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How the CIA created the Unabomber

When mass murderer Ted Kaczynski was a 16-year-old undergraduate student at Harvard, he took part in a behavioral engineering project run by the CIA. It was part of the US government’s illegal MKUltra project, which ruined the lives of many innocent and unwitting test subjects around the world.

 

The study was run by Dr. Henry Murray, who had each of his 22 subjects write an essay detailing their dreams and aspirations. The students were then taken to a room where electrodes were attached to them to monitor their vitals as they were subjected to extremely personal, stressful, and brutal critiques about the essays they had written. Following the psychological attacks, the participants were forced to watch the videos of themselves being verbally and psychologically assaulted multiple times. Kaczynski is claimed to have had the worst physiological reaction to being interrogated. These experiments, paired with his lack of social skills and memories of being bullied as a child, caused Kaczynski to suffer from horrible nightmares that eventually drove him to move into isolation outside Lincoln, Montana.

 

The June 2000 issue of The Atlantic has a good, very long, article about this terrible experiment.

 

The CIA Created The Unabomber


Ted Kaczynski : https://en.wikipedia.org/wiki/Ted_Kaczynski

Harvard College :

As a sophomore, Kaczynski participated in a study described by author Alton Chase as a « purposely brutalizing psychological experiment« , led by Harvard psychologist Henry Murray. Subjects were told they would be debating personal philosophy with a fellow student, and were asked to write essays detailing their personal beliefs and aspirations. The essays were turned over to an anonymous attorney, who in a later session would confront and belittle the subject – making « vehement, sweeping, and personally abusive » attacks – using the content of the essays as ammunition, while electrodes monitored the subject’s physiological reactions. These encounters were filmed, and subjects’ expressions of rage were later played back to them repeatedly.[19] The experiment ultimately lasted three years, with someone verbally abusing and humiliating Kaczynski each week.[20][21] Kaczynski’s lawyers later attributed his hostility towards mind control techniques to this experience.[19] Chase[6][22] and others[23][24] have also suggested that this experience may have motivated Kaczynski’s criminal activities, while philosopher Jonathan D. Moreno has said that Kaczynski’s later bombing campaign can « by no means be laid at Harvard’s door ».


Manhunt : Unabomber (2017)

 

 

 

 

 

 

 

https://www.netflix.com/fr/title/80176878

L’épisode 6 passe sur la période où le Dr Henry Murray manipule torture et humilie le principale protagoniste, attaché à une chaise, lors de séances hebdomadaires.


Extrait du manifeste :

157.
Si la société industrielle survit, il est probable que s’installera un contrôle
technologique presque total du comportement humain. Il ne fait aucun doute que la
pensée et le comportement humain sont pour une large part biologiquement
déterminés. Les expériences l’ont démontré: des sensations comme la faim, ou des
sentiments comme le plaisir, la colère ou la crainte peuvent être manipulés en
stimulant électriquement des parties précises du cerveau. Les souvenirs peuvent être
détruits en endommageant certaines régions du cerveau, ou ravivés par stimulation
électrique. Des médicaments peuvent provoquer des hallucinations ou modifier l’état
d’esprit. Il existe peut-être une âme humaine immatérielle mais, si elle existe, il est
évident qu’elle est moins déterminante que les données biologiques du
comportement humain. Dans le cas contraire, les scientifiques ne pourraient pas
manipuler si facilement les sensations et les comportements à l’aide de médicaments
et d’impulsions électriques.
158.
Les autorités ne peuvent guère envisager de contrôler la population en
branchant des électrodes dans tous les cerveaux. Mais le fait que les pensées et les
sensations humaines soient si vulnérables aux interventions biologiques montre que
le problème du contrôle du comportement est principalement un problème technique
: un problème de neurones, d’hormones et de molécules complexes, le genre de
problème auquel les scientifiques peuvent s’attaquer. Étant donné les extraordinaires
performances techniques de notre société, il est plus que probable que de grands
progrès seront accomplis dans le contrôle du comportement humain.
159.

Les gens parviendront-ils à résister victorieusement à l’introduction d’un tel
contrôle ? Ce serait certainement le cas si on tentait de l’instaurer brusquement. Mais
parce qu’il sera installé très progressivement, il n’y aura aucune résistance
rationnelle et efficace (voir paragraphes 127, 132, 153).
160. A tous ceux qui pensent que cela relève de la science-fiction, nous répondons
que la science-fiction d’hier est la réalité d’aujourd’hui. La révolution industrielle a
radicalement changé l’environnement et le mode de vie de l’homme, et comme la
technologie s’attaque désormais au corps humain et à son esprit, il faut s’attendre à
ce que l’homme lui-même soit changé tout aussi radicalement que le furent son
environnement et son mode de vie.

 

Concernant ces 3 articles, il est absolument fortuit d’ y voir un quelconque rapport avec les phénomènes que vivent les TI.

 


La CIA a-t-elle vraiment “fabriqué” Unabomber ?

Mathieu Dejean

La série Netflix “Manhunt : Unabomber”, consacrée au poseur de bombes technophobe Theodore Kaczynski, relate l’expérience de torture psychologique dont il a été victime quand il étudiait à Harvard. Celle-ci aurait fait partie d’un programme secret de la CIA…
Une expérience psychologique peut-elle traumatiser un homme au point de le transformer en un implacable terroriste ? C’est une hypothèse que soulève la série Manhunt : Unabomber, sortie début décembre sur Netflix. Elle retrace le destin fascinant de Theodore Kaczynski, plus connu sous le nom d’Unabomber (pour “UNiversity and Airline BOMber”), que lui ont attribué la presse et le FBI à partir de la fin des années 1970. Entre 1978 et 1995, ce docteur en mathématiques, élève surdoué et militant écologiste fermement opposé à la société industrielle et à la technologie, a été l’auteur de seize attentats au colis piégé contre des professeurs d’universités, des vendeurs d’ordinateurs ou encore un patron de compagnie aérienne. Ses missives explosives ont causé la mort de trois personnes et fait vingt-trois blessés jusqu’à son arrestation en 1996, après dix-huit ans de cavale.
Dans l’épisode 6 de la série, Ted Kaczynski opère un flashback et remonte à 1958, lors de son arrivée à l’université d’Harvard, pour trouver la source de sa colère. Il a seize ans lorsqu’il débarque sur le campus de Cambridge (dans le Massachusetts) et se porte volontaire pour participer à une expérience du département de psychologie, sous la direction du professeur Henry Murray.
L’origine de sa haine anti-technologique ?
Après s’être confié pendant des mois à l’éminent professeur (qui avait travaillé pour l’ancêtre de la CIA pendant la Seconde Guerre mondiale) sur sa pensée, ses peurs et ses rêves, il apprend que l’expérience fait partie d’un programme “très important pour l’avenir du monde libre”. Il s’agit du projet MKUltra, lancé par la CIA pour “développer des techniques de lavage de cerveau” pouvant servir “contre des espions soviétiques”, comme le relate la série. Ce programme est désormais connu pour avoir ruiné la vie de nombreuses personnes à leur insu – une autre série, Stranger Things, s’en est d’ailleurs inspirée.
Ted Kaczynski subit en effet un interrogatoire qui relève de la torture psychologique. Attaché à une chaise et couvert d’électrodes, il est humilié par Henry Murray, qui démonte ses théories et ses idées avant de lui lire une fausse lettre de sa mère qui le traite d’inadapté social. Il poursuivra malgré tout les séances, jusqu’à cumuler 200 heures étalées sur trois ans avec son bourreau.

