Lecture des images cérébrales, extrait de la Conférence d’Idriss Aberkane : Pourquoi l’Intelligence Artificielle est-elle un bien meilleur élève que nous?
Étiquette : neuro-politique
«Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique» : pourquoi faut-il absolument regarder cette série documentaire sur CANAL+ ?
La série documentaire «Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique», disponible à partir du 9 octobre sur CANAL+ et myCANAL, met en lumière les attaques non-conventionnelles ciblant des espions et des diplomates américains à travers le monde.
Le mystère reste entier. CANAL+ vient de mettre en ligne la série documentaire «Le Syndrome de la Havane – Menace sur l’Amérique», dans laquelle les journalistes Jules Giraudat et Arthur Bouvart se penchent sur les attaques non-conventionnelles dont plus de 1.000 diplomates et espions américains en poste sur tous les continents ont été la cible, sans que les États-Unis ne soient en mesure d’identifier – du moins officiellement – leur provenance, ou les auteurs.
La parole est notamment donnée à un ancien agent de la CIA qui, alors qu’il travaillait à l’ambassade de Cuba en 2016, quelques mois après le rétablissement historique des relations diplomatiques entre les États-Unis et Cuba, va être victime d’un étrange événement à son domicile. «Un jour, je suis rentré seul de l’ambassade. Arrivé chez moi, je me suis étendu sur mon lit. Soudain, tous les chiens du quartier se sont mis à aboyer. Peu après, un son perçant a fait irruption dans ma chambre. C’était comme un coup de batte. Comme une onde qui se refermait sur moi. Et la pression m’écrasait peu à peu le crâne. Il y avait un son aigu, continu, un bruit presque mécanique», témoigne-t-il.
Digne d’un roman d’espionnage
Ce son strident qui vient de lui pressurer la boîte crânienne va se révéler extrêmement grave pour sa santé, le laissant avec des séquelles neurologiques irréversibles. À partir de la deuxième moitié de l’année 2016, des attaques similaires vont également viser le responsable de la sécurité diplomatique, le médecin chef de l’ambassade, le secrétaire de l’ambassadeur, ainsi que le vice-consul adjoint. Des employés occupants des postes clefs au sein d’une ambassade, ce qui ne peut pas être le fruit du hasard, selon lui.
La menace potentielle n’est toutefois pas prise au sérieux immédiatement par les autorités américaines. L’affaire va toutefois évoluer quand des cas similaires sont rapportés en Chine, et ailleurs dans le monde. À la manière d’un récit digne d’un roman d’espionnage, qui mêle armes d’un genre nouveau et affrontements souterrains entre nations, cette série documentaire propose une enquête fascinante sur une affaire susceptible de bouleverser l’ordre mondial. Un récit d’autant plus captivant qu’il est mis en valeur par les interviews exclusives de diplomates et membres des services de renseignement.
Grace aux sites d’info alternatifs, la COVID a permis de me faire découvrir la charte Bidermann. C’est frappant de constater que tout ce qui m’a été fait par V2K, depuis 34 ans, suit exactement la trame point par point (8 points, cf plus bas). Un cerveau malade, schizo, pourrait donc entendre des voix qui lui appliquent des techniques de manipulations mentales totalitaires auxquelles il ne peut se soustraire. Le but serait donc que la personne se suicide (*fuite) ou soit enfermée et sédatée à vie (*fuite/mise HS), avec des effets secondaires comme l’impuissance, la prise de poids jusqu’à atteindre 200 Kg (réduisant son espérance de vie) et la perte de plusieurs dizaines de points de QI, amenuisant d’autant la possibilité de se dépêtrer de ce qui paraît être une maladie mentale à Mme Michu, madame français moyen. Quid du stress accumulé qui finit par faire dysfonctionner le cœur ? J’ai eu récemment un infarctus précédé depuis des mois de douleurs abdominales intenses. J’ai compris plus tard en écoutant *Henri Laborit parler de « l’inhibition de l’action » et de l’importance du stress dans ce qui venait de m’arriver. Il disait textuellement après ses études sur des animaux que le stress se porte sur les fonctions intestinales et cardiaques.
