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Remote Brain Targeting: Evolution of Mind Control in U.S.A.

Remote Brain Targeting: Evolution of Mind
Control in U.S.A. – A Compilation Of
Historical Data And Information From
Various Sources (Mind Control Technology
Book Series) Paperback – October 13, 2011
by Renee Pittman (Author)

L’objectif aujourd’hui est d’isoler les cibles par le biais du harcèlement technologique, de l’observation à distance, de la surveillance électronique, et également de se concentrer sur l’utilisation de toutes les personnes autour d’elles influencées de manière subliminale. La cible est dépeinte à la communauté comme étant incompétente, déloyale, gênante, mentalement déséquilibrée ou malade, afin de mobiliser les efforts de traque de la communauté. Cela permet de promouvoir et de nier de manière experte l’existence d’une technologie hautement avancée d’invasion mentale. Le dénonciateur / l’individu ciblé, visé pour diverses raisons, est ensuite odieusement, malicieusement, secrètement, abusé par des systèmes électromagnétiques difficiles à prouver parce qu’ils sont invisibles à l’œil humain ou détectables sous forme d’ondes radio et micro-
ondes de fréquence extrêmement basse (ELF). L’objectif est de pousser la cible à se suicider, à se blesser ou à blesser autrui, à se faire piéger, à aller en prison ou à être placée en institution. Les autres observent et sont effrayés, ce qui les empêche de
s’élever contre ces injustices extrêmes, immorales et contraires à l’éthique, qui prennent la forme d’un terrorisme secret aux multiples acteurs et d’un déni des droits de l’homme. Les tests de surveillance neuronale à distance ont également prospéré au sein de
l’Association de psychiatrie dans le passé. Les agressions électromagnétiques, physiques, psychologiques et verbales, se poursuivent jusqu’à ce que la cible soit discréditée,
épuisée, en mauvaise santé, financièrement handicapée ou que sa vie soit en ruine, voire pire. Et c’est légal ! Remote Brain Targeting confirme la crédibilité de Mme Pittman dans cette série de cinq livres qui détaillent ses expériences personnelles et celles d’autres
personnes, en expliquant comment l’effet de « mort lente » est utilisé aujourd’hui, comme une forme de coercition physique, par voie électromagnétique. Les cinq livres de la série « Mind Control Technology » sont à lire absolument et constituent un appel au réveil pour une génération plus âgée qui connaît bien certains de ces programmes, en particulier MK-ULTRA, les tests de contrôle de l’esprit effectués officiellement dans les années 50, 60 et 70, et l’espoir renouvelé de Pittman d’éveiller la conscience d’une nouvelle génération en lui faisant prendre conscience de ce qui se passe réellement aujourd’hui pour beaucoup. Aujourd’hui, la technologie s’est transformée en une invasion électromagnétique sans précédent à notre époque et odieusement capable d’être diffusée par de nombreuses méthodes et à une distance considérable. Cette technologie n’est pas une blague ! « A MUST READ ! » La connaissance est le pouvoir / La conscience
est la clé ! La VÉRITÉ est une arme puissante !

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MK-Ultra : la fin du silence (documentaire)

« Il y a 60 ans, un docteur américain financé par la CIA utilisait ses patientes et patients québécois comme cobayes. Les proches de ses victimes, qui ont vu leur vie brisée, entament aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement canadien. Le documentaire MK-ULTRA : la fin du silence raconte un épisode honteux de la guerre froide qui s’est joué à Montréal et fait état des conséquences des expériences secrètes de lavage de cerveau menées à l’Institut Allan Memorial.

https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/MK-Ultra-La-Fin-du-Silence-(HD)-Documentaire-1-Mai-2021:f

https://open.lbry.com/@elby1984:0/MK-Ultra—la-fin-du-silence:5

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Neurodroits: Le Chili veut protéger le cerveau de ses citoyens contre les technologies

En inscrivant des « droits du cerveau » dans sa Constitution, le Chili veut empêcher les nouvelles technologies d’être utilisées pour perturber l’intégrité des individus.

TECHNOLOGIE – Le Chili est en passe de devenir le premier pays au monde à légiférer sur les neurotechnologies et à inscrire dans sa Constitution des droits du cerveau ou “neurodroits” qui pourraient être le germe d’une jurisprudence à venir en matière de droits humains.

Le projet de loi a déjà été voté à l’unanimité au Sénat et doit maintenant être approuvé par la Chambre des députés.

La réforme constitutionnelle en cours d’examen entend préserver “l’intégrité physique et psychologique” du citoyen, de sorte qu’“aucune autorité ou individu” ne puisse, par le biais des nouvelles technologies sur le cerveau humain, “augmenter, diminuer ou perturber cette intégrité individuelle sans le consentement approprié”.

Protéger “l’esprit” des Chiliens  à l’avenir

Le sénateur Guido Girardi, l’un des promoteurs du texte qui transcende les clivages politiques, explique qu’il vise à protéger la “dernière frontière” de l’être humain: son esprit.

Les législateurs chiliens estiment que les neurotechnologies sont capables de mettre en place des procédés “de lecture” et “d’écriture” dans le cerveau permettant d’enregistrer les données mentales d’une personne et, dans un avenir proche, les modifier ou en ajouter de nouvelles.

“Si cette technologie peut lire (vos pensées), avant même que vous ne soyez conscients de ce que vous pensez, elle peut écrire dans votre cerveau des émotions, des pensées, des histoires de vie qui ne sont pas les vôtres et que votre cerveau ne sera pas capable de distinguer comme vôtres ou d’une pure création” artificielle, souligne le sénateur.

D’où “l’importance”, selon lui, de légiférer dès maintenant sur une réalité future qui pourrait menacer “l’essence de l’être humain, son autonomie, sa liberté et son libre arbitre”.

Un futur pas si lointain

La réalité aurait donc-t-elle déjà rattrapé la science-fiction? Interrogé par l’AFP, un des experts mondiaux en la matière, le scientifique espagnol Rafael Yuste, assure que des chercheurs sont déjà parvenus à implanter dans le cerveau de souris des images de choses qu’ils n’ont jamais vues, qu’ils assimilent à leurs propres idées et incorporent dans leur comportement naturel.

“Si vous pouvez entrer là-dedans”, dans les processus chimiques du cerveau, “les stimuler ou les inhiber, vous pouvez changer les décisions des gens. C’est quelque chose que nous faisons déjà avec les animaux”, assure ce chercheur de l’université Columbia de New York, aux États-Unis.

