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Transhumanisme

Rentée 2017

Quelques articles intéressants :

Un article de Lez avec un passage traduit de Military Neuroscience and the Coming Age of Neurowarefare  de Armin Krishnan.

Un article de

Mais aussi La Stimulation Elecrique du Cerveau Extraits du livre intitulé « Physical Control of the Mind» La Stimulation Electrique du CerveauVers une société psycho-civilisée Jose M. Delgado. Le sinistre Delgado dont on poursuit en France à Clinatec les travaux dignes de J. Mengele .

 

En avant goût un extrait qui sera très parlant à tous ceux qui balayent ce sujet de la main dés qu’ils y sont confrontés, on comprend aisément que c’est dérangeant de réfléchir à cela et surtout aux dérives potentielles. En effet on ne nous présente souvent que les applications thérapeutiques ou médicales et jamais le coté obscure…

Sous le capuchon chacune des patientes porte un stimoceiver utilisé pour stimuler le cerveau par radio et pour transmettre les signaux d’activité électrique du cerveau
Oui oui ça existe depuis plus d’un demi siècle, imagine ceci maintenant dans une société des télécommunications satellitaires…
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Armes electroniques

Implantation de citoyens Polonais, ignorant l’existence d’un tel dispositif

Traduction de l’article de stopzet http://stopzet.org/2016/09/10/implantowanie-nieswiadomych-obywateli/

Ce n’est pas compréhensible à 100%, ne comprenant pas du tout cette langue, mais il  y a plein de choses intéressantes malgré tout.

Il y a beaucoup d’informations sur l’implantation humaine illégale, presque toutes concernent des pays occidentaux en pleine croissance. Mais ils reçoivent de nombreux signaux de personnes qui soupçonnent que des implants ont été injectés en Pologne.

IMPLANTS

Nous avons publié il y a quelque temps les photos que nous avons reçues de votre part du nord de la Pologne. Il était convaincu qu’il avait été implanté dans le microphone d’écoute EEG, et il a donné une fréquence spécifique qui appartient à l’un des principaux opérateurs de téléphonie mobile en Pologne. Selon lui, cela s’est produit il y a une dizaine d’années, il a vu un dentiste dans son appartement privé et il a ensuite perdu conscience. Plus tôt, le même jour, il traitait ses dents avec cette personne. Tout l’événement s’est accompagné d’un état d’hypnose, ou d’un état similaire, probablement causé par une sorte d’appareil portable émettant un rayonnement précis, destiné à un être humain, cause en lui une très forte fatigue, somnolence et même anesthésie. Après tout l’événement, on a dit que l’ORL était sans méfiance, finalement vous avez décidé d’acheter un appareil photo otoscopique et les photos qu’il a réussi à prendre montrent clairement…. Chers lecteurs, tirez vous-même des conclusions.

L’implant est collé sur la peau par le tympan, une photo prise par un individu avec un implant.

Je pense que l’implant a été mal placé parce que sa forme est une preuve de la méthode d’insertion sous la peau au moyen d’une aiguille. Si aucune erreur n’avait été commise et qu’on supposait qu’il était sous la peau, alors nous n’aurions pas eu l’occasion de regarder sa construction sur une photo couleur, donc nous apprécions beaucoup de telles découvertes et nous espérons que la plupart des lecteurs partagent cette opinion, car il pourrait bientôt s’avérer que des milliers d’autres personnes pourraient être secrètement implantées dans le but de désintégrer leur personnalité et causer divers symptômes de maladie mentale, et d’autres inhumains de la recherche scientifique, les opérations de services spéciaux Si nous n’avions pas été courageux et audacieux comme le réalisateur, nous n’aurions peut-être pas été convaincus de cela depuis longtemps. Cependant, à cause de l’erreur d’une personne qui a fait un implant illégal, l’implant était SUR JAMAIS, dans le conduit auditif, juste à côté du tympan.

Dr Jerzy Kulig, lors d’un discours à la télévision polonaise sur l’implantation de nouveau-nés. http://halopolonia.tvp.pl/25221243/05052016-chipowanie-noworodkow dit que les implants injectés sous la peau sont recouverts d’un adhésif en polypropylène, qui est censé les empêcher de se déplacer sous la peau. L’implant que nous voyons sur la photo ci-dessus a donc très probablement été collé sur la peau.

Récemment, nous avons récemment vu d’autres photos intéressantes, cette fois-ci la Résonance Magnétique (les deux premières photos ci-dessous contrastent avec le contraste). Les implants découverts sur eux sont également localisés dans les oreilles, devant le tympan. Veuillez tenir compte de l’angle de pose identique chez les deux personnes, ceci peut indiquer la procédure de pose de ces implants, la formation des personnes qui le font.

M. D. Oreille droite et gauche de l’IRM avec contraste, résultats avec description reçus seulement 15 minutes après l’examen.

Mr K. – oreille droite

Veuillez noter où sur la photo suivante il y a un marteau, une enclume, un cylindre et une vis.

Le film montre les endroits mentionnés ci-dessus dans l’ordre suivant à partir du côté de l’écouteur

Puce RFID -> tambour avec marteau et enclume -> vis

https://youtu.be/QcViv3MIRsU

Ce que l’on peut dire à propos de ces implants, en plus d’être utilisé pour la télémétrie à distance, la lecture de l’EEG (bral) et à l’aide d’un ordinateur qui cartographie notre EEG et non le nôtre, il est possible d’appliquer diverses ondes cérébrales sur le cortex cérébral, de visualiser et d’afficher des mémoires, des pensées intrusives, et il est également possible de placer des images à travers les soi-disant « ondes cérébrales ».

Des informations sur le projet de « modem » cortical sont apparues dans le magazine transhumanistic Humanity Plus, qui indique que l’agence gouvernementale travaille sur une puce de l’interface neuronale directe (DNI), qui peut être utilisée pour le développement de la fonction humaine et les réparations motrices et fonctionnelles.

Phillip Alvelda, directeur de la technologie de la biologie à la Biology Is Technology Conference de la semaine dernière dans la Silicon Valley, a déclaré que le projet avait pour objectif à court terme de construire un appareil d’une valeur de 10 $ avec une taille de deux pièces de cinq cents qui peut livrer des images sans avoir besoin de lunettes ou d’une technologie similaire.

Source: PrisonPlanet. pl

PETER ROTHMAN:

Premièrement, cette technologie pourrait redonner les sens à ceux qui ne peuvent pas être guéris pour le moment. Deuxièmement, ce matériel pourrait remplacer n’importe quel affichage de la réalité virtuelle ou élargie. En bloquant le système visuel, nous pouvons ainsi afficher des images à l’intérieur du cortex visuel, recouvrant le monde réel d’une image virtuelle. De plus, l’optogénétique permet à la fois la lecture et l’enregistrement des informations. On peut imaginer un appareil dans lequel les objets virtuels sont fortement intégrés au monde réel. Le modem cortical fonctionnel permettrait même la télépathie électronique et la télékinésie. Il s’agit d’une véritable version des interfaces connues des ouvrages de science-fiction d’auteurs tels que Willaim Gibson ou Ramez Naam.

Comme si cela ne suffisait pas, une telle puce peut être utilisée pour effacer électroniquement la mémoire et les voix internes envoyées par transmission radio (sous-seuil), donnant des ordres auxquels on ne peut résister.

