent les gens malades

La thèse contenue dans cette rubrique a été prouvée par de nombreuses études scientifiques. Les pensées positives favorisent la santé, le comportement, le bonheur, les performances et une longévité saine. Les pensées négatives vous rendent malade, malheureux, en colère, nuisent à votre santé et raccourcissent votre vie. Ils provoquent l’anxiété, la dépression et, comme le montre une étude de l’University College de Londres, la démence d’Alzheimer. 360 sujets âgés de 55 ans ou plus ont été interrogés pendant deux ans sur la manière dont ils gèrent les schémas de pensée négatifs tels que la peur de l’avenir ou le fait de ruminer le passé. Les chercheurs ont également examiné l’anxiété et la dépression chez les participants à l’étude. Pour l’analyse, la moitié des personnes ont subi des scanners cérébraux TEP (tomographie par émission de positons) afin de mesurer le dépôt de tau et d’amyloïde. Ces deux protéines sont responsables de la maladie d’Alzheimer, la démence la plus courante. Résultat : les pensées négatives sur une longue période sont un facteur de risque de démence. Elle peut limiter les capacités mentales et provoquer des dépôts de protéines dangereuses dans le cerveau. Les chercheurs anglais recommandent un entraînement mental quotidien, par exemple la méditation, comme mesure préventive pour générer des pensées positives.

14 Facteur perturbateur Carrousel de pensées à contenu négatif

Eugen Roth a glosé sur le carrousel de pensées comme suit : Deux choses deviennent troubles chez la personne malade : a) l’urine et b) les pensées. Et les pensées troubles de la personne malade tournent sans cesse comme un manège : Pourquoi suis-je malade ? Quelle est la gravité de ma maladie ? Vais-je survivre ou mourir ? Ma douleur va-t-elle diminuer ? Vais-je attraper une corona et mourir ? etc. Ce cercle de pensées renforce les processus pathologiques ou provoque une vulnérabilité aux infections. La médecine conventionnelle s’occupe généralement de l’urine trouble, mais pas ou rarement des pensées troubles de la personne malade. Même la personne malade ne sait pas que ce carrousel de pensées déclenche le stress, perturbe l’endormissement et inhibe le processus de guérison ou peut aggraver la maladie. Ils peuvent déclencher la volonté, qui a un effet sur les pensées négatives. Mais ils peuvent aussi être extrêmement gênants et bloquer des qualités telles que la sagesse, la sérénité et le calme qui peuvent nous être bien plus utiles. Lorsque le carrousel de pensées est en mouvement, les pensées se déroulent selon un schéma récurrent. Ils font référence soit à des expériences passées, soit à des événements futurs possibles. Ce qui est fatal pour beaucoup de gens, c’est qu’ils trouvent leur propre passé frustrant parce que certaines choses n’ont pas fonctionné comme ils le voulaient. Et l’avenir est si incertain. Quelque chose de mauvais pourrait arriver ou le passé insatisfaisant pourrait continuer. Il y a suffisamment de causes concevables d’anxiété, de peur et d’incertitude, et donc le seul véritable état de vie devient la présence de pensées désagréables contaminées par les informations négatives quotidiennes de la politique et des médias de masse. Des choses encore pires arrivent. Il en résulte un tournoiement mental, toujours autour du même problème. Dans les milieux professionnels, on appelle cela un carrousel de pensées. Figure 13 : Le carrousel de pensées (rumination) nous empêche de nous endormir et favorise un vieillissement rapide Les pensées consomment d’énormes quantités d’énergie. En particulier, les pensées négatives qui tirent constamment la sonnette d’alarme mettent à mal l’ensemble de notre équilibre énergétique. L’épuisement suit. Le carrousel de pensées d’une personne est la principale cause de ses difficultés à s’endormir. Des millions de personnes en souffrent aujourd’hui. Ils se stressent avec le carrousel des pensées et inhibent la production de mélanine. Le stress créé par le carrousel de pensées augmente la pression sanguine et le rythme cardiaque et diminue les performances mentales et la relaxation. Mais surtout, le système immunitaire est affaibli et la susceptibilité aux infections est considérablement accrue. Le manège mental des pensées négatives ne peut être stoppé que par un entraînement mental. De mon point de vue, il s’agit de la méditation, de la visualisation, de l’imagination et de la thérapie de l’anxiété (car la peur, l’inquiétude et l’impuissance se trouvent généralement dans le cercle des pensées). J’insiste sur ce point car, depuis des mois, la peur et l’impuissance sont présentes en permanence chez une grande partie de la population à travers les informations corona de tous les médias et des politiciens, notamment des gouvernements. Or, la peur et l’impuissance sont des noxae, c’est-à-dire des agents pathogènes, car elles reposent sur des pensées négatives, qui peuvent aussi déclencher la démence d’Alzheimer.

15 La peur peut tuer la personne [Lipton 2007 ; Benson 1997]

La peur place la personne dans l état permanent dans lequel se trouve un sprinter en position de départ. À vos marques, prêts, partez. Chez le sprinter, la préparation à l’action se transforme en activation avec le départ, qui est synonyme de détente. Les personnes en état d’anxiété permanente se tiennent constamment prêtes à l’action, mais ne la transforment pas en activation, ce qui entraîne un état de tension permanent. En conséquence, le corps entier est inondé d’hormones de stress (cortisol, endorphines), qui exercent des effets néfastes [Lipton 2007].

Discours de Robert Kennedy Jr 29.08.2020 lors de l’une des plus grandes manifestations jamais vues à Belin (2 millions de personnes). Extrait sur la peur comme moyen de pouvoir pour ceux qui sont au pouvoir :

Ils inventent des chiffres. Ils ne peuvent pas vous dire quel est le taux de mortalité pour le COVID comme référence. Ils ne peuvent pas nous donner un test PCR qui fonctionne vraiment. Ils doivent sans cesse changer la définition du COVID pour le rendre de plus en plus dangereux. La seule chose à laquelle ils sont bons est de gonfler la peur. Il y a soixante-quinze ans, Hermann Göring a été interrogé au procès de Nuremberg : « Comment avez-vous fait pour que le peuple allemand accepte tout cela ? Il a dit : « C’est une chose simple. Cela n’a absolument rien à voir avec le nazisme. C’est lié à la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, vous pouvez le faire dans un régime socialiste, vous pouvez le faire dans un régime communiste, vous pouvez le faire dans une monarchie, vous pouvez le faire dans une démocratie. La seule chose dont le gouvernement a besoin pour rendre les gens esclaves est la peur. Et si tu trouves quelque chose pour leur faire peur, tu peux leur faire faire tout ce que tu veux.

16 Mes observations sur la peur parmi les groupes à risque de Corona

Selon mes informations et mes connaissances, la peur est particulièrement répandue parmi les groupes à risque de Corona tels que les personnes âgées (notamment les personnes seules) et les personnes pré-exposées aux maladies par les informations médiatiques de Corona dans le monde entier. En même temps, l’impuissance y est associée. Cela est principalement dû au fait que les médias montrent qu’il n’existe toujours pas de médicament ou de vaccin contre les infections à coronavirus.

17 L’impuissance est un facteur de stress qui provoque la maladie

L’impuissance est l’état d’une personne dans lequel elle ne peut plus agir volontairement, mais se trouve complètement démunie face à une situation qu’elle ne peut pas changer et qui échappe à son contrôle. Sur une plus longue période, cela se traduit par une dépression, des tableaux cliniques psychosomatiques, le dysstress et enfin les maladies oncologiques, voire la mort dans les cas extrêmes.

Schubert et Schüssler [2003] soutiennent, d’un point de vue neuropsychologique immunitaire, que les sentiments subjectifs d’impuissance et de désespoir, par exemple, sont conditionnés et ne favorisent pas seulement le développement des cellules tumorales et la progression des tumeurs, mais qu’ils peuvent également déclencher et intensifier la croissance tumorale de manière secondaire par le biais des effets neuronaux des substances messagères libérées à la périphérie [Schmale et Iker 1966, 1971 ; Dantzer et Kelley 1989 ; Murr et al. 2000].

Halberstadt et al. [1984] et Bovi et Reinhard [1988] décrivent les liens entre le sentiment d’impuissance, le désespoir et la dépression. Schwarzer et Waschberger [1985] font état de relations entre l’impuissance, le stress et l’anxiété.

La pensée négative, les pensées négatives (notamment le carrousel de pensées), l’anxiété et l’impuissance sont bien plus nuisibles à la santé des gens que le coronavirus, qui n’est en aucun cas plus dangereux qu’un virus de la grippe. C’est le résultat de véritables découvertes scientifiques, qui sont malheureusement cachées aux masses. Les psychotropes sont souvent prescrits pour traiter l’anxiété, mais ils détruisent également le cerveau et la conscience [Hobson 2010].

Dans ce contexte, je tiens à souligner que les personnes atteintes d’électrohypersensibilité souffrent aussi gravement de la pression de l’impuissance, de la peur et du carrousel de pensées négatives. Mais les puissants de la politique l’ignorent ! !!

18 Les pensées ne sont plus libres ? La belle chanson Les pensées sont libres ! Qui peut les deviner ? Ils passent comme des ombres nocturnes. Aucun homme ne peut les connaître, aucun chasseur ne peut les tirer. Cela reste vrai : les pensées sont libres. Ce que j’aime moi-même encore chanter aujourd’hui est malheureusement devenu une illusion. À l’échelle mondiale et en permanence, les pensées des gens sont mises à feu à notre époque : par les ondes radio électromagnétiques qui rendent les gens malades (EHS) et les pensées qui affluent dans la conscience, par les informations négatives dominantes des médias de masse, par les implants cérébraux planifiés selon Elon Musk, par les fausses informations sur l’infection corona, qui ont également été cadencées dans le concept de dictature numérique. Tout cela sert la dictature totalitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui, sans pensée libre. Plus encore, les humains sont de plus en plus soumis à la technologie, comme le décrit Armin Grünwald dans son livre. Nous devons arrêter ce processus inhumain. Il est grand temps que nous le fassions !

19 L’humanité d’abord et seulement ensuite les machines

Avec chaque enthousiasme pour la technologie, l’homme se soumet à cette technologie, qui le prive même de la liberté de penser. Les citations suivantes de personnes qui ont reconnu cette évolution depuis longtemps devraient donner à chacun matière à réflexion, dans la mesure où leurs processus de pensée ne sont pas encore complètement bloqués par la folie de la numérisation. Savez-vous que Charlie Chaplin a non seulement condamné de manière militante la dictature d’Hitler, mais qu’il a également critiqué la dictature de la technologie ? Dans son film de 1940, Le Grand Dictateur, il dénonce la dictature de la simple technique dans son discours de clôture comme suit :

Nous avons développé la vitesse, mais intérieurement, nous sommes restés immobiles. Nous laissons les machines travailler pour nous, et elles pensent aussi pour nous. L’intelligence nous a rendus arrogants et notre savoir froid et dur, nous parlons trop et ressentons trop peu, mais d’abord l’humanité et ensuite les machines !

Et le célèbre écrivain Karl May, connu pour ses livres sur l’Inde, a élevé la voix comme suit :

Mais j’accuse l’humanité entière, qui se dit civilisée, de ne pas vouloir savoir aujourd’hui, malgré toutes les religions et malgré huit mille ans d’histoire du monde, que cette civilisation n’est rien d’autre que de la terreur ! Dans ses conférences, le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1877-1961) mettait toujours en garde contre la civilisation et l’urbanisation et affirmait qu’en conséquence, l’homme perdait son instinct naturel, ce qui entraînait des maladies mentales. L’idéologie de la numérisation est l’excroissance dictatoriale de la civilisation [Hensinger 2017]. Elle prive les gens non seulement de leur liberté de pensée, mais aussi de leur humanité. Conclusion : Chers amis, retournez à la nature !

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Dr. Karl Hecht : Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

Encore un témoignage d’un neurologue et chercheur en neuroscience concernant le contrôle social et individuel via les ondes électromagnétiques.


Jamais auparavant les conditions technologiques pour une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. À l’ère de la digitalisation, la manipulation de la pensée et le contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques, sont devenus une réalité omniprésente. Selon le Professeur Karl Hecht 96 ans, c’est seulement en renonçant consciemment à l’idéologie de la digitalisation qu’on peut éviter d’être réduit à l’état de robots humains totalement contrôlés. Voyez et écoutez dans cette interview, l’appel au réveil du célèbre médecin et chercheur en neuroscience.


 

https://www.kla.tv/18322

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement. Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés. Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020. Interview: Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ? Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article. Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ? Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain. Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé. Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez. Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau. Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur. Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau. Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux ! Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi. Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ? Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences. Modérateur : Oui, avec plaisir. Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant. Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur. Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles. Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ». Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est… Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement. Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G… Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses. Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ? Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc. Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ? Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible. Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot. Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature. Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ? Prof. Hecht : Se protéger… Modérateur : Oui, se protéger. Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer. Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens. Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2. Modérateur : C’est moins que la limite actuelle. Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets. Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut. Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article. Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

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James Giordano : militarisation des neurosciences

Le Doc James Giordano spécialiste des applications militaires dans les neurosciences, mais aussi spécialiste des questions éthiques dans la recherche  en neurosciences, s’inquiète de ce que les gouvernements étrangers pourraient faire sous couvert de recherche médicale. C’est drôle cette manière d’accuser les autres de ce pourquoi on est passé maître. C’est quand même le type qui nous dit que le cerveau est accessible en lecture et en écriture comme un vulgaire disque dur… Il est d’ailleurs question dans l’article ci-dessous de scientifiques « chapeau noir », parce qu’il est clairement question de hacker le cerveau. Chose que dénoncent les TI (Targeted Individuals). Personnellement cela fait plus de 30 ans que je suis victime de science criminelle. Hier en France, a été condamné un ancien ministre (Georges Tron) pour viol, à 5 ans de prison dont 3 ans ferme. Il fera 6 mois dans une cellule 5 étoiles puis le reste de sa peine avec un bracelet électronique. Quand je compare la peine que des salauds m’ont infligée et vu la manière dont je suis traité, avec mon casier judiciaire vierge, il faut qu’ils soient persuadés d’avoir, pire qu’un nazi à punir, tous les jours que Dieu fait.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.militariser des progrès des neurosciences


Traduction d’un article du Doc James Giordano

James Giordano, PhD, est professeur aux départements de neurologie et de biochimie, chef du programme d’études neuroéthiques et co-directeur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Georgetown University Medical Center, Washington, D.C. Son dernier livre est intitulé Neurotechnology in National Security and Defense : Practical Considerations, Neuroethical Concerns. Les opinions exprimées dans cet essai ne reflètent pas nécessairement celles du EU Human Brain Project, de la DARPA, des chefs d’état-major des armées ou du ministère de la défense, dont il a été le conseiller.


https://www.nationaldefensemagazine.org/articles/2017/5/11/weaponizing-the-brain-neuroscience-advancements-spark-debate

Les progrès rapides des neurosciences et des technologies correspondantes ont suscité un intérêt renouvelé et croissant tant pour leur développement que pour les préoccupations éthiques liées à l’utilisation de ces techniques et outils dans des contextes militaires et de sécurité.