En faisant de cette expérience traumatique un épisode fondateur de la radicalisation du futur poseur de bombes, la série s’aligne sur l’hypothèse d’un ouvrage paru en 2003 : Harvard and the Unabomber: The Education of an American Terrorist, d’Alston Chase (non traduit). Selon cette enquête, le choc mental a été si violent pour l’étudiant déjà solitaire et introverti, qu’il a marqué le début de son aversion pour les expérimentations scientifiques, et a donné naissance à son idéologie technophobe. Le site BoingBoing affirme ainsi que la CIA a paradoxalement “fabriqué” Unabomber.
“Theodore Kaczynski ne mentionne nullement cette expérience dans son autobiographie”
Interrogé par Les Inrocks, le professeur émérite à l’Université de Stanford (Californie) Jean-Marie Apostolidès, qui fut le premier en France à faire connaître les écrits de Theodore Kaczynski, émet quelques réserves à ce sujet : “Si l’on en croit le livre d’Alston Chase, cette expérience fut fondamentale dans le développement intellectuel et moral de Kaczynski. Les auteurs de la série Netflix consacrée à Unabomber suivent également cette hypothèse. J’ai trouvé pour ma part le livre d’Alston Chase passionnant, sans pourtant être convaincu par son approche. La raison principale tient au fait que Theodore Kaczynski ne mentionne nullement cette expérience dans son autobiographie Truth versus Lies. Or ce manuscrit est très complet, et l’auteur parle en toute sincérité de sa formation, de l’évolution de ses idées, des étapes importantes de son existence. Si l’expérience de Murray l’avait traumatisé à ce point, je crois qu’il en aurait fait cas”.
“Si l’expérience de Murray l’avait traumatisé à ce point, je crois qu’il en aurait fait cas dans son autobiographie”
Dans un long article publié sur The Atlantic en 2000, Alston Chase développait déjà son hypothèse en prétendant se baser sur les confessions de Kaczynski lui-même, dans une correspondance qu’ils ont entretenue à partir de 1998 (il venait d’être condamné à la prison à perpétuité) : “Il m’a dit que le Centre de Recherche Henry A. Murray […] avait refusé de partager les données de l’équipe d’analystes de Murray […]. Kaczynski laissait entendre que le Centre Murray avait l’air d’avoir quelque chose à cacher. Un de ses avocats lui a rapporté que le centre avait demandé aux psychologues qui avaient participé à l’expérience de ne pas en parler à l’équipe de défense”. Dans les archives que Chase a pu consulter, il rapporte une description horrifique de l’expérience par Murray lui-même, qui évoque des attaques “véhémentes, radicales et intimement violentes” visant à ébranler les croyances les plus chères des sujets.
La CIA serait bien derrière cette expérience
La CIA était-elle derrière cette manipulation mentale ? “Je pense que oui, sans être totalement certain, tempère Jean-Marie Apostolidès. Alston Chase donne dans son livre un tableau terrifiant de Murray, qui m’a paru fondé sur les informations sérieuses et une recherche approfondie. Son livre mérite d’être lu, ne serait-ce que pour cette raison.”

Si la série choisit de faire du passage à Harvard de Kaczynski un événement déclencheur dans la métamorphose du futur anarchiste – suivant en cela le fil conducteur du livre d’Alston Chase -, c’est cependant aussi pour faire vibrer une corde sensible chez le public américain. Le fait que ce serial-killer se soit radicalisé dans le Landerneau des élites américaines a quelque chose de fascinant. Mais sa formation idéologique est en réalité intervenue plus tard : “A mon avis, la passion anti-technologique de T.J.K. remonte à son enfance, aux expériences dans la nature faites avec son père et son jeune frère. Quant à la théorie anti-technologique qui l’accompagne, elle est plus tardive et ne survient qu’après la lecture des livres de Jacques Ellul. C’est du moins mon hypothèse. Mais Harvard tient une telle place dans l’imaginaire américain – je connais bien cette université pour y avoir enseigné pendant six ans – qu’il était tentant d’en faire une étape importante dans le développement intellectuel et sensible de Theodore Kaczynski. Harvard fait partie de la légende américaine ; en liant ce lieu mythique à l’aventure de T.J.K., l’auteur faisait d’une pierre deux coups, donnant ainsi un intérêt encore plus considérable à cette histoire”, développe Jean-Marie Apostolidès, qui a préfacé le Manifeste de 1971 – L’Avenir de la société industrielle, d’Unabomber (éd. Flammarion, 2009).
“Harvard fait partie de la légende américaine ; en liant ce lieu mythique à l’aventure de T.J.K., l’auteur donnait un intérêt encore plus considérable à cette histoire”
“Si les auteurs de la série avaient lu son autobiographie, ils auraient construit autrement leurs épisodes”
Par la suite, Theodore Kaczynski a obtenu un doctorat en mathématiques à l’âge de 25 ans, et enseigné pendant deux ans à l’université de Berkeley avant de démissionner en 1969. A l’instar d’Henry David Thoreau (l’auteur de Walden, qui raconte sa vie passée dans une cabane isolée pendant deux ans), le mathématicien a ensuite vécu reclus dans une cabane de 15 mètres carrés perdue dans le Montana, où il ruminait ses théories néo-luddites en confectionnant ses bombes artisanales. Manhunt : Unabomber relate avec précision l’enquête menée par le profileur du FBI qui a permis de le démasquer.
Pour Jean-Marie Apostolidès, l’auteur de L’Affaire Unabomber (éd. Le Rocher, 1996), la série est globalement fidèle à la réalité, malgré une petite entorse : “La seule réserve que je puis avoir est le fait que les auteurs ne semblent pas avoir pris connaissance de l’autobiographie de Kaczynski. Or, parmi tous les documents que j’ai eus entre les mains, ce texte me paraît le plus complet, celui qui apporte le plus d’information sur cette histoire et sur la vie personnelle et intellectuelle de Ted. Sans me mettre trop en avant, on dirait que je suis le seul à avoir lu ce manuscrit. Pourquoi ? Est-ce parce que je suis le seul auquel l’université du Michigan ait permis de le lire ? Ou parce que je suis le seul à savoir qu’un tel document existe (il fait plus de 500 pages) ? Dans tous les cas, si les auteurs de la série l’avaient lu, ils auraient construit autrement leurs épisodes, en multipliant les renvois à la jeunesse de Ted, et même à son enfance, puisque ce texte y fait de nombreuses références. C’est là ma seule réserve à l’égard de cette série, que j’ai trouvée passionnante et bien réalisée. Le personnage garde son mystère mais il n’est pas présenté comme un fou, comme un simple malade mental, comme plusieurs auteurs américains l’ont dépeint.”

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Articles de presse

Des news du front des implants !

On nous parle comme d’habitude des merveilleuses applications médicales, et le reste, restera en suspend…

Un implant cérébral pour booster la mémoire, c’est fait.

Grâce à un implant cérébral, des chercheurs ont amélioré les capacités de mémorisation d’une vingtaine de patients en leur délivrant des impulsions électriques ciblées dans l’hippocampe, région clé pour l’apprentissage et la mémoire.

PROTHÈSE. Apprendre plus vite et mémoriser mieux, sans effort : telle est la perspective ouverte par un nouvel implant cérébral conçu et testé à l’université de Californie du Sud. En utilisant un dispositif délivrant des impulsions électriques au cœur du cerveau, l’équipe du docteur en ingénierie biomédicale Dong Song, est parvenue à améliorer de 30 % la mémoire des 20 participants à l’expérience. L’annonce de ces travaux a été faite au congrès annuel de la Society for Neuroscience, qui s’est déroulé à Washington (États-Unis) à la mi-novembre, et relayée par le NewScientist. « Cela n’avait jamais été fait auparavant », a précisé le Dr Song, qui parle d’une véritable « prothèse de la mémoire ».

Les volontaires étaient des patients atteints d’épilepsie déjà équipés d’implants cérébraux pour traiter leurs crises. L’idée était donc de réorienter temporairement la fonction du dispositif pour le bien de l’essai. Pour cela, il a fallu étudier la façon dont la mémoire s’activait dans le cerveau de chaque participant, afin de savoir précisément comment le stimuler. Concrètement, les chercheurs ont distingué deux types de mémoire : celle à court terme, qui stocke l’information de façon passive sur une durée inférieure à une minute ; et la mémoire de travail, qui s’étale sur une durée plus longue et enregistre les informations de façon active permettant de les manipuler. Dans un premier exercice, les volontaires devaient se souvenir de formes indistinctes et inhabituelles — type bulles informes —  perçues 5 à 10 secondes auparavant ; dans le second, il s’agissait de reconnaître des images présentées 10 à 40 minutes avant.

