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Un implant cérébral capable de lire dans les pensées grâce à une IA

Marier un implant cérébral à une IA pour permettre à des personnes paralysées de
s’exprimer… C’est le défi relevé par une équipe de scientifiques de la Stanford University.
Leur dispositif est capable de convertir de simples pensées en textes et en audio intelligible
en un temps record.
160 mots par minute… c’est la vitesse moyenne à laquelle nous parlons. De vrais moulins à parole
! Des dispositifs cérébraux existent depuis plusieurs décennies pour « redonner la parole » aux
personnes paralysées. Ils ont pour objectif, en quelque sorte, de traduire leurs pensées. Pour cela,
ces dispositifs utilisent de minuscules réseaux d’électrodes insérés dans le cerveau, qui
permettent de mesurer et d’interpréter l’activité neuronale. Toutefois, atteindre un tel débit de
parole s’avère être un vrai défi technologique. La traduction est donc beaucoup plus lente que
pour notre parler habituel, ce qui peut s’avérer éminemment frustrant pour les personnes qui
tentent de communiquer.
C’est donc la vitesse, principalement, qui constitue l’atout des recherches menées par une équipe
de la Stanford University. Ils ont adopté une approche innovante, tout en bâtissant sur les
1/3dispositifs existants. En effet, ils ont combiné un implant cérébral avec une intelligence artificielle.
Leurs recherches ont été publiées dans bioRxiv, ce qui, il faut le souligner, signifie qu’elles n’ont
pas encore été validées par des pairs.
Une invitation à rêver, prête à être portée.
Les expérimentations n’ont été menées que sur une seule personne pour le moment. Les
chercheurs admettent d’ailleurs bien volontiers que leur « démonstration est une ‘preuve de
concept’ qui montre que le décodage des tentatives de mouvements de parole à partir
d’enregistrements intracorticaux est une approche prometteuse, mais qu’il ne s’agit pas encore
d’un système complet et cliniquement viable ».
Et en effet, une fois toutes ces précautions posées, leurs recherches ont tout de même de quoi
impressionner. La personne sur laquelle les scientifiques ont mené leur étude est une femme de
67 ans, atteinte d’une sclérose latérale amyotrophique. Cette affection prive progressivement le
cerveau de sa capacité à activer les muscles, menant à une paralysie.
En l’occurrence, le sujet, nommé « T12 » dans l’étude, était encore capable d’émettre des sons en
essayant de parler. Toutefois, son discours était totalement inintelligible. Grâce à l’implant posé par
les chercheurs, elle peut désormais s’exprimer à une vitesse de 62 mots par minute. Pas encore
aussi rapidement qu’une personne qui s’exprime naturellement, donc, mais bien plus rapidement
que sur des dispositifs similaires. C’est trois fois plus rapide que les précédents records, précisent
les scientifiques.
Les pensées de T12 sont retranscrites sur un écran, et les mots sont prononcés par une voix de
synthèse en même temps. Au-delà de la vitesse, c’est aussi l’étendue du vocabulaire utilisable qui
marque les esprits. Le dispositif puise en effet dans une bibliothèque de 125 000 mots, ce qui
constitue une base de vocabulaire étendue.
Comment ça marche ?
Pour parvenir à ce résultat, l’équipe a allié deux technologies de pointe : l’implant neuronal et
l’intelligence artificielle. Côté matériel, les scientifiques ont placé quatre microréseaux d’électrodes
à des endroits stratégiques de la couche externe du cerveau. Deux zones ont été précisément
ciblées. La première est celle qui contrôle les mouvements des muscles faciaux entourant la
bouche. L’autre est connue pour être le « centre du langage » du cerveau. Cette zone est aussi
appelée « Aire de Broca ».
L’idée est de détecter au niveau du cerveau les mouvements qu’aurait faits la personne atteinte de
paralysie si elle avait pu bouger ses muscles pour parler. Les scientifiques voulaient donc capter à
la fois ce que la personne souhaite dire, mais aussi l’exécution de la parole par les mouvements
musculaires. Une proposition audacieuse, souligne SingularityHub dans un article : « nous ne
savons pas encore si la parole est limitée à une petite zone du cerveau qui contrôle les muscles
de la bouche et du visage, ou si le langage est codé à une échelle plus globale dans le cerveau »,
2/3rappelle en effet le média. Toutefois, les scientifiques ne se sont pas basés uniquement sur les
informations fournies par les implants pour reconstituer les phrases.
Ils ont ajouté une touche « d’intelligence artificielle ». « Nous avons entraîné un décodeur à réseau
neuronal récurrent (RNN) à émettre, à chaque pas de temps de 80 ms, la probabilité que chaque
phonème soit prononcé à ce moment-là. Ces probabilités ont ensuite été traitées par un modèle
de langage pour déduire la séquence de mots sous-jacente la plus probable, compte tenu des
probabilités des phonèmes et des statistiques de la langue anglaise », décrivent les scientifiques.
En effet, les scientifiques se sont aperçus que les RNN existants étaient capables de différencier
avec une précision de 92% les types de mouvements faciaux adoptés en fonction des phonèmes
prononcés : froncer les sourcils, plisser les lèvres, faire claquer la langue… Et ce, sur la seule
base des signaux neuronaux. Un phonème est la plus petite unité articulatoire distinctive que l’on
puisse isoler dans un langage : en français par exemple, il en existe 36.
Ils ont ainsi constaté que, même paralysée depuis longtemps, une personne garde toute cette
panoplie articulatoire en mémoire, et envoie les signaux neuronaux correspondants. En résumé,
l’IA capte les phonèmes prononcés grâce aux implants, et déduit les suites logiques des
phonèmes. Même si elle ne s’applique pour le moment qu’à une seule personne, cette recherche
pourrait donc bénéficier à de nombreux patients. Elle aura toutefois besoin d’améliorations : pour
le moment, le système montre un taux d’erreur de 10% environ sur une bibliothèque de 50 mots,
et de près de 24% pour celle de 250 000 mots.
Source : bioRxiv

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Les psychotech à l’assemblée nationale

Il y est sujet d’armes non létales.

 

Cliquer pour agrandirhttps://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-53689QE.htm

Question N° : 53689  de  M.   Goasguen Claude ( Union pour un Mouvement Populaire – Paris ) QE
Ministère interrogé : recherche
Ministère attributaire : recherche
Question publiée au JO le :  21/12/2004  page :  10180
Réponse publiée au JO le :  22/02/2005  page :  1970
Rubrique : recherche
Tête d’analyse : politique de la recherche
Analyse : psychotechnologies
Texte de la QUESTION : M. Claude Goasguen attire l’attention de M. le ministre délégué à la recherche sur la recherche et le développement des psychotechnologies. Ces technologies sont basées sur les connaissances des processus de fonctionnement du cerveau humain et sur celles dans les domaines chimique, électrique et des ondes sonores. Les psychotechnologies peuvent donc faire l’objet de recherche et de développement, tant militaire que civile, pour être utilisées comme armes non létales. Les manipulations de l’homme qui autrefois relevaient de la littérature de science-fiction s’avèrent aujourd’hui scientifiquement réalisables. Le progrès, dans les domaines de la science, nous oblige donc à redéfinir l’éthique et la morale. Il est important, d’une part, de mettre en oeuvre, au niveau national, des organismes d’expertise et de contrôle de ces technologies. D’autre part, cette question devrait également être encadrée par des dispositifs juridiques communautaires, ces technologies utilisées comme armes ne respectant pas les frontières. C’est pourquoi il souhaite savoir quelles sont les mesures envisagées par le Gouvernement pour garantir le strict contrôle des psychotechnologies.
Texte de la REPONSE : Les expériences portant sur les images subliminales, l’utilisation de drogues ou l’inhalation de nanoparticules sont quelques exemples de technologies susceptibles d’avoir un impact sur le psychisme humain. En ce qui concerne les activités de recherche officielle, qui seules sont du ressort du ministère chargé de la recherche, il existe un dispositif de contrôle au plan national. En effet, à partir du moment où ces recherches parviennent au stade de l’expérimentation humaine, comme pour tous les essais chez l’homme, elles relèvent de la loi de bioéthique promulguée en août 2004. Cette loi prévoit que toute expérimentation humaine est soumise à autorisation préalable, d’une part, de l’AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé) et, d’autre part, d’un comité de protection des personnes. L’application de ces dispositions implique que toute expérimentation ne répondant pas aux critères éthiques attendus est proscrite.
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Articles de presse

Le libre arbitre, c’est fini

Le libre arbitre, c’est fini, C’est acté et ils le disent !


Les humains sont désormais des « animaux piratables », selon un conseiller de Klaus Schwab, qui a lancé un avertissement effrayant : les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates.

Le Dr Yuval Noah Harari, contributeur officiel du FEM, a été enregistré en train de prononcer un discours dans lequel il explique ce que Klaus Schwab veut dire lorsqu’il affirme que « c’est vous qui êtes changé ».

Selon le Dr Harari, Schwab fait référence à l’humanité et à l’évolution soudaine que les élites réservent au reste d’entre nous. « Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu [pirater des millions de personnes], mais personne ne comprenait assez bien la biologie », déclare Harari au début de la vidéo.

« Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et certains gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes », poursuit-il, avant de lâcher une menace effrayante :

« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes désormais des animaux piratables ».

Regardez : Listen To Klaus Schwabs Advisor Doctor Yuval Noah Harari – We Can Hack Humans

https://youtu.be/q2OM9xfK0rA

Mais selon le Dr Harari, cette fusion de la vie humaine avec la technologie ne profitera pas à l’homme ou à la femme moyen pour qu’il ou elle puisse améliorer son propre avenir, mais qu’une poignée d’« élites » ne se contentera pas de « construire des dictatures numériques » pour elles-mêmes, mais « gagnera le pouvoir de réingénier l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir ».

Si les élites parviennent à réorganiser l’humanité, il faudra décider si les données de notre ADN, de notre cerveau, de notre corps et de notre vie « m’appartiennent, ou appartiennent à une société, ou au gouvernement, ou, peut-être, à la collectivité humaine ».

Bien sûr, Bill Gates est impliqué.

Selon Harari, la technologie du cloud, comme la plateforme d’IBM ou celle de Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.

« Les humains sont désormais des animaux piratables », déclare le Dr Harari à un autre moment de la vidéo. « Toute l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, c’est mon libre arbitre, c’est fini ».

« Le libre arbitre, c’est fini », souligne-t-il.

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé ».

« En cette période de crise, vous devez suivre la science », soutient le Dr Harari. « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID] est l’occasion de faire aussi de bonnes réformes qu’en temps normal les gens n’accepteront jamais. Mais en temps de crise, vous voyez que nous n’avons aucune chance, alors faisons-le ».


Traduction approximative de la vidéo :

…de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire mais personne ne comprenait assez bien la biologie et personne n’avait assez de puissance de calcul dans les données pour pirater des millions de personnes ni la gestapo ni le kgb n’ont pu le faire… mais bientôt au moins quelques sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes. Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes maintenant des animaux piratables. Les données pourraient permettre aux élites humaines de faire quelque chose d’encore plus radical que de construire des dictatures numériques. En piratant les organismes, les élites pourraient obtenir le pouvoir de réingénier le futur de la vie elle-même, car une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi l’ingénier. Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années. Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … Mais notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente. Ainsi, les données sur mon ADN, mon cerveau, mon corps, ma vie, m’appartiennent-elles ? ou à une société ou au gouvernement ou peut-être à le collectif humain ? Les humains sont maintenant des animaux piratables, vous savez, toute l’idée que les humains ont, vous le savez, ils ont cette âme ou cet esprit et ils ont le libre arbitre et personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit dans l’élection ou que ce soit dans le supermarché, c’est mon libre arbitre … c’est terminé le libre arbitre, c’est terminé. Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à une échelle massive. Oui, je veux dire, tout est numérisé, tout est surveillé en ce temps de crise, vous devez suivre la science, on dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre.

SOURCE

 

 

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Armes electroniques

Partie 2, Karl Hecht : Les pensées sont libres… mais avec la numérisation mondiale c’est fini

6 L’électronique et le contrôle mental décrits dès 1973,

une publication scientifique est parue sur l’utilisation des micro-ondes pour le contrôle mental. Cette possibilité est décrite comme suit par l’auteur Lawrence : Selon Weiner, une feuille de métal suspendue au plafond et reliée à un générateur électrostatique d’une fréquence de 10 Hz peut provoquer des sensations désagréables chez les gens. À une intensité de champ de 1 ou 2 volts par centimètre carré, ce champ alternatif coïncide à peu près avec la fréquence du rythme alpha des ondes cérébrales humaines. Ce champ électrique tente maintenant de maintenir les ondes cérébrales à la fréquence fixe du générateur. Les machines à dormir électroniques fonctionnent sur des principes similaires, avec des courants d’amplitude et de longueur d’impulsion fixes (généralement des impulsions carrées) qui traversent le crâne et le cerveau à l’aide de masques conducteurs.

Lawrence [1973] considère également les ondes cérébrales comme l’entrée de l’influence externe des champs électromagnétiques.