En 2008, le Conseil national de la recherche des Académies nationales des sciences a signalé que les sciences du cerveau présentaient un potentiel pour des applications militaires et de guerre, mais qu’elles n’étaient pas encore totalement viables pour une utilisation opérationnelle. Cependant, en 2014, un rapport ultérieur des académies nationales, « Emerging and Readily Available Technologies and National Security : A Framework for Addressing Ethical, Legal and Societal Issues » (Un cadre pour aborder les questions éthiques, juridiques et sociétales), a rejoint une série de livres blancs du groupe d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major interarmées, ainsi qu’un rapport du Conseil Nuffield de 2013, indiquant que les développements dans ce domaine avaient progressé au point de rendre les sciences du cerveau viables, d’une valeur définitive et d’une préoccupation réaliste pour les militaires.

Ce calendrier est important, car il reflète la capacité rapide et itérative plus sophistiquée de créer et d’exploiter des méthodes et des technologies neuroscientifiques pour accéder au cerveau, et évaluer et affecter ses fonctions de cognition, d’émotion et de comportement.

Les progrès des neurosciences pourraient être utilisés pour créer des « super soldats », relier des cerveaux à des systèmes d’armes pour le commandement et le contrôle, voire manipuler des groupes ou des dirigeants pour qu’ils prennent des mesures qu’ils ne feraient pas normalement.

De toute évidence, les nouveaux développements dans le domaine de la science du cerveau peuvent être exploités pour améliorer les soins neurologiques et psychiatriques au sein de la médecine militaire, et un certain nombre de programmes en cours du ministère de la défense le font. L’Agence des projets de recherche avancée de la Défense, le Commandement de la recherche médicale et du matériel de l’armée de terre et le Bureau de médecine et de chirurgie de la marine génèrent de nouvelles techniques et technologies pour le traitement des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives telles que les maladies de Parkinson et d’Alzheimer, et de certaines affections psychiatriques, comme le stress post-traumatique et la dépression.

Toutefois, il existe également un potentiel considérable pour les applications à double usage des méthodes et outils neuroscientifiques qui vont au-delà du chevet du malade. Nombre d’entre elles pourraient atteindre les champs de bataille.

Il s’agit notamment de l’utilisation de divers médicaments et formes de neurotechnologies telles que le neurofeedback, la stimulation électrique et magnétique transcrânienne, et peut-être même des dispositifs implantables pour la formation et l’optimisation des performances du personnel de renseignement et de combat. Des interfaces cerveau-ordinateur pourraient être utilisées pour contrôler des avions, des bateaux ou des véhicules sans pilote. Les utilisations militaires et de guerre impliquent également le développement et l’engagement d’agents – tels que des drogues, des microbes, des toxines – et de « dispositifs en tant qu’armes », également appelés « neuroarmes », pour affecter le système nerveux et modifier les pensées, les sentiments, les sens, les actions, la santé des adversaires ou – dans certains cas – pour encourir des conséquences mortelles.

L’utilisation des neurosciences et de la technologie pour optimiser les performances du personnel militaire pourrait potentiellement conduire à la création de « super soldats ». Cette question reste provocatrice et controversée.

Considérées sous un angle positif, de telles approches pourraient – et devraient sans doute – être utilisées pour prévenir la guerre. Par exemple, les services de renseignement et le personnel militaire qui ont des capacités cognitives, émotionnelles et/ou comportementales accrues pourraient être en mesure de détecter plus facilement et plus efficacement les menaces, de fonctionner dans des conditions difficiles avec moins de stress, et d’être plus sensibles aux indices et nuances socioculturels et physiques dans des environnements étrangers. Ils pourraient être plus efficaces pour réduire le risque de violence.

Ces objectifs ont conduit à des efforts tels que le programme de contenu socioculturel dans le langage de l’activité Intelligence Advanced Research Projects et le programme Métaphore, qui ont tous deux cherché à améliorer la compréhension des normes culturelles linguistiques et émotionnelles. Le programme Narrative Networks de la DARPA visait à utiliser la science et la technologie neurocognitives pour améliorer les récits dans des contextes socioculturels.

D’autre part, on s’inquiète des effets négatifs que ce domaine pourrait avoir sur la santé des personnes « neuro-modifiées ». On s’inquiète de l’utilisation de telles approches pour transformer les combattants en automates amoraux et combatifs et on se demande quelles responsabilités et quelles charges pourraient être encourues pour – et supportées par – l’armée, et peut-être la société dans son ensemble, lorsqu’elle doit faire face à de tels effets.

Mais si ces questions et préoccupations peuvent suggérer la nécessité d’une pause de réflexion, il est important de noter que la recherche sur le cerveau et les technologies correspondantes s’internationalisent de plus en plus, et qu’un certain nombre de pays comme la Chine et la Russie, et certains alliés des États-Unis, sont engagés dans ces poursuites et s’intéressent à leur viabilité et à leur utilisation militaire. Cela crée une situation qui tend à soutenir, voire à faire progresser le rythme et l’étendue de la recherche, du développement et de l’incorporation des neurosciences et des technologies dans les initiatives de renseignement et militaires.

L’internationalisation de la science du cerveau, conjuguée à la rapidité de ses progrès, suscite des préoccupations supplémentaires quant au développement et à l’utilisation des armes neurologiques.

Si les accords internationaux existants sur les armes biologiques et chimiques, tels que les conventions de La Haye, le protocole de Genève et la convention sur les armes biologiques et à toxines, limitent la recherche institutionnelle, le stockage et le commerce international de certaines toxines et substances neuro-microbiologiques telles que la ricine et l’anthrax, certaines substances et technologies neurobiologiques développées pour des produits médicaux facilement disponibles sur le marché commercial pourraient ne pas relever des règles internationales existantes.

Il s’agit notamment des médicaments neurotropes créés dans les laboratoires pharmaceutiques, des biorégulateurs – définis comme des substances qui affectent les processus biologiques, comme les opioïdes et autres peptides – et des technologies neuromodulatrices telles que les dispositifs de stimulation transcrânienne ou cérébrale profonde.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.

Une autre préoccupation est que des substances neurobiologiques et neurochimiques et certaines neurotechnologies peuvent être obtenues ou développées avec une relative facilité par des acteurs non étatiques. Il convient de noter l’existence d’une communauté mondiale croissante de scientifiques « chapeau noir », qui peuvent être soutenus par du capital-risque approuvé par l’État dans l’intention explicite de perturber la sécurité, la stabilité et la santé publiques, et qui peuvent opérer sans tenir compte des réglementations définies par les traités et conventions signataires actuels.

La disponibilité croissante d’outils de neurobiologie de bricolage, tels que les kits d’édition de gènes qui peuvent être utilisés pour modifier génétiquement des microbes et des toxines existants et les rendre plus puissants ou mortels, augmente la probabilité de leur utilisation, ainsi que les risques et les menaces que ces techniques et leurs produits représentent pour la sécurité nationale.

L’ancien directeur du renseignement national, James Clapper, a déclaré l’année dernière que l’édition génétique devrait être considérée pour son potentiel de création d’armes biologiques.

Il est tout aussi important de tenir compte de l’impact des armes neurochimiques. Si les agents neurotoxiques comme le sarin ou les agents pathogènes comme l’anthrax peuvent avoir des effets assez étendus, d’autres armes neurotoxiques plus sophistiquées ne devraient pas être considérées comme des armes de destruction massive, mais plutôt comme des « armes de perturbation massive », dont les effets sont souvent subtils, bien qu’ils s’intensifient.

Par exemple, les médicaments à action neurologique peuvent être utilisés pour cibler de manière sélective les pensées, les sentiments et les actions d’un individu, tel qu’un dirigeant politique ou militaire, afin d’évoquer un changement dans ses idées, ses émotions et son comportement. Cela pourrait avoir un effet sur ceux qu’ils dirigent, en influençant leurs opinions et leurs actions dans un sens de conformité ou de dissonance.

Certaines drogues, toxines et/ou microbes neuroactifs peuvent également être utilisés contre des cibles à plus grande échelle pour provoquer des « conséquences en cascade » au sein d’un groupe, d’une communauté ou d’une population. Par exemple, ces agents pourraient être dispersés pour produire des « cas sentinelles » d’individus qui présentent des signes et symptômes neuropsychiatriques et autres signes et symptômes physiques. L’attribution d’une action terroriste et la désinformation qui l’accompagne sur les signes et symptômes saillants et croissants – tels que l’anxiété, l’insomnie et la paranoïa – pourraient être propagées sur Internet.

Cela tendrait à amplifier les réactions d’un nombre croissant de membres du groupe ou de la population, qui chercheraient alors à se faire soigner, et à faire peser ainsi une charge croissante sur le système de santé publique – même si ce n’est qu’à court terme.

La diffusion ultérieure sur Internet de récits visant à dénigrer toute réponse gouvernementale en essayant d’apaiser les inquiétudes et la réaction du public face à la « menace », pourrait être utilisée pour favoriser la dissolution de la confiance du public et accroître la perturbation sociale croissante. Il suffit de se rappeler la réaction du public à la distribution très limitée de l’anthrax dans les semaines qui ont suivi les attaques du 11 septembre pour se rendre compte de la viabilité et des effets possibles de telles tactiques.

Il est certain que la science du cerveau n’est pas la seule à pouvoir développer de nouveaux outils et de nouvelles armes. Pourtant, elle confère de puissantes capacités à affecter « les esprits et les cœurs » et offre donc un levier clair et présent dans les opérations militaires et de guerre.

La reconnaissance et une évaluation réaliste de ces capacités – et de leurs limites – sont des étapes cruciales pour la préparation et la réaction. En ces temps de réduction rapide des budgets et de ressources limitées, il devient donc de plus en plus important d’estimer avec précision les avantages, la charge, les risques et les menaces relatifs que certains types et applications de neurosciences et de technologies subiront, ainsi que de développer et de maintenir une attitude proactive pour garantir les possibilités de ces développements à la fois maintenant et à l’avenir.

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BiblioTI : A lire ! Neuro-Esclaves.

Dans la même veine qu’un « Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens », il présente l’intérêt d’éclairer le plus grand nombre sur les mécanismes du cerveau et d’attirer notre attention sur ses faiblesses pour mieux nous préserver d’éventuelles manipulations. Un livre d’utilité public.

Paolo Cioni est neuropsychiatre, professeur de psychopathologie, ancien responsable du service de santé mentale auprès de la ASL de Florence, enseignant à l’Ecole de spécialisation en psychiatrie de Florence. Il est l’auteur de divers traités ainsi que de monographies de psychologie et de psychiatrie. Il est également le co-auteur, avec Marco Della Luna, de Neuro-Esclaves. Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse.

Au menu du chapitre 11 quelques raffinements notables


J’avais commencé à compiler un tas de passages intéressants en relation avec le sujet de ce site. Devant la complexité, j’ai finalement abandonné. C’est un ouvrage à lire par tous les TI et le gens s’intéressant au phénomène.

Le bouquin est régulièrement mis à jour et augmenté, j’ai la seconde version en pdf.

Marco-Della-Luna_Paolo-Cioni-Neuro-Esclaves

 


Extrait 1

Concernant les acouphènes des TI, je pense pour avoir à les subir de manière intense depuis que j’ai découvert le forum Peace Pink (PP), qu’il s’agit en fait d’un bruit blanc auquel on ajoute un sifflement. Une fois de plus ce qui est utilisé pour de la privation sensorielle (bruit blanc) sera perçu pour qui aurait à diagnostiquer (médecin, enquêteur, journaliste…) la situation comme un problème d’acouphène et non d’agression extérieure.

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Une expérience de stimulation (TMS) cérébrale soulage la dépression

 


Tu ne supportes plus qu’on tue/asservisse/torture… l’humain en masse partout dans le monde, tu ne supportes plus la marche forcée que t’impose le monde.
Tu es en dépression mais on va te rendre compatible avec ce cauchemar ! Tu seras heureux, tu pourras enfin t’intégrer dans cette société malade. Une vraie thérapeutique Orwellienne digne du meilleur soma. Et en plus, on peut même te rendre heureux à distance et potentiellement à « l’insu de ton plein gré » (une véritable fabrique de psychopathes), comme le démontre le brave Dr James Giordano à l’académie militaire de West Point. Pendant ce temps, au lieu de s’unir, les noirs s’opposent aux « privilèges blancs » dans un combat d’un autre siècle (je ne dis pas inutile), suite au décès de George Floyd (et ici en France avec adama Traoré) qui n’a pas été traité avec les égards qu’aurait dû lui assurer la démocratie (il y a des vidéo de blancs qui meurent de la même manière sur internet). Ce qu’il faut bien comprendre avec de telles armes, toujours présentées par les médias comme avancée médicale positive, c’est que peu importe la couleur de peau, nous sommes 99% à avoir le profil pour devenir les « nègres » du 21 siècle. Il y a plus urgent et actuel que les guerres raciales horizontales, il est temps de comprendre(et d’agir en sorte) que l’élite dirigeante et financière mène la guerre au peuple quelle que soit sa couleur de peau.


 

Stimuler des zones clés du cerveau avec un champ magnétique pulsé pourrait représenter une solution pour certaines personnes souffrant de dépression chronique qui n’a pas pu être traitée à l’aide d’autres techniques ou médicaments conventionnels.

Les résultats très encourageants d’une expérience effectuée sur un petit groupe de volontaires suggèrent qu’un traitement stimulant certaines parties clés du cerveau avec un champ magnétique pulsé pourrait soigner la dépression chronique chez certaines personnes qui souffrent d’une dépression résistante à d’autres traitements conventionnels.