Améliorer… puis manipuler le cerveau

Ces résultats ont permis d’établir les schémas d’activité cérébrale adéquats à renforcer par stimulation électrique. En effet, au lieu de stimuler au hasard l’hippocampe — structure clé dans l’apprentissage et la mémoire —, « nous écrivons le code neural pour améliorer le fonctionnement de la mémoire », a expliqué le Dr Dong Song. Ainsi, avec le bon modèle d’activation cérébrale, les participants ont vu leurs capacités augmentées d’environ 15 % dans les exercices de mémoire à « court terme » et de 25 % sur ceux concernant la mémoire de travail. En revanche, une stimulation aléatoire avait plutôt tendance à détériorer les résultats de référence. Mieux vaut donc être précis…

L’essai ouvre ainsi des perspectives dans le traitement des troubles de la mémoire, notamment les formes de démence comme Alzheimer. « Dans ces affections, un grand nombre de cellules au niveau de l’hippocampe sont détruites. Une prothèse de mémoire pourrait pallier le déficit de ces zones endommagées. Cela devrait restaurer les fonction cognitives », explique le Dr Song au NewScientist. Ces résultats ont en tout cas été accueillis avec enthousiasme par plusieurs de ses pairs qui n’ont pas travaillé sur ce projet. « Des résultats excitants et potentiellement importants » pour Sinead Mullally, de l’Institut des neurosciences de l’université de Newcastle (Royaume-Uni).

Au-delà de l’intérêt de ces travaux pour remédier en partie aux déficits cognitifs, l’expérience pourrait ouvrir la voie à toutes sortes de manipulations neurales. L’équipe travaillerait d’ailleurs au renforcement d’autres fonctions. « Si vous pouvez améliorer telle région, vous pouvez appliquer la technique à d’autres structures », imagine le Dr Song. Ainsi des fonctions plus ou moins localisées du mouvement (cortex moteur) ou de la vision (cortex visuel). Plus inquiétant, il serait même techniquement possible de créer de faux souvenirs… En théorie, il « suffirait » de cerner le schéma neural de telle ou telle perception pour activer le cerveau en ce sens et lui faire croire en une perception qu’il n’a pas eue. « Nous avons commencé à travailler là-dessus », prévient Dong Song.

Source :  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/un-implant-cerebral-pour-booster-la-memoire-c-est-fait_118548

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Transhumanisme

Rentée 2017

Quelques articles intéressants :

Un article de Lez avec un passage traduit de Military Neuroscience and the Coming Age of Neurowarefare  de Armin Krishnan.

Un article de

Mais aussi La Stimulation Elecrique du Cerveau Extraits du livre intitulé « Physical Control of the Mind» La Stimulation Electrique du CerveauVers une société psycho-civilisée Jose M. Delgado. Le sinistre Delgado dont on poursuit en France à Clinatec les travaux dignes de J. Mengele .

 

En avant goût un extrait qui sera très parlant à tous ceux qui balayent ce sujet de la main dés qu’ils y sont confrontés, on comprend aisément que c’est dérangeant de réfléchir à cela et surtout aux dérives potentielles. En effet on ne nous présente souvent que les applications thérapeutiques ou médicales et jamais le coté obscure…

Sous le capuchon chacune des patientes porte un stimoceiver utilisé pour stimuler le cerveau par radio et pour transmettre les signaux d’activité électrique du cerveau
Oui oui ça existe depuis plus d’un demi siècle, imagine ceci maintenant dans une société des télécommunications satellitaires…
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Armes electroniques

Implantation de citoyens Polonais, ignorant l’existence d’un tel dispositif

Traduction de l’article de stopzet http://stopzet.org/2016/09/10/implantowanie-nieswiadomych-obywateli/

Ce n’est pas compréhensible à 100%, ne comprenant pas du tout cette langue, mais il  y a plein de choses intéressantes malgré tout.

Il y a beaucoup d’informations sur l’implantation humaine illégale, presque toutes concernent des pays occidentaux en pleine croissance. Mais ils reçoivent de nombreux signaux de personnes qui soupçonnent que des implants ont été injectés en Pologne.

IMPLANTS

Nous avons publié il y a quelque temps les photos que nous avons reçues de votre part du nord de la Pologne. Il était convaincu qu’il avait été implanté dans le microphone d’écoute EEG, et il a donné une fréquence spécifique qui appartient à l’un des principaux opérateurs de téléphonie mobile en Pologne. Selon lui, cela s’est produit il y a une dizaine d’années, il a vu un dentiste dans son appartement privé et il a ensuite perdu conscience. Plus tôt, le même jour, il traitait ses dents avec cette personne. Tout l’événement s’est accompagné d’un état d’hypnose, ou d’un état similaire, probablement causé par une sorte d’appareil portable émettant un rayonnement précis, destiné à un être humain, cause en lui une très forte fatigue, somnolence et même anesthésie. Après tout l’événement, on a dit que l’ORL était sans méfiance, finalement vous avez décidé d’acheter un appareil photo otoscopique et les photos qu’il a réussi à prendre montrent clairement…. Chers lecteurs, tirez vous-même des conclusions.

L’implant est collé sur la peau par le tympan, une photo prise par un individu avec un implant.

Je pense que l’implant a été mal placé parce que sa forme est une preuve de la méthode d’insertion sous la peau au moyen d’une aiguille. Si aucune erreur n’avait été commise et qu’on supposait qu’il était sous la peau, alors nous n’aurions pas eu l’occasion de regarder sa construction sur une photo couleur, donc nous apprécions beaucoup de telles découvertes et nous espérons que la plupart des lecteurs partagent cette opinion, car il pourrait bientôt s’avérer que des milliers d’autres personnes pourraient être secrètement implantées dans le but de désintégrer leur personnalité et causer divers symptômes de maladie mentale, et d’autres inhumains de la recherche scientifique, les opérations de services spéciaux Si nous n’avions pas été courageux et audacieux comme le réalisateur, nous n’aurions peut-être pas été convaincus de cela depuis longtemps. Cependant, à cause de l’erreur d’une personne qui a fait un implant illégal, l’implant était SUR JAMAIS, dans le conduit auditif, juste à côté du tympan.

Dr Jerzy Kulig, lors d’un discours à la télévision polonaise sur l’implantation de nouveau-nés. http://halopolonia.tvp.pl/25221243/05052016-chipowanie-noworodkow dit que les implants injectés sous la peau sont recouverts d’un adhésif en polypropylène, qui est censé les empêcher de se déplacer sous la peau. L’implant que nous voyons sur la photo ci-dessus a donc très probablement été collé sur la peau.

Récemment, nous avons récemment vu d’autres photos intéressantes, cette fois-ci la Résonance Magnétique (les deux premières photos ci-dessous contrastent avec le contraste). Les implants découverts sur eux sont également localisés dans les oreilles, devant le tympan. Veuillez tenir compte de l’angle de pose identique chez les deux personnes, ceci peut indiquer la procédure de pose de ces implants, la formation des personnes qui le font.

M. D. Oreille droite et gauche de l’IRM avec contraste, résultats avec description reçus seulement 15 minutes après l’examen.

Mr K. – oreille droite

Veuillez noter où sur la photo suivante il y a un marteau, une enclume, un cylindre et une vis.

Le film montre les endroits mentionnés ci-dessus dans l’ordre suivant à partir du côté de l’écouteur

Puce RFID -> tambour avec marteau et enclume -> vis

https://youtu.be/QcViv3MIRsU

Ce que l’on peut dire à propos de ces implants, en plus d’être utilisé pour la télémétrie à distance, la lecture de l’EEG (bral) et à l’aide d’un ordinateur qui cartographie notre EEG et non le nôtre, il est possible d’appliquer diverses ondes cérébrales sur le cortex cérébral, de visualiser et d’afficher des mémoires, des pensées intrusives, et il est également possible de placer des images à travers les soi-disant « ondes cérébrales ».

Des informations sur le projet de « modem » cortical sont apparues dans le magazine transhumanistic Humanity Plus, qui indique que l’agence gouvernementale travaille sur une puce de l’interface neuronale directe (DNI), qui peut être utilisée pour le développement de la fonction humaine et les réparations motrices et fonctionnelles.