Mais il rassure: “La neurotechnologie peut faire peur si l’on pense à des scénarios dystopiques, mais pour chacun il y a dix scénarios bénéfiques”. Il cite en exemple les possibilités dans un avenir proche de guérir la surdité avec des implants, ou la cécité après des essais probants réalisés en laboratoire sur des chimpanzés. Ou même d’implanter des stimulateurs cérébraux capables d’améliorer la vie de patients atteints de la maladie de Parkinson, d’Alzheimer ou de schizophrénie.

Dans un autre domaine, il rapporte que le réseau social américain Facebook “est en train de développer une interface cerveau-ordinateur connectée directement à l’écran” et destinée à “remplacer les claviers”. “Je leur donne au moins cinq ans pour mettre sur le marché un dispositif qui peut écrire 100 mots par minute avec 1.000 mots de vocabulaire”, dit-il. Cette neurotechnologie serait “non seulement capable de déchiffrer les mots que vous voulez écrire, mais peut-être aussi d’autres types de pensées ou d’états mentaux”.

Légiférer avant l’arrivée d’humains “augmentés”

Face à ces découvertes, le projet de loi chilien entend légiférer dans quatre domaines fondamentaux: la sauvegarde des données de l’esprit humain ou “neurodonnées”, l’établissement des limites de la neurotechnologie de la lecture et surtout de l’écriture dans le cerveau, la détermination d’une distribution équitable de l’accès à ces technologies et la fixation des limites des “neuroalgorithmes”.

Car, selon Rafael Yuste, d’ici une décennie pourraient apparaître des humains hybrides, augmentés cognitivement grâce aux neurotechnologies, avec des idées ou connaissances qui seraient le fruit d’algorithmes.

“Pour éviter une situation à deux vitesses avec des humains augmentés et d’autres qui ne le sont pas, nous pensons que ces neurotechnologies devraient être réglementées d’un point de vue de principe universel de justice, dans l’esprit de la Déclaration universelle des droits de l’Homme”, estime-t-il.

Lors du 27e sommet ibéro-américain fin avril en Andorre le président chilien Sebastian Piñera a d’ailleurs proposé aux pays participants de légiférer conjointement sur ces droits d’un nouveau genre.

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Le Chili prépare une loi pour protéger les cerveaux humains de la technologie

C’est en passe d’être le premier pays au monde à instaurer des « neurodroits » pour protéger l’identité des individus, leur conscience et leur libre-arbitre face aux avancées des neurotechnologies.

Elon Musk potasse ses implants cérébraux Neuralink, Facebook dévoile un prototype de bracelet pour contrôler un clavier par la pensée… Et le Chili ne compte pas rester les bras ballants face au développement de ces interfaces cerveaux-machines. Le pays est sur le point d’inscrire dans sa constitution un droit des cerveaux ou « neurodroit »  et de légiférer sur les neurotechnologies. Le 22 avril, le Sénat a approuvé à l’unanimité le projet de réforme constitutionnelle. Il doit maintenant être approuvé par la Chambre des députés.

L’idée de cette initiative, portée par le sénateur Guido Girardi, est de préserver l’« intégrité physique et psychologique » des individus, et de faire en sorte qu’il ne soit pas possible d’« augmenter, diminuer ou perturber cette intégrité individuelle sans le consentement approprié ».

L’une des avancées qui inquiète particulièrement les législateurs chiliens est la possibilité de lire des pensées, voire de modifier et d’« écrire » des pensées et souvenirs. La chose a déjà été réalisée en laboratoire sur des souris, affirme Rafael Yuste, neurobiologiste américain proche du sénateur Guido Girardi, à l’AFP. Le chercheur ne nie pas pour autant l’espoir que représentent ces technologies pour traiter des maladies comme Parkinson et la schizophrénie.

Les législateurs tiennent par ailleurs à ce que les neurotechnologies se développent de manière égalitaire, de sorte à ne pas créer une double société avec d’un côté des humains augmentés et de l’autre ceux qui n’auront pas accès à ces nouvelles capacités.

La loi en retard sur les données personnelles, peut-être pas sur les données cérébrales

L’objectif est aussi de ne pas laisser la technologie aller plus vite que la loi, comme c’est souvent le cas. « Nous avons raté le train de la protection des données personnelles sur Internet et celui des données cérébrales est sur le point de quitter la gare », expliquait Rafael Yuste à Ouest France en décembre 2020. Le Chili apparaît comme un pionnier, explique le journal La Tercera. La communauté internationale, et notamment la France, l’Espagne et les États-Unis, pourraient suivre son exemple.

 

 

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Contrôler à distance le cerveau humain via des vaccins ARNm

Conférence du Dr Charles Morgan à l’Académie militaire de West Point

Le 13 juin 2018, le Dr Charles Morgan, un expert en neurobiologie de l’Université de Yale, de la DARPA et de la CIA, a donné une conférence devant les étudiants de l’Académie militaire de West Point (USMA). Il a parlé de la capacité de modifier l’ADN à des fins de contrôle de l’esprit. [1] Le Dr Morgan montre et raconte aux étudiants d’élite de l’armée américaine comment les technologies connues sous leurs acronmymes CRISPR (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées) et DREADDS (Designer Receptor Exclusively Activated by Designer Drugs) peuvent « concevoir n’importe quoi ».

Le Dr Morgan montre comment DREADDS peut être « infusé » dans l’ADN des êtres humains pour contrôler notre comportement. Ces récepteurs Designer activés exclusivement par des drogues de synthèse peuvent créer de nouvelles cellules. Ils peuvent produire de nouveaux souvenirs et comportements chez leurs sujets humains. Ils peuvent également l’utiliser pour effacer ou même modifier votre mémoire. La technologie CRISPR peut être utilisée pour tuer uniquement certaines races de personnes via l’édition d’ADN.

Le Dr Morgan dit aux étudiants de la Modern War University de West Point que « la technologie appelée CRISPR rend un certain nombre de choses immédiatement disponibles … Vous pouvez concevoir n’importe quoi. Vous pouvez concevoir une chose unique qui n’en tuerait qu’un. Ce que vous faites lorsque vous créez des plasmides et les mettez dans des cellules, cela envoie un signal et indique quelle partie de l’ADN doit se dérouler, se déplier et produire un produit. C’est l’avenir de la médecine. »

Le Dr Morgan demande : « Que pourriez-vous faire avec cette technologie si vous travailliez dans le domaine de la sécurité et du renseignement? » Les cellules « peuvent être conçues pour des activités et des objectifs spécifiques. Elles peuvent être placées stratégiquement. Elles peuvent être contrôlées à distance ». Ainsi, ces contrôleurs de cellules « peuvent avoir des choses activées dans le cerveau des autres ».