Les chercheurs Walter Bowart, Martin Cannon et d’autres ont découvert une méthode psycho-électrique qui pourrait jouer un rôle très important dans les opérations secrètes. Il semble que les scientifiques de la CIA ont mis au point le contrôle intracérébral radio-hypnotique (RHIC-EDOM – Radio Hypnotic Intracerebral Control – Electronic Dissolution of Memory erase).

Ces techniques peuvent induire des états de transe hypnotique, suggérer des commandes ou effacer complètement la mémoire à distance. RHIC nécessite un implant musculaire interne qui est stimulé de telle sorte qu’il active les ordres post mortem

L’EDOM consiste en une perturbation de la transmission synaptique dans certaines régions du cerveau, telle que décrite au chapitre 1. Cette méthode peut être utilisée pour évoquer des trous de temps qui se produisent pendant les enlèvements d’OVNI ou pour effacer des souvenirs d’un événement spécifique.

Le RHIC de la personne testée est utilisé pour implanter un récepteur radio électronique miniaturisé, qui est une procédure qui peut être lue dans les documents COM-12: »L’implantation est réalisée par des forces spéciales spécialement formées et formées. Le traitement implique l’implantation d’un émetteur miniaturisé à l’endroit approprié, tel que des lattes frontales ou temporelles d’objets de test.

Si l’on considère que le Dr Jose Delgado a déjà expérimenté les implants à la fin des années 1950 et au début des années 1960 et qu’il est décrit au chapitre 2 du Stimoceiver, il est raisonnable de supposer que cette technologie a été améliorée et développée au cours des 37 dernières années. Plus loin dans les documents, on peut lire: »L’appareil agit comme un stimulateur pour stimuler les muscles, les nerfs ou les fréquences des ondes cérébrales. Lorsque le signal est reçu, il déclenche la réponse attendue. Le récepteur génère des impulsions sensorielles qui sont reçues par différents nerfs. Les récepteurs servent de base cognitive.

Dès que l’objet à tester est déplacé, l’implant peut être stimulé à distance. De cette façon, une personne peut développer des réflexes conditionnels semblables aux chiens de Paw? ów. Expériences menées par le Dr. Delgado et d’autres scientifiques prouvent que la stimulation électrique peut être utilisée pour évoquer la lévitation, des visions colorées et des émotions diverses.

Le Dr Robert Duncan a écrit le Dr Robert Duncan au sujet du CIRS et de l’EDOM et d’autres programmes, techniques et technologies dans l’un de ses livres, qui doivent être achetés sur amazon

En ce qui concerne les implants et plus encore, le Dr Barrie Trower, qui sert dans l’armée depuis les années 1960, où il se spécialise dans les micro-ondes depuis environ 40 ans, parle très précisément des implants et plus encore. Pendant 8 minutes et 26 secondes, il a parlé du début de l’implantation de microprocesseurs au Royaume-Uni, des raisons pour lesquelles ils ont soudainement cessé d’exister, des types d’implants qui ont été soudainement abandonnés, de ce qui aurait déjà pu être manipulé dans des organismes humains avec leur aide. Quelle est la question des voix envoyées à la tête, quelle est elle (une des techniques utilisées pour stimuler la cochlée dans l’oreille interne), quels types de voix peuvent être envoyées sans fil vers la tête . https://youtu.be/xjyxmrXQ10o?t=8m25s

L’introduction de boyaux biotechnologiques à l’intérieur du corps peut être considérée comme une curiosité et une introduction effrayante et audacieuse de changements dans nos organismes à notre insu et sans notre consentement. Nous avons pu voir cette technologie lors du discours de Kieron Lee Perrin. La présentation a été enregistrée lors de la deuxième Conférence du Projet Terre, qui a eu lieu le 23 avril 2016 au Club littéraire de Varsovie.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg

De 8 minutes à 53 secondes d’une minute, Kieron discute de ces câbles dans la région de la hanche. Il se trouve que par hasard, j’ai trouvé une photo d’un jeune Polonais, où j’ai probablement remarqué ces fils, mais j’ai dû retirer la photo à la demande de cette personne. Je dois avouer que j’ai été choqué par cette découverte, je ne m’attendrais jamais à ce que de telles choses soient également faites en Pologne.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg?t=8m58s

En résumé, l’IRM, sans contraste, est capable de démontrer que des implants sont placés dans les canaux auditifs. Je vous recommande de faire un test BEZ de contraste.

Les implants ont des composants en cuivre, ce qui signifie qu’ils ne doivent pas réagir avec un champ magnétique fort pendant l’IRM, et les personnes qui ont pris les photos ci-dessus ne sont pas capables de bien faire malgré les implants sur le test. Cependant, tous les autres objets métalliques, surtout s’il s’agit d’acier, doivent être déclarés avant l’examen.

Il est très important que vous ne suggériez pas un médecin, un radiologue qui « n’ a rien détecté » parce que toutes les personnes mentionnées dans les photos avaient aussi une telle opinion. Nous vous recommandons de chercher des photos vous-même, maintenant vous savez ce qu’il faut chercher.

Si quelqu’un avait des photos similaires, nous serions très intéressés à envoyer des captures d’écran anonymes à kontakt@stopzet.org

Si vous avez un sondage mais que vous ne pouvez pas le voir sur votre ordinateur, veuillez communiquer avec nous au 789_38_26_28 ou appelez-nous au 789_38_26_28.

pisał Krzysztof Damian

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Transhumanisme

Des scientifiques sont parvenus à pirater un cerveau à distance et à contrôler les mouvements du corps

Imaginez quelqu’un qui contrôle à distance votre cerveau, forçant l’organe de traitement central de votre corps à envoyer des messages à vos muscles que vous n’avez pas autorisé. C’est une pensée incroyablement effrayante, mais les scientifiques ont réussi à accomplir ce cauchemar de science-fiction de façon tout à fait réelle, mais à une échelle très réduite, et ils ont même pu inciter leur sujet d’essai à courir, à se rester figer ou même à perdre complètement le contrôle de leur Membres. Heureusement, la recherche sera utilisée pour le bien plutôt que pour le mal … pour l’instant.
L’effort, dirigé par le professeur de physique Arnd Pralle, Ph.D., de l’Université du Buffalo College of Arts and Sciences, s’est concentré sur une technique appelée «stimulation magnéto-thermique». Ce n’est pas exactement un processus simple: cela nécessite l’implantation de brins d’ADN spécialement construit pour cela et des nanoparticules qui se rattachent à des neurones spécifiques – mais une fois la procédure peu invasive terminée, le cerveau peut être commandé à distance via un champ magnétique alternatif. Lorsque ces entrées magnétiques sont appliquées, les particules se réchauffent, provoquant le déclenchement des neurones.
L’étude, qui a été publiée dans la plus récente édition de la revue eLife , comprend des expériences sur les souris. À l’aide de la nouvelle technique, les chercheurs ont pu contrôler le mouvement des animaux, les faire rester immobiles, figer leurs membres, se retourner ou même courir.

 

En dépit du fait que cela a seulement être testé sur des souris, la recherche pourrait avoir des implications profondes dans le domaine de la recherche sur le cerveau. Le Saint-Graal pour les rêveurs comme Elon Musk, c’est que nous serons un jour capable d’améliorer notre cerveau pour éliminer les troubles de l’humeur et nous faire des créatures plus parfaites. Cette recherche révolutionnaire pourrait très bien constituer une étape importante vers cet avenir.

