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Armes electroniques

Partie 2, Karl Hecht : Les pensées sont libres… mais avec la numérisation mondiale c’est fini

6 L’électronique et le contrôle mental décrits dès 1973,

une publication scientifique est parue sur l’utilisation des micro-ondes pour le contrôle mental. Cette possibilité est décrite comme suit par l’auteur Lawrence : Selon Weiner, une feuille de métal suspendue au plafond et reliée à un générateur électrostatique d’une fréquence de 10 Hz peut provoquer des sensations désagréables chez les gens. À une intensité de champ de 1 ou 2 volts par centimètre carré, ce champ alternatif coïncide à peu près avec la fréquence du rythme alpha des ondes cérébrales humaines. Ce champ électrique tente maintenant de maintenir les ondes cérébrales à la fréquence fixe du générateur. Les machines à dormir électroniques fonctionnent sur des principes similaires, avec des courants d’amplitude et de longueur d’impulsion fixes (généralement des impulsions carrées) qui traversent le crâne et le cerveau à l’aide de masques conducteurs.

Lawrence [1973] considère également les ondes cérébrales comme l’entrée de l’influence externe des champs électromagnétiques.

7 Une excursion dans la neurophysiologie du cerveau humain

Le cerveau humain compte en moyenne environ 100 milliards de cellules nerveuses. Celles-ci sont interconnectées de telle sorte que des connexions sont possibles de chacune de ces cellules nerveuses vers d’autres. Cette connexion fonctionnelle peut se faire selon 10 niveaux d’intensité différents. Il en résulte des possibilités de connexion de chaque cellule nerveuse du cerveau. Des réseaux nerveux fonctionnels sont formés pour chaque réaction, action, pensée. Cela se fait à la vitesse de la milliseconde à l’aide de l’activité des ondes cérébrales, qui peut être mesurée à l’aide de l’EEG, entre autres. EEG = électroencéphalogramme. Les fréquences de l’EEG sont sujettes à une extraordinaire variabilité dans le temps, qui peut entrer en résonance avec les fonctions électromagnétiques naturelles.

Figure 7 : Le cerveau humain et les cellules cérébrales (neurones avec synapses) en divers agrandissements [modifié d’après Benson 1997]

Quatre formes différentes d’EEG sont décrites selon une nomenclature internationale, de fréquences 0,1-50 Hz. Ceux-ci peuvent se présenter sous différentes configurations et amplitudes, reflétant une grande variété de fonctions.

Figure 8 : Les quatre classes de l’EEG avec les phénomènes spéciaux supplémentaires d’une personne saine dans leur variabilité de fréquence et de configuration [d’après Birbaumer et Schmidt 1996]

F igure 9 : Représentation modélisée de la manière dont les ondes électromagnétiques peuvent s’insinuer dans les ondes cérébrales sans perception consciente et provoquer des modifications des fonctions cérébrales et du psychisme.

Toutes les ondes radio électromagnétiques peuvent également imposer leur fréquence aux ondes EEG, surtout à très faible intensité de champ, et provoquer des modifications correspondantes des fonctions cérébrales. L’exemple suivant l’illustre.

7.1 Conditionnement des pulsations 10 Hz du WLAN Formation d’une mémoire de stress De courtes impulsions 10 Hz sont insérées dans les fréquences 2,4 gigahertz du WLAN.

Cette pulsation n’a pas une forme d’onde sinusoïdale et n’a pas la moindre ressemblance avec la résonance de Schumann de 10 Hz. Ces impulsions de 10 Hz du rayonnement WLAN provoquent des perturbations intenses dans les processus fonctionnels du corps. Ils peuvent être enregistrés de manière visible, par exemple dans l’électromyogramme. Les 10 Hz du WLAN se manifestent dans tous les processus de régulation électrique de l’être humain. Dans ce cas, il est démontré comment une fréquence WLAN de 10 Hz apparaît dans l’électromyogramme (électroactivité musculaire). gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Figure 10 : à gauche : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec le système radio activé à droite : EMG avec impulsions WLAN de 10 Hz avec l’émetteur WLAN désactivé [v. Klitzing 2016]