7 Une excursion dans la neurophysiologie du cerveau humain

Le cerveau humain compte en moyenne environ 100 milliards de cellules nerveuses. Celles-ci sont interconnectées de telle sorte que des connexions sont possibles de chacune de ces cellules nerveuses vers d’autres. Cette connexion fonctionnelle peut se faire selon 10 niveaux d’intensité différents. Il en résulte des possibilités de connexion de chaque cellule nerveuse du cerveau. Des réseaux nerveux fonctionnels sont formés pour chaque réaction, action, pensée. Cela se fait à la vitesse de la milliseconde à l’aide de l’activité des ondes cérébrales, qui peut être mesurée à l’aide de l’EEG, entre autres. EEG = électroencéphalogramme. Les fréquences de l’EEG sont sujettes à une extraordinaire variabilité dans le temps, qui peut entrer en résonance avec les fonctions électromagnétiques naturelles.

Figure 7 : Le cerveau humain et les cellules cérébrales (neurones avec synapses) en divers agrandissements [modifié d’après Benson 1997]

Quatre formes différentes d’EEG sont décrites selon une nomenclature internationale, de fréquences 0,1-50 Hz. Ceux-ci peuvent se présenter sous différentes configurations et amplitudes, reflétant une grande variété de fonctions.

Figure 8 : Les quatre classes de l’EEG avec les phénomènes spéciaux supplémentaires d’une personne saine dans leur variabilité de fréquence et de configuration [d’après Birbaumer et Schmidt 1996]

F igure 9 : Représentation modélisée de la manière dont les ondes électromagnétiques peuvent s’insinuer dans les ondes cérébrales sans perception consciente et provoquer des modifications des fonctions cérébrales et du psychisme.

Toutes les ondes radio électromagnétiques peuvent également imposer leur fréquence aux ondes EEG, surtout à très faible intensité de champ, et provoquer des modifications correspondantes des fonctions cérébrales. L’exemple suivant l’illustre.

7.1 Conditionnement des pulsations 10 Hz du WLAN Formation d’une mémoire de stress De courtes impulsions 10 Hz sont insérées dans les fréquences 2,4 gigahertz du WLAN.

Cette pulsation n’a pas une forme d’onde sinusoïdale et n’a pas la moindre ressemblance avec la résonance de Schumann de 10 Hz. Ces impulsions de 10 Hz du rayonnement WLAN provoquent des perturbations intenses dans les processus fonctionnels du corps. Ils peuvent être enregistrés de manière visible, par exemple dans l’électromyogramme. Les 10 Hz du WLAN se manifestent dans tous les processus de régulation électrique de l’être humain. Dans ce cas, il est démontré comment une fréquence WLAN de 10 Hz apparaît dans l’électromyogramme (électroactivité musculaire). gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Figure 10 : à gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Le résultat sensationnel de la recherche du Prof. Dr. Lebrecht von Klitzing : EMG artificiel après une exposition prolongée au WLAN [Umwelt-Medizin-Mensch ] Le Prof. Lebrecht von Klitzing en tire la conclusion logique suivante :  » Il y a ici clairement un conditionnement des signaux nerveux périphériques par la modulation périodique et techniquement conditionnée de 10 Hz dans le WLAN « . En tant que neurophysiologiste, je m’identifie pleinement à cette conclusion. Il s’agit d’une découverte scientifique dont les implications doivent être reconnues au niveau mondial. La pulsation WLAN 10 Hz forme une mémoire de stress de la pulsation WLAN analogue à la mémoire de la douleur. Pour la compréhension, quelques brèves remarques sur la mémoire de la douleur. Lorsqu’une personne éprouve une douleur intense pendant une longue période, une mémoire de la douleur se forme. Dans ce cas, la personne a encore mal alors que la cause de la douleur a été supprimée. La douleur fantôme est connue depuis des siècles. Par exemple, si une personne souffrait d’une douleur intense au niveau du gros orteil et que cet orteil ou toute la partie inférieure de la jambe a été amputée, la douleur intense persiste. La douleur se reflète dans le cerveau lorsqu’une mémoire de la douleur s’est formée. C’est pourquoi, en médecine, on s’efforce de prévenir la formation d’une mémoire de la douleur chez les patients qui ont mal, par exemple en combattant rapidement la douleur. La formation d’une mémoire de contrainte de pulsation WLAN 10 Hz est analogue à cela. Cela permet à l’électrohypersensibilité chronique, au mal des micro-ondes, au stress oxydatif et à d’autres symptômes déclenchés par les rayonnements CEM techniques, qui ont été mentionnés plus haut, de se graver si profondément dans la mémoire qu’ils persistent à vie. C’est certainement le cas des personnes souffrant d’électrohypersensibilité. En se référant à ces résultats scientifiques, on peut imaginer ce qui peut arriver aux enfants dont les écoles sont équipées de WLAN. Les enfants sont, comme le montrent les résultats scientifiques, particulièrement sensibles aux rayonnements CEM. Avec le rayonnement WLAN 10 Hz, la symbiose normale entre la résonance de Schumann et les ondes cérébrales, qui s’est développée au cours de l’évolution, est également empêchée, ce qui nuit chroniquement à la santé des personnes. Dans ce contexte, il convient également de mentionner que les fonctions cérébrales sont étroitement liées au système immunitaire. La biologiste moléculaire américaine Candace B. Pert a décrit ce phénomène en détail dans son livre « Molecules of Emotions » [2001] et a prouvé que les fonctions cérébrales perturbées affaiblissent également le système immunitaire. Les formations de mémoire de ce type sont également formées dans ce cas. Ce phénomène est décrit en détail dans le livre des médecins allemands Manfred Schedlowski et Uwe Tewes « Psychoneuroimmunology » [1996]. Sur la base des connaissances scientifiques, on peut postuler que la pulsation WLAN 10 Hz lors d’une exposition continue est un facteur très dangereux pour la santé humaine, en particulier pour les enfants. Recommandations du ministre de la santé de Russie pour l’utilisation des systèmes électroniques, y compris la télévision.

  • Enfants de moins de 6 ans pas de smartphone
  • Enfants de 6 à 12 ans 2 h/jour avec des pauses (30 min de travail, 45 min de pause)
  • Enfants de 3 à 4 h/jour avec des pauses
  • Adultes de plus de 18 ans 4 à 6 h/jour avec 30 min de pause après chaque heure de travail

L’utilisation continue des smartphones provoque des troubles et des maladies mentales. Gertraud Teuchert-Noodt, professeur de recherche sur le cerveau à l’université de Bielefeld [2017]. Interview : Cyberattaque contre les réseaux neuronaux du cerveau Où va la révolution numérique ? Environmental Medicine Society 30/3, S La citation suivante, tirée de l’interview des auteurs, apporte une comparaison convaincante qui en dit long sur l’effet des ondes radioélectriques des CEM.

Tout comme les pirates informatiques peuvent paralyser l’alimentation électrique d’un hôpital, les utilisateurs de médias numériques peuvent désactiver le centre d’alimentation de leur propre cerveau pour tout traitement de l’information à un niveau psycho-cognitif et provoquer un épuisement mental. Peut-être qu’un accident cérébral est encore pire. Le professeur Teuchert-Nood demande que l’utilisation des smartphones soit soumise à un permis, comme le permis de conduire pour les voitures dès l’âge de 16 ans.

7.2 FOMO, digital dementia, and our dangerous experiment

Larry Dossey, MD (2014) : Titre original : FOMO, Digital dementia, an our dangerous experiment. Publié dans : Explore, Volume 10, Numéro 2, S Publié en allemand dans Diagnose Funk Brennpunkt

Numéro FOMO est l’abréviation anglaise de fear of missing out. Le terme est apparu dans l’Urban Dictionary, un dictionnaire en ligne de mots d’argot anglais, comme mot du jour le 14 avril 2011. La FOMO est considérée comme un type d’anxiété sociale : une crainte obsessionnelle de manquer une occasion d’échange social, une nouvelle expérience ou un autre événement enrichissant. Elle est souvent déclenchée par des messages sur des sites de médias sociaux. La FOMO reflète la crainte que des amis puissent vivre des expériences enrichissantes dont on ne fait pas partie. L’auteur décrit un parcours de développement de la FOMO à la démence. Il conclut en lançant un appel aux parents : il n’y a qu’un seul cerveau en croissance pour chaque enfant et il est sans pièces détachées. Le cerveau des enfants est malléable, fragile, vulnérable, étonnamment prometteur et d’une valeur indescriptible, mais il n’est pas sage. C’est pourquoi les parents doivent l’être. La devise de ma mère était : « Sors et joue ».

FOMO

Stress permanent

Dépendance aux médias numériques

Altération du cerveau

Démence

8 Comment l’engouement pour la numérisation contrôle le cerveau de l’enfant en classe

Un projet de recherche est en cours au Campus scientifique Leibniz de l’Université de Tübingen : Une interface cognitive pour améliorer l’enseignement : analyse de l’attention des élèves pendant les cours en classe. La mesure permanente de l’attention pendant les cours scolaires est effectuée à l’aide d’un bandeau EEG (bandeau Focus-Eden de la société Brain-Co) et d’une méthode d’oculométrie. Cela permet de suivre en temps réel les pensées et les émotions sur la base des ondes EEG et des fonctions oculaires (par exemple, les changements de pupille). Une LED connectée aux deux systèmes d’enregistrement indique en différentes couleurs l’attention présumée de chaque élève sur le bandeau et est transmise par radio à l’enseignant. Les niveaux d’attention suivants sont signalés par chaque élève : bleu : inattentif, détendu jaune : attentif rouge : très concentré Les données de la série chronologique de l’enregistrement sont stockées. Cela signifie que les enseignants peuvent également vérifier les niveaux d’attention après la leçon et, par exemple, documenter aux parents combien leur enfant est attentif et bien élevé ! L’objectif de ce contrôle des fonctions cérébrales est de stimuler les élèves pour qu’ils soient plus performants. Ce système de bandeau cérébral ne se contente pas de mesurer les pensées d’attention de chaque élève. L’attention de tous les élèves est mise en réseau et indique un niveau moyen de concentration pour l’ensemble de la classe. Les éducateurs peuvent immédiatement voir qui s’écarte de ce niveau moyen et poursuit ses propres pensées [Diagnose Funk 2020]. Ce contrôle de la pensée par l’EEG ne laisse pas d’espace libre pour un jeu de pensée individuel ou pour l’extinction reposante des pensées. La mise en veilleuse des pensées est une fonction importante de notre cerveau. Le neurologue français Charot a décrit ce phénomène en 1850 comme une transe quotidienne. Notre cerveau est en fait soumis à un mouvement de conscience de type « flood-ebb ». Après un haut niveau de concentration, une transe quotidienne (relaxation) se produit soudainement. Ce signal est également appelé « Mach doch eine Pause ». Si un élève a signalé le rouge et envoie soudainement du bleu pendant un moment, il s’agit d’une réaction normale du cerveau. Grâce à cette technique de renforcement de l’attention, le signal de « pause » est supprimé et le cerveau de l’enfant est mis en état d’éveil permanent et donc de stress permanent [Hecht 2020]. Sur la base des connaissances scientifiques, j’appelle à une éducation humaine par des éducateurs passionnés et non par le contrôle numérique des esprits. Mais ce n’est manifestement pas l’objectif des responsables de l’éducation obsédés par la numérisation, comme Susanne Eisenmann, ministre de l’éducation du Land de Bade-Wurtemberg, qui soutient manifestement ce projet de recherche de Tübingen. L’Alliance for Humane Education a conseillé aux enseignants et aux parents de s’opposer à cette manipulation mentale, qui viole les lois sur la protection des données. Ce remodelage numérique des élèves en classe s’apparente à un dressage et peut conditionner ces processus cérébraux de manière à bloquer la capacité des élèves à penser par eux-mêmes. En tant que neurophysiologiste connaissant bien l’EEG pendant l’éveil et le sommeil, j’ai des doutes quant à la fiabilité de ce système. Avec des élèves qui ont généralement envie de bouger, des artefacts peuvent se produire lors de l’enregistrement et conduire à une mauvaise analyse. En outre, je doute que la classification « détendu », « alerte », « très concentré » puisse être classée avec précision par le logiciel correspondant. L’analyse automatique de l’EEG à l’état de veille et de sommeil a parcouru un long et contradictoire chemin. L’enregistrement de l’EEG dans une unité de temps d’une leçon de 45 minutes comporte de nombreuses incertitudes. Le cerveau est encore aujourd’hui une boîte noire pour le neuroscientifique et encore plus pour un expert en numérisation. C’est pourquoi je ne considère pas que les divisions des niveaux d’attention de l’expérience de Tübingen soient réalistes. L’avis d’un ancien employé de BraiCo, la société qui fabrique le bandeau EEG. Un ancien employé de BrainCo avoue que les mesures de l’EEG sont extrêmement imprécises, que l’équipe chargée des algorithmes de BrainCo est une véritable pagaille et que la société n’est pas vraiment une entreprise technologique, mais qu’elle veut plutôt gagner de l’argent auprès des parents chinois. [Source : chinese-parents?id=dec10429e7f1a63f]

Figure 11 : Le bandeau FocusEdu de la société BrainCo, qui surveille l’attention des nageurs et des élèves pendant les cours [CC-by- SA/Dennis Blomeyer]

8.1 Conclusion

L’utilisation de l’EEG et de l’eye tracking dans les cours scolaires est une violation du droit de l’homme à une éducation humaine et à une santé holistique. Nous avons besoin de personnes capables de maîtriser les processus de pensée créatifs, de personnes qui abordent toujours la nouveauté dans leurs processus de pensée, de personnes capables de maîtriser les rêveries. En bref, nous avons donc besoin de personnes qui réfléchissent, et ces personnes doivent être développées dans les écoles. Penser est l’un des plus grands plaisirs de la race humaine [Bertolt Brecht] Les élèves devraient apprendre ce plaisir sans numérisation, comme un plaisir de la vie et à l’école, mais sans technologie, mais avec de bons éducateurs.