 

Source: BGR

Traduction: Fawkes News

Ti = cobayes gratuits pour le futur que nous construisent nos élites. Les autres dormez tranquilles, nous ne sommes que de pauvres fous qui entendons des voix…
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General

WikiLeaks‏ : Sonic “Attacks” on US Diplomats in Cuba

 

 

https://archive.fo/dTXsj#selection-6139.0-6139.66

 

Reports of “health attacks” in Cuba which left several American and Canadian diplomats with health problems and hearing loss has led to wide and dramatic speculation.  Several stories have hyped possible “acoustic attacks” that may be related to weapons used by police for riot control, or even weapons developed by the U.S. Navy.  The Associated Press reported that “after months of investigation, U.S. officials concluded that the diplomats had been attacked with an advanced sonic weapon that operated outside the range of audible sound and had been deployed either inside or outside their residences…”  Florida Senator Marco Rubio issued a statement condemning what he concluded was a blatant and intentional attack.  According to Rubio, the Cuban government has been harassing U.S. personnel for decades and, “this has not stopped with President Obama’s appeasement.  Personal harm to U.S. officials shows the extent the Castro regime will go and clearly violates international norms.”  Scary indeed.
There has been no shortage of theories as to the reasons for the attacks, some speculating that it was payback against specific individuals, a possible operation by third parties (the Russians?) to drive a wedge between the U.S. and Cuba, or a means by Cuba to send some sort of message to Washington.
If so, the message is mighty garbled.  No report has provided anything definitive as to what happened, and how.  To date, the State Department has remained relatively mum, only commenting that the administration has an “active investigation” to determine the source of the health problems, many of which resemble concussions.  The affected U.S. diplomats have returned home from Havana. In May, the State Department asked two Cuban diplomats to leave Washington though did not publicly announce this expulsion at the time and has since specifically declined to call it an act of reciprocity.
While I have not served in Cuba, my experience in a number of similar hostile, high counterintelligence threat countries suggests that this is more likely a surveillance effort gone wrong, than the use of an offensive sonic weapon.  We have very little experience anywhere in the world with directed attacks designed to physically harm to our diplomats.  However, the use of intrusive technical collection and surveillance which sometimes causes harm in its own right, is consistent with past practice in Cuba and elsewhere.
Why don’t I believe this was an attack intended to harm diplomats?
First, I don’t think the timing or diplomatic atmosphere accords with such hostile action by the Cuban government.  U.S. and Canadian diplomats reported their symptoms in the fall of 2016.  At that time, the Obama Administration had relaxed diplomatic relations with Cuba, and Obama was the first U.S. President to visit the island only months before.  During the early to mid-fall, most observers assumed that Hillary Clinton would win the Presidential election and continue the warming of relations with Cuba.  If the operations began shortly after the US presidential elections, it would have been irrational for Cuba to start out relations with the incoming administration in this manner.  Further, I suspect if the Trump Administration believed Cuba sought to purposely harm U.S. diplomats, they would have reacted in a more aggressive and public manner.  Indeed, the Cubans who were asked to leave the U.S. were not kicked out “persona non grata” as is usually the case when countries have on-the-ground diplomatic or espionage disagreements.  Conspicuously, the two Cuban diplomats were not prohibited from ever returning to the U.S., and the door was left for them to return depending on the outcome of the FBI/State investigation.
Finally, and more significantly, we have seen too many similar technical “attacks” around the world which caused unintended harm. These efforts, while designed to further surveillance and eavesdropping and not to cause malicious damage, nevertheless risked or resulted in residual physical harm to U.S. diplomats.
During my time overseas, I have had personal experience with several of these “attacks.”  In the 1980s and 1990s, the Soviet and then Russian intelligence services deployed doses of nitrophenyl pentaden (NPPD) against American diplomats whom they suspected of managing espionage operations against Russian interests.  This so-called “spy dust” was an invisible electromagnetic powder with a customized chemical identifier.  It was smeared onto door handles, furniture and cars of suspected American spy handlers.  It was a tagging agent used by Russian security elements to covertly monitor their own community by revealing unreported (and potentially espionage related) contacts between Russian and American officials.  It was somewhat ingenious. After deploying the invisible material on a suspected U.S. intelligence officer, Russian counter-intelligence would snoop after-hours through the offices of Russian government employees looking for traces of the material.  Discovery of the powder in the office of someone who had not reported contact with the American provided significant proof of suspicious activity.
What was not ingenious, however, were the threats to human health. There were concerns at the time that the material was carcinogenic and could be harmful to American diplomats.  Following studies, the United States determined there was no specific evidence of a threat to the U.S. diplomatic community since it was only used against a handful of people.  As someone who was “dusted,” that explanation didn’t really make me feel much better.  However, the substance was at least a step up from earlier Russian tracking devices like radioactive nails hammered into the tires of U.S. diplomatic vehicles, allowing Russian surveillance vehicles to hang back unseen and follow along by using special equipment to track targets’ tire residue.
The Russian security services were also known to flood the U.S. embassy in Moscow with electromagnetic radiation.  They would beam concentrated microwaves and electronic pulses at the Embassy in an attempt to eavesdrop on U.S. typewriters and conversations.  In the 1970s, a U.S. Ambassador contracted and died of a blood disease that many assumed to be a result of the attacks.  The State Department detected high levels of radiation in the embassy staff, and provided hazard pay to personnel who worked in Moscow.  A variety of electronic attacks continued over the years to include mobile Russian vans that acted as a giant x-ray that could be directed at diplomats all over town.  In a similar fashion, high frequency devices can be used to pulse other devices, perhaps turning on or off collection devices in homes or offices.
Similarly, the Russian security services undertook a massive effort to bug the new embassy building in Moscow with all sorts of technical gear, some of which could potentially affect the health of Americans.  Indeed, the new embassy construction was even abandoned in 1985 due to the sheer volume and sophistication of electronic eavesdropping equipment that was found throughout the walls, concrete floors and underground.  A second attempt to improve the security of the building also faltered when the United States found an equally aggressive and sophisticated attack, which included building listening devices directly into the steel beams holding the building upright.  Even the sidewalks and streets throughout the neighborhood were embedded with electronic collection gear which was designed to turn the embassy building into a giant antenna.  The United States lost hundreds of millions of dollars trying to fix the problems, and eventually tore off the top several floors of the Embassy and rebuilt it with specially imported materials put together by American-only labor – an effort the U.S. called the “Top Hat” solution.  The decades-long process displayed the remarkable expertise of the Russians in the use of technical sensors and surveillance gear.  Russian technology was consistently underestimated by the U.S.  and often our best scientists had difficulty understanding what the Russians were up to.
On the U.S. side, the FBI has also deployed sophisticated tracking efforts to monitor foreign spies.  During the waning days of the Cold War, the FBI deployed sophisticated monitoring gear on bridges and highways around Washington to track Russian spies.
The arrest of FBI Special Agent Robert Hanssen also uncovered an elaborate effort by the FBI and NSA to tunnel under the Russian embassy in Washington and place surveillance gear, bugs, and receivers in an effort to attack the embassy’s telecommunication gear.  The U.S. team employed cutting edge technology including directing laser beams through the steel support columns to pick up electronic emanations, and aiming energy beams at the embassy windows to “read” the vibrations in the glass and pick up conversation.  A less high-tech component of the attack reportedly included using a dwarf to scale inside the embassy wall and emplace listening devices.
Given this historical practice, I suspect what happened in Havana was unfortunate but probably a collection/counterintelligence attack gone wrong rather than a directed attack intended to hurt diplomats. As Senator Rubio correctly pointed out, the Cuban government has long harassed U.S. representatives, and engaged in intrusive tracking of our representatives in Havana. However, we have never seen them try to do serious harm to our diplomats perhaps for fear that we could do the same).  Deployment of a weapon across these different times and locations by a third party is possible but highly unlikely without the direct assistance of the Cuban government.  If Cuba or another country was hoping to use a dangerous and sophisticated attack to achieve some goal or send a message, it doesn’t sound like the message was received either. Usually the simplest explanation is the most likely.  Either way, the Cuban government has an obligation under existing treaties to protect foreign diplomats, and harmful effects, whether they result from surveillance or not, should be condemned.
There is also another lesson here. Our diplomats overseas often work in difficult places, sometimes facing harassment, surveillance and other challenges.  That is why President Donald Trump’s thoughtless comments about our diplomats (and by extension their families) in Moscow go over so poorly with our public servants around the world.  Despite the obvious hardships of being away from the United States in difficult environments, there are often hidden or untold challenges which potentially include being monitored day and night and serious health risks from invisible corners.
The story emerging out of Cuba is simply not as bizarre as it might seem at first blush. It is unfortunately all too familiar to those who serve our country in hostile and risky environments.
Photo Credit: Marcos Radicella/Getty Images
[Editor’s note: This essay was originally published at 6:20AM on Aug. 21, 2017 without modification since.]
Tags: counterintelligence, Cuba, Diplomacy, Russia