Le résultat sensationnel de la recherche du Prof. Dr. Lebrecht von Klitzing : EMG artificiel après une exposition prolongée au WLAN [Umwelt-Medizin-Mensch ] Le Prof. Lebrecht von Klitzing en tire la conclusion logique suivante :  » Il y a ici clairement un conditionnement des signaux nerveux périphériques par la modulation périodique et techniquement conditionnée de 10 Hz dans le WLAN « . En tant que neurophysiologiste, je m’identifie pleinement à cette conclusion. Il s’agit d’une découverte scientifique dont les implications doivent être reconnues au niveau mondial. La pulsation WLAN 10 Hz forme une mémoire de stress de la pulsation WLAN analogue à la mémoire de la douleur. Pour la compréhension, quelques brèves remarques sur la mémoire de la douleur. Lorsqu’une personne éprouve une douleur intense pendant une longue période, une mémoire de la douleur se forme. Dans ce cas, la personne a encore mal alors que la cause de la douleur a été supprimée. La douleur fantôme est connue depuis des siècles. Par exemple, si une personne souffrait d’une douleur intense au niveau du gros orteil et que cet orteil ou toute la partie inférieure de la jambe a été amputée, la douleur intense persiste. La douleur se reflète dans le cerveau lorsqu’une mémoire de la douleur s’est formée. C’est pourquoi, en médecine, on s’efforce de prévenir la formation d’une mémoire de la douleur chez les patients qui ont mal, par exemple en combattant rapidement la douleur. La formation d’une mémoire de contrainte de pulsation WLAN 10 Hz est analogue à cela. Cela permet à l’électrohypersensibilité chronique, au mal des micro-ondes, au stress oxydatif et à d’autres symptômes déclenchés par les rayonnements CEM techniques, qui ont été mentionnés plus haut, de se graver si profondément dans la mémoire qu’ils persistent à vie. C’est certainement le cas des personnes souffrant d’électrohypersensibilité. En se référant à ces résultats scientifiques, on peut imaginer ce qui peut arriver aux enfants dont les écoles sont équipées de WLAN. Les enfants sont, comme le montrent les résultats scientifiques, particulièrement sensibles aux rayonnements CEM. Avec le rayonnement WLAN 10 Hz, la symbiose normale entre la résonance de Schumann et les ondes cérébrales, qui s’est développée au cours de l’évolution, est également empêchée, ce qui nuit chroniquement à la santé des personnes. Dans ce contexte, il convient également de mentionner que les fonctions cérébrales sont étroitement liées au système immunitaire. La biologiste moléculaire américaine Candace B. Pert a décrit ce phénomène en détail dans son livre « Molecules of Emotions » [2001] et a prouvé que les fonctions cérébrales perturbées affaiblissent également le système immunitaire. Les formations de mémoire de ce type sont également formées dans ce cas. Ce phénomène est décrit en détail dans le livre des médecins allemands Manfred Schedlowski et Uwe Tewes « Psychoneuroimmunology » [1996]. Sur la base des connaissances scientifiques, on peut postuler que la pulsation WLAN 10 Hz lors d’une exposition continue est un facteur très dangereux pour la santé humaine, en particulier pour les enfants. Recommandations du ministre de la santé de Russie pour l’utilisation des systèmes électroniques, y compris la télévision.

  • Enfants de moins de 6 ans pas de smartphone
  • Enfants de 6 à 12 ans 2 h/jour avec des pauses (30 min de travail, 45 min de pause)
  • Enfants de 3 à 4 h/jour avec des pauses
  • Adultes de plus de 18 ans 4 à 6 h/jour avec 30 min de pause après chaque heure de travail

L’utilisation continue des smartphones provoque des troubles et des maladies mentales. Gertraud Teuchert-Noodt, professeur de recherche sur le cerveau à l’université de Bielefeld [2017]. Interview : Cyberattaque contre les réseaux neuronaux du cerveau Où va la révolution numérique ? Environmental Medicine Society 30/3, S La citation suivante, tirée de l’interview des auteurs, apporte une comparaison convaincante qui en dit long sur l’effet des ondes radioélectriques des CEM.

Tout comme les pirates informatiques peuvent paralyser l’alimentation électrique d’un hôpital, les utilisateurs de médias numériques peuvent désactiver le centre d’alimentation de leur propre cerveau pour tout traitement de l’information à un niveau psycho-cognitif et provoquer un épuisement mental. Peut-être qu’un accident cérébral est encore pire. Le professeur Teuchert-Nood demande que l’utilisation des smartphones soit soumise à un permis, comme le permis de conduire pour les voitures dès l’âge de 16 ans.

7.2 FOMO, digital dementia, and our dangerous experiment

Larry Dossey, MD (2014) : Titre original : FOMO, Digital dementia, an our dangerous experiment. Publié dans : Explore, Volume 10, Numéro 2, S Publié en allemand dans Diagnose Funk Brennpunkt

Numéro FOMO est l’abréviation anglaise de fear of missing out. Le terme est apparu dans l’Urban Dictionary, un dictionnaire en ligne de mots d’argot anglais, comme mot du jour le 14 avril 2011. La FOMO est considérée comme un type d’anxiété sociale : une crainte obsessionnelle de manquer une occasion d’échange social, une nouvelle expérience ou un autre événement enrichissant. Elle est souvent déclenchée par des messages sur des sites de médias sociaux. La FOMO reflète la crainte que des amis puissent vivre des expériences enrichissantes dont on ne fait pas partie. L’auteur décrit un parcours de développement de la FOMO à la démence. Il conclut en lançant un appel aux parents : il n’y a qu’un seul cerveau en croissance pour chaque enfant et il est sans pièces détachées. Le cerveau des enfants est malléable, fragile, vulnérable, étonnamment prometteur et d’une valeur indescriptible, mais il n’est pas sage. C’est pourquoi les parents doivent l’être. La devise de ma mère était : « Sors et joue ».