En 2011, la technologie semblait commander au niveau cellulaire « la diffusion programmée des informations à la demande ». En 2018, le pouvoir de remplacer par le sang, le cerveau et les cellules les propres souvenirs et choix d’un être humain par la réalité de substitution des contrôleurs dépassait déjà tout conditionnement comportemental imposé par les téléphones portables. Pour le Dr Morgan, les nouvelles capacités mènent à des améliorations de la prestation et de l’exhaustivité. « Pourquoi auriez-vous un système numérique alors que vous pouvez avoir un système ADN? », demande-t-il.

Le Dr Morgan est assez explicite dans son diaporama : « Les cellules peuvent être conçues pour des activités et des objectifs spécifiques. Les cellules peuvent être placées stratégiquement. Elles peuvent être contrôlées à distance. » La nouvelle technologie permet à ses contrôleurs « d’activer les choses dans le cerveau des autres ». Plus loin, le docteur, maintenant titulaire à l’Université de New Haven, imagine comment la combinaison de « systèmes ADN » avec « l’informatique quantique » peut former « une menace vraiment assez étonnante et à la fois mortelle ». Ainsi, les doses d’ARNm de Pfizer et Moderna peuvent atteindre un dernier arrêt dans l’agenda mondial d’un peuple au pouvoir. [2]

Dr. Charles Morgan on Psycho-Neurobiology and War


L’ADN pourra contrôler votre corps et votre esprit

Le vaccin COVID est un vaccin à ARNm qui est un tout nouveau type qui n’a encore jamais été approuvé, homologué et distribué à grande échelle. Il modifie l’ADN de votre corps et reproduit et contrôle votre corps. C’est extrêmement dangereux à bien des égards. Le Dr Morgan révèle qu’ils peuvent désormais stocker et cacher des images et des films dans l’ADN et des bactéries, il dit également que seulement 1 gramme d’ADN humain peut stocker l’équivalent de 7 milliards de iPADS, pensez-y, juste 1 gramme, c’est absolument étonnant! ! Il dit que les informations et les images peuvent également être stockées dans des bactéries sur le corps humain qui peuvent ensuite être placées dans un plat et lorsque ces mêmes bactéries se reproduisent, leur progéniture sera également codée avec les mêmes informations. Il dit également qu’il est possible de programmer une cellule et de la diriger pour cibler n’importe quelle partie du corps, y compris le cerveau qui peut alors également être reprogrammé et contrôlé à partir d’une force extérieure.

Cela signifie que le vaccin Covid-19 peut contenir toute la technologie que vous entendrez dans cette vidéo. Le niveau de précision de cette technologie est tel que des nanobots miniatures de la taille des particules de poussière peuvent être programmés pour attaquer n’importe quelle partie du corps pour délivrer une charge utile ou un virus directement dans la circulation sanguine, les organes, le cerveau, les yeux, etc. Elle peut également rester en sommeil dans n’importe quelle partie du corps vers laquelle elle a été dirigée et peut y rester sans être détectée jusqu’à ce que le signal électronique approprié soit délivré pour la réactiver.

Comme l’écrit le propriétaire de la chaîne “End Times Watchman” : « Si vous êtes chrétien, vous devez savoir que ces vaccins permettront aux Lucifériens de changer votre ADN et de modifier votre perception de Dieu. En fait, vous serez programmé pour le détester ! La Bible prévient que les nations et les peuples de la terre détesteront le christianisme biblique et persécuteront les chrétiens croyant à la Bible et c’est ainsi que cela va se passer. Ils modifieront la perception de chaque personne qui prend ces vaccins démoniaques modifiant l’ADN. C’est une guerre spirituelle, elle a été annoncée dans la Bible il y a près de 2000 ans et se déroule maintenant sous nos yeux ! Il convient également de mentionner qu’ils peuvent EFFACER des souvenirs et en installer des FAUX. Imaginez simplement si cela est utilisé pour tromper les habitants de la terre en adorant la bête, et bien sûr, CELA LE SERA, car c’est exactement ce pour quoi il a été créé. »

Michael Yeadon, ancien employé de Pfizer et chercheur, ainsi que le médecin allemand Wolfgang Wodard, ont récemment envoyé une pétition à l’Agence européenne des médicaments, demandant à l’EMA d’arrêter les essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer. Ils ont dit que le vaccin pourrait bloquer une protéine qui est cruciale dans la formation d’un placenta, et les médecins ont affirmé que cela pourrait « entraîner une infertilité des femmes vaccinées ». Par conséquent, il est possible qu’un autre objectif du vaccin soit d’empêcher la naissance de nouveaux Blancs, un objectif que la Chine, Bill Gates et George Soros tentent d’atteindre.

La Chine veut être la superpuissance CRISPR du monde

Le Dr Charles Morgan raconte les progrès de la Chine continentale dans la manipulation de l’ADN. Il imagine « l’informatique quantique » en combinaison avec une telle manipulation. « C’est donc là que se trouve la course … La fusion des systèmes d’ADN avec l’informatique quantique sera vraiment une menace incroyable et à la fois mortelle. » Le directeur du renseignement national américain, John Ratcliffe, a déclaré que la Chine utilisait l’outil d’édition de gènes CRISPR (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées) pour modifier les embryons humains pour créer une nouvelle génération de « super soldats » capable de combattre plus dur, plus longtemps et plus efficacement [3] :

« Ils veulent qu’ils soient les plus grands et ils veulent aussi qu’ils soient les plus forts, c’est pourquoi ils sont engagés dans l’édition de gènes — essayant littéralement de modifier l’ADN pour rendre les soldats, les marins et les aviateurs plus forts et plus puissants. (…) Les renseignements sont clairs : Pékin a l’intention de dominer les États-Unis et le reste de la planète économiquement, militairement et technologiquement. (…) Il n’y a pas de frontières éthiques à la poursuite du pouvoir de Pékin. (…) La Chine représente la plus grande menace pour l’Amérique et le reste du monde libre depuis la Seconde Guerre mondiale. » [4]

La République populaire de Chine (RPC) collecte l’ADN des personnes depuis des années. [5] La Chine envisage d’utiliser ces informations pour créer des armes biologiques conçues pour cibler des groupes ethniques spécifiques (Blancs: États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Nouvelle-Zélande, Israélites). [6] Ils ont également trouvé des moyens d’obtenir l’ADN des Américains en achetant des entreprises américaines qui ont des profils ADN, en subventionnant l’analyse ADN pour les sociétés d’ascendance, et aussi en piratant toute organisation qui a des profils ADN. Par exemple, en 2015, il a été découvert que la RPC avait piraté Anthem, la deuxième plus grande compagnie d’assurance aux États-Unis. [7]