 

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Pont-Saint-Esprit (1951) : un village empoisonné par la CIA

Pas facile d’être crédible avec les symptômes d’une pathologie psychologique induite.( principe de déniabilité- facile de nier)

Mais ceci est un début pour attirer l’attention sur le fait que les pires atrocités sont commises sur les populations. Pas qu’ aux USA, le phénomène TI est mondial.

Cette vidéo ahurissante prouve encore une fois le complot de manière aveuglante. Après avoir vu ce documentaire tout ce qu’il y a de plus officiel, diffusé sur France 3 cette semaine, produit en 2015, vous apprendrez que : les USA (CIA et armée) ont tué leurs concitoyens en les utilisant comme cobayes. Ils les ont irradiés, hypnotisés et drogués pour les transformer en tueurs professionnels, ils parlent du projet MK-Ultra, de l’épandage de LSD et autres drogues dans le ciel, de la libération de virus dans le métro… et bien d’autres horreurs inavouables qui sont pourtant déclassifiées et que l’on trouve dans les archives officielles US (trépanations, électrochocs monstrueux qui ont rendu folles les victimes,…) !!! L’histoire de Pont-Saint-Esprit n’est rien à côté de ce qu’ils ont fait à leur propre peuple. On imagine qu’ils ont testé des milliers de choses du même acabit sur les peuples des pays qu’ils ont bombardés et colonisés depuis un siècle.

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Pologne : puces implantées, permis délivrés…

Le policier confirme: « Les puces sont bien implantées, les permis sont délivrés par les plus hautes autorités et nous ne pouvons rien faire pour arrêter cela »

SOURCE http://peacepink.ning.com/group/francophone/forum/topics/le-policier-confirme-les-puces-sont-bien-implant-es-les-permis

Je recopie ici parce que le 1er § résume bien de quoi il s’agit et ce que les TI vivent.

Traduction de l’article se trouvant en dessous de la video sur le site de STOPZET

http://stopzet.org/2017/03/11/policjant-czipy-sa-wlaczone-zezwoleni…

Le policier confirme: « Les puces sont bien implantées, les permis sont délivrés par les plus hautes autorités et nous ne pouvons rien faire pour arrêter cela »

La conversation entre Mme Agata et l’agent de police en service montre que de telles activités sont susceptibles d’avoir lieu avec la permission et l’aval des plus hautes autorités de l’État. Surveillant les pensées de citoyens sans leur consentement, les torturant et les harcelant à distance, parlant dans la tête des victimes au moyen de voix hypnotiques, etc…, c’est-à-dire par l’induction artificielle des symptômes de la schizophrénie paranoïaque. Le pire de tout, c’est que les personnes en bonne santé soumis à ces tortures 24h/7j/365jours sont le plus souvent diagnostiquées et traitées psychiatriquement, détruisant leur vie, leur santé, leur famille. Mais ce qui est le plus irritant, c’est que le ministre Macierewicz ne soit pas au courant au sujet de telles actions, résumant: « Il y a des centaines de victimes et je vous assure qu’il n’y a pas d’autorisations de la sorte et qu’il n’est pas nécessaire d’enquêter sur ce sujet. Une telle déclaration sans enquête, sans preuve, sans entrevues avec les victimes, est incroyable et nous espérons que nos lecteurs nous soutiendront dans à ce sjuet. »

+ La traduction du Premier Ministre Polonais Macierewicz durant son allocution télévisée en Mars 2016.
https://www.youtube.com/watch?v=YgVs4-m0lNY

Au mois de Mars 2016, sur l’une des principales chaînes de TV polonaises, le Ministre de la Défense Nationale s’exprimait à propos de dangers autres que ceux de l’U.E.
A la question : « Est-ce que la Pologne a une stratégie concernant les expérimentations illégales, c’-à-d les tests d’armes électromagnétiques sur des citoyens polonais? »
Monsieur le Ministre répondit : « En ce moment, nous faisons une analyse pour identifier où les personnes qui se plaignent d’une telle affection sont localisées. Dans six mois, je pense être capable de vous en dire plus en ce qui concerne ces questions. Mais d’après les informations limitées dont je dispose, les régions du Sud-ouest (Basse Silésie) et du Nord-Ouest de la Pologne sont les régions d’où nous sont parvenus le plus de plaintes.»
Le commentateur de la chaîne : « Le Ministre de la Défense n’a pas précisé quelle commission préparera le rapport sur l’usage expérimental d’armes électromagnétique contre des citoyens polonais. »

+ La traduction de l’interview télévisée qui a été depuis supprimée sur Youtube de l’ex-vice Premier Ministre Luwik Dorn
https://youtu.be/luQ74XEAcek vidéo supprimée par Youtube.

L’ancien vice-Premier ministre de la Pologne avait reçu de nombreuses plaintes des citoyens concernant le harcèlement électromagnétique.

Dans une interview à la télévision polonaise, l’ancien vice-Premier ministre de Pologne, Luwik Dorn, a mentionné que les gens le contactaient en masse, lui et son assistant, d’abord en tant que membre du Comité de Défense des Travailleurs (KOR), d’une société civile de Pologne , puis en tant que vice-Premier Ministre pour leur dire qu’ils étaient persécutés et délibérément irradiés. Il ajoute: «C’est le cas. Et le ministre de la Défense l’a pris au sérieux. (il ne voulait plus commenter).