FOMO

Stress permanent

Dépendance aux médias numériques

Altération du cerveau

Démence

8 Comment l’engouement pour la numérisation contrôle le cerveau de l’enfant en classe

Un projet de recherche est en cours au Campus scientifique Leibniz de l’Université de Tübingen : Une interface cognitive pour améliorer l’enseignement : analyse de l’attention des élèves pendant les cours en classe. La mesure permanente de l’attention pendant les cours scolaires est effectuée à l’aide d’un bandeau EEG (bandeau Focus-Eden de la société Brain-Co) et d’une méthode d’oculométrie. Cela permet de suivre en temps réel les pensées et les émotions sur la base des ondes EEG et des fonctions oculaires (par exemple, les changements de pupille). Une LED connectée aux deux systèmes d’enregistrement indique en différentes couleurs l’attention présumée de chaque élève sur le bandeau et est transmise par radio à l’enseignant. Les niveaux d’attention suivants sont signalés par chaque élève : bleu : inattentif, détendu jaune : attentif rouge : très concentré Les données de la série chronologique de l’enregistrement sont stockées. Cela signifie que les enseignants peuvent également vérifier les niveaux d’attention après la leçon et, par exemple, documenter aux parents combien leur enfant est attentif et bien élevé ! L’objectif de ce contrôle des fonctions cérébrales est de stimuler les élèves pour qu’ils soient plus performants. Ce système de bandeau cérébral ne se contente pas de mesurer les pensées d’attention de chaque élève. L’attention de tous les élèves est mise en réseau et indique un niveau moyen de concentration pour l’ensemble de la classe. Les éducateurs peuvent immédiatement voir qui s’écarte de ce niveau moyen et poursuit ses propres pensées [Diagnose Funk 2020]. Ce contrôle de la pensée par l’EEG ne laisse pas d’espace libre pour un jeu de pensée individuel ou pour l’extinction reposante des pensées. La mise en veilleuse des pensées est une fonction importante de notre cerveau. Le neurologue français Charot a décrit ce phénomène en 1850 comme une transe quotidienne. Notre cerveau est en fait soumis à un mouvement de conscience de type « flood-ebb ». Après un haut niveau de concentration, une transe quotidienne (relaxation) se produit soudainement. Ce signal est également appelé « Mach doch eine Pause ». Si un élève a signalé le rouge et envoie soudainement du bleu pendant un moment, il s’agit d’une réaction normale du cerveau. Grâce à cette technique de renforcement de l’attention, le signal de « pause » est supprimé et le cerveau de l’enfant est mis en état d’éveil permanent et donc de stress permanent [Hecht 2020]. Sur la base des connaissances scientifiques, j’appelle à une éducation humaine par des éducateurs passionnés et non par le contrôle numérique des esprits. Mais ce n’est manifestement pas l’objectif des responsables de l’éducation obsédés par la numérisation, comme Susanne Eisenmann, ministre de l’éducation du Land de Bade-Wurtemberg, qui soutient manifestement ce projet de recherche de Tübingen. L’Alliance for Humane Education a conseillé aux enseignants et aux parents de s’opposer à cette manipulation mentale, qui viole les lois sur la protection des données. Ce remodelage numérique des élèves en classe s’apparente à un dressage et peut conditionner ces processus cérébraux de manière à bloquer la capacité des élèves à penser par eux-mêmes. En tant que neurophysiologiste connaissant bien l’EEG pendant l’éveil et le sommeil, j’ai des doutes quant à la fiabilité de ce système. Avec des élèves qui ont généralement envie de bouger, des artefacts peuvent se produire lors de l’enregistrement et conduire à une mauvaise analyse. En outre, je doute que la classification « détendu », « alerte », « très concentré » puisse être classée avec précision par le logiciel correspondant. L’analyse automatique de l’EEG à l’état de veille et de sommeil a parcouru un long et contradictoire chemin. L’enregistrement de l’EEG dans une unité de temps d’une leçon de 45 minutes comporte de nombreuses incertitudes. Le cerveau est encore aujourd’hui une boîte noire pour le neuroscientifique et encore plus pour un expert en numérisation. C’est pourquoi je ne considère pas que les divisions des niveaux d’attention de l’expérience de Tübingen soient réalistes. L’avis d’un ancien employé de BraiCo, la société qui fabrique le bandeau EEG. Un ancien employé de BrainCo avoue que les mesures de l’EEG sont extrêmement imprécises, que l’équipe chargée des algorithmes de BrainCo est une véritable pagaille et que la société n’est pas vraiment une entreprise technologique, mais qu’elle veut plutôt gagner de l’argent auprès des parents chinois. [Source : chinese-parents?id=dec10429e7f1a63f]

Figure 11 : Le bandeau FocusEdu de la société BrainCo, qui surveille l’attention des nageurs et des élèves pendant les cours [CC-by- SA/Dennis Blomeyer]

8.1 Conclusion

L’utilisation de l’EEG et de l’eye tracking dans les cours scolaires est une violation du droit de l’homme à une éducation humaine et à une santé holistique. Nous avons besoin de personnes capables de maîtriser les processus de pensée créatifs, de personnes qui abordent toujours la nouveauté dans leurs processus de pensée, de personnes capables de maîtriser les rêveries. En bref, nous avons donc besoin de personnes qui réfléchissent, et ces personnes doivent être développées dans les écoles. Penser est l’un des plus grands plaisirs de la race humaine [Bertolt Brecht] Les élèves devraient apprendre ce plaisir sans numérisation, comme un plaisir de la vie et à l’école, mais sans technologie, mais avec de bons éducateurs.