La base de ce traitement non invasif, appelé stimulation intermittente par rupture thêta (iTBS), a déjà été approuvée comme thérapie pour la dépression grave par la U.S. Food and Drug Administration (FDA).

Des chercheurs de l’Université de Stanford et de l’Université de Palo Alto aux États-Unis ont montré, lors d’un essai effectué sur 21 personnes, qu’administrer cinq fois la dose globale de pulsations sur un nombre plus élevé de séances quotidiennes semble non seulement sûr, mais pourrait permettre d’obtenir de bien meilleurs résultats.

Des impulsions magnétiques pour établir de meilleures connexions entre les neurones
Ce traitement implique de diriger des centaines d’impulsions magnétiques intenses dans une partie spécifique du cerveau, durant quelques minutes par jour pendant six semaines, ce qui permet d’encourager les neurones à établir lentement des connexions plus solides qui peuvent aider à atténuer les symptômes de la dépression chronique. Cette procédure s’est avérée suffisamment efficace pour donner de l’espoir aux 10 à 30% des patients souffrant de dépression, qui ne répondent pas facilement aux autres thérapies.

Une étude publiée en 2018 a révélé qu’un peu moins de la moitié des personnes diagnostiquées avec une dépression ont montré au moins une certaine amélioration après ce traitement, avec environ un tiers des individus en rémission. Et lorsque rien d’autre ne fonctionne, il s’agit de chiffres plutôt attrayants.

Cependant, les chances de succès pourraient être meilleures, d’autant plus que la tentative de stimulation magnétique transcrânienne n’est pas nécessairement exempte d’effets secondaires, qui peuvent inclure des maux de tête et d’autres inconforts légers. Cette dernière étude suggère fortement que de bons résultats sont possibles, mais il est important de garder à l’esprit que l’expérience a été menée sur une très petite quantité d’individus, et sur une très courte durée. D’autant plus que l’étude n’avait pas de groupe témoin pour mesurer les résultats.

Après cinq jours comprenant 10 séances iTBS à haute dose par jour, 19 des 21 volontaires ont exprimé une amélioration suffisante de leur dépression, pour compter comme étant en rémission.

Les chercheurs estiment que si les essais continuent à démontrer de tels résultats positifs, cette technique pourrait bien un jour aider jusqu’à 90% des personnes souffrant de dépression. « Il n’y a jamais eu de théra­pie pour les dépres­sions résis­tantes aux trai­te­ments qui ont présenté plus de 55% de rémis­sion dans des condi­tions simi­laires », a expliqué le psychiatre de Stanford, Nolan Williams.

Le trouble dépressif majeur est une maladie complexe que nous n’avons pas encore pleinement comprise et qui peut être provoquée par de nombreux facteurs (biologique, psychologique, social, fonctionnement du cerveau), qui ne sont eux-mêmes pas encore bien compris. Selon les chercheurs, une fraction de ces derniers ne pourrait pas être traitée à l’aide de produits pharmaceutiques conventionnels.

Source

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Armes electroniques

Neurosciences – Armes à Energies Dirigées, Dr Giordano, à l’académie militaire de West Point.

MK ULTRA – Dr James Giordano – Neurosciences – Armes à Energies Dirigées – Nano Implants – 2018

Traduction faite par Nicocible, d’une conférence du Dr Giordano, à l’académie militaire de West Point.

Nicociblé :

Son Site

Sa chaine Youtube


Dans cette vidéo, le Dr James Giordano parle aux cadets et aux professeurs de l’Académie militaire américaine du cerveau humain et de l’avenir de la guerre. Giordano est chef du programme d’études en neuroéthique et chercheur au Centre Pellegrino de bioéthique clinique de l’université de Georgetown. L’histoire récente a vu des avancées substantielles dans les domaines des neurosciences et de la neurotechnologie, explique Giordano. Il est presque certain que ces progrès auront un impact sur les guerres qui seront menées à l’avenir. À bien des égards, le cerveau pourrait même faire partie de l’espace de combat. Cet événement a été organisé par l’Institut de la guerre moderne.


Un passage important en capture d’écran

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Des armes à énergie dirigée invisibles utilisées sur des civils dans le monde entier

Un article trouvé par hasard, parce qu’il renvoi sur un document que j’ai mis en lien en 2014 dont voici la traduction.

 

Il s’agit d’une offre de contrat pour la recherche dirigée sur les effets biologiques de l’énergie à effectuer sur les humains … cela parle de lui-même … le corps et la vie sont utilisés par le complexe industriel militaire à des fins lucratives tandis que ces victimes innocentes sont empêchées de gagner un revenu et sabotées de toutes les manières possibles … dans cette proposition, ils parlent de la «prédiction de la dégradation de la santé» alors qu’ils parlent également de la protection du sujet humain…

Il s’agit d’agression avec une arme mortelle … il s’agit de frapper des citoyens innocents avec des armes militaires sophistiquées … cette information est facilement disponible en ligne …

Je voudrais parler à ces entrepreneurs qui font de l’argent avec la misère humaine…

« TITRE: Recherche dirigée sur les bioeffets énergétiques (DEBR)

LE NIVEAU DE CLASSIFICATION DE SÉCURITÉ EST: Top Secret / SCI / SAP / SAR

1. Contexte, portée, buts, objectifs et besoins.

une. Contexte.

Le contrat Directed Energy Bioeffects Research (DEBR) soutient l’US Air Force, l’un des plus grands développeurs et utilisateurs d’appareils émettant des radiofréquences (RF) et des micro-ondes haute puissance (HPM) dans le monde, qui a été à la pointe de la recherche sur les effets biologiques des rayonnements RF / HPM depuis plus de 30 ans. L’utilisation de l’énergie dirigée (DE) s’étend aux applications militaires et commerciales. Alors que les clients ciblés pour cet effort sont principalement concernés par l’utilisation et l’application des technologies de rayonnement RF / HPM, les services conjoints et d’autres comme le Department of Homeland Security ainsi que les clients commerciaux bénéficieront probablement des recherches menées et des découvertes faites dans le cadre de ce programme.

Cet effort comprend la réalisation de recherches pour identifier les avantages, les risques et les capacités pour une large gamme de systèmes de rayonnement RF / HPM militaires. Cela comprend la prévision et l’atténuation des bio-effets du DE sur les performances du personnel et de la mission et l’exploitation des bio-effets du DE pour les applications DEW.
Mener des études protéomiques, génomiques et métabolomiques qui identifient les changements biochimiques ou moléculaires critiques après l’exposition au DE avant ou pendant les opérations de mission qui aident à prédire la dégradation de la santé.

Utilisation humaine.
L’entrepreneur utilisera des sujets humains dans les études de recherche dans le cadre de cet effort. « 

https://dictacrature.noblogs.org/fil…c-IDIQ-SOO.pdf

http://library.constantcontact.com/d…-2013-0002.pdf

Voyons maintenant certains des militants qui luttent contre cette atrocité…

David Voigts est un ancien officier de marine et diplômé de la US Naval Academy. Tout en travaillant sur la guerre électronique pour la Marine, il a pris connaissance des tests d’armes dirigées à l’énergie qui étaient effectués sur des civils innocents. Il parcourt l’Amérique pour faire connaître cette injustice. C’est un vrai héros américain.

Cette histoire a maintenant été publiée dans dix publications dont Bloomberg News…

http://www.bloomberg.com/research/markets/news/article.asp?docKey=600-201605250331M2______EUPR_____0c08000004d7d78a_3600-1

Si vous souhaitez soutenir cet effort, vous pouvez le faire ici:

https://www.gofundme.com/ti-in-america

Karen Stewart est une dénonciatrice de la NSA qui est maintenant harcelée par l’électronique. Vous pouvez lire son histoire ici…

http://www.washingtonsblog.com/2016/04/nsa-whistleblower-karen-stewart-speaks-candidly-illegal-criminal-nsa-fbi-programs-organized-stalking-electronic-harassment-usa-abroad.html

Elle recueille maintenant les noms des victimes pour une campagne de lettres à tous les fonctionnaires du pays… de nombreuses victimes ont déjà signé…

NSA Whistleblower, Karen Stewart: Synopsis of the Silent Holocaust Taking Place in the United States

Cet activisme ne s’arrêtera pas avant la fin de ces attaques contre des civils innocents.

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Tobias Rathjen, le tireur des fusillades racistes de Hanau, était un Targeted Individual (TI)

Tobias Rathjen

 

Je passe un copié collé d’un site racialiste/suprématiste au nom évocateur, blancheurope.com, qui a commenté et traduit le manifeste du tireur. Il ne fait pas de doute que Tobias Rathjen, était un TI.

Des gens que l’on rend affectivement insensible à leur propre mort (et celle des autres du coup)  grâce au fractionnement du moi par l’utilisation pendant de nombreuses années de la torture blanche (psychologique) . De parfaits exécutants pour qui veut semer le chaos afin de dresser les gens les uns contre les autres, maintenir le peuple occupé avec des guerres horizontales.

 


SOURCE : https://www.blancheurope.com/2020/02/20/manifeste-de-tobias-rathjen-et-analyse/

 

Neufs bougnoules au tapis, la mère et l’auteur de la fusillade morts. Les médias s’en donnent à cœur joie : l’auteur de l’attaque était raciste, voulait exterminer toutes les sous races et faisait même partie du mouvement National-Socialiste.

Depuis quand les journalistes sont des sources fiables ?

Dès que j’ai eu connaissance du manifeste de Tobias Rathjen, je me suis lancé dans une traduction. Qui peut comporter quelques maladresses, mon Allemand étant légèrement rouillé je me suis fait aider à plusieurs reprises.

Autant vous prévenir : ce n’est pas un texte à la cheville de Brenton Tarrant.

Nullement.

Ce n’est même pas un texte idéologique, simplement une vision de sa vie et de la paranoïa qui l’a guidée à penser que tout tournait autour de lui et qu’il avait été placé sous une surveillance par la pensée !

La folie n’explique pas totalement l’entièreté de sa pensée. Il a de nombreuses réflexions qui font état d’une intelligence développée et qu’il avait saisi une certaine vision raciale des choses, d’autant que son texte est d’un Allemand parfait. Simplement, il a pris de nombreuses coïncidences et sa capacité d’anticipation à grande échelle – sur des points politiques et économiques – comme étant la résultante d’une entité secrète qui surveillait ses pensées et s’en servait pour diriger le monde.

Une surveillance globalisée, qui ne se ferait plus par les smartphones ou les caméras, mais directement par les cerveaux.

Rien qu’évoquer cette possibilité nous fera tous sourire.

Pourtant, ce qui reste le plus drôle est la réaction des médias juifs qui se vautrent dans la désinformation la plus TOTALE.

Non, Tobias n’était pas antisémite, il ne se revendiquait pas non plus d’un quelconque mouvement politique et ne glorifiait pas le Troisième Reich.

Il n’est même pas fait mention une seule fois d’Adolf Hitler ou des juifs.

Mais nos chers (((journalistes))) ont-ils au moins pris la peine de lire les 24 pages qui constituent le manifeste ?

Je ne le pense pas. Voilà donc, à titre d’information – ne tombez pas dans le piège de la paranoïa qui touchait ce pauvre homme – la traduction de ce qu’il a vraiment écrit et pensé. Pas ce que racontent les médias pour tirer sans sommation sur l’extrême-droite et la “xénophobie” présente en Allemagne.

En lisant le manifeste, vous serez pris d’un léger mal de crâne et d’un sentiment de malaise. Autant vous rassurer, vous n’êtes pas sur écoute, je vous prendrais pour des imbéciles si je vous imaginais capable de le penser, mais sait-on jamais qui accedera à ce texte.

La situation de nos pays, submergés par les non-Blancs et gouvernés par des élites malades et (((corrompues))) créeront de nombreux Tobias. Des gens qui sont assez intelligents pour comprendre de nombreux sujets importants, tels que la question raciale ou la domination d’une élite, mais qui à force de se trouver seuls ou qui passeront leur temps libre devant des séries ou des films, tomberont dans une paranoïa et basculeront dans la folie.

La seule chose positive dans cette histoire, c’est que 9 envahisseurs soient hors d’état de nuire.

Comme il le dit si bien, il faut d’abord s’occuper de son ennemi intérieur avant de l’ennemi extérieur : soyez sains d’esprits et agissez avec sagesse.

De petits hommes verts ne viennent pas enlever des gens la nuit, et personne ne peut guider vos pensées ou vous contrôler à distance. Nous ne sommes pas dans un scénario de science-fiction.


Ici commence le « nanifeste » traduit

Introduction

Ceci est un message adressé à l’ensemble du peuple Allemand !

Dans ce document, je vais décrire ce qui m’est arrivé dans ma vie et pourquoi chaque Allemand doit le savoir, quel que soit le temps qu’il faudra pour que mon message soit considéré comme étant vrai et correct.

Avant de commencer, je voudrais faire cette déclaration essentielle :

Au cœur de mon message se trouve l’activité d’un soi-disant “service secret”. Je voudrais donc décrire plus précisément ce que j’entends par là à l’avance.

Je suis un citoyen ordinaire, ce qui signifie que je ne suis pas un agent de renseignement, et que je n’ai jamais travaillé pour une organisation de renseignement. Avant qu’un événement décisif de ma vie ne se produise, ma connaissance de ce qu’est un service secret, de ce qu’il fait, ou des moyens et des méthodes utilisées, provenait de sources librement accessibles, même si j’avais d’autres hypothèses très tôt dans ma vie.

Bien entendu, chaque personne qui les lira apportera ses propres idées sur ce qu’est un service secret ou en quoi consistent ses activités.

Mon souci est d’informer tout le monde sur ce qui est possible au-delà, et aussi sur ce que l’on croit être dans le cadre.

1) Au moment de cet enregistrement vidéo, des milliers de citoyens allemands sont sous la surveillance d’un service secret.

2) Cela se produit sans aucune raison concrète.

3) Lorsque je parle de “surveillance”, je veux dire principalement la surveillance acoustique et visuelle dans les maisons privées, dans les pièces du travail et dans d’autres lieux où des personnes sont présentes. Je ne parle pas des caméras qui sont placées de manière visible dans les lieux publics ou dans les magasins d’affaires de toute sorte.