Il est clair que cette technologie sera utilisée dans les guerres futures et est déjà en cours de développement par la Chine. [8] Vision nocturne, super force, esprits de ruche, contrôle de l’esprit, super mémoire (hypermnésie, hyperthymesie), suppression de mémoire, faux souvenirs, cryptage ADN, animaux et insectes espions secrets …


À propos du Dr Charles Morgan

Au cours de 20 ans à l’Université de Yale et à l’Unité d’études neurobiologiques du Centre national du trouble de stress post-traumatique, les recherches neurobiologiques et médico-légales du Dr Morgan l’ont établi comme un expert international du trouble de stress post-traumatique (SSPT), de la mémoire des témoins oculaires et dans la performance humaine dans des conditions de stress élevé. Il est psychiatre légiste et a témoigné en tant qu’expert de la mémoire et du SSPT au Tribunal international des crimes de guerre, à La Haye. Le Dr Morgan est un expert en la matière dans la sélection et l’évaluation des opérations militaires spéciales et des unités de mission spéciales des États-Unis.

Son travail a permis de mieux comprendre la psycho-neurobiologie de la résilience chez les soldats d’élite et a contribué à la mission de formation des programmes spéciaux de l’armée.

Pour son travail dans la communauté des opérations spéciales, le Dr Morgan a reçu le prix de l’armée américaine pour le service patriotique en 2008. En 2010, le Dr Morgan a reçu la médaille et le prix Sir Henry Welcome pour ses recherches sur l’amélioration des performances cognitives sous stress chez le personnel des opérations spéciales. En 2011, le Dr Morgan s’est déployé en Afghanistan à titre de conseiller opérationnel au sein de l’Asymmetric Warfare Group.

À l’heure actuelle, le Dr Morgan enseigne le cours sur la sexualité humaine pour le programme de médecin associé, YSM ainsi que des cours optionnels liés à la médecine légale dans les évaluations de crédibilité et les évaluations indirectes. (Yale School of Medicine)

 

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« Le cerveau des Chiliens ne sera ni hacké ni manipulé » : le Chili pionnier en « neurodroits »

Ouest-france le 19/12/2020

Face aux progrès exponentiels des neurotechnologies, le Chili légifère afin de protéger les données cérébrales de sa population. Une première mondiale.

Le Chili, pionnier des « neurosdroits »

Mardi 15 décembre 2020, le parlementaire a présenté devant le Congrès deux propositions de loi qui feront du Chili le pionnier mondial des « neurodroits ». Il s’agit de garantir les droits fondamentaux de la population devant l’expansion des neurotechnologies.

 D’un côté, nous allons inclure le principe d’identité mentale dans la Constitution, poursuit le sénateur. De l’autre, nous inscrirons dans la loi l’impossibilité de collecter les données cérébrales, de surveiller et modifier le fonctionnement du cerveau sans le consentement de la personne. 

L’application des neurosciences a depuis longtemps dépassé le champ médical. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) est utilisée depuis des décennies par la justice américaine pour déterminer la responsabilité d’un accusé. Le marketing, l’armée, la politique ou encore l’éducation s’appuient aussi sur ces techniques.Il devient indispensable de réguler ces usages, notamment ceux comprenant une interface cerveau machine , ajoute Pedro Maldonado, directeur du département de neurosciences à l’Université du Chili.

Implant cérébral et écriture par la pensée

Les enjeux financiers des entreprises de neurotechnologie sont colossaux. Facebook conçoit un bracelet pour contrôler un ordinateur ou écrire un texto par la pensée. À travers sa start-up Neuralink, le fantasque Elon Musk mise, lui, sur un implant cérébral pour redonner parole et mobilité aux personnes paralysées. En Chine, des entreprises ont équipé, avec l’accord du gouvernement central, leurs ouvriers de casques munis de capteurs pour évaluer leur état émotionnel et améliorer la productivité.

 Dans cinq à dix ans, il sera possible de déchiffrer la pensée et bientôt de la manipuler, prédit Rafael Yuste, chercheur à l’université Columbia, à New York, et proche du sénateur Guido Girardi. Il est urgent d’éviter de possibles dérives de la part d’entreprises voire de certains États. 

Avant de conseiller les législateurs chiliens, ce neurobiologiste espagnol a été à l’origine du projet Brain, lancé en 2013 sous Barack Obama : doté d’un budget de 6 milliards de dollars, il ambitionne de réaliser une carte détaillée de l’activité cérébrale et d’être capable de la modifier.

 Nous avons raté le train de la protection des données personnelles sur Internet et celui des données cérébrales est sur le point de quitter la gare, poursuit Rafael Yuste, proche de Facebook et de l’équipe de Joe Biden, le prochain président américain. L’Espagne devrait s’inscrire prochainement dans les pas du Chili, qui ouvre la voie sur ce sujet représentant un défi pour l’humanité.  Et ce n’est pas de la science-fiction.

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Dr. Karl Hecht : Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

Encore un témoignage d’un neurologue et chercheur en neuroscience concernant le contrôle social et individuel via les ondes électromagnétiques.


Jamais auparavant les conditions technologiques pour une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. À l’ère de la digitalisation, la manipulation de la pensée et le contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques, sont devenus une réalité omniprésente. Selon le Professeur Karl Hecht 96 ans, c’est seulement en renonçant consciemment à l’idéologie de la digitalisation qu’on peut éviter d’être réduit à l’état de robots humains totalement contrôlés. Voyez et écoutez dans cette interview, l’appel au réveil du célèbre médecin et chercheur en neuroscience.


 

https://www.kla.tv/18322

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement. Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui. Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés. Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020. Interview: Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ? Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article. Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ? Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain. Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé. Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez. Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau. Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur. Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau. Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux ! Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi. Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ? Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences. Modérateur : Oui, avec plaisir. Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant. Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur. Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles. Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ». Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est… Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement. Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G… Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses. Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ? Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc. Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ? Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible. Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot. Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature. Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ? Prof. Hecht : Se protéger… Modérateur : Oui, se protéger. Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer. Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens. Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2. Modérateur : C’est moins que la limite actuelle. Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets. Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut. Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article. Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

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James Giordano : militarisation des neurosciences