9 Elon Musk Neuralink

La figure 12 présente le fonctionnement du Neuralink sous forme de schéma simplifié. Les ondes radio vont du smartphone au Neuralink. Là, ils sont transformés de manière adaptative pour la fonction prévue et alimentent la fonction électrique du cerveau. De là, la réponse aux informations imposées a lieu et revient au smartphone. Les champs électromagnétiques faibles et athermiques établissent des connexions avec les cellules cérébrales entre le smartphone et l’implant via les cellules cérébrales bioélectriques et assurent un retour d’information. Avec cette interface cerveau-smartphone Neuralink, le cerveau et le smartphone ou l’ordinateur peuvent être connectés à l’infini et adaptés à l’intelligence artificielle. Il en résulte une dépendance humaine à cette technologie, comparable à la dépendance à la drogue ou à l’alcool. Vouloir mettre en œuvre ce système par Elon Musk à des fins médicales suscite également une grande inquiétude chez moi, car l’utilisateur n’a aucune connaissance médicale. Par exemple, si l’utilisateur devait utiliser ce système pour les maux de tête. Il peut faire plus de mal que de bien. La médecine connaît jusqu’à 150 causes de maux de tête. Aucun profane ne peut les juger. Aujourd’hui encore, la nomenclature diagnostique inclut les maux de tête causés par des médicaments. Le traitement des maux de tête à l’aide du smartphone Neuralink par l’utilisateur peut avoir des conséquences néfastes inimaginables pour le cerveau humain, qui sont irréparables.

Figure 12 : Représentation schématique simplifiée du fonctionnement du Neuralink développé par Elon Musk

10 La recherche médicale s’intéresse déjà à l’utilisation d’interfaces cerveau-ordinateur sur les patients

Il convient toutefois de mentionner qu’aujourd’hui la recherche médicale s’intéresse aux systèmes d’interface cerveau-ordinateur, que l’on appelle des supports BCI (BCI = Brain Computer Interfaces). Là encore, ce sont les patients atteints de la maladie de Parkinson et les épileptiques sur lesquels on tente de traiter la maladie avec la BCI. Selon un rapport de Larissa Holzki et Maike Telgheder publié dans le Handelsblatt, plus de 20 institutions et entreprises dans le monde se penchent sérieusement sur la BCI et voient un marché futur dans ce domaine. Le marché avec BCI est réputé avoir une dynamique de croissance élevée. Divers instituts de recherche s’attendent à ce que ce volume atteigne 3,7 à 3,9 milliards de dollars dans le monde d’ici à 2027, soit un triplement [Holzki et Telgheder 2020] 22.

Les neuroéthiciens qui traitent des ICB en tant que scientifiques expriment leurs préoccupations. Les BCI sont des interventions plus puissantes que les électrodes à aiguille utilisées dans les années 1960, qui n’ont pas permis une percée générale en tant que méthode thérapeutique. Aujourd’hui, il suffit de considérer que les systèmes BCI interviennent directement dans le processus de pensée humain et que les algorithmes de l’IA prennent des décisions à la place des gens, rendant imprévisible la paternité subjective de l’action. C’est là que la question d’une action peut se poser : C’est moi qui ai fait ça ou c’est mon implant ? [En outre, le système d’IA BCI ne peut exclure la possibilité de contrôler l’esprit et la pensée. La transmission de la pensée par les ondes radio n’est plus un problème. Personnellement, je ne me ferais jamais implanter un neuralink sous mon cuir chevelu et je mettrais en garde toute personne ayant cette intention contre les conséquences.

11 Brevets sur le contrôle mental et le transfert de pensée


US Patent, Nr. 4,877,027, Wayne B. Brunkan, 31.10.1969
US Patent, Nr. 6,017,302, Hendricus G. Loos, 25.01.2000
US Patent, Nr. 6,508,302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
US Patent, Nr. 6,508.302, Hendricus G. Loos, 14.01.2003
You can Patent That? Gary Stix, Scientific American, Juli 2003
US Patent, Nr. 5,123,562, Robert Monroe, 25.05.1993
US Patent, Nr. 5,356,368, Robert Monroe, 18.10.1994
Nachfolgend werden Auszüge eines Deutschen Patents zur Geda

Dans son livre [Michaeln Verlag, 2007], Nick Begich cite 27 brevets américains sur ce sujet. Quelques exemples comme sources de référence que chacun peut vérifier : Brevet américain, n° 4,877,027, Wayne B. Brunkan, Brevet américain, n° 6,017,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6,508,302, Hendricus G. Loos, Brevet américain, n° 6, , Hendricus G. Loos, Vous pouvez breveter cela ? Gary Stix, Scientific American, juillet 2003 Brevet américain, n° 5,123,562, Robert Monroe, Brevet américain, n° 5,356,368, Robert Monroe, Des extraits d’un brevet allemand sur le contrôle de l’esprit sont brièvement présentés ci-dessous.