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Scientists control mouse brain by remote control

Article de Reuters Jul 24, 2015

http://www.reuters.com/article/us-usa-wireless-mouse-brain-idUSKCN0PY24920150724?feedType=RSS&feedName=scienceNews

 

Scientists have successfully altered the neural networks of laboratory mice using a wireless controller; allowing them to study the effects of neural stimulation without invasive procedures and without test subjects tethered by wires.

The tiny implant, smaller than the width of a human hair, let the scientists determine the path a mouse walks using a remote control to inject drugs and shine lights on neurons inside the brain.

Neuroscientists have until now been limited to injecting drugs through larger tubes and delivering photostimulation through fiber-optic cables, both of which require surgery that can damage the brain and restrict an animal’s natural movements.

The optofluidic implant developed by the team from Washington University School of Medicine and the University of Illinois was found to damage and displace much less brain tissue than the metal tubes, or cannulas, scientists typically use to inject drugs.

The device is mounted to the head of the mouse and is powered by a small battery, removing the need for it to be wired, and contains tiny reservoirs filled with the drugs to be administered during tests.

In one such experiment, mice were made to walk in circles after a drug that mimics morphine was injected into the region of the mouse’s brain that controls motivation and addiction.

In other tests the scientists used a technique known as optogenetics, where mice have been modified so that their neurons are lights sensitive, to stimulate the mice’s brain cells with miniature LEDs. The test subjects were made to stay on one side of a cage by remotely making the implant shine pulses of light on the specific cells. The mice were about three feet away from the remote antenna during the experiments.

The research, published recently in scientific journal Cell, could lead to the development of more minimally invasive probes to treat neurological disorders including stress, depression, addiction, and pain.

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Les cobayes de la CIA – MK-Ultra sur rtbf.be (Janvier 2017)

Docu de la RTBF : https://youtu.be/hp-RK7Wwb_w


Comme souvent le lien est HS. Il suffit de faire la recherche « Les cobayes de la CIA – MK-Ultra sur rtbf.be » pour retrouver la vidéo.


(2019) – C’est justement en recherchant un nouveau lien que je suis tombé sur cet article : http://mk-polis2.eklablog.com/les-cobayes-de-la-cia-mk-ultra-sur-rtbf-be-janvier-2017-a128122742

Nos voisins belges de la rtbf (radio télévision belge francophone) viennent de diffuser un documentaire exposant les programmes occultes de contrôle mental de la CIA ; aujourd’hui connus sous le nom de Bluebird, Artichoke, MK-Delta ou MK-Ultra. Merci à Olivier Pighetti, réalisateur de l’excellent « Un Village empoisonné par la CIA ? Pont Saint-Esprit 1951 », dont voici en introduction un entretien radiophonique concernant son nouveau documentaire : https://www.dailymotion.com/video/x58wcrg

 

Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des rats de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manoeuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré. Avec un cynisme froid et une volonté sans limite, dans une ambiance de guerre froide, les Américains ont tout tenté pour trouver  » l’arme parfaite  » qui permettrait d’asservir des individus ou des populations entières. Cette course à l’arme idéale a ainsi mené à des manipulations les plus folles et les plus terrifiantes afin de s’assurer la suprématie sur les autres pays du monde.

À l’aide d’images d’archives fortes, de témoignages de survivants, de documents secrets déclassifié ou encore d’interviews de membres retraités de la CIA ou de l’armée, le documentaire montre d’une façon rigoureuse comment la CIA a mis en place une politique de la terreur, en se servant avant tout du LSD, qui semblait la drogue la plus  » prometteuse « , mais aussi des électrochocs, des lobotomies, de l’hypnose… Tout citoyen pouvait un jour se retrouver  » cobaye  » non volontaire de la CIA. Ce documentaire démontre l’implication forte des services américains pour infiltrer, financer et recruter des chimistes qui étaient pour la plupart de brillants éléments la société civile. Il montre enfin comment les hommes de la CIA et de l’armée ont pu agir sans aucune considération pour la vie d’autrui.


Continuez de rire jusqu’à ce que cela tombe sur vous ! Ajoutez à ce risque (Tous les sous programmes MK), la pédo (v. Zandvoort, le fichier de la honte – Karl Zéro Absolu) et les attentats sous faux drapeaux (v. Le réseau Gladio – Armée secrète d’Europe)… Ou « quand les puissants décident de prélever des individus dans le troupeau »…

Puisqu’on vous dit que ce sont des humanistes bienveillants, faites votre devoir, allez voter ! N’oubliez pas, en glissant votre bulletin dans l’urne, que votre candidat n’hésitera pas, et tant pis si ça tombe sur vous, vos parents ou encore vos enfants. Surtout ne demandez jamais qu’ils rendent des comptes, et continuez à vous moquer des Targeted Individual avec leurs chapeaux en alu, c’est tellement drôle des gens, sans défenses, torturés à distance par le biais d’ armes invisibles !

L’idiot utile, comme on en trouve en pagaille sur le net, complice des nazis, qui prend la pause… Si tu te reconnais va regarder ceci à la fin il dit « afin de lire et écrire dans le cerveau, en temps réel et à distance« . Mais tu as raison ne questionne personne et réagi comme tu as été programmé, rigole et oublie ca fait du bien…


Soyez conscients qu’une grosse partie des atrocités de ce qui est décrit dans le docu de la RTBF est désormais réalisable à distance, j’y ai reconnu un certain nombre de techniques décrites qui me sont infligées depuis 26 ans que je suis ciblé. Techniques dont je parle en partie (parce que décrire cette merde c’est pas facile…) dans la section « à propos » du blog.

Comment faire que cela cesse? Allez vous présenter au comico du quartier, pour raconter à Pinot que vous êtes la cible d’armes invisibles, de voix pulsées à distance etc… Principe de « déniabilité » (<- anglicisme compréhensible) ! Imparable, ce que l’on ne voit pas, n’existe pas, vous êtes schizo, au mieux on n’enregistrera pas votre plainte. Les boules roses et la camisole, au pire je vous laisse imaginer…

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Articles de presse

Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains

Des laboratoires top-secrets mènent depuis des années leurs expériences sur des cobayes humains. Une pratique aussi confidentielle qu’effrayante. Découvrez une séléction des expériences les plus choquants.

Quand la CIA efface la mémoire

La CIA américaine a mené plusieurs projets pour effacer l’identité: Bluebird (ou Artichoke, 1951-1953) et МК ULTRA (MKSEARCH, année 1950-1960). Les principaux cobayes étaient des patients inertes des cliniques neurologiques, dont la plupart ignoraient tout des expériences menées sur eux. Bluebird avait pour but de créer un sérum de vérité infaillible. En utilisant des substances psychotropes et les électrochocs, les chercheurs provoquaient chez les sujets une amnésie artificielle, leur inculquaient de faux souvenirs et « multipliaient » leur identité.

Le projet MK ULTRA était incomparablement plus coûteux et global. Il étudiait toute la diversité des moyens d’impacter la raison (y compris des enfants): de la biologie à la radiologie. Par exemple, dans le cadre d’un des 149 sous-projets, plus de 1 500 soldats américains recevaient avec leur nourriture des produits psychotropes pour évaluer leur opérationnalité « sous l’emprise des substances ». L’information obtenue dans le cadre de MK ULTRA est utilisée aujourd’hui dans le travail des renseignements, même si en 1972 le projet a été fermé après un scandale et qu’une partie de sa documentation a disparu.