Le Doc James Giordano spécialiste des applications militaires dans les neurosciences, mais aussi spécialiste des questions éthiques dans la recherche  en neurosciences, s’inquiète de ce que les gouvernements étrangers pourraient faire sous couvert de recherche médicale. C’est drôle cette manière d’accuser les autres de ce pourquoi on est passé maître. C’est quand même le type qui nous dit que le cerveau est accessible en lecture et en écriture comme un vulgaire disque dur… Il est d’ailleurs question dans l’article ci-dessous de scientifiques « chapeau noir », parce qu’il est clairement question de hacker le cerveau. Chose que dénoncent les TI (Targeted Individuals). Personnellement cela fait plus de 30 ans que je suis victime de science criminelle. Hier en France, a été condamné un ancien ministre (Georges Tron) pour viol, à 5 ans de prison dont 3 ans ferme. Il fera 6 mois dans une cellule 5 étoiles puis le reste de sa peine avec un bracelet électronique. Quand je compare la peine que des salauds m’ont infligée et vu la manière dont je suis traité, avec mon casier judiciaire vierge, il faut qu’ils soient persuadés d’avoir, pire qu’un nazi à punir, tous les jours que Dieu fait.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.militariser des progrès des neurosciences


Traduction d’un article du Doc James Giordano

James Giordano, PhD, est professeur aux départements de neurologie et de biochimie, chef du programme d’études neuroéthiques et co-directeur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Georgetown University Medical Center, Washington, D.C. Son dernier livre est intitulé Neurotechnology in National Security and Defense : Practical Considerations, Neuroethical Concerns. Les opinions exprimées dans cet essai ne reflètent pas nécessairement celles du EU Human Brain Project, de la DARPA, des chefs d’état-major des armées ou du ministère de la défense, dont il a été le conseiller.


https://www.nationaldefensemagazine.org/articles/2017/5/11/weaponizing-the-brain-neuroscience-advancements-spark-debate

Les progrès rapides des neurosciences et des technologies correspondantes ont suscité un intérêt renouvelé et croissant tant pour leur développement que pour les préoccupations éthiques liées à l’utilisation de ces techniques et outils dans des contextes militaires et de sécurité.

En 2008, le Conseil national de la recherche des Académies nationales des sciences a signalé que les sciences du cerveau présentaient un potentiel pour des applications militaires et de guerre, mais qu’elles n’étaient pas encore totalement viables pour une utilisation opérationnelle. Cependant, en 2014, un rapport ultérieur des académies nationales, « Emerging and Readily Available Technologies and National Security : A Framework for Addressing Ethical, Legal and Societal Issues » (Un cadre pour aborder les questions éthiques, juridiques et sociétales), a rejoint une série de livres blancs du groupe d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major interarmées, ainsi qu’un rapport du Conseil Nuffield de 2013, indiquant que les développements dans ce domaine avaient progressé au point de rendre les sciences du cerveau viables, d’une valeur définitive et d’une préoccupation réaliste pour les militaires.

Ce calendrier est important, car il reflète la capacité rapide et itérative plus sophistiquée de créer et d’exploiter des méthodes et des technologies neuroscientifiques pour accéder au cerveau, et évaluer et affecter ses fonctions de cognition, d’émotion et de comportement.

Les progrès des neurosciences pourraient être utilisés pour créer des « super soldats », relier des cerveaux à des systèmes d’armes pour le commandement et le contrôle, voire manipuler des groupes ou des dirigeants pour qu’ils prennent des mesures qu’ils ne feraient pas normalement.

De toute évidence, les nouveaux développements dans le domaine de la science du cerveau peuvent être exploités pour améliorer les soins neurologiques et psychiatriques au sein de la médecine militaire, et un certain nombre de programmes en cours du ministère de la défense le font. L’Agence des projets de recherche avancée de la Défense, le Commandement de la recherche médicale et du matériel de l’armée de terre et le Bureau de médecine et de chirurgie de la marine génèrent de nouvelles techniques et technologies pour le traitement des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives telles que les maladies de Parkinson et d’Alzheimer, et de certaines affections psychiatriques, comme le stress post-traumatique et la dépression.

Toutefois, il existe également un potentiel considérable pour les applications à double usage des méthodes et outils neuroscientifiques qui vont au-delà du chevet du malade. Nombre d’entre elles pourraient atteindre les champs de bataille.

Il s’agit notamment de l’utilisation de divers médicaments et formes de neurotechnologies telles que le neurofeedback, la stimulation électrique et magnétique transcrânienne, et peut-être même des dispositifs implantables pour la formation et l’optimisation des performances du personnel de renseignement et de combat. Des interfaces cerveau-ordinateur pourraient être utilisées pour contrôler des avions, des bateaux ou des véhicules sans pilote. Les utilisations militaires et de guerre impliquent également le développement et l’engagement d’agents – tels que des drogues, des microbes, des toxines – et de « dispositifs en tant qu’armes », également appelés « neuroarmes », pour affecter le système nerveux et modifier les pensées, les sentiments, les sens, les actions, la santé des adversaires ou – dans certains cas – pour encourir des conséquences mortelles.

L’utilisation des neurosciences et de la technologie pour optimiser les performances du personnel militaire pourrait potentiellement conduire à la création de « super soldats ». Cette question reste provocatrice et controversée.

Considérées sous un angle positif, de telles approches pourraient – et devraient sans doute – être utilisées pour prévenir la guerre. Par exemple, les services de renseignement et le personnel militaire qui ont des capacités cognitives, émotionnelles et/ou comportementales accrues pourraient être en mesure de détecter plus facilement et plus efficacement les menaces, de fonctionner dans des conditions difficiles avec moins de stress, et d’être plus sensibles aux indices et nuances socioculturels et physiques dans des environnements étrangers. Ils pourraient être plus efficaces pour réduire le risque de violence.

Ces objectifs ont conduit à des efforts tels que le programme de contenu socioculturel dans le langage de l’activité Intelligence Advanced Research Projects et le programme Métaphore, qui ont tous deux cherché à améliorer la compréhension des normes culturelles linguistiques et émotionnelles. Le programme Narrative Networks de la DARPA visait à utiliser la science et la technologie neurocognitives pour améliorer les récits dans des contextes socioculturels.

D’autre part, on s’inquiète des effets négatifs que ce domaine pourrait avoir sur la santé des personnes « neuro-modifiées ». On s’inquiète de l’utilisation de telles approches pour transformer les combattants en automates amoraux et combatifs et on se demande quelles responsabilités et quelles charges pourraient être encourues pour – et supportées par – l’armée, et peut-être la société dans son ensemble, lorsqu’elle doit faire face à de tels effets.

Mais si ces questions et préoccupations peuvent suggérer la nécessité d’une pause de réflexion, il est important de noter que la recherche sur le cerveau et les technologies correspondantes s’internationalisent de plus en plus, et qu’un certain nombre de pays comme la Chine et la Russie, et certains alliés des États-Unis, sont engagés dans ces poursuites et s’intéressent à leur viabilité et à leur utilisation militaire. Cela crée une situation qui tend à soutenir, voire à faire progresser le rythme et l’étendue de la recherche, du développement et de l’incorporation des neurosciences et des technologies dans les initiatives de renseignement et militaires.