Ce brevet montre que la transmission de la pensée par des champs d’ondes électromagnétiques est une réalité et en aucun cas un produit de la théorie du complot comme le prétendent les ignorants. Ce brevet allemand n’est pas non plus le produit d’un étranger ou d’un fou. Comme nous l’avons déjà mentionné, Nick Beglich, dans son livre Mind and Thought Control, cite 27 brevets américains traitant de l’influence des ondes radio électromagnétiques sur divers processus corporels, par exemple, l’ Influence des sentiments et des pensées.

11.1 Utilisation d’ondes radio électromagnétiques comme arme psychotrope

Extrait du rapport du Conseil consultatif scientifique de l’US Air Force [Source : Conseil consultatif scientifique de l’USAF, New World Vistas, 1996, p ] I

Il est concevable de développer des sources d’énergie électromagnétique qui sont tellement pulsées et façonnées et qui peuvent être utilisées sélectivement pour interagir avec le corps humain d’une manière qui permette d’inhiber les mouvements musculaires indépendants, de contrôler les émotions (et donc les actions), d’induire le sommeil, de transmettre des suggestions et d’influencer la mémoire à court et à long terme. En outre, ce rapport décrit : Il serait également possible de générer des conversations dans le corps humain, ce qui permettrait d’utiliser des messages secrets et des conseils psychologiques. Lorsqu’une puissante impulsion de micro-ondes de l’ordre du gigahertz frappe le corps humain, on observe une très légère augmentation de la température. Cela provoque une expansion soudaine du tissu légèrement chauffé. Ce 27

L’expansion est assez rapide pour générer une onde acoustique. Si un courant pulsé est utilisé, il devrait être possible de créer un champ acoustique interne de l’ordre de 5 à 15 gigahertz, que l’on peut entendre à travers celui-ci. De cette manière, il pourrait être possible de parler à des adversaires sélectionnés, ce qui serait extrêmement perturbant pour eux. [Ces armes psychologiques peuvent être utilisées pour provoquer des hallucinations, la maladie du sommeil, la peur, etc. Les techniques utilisées sont non seulement les ondes radio électromagnétiques, mais aussi les ultrasons et même les rayons X. Le major russe I. Chernishev a décrit dans le magazine militaire Orienteer [février 1997] comment les armes psychotropes sont développées dans le monde entier. Il a mentionné les types d’armes suivants :

– Un puissant générateur psychotronique qui produit une forte les radiations électromagnétiques qui peuvent être transmises par les lignes téléphoniques, les radios et les téléphones portables. les réseaux de télévision, les pipelines et les ampoules électriques. Par le biais deces signaux, ceux qui sont en contact avec elle peuvent être manipulés.

– Un générateur de signaux fonctionnant dans la bande 10-150 hertz, qui des vibrations infrasoniques qui sont destructives pour toutes les créatures vivantes lorsqu’il fonctionne dans la gamme des 10-20 hertz.

– Un générateur de système nerveux conçu pour paralyser le système nerveux central des insectes. système nerveux des insectes. Ce système est en cours raffiné pour avoir le même effet sur les humains.

– Des signaux ultrasoniques d’un type très particulier ont également été inventés. Avec les dispositifs peuvent soi-disant être utilisés pour effectuer des opérations sans effusion de sang sans laisser de trace sur la peau. Ils peuvent également être utilisés pour tuer.

– Les Japonais ont mis au point des cassettes contenant des subliminaux, grâce auxquels il est possible de superposer à la musique des modèles de stimuli, qui se situent dans la gamme des fréquences ultra-basses. Ces modèles sont repris par le l’esprit subconscient ». [cité dans Begich 2007]

Ces deux exemples devraient suffire à montrer les possibilités qui sont déjà pratiquées avec les ondes radio électromagnétiques. Mais toutes ces possibilités ne sont pas encore connues du public. Ces faits ne sont pas crus par la masse des gens et sont rejetés comme des théories de conspiration. Dans ce contexte, il convient de mentionner : Jim Keith, dans son livre Mind Control, cite Marshal McCluhan :

« Seuls les petits secrets doivent être protégés. Les grandes sont gardées secrètes par l’incrédulité du public. Les recherches psychologiques de ces dernières années ont montré que la plupart des gens croient davantage aux mensonges qu’aux vérités ».

Ce problème concernait également Wolfgang Johann Goethe : « Il faut toujours répéter le vrai, car l’erreur est aussi toujours prêchée autour de nous ; et pas seulement par des individus, mais par les masses. Dans les journaux et les encyclopédies, dans les écoles et les universités, l’erreur est partout en tête ! Et il est à l’aise dans le sentiment de la majorité qui est de son côté. »

[Johann Wolfgang Goethe ] C’est pour cela que j’ai écrit cet article, pour répéter la vérité.