9 Elon Musk Neuralink

La figure 12 présente le fonctionnement du Neuralink sous forme de schéma simplifié. Les ondes radio vont du smartphone au Neuralink. Là, ils sont transformés de manière adaptative pour la fonction prévue et alimentent la fonction électrique du cerveau. De là, la réponse aux informations imposées a lieu et revient au smartphone. Les champs électromagnétiques faibles et athermiques établissent des connexions avec les cellules cérébrales entre le smartphone et l’implant via les cellules cérébrales bioélectriques et assurent un retour d’information. Avec cette interface cerveau-smartphone Neuralink, le cerveau et le smartphone ou l’ordinateur peuvent être connectés à l’infini et adaptés à l’intelligence artificielle. Il en résulte une dépendance humaine à cette technologie, comparable à la dépendance à la drogue ou à l’alcool. Vouloir mettre en œuvre ce système par Elon Musk à des fins médicales suscite également une grande inquiétude chez moi, car l’utilisateur n’a aucune connaissance médicale. Par exemple, si l’utilisateur devait utiliser ce système pour les maux de tête. Il peut faire plus de mal que de bien. La médecine connaît jusqu’à 150 causes de maux de tête. Aucun profane ne peut les juger. Aujourd’hui encore, la nomenclature diagnostique inclut les maux de tête causés par des médicaments. Le traitement des maux de tête à l’aide du smartphone Neuralink par l’utilisateur peut avoir des conséquences néfastes inimaginables pour le cerveau humain, qui sont irréparables.

Figure 12 : Représentation schématique simplifiée du fonctionnement du Neuralink développé par Elon Musk

10 La recherche médicale s’intéresse déjà à l’utilisation d’interfaces cerveau-ordinateur sur les patients

Il convient toutefois de mentionner qu’aujourd’hui la recherche médicale s’intéresse aux systèmes d’interface cerveau-ordinateur, que l’on appelle des supports BCI (BCI = Brain Computer Interfaces). Là encore, ce sont les patients atteints de la maladie de Parkinson et les épileptiques sur lesquels on tente de traiter la maladie avec la BCI. Selon un rapport de Larissa Holzki et Maike Telgheder publié dans le Handelsblatt, plus de 20 institutions et entreprises dans le monde se penchent sérieusement sur la BCI et voient un marché futur dans ce domaine. Le marché avec BCI est réputé avoir une dynamique de croissance élevée. Divers instituts de recherche s’attendent à ce que ce volume atteigne 3,7 à 3,9 milliards de dollars dans le monde d’ici à 2027, soit un triplement [Holzki et Telgheder 2020] 22.

Les neuroéthiciens qui traitent des ICB en tant que scientifiques expriment leurs préoccupations. Les BCI sont des interventions plus puissantes que les électrodes à aiguille utilisées dans les années 1960, qui n’ont pas permis une percée générale en tant que méthode thérapeutique. Aujourd’hui, il suffit de considérer que les systèmes BCI interviennent directement dans le processus de pensée humain et que les algorithmes de l’IA prennent des décisions à la place des gens, rendant imprévisible la paternité subjective de l’action. C’est là que la question d’une action peut se poser : C’est moi qui ai fait ça ou c’est mon implant ? [En outre, le système d’IA BCI ne peut exclure la possibilité de contrôler l’esprit et la pensée. La transmission de la pensée par les ondes radio n’est plus un problème. Personnellement, je ne me ferais jamais implanter un neuralink sous mon cuir chevelu et je mettrais en garde toute personne ayant cette intention contre les conséquences.

11 Brevets sur le contrôle mental et le transfert de pensée


US Patent, Nr. 4,877,027, Wayne B. Brunkan, 31.10.1969
US Patent, Nr. 6,017,302, Hendricus G. Loos, 25.01.2000
US Patent, Nr. 6,508,302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
US Patent, Nr. 6,508.302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
You can Patent That? Gary Stix, Scientific American, Juli 2003
US Patent, Nr. 5,123,562, Robert Monroe, 25.05.1993
US Patent, Nr. 5,356,368, Robert Monroe, 18.10.1994
Nachfolgend werden Auszüge eines Deutschen Patents zur Geda

Dans son livre [Michaeln Verlag, 2007], Nick Begich cite 27 brevets américains sur ce sujet. Quelques exemples comme sources de référence que chacun peut vérifier : Brevet américain, n° 4,877,027, Wayne B. Brunkan, Brevet américain, n° 6,017,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6,508,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6, , Hendricus G. Loos, Vous pouvez breveter cela ? Gary Stix, Scientific American, juillet 2003 Brevet américain, n° 5,123,562, Robert Monroe, Brevet américain, n° 5,356,368, Robert Monroe, Des extraits d’un brevet allemand sur le contrôle de l’esprit sont brièvement présentés ci-dessous.

Ce brevet montre que la transmission de la pensée par des champs d’ondes électromagnétiques est une réalité et en aucun cas un produit de la théorie du complot comme le prétendent les ignorants. Ce brevet allemand n’est pas non plus le produit d’un étranger ou d’un fou. Comme nous l’avons déjà mentionné, Nick Beglich, dans son livre Mind and Thought Control, cite 27 brevets américains traitant de l’influence des ondes radio électromagnétiques sur divers processus corporels, par exemple, l’ Influence des sentiments et des pensées.

11.1 Utilisation d’ondes radio électromagnétiques comme arme psychotrope

Extrait du rapport du Conseil consultatif scientifique de l’US Air Force [Source : Conseil consultatif scientifique de l’USAF, New World Vistas, 1996, p ] I

Il est concevable de développer des sources d’énergie électromagnétique qui sont tellement pulsées et façonnées et qui peuvent être utilisées sélectivement pour interagir avec le corps humain d’une manière qui permette d’inhiber les mouvements musculaires indépendants, de contrôler les émotions (et donc les actions), d’induire le sommeil, de transmettre des suggestions et d’influencer la mémoire à court et à long terme. En outre, ce rapport décrit : Il serait également possible de générer des conversations dans le corps humain, ce qui permettrait d’utiliser des messages secrets et des conseils psychologiques. Lorsqu’une puissante impulsion de micro-ondes de l’ordre du gigahertz frappe le corps humain, on observe une très légère augmentation de la température. Cela provoque une expansion soudaine du tissu légèrement chauffé. Ce 27

L’expansion est assez rapide pour générer une onde acoustique. Si un courant pulsé est utilisé, il devrait être possible de créer un champ acoustique interne de l’ordre de 5 à 15 gigahertz, que l’on peut entendre à travers celui-ci. De cette manière, il pourrait être possible de parler à des adversaires sélectionnés, ce qui serait extrêmement perturbant pour eux. [Ces armes psychologiques peuvent être utilisées pour provoquer des hallucinations, la maladie du sommeil, la peur, etc. Les techniques utilisées sont non seulement les ondes radio électromagnétiques, mais aussi les ultrasons et même les rayons X. Le major russe I. Chernishev a décrit dans le magazine militaire Orienteer [février 1997] comment les armes psychotropes sont développées dans le monde entier. Il a mentionné les types d’armes suivants :

– Un puissant générateur psychotronique qui produit une forte les radiations électromagnétiques qui peuvent être transmises par les lignes téléphoniques, les radios et les téléphones portables. les réseaux de télévision, les pipelines et les ampoules électriques. Par le biais deces signaux, ceux qui sont en contact avec elle peuvent être manipulés.

– Un générateur de signaux fonctionnant dans la bande 10-150 hertz, qui des vibrations infrasoniques qui sont destructives pour toutes les créatures vivantes lorsqu’il fonctionne dans la gamme des 10-20 hertz.

– Un générateur de système nerveux conçu pour paralyser le système nerveux central des insectes. système nerveux des insectes. Ce système est en cours raffiné pour avoir le même effet sur les humains.

– Des signaux ultrasoniques d’un type très particulier ont également été inventés. Avec les dispositifs peuvent soi-disant être utilisés pour effectuer des opérations sans effusion de sang sans laisser de trace sur la peau. Ils peuvent également être utilisés pour tuer.

– Les Japonais ont mis au point des cassettes contenant des subliminaux, grâce auxquels il est possible de superposer à la musique des modèles de stimuli, qui se situent dans la gamme des fréquences ultra-basses. Ces modèles sont repris par le l’esprit subconscient ». [cité dans Begich 2007]

Ces deux exemples devraient suffire à montrer les possibilités qui sont déjà pratiquées avec les ondes radio électromagnétiques. Mais toutes ces possibilités ne sont pas encore connues du public. Ces faits ne sont pas crus par la masse des gens et sont rejetés comme des théories de conspiration. Dans ce contexte, il convient de mentionner : Jim Keith, dans son livre Mind Control, cite Marshal McCluhan :

« Seuls les petits secrets doivent être protégés. Les grandes sont gardées secrètes par l’incrédulité du public. Les recherches psychologiques de ces dernières années ont montré que la plupart des gens croient davantage aux mensonges qu’aux vérités ».

Ce problème concernait également Wolfgang Johann Goethe : « Il faut toujours répéter le vrai, car l’erreur est aussi toujours prêchée autour de nous ; et pas seulement par des individus, mais par les masses. Dans les journaux et les encyclopédies, dans les écoles et les universités, l’erreur est partout en tête ! Et il est à l’aise dans le sentiment de la majorité qui est de son côté. »

[Johann Wolfgang Goethe ] C’est pour cela que j’ai écrit cet article, pour répéter la vérité.

12 Que sont les pensées ? Quel rôle jouent-ils dans la vie d’une personne ?

Les pensées sont des processus du cerveau humain qui surviennent en interaction avec des stimuli (informations) provenant de l’environnement global et avec certains stimuli physiques et mentaux d’une personnalité. Les pensées sont déclenchées pendant toutes les activités sensorielles, par exemple, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût, les sensations, les sentiments, les volitions et la douleur, la marche, la course, la natation et le cyclisme, le jardinage et le travail créatif, la télévision et l’utilisation d’un smartphone, les rêves diurnes et nocturnes et même pendant le sommeil, sauf dans le sommeil profond. Les pensées sont des pensées perpétuelles. On dit qu’un humain adulte en bonne santé produit jusqu’à pensées dans une journée de 24 heures. Les pensées sont stockées et s’expriment sous forme de souvenirs. Les pensées peuvent être utilisées pour parcourir le monde, pour entrer en contact avec des personnes éloignées. Les pensées sont la réaction humaine la plus rapide. La formation et le développement des pensées sont toujours liés au fonctionnement du cerveau et peuvent être contrôlés grâce aux fréquences des ondes cérébrales. Dans le cerveau, les pensées se fondent sur la construction et la destruction à court terme des réseaux de cellules nerveuses et se déroulent toujours sur la base de l’électricité cérébrale (ondes cérébrales de différentes fréquences). Une connexion de réseau de cellules nerveuses à court terme implique au moins plusieurs milliers de cellules nerveuses, sur les 100 millions de cellules nerveuses que compte le cerveau humain. Lorsque la musique retentit ou que les oiseaux gazouillent, les ondes sonores rencontrent les ondes électriques du cerveau en tant qu’informations (stimulus) et des réseaux de cellules nerveuses fonctionnelles se forment sélectivement et produisent des pensées agréables. Lorsqu’une personne regarde le soleil se lever, des ondes de lumière visible de quelques nanomètres atteignent les ondes cérébrales et forment sélectivement un réseau de cellules nerveuses à la base de pensées agréables et positives. De la même manière, les ondes électromagnétiques naturelles et artificielles non perceptibles peuvent également provoquer des réseaux de cellules nerveuses dans le cerveau et développer des pensées. Certaines fréquences, avec la configuration et l’amplitude correspondantes des ondes électromagnétiques, peuvent produire des réseaux de cellules nerveuses fonctionnels et des pensées correspondantes de cette manière ou modifier les fonctions des réseaux de cellules nerveuses naturels. Puisque chaque excitation (chaque sortie) de chaque cellule nerveuse est stockée, une mémoire se développe, qui se forme surtout lorsque les stimuli (informations) sont répétés. Les pensées sont conditionnées de cette manière. 29

13 Les pensées positives sont absolument nécessaires au développement de la personnalité – Les pensées négatives rendent les gens malades

La thèse contenue dans cette rubrique a été prouvée par de nombreuses études scientifiques. Les pensées positives favorisent la santé, le comportement, le bonheur, les performances et une longévité saine. Les pensées négatives vous rendent malade, malheureux, en colère, nuisent à votre santé et raccourcissent votre vie. Ils provoquent l’anxiété, la dépression et, comme le montre une étude de l’University College de Londres, la démence d’Alzheimer. 360 sujets âgés de 55 ans ou plus ont été interrogés pendant deux ans sur la manière dont ils gèrent les schémas de pensée négatifs tels que la peur de l’avenir ou le fait de ruminer le passé. Les chercheurs ont également examiné l’anxiété et la dépression chez les participants à l’étude. Pour l’analyse, la moitié des personnes ont subi des scanners cérébraux TEP (tomographie par émission de positons) afin de mesurer le dépôt de tau et d’amyloïde. Ces deux protéines sont responsables de la maladie d’Alzheimer, la démence la plus courante. Résultat : les pensées négatives sur une longue période sont un facteur de risque de démence. Elle peut limiter les capacités mentales et provoquer des dépôts de protéines dangereuses dans le cerveau. Les chercheurs anglais recommandent un entraînement mental quotidien, par exemple la méditation, comme mesure préventive pour générer des pensées positives.