4) Il y a des personnes qui travaillent pour ces “services secrets” qui sont capables de lire les pensées d’une autre personne et qui sont également capables de “s’y raccrocher” et, dans une certaine mesure, de réaliser une sorte de “contrôle à distance”.

5) Ce qu’Edward Snowden a révélé il y a quelques années, cependant, n’est que la partie émergé de l’iceberg”.

Lorsque je parle de “service secret” dans le cadre de ce message, je n’entends pas explicitement un service secret connu par son nom, tel que le Service fédéral de renseignement, la CIA ou la NSA, mais plutôt une organisation qui fonctionne sur la base d’un service secret, mais qui n’apparaît pas officiellement par son nom.

Je vais maintenant décrire pourquoi je sais que je suis sous la surveillance d’un service secret et pourquoi la confirmation de ce que je dis est extrêmement importante, même si je ne peux pas en être témoin maintenant.

Première hypothèse

Ma vie peut être divisée en deux parties. L’une est le moment où je me suis demandé de temps en temps s’il était possible que je sois surveillé, et l’autre est le moment où j’ai acquis la certitude absolue que c’était le cas.

La période pendant laquelle j’ai eu le soupçon qu’un “service secret” me “surveillait” peut être datée rétrospectivement du jour de ma naissance jusqu’au 11 septembre 2001.

Chronologiquement, je voudrais commencer par une impression qui a eu lieu peu après ma naissance.

Aujourd’hui, je ne peux plus dire exactement ce qui n’est finalement pas si important, si 5 jours, 8 jours ou 12 jours se sont écoulés depuis la naissance effective à l’hôpital, mais approximativement dans cette période de temps, j’ai pris conscience pour la première fois, ou en d’autres termes, j’ai perçu mon environnement pour la première fois et je peux donc dire que mon humanité avait réellement commencé à ce moment-là.

J’étais dans l’appartement de mes parents et j’ai été retenu dans la baignoire par ma mère, qui m’a remise peu après à mon père, car elle avait évidemment des difficultés à me tenir et à me laver, ou puis-je encore me rappeler une phrase de ma mère : “Il est si petit …”.

Parallèlement à ces premières impressions, j’ai entendu une voix dans mon esprit, que j’entendais maintenant pour la première fois, mais qui n’était pas amicale et disait : “Oh, c’est idiot, je suis tombé dans le piège”. J’ai immédiatement répondu à cette voix féminine par un “Non” et je me suis rendormi peu de temps après.

Avec le recul, je me souviens encore de plusieurs séquences de mes premières années de vie et surtout du fait que, dès ces premières années, la pensée m’est venue de savoir s’il était possible que je sois supervisé par d’autres personnes, cette pensée étant principalement basée sur la première impression de mon réveil, c’est-à-dire sur la voix que j’ai entendu dans la salle de bains et qui m’a marqué durablement. En outre, j’ai saisi l’humanité elle-même, le monde qui m’entoure et j’ai rapidement réalisé que les gens, pour dire les choses simplement, ne sont pas toujours gentils les uns avec les autres ou qu’une personne est l’ennemi d’elle-même.

Ma question est restée sans réponse, bien sûr, mais j’en suis personnellement arrivé à la conclusion, même petit garçon, que c’était possible, ce qui, bien sûr, était tout sauf une conclusion agréable.

Je n’ai jamais parlé à personne de cette hypothèse à l’âge de 2 ans ou plus tard à l’âge de 6 ou 11 ans et j’ai reporté la réponse à cette question à plus tard, lorsque j’étais adulte.

Je ne veux pas dire que j’y ai pensé tout le temps, mais de temps en temps, quand j’étais jeune, je me demandais s’il y avait des gens qui n’avaient aucune inhibition à envahir ma vie privée ou celle d’autres personnes. La question que je me suis posée était donc la suivante : est-ce concevable ou possible ?

Malheureusement, j’ai dû répondre à cette question par l’affirmative. Cependant, à l’époque, je ne pouvais pas me défendre contre cela et j’ai dû vivre avec ce soupçon.

Conversation décisive avec un collègue de classe – apprentissage bancaire

Je voudrais maintenant remonter dans le temps jusqu’en 1999, car à bien des égards, j’ai eu une conversation importante avec un ancien collègue de l’apprentissage bancaire.

À l’époque, j’avais 22 ans et je l’avais rencontré dans son nouvel appartement à Francfort et nous avions discuté de diverses choses.

Cette conversation, que je reproduis ici, n’est bien sûr pas une conversation selon la formulation exacte, mais un résumé des contenus essentiels.

Je voudrais commencer par dire que j’ai remarqué que les “services secrets” étaient présents lors de la conversation ce jour-là, car je pouvais sentir un “verrouillage”.

Un des sujets de notre conversation était la criminalité, ou plus généralement le mauvais comportement de certains groupes ethniques, à savoir les Turcs, les Marocains, les Libanais, les Kurdes, etc.

Il y avait déjà eu auparavant une sorte de consensus entre nous deux sur cette question.

Nous avions tous deux des expériences personnelles similaires à cette époque, ce qui a entraîné une aversion pour ces groupes ethniques et nous étions donc sur la même longueur d’onde à cet égard.

Du point de vue actuel, je peux certainement décrire ces expériences personnelles comme “inoffensives” entre guillemets, comme les disputes délibérément provoquées sur le chemin du retour de l’école ou les coups stupides portés à quelqu’un dans une discothèque. Inoffensif car il n’a entraîné aucun dommage personnel sous forme de blessures ou de perte d’objets de valeur. Cependant, des amis de l’école ou d’autres connaissances ont également signalé d’autres résultats ou variantes, comme des attaques physiques réelles ou même des attaques au couteau et les blessures correspondantes. Dans les journaux, par exemple, on pouvait lire des bagarres de 5 étrangers contre un Allemand et les blessures graves ou même les décès qui en résultent.

Au cours de ma formation d’employé de banque, j’ai également assisté directement à un braquage de banque et j’ai du consulter les fiches de plusieurs centaines de suspects potentiels au poste de police en tant que témoin, ces personnes étant composées à environ 90% de non-Allemands. Ces non-Allemands étaient à leur tour principalement des méridionaux, c’est-à-dire des Turcs et des Nord-Africains.

Comme aucune expérience comparable n’avait été faite avec les “Allemands”, j’avais déjà à ce stade tiré une conclusion personnelle de toutes ces expériences et impressions.

Ce gain de connaissances s’est fait en plusieurs étapes :

Tout d’abord, je me suis posé la question fondamentale suivante : comment est-il possible que de tels groupes ethniques se trouvent dans mon pays ?

Ces personnes ont un refus instinctif extérieur et, de plus, n’ont pas fait preuve d’efficacité dans leur histoire.

D’autre part, j’ai appris à connaître mon propre peuple comme un pays d’où les meilleures et les plus belles choses que ce monde a à offrir grandissent et se développent. Il ne m’est pas possible d’énumérer ici toutes les réalisations dans tous les domaines de la science, mais les faits parlent d’eux-mêmes.

À mes yeux, quelque chose ne collait pas ici.

D’une part, mon peuple est en partie responsable de l’élévation de l’humanité dans son ensemble, mais d’autre part, il semble que certaines personnes de mon propre pays aient contribué au fait que nous avons maintenant des groupes ethniques, des races ou des cultures parmi nous qui sont destructeurs à tous égards.

J’en suis venu à la première conclusion que lorsque je viens au monde, ces personnes ne devraient pas être là du tout. C’est absurde.

Mais comme ces peuples sont particulièrement nombreux sur cette planète et ne sont évidemment pas disposés à renoncer volontairement à se reproduire ou, au contraire, se trouvent même étonnamment particulièrement grands, alors qu’ils ne le sont pas, un problème doit donc être résolu.

Mon autre conclusion était la suivante :

Par conséquent, un effort pour parvenir à une expulsion complète de ces personnes de notre pays ne peut plus être une solution, car l’existence de certains groupes ethniques est en soi une erreur fondamentale et le problème n’est que reporté sur les générations futures. Il n’est pas possible que je doive faire face à un tel problème, et toutes les générations futures ne devraient pas avoir à faire face à un tel problème en premier lieu.

C’est pourquoi j’ai dit que les peuples suivants doivent être complètement détruits : Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Israël, Syrie, Jordanie, Liban, toute la péninsule saoudienne, Turquie, Irak, Iran, Kazakhstan, Turkmekistan, Ouzbékistan, Inde, Pakistan, Afghanistan, Bangladesh, Vietnam, Laos, Cambodge et Philippines.

Et ce serait d’abord le nettoyage grossier. Ensuite viendrait la purification fine, qui touche les autres États africains, l’Amérique du Sud et centrale, les Caraïbes et bien sûr notre propre population.

C’est ainsi que j’ai remarqué que tous ceux qui possèdent aujourd’hui un passeport allemand ne sont pas de race pure et de valeur ; une réduction de moitié de la population, je peux l’imaginer.

S’il y avait un bouton disponible pour faire cela, j’appuierais immédiatement dessus, si vite que vous ne pourriez même pas regarder. La seule condition pour moi serait que cela se produise d’une seconde à l’autre, parce que je ne suis pas coupable de la souffrance de ces personnes ni intéressé par elle, parce qu’il est concevable qu’il y ait un cycle infini de vie dans cet univers, de sorte que dans toute autre vie, je suis exactement la personne que je veux détruire aujourd’hui. Mais j’éliminerais tous ces gens, même si nous parlons de plusieurs milliards, il faut le faire, surtout compte tenu du fait que nous devons atteindre un objectif ultime, à savoir la “solution de l’énigme”.

Car, je tiens à souligner que nous n’avons pas créé le paradis sur terre avec cela et que quelqu’un doit croire qu’un état satisfaisant serait maintenant atteint sur cette planète lorsque 500 millions de personnes d’origine germanique se promèneront sur terre.

Par “résoudre l’énigme”, je veux dire que la seule chose qui compte est que nous, les humains, nous sachions ce qui se passe réellement. Comment un univers peut-il naître, de quoi s’agit-il, comment la vie en général peut-elle naître, comment l’humanité peut-elle naître, où tout cela mène-t-il, c’est-à-dire forcer systématiquement l’illumination complète, qu’elle soit scientifique et/ou spirituelle.

Il s’agit bien sûr d’une tâche énorme qui nécessitera des milliers de générations supplémentaires, bien qu’il ne soit évidemment pas possible de donner ici un temps exact, si cela prendra 2 000, 5 000 ou 300 000 ans – si tant est qu’il en faille.

Car la question de savoir si l’humanité y parviendra un jour est aussi une question à laquelle on peut certainement répondre par la négative, car il est également concevable que nous ne soyons pas une “espèce victorieuse”.

L’”espèce victorieuse” est définie uniquement par le fait que nous avons résolu le mystère et non par le fait que nous avons en moyenne 120 ans, que nous avons vaincu le cancer, que nous pouvons construire des maisons de 2 kilomètres de haut ou que nous pouvons atteindre les planètes les plus éloignées.

En outre, nous devons faire une “boucle temporelle” et détruire la planète où nous vivons, avant que la première vie ne naisse il y a plusieurs milliards d’années. Parce que nous ne pouvons pas laisser subsister ce qui s’est passé sur cette terre, les millions de fois la souffrance que les humains ont endurée.

En outre, dans cette seule mission pertinente, nous ne disposons pas d’un temps illimité, car il faut tenir compte des catastrophes naturelles de toute sorte, qui peuvent ne pas nous éliminer complètement avant d’atteindre l’objectif, mais qui peuvent toujours nous faire reculer de manière décisive.

Toutefois, à ce jour, seuls quelques peuples ou races y ont apporté une contribution positive, tandis que d’autres races et cultures non seulement n’y ont pas contribué, mais sont destructrices – en particulier l’Islam.

D’où ma conclusion d’éliminer lesdits “pays avec leur population” afin que l’humanité ait une chance de “résoudre le puzzle”, car cela ne réussira certainement pas en présence d’une majorité de crétins numériquement nettement supérieure.

Bien sûr, j’étais alors et je suis maintenant pleinement conscient du sens de ce que je disais, j’ai donc ajouté la question suivante : si mon point de vue est rejeté, à quoi devrait ressembler le développement de l’humanité ?

Ainsi, si l’on nie les différences raciales et donc les différences de performances entre les races, on est probablement convaincu que ces différences ont d’autres causes et ne sont donc que temporaires et qu’un développement positif est possible.

Mais la question se pose alors de savoir comment cette évolution doit se présenter et être réalisée concrètement.
Comme il est impossible d’accueillir des milliards de personnes sur notre territoire pour leur donner de meilleures conditions de vie, nous devons probablement aller vers ces personnes.

Donc pas d’immigration pour nous, mais de l’aide sur place.

Cette aide sur le terrain peut maintenant prendre diverses formes humanitaires et est pratiquée depuis des décennies.

Cependant, outre les préoccupations superficielles telles que le manque de soins médicaux, la faim et l’absence d’un système éducatif, il y a souvent le problème beaucoup plus crucial des régimes criminels corrompus qui prennent le contrôle de leur propre peuple et le font vivre dans un enfer, que ce soit par soif de pouvoir ou par illusion religieuse.

La torture et le meurtre s’y produisent de mille façons différentes, et cela n’est pas empêché par ce qu’on appelle l’Occident, et cela ne peut pas être la solution.

À l’époque, j’ai nommé spécifiquement deux pays, l’Afghanistan et l’Irak, qui peuvent être considérés à la fois géographiquement et politiquement comme le centre du mal ou du retard et qui doivent être développés par l’Occident.

À cette fin, j’ai maintenant exposé des tactiques concrètes et une stratégie de base pour une élimination militaire réussie de ces régimes.

Je ne donnerai pas de détails ici et je me référerai à mon site web www.tobias-rathjen.de.

Si ces guerres sont menées, deux thèses essentielles pour l’avenir de l’humanité peuvent être mises à l’épreuve :

1.) Ces groupes ethniques peuvent se développer pour le mieux ou
2.) Tout espoir est perdu et donc l’anéantissement total est légitime

Mon opinion, à l’époque comme aujourd’hui, était que la thèse 2 est correcte. Les générations suivantes peuvent maintenant vérifier si j’avais raison ou non.

Stratégie pour les États-Unis

Comme les États-Unis étaient à l’époque la seule puissance capable de mener ces guerres, j’ai commencé à traiter fondamentalement de la situation des États-Unis dans la conversation.