 

Pour une poignée de shekels 

L’armée israélienne a également mené des expériences sur ses soldats: on a appris en 2007 qu’entre 1998 et 2006, dans le cadre des projets secrets Omer-1 et Omer-2, des médecins militaires israéliens cherchaient un vaccin « contre une arme bactériologique similaire à l’anthrax ». Les 716 soldats participant aux expériences n’ont pas été informés des risques, des éventuelles conséquences et il leur était interdit d’évoquer les détails des recherches avec leurs proches.

En 2007, un groupe d’anciens sujets souffrant des conséquences de cette expérience – tumeurs, ulcères, bronchite, épilepsie – s’est adressé au ministère de la Défense pour se plaindre de leur mauvais état de santé. Ils ont été soutenus par le syndicat des médecins et l’organisation Médecins pour les droits de l’homme qui sont allés jusqu’à la Cour suprême pour exiger une enquête. Mais ils ont obtenu l’effet inverse: le tribunal n’a pas seulement décliné la requête mais il a interdit de publier une partie des informations sur l’expérience.

L’armée hésitait entre réagir en disant que rien ne s’était produit et mettre en avant que les soldats avaient accepté eux-mêmes. Il a été déclaré à la presse que les participants aux projets Omer étaient uniquement des volontaires qui savaient dans quoi ils s’engageaient et pouvaient quitter la partie à tout moment. Il a été suggéré aux victimes de s’adresser aux établissements médicaux où leur guérison promettait d’être longue, car les victimes ne disposaient pas de la moindre information sur les effets subis.

Le principal concepteur de l’expérience, le docteur Avigdor Sheferman (ancien directeur de l’Institut israélien de biologie), est parti ensuite au Canada pour mener des recherches identiques dans une compagnie médicale. Les résultats des projets Omer ont été remis à l’armée américaine pour plusieurs centaines de milliers de shekels.

 

Une véritable ségrégation médicale

Les États-Unis sont leaders de ce genre d’expériences. C’est dans ce pays qu’entre 1932 et 1972 se déroulait une expérience qu’on pourrait considérer à la fois comme un symbole de ségrégation raciale et de barbarie médicale. A Tuskegee, Alabama, le groupe médical sous la direction du docteur Clark Taliaferro avait pour objectif d’étudier tous les stades de la syphilis.

L’étude consistait à suivre un groupe de Noirs déjà contaminés. Pourquoi? Car à cette époque ils étaient encore considérés comme moins instruits et plus influençables. La plupart ignoraient leur maladie – c’était une condition de l’expérience. Toutes les manipulations étaient présentées comme des « soins du mauvais sang ». 76 des 399 participants sont restés en vie à l’issue de l’expérience. 128 personnes sont décédées de la syphilis et de ses complications. 40 hommes ont infecté leur femme et 19 enfants sont nés avec la syphilis.

En 1946 l’expérience a été élargie: une partie des médecins a été envoyée au Guatemala où pendant deux ans ils infectaient sciemment des soldats, des prostituées, des prisonniers, des mendiants ou des malades mentaux – jusqu’à 5 000 personnes au total.

C’est seulement en 1972 après la tribune d’un médecin dans le Washington Star qu’une commission spéciale s’est penchée sur les recherches à Tuskegee pour reconnaître leur illégitimité. Le gouvernement américain a alloué 9 millions de dollars pour aider les survivants, et 25 ans plus tard leurs proches ont entendu les excuses du président Bill Clinton. La trace latino-américaine n’a été découverte qu’en 2010 grâce à la publication des notes du docteur Cutler – l’un de ceux qui travaillaient pour ce programme au Guatemala. 750 victimes guatémaltèques ont porté plainte contre l’université Jones Hopkins, et Barack Obama a présenté ses excuses au peuple du Guatemala en la personne du président Alvaro Colom.

Des épidémies artificielles introduites dans le métro

Les chercheurs américains ne ménageaient pas vraiment leur grande nation. Des chimistes testaient sur les recrues l’effet toxique de l’ypérite (pour améliorer les masques à gaz), ou encore pulvérisaient des composants toxiques sur plusieurs villes canadiennes et américaines. Dans les années 1950, des épidémies artificielles ont été provoquées en Floride et en Géorgie. A la fin des années 1960, on a testé dans le métro de New York et de Chicago la vulnérabilité des passagers aux attaques biochimiques cachées en envoyant sous terre la bactérie Bacillus subtilis. En 1963-1969, le Pentagone a lancé sans avertissement sur les navires de sa marine plusieurs types d’armes chimiques et bactériologiques.

Les analystes de la radiation soignaient à différentes époques les adénoïdes avec des barres de radium et le cancer de l’estomac (les diagnostics étaient faux) avec des injections de plutonium, nourrissaient des futures mères avec des sels de fer radioactif sous la forme d’une boisson de vitamines, faisaient exploser des bombes atomiques dans le Nevada et sur les îles Marshall, testaient l’iode radioactif sur les femmes enceintes et en nourrissaient les nouveau-nés.

 

Des orphelins-cobayes

Les enfants ont toujours été les sujets les plus convoités par les chercheurs. « L’étude de l’effet des jugements de valeur sur la fluidité verbale des enfants » réalisée en 1939 à l’université de l’Iowa, connue comme « Monster study », est une expérience horrible même si elle n’a pas provoqué de nombreuses morts ni d’invalidités et impliquait seulement une influence verbale.

Le psychologue Wendell Johnson et son aspirante Mary Tudor ont sélectionné dans un orphelinat 22 enfants de différents âges, et dans les cinq mois qui ont suivi Tudor rendait régulièrement visite à chacun d’entre eux pour une conversation de 45 minutes. Certains appréciaient ces échanges car Mary les félicitait pour leur capacité de lecture et leur élocution. Mais d’autres enfants, après quelques visites, ont commencé à éprouver des problèmes d’élocution, de comportement et de réussite à l’école parce que Tudor se moquait d’eux et leur reprochait de faire des fautes verbales.

Il faut dire que Johnson était guidé par un intérêt tout à fait scientifique: les véritables causes du bégaiement n’ont toujours pas été établies. Il supposait qu’il était possible de provoquer un bégaiement même en l’absence de prédispositions physiologiques.

Les successeurs de Johnson et de Tudor jugent que les travaux de ces derniers sont les plus exhaustifs sur le bégaiement, y compris les premières informations qu’ils ont pu recueillir sur le rôle des sentiments et des pensées du bégayant. Par contre, les enfants traumatisés ont vécu avec leurs complexes toute leur vie.

A l’issue de l’expérience, Mary Tudor est revenue plusieurs fois à l’orphelinat pour se repentir, espérant redonner aux enfants leur estime de soi. L’université, pour sa part, a tenu secrètes ces recherches jusqu’en 2001, date à laquelle la presse en a pris connaissance: l’établissement a alors présenté des excuses officielles aux victimes. En 2003, six d’entre elles ont saisi le parquet de l’État pour exiger de les indemniser pour préjudice moral. Quatre ans plus tard, ils ont obtenu 925 000 dollars pour tous les plaignants.