Phillip Alvelda, directeur de la technologie de la biologie à la Biology Is Technology Conference de la semaine dernière dans la Silicon Valley, a déclaré que le projet avait pour objectif à court terme de construire un appareil d’une valeur de 10 $ avec une taille de deux pièces de cinq cents qui peut livrer des images sans avoir besoin de lunettes ou d’une technologie similaire.

Source: PrisonPlanet. pl

PETER ROTHMAN:

Premièrement, cette technologie pourrait redonner les sens à ceux qui ne peuvent pas être guéris pour le moment. Deuxièmement, ce matériel pourrait remplacer n’importe quel affichage de la réalité virtuelle ou élargie. En bloquant le système visuel, nous pouvons ainsi afficher des images à l’intérieur du cortex visuel, recouvrant le monde réel d’une image virtuelle. De plus, l’optogénétique permet à la fois la lecture et l’enregistrement des informations. On peut imaginer un appareil dans lequel les objets virtuels sont fortement intégrés au monde réel. Le modem cortical fonctionnel permettrait même la télépathie électronique et la télékinésie. Il s’agit d’une véritable version des interfaces connues des ouvrages de science-fiction d’auteurs tels que Willaim Gibson ou Ramez Naam.

Comme si cela ne suffisait pas, une telle puce peut être utilisée pour effacer électroniquement la mémoire et les voix internes envoyées par transmission radio (sous-seuil), donnant des ordres auxquels on ne peut résister.

Les chercheurs Walter Bowart, Martin Cannon et d’autres ont découvert une méthode psycho-électrique qui pourrait jouer un rôle très important dans les opérations secrètes. Il semble que les scientifiques de la CIA ont mis au point le contrôle intracérébral radio-hypnotique (RHIC-EDOM – Radio Hypnotic Intracerebral Control – Electronic Dissolution of Memory erase).

Ces techniques peuvent induire des états de transe hypnotique, suggérer des commandes ou effacer complètement la mémoire à distance. RHIC nécessite un implant musculaire interne qui est stimulé de telle sorte qu’il active les ordres post mortem

L’EDOM consiste en une perturbation de la transmission synaptique dans certaines régions du cerveau, telle que décrite au chapitre 1. Cette méthode peut être utilisée pour évoquer des trous de temps qui se produisent pendant les enlèvements d’OVNI ou pour effacer des souvenirs d’un événement spécifique.

Le RHIC de la personne testée est utilisé pour implanter un récepteur radio électronique miniaturisé, qui est une procédure qui peut être lue dans les documents COM-12: »L’implantation est réalisée par des forces spéciales spécialement formées et formées. Le traitement implique l’implantation d’un émetteur miniaturisé à l’endroit approprié, tel que des lattes frontales ou temporelles d’objets de test.

Si l’on considère que le Dr Jose Delgado a déjà expérimenté les implants à la fin des années 1950 et au début des années 1960 et qu’il est décrit au chapitre 2 du Stimoceiver, il est raisonnable de supposer que cette technologie a été améliorée et développée au cours des 37 dernières années. Plus loin dans les documents, on peut lire: »L’appareil agit comme un stimulateur pour stimuler les muscles, les nerfs ou les fréquences des ondes cérébrales. Lorsque le signal est reçu, il déclenche la réponse attendue. Le récepteur génère des impulsions sensorielles qui sont reçues par différents nerfs. Les récepteurs servent de base cognitive.

Dès que l’objet à tester est déplacé, l’implant peut être stimulé à distance. De cette façon, une personne peut développer des réflexes conditionnels semblables aux chiens de Paw? ów. Expériences menées par le Dr. Delgado et d’autres scientifiques prouvent que la stimulation électrique peut être utilisée pour évoquer la lévitation, des visions colorées et des émotions diverses.

Le Dr Robert Duncan a écrit le Dr Robert Duncan au sujet du CIRS et de l’EDOM et d’autres programmes, techniques et technologies dans l’un de ses livres, qui doivent être achetés sur amazon

En ce qui concerne les implants et plus encore, le Dr Barrie Trower, qui sert dans l’armée depuis les années 1960, où il se spécialise dans les micro-ondes depuis environ 40 ans, parle très précisément des implants et plus encore. Pendant 8 minutes et 26 secondes, il a parlé du début de l’implantation de microprocesseurs au Royaume-Uni, des raisons pour lesquelles ils ont soudainement cessé d’exister, des types d’implants qui ont été soudainement abandonnés, de ce qui aurait déjà pu être manipulé dans des organismes humains avec leur aide. Quelle est la question des voix envoyées à la tête, quelle est elle (une des techniques utilisées pour stimuler la cochlée dans l’oreille interne), quels types de voix peuvent être envoyées sans fil vers la tête . https://youtu.be/xjyxmrXQ10o?t=8m25s

L’introduction de boyaux biotechnologiques à l’intérieur du corps peut être considérée comme une curiosité et une introduction effrayante et audacieuse de changements dans nos organismes à notre insu et sans notre consentement. Nous avons pu voir cette technologie lors du discours de Kieron Lee Perrin. La présentation a été enregistrée lors de la deuxième Conférence du Projet Terre, qui a eu lieu le 23 avril 2016 au Club littéraire de Varsovie.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg

De 8 minutes à 53 secondes d’une minute, Kieron discute de ces câbles dans la région de la hanche. Il se trouve que par hasard, j’ai trouvé une photo d’un jeune Polonais, où j’ai probablement remarqué ces fils, mais j’ai dû retirer la photo à la demande de cette personne. Je dois avouer que j’ai été choqué par cette découverte, je ne m’attendrais jamais à ce que de telles choses soient également faites en Pologne.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg?t=8m58s

En résumé, l’IRM, sans contraste, est capable de démontrer que des implants sont placés dans les canaux auditifs. Je vous recommande de faire un test BEZ de contraste.

Les implants ont des composants en cuivre, ce qui signifie qu’ils ne doivent pas réagir avec un champ magnétique fort pendant l’IRM, et les personnes qui ont pris les photos ci-dessus ne sont pas capables de bien faire malgré les implants sur le test. Cependant, tous les autres objets métalliques, surtout s’il s’agit d’acier, doivent être déclarés avant l’examen.

Il est très important que vous ne suggériez pas un médecin, un radiologue qui « n’ a rien détecté » parce que toutes les personnes mentionnées dans les photos avaient aussi une telle opinion. Nous vous recommandons de chercher des photos vous-même, maintenant vous savez ce qu’il faut chercher.

Si quelqu’un avait des photos similaires, nous serions très intéressés à envoyer des captures d’écran anonymes à kontakt@stopzet.org

Si vous avez un sondage mais que vous ne pouvez pas le voir sur votre ordinateur, veuillez communiquer avec nous au 789_38_26_28 ou appelez-nous au 789_38_26_28.

pisał Krzysztof Damian

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Transhumanisme

Des scientifiques sont parvenus à pirater un cerveau à distance et à contrôler les mouvements du corps

Imaginez quelqu’un qui contrôle à distance votre cerveau, forçant l’organe de traitement central de votre corps à envoyer des messages à vos muscles que vous n’avez pas autorisé. C’est une pensée incroyablement effrayante, mais les scientifiques ont réussi à accomplir ce cauchemar de science-fiction de façon tout à fait réelle, mais à une échelle très réduite, et ils ont même pu inciter leur sujet d’essai à courir, à se rester figer ou même à perdre complètement le contrôle de leur Membres. Heureusement, la recherche sera utilisée pour le bien plutôt que pour le mal … pour l’instant.
L’effort, dirigé par le professeur de physique Arnd Pralle, Ph.D., de l’Université du Buffalo College of Arts and Sciences, s’est concentré sur une technique appelée «stimulation magnéto-thermique». Ce n’est pas exactement un processus simple: cela nécessite l’implantation de brins d’ADN spécialement construit pour cela et des nanoparticules qui se rattachent à des neurones spécifiques – mais une fois la procédure peu invasive terminée, le cerveau peut être commandé à distance via un champ magnétique alternatif. Lorsque ces entrées magnétiques sont appliquées, les particules se réchauffent, provoquant le déclenchement des neurones.
L’étude, qui a été publiée dans la plus récente édition de la revue eLife , comprend des expériences sur les souris. À l’aide de la nouvelle technique, les chercheurs ont pu contrôler le mouvement des animaux, les faire rester immobiles, figer leurs membres, se retourner ou même courir.