L’internationalisation de la science du cerveau, conjuguée à la rapidité de ses progrès, suscite des préoccupations supplémentaires quant au développement et à l’utilisation des armes neurologiques.

Si les accords internationaux existants sur les armes biologiques et chimiques, tels que les conventions de La Haye, le protocole de Genève et la convention sur les armes biologiques et à toxines, limitent la recherche institutionnelle, le stockage et le commerce international de certaines toxines et substances neuro-microbiologiques telles que la ricine et l’anthrax, certaines substances et technologies neurobiologiques développées pour des produits médicaux facilement disponibles sur le marché commercial pourraient ne pas relever des règles internationales existantes.

Il s’agit notamment des médicaments neurotropes créés dans les laboratoires pharmaceutiques, des biorégulateurs – définis comme des substances qui affectent les processus biologiques, comme les opioïdes et autres peptides – et des technologies neuromodulatrices telles que les dispositifs de stimulation transcrânienne ou cérébrale profonde.

Et, comme l’indique le rapport 2008 de l’Académie nationale des sciences, les produits destinés au marché de la santé peuvent – et sont souvent – étudiés et développés en vue d’un éventuel emploi dans des applications militaires. Aux États-Unis, toute activité de ce type dans le cadre de programmes financés par le gouvernement fédéral serait soumise à une surveillance conformément aux politiques de double usage, reflétant la teneur générale des conventions internationales actuelles sur les armes biologiques et chimiques.

Mais cela laisse un vide que les gouvernements étrangers pourraient exploiter en utilisant la recherche en santé comme un voile pour poursuivre de nouvelles neurosciences et technologies militaires, et en protégeant leurs activités derrière des normes commerciales protégeant les intérêts des propriétaires et la propriété intellectuelle.

Une autre préoccupation est que des substances neurobiologiques et neurochimiques et certaines neurotechnologies peuvent être obtenues ou développées avec une relative facilité par des acteurs non étatiques. Il convient de noter l’existence d’une communauté mondiale croissante de scientifiques « chapeau noir », qui peuvent être soutenus par du capital-risque approuvé par l’État dans l’intention explicite de perturber la sécurité, la stabilité et la santé publiques, et qui peuvent opérer sans tenir compte des réglementations définies par les traités et conventions signataires actuels.

La disponibilité croissante d’outils de neurobiologie de bricolage, tels que les kits d’édition de gènes qui peuvent être utilisés pour modifier génétiquement des microbes et des toxines existants et les rendre plus puissants ou mortels, augmente la probabilité de leur utilisation, ainsi que les risques et les menaces que ces techniques et leurs produits représentent pour la sécurité nationale.

L’ancien directeur du renseignement national, James Clapper, a déclaré l’année dernière que l’édition génétique devrait être considérée pour son potentiel de création d’armes biologiques.

Il est tout aussi important de tenir compte de l’impact des armes neurochimiques. Si les agents neurotoxiques comme le sarin ou les agents pathogènes comme l’anthrax peuvent avoir des effets assez étendus, d’autres armes neurotoxiques plus sophistiquées ne devraient pas être considérées comme des armes de destruction massive, mais plutôt comme des « armes de perturbation massive », dont les effets sont souvent subtils, bien qu’ils s’intensifient.

Par exemple, les médicaments à action neurologique peuvent être utilisés pour cibler de manière sélective les pensées, les sentiments et les actions d’un individu, tel qu’un dirigeant politique ou militaire, afin d’évoquer un changement dans ses idées, ses émotions et son comportement. Cela pourrait avoir un effet sur ceux qu’ils dirigent, en influençant leurs opinions et leurs actions dans un sens de conformité ou de dissonance.

Certaines drogues, toxines et/ou microbes neuroactifs peuvent également être utilisés contre des cibles à plus grande échelle pour provoquer des « conséquences en cascade » au sein d’un groupe, d’une communauté ou d’une population. Par exemple, ces agents pourraient être dispersés pour produire des « cas sentinelles » d’individus qui présentent des signes et symptômes neuropsychiatriques et autres signes et symptômes physiques. L’attribution d’une action terroriste et la désinformation qui l’accompagne sur les signes et symptômes saillants et croissants – tels que l’anxiété, l’insomnie et la paranoïa – pourraient être propagées sur Internet.

Cela tendrait à amplifier les réactions d’un nombre croissant de membres du groupe ou de la population, qui chercheraient alors à se faire soigner, et à faire peser ainsi une charge croissante sur le système de santé publique – même si ce n’est qu’à court terme.

La diffusion ultérieure sur Internet de récits visant à dénigrer toute réponse gouvernementale en essayant d’apaiser les inquiétudes et la réaction du public face à la « menace », pourrait être utilisée pour favoriser la dissolution de la confiance du public et accroître la perturbation sociale croissante. Il suffit de se rappeler la réaction du public à la distribution très limitée de l’anthrax dans les semaines qui ont suivi les attaques du 11 septembre pour se rendre compte de la viabilité et des effets possibles de telles tactiques.

Il est certain que la science du cerveau n’est pas la seule à pouvoir développer de nouveaux outils et de nouvelles armes. Pourtant, elle confère de puissantes capacités à affecter « les esprits et les cœurs » et offre donc un levier clair et présent dans les opérations militaires et de guerre.

La reconnaissance et une évaluation réaliste de ces capacités – et de leurs limites – sont des étapes cruciales pour la préparation et la réaction. En ces temps de réduction rapide des budgets et de ressources limitées, il devient donc de plus en plus important d’estimer avec précision les avantages, la charge, les risques et les menaces relatifs que certains types et applications de neurosciences et de technologies subiront, ainsi que de développer et de maintenir une attitude proactive pour garantir les possibilités de ces développements à la fois maintenant et à l’avenir.

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BiblioTI – La Guerre secrète contre les peuples

 

 


Dans cet extrait du livre de Claire Séverac, il est question de Barrie Trower, du Dr Begich. Je reconnais des retranscriptions de Vidéos célèbres que l’on peut trouver sur Youtube, dès lors qu’on s’intéresse au mind-control.


HAARP, LA PREMIÈRE ARME DE MIND CONTROL À L’ÉCHELLE MONDIALE ?

Dès 1952, le Dr José Manuel Rodriguez Delgado, professeur de physiologie à Yale, avait découvert la possibilité d’influencer le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et de certaines ondes. Avec d’autres scientifiques comme Robert Becker, ils ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par HAARP, qui sont couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats très tangibles ».