 

Une expérimentation pour éradiquer l’homosexualité dans un pays

Les victimes des expériences homophobes d’Aubrey Levin pourront difficilement compter sur une indemnité ou même une enquête officielle. Entre 1970 et 1989, l’armée sud-africaine faisait l’objet d’un « nettoyage » des recrues homosexuels. Les données officielles parlent de milliers de victimes mais nul ne connaît le chiffre réel. L’information sur ce programme a été révélée en 1995 dans le journal sud-africain Daily Mail and Guardian. Dans une interview le responsable du projet, ex-psychiatre en chef d’un hôpital militaire Aubrey Levin, affirmait: « Nous ne considérions pas les gens comme des cobayes. Nous avions seulement des patients qui voulaient guérir et venaient de leur plein gré ». Il disait également pratiquer une « thérapie d’aversion sur les soldats homosexuels, sans pour autant recourir au choc électrique ». Alors que s’est-il passé en Afrique du Sud à cette époque?

Près de 900 opérations de « réorientation sexuelle » ont eu lieu dans des hôpitaux sud-africains dans les années 1970-1980 dans le cadre de programmes pour éradiquer l’homosexualité. Certains patients étaient « soignés » à l’aide de drogues et d’hormones, d’autres ont subi des méthodes radicales – un traitement d’aversion. Dans le cadre de ce dernier on reproduisait une forme « inadmissible » de conduite (par exemple, l’excitation de l’homosexuel avec des images pornographiques) tout en provoquant des sentiments désagréables (par exemple, un électrochoc), avant de montrer une image positive (photo d’une femme nue) sans électrochoc.

La pratique traditionnelle admet le traitement d’aversion uniquement en dernier recours, et même dans ce cas le sentiment désagréable doit être équivalent à la piqûre d’une aiguille, et non faire voler en l’air les chaussures de l’individu, comme ce fut le cas dans les expériences de Levin. La mesure extrême du projet Aversion était la castration ou un changement forcé de sexe, et beaucoup de ceux qui l’ont subi ont choisi le suicide plutôt que de vivre dans un corps étranger. Finalement, la partie « scientifique » du projet fut un fiasco mais les seuls ennuis que ses instigateurs ont connu étaient avec leur propre conscience.

 

La conscience par intraveineuse

Certains ignorent que les exploits des chercheurs soviétiques dans l’élaboration de poisons ont même dépassé le niveau atteint par les expériences des nazis. Le « Cabinet spécial » (Laboratoire 1, Laboratoire X, Cellule), laboratoire toxicologique créé en 1921 par la direction du NKVD dirigé par le professeur Grigori Maïranovski, procédait à la recherche de poisons impossibles à identifier. Les expériences étaient menées sur des détenus condamnés à la peine capitale: 10 personnes pour chaque produit (sans compter les expériences sur les animaux).

L’agonie de ceux qui ne mourraient pas immédiatement était suivie pendant 10-14 jours avant de les achever. Le poison recherché a été finalement trouvé: le carbylamine-choline-chloride ou K-2, qui tuait en 15 minutes et sans traces (les médecins légistes indépendants diagnostiquait un décès pour insuffisance cardiaque). Grigori Maïranovski travaillait également sur le « problème de sincérité » pendant les interrogatoires avec des produits médicaux et élaborait des poisons en poussière qui tuaient quand on les respirait…

Au total, le Laboratoire 1 a fait entre 150 et 300 victimes (des criminels mais également des prisonniers de guerre), parmi lesquelles on peut également compter les médecins de la Cellule: des années plus tard Maïranovski, finalement condamné, écrivait que deux de ses collègues avaient mis fin à leur vie, que deux autres avaient perdu la capacité de travailler et que trois étaient devenus alcooliques.

 

Les testicules de jeunesse éternelle

La création d’un poison idéal sera probablement toujours d’actualité, tout comme la recherche de la pierre philosophale et de la fontaine de jeunesse. Par exemple, le professeur Preobrajenski du Cœur de chien écrit par Mikhaïl Boulgakov, pratiquait une méthode de rajeunissement assez répandue pour les années 1920: son homologue vivant aurait pu être le docteur américain Leo Stanley – à l’exception de leur mentalité. Ce médecin en chef d’une prison de San Quentin (Californie) était un adepte de l’eugénisme et testait différentes méthodes de purification de la race humaine: la chirurgie plastique (car la laideur extérieure provoque la laideur intérieure et inversement), les manipulations des glandes génitales et, pour finir, la stérilisation.

Il a commencé à mener des expériences sur le rajeunissement en 1918 en transplantant aux détenus âgés les testicules de jeunes criminels exécutés. La « matière première » a rapidement commencé à manquer et le docteur s’est alors orienté vers les animaux en utilisant des testicules de boucs, de sangliers et de cerfs. D’après ses rapports, les sujets éprouvaient un « gain de forces et se sentaient mieux » – on ignore s’il s’agissait d’un effet placebo ou d’un véritable rajeunissement mais le docteur promettait la seconde variante.

Un autre but de l’étude était de confirmer l’hypothèse selon laquelle le comportement criminel dépendait des problèmes hormonaux. Pour régler les deux problèmes, il fallait donc stériliser le sujet — 600 détenus ont subi ce traitement jusqu’en 1940. Certains d’entre eux ne voulaient pas avoir d’enfants, d’autres voulaient rajeunir: le docteur Stanley présentait la stérilisation comme un moyen permettant de rajeunir et de guérir, il avait promis à certains un régime de détention plus souple. Cependant, son véritable objectif était de pacifier les gènes « criminels » et l’instinct sexuel qui poussait selon lui le criminel à récidiver. Il a poursuivi ses recherches jusqu’en 1951, et compte tenu de sa contribution à la réforme des établissements médicaux cette activité ne paraît pas absolument insensée.

 

L’hôpital du docteur Cotton

Contrairement aux recherches d’Henry Cotton, l’élève d’Alzheimer en personne à 30 ans déjà (à partir de 1907) dirigeait un hôpital psychiatrique à Trenton (New Jersey). Le poste de médecin en chef lui accordait de vastes opportunités pour tester en pratique son hypothèse sur l’origine des troubles psychiques. Il estimait que les gens devenaient fous par infection et que le foyer de cette dernière se trouvait avant tout dans les dents malades — très proches du cerveau. Par conséquent, la première procédure subie par les patients de Cotton était l’arrachage de dents.

Si cela ne fonctionnait pas, on continuait de chercher l’infection au hasard (ou par ablation): dans les amygdales, la vésicule biliaire, l’intestin, l’estomac, les testicules, les ovaires… Même la famille de Cotton n’a pas échappé à cette « chirurgie bactériologique » (nom donné par l’auteur de la méthode): il a arraché les dents de son épouse, de ses deux fils et même les siennes. Ce dernier acte avait été précédé par une dépression nerveuse suite à l’ouverture d’une enquête dans sa clinique par une commission du sénat local.

Malgré les données reflétant une efficacité élevée de sa méthode (85% de guérison) diffusées activement par le docteur dans ses discours et ses articles, ainsi que la forte popularité de l’hôpital de Trenton (même les hommes aisés et les célébrités y envoyaient leurs proches pour une grande somme d’argent), en 1924 le conseil de tutelle a senti que quelque chose ne tournait pas rond et a consulté l’université Jones Hopkins. La docteure Phyllis Greenacre envoyée à l’hôpital pour vérifier les statistiques a découvert que seulement 8% des patients de Cotton guérissaient, 41,9% ne ressentaient aucune amélioration et 43,4% mourraient. Sachant que les 8% n’avaient pas subi de soins et que les 43,4% décédés avaient fait les frais de la pratique de Cotton.