 

En dépit du fait que cela a seulement être testé sur des souris, la recherche pourrait avoir des implications profondes dans le domaine de la recherche sur le cerveau. Le Saint-Graal pour les rêveurs comme Elon Musk, c’est que nous serons un jour capable d’améliorer notre cerveau pour éliminer les troubles de l’humeur et nous faire des créatures plus parfaites. Cette recherche révolutionnaire pourrait très bien constituer une étape importante vers cet avenir.

 

Source: BGR

Traduction: Fawkes News

Ti = cobayes gratuits pour le futur que nous construisent nos élites. Les autres dormez tranquilles, nous ne sommes que de pauvres fous qui entendons des voix…
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Pont-Saint-Esprit (1951) : un village empoisonné par la CIA

Pas facile d’être crédible avec les symptômes d’une pathologie psychologique induite.( principe de déniabilité- facile de nier)

Mais ceci est un début pour attirer l’attention sur le fait que les pires atrocités sont commises sur les populations. Pas qu’ aux USA, le phénomène TI est mondial.

Cette vidéo ahurissante prouve encore une fois le complot de manière aveuglante. Après avoir vu ce documentaire tout ce qu’il y a de plus officiel, diffusé sur France 3 cette semaine, produit en 2015, vous apprendrez que : les USA (CIA et armée) ont tué leurs concitoyens en les utilisant comme cobayes. Ils les ont irradiés, hypnotisés et drogués pour les transformer en tueurs professionnels, ils parlent du projet MK-Ultra, de l’épandage de LSD et autres drogues dans le ciel, de la libération de virus dans le métro… et bien d’autres horreurs inavouables qui sont pourtant déclassifiées et que l’on trouve dans les archives officielles US (trépanations, électrochocs monstrueux qui ont rendu folles les victimes,…) !!! L’histoire de Pont-Saint-Esprit n’est rien à côté de ce qu’ils ont fait à leur propre peuple. On imagine qu’ils ont testé des milliers de choses du même acabit sur les peuples des pays qu’ils ont bombardés et colonisés depuis un siècle.

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Scientists control mouse brain by remote control

Article de Reuters Jul 24, 2015

http://www.reuters.com/article/us-usa-wireless-mouse-brain-idUSKCN0PY24920150724?feedType=RSS&feedName=scienceNews

 

Scientists have successfully altered the neural networks of laboratory mice using a wireless controller; allowing them to study the effects of neural stimulation without invasive procedures and without test subjects tethered by wires.

The tiny implant, smaller than the width of a human hair, let the scientists determine the path a mouse walks using a remote control to inject drugs and shine lights on neurons inside the brain.

Neuroscientists have until now been limited to injecting drugs through larger tubes and delivering photostimulation through fiber-optic cables, both of which require surgery that can damage the brain and restrict an animal’s natural movements.

The optofluidic implant developed by the team from Washington University School of Medicine and the University of Illinois was found to damage and displace much less brain tissue than the metal tubes, or cannulas, scientists typically use to inject drugs.

The device is mounted to the head of the mouse and is powered by a small battery, removing the need for it to be wired, and contains tiny reservoirs filled with the drugs to be administered during tests.

In one such experiment, mice were made to walk in circles after a drug that mimics morphine was injected into the region of the mouse’s brain that controls motivation and addiction.

In other tests the scientists used a technique known as optogenetics, where mice have been modified so that their neurons are lights sensitive, to stimulate the mice’s brain cells with miniature LEDs. The test subjects were made to stay on one side of a cage by remotely making the implant shine pulses of light on the specific cells. The mice were about three feet away from the remote antenna during the experiments.

The research, published recently in scientific journal Cell, could lead to the development of more minimally invasive probes to treat neurological disorders including stress, depression, addiction, and pain.

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Les cobayes de la CIA – MK-Ultra sur rtbf.be (Janvier 2017)

Docu de la RTBF : https://youtu.be/hp-RK7Wwb_w


Comme souvent le lien est HS. Il suffit de faire la recherche « Les cobayes de la CIA – MK-Ultra sur rtbf.be » pour retrouver la vidéo.


(2019) – C’est justement en recherchant un nouveau lien que je suis tombé sur cet article : http://mk-polis2.eklablog.com/les-cobayes-de-la-cia-mk-ultra-sur-rtbf-be-janvier-2017-a128122742

Nos voisins belges de la rtbf (radio télévision belge francophone) viennent de diffuser un documentaire exposant les programmes occultes de contrôle mental de la CIA ; aujourd’hui connus sous le nom de Bluebird, Artichoke, MK-Delta ou MK-Ultra. Merci à Olivier Pighetti, réalisateur de l’excellent « Un Village empoisonné par la CIA ? Pont Saint-Esprit 1951 », dont voici en introduction un entretien radiophonique concernant son nouveau documentaire : https://www.dailymotion.com/video/x58wcrg

 

Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des rats de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manoeuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré. Avec un cynisme froid et une volonté sans limite, dans une ambiance de guerre froide, les Américains ont tout tenté pour trouver  » l’arme parfaite  » qui permettrait d’asservir des individus ou des populations entières. Cette course à l’arme idéale a ainsi mené à des manipulations les plus folles et les plus terrifiantes afin de s’assurer la suprématie sur les autres pays du monde.

À l’aide d’images d’archives fortes, de témoignages de survivants, de documents secrets déclassifié ou encore d’interviews de membres retraités de la CIA ou de l’armée, le documentaire montre d’une façon rigoureuse comment la CIA a mis en place une politique de la terreur, en se servant avant tout du LSD, qui semblait la drogue la plus  » prometteuse « , mais aussi des électrochocs, des lobotomies, de l’hypnose… Tout citoyen pouvait un jour se retrouver  » cobaye  » non volontaire de la CIA. Ce documentaire démontre l’implication forte des services américains pour infiltrer, financer et recruter des chimistes qui étaient pour la plupart de brillants éléments la société civile. Il montre enfin comment les hommes de la CIA et de l’armée ont pu agir sans aucune considération pour la vie d’autrui.


Continuez de rire jusqu’à ce que cela tombe sur vous ! Ajoutez à ce risque (Tous les sous programmes MK), la pédo (v. Zandvoort, le fichier de la honte – Karl Zéro Absolu) et les attentats sous faux drapeaux (v. Le réseau Gladio – Armée secrète d’Europe)… Ou « quand les puissants décident de prélever des individus dans le troupeau »…

Puisqu’on vous dit que ce sont des humanistes bienveillants, faites votre devoir, allez voter ! N’oubliez pas, en glissant votre bulletin dans l’urne, que votre candidat n’hésitera pas, et tant pis si ça tombe sur vous, vos parents ou encore vos enfants. Surtout ne demandez jamais qu’ils rendent des comptes, et continuez à vous moquer des Targeted Individual avec leurs chapeaux en alu, c’est tellement drôle des gens, sans défenses, torturés à distance par le biais d’ armes invisibles !

L’idiot utile, comme on en trouve en pagaille sur le net, complice des nazis, qui prend la pause… Si tu te reconnais va regarder ceci à la fin il dit « afin de lire et écrire dans le cerveau, en temps réel et à distance« . Mais tu as raison ne questionne personne et réagi comme tu as été programmé, rigole et oublie ca fait du bien…


Soyez conscients qu’une grosse partie des atrocités de ce qui est décrit dans le docu de la RTBF est désormais réalisable à distance, j’y ai reconnu un certain nombre de techniques décrites qui me sont infligées depuis 26 ans que je suis ciblé. Techniques dont je parle en partie (parce que décrire cette merde c’est pas facile…) dans la section « à propos » du blog.

Comment faire que cela cesse? Allez vous présenter au comico du quartier, pour raconter à Pinot que vous êtes la cible d’armes invisibles, de voix pulsées à distance etc… Principe de « déniabilité » (<- anglicisme compréhensible) ! Imparable, ce que l’on ne voit pas, n’existe pas, vous êtes schizo, au mieux on n’enregistrera pas votre plainte. Les boules roses et la camisole, au pire je vous laisse imaginer…

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Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains

Des laboratoires top-secrets mènent depuis des années leurs expériences sur des cobayes humains. Une pratique aussi confidentielle qu’effrayante. Découvrez une séléction des expériences les plus choquants.