14 Facteur perturbateur Carrousel de pensées à contenu négatif

Eugen Roth a glosé sur le carrousel de pensées comme suit : Deux choses deviennent troubles chez la personne malade : a) l’urine et b) les pensées. Et les pensées troubles de la personne malade tournent sans cesse comme un manège : Pourquoi suis-je malade ? Quelle est la gravité de ma maladie ? Vais-je survivre ou mourir ? Ma douleur va-t-elle diminuer ? Vais-je attraper une corona et mourir ? etc. Ce cercle de pensées renforce les processus pathologiques ou provoque une vulnérabilité aux infections. La médecine conventionnelle s’occupe généralement de l’urine trouble, mais pas ou rarement des pensées troubles de la personne malade. Même la personne malade ne sait pas que ce carrousel de pensées déclenche le stress, perturbe l’endormissement et inhibe le processus de guérison ou peut aggraver la maladie. Ils peuvent déclencher la volonté, qui a un effet sur les pensées négatives. Mais ils peuvent aussi être extrêmement gênants et bloquer des qualités telles que la sagesse, la sérénité et le calme qui peuvent nous être bien plus utiles. Lorsque le carrousel de pensées est en mouvement, les pensées se déroulent selon un schéma récurrent. Ils font référence soit à des expériences passées, soit à des événements futurs possibles. Ce qui est fatal pour beaucoup de gens, c’est qu’ils trouvent leur propre passé frustrant parce que certaines choses n’ont pas fonctionné comme ils le voulaient. Et l’avenir est si incertain. Quelque chose de mauvais pourrait arriver ou le passé insatisfaisant pourrait continuer. Il y a suffisamment de causes concevables d’anxiété, de peur et d’incertitude, et donc le seul véritable état de vie devient la présence de pensées désagréables contaminées par les informations négatives quotidiennes de la politique et des médias de masse. Des choses encore pires arrivent. Il en résulte un tournoiement mental, toujours autour du même problème. Dans les milieux professionnels, on appelle cela un carrousel de pensées. Figure 13 : Le carrousel de pensées (rumination) nous empêche de nous endormir et favorise un vieillissement rapide Les pensées consomment d’énormes quantités d’énergie. En particulier, les pensées négatives qui tirent constamment la sonnette d’alarme mettent à mal l’ensemble de notre équilibre énergétique. L’épuisement suit. Le carrousel de pensées d’une personne est la principale cause de ses difficultés à s’endormir. Des millions de personnes en souffrent aujourd’hui. Ils se stressent avec le carrousel des pensées et inhibent la production de mélanine. Le stress créé par le carrousel de pensées augmente la pression sanguine et le rythme cardiaque et diminue les performances mentales et la relaxation. Mais surtout, le système immunitaire est affaibli et la susceptibilité aux infections est considérablement accrue. Le manège mental des pensées négatives ne peut être stoppé que par un entraînement mental. De mon point de vue, il s’agit de la méditation, de la visualisation, de l’imagination et de la thérapie de l’anxiété (car la peur, l’inquiétude et l’impuissance se trouvent généralement dans le cercle des pensées). J’insiste sur ce point car, depuis des mois, la peur et l’impuissance sont présentes en permanence chez une grande partie de la population à travers les informations corona de tous les médias et des politiciens, notamment des gouvernements. Or, la peur et l’impuissance sont des noxae, c’est-à-dire des agents pathogènes, car elles reposent sur des pensées négatives, qui peuvent aussi déclencher la démence d’Alzheimer.

15 La peur peut tuer la personne [Lipton 2007 ; Benson 1997]

La peur place la personne dans l état permanent dans lequel se trouve un sprinter en position de départ. À vos marques, prêts, partez. Chez le sprinter, la préparation à l’action se transforme en activation avec le départ, qui est synonyme de détente. Les personnes en état d’anxiété permanente se tiennent constamment prêtes à l’action, mais ne la transforment pas en activation, ce qui entraîne un état de tension permanent. En conséquence, le corps entier est inondé d’hormones de stress (cortisol, endorphines), qui exercent des effets néfastes [Lipton 2007].

Discours de Robert Kennedy Jr 29.08.2020 lors de l’une des plus grandes manifestations jamais vues à Belin (2 millions de personnes). Extrait sur la peur comme moyen de pouvoir pour ceux qui sont au pouvoir :

Ils inventent des chiffres. Ils ne peuvent pas vous dire quel est le taux de mortalité pour le COVID comme référence. Ils ne peuvent pas nous donner un test PCR qui fonctionne vraiment. Ils doivent sans cesse changer la définition du COVID pour le rendre de plus en plus dangereux. La seule chose à laquelle ils sont bons est de gonfler la peur. Il y a soixante-quinze ans, Hermann Göring a été interrogé au procès de Nuremberg : « Comment avez-vous fait pour que le peuple allemand accepte tout cela ? Il a dit : « C’est une chose simple. Cela n’a absolument rien à voir avec le nazisme. C’est lié à la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, vous pouvez le faire dans un régime socialiste, vous pouvez le faire dans un régime communiste, vous pouvez le faire dans une monarchie, vous pouvez le faire dans une démocratie. La seule chose dont le gouvernement a besoin pour rendre les gens esclaves est la peur. Et si tu trouves quelque chose pour leur faire peur, tu peux leur faire faire tout ce que tu veux.

16 Mes observations sur la peur parmi les groupes à risque de Corona

Selon mes informations et mes connaissances, la peur est particulièrement répandue parmi les groupes à risque de Corona tels que les personnes âgées (notamment les personnes seules) et les personnes pré-exposées aux maladies par les informations médiatiques de Corona dans le monde entier. En même temps, l’impuissance y est associée. Cela est principalement dû au fait que les médias montrent qu’il n’existe toujours pas de médicament ou de vaccin contre les infections à coronavirus.

17 L’impuissance est un facteur de stress qui provoque la maladie

L’impuissance est l’état d’une personne dans lequel elle ne peut plus agir volontairement, mais se trouve complètement démunie face à une situation qu’elle ne peut pas changer et qui échappe à son contrôle. Sur une plus longue période, cela se traduit par une dépression, des tableaux cliniques psychosomatiques, le dysstress et enfin les maladies oncologiques, voire la mort dans les cas extrêmes.

Schubert et Schüssler [2003] soutiennent, d’un point de vue neuropsychologique immunitaire, que les sentiments subjectifs d’impuissance et de désespoir, par exemple, sont conditionnés et ne favorisent pas seulement le développement des cellules tumorales et la progression des tumeurs, mais qu’ils peuvent également déclencher et intensifier la croissance tumorale de manière secondaire par le biais des effets neuronaux des substances messagères libérées à la périphérie [Schmale et Iker 1966, 1971 ; Dantzer et Kelley 1989 ; Murr et al. 2000].

Halberstadt et al. [1984] et Bovi et Reinhard [1988] décrivent les liens entre le sentiment d’impuissance, le désespoir et la dépression. Schwarzer et Waschberger [1985] font état de relations entre l’impuissance, le stress et l’anxiété.

La pensée négative, les pensées négatives (notamment le carrousel de pensées), l’anxiété et l’impuissance sont bien plus nuisibles à la santé des gens que le coronavirus, qui n’est en aucun cas plus dangereux qu’un virus de la grippe. C’est le résultat de véritables découvertes scientifiques, qui sont malheureusement cachées aux masses. Les psychotropes sont souvent prescrits pour traiter l’anxiété, mais ils détruisent également le cerveau et la conscience [Hobson 2010].

Dans ce contexte, je tiens à souligner que les personnes atteintes d’électrohypersensibilité souffrent aussi gravement de la pression de l’impuissance, de la peur et du carrousel de pensées négatives. Mais les puissants de la politique l’ignorent ! !!

18 Les pensées ne sont plus libres ? La belle chanson Les pensées sont libres ! Qui peut les deviner ? Ils passent comme des ombres nocturnes. Aucun homme ne peut les connaître, aucun chasseur ne peut les tirer. Cela reste vrai : les pensées sont libres. Ce que j’aime moi-même encore chanter aujourd’hui est malheureusement devenu une illusion. À l’échelle mondiale et en permanence, les pensées des gens sont mises à feu à notre époque : par les ondes radio électromagnétiques qui rendent les gens malades (EHS) et les pensées qui affluent dans la conscience, par les informations négatives dominantes des médias de masse, par les implants cérébraux planifiés selon Elon Musk, par les fausses informations sur l’infection corona, qui ont également été cadencées dans le concept de dictature numérique. Tout cela sert la dictature totalitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui, sans pensée libre. Plus encore, les humains sont de plus en plus soumis à la technologie, comme le décrit Armin Grünwald dans son livre. Nous devons arrêter ce processus inhumain. Il est grand temps que nous le fassions !

19 L’humanité d’abord et seulement ensuite les machines

Avec chaque enthousiasme pour la technologie, l’homme se soumet à cette technologie, qui le prive même de la liberté de penser. Les citations suivantes de personnes qui ont reconnu cette évolution depuis longtemps devraient donner à chacun matière à réflexion, dans la mesure où leurs processus de pensée ne sont pas encore complètement bloqués par la folie de la numérisation. Savez-vous que Charlie Chaplin a non seulement condamné de manière militante la dictature d’Hitler, mais qu’il a également critiqué la dictature de la technologie ? Dans son film de 1940, Le Grand Dictateur, il dénonce la dictature de la simple technique dans son discours de clôture comme suit :

Nous avons développé la vitesse, mais intérieurement, nous sommes restés immobiles. Nous laissons les machines travailler pour nous, et elles pensent aussi pour nous. L’intelligence nous a rendus arrogants et notre savoir froid et dur, nous parlons trop et ressentons trop peu, mais d’abord l’humanité et ensuite les machines !

Et le célèbre écrivain Karl May, connu pour ses livres sur l’Inde, a élevé la voix comme suit :

Mais j’accuse l’humanité entière, qui se dit civilisée, de ne pas vouloir savoir aujourd’hui, malgré toutes les religions et malgré huit mille ans d’histoire du monde, que cette civilisation n’est rien d’autre que de la terreur ! Dans ses conférences, le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1877-1961) mettait toujours en garde contre la civilisation et l’urbanisation et affirmait qu’en conséquence, l’homme perdait son instinct naturel, ce qui entraînait des maladies mentales. L’idéologie de la numérisation est l’excroissance dictatoriale de la civilisation [Hensinger 2017]. Elle prive les gens non seulement de leur liberté de pensée, mais aussi de leur humanité. Conclusion : Chers amis, retournez à la nature !

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James Giordano : militarisation des neurosciences

Le Doc James Giordano spécialiste des applications militaires dans les neurosciences, mais aussi spécialiste des questions éthiques dans la recherche  en neurosciences, s’inquiète de ce que les gouvernements étrangers pourraient faire sous couvert de recherche médicale. C’est drôle cette manière d’accuser les autres de ce pourquoi on est passé maître. C’est quand même le type qui nous dit que le cerveau est accessible en lecture et en écriture comme un vulgaire disque dur… Il est d’ailleurs question dans l’article ci-dessous de scientifiques « chapeau noir », parce qu’il est clairement question de hacker le cerveau. Chose que dénoncent les TI (Targeted Individuals). Personnellement cela fait plus de 30 ans que je suis victime de science criminelle. Hier en France, a été condamné un ancien ministre (Georges Tron) pour viol, à 5 ans de prison dont 3 ans ferme. Il fera 6 mois dans une cellule 5 étoiles puis le reste de sa peine avec un bracelet électronique. Quand je compare la peine que des salauds m’ont infligée et vu la manière dont je suis traité, avec mon casier judiciaire vierge, il faut qu’ils soient persuadés d’avoir, pire qu’un nazi à punir, tous les jours que Dieu fait.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.militariser des progrès des neurosciences


Traduction d’un article du Doc James Giordano

James Giordano, PhD, est professeur aux départements de neurologie et de biochimie, chef du programme d’études neuroéthiques et co-directeur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Georgetown University Medical Center, Washington, D.C. Son dernier livre est intitulé Neurotechnology in National Security and Defense : Practical Considerations, Neuroethical Concerns. Les opinions exprimées dans cet essai ne reflètent pas nécessairement celles du EU Human Brain Project, de la DARPA, des chefs d’état-major des armées ou du ministère de la défense, dont il a été le conseiller.


https://www.nationaldefensemagazine.org/articles/2017/5/11/weaponizing-the-brain-neuroscience-advancements-spark-debate

Les progrès rapides des neurosciences et des technologies correspondantes ont suscité un intérêt renouvelé et croissant tant pour leur développement que pour les préoccupations éthiques liées à l’utilisation de ces techniques et outils dans des contextes militaires et de sécurité.