En 1999, les États-Unis étaient la première puissance mondiale.

Ma question était, mais le seront-ils encore dans le futur ?

Un regard sur le passé montre que toutes les puissances mondiales, on peut aussi parler ici de civilisations avancées ou de grands empires, que les humains ont jamais créés, sont tombés après un certain temps. Ainsi, s’il existe une sorte de principe naturel d’émergence, d’épanouissement et de déclin, alors les États-Unis ne pourront pas non plus échapper à cette logique d’ascension et de chute.

Prévoir le déclin des États-Unis n’est donc pas un coup de maître intellectuel.
J’étais sûr que dans 5 ou 10 ans, les États-Unis seront toujours une puissance mondiale ou la seule puissance mondiale. Mais qu’en sera-t-il dans 20, 30 ou 40 ans ? Qu’en est-il de la Chine ? En raison de l’importance de sa population, il est possible qu’à un moment donné, il n’est possible que de l’estimer, mais peut-être que vers 2040, elle sera devenue si forte qu’elle sera en concurrence avec les États-Unis pour le titre de superpuissance.

C’est à ce moment que j’ai commencé à formuler une stratégie visant à faire des États-Unis la première puissance mondiale au-delà de 2040.

L’objectif doit être de rester au plus haut niveau, tant sur le plan économique que militaire.

D’abord, l’économie.

Comment identifier une superpuissance économique ?

Bien sûr en comparant le produit national brut, c’est-à-dire que les États-Unis et la Chine ont atteint le même niveau à un moment donné.

Cependant, il faut souligner que la force économique ne dépend pas seulement de la taille du produit national brut ou de l’existence de parts de marché élevées dans le plus grand nombre de secteurs possible, comme 75% pour les machines à laver ou 80% pour les rasoirs, mais aussi de la capacité d’une nation à déclencher des innovations progressives, comme l’invention du téléphone, de la voiture, de l’avion, de la fusée, de l’ordinateur, des remèdes médicaux, etc.

Sur la base de cette performance, il sera décidé si la Chine parviendra à assumer un rôle de premier plan et à devenir ainsi une superpuissance.

À l’époque, en 1999, la situation était la suivante :

La Chine n’est pas encore un pays qui excelle dans le domaine de la haute technologie, c’est-à-dire que même ici, elle fournit des inventions à une échelle significative.

De nombreuses entreprises occidentales ont contribué à la construction de la Chine, soit du point de vue des coûts, afin de servir leurs propres marchés de manière plus compétitive, soit pour être les premières à participer à un futur grand marché très lucratif.

La situation actuelle à l’époque était que les succursales ou les installations de production ouvertes par les entreprises occidentales n’étaient souvent pas des produits de haute qualité ou complexes, mais on peut supposer que cela ne sera qu’une première étape dans une série d’autres étapes de développement.

En outre, il faut s’attendre à ce que les dirigeants chinois s’efforcent de devenir de plus en plus indépendants des connaissances occidentales afin de pouvoir, à terme, fabriquer eux-mêmes les produits et services les plus modernes. Ce ne sera qu’une question de temps.

L’image suivante s’est donc dégagée pour moi :

Cette montée imaginable de la Chine ne sera pas seulement un processus naturel qui ne pourra être arrêté et qui sera fondé sur la diligence du peuple chinois et l’intelligence des dirigeants chinois, mais nous, c’est-à-dire l’”Occident”, porterons nous-mêmes une part substantielle de la responsabilité d’une telle évolution.

Le problème de base peut être décrit comme suit :

Nous ne parlons pas d’un corps homogène lorsque nous parlons des “États occidentaux”. Nous sommes nous-mêmes en concurrence les uns avec les autres, donc ce sera toujours pour les États individuels
ou les entreprises des États-Unis ou d’Europe d’être attractives d’un point de vue microéconomique ou pour un profit à court terme afin de mener à bien des affaires avec la Chine.

Par conséquent, nous devons créer une nouvelle organisation qui fonctionne de manière similaire à l’OTAN et qui est, d’un point de vue économique, une alliance de défense contre la Chine. L’objectif premier de cette organisation doit être de veiller à ce que notre haute technologie n’entre pas en Chine, en d’autres termes, à ce qu’une certaine forme de verrouillage technologique soit imposée et surveillée.

Pour illustrer cette nécessité, j’ai essayé l’exemple suivant :

Supposons qu’au cours des prochaines décennies, 18 technologies clés émergeront dans le monde, que j’ai définies comme des technologies qui ont non seulement le potentiel de créer des industries entièrement nouvelles, mais aussi d’éliminer complètement plusieurs industries.

Sans une telle organisation, la Chine pourrait réussir à posséder 8 de ces technologies par transfert volontaire de technologie ou par copie/espionnage.

Avec une telle organisation ou en raison de ses propres performances, par exemple seulement une ou deux.

Pour résumer : Si la Chine parvient à rattraper la superpuissance américaine en 2040, c’est avant tout un échec de notre part, car l’Occident ne s’est pas uni contre son adversaire et a fait passer les intérêts de profit à court terme avant le succès à long terme.

Outre la Chine, j’ai identifié une autre nation qui doit être mise en avant : Le Mexique.

Dès 1999, je soupçonnais que l’accord de l’ALENA ne serait pas bénéfique pour les États-Unis. Ici, j’ai fait la différence entre deux perspectives. Pour les entreprises américaines, c’est-à-dire du point de vue de la gestion, il peut être intéressant de délocaliser la production au Mexique, c’est-à-dire que cela peut être logique ou judicieux du point de vue de la gestion de l’entreprise. Toutefois, du point de vue de ce qui est bon pour l’ensemble du pays, cet accord de libre-échange s’avérera négatif, car des emplois et des branches entières de l’industrie seront perdus, ce qui ne peut être dans l’intérêt de l’État ou de la population dans son ensemble, surtout s’ils ne peuvent être remplacés par des emplois équivalents ou de nouvelles industries.

Je ne pouvais que deviner les déficits commerciaux avec la Chine et le Mexique que nous connaissons aujourd’hui.

D’autre part, le Mexique est le point de départ de deux autres problèmes auxquels il faut s’attaquer, à savoir le trafic de drogue et l’immigration clandestine.

Ce problème peut être résolu assez facilement en construisant un “mur” continu vers le Mexique.
Retour en Chine. Indépendamment de la question de savoir si la Chine sera en mesure de rattraper économiquement les États-Unis d’ici 2040, il y a un deuxième côté de la médaille, à savoir celui de la force militaire.

Dans cette optique, la divergence entre les deux nations était et est encore plus évidente.

Mais nous parlons de scénarios possibles 40 ans plus tard dans le futur.

Si la Chine doit rattraper économiquement les États-Unis à l’avenir, les ressources sont également là pour construire une superpuissance militaire correspondante.

Bien entendu, il n’est pas conseillé de supposer que l’avance actuelle se poursuivra automatiquement pendant des décennies.

Autrement dit, la première conclusion est qu’il faut faire quelque chose qui va au-delà du maintien du budget de la défense au même niveau et du recours abstrait à une sorte de système de combat que l’on reconstruit petit à petit, comme un nouvel avion de chasse, un hélicoptère d’attaque, un porte-avions, un système de défense anti-missiles, etc.

D’après moi, le pouvoir militaire s’exprime principalement par des troupes ayant une expérience pratique.

De plus, la question de savoir si je dois ou non être une superpuissance est en fin de compte de nature purement fictive, si je n’exerce pas réellement le pouvoir réel que je pourrais exercer.

Par conséquent, la question posée au début, à savoir ce que je peux faire dans la perspective actuelle pour maintenir le statu quo, est la mauvaise question – si le déclin est de toute façon inévitable, ou même si ce contournement réussi du défi chinois ne fait que reporter le véritable dilemme, mais ne le résout pas vraiment.

La question cruciale est de savoir ce que je fais quand j’ai le pouvoir et les moyens, comment j’utilise le statut de superpuissance.

Ma réponse a été la suivante : il y a actuellement suffisamment de despotes, de tyrans et de régimes criminels dans ce monde qui ne représentent pas une menace militaire immédiate, mais il est moralement et humainement plus que nécessaire de les éliminer.

Maintenant, vous pouvez combiner deux choses.

D’une part, utiliser la puissance au profit de l’humanité, d’autre part, soumettre sa propre armée à un entraînement, ce qu’aucune manœuvre de paix ne peut faire.

En plus de la formation de toute la structure de commandement, de la tactique, l’aspect de l’innovation est le point décisif. Puisque, en fin de compte, seule la pratique peut donner les indications décisives sur ce qui fonctionne (en matière d’équipement, de technologie, de tactique) et ce qui ne fonctionne pas, la guerre est en fin de compte le meilleur moyen de développer votre armée.

Mon conseil était donc le suivant : Faites la guerre avec votre machine militaire, car seule la guerre vous rend meilleur. Si vous libérez l’Irak et l’Afghanistan, vous faites aussi quelque chose de bien.
Afin de préserver les ressources, il faut ensuite prévoir une période de repos pour la consolidation d’environ 20 ans.

Recommencez à partir de 2030 avec la formation de vos militaires.

Cette formation devrait garantir que, dans la période 2040, la machine militaire soit à un niveau tel qu’on ait toujours le statut de “puissance mondiale n°1”, même si, économiquement, l’état de parité aurait dû se produire.

Soit dit en passant, la stratégie choisie est extrêmement résistante du point de vue de l’espionnage, car il n’est jamais exclu qu’un service secret étranger puisse apprendre, par exemple, les détails techniques d’une arme et être autorisé à la copier.

Lorsqu’une division ou une armée entière est en service de guerre, elle apprend à mieux faire les choses au quotidien, les procédures changent, s’adaptent, la qualité et la puissance d’une armée ne se mesurent plus seulement au nombre de chars, à la qualité des blindages, etc. mais surtout à l’expérience pratique des personnes qui l’utilisent dans des situations hostiles. Personne ne peut copier cela, s’il ne fait pas la guerre lui-même.

Par rapport aux guerres passées des États-Unis, comme le Vietnam, la Corée ou la Seconde Guerre mondiale, les pertes humaines dans ces deux missions seront nettement inférieures. Je considérais à l’époque que 2 000 à 3 000 morts étaient réalistes. Sans compter les pertes des nations alliées.

En résumé, ma recommandation stratégique pour les États-Unis était la suivante :

Phase 1, axée sur l’armée en renforçant l’armée par la guerre en Irak et en Afghanistan, puis phase 2 avec le renforcement de la propre économie en mettant l’accent sur l’élimination du déséquilibre dans les relations commerciales avec le Mexique et la Chine,

J’ai mentionné qu’un milliardaire (pour la phase 2) devrait prendre la barre, car c’est lui qui, en raison de sa personnalité, est le plus susceptible de fixer le cap économique des États-Unis.

A l’époque, je pensais encore à l’échec de Ross Perot.

Ma stratégie est actuellement mise en œuvre aux États-Unis !

C’est un grand honneur pour moi !

Mais l’histoire ne s’arrête pas là.

Haute trahison

Il y a 20 ans déjà, je suis arrivé à la conclusion, lors de l’analyse du problème, pourquoi l’Allemagne tolère-t-elle ce crime constant des étrangers, que les étrangers délinquants ne sont qu’un côté de la médaille, parce que de l’autre côté, il y a des Allemands, qui sont soit ignorants, soit trop faibles ou trop stupides pour résoudre le problème, c’est-à-dire pour renvoyer tout le monde hors du pays.

Ici, des raisons historiques peuvent jouer un rôle ou un manque d’information, d’empathie ou de “mauvaises expériences”.
Par conséquent, si vous voulez résoudre la question de la “criminalité des étrangers”, vous ne devez pas vous précipiter pour attaquer l’”ennemi extérieur”, mais d’abord vaincre l’”ennemi intérieur”.

Cet ennemi intérieur peut être vous-même ou votre propre peuple.

Puisque, comme je l’ai déjà mentionné, j’avais l’impression ou la présomption qu’un service secret écoutait cette conversation, j’ai fait la déclaration suivante par analogie :

Imaginez que nous soyons tous les deux assis ici et que nous soyons mis sur écoute pendant qu’un étranger commet un crime à quelques kilomètres de là, en ce moment même où nous parlons.

Ce serait une monstruosité et une insolence sans pareilles, car cela signifierait que les Allemands surveilleraient les Allemands sans raison, mais qu’en même temps des crimes seraient commis par des étrangers contre les Allemands, ce qui ne serait pas empêché alors qu’il serait facile de les empêcher, ce qui équivaudrait à une double trahison.

Je suis même allé jusqu’à dire que lorsque j’aurais hérité de la maison de mes parents, je la vendrais et utiliserais le produit de la vente pour faire mon enquête.

Cependant, nous n’avons pu en arriver là, car les prétendus “agents des services secrets” ont joué un jeu malveillant avec moi.

Cependant, le dernier point, qui est en fait une question secondaire, est apparu à peine deux ans plus tard, le 11 septembre 2001.

Au sujet des femmes

Je voudrais revenir sur la conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire, qui a bien sûr aussi abordé le sujet des “femmes”. Tout d’abord, je dois dire que jusqu’à présent, je n’avais pas de petite amie stable, parce que je n’aimais que très peu les “regards” ou que j’avais des attentes particulièrement élevées.

Puisque chaque personne a le désir de ne plus être seule ou le désir de trouver le bon partenaire, l’état de non-réalisation peut être un obstacle à la joie et à la performance.

J’ai ressenti cette chose de 15 à 22 ans. Cependant, un compromis que j’aurais certainement pu faire, à savoir prendre une femme moins belle avec laquelle je m’entendais d’une manière ou d’une autre, était hors de question – je voulais le meilleur ou rien du tout.

Les services secrets, qui m’ont surveillé toute ma vie, connaissaient ce “talon d’Achille”, et j’avais ouvertement déclaré la guerre à ces gens, qui étaient invisibles et inconnus pour moi.

En octobre 2000, j’ai commencé mes études de commerce à Bayreuth dans l’espoir d’y rencontrer enfin une femme attirante.

Au début, je ne devais pas être déçu, car une jeune élève de l’extérieur correspondait à mes attentes.

Cependant, cette rencontre, ainsi que la non-rencontre, était contrôlée par cette “organisation secrète”, dont je n’avais pas connaissance à l’époque.
Au début, je vivais donc dans l’espoir de trouver enfin mon bonheur amoureux, le premier semestre a passé et le semestre d’été 2001 a commencé.