Quand la CIA efface la mémoire

La CIA américaine a mené plusieurs projets pour effacer l’identité: Bluebird (ou Artichoke, 1951-1953) et МК ULTRA (MKSEARCH, année 1950-1960). Les principaux cobayes étaient des patients inertes des cliniques neurologiques, dont la plupart ignoraient tout des expériences menées sur eux. Bluebird avait pour but de créer un sérum de vérité infaillible. En utilisant des substances psychotropes et les électrochocs, les chercheurs provoquaient chez les sujets une amnésie artificielle, leur inculquaient de faux souvenirs et « multipliaient » leur identité.

Le projet MK ULTRA était incomparablement plus coûteux et global. Il étudiait toute la diversité des moyens d’impacter la raison (y compris des enfants): de la biologie à la radiologie. Par exemple, dans le cadre d’un des 149 sous-projets, plus de 1 500 soldats américains recevaient avec leur nourriture des produits psychotropes pour évaluer leur opérationnalité « sous l’emprise des substances ». L’information obtenue dans le cadre de MK ULTRA est utilisée aujourd’hui dans le travail des renseignements, même si en 1972 le projet a été fermé après un scandale et qu’une partie de sa documentation a disparu.

 

Pour une poignée de shekels 

L’armée israélienne a également mené des expériences sur ses soldats: on a appris en 2007 qu’entre 1998 et 2006, dans le cadre des projets secrets Omer-1 et Omer-2, des médecins militaires israéliens cherchaient un vaccin « contre une arme bactériologique similaire à l’anthrax ». Les 716 soldats participant aux expériences n’ont pas été informés des risques, des éventuelles conséquences et il leur était interdit d’évoquer les détails des recherches avec leurs proches.

En 2007, un groupe d’anciens sujets souffrant des conséquences de cette expérience – tumeurs, ulcères, bronchite, épilepsie – s’est adressé au ministère de la Défense pour se plaindre de leur mauvais état de santé. Ils ont été soutenus par le syndicat des médecins et l’organisation Médecins pour les droits de l’homme qui sont allés jusqu’à la Cour suprême pour exiger une enquête. Mais ils ont obtenu l’effet inverse: le tribunal n’a pas seulement décliné la requête mais il a interdit de publier une partie des informations sur l’expérience.

L’armée hésitait entre réagir en disant que rien ne s’était produit et mettre en avant que les soldats avaient accepté eux-mêmes. Il a été déclaré à la presse que les participants aux projets Omer étaient uniquement des volontaires qui savaient dans quoi ils s’engageaient et pouvaient quitter la partie à tout moment. Il a été suggéré aux victimes de s’adresser aux établissements médicaux où leur guérison promettait d’être longue, car les victimes ne disposaient pas de la moindre information sur les effets subis.

Le principal concepteur de l’expérience, le docteur Avigdor Sheferman (ancien directeur de l’Institut israélien de biologie), est parti ensuite au Canada pour mener des recherches identiques dans une compagnie médicale. Les résultats des projets Omer ont été remis à l’armée américaine pour plusieurs centaines de milliers de shekels.

 

Une véritable ségrégation médicale

Les États-Unis sont leaders de ce genre d’expériences. C’est dans ce pays qu’entre 1932 et 1972 se déroulait une expérience qu’on pourrait considérer à la fois comme un symbole de ségrégation raciale et de barbarie médicale. A Tuskegee, Alabama, le groupe médical sous la direction du docteur Clark Taliaferro avait pour objectif d’étudier tous les stades de la syphilis.

L’étude consistait à suivre un groupe de Noirs déjà contaminés. Pourquoi? Car à cette époque ils étaient encore considérés comme moins instruits et plus influençables. La plupart ignoraient leur maladie – c’était une condition de l’expérience. Toutes les manipulations étaient présentées comme des « soins du mauvais sang ». 76 des 399 participants sont restés en vie à l’issue de l’expérience. 128 personnes sont décédées de la syphilis et de ses complications. 40 hommes ont infecté leur femme et 19 enfants sont nés avec la syphilis.

En 1946 l’expérience a été élargie: une partie des médecins a été envoyée au Guatemala où pendant deux ans ils infectaient sciemment des soldats, des prostituées, des prisonniers, des mendiants ou des malades mentaux – jusqu’à 5 000 personnes au total.

C’est seulement en 1972 après la tribune d’un médecin dans le Washington Star qu’une commission spéciale s’est penchée sur les recherches à Tuskegee pour reconnaître leur illégitimité. Le gouvernement américain a alloué 9 millions de dollars pour aider les survivants, et 25 ans plus tard leurs proches ont entendu les excuses du président Bill Clinton. La trace latino-américaine n’a été découverte qu’en 2010 grâce à la publication des notes du docteur Cutler – l’un de ceux qui travaillaient pour ce programme au Guatemala. 750 victimes guatémaltèques ont porté plainte contre l’université Jones Hopkins, et Barack Obama a présenté ses excuses au peuple du Guatemala en la personne du président Alvaro Colom.

Des épidémies artificielles introduites dans le métro

Les chercheurs américains ne ménageaient pas vraiment leur grande nation. Des chimistes testaient sur les recrues l’effet toxique de l’ypérite (pour améliorer les masques à gaz), ou encore pulvérisaient des composants toxiques sur plusieurs villes canadiennes et américaines. Dans les années 1950, des épidémies artificielles ont été provoquées en Floride et en Géorgie. A la fin des années 1960, on a testé dans le métro de New York et de Chicago la vulnérabilité des passagers aux attaques biochimiques cachées en envoyant sous terre la bactérie Bacillus subtilis. En 1963-1969, le Pentagone a lancé sans avertissement sur les navires de sa marine plusieurs types d’armes chimiques et bactériologiques.

Les analystes de la radiation soignaient à différentes époques les adénoïdes avec des barres de radium et le cancer de l’estomac (les diagnostics étaient faux) avec des injections de plutonium, nourrissaient des futures mères avec des sels de fer radioactif sous la forme d’une boisson de vitamines, faisaient exploser des bombes atomiques dans le Nevada et sur les îles Marshall, testaient l’iode radioactif sur les femmes enceintes et en nourrissaient les nouveau-nés.

 

Des orphelins-cobayes

Les enfants ont toujours été les sujets les plus convoités par les chercheurs. « L’étude de l’effet des jugements de valeur sur la fluidité verbale des enfants » réalisée en 1939 à l’université de l’Iowa, connue comme « Monster study », est une expérience horrible même si elle n’a pas provoqué de nombreuses morts ni d’invalidités et impliquait seulement une influence verbale.

Le psychologue Wendell Johnson et son aspirante Mary Tudor ont sélectionné dans un orphelinat 22 enfants de différents âges, et dans les cinq mois qui ont suivi Tudor rendait régulièrement visite à chacun d’entre eux pour une conversation de 45 minutes. Certains appréciaient ces échanges car Mary les félicitait pour leur capacité de lecture et leur élocution. Mais d’autres enfants, après quelques visites, ont commencé à éprouver des problèmes d’élocution, de comportement et de réussite à l’école parce que Tudor se moquait d’eux et leur reprochait de faire des fautes verbales.

Il faut dire que Johnson était guidé par un intérêt tout à fait scientifique: les véritables causes du bégaiement n’ont toujours pas été établies. Il supposait qu’il était possible de provoquer un bégaiement même en l’absence de prédispositions physiologiques.

Les successeurs de Johnson et de Tudor jugent que les travaux de ces derniers sont les plus exhaustifs sur le bégaiement, y compris les premières informations qu’ils ont pu recueillir sur le rôle des sentiments et des pensées du bégayant. Par contre, les enfants traumatisés ont vécu avec leurs complexes toute leur vie.

A l’issue de l’expérience, Mary Tudor est revenue plusieurs fois à l’orphelinat pour se repentir, espérant redonner aux enfants leur estime de soi. L’université, pour sa part, a tenu secrètes ces recherches jusqu’en 2001, date à laquelle la presse en a pris connaissance: l’établissement a alors présenté des excuses officielles aux victimes. En 2003, six d’entre elles ont saisi le parquet de l’État pour exiger de les indemniser pour préjudice moral. Quatre ans plus tard, ils ont obtenu 925 000 dollars pour tous les plaignants.