En 2008, le Conseil national de la recherche des Académies nationales des sciences a signalé que les sciences du cerveau présentaient un potentiel pour des applications militaires et de guerre, mais qu’elles n’étaient pas encore totalement viables pour une utilisation opérationnelle. Cependant, en 2014, un rapport ultérieur des académies nationales, « Emerging and Readily Available Technologies and National Security : A Framework for Addressing Ethical, Legal and Societal Issues » (Un cadre pour aborder les questions éthiques, juridiques et sociétales), a rejoint une série de livres blancs du groupe d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major interarmées, ainsi qu’un rapport du Conseil Nuffield de 2013, indiquant que les développements dans ce domaine avaient progressé au point de rendre les sciences du cerveau viables, d’une valeur définitive et d’une préoccupation réaliste pour les militaires.

Ce calendrier est important, car il reflète la capacité rapide et itérative plus sophistiquée de créer et d’exploiter des méthodes et des technologies neuroscientifiques pour accéder au cerveau, et évaluer et affecter ses fonctions de cognition, d’émotion et de comportement.

Les progrès des neurosciences pourraient être utilisés pour créer des « super soldats », relier des cerveaux à des systèmes d’armes pour le commandement et le contrôle, voire manipuler des groupes ou des dirigeants pour qu’ils prennent des mesures qu’ils ne feraient pas normalement.

De toute évidence, les nouveaux développements dans le domaine de la science du cerveau peuvent être exploités pour améliorer les soins neurologiques et psychiatriques au sein de la médecine militaire, et un certain nombre de programmes en cours du ministère de la défense le font. L’Agence des projets de recherche avancée de la Défense, le Commandement de la recherche médicale et du matériel de l’armée de terre et le Bureau de médecine et de chirurgie de la marine génèrent de nouvelles techniques et technologies pour le traitement des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives telles que les maladies de Parkinson et d’Alzheimer, et de certaines affections psychiatriques, comme le stress post-traumatique et la dépression.

Toutefois, il existe également un potentiel considérable pour les applications à double usage des méthodes et outils neuroscientifiques qui vont au-delà du chevet du malade. Nombre d’entre elles pourraient atteindre les champs de bataille.

Il s’agit notamment de l’utilisation de divers médicaments et formes de neurotechnologies telles que le neurofeedback, la stimulation électrique et magnétique transcrânienne, et peut-être même des dispositifs implantables pour la formation et l’optimisation des performances du personnel de renseignement et de combat. Des interfaces cerveau-ordinateur pourraient être utilisées pour contrôler des avions, des bateaux ou des véhicules sans pilote. Les utilisations militaires et de guerre impliquent également le développement et l’engagement d’agents – tels que des drogues, des microbes, des toxines – et de « dispositifs en tant qu’armes », également appelés « neuroarmes », pour affecter le système nerveux et modifier les pensées, les sentiments, les sens, les actions, la santé des adversaires ou – dans certains cas – pour encourir des conséquences mortelles.

L’utilisation des neurosciences et de la technologie pour optimiser les performances du personnel militaire pourrait potentiellement conduire à la création de « super soldats ». Cette question reste provocatrice et controversée.

Considérées sous un angle positif, de telles approches pourraient – et devraient sans doute – être utilisées pour prévenir la guerre. Par exemple, les services de renseignement et le personnel militaire qui ont des capacités cognitives, émotionnelles et/ou comportementales accrues pourraient être en mesure de détecter plus facilement et plus efficacement les menaces, de fonctionner dans des conditions difficiles avec moins de stress, et d’être plus sensibles aux indices et nuances socioculturels et physiques dans des environnements étrangers. Ils pourraient être plus efficaces pour réduire le risque de violence.

Ces objectifs ont conduit à des efforts tels que le programme de contenu socioculturel dans le langage de l’activité Intelligence Advanced Research Projects et le programme Métaphore, qui ont tous deux cherché à améliorer la compréhension des normes culturelles linguistiques et émotionnelles. Le programme Narrative Networks de la DARPA visait à utiliser la science et la technologie neurocognitives pour améliorer les récits dans des contextes socioculturels.

D’autre part, on s’inquiète des effets négatifs que ce domaine pourrait avoir sur la santé des personnes « neuro-modifiées ». On s’inquiète de l’utilisation de telles approches pour transformer les combattants en automates amoraux et combatifs et on se demande quelles responsabilités et quelles charges pourraient être encourues pour – et supportées par – l’armée, et peut-être la société dans son ensemble, lorsqu’elle doit faire face à de tels effets.

Mais si ces questions et préoccupations peuvent suggérer la nécessité d’une pause de réflexion, il est important de noter que la recherche sur le cerveau et les technologies correspondantes s’internationalisent de plus en plus, et qu’un certain nombre de pays comme la Chine et la Russie, et certains alliés des États-Unis, sont engagés dans ces poursuites et s’intéressent à leur viabilité et à leur utilisation militaire. Cela crée une situation qui tend à soutenir, voire à faire progresser le rythme et l’étendue de la recherche, du développement et de l’incorporation des neurosciences et des technologies dans les initiatives de renseignement et militaires.

L’internationalisation de la science du cerveau, conjuguée à la rapidité de ses progrès, suscite des préoccupations supplémentaires quant au développement et à l’utilisation des armes neurologiques.

Si les accords internationaux existants sur les armes biologiques et chimiques, tels que les conventions de La Haye, le protocole de Genève et la convention sur les armes biologiques et à toxines, limitent la recherche institutionnelle, le stockage et le commerce international de certaines toxines et substances neuro-microbiologiques telles que la ricine et l’anthrax, certaines substances et technologies neurobiologiques développées pour des produits médicaux facilement disponibles sur le marché commercial pourraient ne pas relever des règles internationales existantes.

Il s’agit notamment des médicaments neurotropes créés dans les laboratoires pharmaceutiques, des biorégulateurs – définis comme des substances qui affectent les processus biologiques, comme les opioïdes et autres peptides – et des technologies neuromodulatrices telles que les dispositifs de stimulation transcrânienne ou cérébrale profonde.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.

Une autre préoccupation est que des substances neurobiologiques et neurochimiques et certaines neurotechnologies peuvent être obtenues ou développées avec une relative facilité par des acteurs non étatiques. Il convient de noter l’existence d’une communauté mondiale croissante de scientifiques « chapeau noir », qui peuvent être soutenus par du capital-risque approuvé par l’État dans l’intention explicite de perturber la sécurité, la stabilité et la santé publiques, et qui peuvent opérer sans tenir compte des réglementations définies par les traités et conventions signataires actuels.

La disponibilité croissante d’outils de neurobiologie de bricolage, tels que les kits d’édition de gènes qui peuvent être utilisés pour modifier génétiquement des microbes et des toxines existants et les rendre plus puissants ou mortels, augmente la probabilité de leur utilisation, ainsi que les risques et les menaces que ces techniques et leurs produits représentent pour la sécurité nationale.

L’ancien directeur du renseignement national, James Clapper, a déclaré l’année dernière que l’édition génétique devrait être considérée pour son potentiel de création d’armes biologiques.

Il est tout aussi important de tenir compte de l’impact des armes neurochimiques. Si les agents neurotoxiques comme le sarin ou les agents pathogènes comme l’anthrax peuvent avoir des effets assez étendus, d’autres armes neurotoxiques plus sophistiquées ne devraient pas être considérées comme des armes de destruction massive, mais plutôt comme des « armes de perturbation massive », dont les effets sont souvent subtils, bien qu’ils s’intensifient.

Par exemple, les médicaments à action neurologique peuvent être utilisés pour cibler de manière sélective les pensées, les sentiments et les actions d’un individu, tel qu’un dirigeant politique ou militaire, afin d’évoquer un changement dans ses idées, ses émotions et son comportement. Cela pourrait avoir un effet sur ceux qu’ils dirigent, en influençant leurs opinions et leurs actions dans un sens de conformité ou de dissonance.

Certaines drogues, toxines et/ou microbes neuroactifs peuvent également être utilisés contre des cibles à plus grande échelle pour provoquer des « conséquences en cascade » au sein d’un groupe, d’une communauté ou d’une population. Par exemple, ces agents pourraient être dispersés pour produire des « cas sentinelles » d’individus qui présentent des signes et symptômes neuropsychiatriques et autres signes et symptômes physiques. L’attribution d’une action terroriste et la désinformation qui l’accompagne sur les signes et symptômes saillants et croissants – tels que l’anxiété, l’insomnie et la paranoïa – pourraient être propagées sur Internet.

Cela tendrait à amplifier les réactions d’un nombre croissant de membres du groupe ou de la population, qui chercheraient alors à se faire soigner, et à faire peser ainsi une charge croissante sur le système de santé publique – même si ce n’est qu’à court terme.

La diffusion ultérieure sur Internet de récits visant à dénigrer toute réponse gouvernementale en essayant d’apaiser les inquiétudes et la réaction du public face à la « menace », pourrait être utilisée pour favoriser la dissolution de la confiance du public et accroître la perturbation sociale croissante. Il suffit de se rappeler la réaction du public à la distribution très limitée de l’anthrax dans les semaines qui ont suivi les attaques du 11 septembre pour se rendre compte de la viabilité et des effets possibles de telles tactiques.

Il est certain que la science du cerveau n’est pas la seule à pouvoir développer de nouveaux outils et de nouvelles armes. Pourtant, elle confère de puissantes capacités à affecter « les esprits et les cœurs » et offre donc un levier clair et présent dans les opérations militaires et de guerre.

La reconnaissance et une évaluation réaliste de ces capacités – et de leurs limites – sont des étapes cruciales pour la préparation et la réaction. En ces temps de réduction rapide des budgets et de ressources limitées, il devient donc de plus en plus important d’estimer avec précision les avantages, la charge, les risques et les menaces relatifs que certains types et applications de neurosciences et de technologies subiront, ainsi que de développer et de maintenir une attitude proactive pour garantir les possibilités de ces développements à la fois maintenant et à l’avenir.

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Armes electroniques

Les soldats français pourraient recevoir des implants et des puces pour être modifiés

Les cobayes du Mind Control, MK en tout genre, auront servi entre autre à préparer cette réalité et à réduire les risques encourus par ces gens qui se feront augmenter sans crainte. Qui serait assez fou pour servir de rat de laboratoire et essuyer les plâtres, il n’y a qu’à voir comment les gens sont perplexes vis à vis du vaccin ARN…


Le comité d’éthique du ministère de la Défense a donné son feu vert à l’étude des techniques invasives et non invasives visant à rendre un soldat «augmenté», indique Le Monde. Parmi celles-ci, les opérations chirurgicales, l’intégration de puces et d’implants ainsi que l’injection et l’absorption de substances.

L’armée française pourrait être complétée par des «soldats augmentés» si les recherches sur le renforcement des capacités des militaires via la technologie avancent, a fait savoir Le Monde. L’ouverture de tels travaux été a été approuvée à titre consultatif par le comité d’éthique du ministère de la Défense.

Les méthodes permettant d’obtenir un «soldat augmenté» peuvent inclure des techniques invasives visant à améliorer les capacités physiques et cognitives de l’Homme.

Augmentations au menu

Il s’agit notamment d’opérations chirurgicales, par exemple celles des oreilles pour distinguer des fréquences très basses ou très élevées, de l’intégration de puces sous-cutanées censées transmettre des informations à distance et d’implants qui permettent «de prendre le contrôle d’un système d’armes».

Enfin, cela pourrait également se faire par l’injection ou l’absorption de différentes substances. Celles-ci viseraient à l’augmentation de «la résistance face au phénomène d’isolement ou à la suite de la capture par l’ennemi».

Sans oublier l’utilisation d’exosquelettes, d’objets connectés ou de robots tueurs, explique le quotidien en citant un document du comité qu’il a pu consulter.

Bien que ledit comité ait donné son feu vert, il a émis un certain nombre de recommandations. Composé de 18 membres civils et militaires, il conseille ainsi d’étudier les avantages, les risques et les effets secondaires sur le corps pour chaque innovation. La «réversibilité» de ces modifications devra également être analysée.

Quid des limites?

«La question des limites et, par suite, celle des seuils, sont donc essentielles», indique le comité dans le préambule de son avis. Parmi les lignes rouges figurent toute augmentation risquant de «provoquer une perte d’humanité ou serait contraire au principe de respect de la dignité de la personne humaine».L’interdiction concerne aussi les augmentations cognitives affectant le libre arbitre et les transformations génétiques ou eugéniques.