12 Que sont les pensées ? Quel rôle jouent-ils dans la vie d’une personne ?

Les pensées sont des processus du cerveau humain qui surviennent en interaction avec des stimuli (informations) provenant de l’environnement global et avec certains stimuli physiques et mentaux d’une personnalité. Les pensées sont déclenchées pendant toutes les activités sensorielles, par exemple, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût, les sensations, les sentiments, les volitions et la douleur, la marche, la course, la natation et le cyclisme, le jardinage et le travail créatif, la télévision et l’utilisation d’un smartphone, les rêves diurnes et nocturnes et même pendant le sommeil, sauf dans le sommeil profond. Les pensées sont des pensées perpétuelles. On dit qu’un humain adulte en bonne santé produit jusqu’à pensées dans une journée de 24 heures. Les pensées sont stockées et s’expriment sous forme de souvenirs. Les pensées peuvent être utilisées pour parcourir le monde, pour entrer en contact avec des personnes éloignées. Les pensées sont la réaction humaine la plus rapide. La formation et le développement des pensées sont toujours liés au fonctionnement du cerveau et peuvent être contrôlés grâce aux fréquences des ondes cérébrales. Dans le cerveau, les pensées se fondent sur la construction et la destruction à court terme des réseaux de cellules nerveuses et se déroulent toujours sur la base de l’électricité cérébrale (ondes cérébrales de différentes fréquences). Une connexion de réseau de cellules nerveuses à court terme implique au moins plusieurs milliers de cellules nerveuses, sur les 100 millions de cellules nerveuses que compte le cerveau humain. Lorsque la musique retentit ou que les oiseaux gazouillent, les ondes sonores rencontrent les ondes électriques du cerveau en tant qu’informations (stimulus) et des réseaux de cellules nerveuses fonctionnelles se forment sélectivement et produisent des pensées agréables. Lorsqu’une personne regarde le soleil se lever, des ondes de lumière visible de quelques nanomètres atteignent les ondes cérébrales et forment sélectivement un réseau de cellules nerveuses à la base de pensées agréables et positives. De la même manière, les ondes électromagnétiques naturelles et artificielles non perceptibles peuvent également provoquer des réseaux de cellules nerveuses dans le cerveau et développer des pensées. Certaines fréquences, avec la configuration et l’amplitude correspondantes des ondes électromagnétiques, peuvent produire des réseaux de cellules nerveuses fonctionnels et des pensées correspondantes de cette manière ou modifier les fonctions des réseaux de cellules nerveuses naturels. Puisque chaque excitation (chaque sortie) de chaque cellule nerveuse est stockée, une mémoire se développe, qui se forme surtout lorsque les stimuli (informations) sont répétés. Les pensées sont conditionnées de cette manière. 29

13 Les pensées positives sont absolument nécessaires au développement de la personnalité – Les pensées négatives rendent les gens malades

La thèse contenue dans cette rubrique a été prouvée par de nombreuses études scientifiques. Les pensées positives favorisent la santé, le comportement, le bonheur, les performances et une longévité saine. Les pensées négatives vous rendent malade, malheureux, en colère, nuisent à votre santé et raccourcissent votre vie. Ils provoquent l’anxiété, la dépression et, comme le montre une étude de l’University College de Londres, la démence d’Alzheimer. 360 sujets âgés de 55 ans ou plus ont été interrogés pendant deux ans sur la manière dont ils gèrent les schémas de pensée négatifs tels que la peur de l’avenir ou le fait de ruminer le passé. Les chercheurs ont également examiné l’anxiété et la dépression chez les participants à l’étude. Pour l’analyse, la moitié des personnes ont subi des scanners cérébraux TEP (tomographie par émission de positons) afin de mesurer le dépôt de tau et d’amyloïde. Ces deux protéines sont responsables de la maladie d’Alzheimer, la démence la plus courante. Résultat : les pensées négatives sur une longue période sont un facteur de risque de démence. Elle peut limiter les capacités mentales et provoquer des dépôts de protéines dangereuses dans le cerveau. Les chercheurs anglais recommandent un entraînement mental quotidien, par exemple la méditation, comme mesure préventive pour générer des pensées positives.