 

Une expérimentation pour éradiquer l’homosexualité dans un pays

Les victimes des expériences homophobes d’Aubrey Levin pourront difficilement compter sur une indemnité ou même une enquête officielle. Entre 1970 et 1989, l’armée sud-africaine faisait l’objet d’un « nettoyage » des recrues homosexuels. Les données officielles parlent de milliers de victimes mais nul ne connaît le chiffre réel. L’information sur ce programme a été révélée en 1995 dans le journal sud-africain Daily Mail and Guardian. Dans une interview le responsable du projet, ex-psychiatre en chef d’un hôpital militaire Aubrey Levin, affirmait: « Nous ne considérions pas les gens comme des cobayes. Nous avions seulement des patients qui voulaient guérir et venaient de leur plein gré ». Il disait également pratiquer une « thérapie d’aversion sur les soldats homosexuels, sans pour autant recourir au choc électrique ». Alors que s’est-il passé en Afrique du Sud à cette époque?

Près de 900 opérations de « réorientation sexuelle » ont eu lieu dans des hôpitaux sud-africains dans les années 1970-1980 dans le cadre de programmes pour éradiquer l’homosexualité. Certains patients étaient « soignés » à l’aide de drogues et d’hormones, d’autres ont subi des méthodes radicales – un traitement d’aversion. Dans le cadre de ce dernier on reproduisait une forme « inadmissible » de conduite (par exemple, l’excitation de l’homosexuel avec des images pornographiques) tout en provoquant des sentiments désagréables (par exemple, un électrochoc), avant de montrer une image positive (photo d’une femme nue) sans électrochoc.

La pratique traditionnelle admet le traitement d’aversion uniquement en dernier recours, et même dans ce cas le sentiment désagréable doit être équivalent à la piqûre d’une aiguille, et non faire voler en l’air les chaussures de l’individu, comme ce fut le cas dans les expériences de Levin. La mesure extrême du projet Aversion était la castration ou un changement forcé de sexe, et beaucoup de ceux qui l’ont subi ont choisi le suicide plutôt que de vivre dans un corps étranger. Finalement, la partie « scientifique » du projet fut un fiasco mais les seuls ennuis que ses instigateurs ont connu étaient avec leur propre conscience.

 

La conscience par intraveineuse

Certains ignorent que les exploits des chercheurs soviétiques dans l’élaboration de poisons ont même dépassé le niveau atteint par les expériences des nazis. Le « Cabinet spécial » (Laboratoire 1, Laboratoire X, Cellule), laboratoire toxicologique créé en 1921 par la direction du NKVD dirigé par le professeur Grigori Maïranovski, procédait à la recherche de poisons impossibles à identifier. Les expériences étaient menées sur des détenus condamnés à la peine capitale: 10 personnes pour chaque produit (sans compter les expériences sur les animaux).

L’agonie de ceux qui ne mourraient pas immédiatement était suivie pendant 10-14 jours avant de les achever. Le poison recherché a été finalement trouvé: le carbylamine-choline-chloride ou K-2, qui tuait en 15 minutes et sans traces (les médecins légistes indépendants diagnostiquait un décès pour insuffisance cardiaque). Grigori Maïranovski travaillait également sur le « problème de sincérité » pendant les interrogatoires avec des produits médicaux et élaborait des poisons en poussière qui tuaient quand on les respirait…

Au total, le Laboratoire 1 a fait entre 150 et 300 victimes (des criminels mais également des prisonniers de guerre), parmi lesquelles on peut également compter les médecins de la Cellule: des années plus tard Maïranovski, finalement condamné, écrivait que deux de ses collègues avaient mis fin à leur vie, que deux autres avaient perdu la capacité de travailler et que trois étaient devenus alcooliques.

 

Les testicules de jeunesse éternelle

La création d’un poison idéal sera probablement toujours d’actualité, tout comme la recherche de la pierre philosophale et de la fontaine de jeunesse. Par exemple, le professeur Preobrajenski du Cœur de chien écrit par Mikhaïl Boulgakov, pratiquait une méthode de rajeunissement assez répandue pour les années 1920: son homologue vivant aurait pu être le docteur américain Leo Stanley – à l’exception de leur mentalité. Ce médecin en chef d’une prison de San Quentin (Californie) était un adepte de l’eugénisme et testait différentes méthodes de purification de la race humaine: la chirurgie plastique (car la laideur extérieure provoque la laideur intérieure et inversement), les manipulations des glandes génitales et, pour finir, la stérilisation.

Il a commencé à mener des expériences sur le rajeunissement en 1918 en transplantant aux détenus âgés les testicules de jeunes criminels exécutés. La « matière première » a rapidement commencé à manquer et le docteur s’est alors orienté vers les animaux en utilisant des testicules de boucs, de sangliers et de cerfs. D’après ses rapports, les sujets éprouvaient un « gain de forces et se sentaient mieux » – on ignore s’il s’agissait d’un effet placebo ou d’un véritable rajeunissement mais le docteur promettait la seconde variante.

Un autre but de l’étude était de confirmer l’hypothèse selon laquelle le comportement criminel dépendait des problèmes hormonaux. Pour régler les deux problèmes, il fallait donc stériliser le sujet — 600 détenus ont subi ce traitement jusqu’en 1940. Certains d’entre eux ne voulaient pas avoir d’enfants, d’autres voulaient rajeunir: le docteur Stanley présentait la stérilisation comme un moyen permettant de rajeunir et de guérir, il avait promis à certains un régime de détention plus souple. Cependant, son véritable objectif était de pacifier les gènes « criminels » et l’instinct sexuel qui poussait selon lui le criminel à récidiver. Il a poursuivi ses recherches jusqu’en 1951, et compte tenu de sa contribution à la réforme des établissements médicaux cette activité ne paraît pas absolument insensée.

 

L’hôpital du docteur Cotton

Contrairement aux recherches d’Henry Cotton, l’élève d’Alzheimer en personne à 30 ans déjà (à partir de 1907) dirigeait un hôpital psychiatrique à Trenton (New Jersey). Le poste de médecin en chef lui accordait de vastes opportunités pour tester en pratique son hypothèse sur l’origine des troubles psychiques. Il estimait que les gens devenaient fous par infection et que le foyer de cette dernière se trouvait avant tout dans les dents malades — très proches du cerveau. Par conséquent, la première procédure subie par les patients de Cotton était l’arrachage de dents.

Si cela ne fonctionnait pas, on continuait de chercher l’infection au hasard (ou par ablation): dans les amygdales, la vésicule biliaire, l’intestin, l’estomac, les testicules, les ovaires… Même la famille de Cotton n’a pas échappé à cette « chirurgie bactériologique » (nom donné par l’auteur de la méthode): il a arraché les dents de son épouse, de ses deux fils et même les siennes. Ce dernier acte avait été précédé par une dépression nerveuse suite à l’ouverture d’une enquête dans sa clinique par une commission du sénat local.

Malgré les données reflétant une efficacité élevée de sa méthode (85% de guérison) diffusées activement par le docteur dans ses discours et ses articles, ainsi que la forte popularité de l’hôpital de Trenton (même les hommes aisés et les célébrités y envoyaient leurs proches pour une grande somme d’argent), en 1924 le conseil de tutelle a senti que quelque chose ne tournait pas rond et a consulté l’université Jones Hopkins. La docteure Phyllis Greenacre envoyée à l’hôpital pour vérifier les statistiques a découvert que seulement 8% des patients de Cotton guérissaient, 41,9% ne ressentaient aucune amélioration et 43,4% mourraient. Sachant que les 8% n’avaient pas subi de soins et que les 43,4% décédés avaient fait les frais de la pratique de Cotton.

L’enquête de la commission créée par le sénat local avait précisément pour but de découvrir les causes de cet état de fait mais elle a à peine eu le temps d’entamer son travail: des collègues de renommée et même des hommes politiques ont pris la défense de Cotton, qui a tranquillement repris son travail pour prendre sa retraite cinq ans plus tard. Personne n’a voulu poursuivre ses recherches.