Cité par Le Monde, le cabinet de Florence Parly souligne que rien n’est décidé pour le moment. «On privilégiera toujours le non invasif sur l’invasif» et «il y a des choses sur lesquelles on ne transigera pas», indique l’entourage de la ministre des Armées. Cependant, «c’est un futur auquel on doit se préparer».

SOURCE


Concernant ceci : « les risques et les effets secondaires sur le corps pour chaque innovation »,  je peux dire qu’au bout de 25 ans d’irradiation par ces bombardements d’ondes, j’ai eu droit à un cancer de la thyroïde avec ablation,  à ~45 ans et je traîne une neuro-algodystrophie, maladie rare et très douloureuse, (Un dérèglement du système nerveux) depuis 3 ans et demi, durée extrêmement rare ~5% des cas.

Évidement je n’ai pas de preuve que des suspicions de relation de cause à effet. Cependant, mon sentiment est que la dégradation de ma santé est en lien avec le fait que je sois la victime non consentante, comme les autres (TI Targeted Individuals) individus ciblés, d’expériences et de traitements bafouant tous les droits humains. Des expériences préparant l’ innocuité des implants et des systèmes communication dont il est question dans cet article ? Je ne vous fait pas grâce de la la notion de neuro-goulag dont il est question dans le roman d’anticipation MIR de Alexander Bescher, répression par V2K qui remplit mon quotidien d’une joie indicible. Mais cette dernière notion prépare plutôt à une nouvelle société qui surgira aux yeux de tous le moment voulu… Moment peut-être proche vu la manière dont tourne le monde en ce moment de COVID-éoGAME19.

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L’armée américaine développe une technologie qui lit dans les pensées des soldats

Silence radio

L’armée américaine investit dans la recherche en neurosciences, afin d’essayer de décoder la signification des différents signaux cérébraux.

Le but ultime – probablement encore lointain – est de construire un système qui permettrait aux soldats de communiquer avec rien d’autre que leurs pensées, selon C4ISRNET. C’est une initiative audacieuse qui met en évidence les façons bizarres dont la technologie médicale pourrait changer la nature même de la guerre – et des soldats eux-mêmes.

Un esprit instruit

Le Bureau de recherche de l’armée (ARO) s’est engagé à dépenser 6,25 millions de dollars pour le projet au cours des cinq prochaines années, rapporte C4ISRNET. Il s’agit là d’une somme dérisoire, évidemment, et la réalité est que l’armée est encore loin de déployer des troupes de cyborgs télépathes au combat.

Pour l’instant, les neuroscientifiques de l’ARO disent avoir appris à décoder et à analyser les signaux neuronaux qui dirigent le comportement du reste de la production du cerveau. Ce n’est pas vraiment de la lecture de pensées, mais c’est un premier pas important vers la compréhension réelle de la signification des différents signaux cérébraux.

“Ici, nous ne nous contentons pas de mesurer les signaux, mais nous les interprétons”, a déclaré Hamid Krim, directeur du programme ARO, à C4ISRNET.

Aller de l’avant

L’étape suivante, a expliqué M. Krim, consiste à décoder d’autres catégories de signaux cérébraux afin qu’un ordinateur puisse éventuellement interpréter les pensées d’un soldat.

“Vous pouvez lire tout ce que vous voulez ; cela ne veut pas dire que vous le comprenez”, a déclaré M. Krim à C4ISRNET. “L’étape suivante est d’être capable de le comprendre. En fin de compte, c’est surtout l’intention initiale : faire en sorte que l’ordinateur soit réellement en mode de communication full duplex avec le cerveau.”

Source


Radio Silence

The U.S. Army is pouring money into neuroscience research, in a bid to try and decode the meaning behind different brain signals.

The ultimate goal — likely still far in the future — is to build a system that would allow soldiers to communicate with nothing more than their thoughts, according to C4ISRNET. It’s a bold initiative that highlights the bizarre ways medical technology could change the very nature of warfare — and soldiers themselves.

Mind Literate

The Army Research Office (ARO) has committed to spending $6.25 million on the project over the next five years, C4ISRNET reports. That’s chump change, obviously, and the reality is that the military is still a long way off from deploying telepathic cyborg troops into battle.

For now, ARO neuroscientists say they’ve learned to decode and parse the neural signals that direct behavior from the rest of the brain’s output. It’s not quite mind reading, but it’s an important first step toward actually understanding what different brain signals mean.

“Here we’re not only measuring signals, but we’re interpreting them,” ARO program manager Hamid Krim told C4ISRNET.

Moving Ahead

The next step, Krim explained, is to decode other categories of brain signals so that a computer would eventually be able to interpret a soldier’s thoughts.

“You can read anything you want; doesn’t mean that you understand it,” Krim told C4ISRNET. “The next step after that is to be able to understand it. At the end of the day, that is the original intent mainly: to have the computer actually being in a full duplex communication mode with the brain.”

READ MORE: Could soldiers silently communicate using brain signals in the future? [C4ISRNET]

More on military technology: The Pentagon Wants to Control Drones With Soldiers’ Brain Waves

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Armes electroniques

Armes Silencieuses, Les Infrasons

Un clin d’œil au texte « Armes silencieuses pour guerre tranquille »


DEADLY SILENCE  Fergus Day  Extrait d’un article paru dans le numéro 76 de X Factor .

Et s’il y avait une arme dont on ne pouvait ni voir ni entendre les effets, mais pourrait vous tuer à des centaines de mètres de distance ?

Fergus Day évalue le potentiel perturbateur des infrasons.

Imaginez le scénario. Vous marchez dans une rue très fréquentée de la ville lorsqu’une perturbation se produit. Soudain, vous êtes englouti par une masse de corps en mouvement. Vous luttez pour vous échapper, mais vous vous retrouvez bloqué à chaque tournant. Au milieu du chaos, vous entendez le son des sirènes de police qui s’approchent. Mais quand les policiers arrivent, ils ne portent pas les boucliers et les matraques habituels ; ils n’ont que ce qui ressemble à de grands haut-parleurs, tendus à bout de bras. Soudain, vous avez l’impression de ne plus pouvoir respirer ; votre tête bat la chamade alors que vous trébucherez à genoux. Submergé par la nausée, vous essayez de vous lever, mais vous êtes submergé par un sentiment d’anxiété intense et ne pouvez plus bouger. Alors que vous êtes allongé, vomissant de manière incontrôlée, ceux qui vous entourent tombent comme des mouches. Finalement, toute la foule se tord d’angoisse alors que la police entre en scène pour procéder à des arrestations. Au lendemain de votre épreuve, vous vous rétablissez complètement, mais une question demeure : qu’est-ce qui a causé les effets physiques dévastateurs que vous avez subis ? Vous n’avez pas été touché par une balle en caoutchouc, vous n’avez vu aucun gaz lacrymogène ou autre substance nocive dans l’air. Alors pourquoi tant de gens sont-ils tombés par terre comme s’ils étaient atteints d’une maladie invalidante ? La réponse est simple. Vous et votre entourage avez été victimes d’une nouvelle arme terrifiante : les infrasons.

Sound Logic

Depuis des décennies, les forces de police et les autorités militaires du monde entier sont de plus en plus désireuses de trouver des méthodes pour contenir les troubles civils sans les risques pour leurs propres agents qui sont associés aux méthodes actuelles de lutte antiémeute. Et, selon un certain nombre de chercheurs, dans le domaine des infrasons, les scientifiques militaires pourraient maintenant avoir trouvé la solution idéale à ce problème. Mais qu’est-ce exactement que les infrasons et comment sont-ils capables d’induire des effets physiques aussi profonds ? Les infrasons sont des ondes acoustiques puissantes à très basse fréquence. Tout le son que nous entendons, des basses les plus basses aux aigus les plus élevés, se situe entre 16 et 20 000 Hertz, soit des cycles par seconde. Les ondes sonores supérieures ou inférieures à ces niveaux ne peuvent être entendues par l’oreille humaine. Comme les infrasons sont, par définition, des ondes sonores d’un niveau inférieur à 16 Hertz, ils contournent nos oreilles mais peuvent être ressentis par notre corps sous forme de vibrations pures. Et ce sont ces vibrations, qui dépendent de leur intensité, qui, selon certains chercheurs, peuvent provoquer toute une série de symptômes, allant de la nausée, des maux de tête et des vomissements à la rupture d’organes internes et même à la mort. .

Surround Sound

Mais les infrasons ne sont pas une invention nouvelle. Dans la nature, ils sont produits par des événements puissants et destructeurs, tels que les tremblements de terre, le tonnerre et les éruptions volcaniques. Les ondes sonores peuvent parcourir de nombreux kilomètres et ne sont pas bloquées par des pierres, des bâtiments ou d’autres sons. Les infrasons sont également très présents dans la technologie qui domine la vie urbaine dans les villes. Les objets en mouvement rapide tels que les moteurs de voiture, les ventilateurs et les climatiseurs sont responsables des faibles niveaux d’infrasons qui nous entourent quotidiennement. Le fait que certaines fréquences sonores ont des effets certains sur le corps humain est reconnu depuis longtemps par la science. Mais si les ultrasons (fréquences supérieures à 20 000 Hertz) ont été ouvertement exploités par la science à des fins aussi banales que repousser la vermine ou déloger le tartre des prothèses dentaires, l’étude et l’application des infrasons ont été beaucoup plus secrètes. Bien que les recherches sur les infrasons remontent à la Première Guerre mondiale, les études sur leurs effets sur les êtres humains n’ont commencé qu’au début des années 1960. À cette époque, la NASA a parrainé des études sur les effets potentiels sur les astronautes des infrasons produits par les vaisseaux spatiaux au moment du lancement. À la base aérienne Wright-Patterson de Dayton, dans l’Ohio, des sujets étaient placés dans des chambres de pression et soumis à des infrasons. Parmi les effets résultants, il y avait « des vibrations de la paroi thoracique, des sensations de nausé et des changements du rythme respiratoire ». Quelques années plus tard, en 1965, le sinistre potentiel des infrasons a été pleinement mis en évidence. Grâce à des études approfondies, Vladimir Gavreau, un scientifique du Centre national français de la recherche scientifique à Marseille, a découvert que divers effets physiques étaient produits lorsque des êtres humains étaient exposés à des fréquences sonores ultra-basses. Il a fait des expériences avec une série de tubes et de tuyaux d’orgue qui produisaient des notes d’environ 7 Hertz, et a découvert qu’en allongeant les tubes, les ondes sonores pouvaient être dirigées avec une certaine précision. .

Acoustic Lasers

En produisant ces dispositifs, Gavreau avait en effet inventé les « lasers acoustiques ». Ces faisceaux étroits d’infrasons pouvaient apparemment être dirigés avec précision, produisant des nausées, une désorientation et des maux de tête chez ceux qui étaient visés. Lorsque les niveaux d’infrasons étaient intensifiés, les sujets testés ont également fait état de sentiments de peur, de panique et de vision floue. Gavreau pensait qu’un dispositif à infrasons suffisamment puissant pouvait faire tomber des murs, briser des fenêtres et tuer tout le monde dans un rayon de 8 km. L’appareil ne serait pas difficile à fabriquer, a-t-il soutenu, mais il aurait un effet dévastateur. Certains chercheurs ont même affirmé qu’à la fin des années 1960, l’armée française s’est intéressée aux recherches de Gavreau et a utilisé ses découvertes pour élaborer une liste croissante d' »armes secrètes ». .

Military Appeal

Cependant, malgré les affirmations de Gavreau, beaucoup pensent que le développement d’armes à infrasons meurtrières est très peu pratique. Bien que relativement faciles à construire, de telles armes devraient être extrêmement grandes et puissantes pour tuer purement et simplement. Néanmoins, la recherche sur les armes à infrasons non létales se poursuit sans relâche. Le potentiel de ces armes à briser la résistance aux interrogatoires, à induire le stress, la confusion et la désorientation chez un ennemi les a rendues particulièrement attrayantes pour les scientifiques militaires. Si les fréquences infrasonores pouvaient être dirigées avec une extrême précision, comme l’aurait fait Gavreau, un individu ou un groupe pourrait soudainement s’évanouir, vomir ou souffrir d’une crise d’épilepsie, tandis que les personnes à proximité ne seraient pas affectées. Ces dispositifs pourraient également être de petite taille et facilement transportables dans un véhicule blindé. .

Pour beaucoup, la preuve que de telles armes sont en cours de développement depuis des décennies est fournie par un projet d’accord des Nations unies, élaboré en 1976, qui interdit le développement de nouvelles armes de destruction massive. Même à l’époque, les infrasons étaient considérés comme méritant une surveillance particulière, car les progrès réalisés dans le domaine de l’acoustique avaient fait des armes infrasonores une possibilité viable et attrayante. .

Infrasound Tests?

Malgré ces réglementations, de nombreux chercheurs pensent que des armes à infrasons ont déjà été utilisées sur un public peu méfiant. On prétend, par exemple, que dans les années 1970, l’armée britannique a testé des dispositifs à infrasons lors d’émeutes et de troubles civils en Irlande du Nord. Et, avec des niveaux d’investissement toujours plus élevés dans les technologies non létales, il semblerait que de tels incidents ne peuvent que devenir plus fréquents .