L’évolution suivante n’est pas facile à communiquer, d’autant plus qu’en tant qu’être extérieur, on peut facilement avoir l’impression que ma vie tournait constamment autour du fait que j’étais espionné. Ce n’est pas le cas.

Je voudrais donc souligner que depuis ma conversation d’il y a deux ans, j’ai très rarement eu de telles pensées, voire pas du tout.

Il y a eu une occasion pour cela, mais je ne veux pas en discuter plus ici, car cela n’a finalement aucun rapport avec la question. Mais ce que je peux dire aujourd’hui, rétrospectivement, c’est qu’ils ont voulu tracer une fausse piste.

Par conséquent, je voudrais laisser de côté les détails superflus à ce stade, pour en venir directement au point pertinent, à savoir qu’à un moment donné, j’ai soupçonné que les parents de cette élève m’avaient mis sous surveillance.

J’ai commencé à faire face à cette situation et après quelques semaines, j’ai commencé à parler aux personnes invisibles directement dans mon appartement d’étudiant. Je ne voulais pas porter plainte directement auprès de la police, mais je voulais attendre de voir.

Dans ma naïveté, je croyais à l’époque que c’était le moyen d’amener les gens à s’arrêter et à cesser la surveillance.

Par exemple, j’ai dit : “Pouvez-vous s’il vous plaît arrêter de m’écouter et me regarder…”

Si j’avais su à l’époque que j’étais déjà surveillé à vie, je n’aurais certainement pas dit certaines choses, telles que les suivantes :

(Image qui représente la parole citée si-dessus).

La raison pour laquelle j’ai dit ces choses peut peut-être s’expliquer psychologiquement de telle manière que cette “attention” que vous ressentez, qui est bien sûr extrêmement désagréable d’une part, mais qui est d’autre part une sorte de projecteur dans lequel vous voulez faire bonne figure ou montrer ce que vous savez ou pouvez faire.

J’ai donc commencé à élaborer une stratégie pour la DFB, par exemple, afin de pouvoir à nouveau remporter des tournois. Pour ce qui est des détails, je voudrais revenir sur mon héritage écrit.

Autre exemple : la raison initiale de mon intérêt pour la gestion d’entreprise est due au fait que j’avais lu de nombreux rapports d’entreprise, par exemple du Handelsblatt, du Manager Magazin ou de livres, ce qui a suscité de plus en plus mon intérêt pour la question de savoir ce qui différencie les entreprises qui réussissent de celles qui échouent. Quelles en sont les raisons ? La réponse à cette question est également devenue de plus en plus évidente, car elle a quelque chose à voir avec le terme “stratégie”. Je voulais en savoir plus sur ce sujet.

La réalité de l’université en a été d’autant plus décevante que c’est précisément cette question passionnante et décisive qui n’a pratiquement jamais été abordée. On dansait autour du sujet, pour ainsi dire, et on traitait de questions moins importantes ou dérivées.

J’ai donc exprimé le souhait de créer une nouvelle commission. Ce programme devrait s’appeler “Gestion internationale” et être consacré à l’importante question de la mondialisation de l’économie.

Je ne m’attendais pas vraiment à ce que cela soit mis en œuvre, mais vous pouvez en parler …

Plus précisément, je voulais que le professeur ait un peu plus que l’expérience pratique habituelle et vienne de Siemens. J’ai également commandé l’assistante ou la doctorante en fonction de “certaines apparences” (cheveux blonds courts, avec une grosse poitrine)…et quelques années plus tard, j’ai effectivement obtenu ce que je désirais.

Ce détail mérite d’être mentionné car une si jeune femme devait répondre à plusieurs critères, un diplôme d’études commerciales, l’apparence décrite et bien sûr être capable intellectuellement de remplir un poste de doctorat. À ce moment-là, il n’y aura pas eu trop de femmes en Allemagne qui auraient pu prétendre à un tel poste. Mais ils y sont parvenus, ce qui m’amène à la conclusion que l’intensité de la surveillance en Allemagne est très élevée, et que nous devons supposer qu’il existe un véritable État de surveillance.

Retour au semestre d’été 2001, qui s’est terminé sans le bonheur de l’amour et avec la certitude toujours plus grande d’être suivi.

C’est aussi un fait que les services secrets devaient maintenant supposer que, très probablement pour la première fois de leur histoire, quelqu’un sous leur surveillance était au courant et leur en a même parlé.

Un ami d’école, dont le père avait un parent à la CIA, m’a donné l’idée de faire appel à son aide, ce que j’ai refusé à l’époque.

Dans la nuit du 10 septembre 2001 au 11 septembre 2001 – c’était encore la pause semestrielle, mais entre-temps j’étais de retour dans mon appartement à Bayreuth – j’ai fait un rêve, qui était si désagréable qu’on peut parler d’une visualisation de “surveillance”, et si fort que je me suis réveillé dans mon lit la nuit et me suis exclamé “tu vas récupérer ça”, par lequel je voulais dire les personnes qui me regardaient évidemment en ce moment.

Le lendemain, le célèbre attentat contre le World Trade Center a eu lieu.

Intuitivement, je savais qu’il y avait un lien avec moi ou que cette attaque avait été perpétrée par les États-Unis eux-mêmes.

Pendant plusieurs semaines, j’ai résisté à la pression, mais je voyais mes études en danger, et je ne comprenais pas encore tout le contexte des raisons pour lesquelles quelqu’un avait laissé le 11 septembre se produire.

En janvier 2002, je suis donc allé à la police pour la première fois pour signaler une surveillance illégale.

Malheureusement, je n’en suis pas arrivé à un résultat.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, le tableau s’est peu à peu ouvert à moi et si j’avais supposé auparavant que j’étais sous surveillance depuis mes études, j’ai malheureusement dû me rendre compte que j’avais déjà été aux prises avec une organisation secrète toute ma vie.

À l’automne 2004, j’ai de nouveau signalé l’affaire, cette fois à un autre poste de police, et elle a de nouveau été rejetée.

En 2019, j’ai fait la troisième et dernière tentative.

J’ai contacté plusieurs enquêteurs privés et j’ai déposé deux plaintes, l’une auprès du ministère public à Hanau et l’autre auprès du procureur général fédéral à Karlsruhe.

Le meilleur résultat possible a été qu’un enquêteur privé m’a recommandé un institut de “télédétection” en Autriche, que je devrais contacter. Mais aussi ce monsieur (Bernd Gloggnitzer) m’a écrit quelques semaines plus tard qu’il ne pouvait pas m’aider.

Hollywood

J’aimerais maintenant aborder un sujet qui, au départ, sort de l’ordinaire, mais qui a néanmoins une pertinence décisive.

L’organisation secrète qui me surveille influence le choix des films hollywoodiens ou du contenu qui est filmé.

Un autre sujet de conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire a également porté sur les films et j’ai mentionné certaines choses que j’aimerais voir au cinéma ou comment ces films devraient êtres.

Voici quatre exemples :

Comme j’ai trouvé ou trouve encore Sharon Stone très séduisante, j’ai dit que j’aimerais revoir un deuxième volet de Basic Instinct ; ce film devait se dérouler en Angleterre.

Il serait intéressant que Tom Cruise joue un tueur, car cela sortirait complètement du cadre de son rôle précédent.

Au-dessus de cela, j’ai développé une idée plus détaillée sur deux contenus d’une série ou sur la façon dont cette série devrait être structurée.

Je lui ai dit qu’étant petit garçon, j’avais vu à la télévision le film “Escape from Alcatraz” avec Clint Eastwood, que je trouvais très excitant. Donc, comment l’histoire a été racontée sur la façon dont quelqu’un réussit à s’évader d’une prison, mais aussi qu’à la fin du film, il était dommage que le film soit terminé maintenant :j’aimerais en avoir plus, donc d’une façon ou d’une autre, ça devrait continuer. Je me suis dit que beaucoup de spectateurs ressentiront la même chose, qu’ils sont captivés par un film et qu’ils aimeraient en avoir plus. L’idée m’est donc venue qu’un tel film devrait être tourné à nouveau, mais pas comme un long métrage (donc de plus de 90 ou 120 minutes), mais comme une série et l’histoire devrait être étendue à 10 heures. Cela créerait une toute nouvelle dimension de suspense. En outre, la période suivant l’épidémie pourrait également être filmée dans une nouvelle saison.

Avec la série télévisée “Prison Break”, cela a été mis en œuvre en conséquence – très bien, à mon avis.

Donc, en y repensant, j’ai inconsciemment fourni l’idée de base à l’époque, mais bien sûr je n’ai ni écrit le scénario, ni choisi les acteurs, ni contribué à la réalisation réelle de cette saison.

Je peux dire la même chose de la série “Vikings”.

Ici aussi, j’ai eu l’idée qu’il serait intéressant et passionnant de raconter l’histoire des Vikings dans la perspective d’aujourd’hui avec la puissance d’Hollywood. A commencer par les premiers voyages en Angleterre, les raids, le mode de vie, le premier contact avec une nouvelle religion – le christianisme, la conquête de Paris. Je me souviens que j’ai mentionné que dans une telle épopée, il est important de tourner autant que possible dans la vraie nature, ou en d’autres termes, d’éviter autant que possible les scènes de studio.

Je pourrais donner d’autres exemples, mais je suis sûr qu’il est devenu évident que cela ne peut plus être une coïncidence.

Pendant le semestre d’été, lorsque j’ai parlé aux auditeurs présumés dans l’appartement, j’ai dit, entre autres, que ce fait que j’étais surveillé – j’ai déjà indiqué que j’avais l’intention de me défendre en conséquence – si nécessaire, je me rendrais dans un immeuble en avion pour attirer l’attention appropriée – entrerait dans l’histoire du monde, et que des films hollywoodiens seraient un jour tournés après moi.

Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé à quel point j’avais raison de prononcer ces mots.

Parce que non seulement après le 11 septembre 2001, des films ont été réalisés grâce à mon inspiration, mais le lien avec Hollywood existait avant cela.

De manière cachée, c’est-à-dire dans un format de long métrage, ces personnes ont développé leurs propres capacités ou les capacités extraordinaires qui leur sont accessibles et inconnues du public, parfois de manière plus ou moins concrète.

Voici quelques exemples :

“Regardez qui parle” – Dans le film, le spectateur peut écouter les pensées des petits enfants – en réalité, ces personnes peuvent lire les pensées de moi ou de n’importe qui d’autre.

“The Cell” avec Jennifer Lopez – Le film dépeint une femme qui a le don particulier de pouvoir se brancher sur le cerveau d’un être humain. Plus précisément, elle interfère avec celle d’un meurtrier pour en faire quelque chose de bien, à savoir sauver une femme emportée par la mort – en réalité, elle est utilisée sur moi ou d’autres personnes, sans raison particulière, et vole ainsi leur intimité complète.

“Starship Troopers” – Ce film traite d’un avenir pas trop lointain, où les futures unités spéciales d’une armée ont déjà des “capacités télépathiques” – c’est la réalité depuis un certain temps.

Il y a peut-être beaucoup d’autres séquences de ce type tirées de films et de séries, mais je ne les connais pas toutes et je ne peux pas ou ne dois pas les énumérer ici.

En résumé, je voudrais utiliser ces exemples pour illustrer que cette capacité de “lire les pensées” et de pouvoir “se brancher sur le cerveau d’une autre personne” est exactement traitée en film par la même organisation qui possède cette capacité !

Le verrouillage de cerveau

Comme mentionné ci-dessus, j’ai parlé avec les services secrets à différents jours dans mon appartement pendant l’été 2001. J’ai demandé, entre autres, à être informé des dernières méthodes de renseignement.

Ils ont réalisé ce souhait en illustrant la possibilité de “se brancher sur le cerveau d’un autre” par le rêve.

Dans ce “rêve”, j’ai vu mon père descendre les escaliers de notre maison avec un téléphone à l’oreille alors que je me tenais en bas.

Peu de temps après, j’ai vu une “femme”, qui tenait également un téléphone à l’oreille et me parlait, “cela pourrait être encore plus flagrant” …

Elle m’a donc fait comprendre qu’elle pouvait ainsi influencer le fait que mon père commence à me parler et qu’elle pouvait aussi influencer le contenu ou l’humeur de mon père.

Remarque : Pour éviter tout malentendu, en l’état actuel de mes connaissances, la manipulation fonctionne sans téléphone physique – le téléphone doit donc être compris comme une métaphore.

Normalement, je devrais décrire ce point de manière beaucoup plus intensive, car il pousse l’intensité de la surveillance à l’extrême, puisque même ses propres pensées ne sont plus intimes, c’est-à-dire que le vol de la vie privée s’effectue à presque 100 %, et il décrit également le passage de la surveillance passive à l’intervention active dans la vie, et en particulier en ce qui concerne mes efforts pour porter cette surveillance à la connaissance du public, car les personnes que j’ai appelées à l’aide ont été exposées à cette manipulation.

Cependant, il est resté avec cette seule allusion, en revanche il a été aussi court que je vous l’ai décrit.

Synthèse

Si j’oublie un instant que je n’ai jamais eu de sphère privée ou intime jusqu’à ce jour, il y a plusieurs événements qui ont fait l’histoire du monde qui sont dus à ma volonté et je pourrais m’en réjouir. Deux régimes criminels ont été éliminés, les États-Unis adaptent leur grande stratégie en fonction de mes idées et les films d’Hollywood ont été réalisés selon mon inspiration. À ce stade, je voudrais mentionner brièvement que ce n’est de loin pas tout. Je pourrais citer bien d’autres exemples de la même dimension. Et … Et … ce qui est le plus important maintenant, je ne suis qu’un jeune homme ordinaire d’Allemagne. Au moins, j’étais jeune quand je pensais et disais ces choses, maintenant j’ai 42 ans. C’est vrai, grâce à beaucoup de choses, je pouvais me sentir bien et je l’ai fait.

Cependant, au total, il y a de nombreux effets secondaires négatifs pour moi, que je voudrais préciser ici encore.

L’une des principales conséquences est, par exemple, que je n’ai pas eu de femme ou de petite amie pendant toute une vie, pas au cours des 18 dernières années, simplement parce que je ne veux pas de femme si je sais que je suis surveillé.