Le Dr Begich explique que certaines ondes de très basses fréquences peuvent provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels comme des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour ». HAARP pourrait donc « influencer le comportement et les facultés mentales des individus, à des fins militaires, de maintien de l’ordre ou de contrôle politique », en plus « d’affecter la santé des personnes et d’avoir un impact biologique sur l’environnement[253] ». Son inquiétude est d’autant plus vive que des expériences sont menées dans ce sens aux États-Unis, notamment à Los Alamos, l’un des grands centres de recherche américains dans le domaine des armes de très haute technologie. Il se réfère aux travaux du Dr William Ross Adey, professeur d’anatomie et de physiologie, qui a découvert que des ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle et génèrent des signaux micro-électriques qui se propagent dans le système nerveux et informent le cerveau sur ce qui nous entoure. Ces ondes pulsées modifient le pH sanguin et affaiblissent le système immunitaire humain.

Une synthèse de nombreuses études qui prouvent « la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l’induction électromagnétique d’algorithmes fondamentaux » a été publiée dès juin 1995 dans Perceptual and Motor Skills. Son auteur, Micheal A. Persinger[254], chercheur à la Laurentian University d’Ontario, au Canada, indique : « La neuroscience contemporaine suggère l’existence d’algorithmes fondamentaux par lesquels toute transduction sensorielle est traduite dans le code intrinsèque spécifique au cerveau. La stimulation directe de ces codes dans les cortex temporel ou limbique humains par l’application de signaux électromagnétiques pourrait requérir des niveaux d’énergie à la portée tant de l’activité géomagnétique que des réseaux de télécommunications contemporains. Un processus couplé avec l’étroite bande de température du cerveau permettrait d’affecter tous les cerveaux humains normaux avec une sous-harmonique dont la fréquence aux environs de 10 Hz ne varierait que de 0,1 Hz. » L’étude précise aussi que Sandyk (1992) et Jacobson (1994) ont trouvé que les champs magnétiques complexes avec des durées de pulsation interstimulus variables pourraient provoquer des changements sans précédent dans les niveaux de mélatonine… La mélatonine qui, outre ses fonctions hormonales et d’antioxydant, jouerait un rôle particulier dans la protection de l’ADN nucléaire, dans l’ADN mitochondrial et le système immunitaire.

D’autres recherches ont mis en évidence l’interaction avec le réseau de neurones (Robert G. Jahn et Brenda Dunne, 1987), d’où l’association entre l’exposition à des champs électromagnétiques (60 Hz) et les tumeurs du cerveau.

Dans les années soixante-dix, Persinger, Ludwig et Ossenkopp, ont montré qu’avait émergé un potentiel, improbable à l’époque, mais réalisable avec HAARP. « Ce potentiel est la capacité technique d’influencer directement la majorité des six milliards de cerveaux humains sans la médiation des modalités sensorielles classiques, en générant l’information neurale dans le milieu physique où tous les membres de l’espèce sont immergés. »

 

Barrie Trower, ex-agent formé à l’usage militaire des micro-ondes, ayant travaillé pour la Navy, révèle que les micro-ondes étaient employées couramment, comme elles le sont de nos jours, par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les faire mourir à petit feu. Il a ensuite passé onze ans à collecter les informations des espions arrêtés ou retournés, à interroger aussi les terroristes, les criminels internationaux, quiconque présentant un intérêt pour savoir où les autres pays en étaient de leurs recherches… Et il raconte que tout a commencé par des expériences menées par les Soviétiques sur l’ambassade des États-Unis durant la Guerre froide. Les Américains se sont rendu compte qu’il y avait un taux anormal de cancers du sein, d’enfants atteints de leucémies et d’autres cancers parmi le personnel diplomatique, et ils ne comprenaient pas pourquoi. Alors ils ont changé certains employés, et les nouveaux ont aussi eu des leucémies et des cancers. Ils ont une nouvelle fois changé l’équipe, et ils ont fini par découvrir qu’ils étaient exposés à des micro-ondes.

« C’est là, nous apprend-il, que le gouvernement des États-Unis s’est mal conduit : ils ont décidé de ne rien dire, utilisant leur propre peuple comme des cobayes pour développer leurs propres armes. Quand on a découvert ce qu’il se passait, il y a bien sûr eu un démenti, comme d’habitude, puis un rapport secret ! » Finalement, une sommité de la science, le professeur John Goldsmith, rédigea le rapport définitif confirmant que les micro-ondes de faible intensité provoquaient une énorme quantité de cancers, de leucémies et d’autres troubles. Et Trower témoigne que depuis, quand les gouvernements veulent juguler un groupe de gens, ils utilisent les microondes comme ils l’ont fait à Greenham Common sur une manifestation pacifique de femmes qui protestaient contre la présence de missiles américains sur le sol anglais.

Il révèle que ces femmes ont été ciblées depuis la base américaine, bombardées d’ondes pour les rendre malades, et quand les résultats sont tombés, il y avait une quantité anormalement élevée de tumeurs, de changements de personnalité et de tendances suicidaires parmi elles. Même chose sur les catholiques d’Irlande du Nord.

Selon lui, il existe un engouement généralisé pour les micro-ondes en tant qu arme furtive, et celui-ci est flagrant depuis les années cinquante.

Certaines applications ont un effet immédiat. Il explique qu’avec « une fréquence pulsée, vous pouvez rendre quelqu’un suicidaire. Les personnes ne prennent alors plus la peine de manifester. Leur seul désir est de rester au lit ou de dormir toute la journée. Donc, si vous ciblez des manifestants, si vous les rendez dépressifs, ils ne cherchent plus à manifester. Ils sont épuisés. » D’autres sont plus insidieuses : « Si vous voulez induire une maladie mentale spécifique, il vous faudra un appareil infrarouge qui suivra la personne, et vous le ferez fonctionner avec un émetteur de micro-ondes aussi fin qu’un stylo, de sorte que le faisceau de micro-ondes cible toujours une glande ou une partie du cerveau en particulier, ou un œil, ou le cœur. »

« C’est une arme dont on ne sait pas qu’on est la cible, ajoute-t-il, parce que la dose est très, très faible, ce qui est encore plus dangereux que des doses élevées, et ça peut prendre un an ou deux avant de déclencher des dommages neurologiques et des cancers[255]. »

Justement, Barrie Trower confie que, parmi la cinquantaine de conversations hautement « top secrètes » qu’il a eues pendant ses années d’activité, deux d’entre elles concernaient la mort de chefs d’États : « Leurs successeurs m’ont dit qu’ils pensaient qu’ils avaient été tués par un rayonnement micro-ondes. Ils ont fait leur enquête et c’était leur conclusion… » Chavez lui-même évoquait la possibilité de complots à l’origine des cancers des chefs d’États sud-américains, et dénonçait une technologie américaine entre les mains de la CIA pour inoculer le cancer. Barrie mentionne à ce sujet que les armes à micro-ondes n’étaient pas un secret avant le milieu des années soixante-dix, « ils en parlaient librement autour de biscuits et d’une tasse de thé ». Puis les gouvernements ont saisi le plein potentiel de cette technologie et ont alors décidé de la faire tomber sous la loi des secrets officiels[256].