Aujourd’hui, les dispositifs à infrasons font partie d’une liste croissante d’armes « non-létales » – y compris les pistolets paralysants, les dispositifs électromagnétiques de contrôle mental et les irritants chimiques – qui sont facilement disponibles. En effet, un certain nombre de technologies à infrasons sont actuellement enregistrées auprès de l’Office américain des brevets. Il s’agit notamment de générateurs et d’émetteurs de bruit, de machines modifiant la conscience et de dispositifs d’excitation du système nerveux – la liste ne cesse de s’allonger. .

En 1995, 41 millions de dollars ont été dépensés pour des armes non létales aux États-Unis et cette technologie suscite un intérêt croissant. De nombreuses forces de police américaines, soucieuses de contrôler les troubles civils, estiment que les infrasons présentent un avantage par rapport aux gaz lacrymogènes, car ils peuvent être contrôlés beaucoup plus facilement. L’efficacité des infrasons a même reçu le soutien du Pentagone qui, dans un document récent, a affirmé que des infrasons de forte puissance pouvaient rendre un ennemi inapte à combattre par la nausée. Les nouvelles avancées en matière d’armes à infrasons suggèrent que les scientifiques militaires sont de plus en plus habiles à exploiter les ultra-basses fréquences. Un dispositif actuellement en cours de développement combinerait un dispositif à infrasons avec une lumière stroboscopique, et serait capable d’induire des crises d’épilepsie extrêmes et une désorientation sensorielle complète. Pourtant, malgré toutes les preuves, les autorités militaires continuent de nier toute implication dans les infrasons, et la nature réelle des recherches reste entourée de secret. Certains ont même affirmé que les prétendues propriétés des infrasons sont loin d’être prouvées. Récemment, le physicien allemand Jurgen Altmann a affirmé qu’après avoir étudié les propriétés des infrasons, il n’a trouvé aucune preuve que ceux-ci ont l’un des effets néfastes signalés. Ce point de vue a été repris par le lieutenant-colonel Martin N. Stanton de l’armée américaine, qui a apparemment trouvé des armes à infrasons peu utiles alors qu’il était basé en Somalie, pays déchiré par la guerre, dans le cadre de la force américaine de maintien de la paix. Stanton met en doute l’efficacité de ces armes, affirmant que les troupes anti-émeutes sont tout aussi sensibles aux effets des infrasons que les émeutiers. Néanmoins, un tel scepticisme ne semble pas avoir affecté ceux qui se sont engagés dans la production d’armes à infrasons. En 1999, Maxwell Technologies de San Diego a déposé une demande de brevet pour une nouvelle arme à infrasons potentiellement mortelle. Ce dispositif, conçu pour contrôler les foules hostiles ou neutraliser les preneurs d’otages, fonctionnerait sur une large gamme de fréquences et serait hautement directionnel. La société affirme qu’il est capable d’affecter des personnes jusqu’à 100 mètres de distance et peut prétendument causer une rupture du tympan à 185 décibels (dB), des lésions pulmonaires (poumon) à 200 dB et la mort à 220 dB.

Deadly Potential

Ces développements et d’autres encore suggèrent que les armes à infrasons sont loin d’être une chimère. Avec la nécessité de contrôler une population toujours croissante, il semble probable que, même si elle n’a pas encore été utilisée, la puissance potentielle des infrasons sera utilisée sous une forme ou une autre à l’avenir. Et comme de plus en plus d’appareils sont brevetés, ce jour pourrait être plus tôt que nous ne le pensons. .

Case: Wired by Sound

Outre la menace des armes à infrasons, un danger plus subtil peut résider dans les faibles niveaux d’infrasons qui nous entourent quotidiennement. Dans les objets quotidiens de la vie technologique urbaine se trouvent de nombreux dispositifs connus pour produire des infrasons. Les machines telles que les voitures, les systèmes de chauffage et les trains produisent tous des fréquences ultra-basses, et souvent les citadins se plaignent de maladies qui peuvent être déclenchées par cette « pollution infrasonore ». Les effets peuvent aller de la perturbation du sommeil et de l’irritation à des tendances suicidaires, mais cela pourrait-il, comme certains l’ont suggéré, être une oppression délibérée des masses ? Bien que cela soit peu probable, au milieu des années 1970, les inquiétudes concernant l’effet des infrasons (ci-dessus) faisaient la une des journaux alarmistes : Le tueur à petit feu : Les sons du silence peuvent-ils nous rendre tous idiots ? Les inquiétudes du public se sont dûment intensifiées et, durant cette période, un article de journal approfondi a apparemment reçu 800 réponses de personnes affirmant avoir souffert des effets des infrasons.


What if there was a weapon whose effects you couldn’t see or hear,
but could kill you from a distance of hundreds of metres?

Fergus Day assesses the disturbing potential of infrasound.

Picture the scenario. You’re walking through a busy city street when a disturbance breaks out. Suddenly, you’re engulfed by a mass of heaving bodies. You struggle to escape, but find your way blocked at every turn. Amid the chaos, you hear the sound of approaching police sirens. When the officers arrive, however, they are not carrying the usual riot shields and batons; they have only what look like large speakers, held out at arms length Suddenly, you feel as if you cannot breathe; your head is pounding as you stumble to your knees. Overcome by nausea, you try to get up, but are engulfed by a feeling of intense anxiety and cannot move. As you lie there, vomiting uncontrollably, those around you are dropping like flies. In the end, the entire crowd is writhing in agony as the police wade in to make arrests. In the aftermath of your ordeal, you recover completely, but one question remains: what caused the devastating physical effects you experienced? You were not hit by a rubber bullet, you saw no tear gas or other noxious substance in the air. So why did so many people fall to the floor as if overtaken by some crippling disease? The answer is simple. You and those around you had fallen victim to a new and terrifying weapon – infrasound.

Sound Logic
For decades, police forces and military authorities throughout the world have been increasingly keen to find methods of containing civil unrest without the risks to their own officers that are associated with current methods of riot control. And, according to a number of researchers, in infrasound, military scientists may now have found the ideal solution to this problem. But what exactly is infrasound and how is it capable of inducing such profound physical effects? Infrasound is a powerful, ultra-low frequency acoustic wave. All the sound that we hear, from the lowest bass to the highest treble, is between 16 and 20,000 Hertz, or cycles per second. Sound waves above or below these levels cannot be heard by the human ear. Because infrasound is, by definition, sound waves of a level below 16 Hertz, it bypasses our ears but can be felt by our bodies in the form of pure vibrations. And it is these vibrations, dependent upon their intensity, that some researchers say can induce a range of symptoms, from nausea, headaches and vomiting, to the rupturing of internal organs and even death. .

Surround Sound
But infrasound is no new invention. In nature, it is produced by powerful and destructive events, such as earthquakes, thunder and erupting volcanoes. The sound waves can travel many kilometres and are not blocked by stone, buildings or other sounds. Infrasound also features strongly in the technology that dominates urban life in towns and cities. Rapidly moving objects such as car engines, fans and air conditioners are responsible for low levels of infrasound that surround us on a daily basis. The fact that certain sound frequencies have definite effects on the human body has long been acknowledged by science. But while ultrasound (frequencies above 20,000 Hertz) has been openly harnessed by science to such mundane ends as repelling vermin or dislodging tartar from dentures, the study and application of infrasound has been far more secretive. Although infrasound research dates back as far as World War I, studies of its effects on human beings did not begin until the early 1960s. At this time, NASA sponsored studies into the potential effects on astronauts of infrasound produced by spacecraft at launchtime. At the Wright-Patterson Air Force Base in Dayton, Ohio, subjects were placed in pressure chambers and subjected to infrasound. Among the resulting effects were ‘chest wall vibrations, gag sensations, and respiratory rhythm changes’. Just a few years later, in 1965, the sinister potential of infrasound was fully uncovered. From extensive studies, Vladimir Gavreau, a scientist from the French National Centre for Scientific Research in Marseilles, found that a variety of physical effects were produced when human beings were exposed to ultra-low sound frequencies. He experimented with a series of tubes and organ pipes that produced notes of about 7 Hertz, and found that, by extending the tubes, the sound waves could be directed with some precision. .

Acoustic Lasers
In producing these devices, Gavreau had, in effect, invented ‘acoustic lasers’. These narrow beams of infrasound could apparently be aimed accurately, producing nausea, disorientation and headaches in those at whom they were directed. When the infrasound levels were intensified, test subjects also reported feelings of fright, panic and blurred vision. Gavreau believed that a powerful enough infrasound device could knock down walls, break windows and kill everyone within an 8km radius. The device would not be difficult to make, he argued, yet would have a devastating effect. Some researchers have even claimed that, during the late 1960’s, the French military became interested in Gavreau’s research and used his findings in the development of a growing list of ‘secret weapons’. .

Military Appeal
Despite Gavreau’s claims, however, many believe that the development of lethal infrasound weapons is highly impractical. Although relatively easy to build, such weapons would have to be extremely large and powerful to kill outright. Nevertheless, research into non-lethal infrasound weapons has continued unabated. The potential of such weapons to break down resistance to interrogation, to induce stress, confusion and disorientation in an enemy has made them particularly appealing to military scientists. If infrasound frequencies could be directed extremely accurately, as reportedly achieved by Gavreau, an individual or a group could suddenly faint, vomit or suffer an epileptic fit, while those nearby would be unaffected. Such devices could also be small and easily carried in an armoured vehicle. .

To many, evidence that such weapons have been under development for decades is provided by a United Nations draft agreement, drawn up in 1976, that prohibited the development of new weapons of mass destruction. Even at that time, infrasound was deemed deserving of special monitoring, owing to the fact that the progress made in the area of acoustics had made infrasonic weapons a viable and attractive possibility. .

Infrasound Tests?
Despite such regulations, many researchers believe that infrasound weapons have already been used on an unsuspecting public. It is claimed, for example, that, during the 1970s, the UK army tested infrasound devices in incidents of rioting and civil unrest in Northern Ireland. And, with ever-increasing levels of investment in non-lethal technology, it would seem that such incidents can only become more common. .

Today, infrasonic devices are among a growing list of ‘non-lethal’ weapons – including stun guns, electromagnetic mind-control devices, and chemical irritants – that are readily available. Indeed, a number of infrasound technologies are currently registered with the US Patents Office. These include noise generators and transmitters, consciousness-altering machines and nervous system excitation devices – the list is growing all the time. .

In 1995, $41 million was spent on non-lethal weaponry in the US and there is growing interest in the technology. Many US police forces, concerned with the control of civil unrest, believe that infrasound has an advantage over tear gas as it can be controlled much more easily. The effectiveness of infrasound has even received the backing of the Pentagon, who in a recent document, claimed that high-power infrasound could leave an enemy incapacitated by nausea. New advances in infrasound weaponry suggest that military scientists are becoming more and more adept at harnessing ultra-low frequencies. A device currently under development is said to combine an infrasound device with a strobe light, and is capable of inducing extreme epileptic fits and complete sensory disorientation. Yet despite all the evidence, military authorities continue to deny any involvement with infrasound, and the actual nature of research remains shrouded in secrecy. Some have even claimed that the alleged properties of infrasound are far from proven. Recently, German physicist Jurgen Altmann claimed that, having studied the properties of infrasound, he found no evidence that it has any of the adverse effects reported. This view has been echoed by Lieutenant Colonel Martin N. Stanton of the US Army, who apparently found infrasound weapons of little use while based in war-torn Somalia as part of the US peacekeeping force. Stanton questions the effectiveness of such weapons, claiming that riot-control troops are just as susceptible to the effects of infrasound as rioters. Nevertheless, such scepticism does not appear to have affected those engaged in the production of infrasound weapons. In 1999, Maxwell Technologies of San Diego applied to patent a new potentially lethal infrasound weapon. The device, designed to control hostile crowds or disable hostage takers, is said to work a cross a wide range of frequencies and is highly directional. The company says it is capable of affecting people up to 100 metres away and can allegedly cause eardrum rupture at 185 decibels (dB), pulmonary (lung) injury at 200dB and death at 220dB.

Deadly Potential
These and other developments suggest that infrasound weapons are far from a pipe dream. With the need to control an ever growing population, it seems likely that, even if it hasn’t been used already, the potential power of infrasound will be utilized in some form or other in the future. And with more devices being patented all the time, that day may be sooner than we think. .

Case: Wired by Sound
Aside from the threat of infrasound weaponry, a subtler danger may lie in the low levels of infrasound that surround us on a daily basis. Within the everyday items of urban technological living are numerous devices that are known to produce infrasound. Machinery such as cars, heating systems and trains all produce ultra-low frequencies, and often city-dwellers complain of illnesses that may be triggered by such ‘infrasonic pollution’. The effects can vary from sleep disturbance and irritation to suicidal tendencies, but could this, as some have suggested, be a deliberate oppression of the masses? Whilst this is unlikely, in the mid-1970s, concerns over the effect of infrasound (above) under the alarmist headline: The Low Pitched Killer: Can Sounds of Silence be Driving Us All Silly? Public worries were duly intensified and, during this period, one in-depth newspaper report apparently received 800 responses from people claiming to have suffered as a result of low levels of infrasound.