Comme j’ai dit à mon collègue que j’irais finalement jusqu’à vendre la maison de mon père, juste pour savoir si quelqu’un m’observait, la réponse ne s’est pas fait attendre, car quelques mois plus tard, mon père a perdu son emploi de directeur d’agence, est resté au chômage pendant plusieurs années et n’a jamais vraiment pu trouver quoi que ce soit d’égale valeur par la suite, mettant ainsi plus ou moins en péril le financement de la maison, qui était toujours en cours.

Cela a été un lourd fardeau psychologique pour ma famille.

Comme la pension n’est pas suffisante, mon père est actuellement obligé de travailler à plein temps à l’âge de 70 ans.

Ce licenciement, soit dit en passant, n’est pas le résultat de deux employés des services secrets qui se sont présentés personnellement à l’ancien employeur de mon père et l’ont amené à donner un préavis de licenciement, mais invisiblement, ils ont puisé dans le cerveau et produit le résultat souhaité par télécommande.

Pour compléter le tableau, je voudrais ajouter que j’ai subi quelques blessures physiques, que j’attribue également à cette “organisation” et qui présentent des traits sataniques ou peuvent être décrites dans la terminologie juridique comme “dangereuses pour le public”.

Je voudrais m’abstenir de toute désignation concrète à ce stade, car l’avenir mettra la vérité en lumière.

Bilan

Pour l’origine de ma surveillance, deux variantes me semblent actuellement possibles.

En raison de la Seconde Guerre mondiale perdue et de la guerre froide qui a suivi, je peux imaginer un contexte américain, où l’Allemagne et sa population étaient visées de manière générale, ce qui était justifié par le passé national-socialiste ou l’espionnage soviétique.

Une autre possibilité est que les auteurs soient des “Allemands”, qui doivent avoir un lien solide avec les États-Unis.

Qu’importe quelle variante soit correcte, le fait est le suivant :

Ces personnes sont (pour le dire simplement à ce stade) quelque peu différentes des gens ordinaires que vous rencontrez.

Cela résulte de ce qui est décrit, car d’une part vous avez été mon compagnon constant dans la vie et selon votre logique vous êtes intervenu tantôt positivement, tantôt négativement dans ma vie.

Je tiens à souligner que j’écris ces lignes avant tout parce que je ne suis certainement pas un cas isolé, et que beaucoup d’autres personnes en Allemagne ou dans le reste du monde sont également prises dans un piège similaire et ont dû vivre des choses similaires, dont elles n’ont même pas pu imaginer la véritable cause.

Ces personnes se tiennent au-dessus du président américain, qui, selon le langage courant, est considéré comme l’homme le plus puissant de la planète.

Lorsque j’ai commencé à communiquer ouvertement avec ces personnes au cours de l’été 2001, cela a probablement déclenché quelque chose que je m’explique comme suit :

Le fait que j’ai été témoin que l’on me surveille est une réussite, peut-être même une réussite exceptionnelle, et certains me qualifieront de “génie” parce que j’ai été capable mentalement de saisir et d’imaginer un processus invisible. Et … il faut le souligner ici encore pour avoir raison !

Comme il doit s’agir non seulement d’une organisation très puissante, mais aussi d’une organisation plus importante comptant au moins plusieurs centaines de personnes, j’avais attiré l’attention à l’intérieur ou à l’extérieur de cette organisation de telle manière qu’un nouveau groupe “s’est impliqué”, car c’est ce que j’associe au 11 septembre.

En bref, quelqu’un a aimé qui je suis, ce que j’ai dit, comment je pense et comment je vois les choses.

Leur principale réussite à ce jour est qu’ils sont restés soudés sur une très longue période. Aucun d’entre eux n’en est arrivé à un point où ils doivent s’arrêter, exposer leurs méthodes et donc l’organisation.

La source de financement n’est pas claire. D’où vient l’argent nécessaire pour effectuer ce contrôle ?

Dans leurs rangs se trouvent des personnes qui ont des dons particuliers, à savoir la capacité de lire les pensées d’une autre personne et de pouvoir s’y engager de manière manipulatrice. La question est de savoir s’il s’agit d’une capacité innée ou d’une capacité qui peut être “apprise” ? Quelles conditions doivent être remplies pour que cela réussisse ? Je ne sais pas non plus avec quelle intensité cette “télécommande” peut être pilotée. Personne ne se heurtera volontairement à un mur, c’est-à-dire qu’on peut être poussé à des actions absurdes, mais dans le contexte de la vie quotidienne, les rencontres, les conversations et les virages peuvent être orientés dans une certaine direction.

Peut-on manipuler quelqu’un pour qu’il se pende ? Cela leur permettrait de réaliser le crime parfait, car ils ne devraient jamais être présents en personne au moment où le crime a été commis ou aucune personne normale ne conclurait que la cause du décès a été causée de cette manière.

Comme j’étais probablement le seul parmi la population à bien deviner ce qu’ils faisaient, je suis devenu un cas ambivalent pour eux.

D’une part, cela l’a certainement impressionné, d’autant plus que j’avais déjà correctement évalué la situation à un très jeune âge, peut-être même en établissant le record mondial ultime, puisque rétrospectivement, j’ai interprété correctement la situation après seulement quelques secondes de ma vie. D’un autre côté, ce n’était pas une situation souhaitable pour eux, car à long terme, ils pouvaient imaginer que je deviendrais un problème pour eux si je n’abandonnais pas et ne poursuivais pas l’éducation jusqu’au bout.

Lors de la mise en œuvre de la stratégie de la DFB, je dois me poser la question suivante : ont-ils réussi à le faire exclusivement par le biais de ce qu’on appelle la “télécommande” ou un représentant de la DFB a-t-il jamais vu mon visage ou entendu un mot que j’ai dit ?

Les données personnelles d’Oliver Bierhoff et de Jürgen Klinsmann, ainsi que celles des entraîneurs américains de fitness, sont la partie visible de la mise en œuvre de ma recommandation stratégique.

Je ne peux pas répondre à la question de savoir si l’équipe de la DFB s’est effectivement retirée volontairement lors du championnat d’Europe 2004, et je ne sais pas non plus dans quelle mesure mes autres recommandations ont été mises en œuvre.

Je doute également que Donald Trump mette sciemment en œuvre mes recommandations, car je suis sûr que cela fonctionne grâce à la soi-disant télécommande.

Il existe donc bien un soi-disant “gouvernement de l’ombre” !

Bien sûr, je ne peux que deviner l’intensité de la surveillance en Allemagne. Mais l’image qui se dégage pour moi est qu’elle doit être d’une ampleur et d’une intensité inimaginables.

Une de mes principales préoccupations est donc qu’une future surveillance centrale de la population ne sera jamais mise en place ou que celle qui existe déjà sera exposée et éliminée.

Conclusion

Tout cela ne peut pas être une coïncidence :
-La guerre en Irak et en Afghanistan (surtout dans la manière dont elle a été menée)
-Les coordonnées de la DFB, les stations d’entraînement de Jürgen Klopp
-La chaire “International Management” à l’université de Bayreuth
-Les films hollywoodiens répertoriés
-Le fait qu’un milliardaire aux Etats-Unis applique maintenant ma recommandation politique (j’ai même développé quelques slogans comme “America First, Buy American et Hire American”)

Comme mentionné ci-dessus, je pourrais donner plusieurs autres exemples qui entrent dans la même catégorie.

J’ai eu le privilège de réfléchir à ces événements marquants au cours des 18 dernières années et d’entraîner mes capacités cérébrales en fonction de ces signaux stratégiques.

Pour moi personnellement, il ne fait aucun doute depuis longtemps que j’ai raison de dire que je suis surveillé par une organisation secrète.

A l’époque, j’avais composé sans le savoir le 911 de la police américaine, ou pour mieux dire, ils m’ont laissé le faire.

Cependant, cet appel d’urgence n’a pas apporté son aide.

Bien sûr, les contenus et les exemples présentés ne représentent qu’une petite partie de ce que j’ai vécu ou dit dans ma vie.

Il n’est pas possible de reproduire toute une vie en quelques pages, surtout les impressions subjectives, ce qui a été vu et vécu, et tous ce a quoi j’ai pensé.

L’objectif principal de mes remarques est de dégager l’essentiel, que je voudrais résumer à nouveau ici :

L’humanité sur cette planète est prise pour une masse d’idiots par une très petite “élite”, qui possède un savoir secret qu’elle cache délibérément aux masses.

Je vous renvoie à d’autres secrets, que vous trouverez sous forme de liens sur ma page d’accueil.

Lorsqu’un voleur ordinaire s’introduit dans une voiture ou entre dans une maison, vous n’avez peut-être vu personne, mais vous savez que vous avez été victime d’un crime parce que vous avez manqué des objets ou que vous pouvez voir des signes d’effraction.

Si une organisation secrète met en place une surveillance, vous êtes également victime d’un crime. Cependant, en règle générale, on n’a même pas remarqué que le crime a été commis.

C’est la seule différence sérieuse et décisive.

Comment la population peut-elle et doit-elle se défendre contre un crime dont elle ne sait même pas qu’il a lieu ?

La deuxième particularité est que les auteurs du “crime” ont été informés de toutes les mesures que j’ai prises pour porter le crime à la connaissance du public. Même en écrivant ces lignes, ils ont pris note en temps réel.

En outre, je suppose que les personnes respectives de la police ou des autorités que j’ai appelées ont été manipulées en conséquence, de sorte qu’elles ont pu empêcher leur propre poursuite.

Quand je n’avais que quelques années, je me suis juré que si j’avais raison sur le fait d’être surveillé, alors il y aurait la guerre !

Pour toutes ces raisons, je n’avais donc pas d’autre choix que d’agir comme je l’ai fait afin d’obtenir l’attention nécessaire.

Cette guerre doit être comprise comme une double frappe, contre l’organisation secrète et contre la dégénérescence de notre peuple !

Les gens vont et viennent. Ce qui reste, c’est le peuple !

À l’avenir, regardez bien qui sont les gens.

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Puis ils sont venus pour votre esprit : L’histoire inédite de la psychochirurgie

SOURCE

Peter et Ginger Breggin – est l’interview complète, brute et encore inédite, du Dr Breggin qui a été utilisée dans notre film « The Minds of Men ».

Le Dr Breggin rend compte de son activisme et de sa lutte contre la psychochirurgie il y a plus de 50 ans – une campagne des années 1960-70 visant à légitimer la destruction du cerveau et à utiliser un mode d’intervention dans le cerveau en constante évolution et de plus en plus technologique, utilisant des électrodes implantées pour cibler des zones minuscules du cerveau liées au comportement, et pour utiliser la surveillance et l’activation par radiofréquence (RF) pour contrôler les humeurs, l’attitude et peut-être même la pensée.

Pire encore, les praticiens et les décideurs qui ont poussé cette nouvelle ère dangereuse d’intervention dans notre espace mental privé le faisaient sur la base de la désactivation PRÉEMPTIVE de ceux qui étaient identifiés comme « potentiellement violents ». Comme nous l’avons expliqué dans « L’esprit des hommes », une campagne massive était en cours à la suite de fusillades et d’assassinats de masse pour filtrer le public et attirer un large éventail de personnes qu’il souhaitait pacifier et sortir de l’équation.

Il s’agissait de militants et de dirigeants politiques de la communauté noire et d’autres fauteurs de troubles potentiels – des responsables politiques, et non des délinquants ou des personnes qui avaient « fait quelque chose de mal ». Le programme a également ciblé les personnes « à risque » dans toutes les couches de la société.

Le Dr Breggin a joué un rôle essentiel en braquant les projecteurs sur ces pratiques gênantes – en mettant l’accent sur les travaux du Dr Jose Delgado et des docteurs Vernon Mark, Frank Ervin et William Sweet (également représentés dans « The Minds of Men »).

Se dressant contre cette injustice, Breggin a résisté aux menaces de mort et à l’opposition des milieux psychiatriques et psychologiques dans lesquels il a été formé pour mettre fin au financement et à la pratique – du moins ouvertement.

Ce qui a continué dans l’ombre est une autre histoire… mais une histoire qui se rattache solidement à l’endroit que la société a de nouveau atteint – la croyance dangereusement naïve que les « autorités », les « experts », les « milliardaires » et leurs technologies peuvent non seulement améliorer le monde, mais aussi réparer nos cerveaux et nos esprits.

C’est une histoire importante qui était, jusqu’à présent, peu connue.

Le Dr Breggin et la lutte contre la psychochirurgie sont présentés dans « The Minds of Men » :


Complimenting yesterday’s post – a guest article written by Dr. Peter & Ginger Breggin – is the raw, and as yet unreleased full interview with Dr. Breggin that was used in our film “The Minds of Men”.

Dr. Breggin gives an account of his activism and struggle against psychosurgery more than 50 years ago – a 1960s-70s era campaign to legitimize the destruction of the brain, and utilize an evolving and increasingly technological mode of intervention in the brain using implanted electrodes to target minute areas in the brain tied to behavior, and to use radio frequency (RF) monitoring and activation to control moods, attitude and perhaps even thought.

Worse, the practitioners and agenda-makers who were pushing this dangerous new era of intervention in our private mind space were doing so on the basis of PREEMPTIVELY disabling those identified as ‘potentially violent.’ As we detailed in ‘The Minds of Men,’ a massive campaign was underway in the wake of mass shootings and assassinations to screen the public, and draw a wide net of people they wanted to pacify and take out of the equation.

These included activists and political leaders in the black community and other potential troublemakers – political liabilities, not offenders or those who’d ‘done something wrong.’ The program also targeted “at risk” individuals throughout the strata of society.

Dr. Breggin played a pivotal role in shining a spotlight on these troublesome practices – with a focus on the work of Dr. Jose Delgado, and doctors Vernon Mark, Frank Ervin and William Sweet (also depicted in “The Minds of Men”).

Standing up against this injustice, Breggin withstood threats on his life and opposition from within the psychiatric and psychological fields which he was trained in to stop the funding and practice – at least overtly.

What continued in the shadows is another story… but one which connects solidly with the place society has once again reached – the dangerously naive belief that ‘authorities’ and ‘experts’ and ‘billionaires’ and their technologies can not only improve the world, but fix our brains and minds as well.

This is an important story that has been, until now, little known. Please watch and share.