14 Facteur perturbateur Carrousel de pensées à contenu négatif

Eugen Roth a glosé sur le carrousel de pensées comme suit : Deux choses deviennent troubles chez la personne malade : a) l’urine et b) les pensées. Et les pensées troubles de la personne malade tournent sans cesse comme un manège : Pourquoi suis-je malade ? Quelle est la gravité de ma maladie ? Vais-je survivre ou mourir ? Ma douleur va-t-elle diminuer ? Vais-je attraper une corona et mourir ? etc. Ce cercle de pensées renforce les processus pathologiques ou provoque une vulnérabilité aux infections. La médecine conventionnelle s’occupe généralement de l’urine trouble, mais pas ou rarement des pensées troubles de la personne malade. Même la personne malade ne sait pas que ce carrousel de pensées déclenche le stress, perturbe l’endormissement et inhibe le processus de guérison ou peut aggraver la maladie. Ils peuvent déclencher la volonté, qui a un effet sur les pensées négatives. Mais ils peuvent aussi être extrêmement gênants et bloquer des qualités telles que la sagesse, la sérénité et le calme qui peuvent nous être bien plus utiles. Lorsque le carrousel de pensées est en mouvement, les pensées se déroulent selon un schéma récurrent. Ils font référence soit à des expériences passées, soit à des événements futurs possibles. Ce qui est fatal pour beaucoup de gens, c’est qu’ils trouvent leur propre passé frustrant parce que certaines choses n’ont pas fonctionné comme ils le voulaient. Et l’avenir est si incertain. Quelque chose de mauvais pourrait arriver ou le passé insatisfaisant pourrait continuer. Il y a suffisamment de causes concevables d’anxiété, de peur et d’incertitude, et donc le seul véritable état de vie devient la présence de pensées désagréables contaminées par les informations négatives quotidiennes de la politique et des médias de masse. Des choses encore pires arrivent. Il en résulte un tournoiement mental, toujours autour du même problème. Dans les milieux professionnels, on appelle cela un carrousel de pensées. Figure 13 : Le carrousel de pensées (rumination) nous empêche de nous endormir et favorise un vieillissement rapide Les pensées consomment d’énormes quantités d’énergie. En particulier, les pensées négatives qui tirent constamment la sonnette d’alarme mettent à mal l’ensemble de notre équilibre énergétique. L’épuisement suit. Le carrousel de pensées d’une personne est la principale cause de ses difficultés à s’endormir. Des millions de personnes en souffrent aujourd’hui. Ils se stressent avec le carrousel des pensées et inhibent la production de mélanine. Le stress créé par le carrousel de pensées augmente la pression sanguine et le rythme cardiaque et diminue les performances mentales et la relaxation. Mais surtout, le système immunitaire est affaibli et la susceptibilité aux infections est considérablement accrue. Le manège mental des pensées négatives ne peut être stoppé que par un entraînement mental. De mon point de vue, il s’agit de la méditation, de la visualisation, de l’imagination et de la thérapie de l’anxiété (car la peur, l’inquiétude et l’impuissance se trouvent généralement dans le cercle des pensées). J’insiste sur ce point car, depuis des mois, la peur et l’impuissance sont présentes en permanence chez une grande partie de la population à travers les informations corona de tous les médias et des politiciens, notamment des gouvernements. Or, la peur et l’impuissance sont des noxae, c’est-à-dire des agents pathogènes, car elles reposent sur des pensées négatives, qui peuvent aussi déclencher la démence d’Alzheimer.

15 La peur peut tuer la personne [Lipton 2007 ; Benson 1997]

La peur place la personne dans l état permanent dans lequel se trouve un sprinter en position de départ. À vos marques, prêts, partez. Chez le sprinter, la préparation à l’action se transforme en activation avec le départ, qui est synonyme de détente. Les personnes en état d’anxiété permanente se tiennent constamment prêtes à l’action, mais ne la transforment pas en activation, ce qui entraîne un état de tension permanent. En conséquence, le corps entier est inondé d’hormones de stress (cortisol, endorphines), qui exercent des effets néfastes [Lipton 2007].

Discours de Robert Kennedy Jr 29.08.2020 lors de l’une des plus grandes manifestations jamais vues à Belin (2 millions de personnes). Extrait sur la peur comme moyen de pouvoir pour ceux qui sont au pouvoir :

Ils inventent des chiffres. Ils ne peuvent pas vous dire quel est le taux de mortalité pour le COVID comme référence. Ils ne peuvent pas nous donner un test PCR qui fonctionne vraiment. Ils doivent sans cesse changer la définition du COVID pour le rendre de plus en plus dangereux. La seule chose à laquelle ils sont bons est de gonfler la peur. Il y a soixante-quinze ans, Hermann Göring a été interrogé au procès de Nuremberg : « Comment avez-vous fait pour que le peuple allemand accepte tout cela ? Il a dit : « C’est une chose simple. Cela n’a absolument rien à voir avec le nazisme. C’est lié à la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, vous pouvez le faire dans un régime socialiste, vous pouvez le faire dans un régime communiste, vous pouvez le faire dans une monarchie, vous pouvez le faire dans une démocratie. La seule chose dont le gouvernement a besoin pour rendre les gens esclaves est la peur. Et si tu trouves quelque chose pour leur faire peur, tu peux leur faire faire tout ce que tu veux.

16 Mes observations sur la peur parmi les groupes à risque de Corona

Selon mes informations et mes connaissances, la peur est particulièrement répandue parmi les groupes à risque de Corona tels que les personnes âgées (notamment les personnes seules) et les personnes pré-exposées aux maladies par les informations médiatiques de Corona dans le monde entier. En même temps, l’impuissance y est associée. Cela est principalement dû au fait que les médias montrent qu’il n’existe toujours pas de médicament ou de vaccin contre les infections à coronavirus.