 

Les bonnes nouvelles

Au courant de l’été 2014, les utilisateurs anglophones de Facebook ont été surpris d’apprendre que 689 003 d’entre eux avaient joué le rôle de cobayes contre leur gré dans une expérience conjointe des chercheurs américains et du réseau social. Les résultats parus dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences stipulaient: « Les états émotionnels peuvent être transmis à d’autres individus à travers une infection émotionnelle, après quoi, sans en être conscients, ils peuvent éprouver les mêmes émotions ». Cela signifie que la bonne et la mauvaise humeur sont contagieuses de la même manière que l’absence d’un contact direct n’empêche pas cette infection. L’expérience était simple: un groupe de sujets recevait dans son fil d’actualité des posts positifs, l’autre des messages négatifs. Les utilisateurs ont immédiatement réagi: les « heureux » ont commencé à publier des commentaires optimistes et le groupe attaqué par des posts négatifs a commencé à écrire des choses négatives.

Les militants ont critiqué les méthodes des chercheurs et ont même supposé que pour certains, le contenu négatif avait pu être « la dernière goutte » — mais avec autant de probabilité le contenu positif a aussi pu redonner espoir à quelqu’un. Dans l’ensemble, les deux manipulations peuvent être perçues comme un petit pas vers la sophistication des méthodes pour influencer le public. Par conséquent, il faut remettre en question et analyser tout ce qui tombe dans le champ de votre attention, sans oublier la probabilité qu’à chaque instant vous faites peut-être partie d’une expérience.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609281027963256-laboratoires-secrets-experiences-humains/

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LE PROJET ABRAHAM

Je ne sais pas trop quoi en penser, surtout concernant les sources, c’est très vague. Mais ça approche le phénomène TI. Puis il y a un article du new scientist donné en fin d’article très intéressant sur les armes à énergie dirigé.  Je pose ça là, pour y revenir plus tard…

 

Les services secrets américains liés à la CIA et leurs équivalents français, ont un département spécial tenu secret appelé originalement « ABRAHAM PROJECT » chargé des assassinats politiques ou de personnes « qui dérangent » par des malades mentaux téléguidés pour accomplir ces crimes.

Le processus est simple: des malades mentaux, principalement des schizophrènes, sont répertoriés, qui vivent généralement seuls. Ensuite des systèmes audio sont installés en secret et en leur absence chez ces malades qui vont soit pendant leur sommeil, soit quand ils sont éveillés leur permettre « d’entendre des voix » se prétendant être « dieu » et qui leur demandent de tuer quelqu’un et qu’ensuite leur maladie sera terminée. Le propre des schizophrènes étant justement d’entendre des voix, on est bien évidemment la sur un terrain propice. Les malades mélangent leurs réels symptômes avec lesquels ils ont l’habitude de vivre et qu’ils traitent plus ou moins bien par de lourdes médications, avec ces messages qui sont eux bien réels et qui leur sont envoyés par les services secrets.

Ensuite lorsque le conditionnement est jugé suffisant, il est nécessaire de pousser le malade a passer a l’acte par un évènement physique. Car les pauvres schizophrènes sont habitués a négliger les voix qu’ils entendent et a les mettre sur le compte de leur maladie. A ce moment la un agent des services secrets les rencontre physiquement, en leur rappelant les messages qu’ils entendent chez eux et en leur disant que ce n’est pas leur maladie mais bien un message de « Dieu »… et qu’eux même sont les envoyés de ce même « dieu » qui leur confie une mission. Les agents sont déguisés pour renforcer l’impact avec par exemple des lentilles de contact fluorescentes, des perruques blanches, ou des pierres lumineuses semblant incrustées dans leur peau, tout cela pour que le malade soit fortement impressionné et pense réellement avoir a faire a un envoyé céleste. Il leur parle même de leur famille et leur révèle des choses que seul un proche de leurs parents a pu connaître, chose facile pour les services secrets qui on collecté ces informations pendant des mois voire des années. Ils leurs remettent enfin une arme provenant des stocks d’armes saisies dans les affaires de drogue ou de banditismes, et leur disent que la maladie qui les fait tant souffrir va disparaître dés qu’ils auront accompli la mission que « dieu » leur confie, et qu’ils seront acquittés lors du procès qui suivra car étant des malades mentaux reconnus… mais qu’étant guéris par »dieu » pour avoir accompli leur mission, au bout de quelques mois ils seront libres et guéris, sans compter leur récompense ultime qui sera d’être les bienvenus au paradis pour avoir accompli une mission divine et débarrassé la terre d’un agent du diable!

De telles perspectives pour des individus malades et souffrant épouvantablement tous les jours de leur vie, associées a un conditionnement savant, sont pratiquement toujours suivies de succès. Que se passe t il ensuite ? La cible est abattue… la police arrête le criminel… il raconte son histoire: que c’est dieu qui lui a demandé de tuer un agent du diable, qu’il a même rencontré un de ses anges qui lui a remis l’arme etc… et les médias et la police rapporte exactement les propos du tueur télécommandé qui, étant donné son passé psychiatrique sera acquitté et interné pour très longtemps en ne comprenant pas pourquoi la « guérison promise par dieu » qui devait lui permettre de sortir au bout de quelques mois ne se produit pas… et il raconte son histoire, encore et encore aux psychiatres ce qui lui garantit de finir ses jours a l’hôpital comme incurable…

Cet article est donné en source https://www.newscientist.com/article/dn13513-us-army-toyed-with-telepathic-ray-gun/

A recently declassified US Army report on the biological effects of non-lethal weapons reveals outlandish plans for “ray gun” devices, which would cause artificial fevers or beam voices into people’s heads.

The report titled “Bioeffects Of Selected Nonlethal Weapons” was released under the US Freedom of Information Act and is available on this website (pdf). The DoD has confirmed to New Scientist that it released the documents, which detail five different “maturing non-lethal technologies” using microwaves, lasers and sound.

Released by US Army Intelligence and Security Command at Fort Meade, Maryland, US, the 1998 report gives an overview of what was then the state of the art in directed energy weapons for crowd control and other applications.

A word in your ear

Some of the technologies are conceptual, such as an electromagnetic pulse that causes a seizure like those experienced by people with epilepsy. Other ideas, like a microwave gun to “beam” words directly into people’s ears, have been tested. It is claimed that the so-called “Frey Effect” – using close-range microwaves to produce audible sounds in a person’s ears – has been used to project the spoken numbers 1 to 10 across a lab to volunteers’.

In 2004 the US Navy funded research into using the Frey effect to project sound that caused “discomfort” into the ears of crowds.

The report also discusses a microwave weapon able to produce a disabling “artificial fever” by heating a person’s body. While tests of the idea are not mentioned, the report notes that the necessary equipment “is available today”. It adds that while it would take at least fifteen minutes to achieve the desired “fever” effect, it could be used to incapacitate people for almost “any desired period consistent with safety.”

Less exotic technologies discussed include laser dazzlers and a sound source loud enough to disturb the sense of balance. Both have been realised in the years since the report was written. The US army uses laser dazzlers in Iraq, while the Long Range Acoustic Device has military and civilian users, and has been used on one occasion to repel pirates off Somalia.

However, the report does not mention any trials of weapons for producing artificial fever or seizures, or beaming voices into people’s heads.

Potentially torturous

Steve Wright, a security expert at Leeds Metropolitan University, UK, warns that the technologies described could be used for torture. In 1998 the European Parliament passed a motion banning potentially dangerous incapacitating technologies that interfere with the human brain.

“The epileptic seizure inducing device is grossly irresponsible and should never be fielded,” says Steve Wright “We know from similar [chemically] artificially-induced fits that the victim subsequently remains “potentiated” and may spontaneously suffer epileptic fits again after the initial attack.”

The acoustic energy device that affects the ear canals, disrupting the motion sense, may require dangerously loud sound levels to be effective, points out Juergen Altmann, a physicist at Dortmund University, Germany, who is interested in new military technologies.

“[There is] inconsistency between the part that says “interesting” effects occur at 130-155 dB and the Recovery/Safety section that says that 115 dB is to be avoided – without commenting on the difference.”

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