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Articles de presse

Manipulation de l’esprit : Une réalité probablement inquiétante

 

Un article qui date un peu, qui relève que ce sujet semble étrangement n’ inquiéter personne ou pas grand monde. Ce que met en lumière la conclusion de l’article : Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.

 


 

 

September 29th, 2014

Il y a quelques années, un grand nombre d’articles ont été publiés afin de sensibiliser le public aux dangers que les neurosciences font courir à chaque individu, aux petites communautés et même à la société dans son ensemble.
Et puis, il n’y a plus rien eu. Pas de rapports de suivi, pas de publications, rien. Comme si personne ne s’en souciait plus, au lieu de gens qui manifestaient dans la rue.

Il a été annoncé que la tristement célèbre Agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis a commencé à utiliser une méthode « scientifique » appelée surveillance neurale à distance, censée renforcer la capacité des forces de l’ordre à lutter contre la criminalité et les activités terroristes.

Les conséquences de cette méthode sont horribles, quelle que soit la définition qu’on en donne.Et puis il n’y a rien eu. Plus personne ne semble s’en soucier, au lieu de poursuivre par tous les moyens légaux disponibles. Et puis, il n’y a rien eu.

Pour les non-initiés, la neuroscience est l’étude de la façon dont le système nerveux se développe, de sa structure, de ce qu’il fait, et se concentre surtout sur son impact sur le comportement et les fonctions cognitives. C’est une science pluridisciplinaire qui fait le lien avec les mathématiques, la linguistique, l’ingénierie, l’informatique, la chimie, la philosophie, la psychologie, la génétique et la médecine. C’est-à-dire tout. On suppose que la science vise à aider les personnes souffrant de troubles neurologiques, psychiatriques et neuro-développementaux.
Tout cela semblait assez discret jusqu’à ce que certaines de ses expériences voient le jour et que le public prenne conscience (ou non… il semble que non) du danger inhérent à cette méthode. L’une des expériences – aux effets plus légers – a révélé que les expérimentateurs ont appliqué des électrodes à un certain nombre de femmes pour tester l’efficacité du processus contre la dépression.

L’expérience a été qualifiée de réussite, car les sujets n’ont subi aucun dommage physique et ont été initiés à des sentiments agréables qui ont permis de dissiper leur trouble.

Les acclamations ont duré jusqu’à ce que l’on découvre que les femmes étaient toutes tombées amoureuses de leurs expérimentateurs au point d’en être absurdes. L’affaire a été portée devant les tribunaux, qui ont jugé que l’effet était imprévisible ( ?) et involontaire ( ?) et ont ordonné que tous les dossiers (identités des expérimentateurs et des sujets, lieux, délais, etc…) soient scellés et effacés.

Il n’y a jamais eu un mot sur la façon dont les sujets ont été traités après cette expérience (journalisme typique – si ça ne se vend pas, c’est que ce n’est pas intéressant) et d’autres expériences ont révélé des résultats bien pires.

D’autres enquêtes menées par d’autres journalistes ont révélé que de grandes entreprises avaient engagé des neuroscientifiques pour créer des moyens d’augmenter l’intérêt du public envers leurs produits.

Leurs armées d’avocats avaient introduit les directives pour que la recherche soit dans les limites de la loi et tout a été balayé sous le tapis.

Mais les implications sont extrêmement claires.
Une fois de plus, on ne savait pas si ces études seraient abandonnées ou si elles seraient mises en œuvre. Puisque les affaires sont les affaires, elles ont probablement été attirées par une couverture plus profonde et mises en œuvre, mais il n’y a aucune preuve de cela.

Pour ceux qui n’ont pas encore été informés, la surveillance neurale à distance fonctionne à distance et tente de contrôler le cerveau dans le but de détecter toute pensée criminelle se produisant dans l’esprit d’un éventuel coupable. La science est basée sur les principes que :

le cerveau humain est trop lent et, par conséquent, ne peut pas rivaliser avec les superordinateurs et que chaque cerveau possède un ensemble distinct de systèmes de résonance biométrique et, par conséquent, est isolable et peut être affecté.
L’ensemble du programme a été financé par les agences de sécurité des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne et de la France. On a laissé entendre qu’un programme similaire avait été développé pour la Russie, mais là encore sans aucune preuve. Les répercussions sont terribles et pourtant personne ne semble s’en inquiéter ! Non pas que l’on puisse vraiment faire quelque chose contre un programme financé par les gouvernements au plus haut niveau…

Ce ne sont pas une, mais deux prétendues sciences qui visent directement le contrôle mental et neural de l’être humain.
Et les gens vaquent à leurs occupations tous les jours, continuent leur vie et s’assoient confortablement dans leur canapé pour regarder la télévision… D’énormes sommes d’argent ont été dépensées (en secret, bien sûr) pour payer des scientifiques afin qu’ils produisent des moyens efficaces de manipulation de l’esprit. Et les gens meurent de faim ou sont plongés dans la pauvreté sans pouvoir y faire quoi que ce soit.

Si une grande entreprise peut vous ordonner d’acheter son produit, si un scientifique vous induit des sentiments et des comportements à volonté, si une agence de sécurité sait exactement à quoi vous pensez, à tout moment, ce qu’il reste qui mérite d’être appelé liberté ?

Où sont passés tous les principes de la liberté de pensée, de parole et de procédure ? Où sont passés les principes « constitutionnels » (du moins pour les pays qui prétendent encore avoir une constitution) ? La réponse : par la fenêtre.

Et la question du suivi est incontournable. Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.


References for neuroscience:

  1. Zull, J. (2002). The art of changing the brain: Enriching the practice of teaching by exploring the biology of learning.
  2. Bear MF, Connors BW, Paradiso MA (2001). Neuroscience: Exploring the Brain.
  3. Goswami U (2004). “Neuroscience, education and special education”
  4. “Brain Facts: A Primer on the Brain and Nervous System”. Society for Neuroscience.

References for Remote Neural Monitoring:

  1. Robert C. Gunn, PhD, Arbor, Michigan, NSA clinical psychologist currently indicted for human and Constitutional rights violations of Mind Control. Extracts from the passage of the affidavit of the indictment.
  2. Declassified documents by NSA of the MKULTRA project
  3. R.G. Malech Patent #3951134 “Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves” USPTO granted 4/20/76

 

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Surveillance neurale à distance : Comment ils espionnent vos pensées

Combien de fois avez-vous eu des pensées que vous n’avez jamais voulu partager avec quiconque et vous êtes constamment inquiet à l’idée que quelqu’un puisse jamais découvrir ces pensées ?

Nous sommes tous passés par là, et les nouvelles technologies améliorées qui sont développées dans le monde entier, soi-disant pour lutter contre la criminalité et le terrorisme, et qui, par inadvertance, empiètent sur la vie privée de chacun, devraient probablement nous amener tous au bord de la paranoïa. Ces technologies sont financées par les gouvernements au plus haut niveau et certains des pays concernés comprennent les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Allemagne et la France.

Récemment, la tristement célèbre Agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis a mis au point une méthode très efficace pour contrôler le cerveau humain.
Cette technologie, appelée « Remote Neural Monitoring » (R.N.M.), devrait révolutionner la détection et l’investigation des crimes.

La R.N.M. fonctionne à distance (on ne s’est jamais demandé pourquoi nous avons tous été poussés sans relâche vers les systèmes sans fil ?) pour contrôler le cerveau dans le but de détecter toute pensée criminelle se déroulant dans l’esprit d’un éventuel coupable.

L’inévitable question : Comment peut-on isoler une pensée criminelle si l’on ne dispose pas d’une mesure comparative des pensées non criminelles ?

Cet engagement repose sur deux principes :

Les recherches ont montré que l’intellect humanoïde pense à une vitesse d’environ 5 kilobits par seconde et, par conséquent, n’a pas la capacité de rivaliser avec les superordinateurs agissant via les satellites, les implants et la bio-télémétrie.
Le cerveau humain possède un ensemble caractéristique de structure de résonance bioélectrique. En utilisant des superordinateurs, le système R.N.M. peut s’en emparer et envoyer des messages par le biais du système nerveux d’un individu intégré afin d’affecter ses performances de manière préférentielle.

Le système entier a été développé après environ 50 ans ( !) d’expérimentations neuro-électromagnétiques sur l’homme, prétendument involontaires, mais il n’y a pas de preuves pour appuyer cette affirmation.

Selon de nombreux scientifiques impliqués dans ce programme (leurs noms ne sont pas révélés pour des raisons évidentes), d’ici quelques années, on s’attend à ce que des micropuces à ADN, sous le couvert de percées médicales qui seront présentées pour lancer les processus de guérison de la maladie sur la vitesse et l’efficacité, soient implantées dans le cerveau humanoïde, ce qui le rendrait intrinsèquement contrôlable. La R.N.M. aura alors la capacité de lire et de régir les procédures mentales émotionnelles d’une personne ainsi que les visions et les involontaires.

Actuellement, dans le monde entier, des superordinateurs surveillent des millions de personnes en même temps, à la vitesse de 20 térabits par seconde, en particulier dans des pays comme les États-Unis, le Japon, Israël et un certain nombre de pays européens. Un programme similaire est censé être en cours en Russie.

Comment fonctionne la R.N.M. ? Elle utilise un ensemble de programmes fonctionnant à différents niveaux, comme :

  • Le système d’intelligence des signaux qui applique des fréquences électromagnétiques (EMF), pour exciter le cerveau pour le système et le lien électronique du cerveau (EBL).
  • Le système de stimulation du cerveau qui a été conçu comme une intelligence d’émission de particules, ce qui signifie qu’il reçoit des informations provenant d’ondes électromagnétiques créées involontairement dans l’environnement. Cependant, il n’est pas lié à la radioactivité ou à la détonation nucléaire.
  • Les machines d’enregistrement qui disposent d’un équipement électronique permettant d’examiner à distance l’action électrique chez les êtres humains. Cette cartographie cérébrale générée par ordinateur peut toujours enregistrer tous les événements électriques dans le cerveau.
  • Le système d’aide à l’enregistrement déchiffre les cartes cérébrales individuelles à des fins de sécurité.

La technologie sous-jacente de ce système prend en considération le fait que l’activité électrique dans le centre de la parole du cerveau, peut être traduite dans les pensées verbales du sujet. Le R.N.M. peut envoyer des signaux cryptés au cortex audio du cerveau en contournant directement l’oreille.

Ce codage aide à détecter la communication audio. Il peut également effectuer une cartographie électrique de l’activité du cerveau à partir du centre visuel, ce qui est réalisé en évitant les yeux et les nerfs optiques, projetant ainsi les images de l’esprit du sujet sur un écran vidéo. Grâce à cette mémoire visuelle et audio, les deux peuvent être visualisées et analysées.

Les machines concernées peuvent, à distance et de manière non invasive, détecter des informations en décodant numériquement les potentiels évoqués dans les émissions électromagnétiques de 30 à 50 Hz, 5 mW du cerveau.

Les potentiels évoqués sont appelés « pics » et motifs créés par les nerfs, car ils produisent un motif électrique changeant avec une instabilité magnétique en constante évolution, qui émet alors une quantité constante d’ondes électromagnétiques. Ce qui est intéressant dans tout cela, c’est que l’exercice est effectué sans aucun contact physique avec le sujet.

Les émissions de CEM peuvent être décodées en pensées actuelles et en perception audiovisuelle, dans le bon sens du sujet. Il envoie des chiffres compliqués et des signaux d’impulsions électromagnétiques pour activer les potentiels évoqués à l’intérieur de l’esprit, générant ainsi des entrées sonores et visuelles dans les circuits neuronaux.

Grâce à ses réseaux de communication vocale, auditive et visuelle, la R.N.M. permet une connexion audiovisuelle complète entre l’esprit et l’ordinateur ou une association entre l’esprit et l’ordinateur.
Le mécanisme doit décrypter la fréquence de résonance de chaque site spécifique afin de moduler l’entrée d’informations à cet endroit précis du cerveau.

De plus, la R.N.M. peut détecter le son par le biais des micro-ondes et permet la diffusion de directives précises dans le subconscient, produisant des troubles visuels, des illusions et l’instillation de mots et de nombres dans le cerveau par le biais d’ondes de rayonnement.

Avec tous les bénéfices que l’on peut tirer de la recherche des activités illégales et traîtresses, les défenseurs des droits de l’homme et les scientifiques soulignent de nombreux dangers et alarmes. Les organismes de défense des droits de l’homme, dans le monde entier, ont critiqué le système comme étant un affront aux droits fondamentaux de l’homme parce qu’il viole la vie privée et la dignité des considérations et des événements de la vie.

Plusieurs pays s’y sont opposés et le considèrent comme une atteinte à leurs droits humains et civils. Avec d’autres préoccupations biologiques exprimées par les scientifiques, la R.N.M. reste une technologie controversée, qui est utilisée dans de nombreux pays pour le maintien de la sécurité et la surveillance.

References:

  1. Robert C. Gunn, PhD, Arbor, Michigan, NSA clinical psychologist currently indicted for human and Constitutional rights violations of Mind Control. Extracts from the passage of the affidavit of the indictment.
  2. Declassified documents by NSA of the MKULTRA project
  3. R.G. Malech Patent #3951134  “Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves” USPTO granted 4/20/76

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