17 L’impuissance est un facteur de stress qui provoque la maladie

L’impuissance est l’état d’une personne dans lequel elle ne peut plus agir volontairement, mais se trouve complètement démunie face à une situation qu’elle ne peut pas changer et qui échappe à son contrôle. Sur une plus longue période, cela se traduit par une dépression, des tableaux cliniques psychosomatiques, le dysstress et enfin les maladies oncologiques, voire la mort dans les cas extrêmes.

Schubert et Schüssler [2003] soutiennent, d’un point de vue neuropsychologique immunitaire, que les sentiments subjectifs d’impuissance et de désespoir, par exemple, sont conditionnés et ne favorisent pas seulement le développement des cellules tumorales et la progression des tumeurs, mais qu’ils peuvent également déclencher et intensifier la croissance tumorale de manière secondaire par le biais des effets neuronaux des substances messagères libérées à la périphérie [Schmale et Iker 1966, 1971 ; Dantzer et Kelley 1989 ; Murr et al. 2000].

Halberstadt et al. [1984] et Bovi et Reinhard [1988] décrivent les liens entre le sentiment d’impuissance, le désespoir et la dépression. Schwarzer et Waschberger [1985] font état de relations entre l’impuissance, le stress et l’anxiété.

La pensée négative, les pensées négatives (notamment le carrousel de pensées), l’anxiété et l’impuissance sont bien plus nuisibles à la santé des gens que le coronavirus, qui n’est en aucun cas plus dangereux qu’un virus de la grippe. C’est le résultat de véritables découvertes scientifiques, qui sont malheureusement cachées aux masses. Les psychotropes sont souvent prescrits pour traiter l’anxiété, mais ils détruisent également le cerveau et la conscience [Hobson 2010].

Dans ce contexte, je tiens à souligner que les personnes atteintes d’électrohypersensibilité souffrent aussi gravement de la pression de l’impuissance, de la peur et du carrousel de pensées négatives. Mais les puissants de la politique l’ignorent ! !!

18 Les pensées ne sont plus libres ? La belle chanson Les pensées sont libres ! Qui peut les deviner ? Ils passent comme des ombres nocturnes. Aucun homme ne peut les connaître, aucun chasseur ne peut les tirer. Cela reste vrai : les pensées sont libres. Ce que j’aime moi-même encore chanter aujourd’hui est malheureusement devenu une illusion. À l’échelle mondiale et en permanence, les pensées des gens sont mises à feu à notre époque : par les ondes radio électromagnétiques qui rendent les gens malades (EHS) et les pensées qui affluent dans la conscience, par les informations négatives dominantes des médias de masse, par les implants cérébraux planifiés selon Elon Musk, par les fausses informations sur l’infection corona, qui ont également été cadencées dans le concept de dictature numérique. Tout cela sert la dictature totalitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui, sans pensée libre. Plus encore, les humains sont de plus en plus soumis à la technologie, comme le décrit Armin Grünwald dans son livre. Nous devons arrêter ce processus inhumain. Il est grand temps que nous le fassions !

19 L’humanité d’abord et seulement ensuite les machines

Avec chaque enthousiasme pour la technologie, l’homme se soumet à cette technologie, qui le prive même de la liberté de penser. Les citations suivantes de personnes qui ont reconnu cette évolution depuis longtemps devraient donner à chacun matière à réflexion, dans la mesure où leurs processus de pensée ne sont pas encore complètement bloqués par la folie de la numérisation. Savez-vous que Charlie Chaplin a non seulement condamné de manière militante la dictature d’Hitler, mais qu’il a également critiqué la dictature de la technologie ? Dans son film de 1940, Le Grand Dictateur, il dénonce la dictature de la simple technique dans son discours de clôture comme suit :

Nous avons développé la vitesse, mais intérieurement, nous sommes restés immobiles. Nous laissons les machines travailler pour nous, et elles pensent aussi pour nous. L’intelligence nous a rendus arrogants et notre savoir froid et dur, nous parlons trop et ressentons trop peu, mais d’abord l’humanité et ensuite les machines !

Et le célèbre écrivain Karl May, connu pour ses livres sur l’Inde, a élevé la voix comme suit :

Mais j’accuse l’humanité entière, qui se dit civilisée, de ne pas vouloir savoir aujourd’hui, malgré toutes les religions et malgré huit mille ans d’histoire du monde, que cette civilisation n’est rien d’autre que de la terreur ! Dans ses conférences, le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1877-1961) mettait toujours en garde contre la civilisation et l’urbanisation et affirmait qu’en conséquence, l’homme perdait son instinct naturel, ce qui entraînait des maladies mentales. L’idéologie de la numérisation est l’excroissance dictatoriale de la civilisation [Hensinger 2017]. Elle prive les gens non seulement de leur liberté de pensée, mais aussi de leur humanité. Conclusion : Chers amis, retournez à la nature !