Dr. Breggin and the fight against psychosurgery is featured in “The Minds of Men”:

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Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Bio-electromagnetic Weapons: The ultimate weapon  

Un système d’armes qui fonctionne à la vitesse de la lumière, qui peut tuer, torturer, asservir et échapper à la détection, Harlan Girard

L’arme ultime

Les armes électromagnétiques fonctionnent à la vitesse de la lumière ; elles peuvent tuer, torturer et asservir ; mais le public ignore largement leur existence, car ces armes fonctionnent de manière furtive et ne laissent aucune preuve physique. Les armes électromagnétiques ont été testées sur des êtres humains depuis 1976. En dispersant largement les sujets de ces tests humains involontaires et en attaquant avec véhémence leur crédibilité, les États-Unis ont pu procéder à ces expériences humaines sans être gênés par des discussions ou des critiques, et encore moins par une opposition.

Ce système d’arme ultime est actuellement déployé en Irak. L’US Air Force et le Marine Corps l’appellent « technologie de déni actif », comme si elle était utilisée uniquement à des fins de défense, mais ce n’est pas le cas (voir encadré 1).

La vérité sur la « technologie du déni actif ».

Il n’y a qu’un seul spectre électromagnétique. Les armes nucléaires libèrent une grande quantité de rayonnements ionisants dans la gamme des hautes fréquences au-dessus de la lumière visible, où l’énergie des rayonnements est capable de rompre les liaisons chimiques. Il est généralement reconnu que les rayonnements ionisants peuvent provoquer le cancer.

L’armée américaine a transformé en armes les radiations non ionisantes en dessous de la gamme visible, les micro-ondes et les ondes radio qui sont utilisées dans les téléphones mobiles et les télécommunications. Le gouvernement américain a vigoureusement nié que les radiations électromagnétiques non ionisantes puissent présenter des risques pour la santé, à la fois pour défendre la recherche sans consentement sur l’homme qu’il mène depuis de nombreuses années mais qu’il n’a pas encore reconnue, et pour dissuader d’autres pays de développer des armes similaires.

Le seul effet biologique des radiations non ionisantes que le gouvernement américain a reconnu depuis de nombreuses années est le réchauffement et, par conséquent, il caractérise la « technologie de déni actif » comme celle qui produit des douleurs dues à un réchauffement soudain de la peau ; mais ce n’est pas ainsi que cela fonctionne réellement.

Lecture des ondes cérébrales et contrôle de l’esprit

En 1959, Saul B. Sells, professeur de psychologie sociale dans une petite université américaine, a soumis une proposition à la Central Intelligence Agency (CIA) pour construire pour eux l’appareil d’électroencéphalographie le plus sophistiqué qui aurait une capacité de calcul intégrale pour analyser et, espérons-le, donner un sens aux ondes cérébrales qu’il enregistre. En d’autres termes, le professeur a proposé de fabriquer une machine qui pourrait dire à la CIA ce qu’une personne pense, qu’elle souhaite ou non divulguer cette information.

La CIA a approuvé le projet en 1960, en y ajoutant des recherches en bibliothèque avec cinq objectifs. Le cinquième objectif de la recherche était, « Techniques d’activation de l’organisme humain par des moyens électroniques à distance ». L’ensemble de cette mission a ensuite été connu sous le nom de sous-projet MKULTRA 119, MKULTRA étant le célèbre programme de contrôle des esprits de la CIA. Il était basé sur l’idée erronée que les Soviétiques possédaient déjà les moyens de contrôler les esprits et que les États-Unis devaient rattraper leur retard le plus rapidement possible.

Les documents relatifs au sous-projet 119 de MKULTRA sont maintenant conservés aux National Security Archives (une organisation non gouvernementale) de l’Université George Washington à Washington, D.C. [1]. John Marks, auteur de The Search for the Manchurian Candidate : The CIA and Mind Control (Times Books, New York, 1979) a fait don des documents MKULTRA ; son livre a été réédité par W.W. Norton & Company, Inc, New York, 1991 et est toujours en cours d’impression.

Le projet Bizarre a suivi le sous-projet 119 de MKULTRA en 1965. Le but de Bizarre était d’enregistrer et d’analyser le signal micro-ondes complexe qui aurait été émis à l’ambassade américaine à Moscou par les Soviétiques depuis un bâtiment situé de l’autre côté de la rue. Ce qui est intéressant dans le projet Bizarre, c’est que si les États-Unis ont nié jusqu’à ce jour qu’il puisse y avoir des effets néfastes sur la santé à cause du rayonnement micro-ondes, ils ont immédiatement suspecté que « le signal de Moscou » produisait divers effets sur la santé du personnel de l’ambassade, en particulier chez les ambassadeurs successifs au bureau desquels il était prétendu que le signal était émis. Au moment même où le Département d’État testait le personnel de l’ambassade pour détecter les cassures d’ADN produites par le signal de Moscou, il s’est senti contraint de ne pas se plaindre aux Soviétiques parce que la puissance de leur signal était une infime fraction de ce que les États-Unis considéraient comme un niveau d’exposition humaine sans danger. Le journaliste Barton Reppert a écrit le compte-rendu le plus fiable sur le signal de Moscou [2]. (Note de la rédaction : les ruptures d’ADN dues à l’exposition aux téléphones portables ont été confirmées par des recherches récentes en laboratoire [3, 4] (Science in Society 24)).

Conversion du son aux micro-ondes

En 1973, Joseph C. Sharp, un psychologue expérimental de l’Institut de recherche de l’armée Walter Reed, a réalisé une expérience qui a été déterminante pour le développement de l’équipement de torture qui est aujourd’hui expédié en Irak. Il a fait installer dans son laboratoire par James Lin un équipement qui convertissait la forme des ondes sonores en un rayonnement micro-ondes qui lui permettait de s’entendre vocaliser les noms des nombres de un à dix dans sa tête, en contournant le mécanisme de ses propres oreilles. Cette expérience particulière n’a jamais été publiée mais est mentionnée dans le livre de Lin, Microwave Auditory Effects and Applications, publié en 1978 [5].

L’expérience a été confirmée par le brevet américain 6 587 729, « Apparatus for Audibly Communicating Speech Using the Radio Frequency Hearing Effect » [6] . Ce brevet concerne une version améliorée de l’appareil utilisé lors de l’expérience en laboratoire de 1973, délivrée le 1er juillet 2003 et attribuée au secrétaire de l’armée de l’air. Il apporte la preuve scientifique qu’il est possible d’entendre des voix menaçantes dans sa tête sans souffrir de schizophrénie paranoïaque.

Pourquoi ce brevet a-t-il été publié ouvertement à un moment où le gouvernement américain pratique un degré de secret qui rivalise avec le Kremlin de Staline ? Je n’ai pas de réponse satisfaisante, si ce n’est que l’appareil faisant l’objet du brevet a déjà été remplacé par un équipement qui permet d’obtenir le même effet par des moyens beaucoup plus sophistiqués. Il bloque les processus normaux de mémoire et de pensée par des moyens électroniques à distance, tout en fournissant des souvenirs et des suggestions fausses, déformées et/ou désagréables par un processus appelé « télépathie synthétique ». L’équipement qui produit la télépathie synthétique est parfois appelé « technologie d’influence ».

Si les voix et les visions, les rêves et les cauchemars sont les manifestations les plus étonnantes de ce système d’armes, il est également capable de paralyser le sujet humain en limitant son amplitude de mouvement normale, en provoquant une douleur aiguë équivalente à la défaillance d’un organe majeur, voire à la mort, et en interférant avec le fonctionnement normal de l’un des sens humains. En d’autres termes, toutes les tortures dont les mots Guantanamo Bay sont devenus synonymes peuvent être réalisées par des moyens électroniques à distance.

Instruments de torture

La technologie d’influence est également capable de persuader les sujets que leur esprit est lu, que leur propriété intellectuelle est pillée, et peut même motiver le suicide ou le meurtre de leur famille, de leurs amis et de leurs collègues. Pendant les années de la « guerre contre la drogue » (qui a précédé la « guerre contre le terrorisme »), les lettres que les sujets humains « involontaires » avaient écrites ou étaient sur le point de recevoir disparaissaient régulièrement du courrier, comme si le gouvernement menait une vaste opération secrète par l’intermédiaire des bureaux de poste du pays. Lorsque George Herbert Walker Bush est devenu président (en 1989), l’incidence des meurtres de collègues dans les bureaux de poste est devenue si importante que l’expression « going postal » a commencé à remplacer l’expression couramment utilisée de « going crazy ». Les meurtres de collègues sur d’autres lieux de travail ont également commencé à attirer l’attention des médias [7].

J’estime que le coût de l’emprisonnement d’un être humain dans son propre corps et de l’application d’une torture incessante est de 5 000 000 à 10 000 000 $US par an (voir ci-dessous).

C’est exactement ce que j’entends par « torture permanente ». Comme ce nouveau matériel de torture ne laisse aucune trace visible, telle que des lésions cutanées, il est possible de torturer les sujets humains involontaires 24 heures sur 24, 365 jours par an. Cela peut être fait et est fait même à Noël et à Pâques [8].

Je suis arrivé à mon estimation du coût des tests/utilisation d’armes électromagnétiques sur un sujet humain en visitant une chaîne de télévision câblée spécialisée dans la vente de marchandises par voie hertzienne 24 heures sur 24. Je me suis interrogé sur le nombre de techniciens nécessaires, leurs horaires de travail et leur fourchette de salaire, ainsi que sur le nombre de personnel d’appoint nécessaire pour préparer la programmation en vue de sa diffusion. Je ne me suis pas enquis du coût de l’électronique et de la grille d’amortissement. J’ai estimé un coût de dépréciation qui est inclus dans mon estimation du coût de la torture d’un sujet humain « involontaire » pendant un an.

La torture est une activité à forte intensité de main-d’œuvre. Quel objectif justifierait cet investissement ? Serait-ce quelque chose d’aussi insensé que de gouverner le monde en asservissant les gouvernements démocratiques des pays les plus peuplés ? Cet objectif est certainement cohérent avec le mépris et l’hostilité des États-Unis envers les Nations unies, les conventions et les pactes internationaux qu’ils ont ratifiés par le passé et le droit international coutumier [9].

Le 1er mars 2001, le Corps des Marines a annoncé une nouvelle arme non létale, la « technologie de déni actif ». Elle produit une douleur énorme en faisant soi-disant bouillir les molécules d’eau de la peau humaine sans endommager la peau elle-même. Comme décrit dans un article publié dans le New Scientist, elle utilise un rayonnement électromagnétique pulsé à une fréquence de 95 GHz avec une portée d’environ 600 mètres [10]. Plusieurs nouveaux rapports ont été publiés dans le magazine en 2005, dont un en juillet [11], décrivant des volontaires participant à des tests visant à déterminer le degré de sécurité de l’arme Active Denial System (ADS) si elle était utilisée dans le cadre d’un véritable contrôle de foule. Il a été rapporté que le faisceau de l’arme ADS provoque une douleur en 2 à 3 secondes, et devient « intolérable après moins de 5 secondes ».

La technologie de déni actif est la pierre angulaire du système utilisé pour torturer 2 000 personnes dans l’intimité de leur foyer, non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier, partout où des pays ont signé des accords sur le statut des forces avec les États-Unis [12]. Les premières allégations de torture ont été reçues de pays avec lesquels les États-Unis ont une relation spéciale de partage de renseignements, à savoir le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Puis des rapports ont commencé à arriver des pays conquis où les États-Unis ont encore un grand nombre de troupes stationnées, c’est-à-dire l’Allemagne et le Japon. Lorsque la France a rejoint le bras militaire de l’OTAN à la fin des années 90, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en France. Très récemment, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en Inde, où des entreprises américaines ont commencé à externaliser, non seulement les lignes d’assistance, mais aussi la programmation [13].

Et puis il y a le cas de la Russie, où les sujets humains « involontaires » d’expériences de torture semblent être à la fois nombreux et bien organisés. On m’a dit avec certitude que tous les scientifiques russes qui parlaient anglais ont maintenant trouvé un foyer dans une université américaine ou un laboratoire gouvernemental. C’est plausible, si l’on considère la crainte fréquemment exprimée par les Américains que les experts de l’ère soviétique en matière d’armes nucléaires et de guerre biologique ne trouvent un emploi en Iran. Il est un fait qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’armée américaine a balayé l’Allemagne dans une opération appelée « Project Paperclip », recrutant notamment des spécialistes des fusées nazies et des experts en médecine aérospatiale. D’autres scientifiques ont été recrutés simplement pour priver l’Union soviétique de cette ressource. Qu’est-il donc advenu des scientifiques soviétiques qui ne parlaient pas anglais ? Nous le saurons avec le temps, mais pour l’instant, on peut supposer qu’au moins certains d’entre eux ont été employés pour étudier le système de valeurs et les processus de décision russes en torturant d’autres Russes avec la « technologie d’influence » américaine [14].

Deux articles intéressants et importants sur les armes bioélectromagnétiques ont récemment été publiés dans le New Scientist : « La nouvelle arme américaine vise la douleur maximale » et « Police toy with ‘less lethal’ weapons », tous deux écrits par David Hambling [15]. Voir aussi US. Brevet 6 536 440 du 25 mars 2003 [16].

Depuis la fin de cet article à la mi-juin 2005, il a été porté à mon attention que les Israéliens déploient un dispositif appelé « The Scream », qui émet des rafales de sons audibles, mais pas forts, à des intervalles d’environ 10 secondes. Un photographe présent sur les lieux d’une manifestation a déclaré qu’il continuait à entendre le son dans sa tête même après s’être couvert les oreilles. Cela me fait penser que l’agent actif est électromagnétique plutôt qu’acoustique. En d’autres termes, les Israéliens ont mis au point un dispositif qui est bien plus intelligent que notre « technologie de déni actif ». Non seulement il dissuade les émeutiers, mais il émet également un avertissement sonore indiquant qu’il a été activé, ce qui n’est pas le cas du dispositif américain, laissant aux hommes enrôlés qui l’utilisent le soin de déterminer l’intensité des brûlures que reçoivent leurs adversaires. La marge d’erreur du dispositif américain est déraisonnable. On peut tout aussi bien l’appeler une arme mortelle car, dans la pratique, elle le sera très fréquemment [17].

La source originale de cet article est le communiqué de presse de l’ISIS

Copyright © Institut des sciences dans la société, Communiqué de presse ISIS, 2007