L’enquête de la commission créée par le sénat local avait précisément pour but de découvrir les causes de cet état de fait mais elle a à peine eu le temps d’entamer son travail: des collègues de renommée et même des hommes politiques ont pris la défense de Cotton, qui a tranquillement repris son travail pour prendre sa retraite cinq ans plus tard. Personne n’a voulu poursuivre ses recherches.

 

Les bonnes nouvelles

Au courant de l’été 2014, les utilisateurs anglophones de Facebook ont été surpris d’apprendre que 689 003 d’entre eux avaient joué le rôle de cobayes contre leur gré dans une expérience conjointe des chercheurs américains et du réseau social. Les résultats parus dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences stipulaient: « Les états émotionnels peuvent être transmis à d’autres individus à travers une infection émotionnelle, après quoi, sans en être conscients, ils peuvent éprouver les mêmes émotions ». Cela signifie que la bonne et la mauvaise humeur sont contagieuses de la même manière que l’absence d’un contact direct n’empêche pas cette infection. L’expérience était simple: un groupe de sujets recevait dans son fil d’actualité des posts positifs, l’autre des messages négatifs. Les utilisateurs ont immédiatement réagi: les « heureux » ont commencé à publier des commentaires optimistes et le groupe attaqué par des posts négatifs a commencé à écrire des choses négatives.

Les militants ont critiqué les méthodes des chercheurs et ont même supposé que pour certains, le contenu négatif avait pu être « la dernière goutte » — mais avec autant de probabilité le contenu positif a aussi pu redonner espoir à quelqu’un. Dans l’ensemble, les deux manipulations peuvent être perçues comme un petit pas vers la sophistication des méthodes pour influencer le public. Par conséquent, il faut remettre en question et analyser tout ce qui tombe dans le champ de votre attention, sans oublier la probabilité qu’à chaque instant vous faites peut-être partie d’une expérience.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609281027963256-laboratoires-secrets-experiences-humains/

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Articles de presse

Hackers may soon target your BRAIN

http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-3756140/Hackers-soon-target-BRAIN-Criminals-control-thoughts-feelings-attacking-implants.html

 

Criminals could control your thoughts and feelings by attacking implants.

  • Oxford University expert says we need to be prepared for ‘brainjacking’
  • Examples of possible attacks include altering stimulation settings so that patients with chronic pain are caused to be in even greater pain
  • A sophisticated attacker could potentially even induce behavioural changes such as hypersexuality or pathological gambling

We live in an interconnected age where wirelessly controlled computing devices make almost every aspect of our lives easier.

But they are also making us vulnerable to cyber-security attacks. 

Today, nearly everything can be hacked, from cars to lightbulbs. But perhaps the most concerning threat is the one posed by brain implants.

Writing for The Conversation, Laurie Pycroft a PhD candidate at the University of Oxford discusses how hackers could someday remotely control humans by taking over these devices. 

Experts have demonstrated the ease with which security on pacemakers and insulin pumps can be breached, potentially resulting in lethal consequences.

In a recent paper that I and several of my colleagues at Oxford Functional Neurosurgery wrote, we discussed a new frontier of security threat: brain implants.

Unauthorised control of brain implants, or ‘brainjacking’, has been discussed in science fiction for decades.

But with advances in implant technology it is now starting to become possible.

The most common type of brain implant is the deep brain stimulation (DBS) system.

It consists of implanted electrodes positioned deep inside the brain connected to wires running under the skin, which carry signals from an implanted stimulator.

The stimulator consists of a battery, a small processor, and a wireless communication antenna that allows doctors to program it.

In essence, it functions much like a cardiac pacemaker, with the main distinction being that it directly interfaces with the brain.

DBS is a fantastic tool for treating a wide range of disorders.

It is most widely used to treat Parkinson’s disease, often with dramatic results (see video below), but it is also used to treat dystonia (muscle spasms), essential tremor and severe chronic pain.

It is also being trialled for conditions such as depression and Tourette’s syndrome.

Targeting different brain regions with different stimulation parameters gives neurosurgeons increasingly precise control over the human brain, allowing them to alleviate distressing symptoms.

However, this precise control of the brain, coupled with the wireless control of stimulators, also opens an opportunity for malicious attackers to go beyond the more straightforward harms that could come with controlling insulin pumps or cardiac implants, into a realm of deeply troubling attacks.

Examples of possible attacks include altering stimulation settings so that patients with chronic pain are caused even greater pain than they would experience without stimulation.

WE COULD ALL SOMEDAY HAVE BRAIN IMPLANTS

Presidential candidate Zoltan Istvan believe that in a few decades, we could all be plugged into an AI ‘matrix’ using brain implants.

‘Eventually, this type of technology will allow us to be connected 24/7 to the internet and on social media,’ he told MailOnline.

‘This is the beginning of the hive mind, where everyone is interconnected to one another.’

The technology works by using the basics of electroencephalogram (EEG), which can read electrical signals produced by the brain.

‘But it will also have technology that can stimulate your brain back, likely through tiny electrical signals it can administer, that allows one to « feel » what the device’s input is,’ said Istvan.

‘If a machine creates this input, then true communication with a machine – or AI -in this case has been created.’

‘It’s rudimentary right now, but in 5 or 10 years, this type of technology could become widespread.’

A sophisticated attacker could potentially even induce behavioural changes such as hypersexuality or pathological gambling, or even exert a limited form of control over the patient’s behaviour by stimulating parts of the brain involved with reward learning in order to reinforce certain actions.

Although these hacks would be difficult to achieve as they would require a high level of technological competence and the ability to monitor the victim, a sufficiently determined attacker could manage it.

There are proposed solutions to making implants more resistant to cyber-attacks, but makers of these devices are in a difficult position when trying to implement security features.

There’s a trade off between designing a system with perfect security and a system that is actually usable in the real world.

Implants are heavily constrained by physical size and battery capacity, making many designs unfeasible.

These devices must be easily accessible to medical staff in an emergency, meaning that some form of ‘back-door’ control is almost a necessity.

New and exciting features, such as being able to control implants using a smartphone or over the internet, have to be balanced against the increased risk that such features can provide.

Brain implants are becoming more common.

As they get approved for treating more diseases, become cheaper, and get more features, increasing numbers of patients will be implanted with them.

This is a good thing overall but, just as a more complex and interconnected internet resulted in greater cyber-security risks, more advanced and widespread brain implants will pose tempting targets to criminals.

Consider what a terrorist could do with access to a politician’s mind or how coercive blackmail would be if someone could alter how you act and think.

These are scenarios that are unlikely to remain purely in the realm of science fiction for much longer.

It’s important to note that there’s no evidence to suggest that any of these implants has been subjected to such a cyber-attack in the real world, nor that patients with them currently implanted should be afraid.

Still, this is an issue that device makers, regulators, scientists, engineers and clinicians all need to consider before they become a reality.

The future of neurological implants is bright, but even a single high-profile incident could irreparably damage public confidence in the safety of these devices, so the risk of brainjacking should be taken seriously before it’s too late.

source : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-3756140/Hackers-soon-target-BRAIN-Criminals-control-thoughts-feelings-attacking-implants.html