Mais les expériences se sont succédé pour permettre de maîtriser de mieux en mieux la technique ! L’une d’entre elles consistait à cibler une personne ordinaire jusqu’à la rendre folle ; elle finissait par aller voir un psychiatre qui diagnostiquait une schizophrénie, une paranoïa ou une autre maladie psychiatrique. La personne se retrouvait enfermée dans un asile à souffrir pour le restant de sa vie ; mais pour le gouvernement, c’était un succès ! « Les humains étaient considérés comme des rats de laboratoires. S’ils voulaient mener des expériences sur vous, ou sur des milliers de personnes, ils le faisaient. On peut vous conduire à la folie et à la mort. Vous représentez une case que l’on coche sans aucune émotion. C’est ce qu’ils font, et c’est pour cela qu’ils sont au-dessus de la loi », dénonce-t-il.

Une autre manipulation du cerveau, très facile d’après Barrie Trower, est de faire entendre des voix. « Et ce n’est pas que les gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. » En fait, explique-t-il, quand on parle à quelqu’un, notre voix n’est pas dans son cerveau, elle ne dépasse pas quelques centimètres dans son oreille, c’est le signal électrique qui lui fait interpréter le son produit. « Et une fois que vous avez ce signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup d’autres choses, vous pouvez faire entendre physiquement des voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant comme le diable, cela peut être n’importe quoi[257]. »

Il y a aussi la possibilité de « pucer » les gens, et ensuite « si vous connaissez la localisation géographique de votre cible, vous pouvez utiliser les forces spéciales pour projeter un faisceau depuis un satellite ». Le faisceau active alors la puce, la met sous tension, et elle renvoie le signal. C’est un type de puce qui ne fonctionne que lorsqu’elle est stimulée. L’autre type de puce envoie en continu des impulsions pour stimuler à une fréquence donnée, par exemple, une glande du corps, qui va produire une substance chimique spécifique, entraînant une réponse spécifique dans le cerveau.

Rien de très étonnant quand on a lu le livre de Zbigniew Brzeziński, Between Two Ages – Americas Rôle in the Technetronic Era, dans lequel il déclare, page 28 :

« […] il peut être possible -et tentant -d’exploiter à des fins stratégiques et politiques, les fruits de la recherche sur le cerveau et le comportement humain. Gordon J. F. MacDonald, ce géophysicien spécialisé dans les problèmes de la guerre, a écrit que des décharges électroniques excitées artificiellement et mesurées avec précision “pourraient permettre de développer un système qui altérerait sérieusement les performances du cerveau de très vastes populations dans des régions sélectionnées sur une longue période… Peu importe à quel point l’idée d’utiliser l’environnement pour manipuler le comportement dans l’intérêt national de quelques-uns peut être dérangeante, la technologie permettant cette utilisation se développera très probablement dans les prochaines décennies”. » Notons qu’il écrit cela après avoir pris la peine de mentionner dans l’introduction que « ce livre n’est pas un exercice en futurologie », mais une façon d’aider les lecteurs « à mieux saisir la nature du monde politique dans lequel nous vivons, les forces qui le forment et les directions qu’il poursuit » ! C’était en 1970.

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Neuralink le must de la coolitude : implant Neuralink dans le crâne d’un singe pour qu’il joue aux jeux vidéo

Neuralink présenté comme le must de la coolitude. Comme toujours présenté comme indispensable, pour écouter de la musique, pour la santé, pour le jeu en ligne maintenant… les médias nous habituent progressivement au totalitarisme cybernétique. Pas un mot en revanche sur les gens qui se plaignent d’être les cibles non consensuelles de cette technologie…


Elon Musk, le PDG de Tesla, SpaceX ou encore Neuralink a donné une interview sur l’application Clubhouse, sur laquelle les utilisateurs organisent des discussions informelles et spontanées. Elon Musk a alors dévoilé ses projets pour Mars, ce qu’il pensait du Bitcoin ou encore le projet fou de Neuralink.

Le projet de Neuralink, qui a débuté en 2017, est de créer des interfaces cerveau-machine à ultra-haute bande passante pour connecter les humains et les ordinateurs. C’est sur un singe qu’Elon Musk testerait le prototype le plus récent.

L’été dernier, l’entreprise Neuralink d’Elon Musk avait présenté un premier implant cérébral autonome et fonctionnel, qu’elle avait installé dans le cerveau d’un porc. L’implant, dénommé The Link, était placé dans une cavité creusée dans le crâne de l’animal et relié à 1024 électrodes placées sur la couche extérieure du cerveau.

Un singe peut jouer aux jeux vidéo grâce à Neuralink

Lors d’une conversation à propos de Neuralink, Elon Musk aurait déclaré que son entreprise avait installé un implant sans fil dans le crâne d’un singe pour qu’il puisse jouer aux jeux vidéo en utilisant son esprit. En effet, Elon Musk se serait demandé si les singes pouvaient jouer au célèbre jeu Pong les uns contre les autres en utilisant leurs pensées.

Elon Musk a rassuré ses interlocuteurs concernant la santé du singe en précisant que celui-ci était en excellente santé, et qu’il vivait dans les installations pour singes les plus confortables au monde. Jouer au jeu Pong par la pensée n’est bien sûr pas l’objectif principal de Neuralink, mais démontre seulement ce dont l’entreprise est capable.

Grâce à Neuralink, Elon Musk souhaite connecter le cerveau humain aux machines, mais ce n’est pas tout. En effet, grâce à cette technologie, l’entreprise espère dans un premier temps aider les personnes souffrant de lésions cérébrales à communiquer et se déplacer. Elle serait par la suite rendue disponible pour tous. Elon Musk a également évoqué la disparition de la langue humaine, car nous pourrions communiquer plus rapidement et de manière plus précise en nous envoyant des informations par la pensée.

Le PDG de Neuralink a récemment rappelé sur Twitter que l’entreprise était actuellement à la recherche de nouveaux employés. L’objectif à court terme serait de résoudre les lésions du cerveau et de la colonne vertébrale, et plus tard de relier les humains aux machines.

Source : bloomberg