Laborit nous montre toute la gamme de comportements possibles dans la situation d’un TI. Cela explique pourquoi les choix, du suicide, du pétage de plombs aux USA (tueurs de masse) et les attentats en Europe (loups solitaires), les maladies pour les autres… À mon avis, une grande partie des faits d’extrême violence suscités sont ainsi explicables et souhaités afin de gouverner par le chaos.
La science a permis de se brancher sur les ondes cérébrales et ensuite ? Elle a choisi le côté obscure ! Imaginez ne plus connaitre le silence depuis plus de 30 ans, être soumis à un stress auditif permanent, tantôt de faible intensité (V2k par IA & acouphènes), tantôt de forte intensité (V2K par des Humains + IA +…), la botte sur le visage jusqu’à la mort ! Je parle un peu de mon cas personnel, parce que j’ai déjà plusieurs dysfonctions corporelles (Psoriasis depuis 20 ans, thyroïdectomie, algoneurodystrophie résistante depuis presque 10 ans, infarctus, tout ça à 52 ans…) qui me mènent à penser que je me rapproche de la sortie. J’ai peu posté durant les deux dernières années, je pense rester anonyme parmi les TI français et m’astreindre à donner signe de vie ici, une fois par an, tout en restant joignable via le mail de ce site. Si je ne réponds plus pendant plusieurs mois, vous en tirerez les conclusions… Vous souhaitant bon courage à vous les TI pour votre survie et votre combat quotidien !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Biderman_de_la_torture_psychologique
La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu.
Malgré les origines de la charte à l’époque de la guerre froide, l’organisation non gouvernementale Amnesty International a déclaré que ce tableau contient les « outils universels de la torture et de la coercition ». Au début des années 2000, ce tableau a été utilisé par des interrogateurs américains au camp de détention de Guantanamo Bay à Cuba. Elle a également été utilisée pour analyser les abus psychologiques commis par les auteurs de violence domestique1.
Origine
« Probablement aucun autre aspect du communisme ne révèle plus profondément son manque de respect pour la vérité et les individus que son recours à ces techniques ». Albert Biderman.
Albert D. Biderman, un spécialiste des sciences sociales de l’US Air Force, a été chargé de rechercher pourquoi de nombreux prisonniers de guerre américains capturés par les forces communistes pendant la guerre de Corée coopéraient. Après des entretiens approfondis avec des prisonniers renvoyés aux Etats-Unis, Biderman conclut qu’il y a trois éléments principaux constitutifs du contrôle coercitif utilisé par les interrogateurs communistes : « la dépendance, la débilité et la terreur »2. Biderman a résumé ses conclusions dans un tableau publié pour la première fois dans l’article « Communist Attempts to Elicit False Confessions From Air Force Prisoners of War » (tentatives communistes pour obtenir de fausses confessions des prisonniers de guerre de l’armée de l’air) dans le numéro de 1957 du Bulletin de l’Académie de médecine de New York . L’article présentait une analyse des méthodes de torture psychologique, plutôt que physiques, utilisées pour contraindre à la divulgation d’information et aux faux aveux3,2.
Le psychiatre Robert Jay Lifton a mené des recherches similaires sur les mêmes méthodes communistes chinoises ; inventant le terme « réforme de la pensée » (maintenant connu sous le nom de « lavage de cerveau ») pour les décrire dans le même numéro du Bulletin4.
Méthodes de coercition
Le tableau comprend les méthodes de coercition suivantes3,5 :
- isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité ;
- monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d’insoumission ;
- induire l’épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale ;
- présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir ;
- montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi l’accoutumance aux privations imposées ;
- démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l’autorité ;
- dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale ;
- exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l’autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.
J’ai bien reconnu les 8 points dans le comportement et ce que me donnent à entendre les radio-opérateurs distants, les tenants de la V2K !
Un implant cérébral capable de lire dans les pensées grâce à une IA
Marier un implant cérébral à une IA pour permettre à des personnes paralysées de
s’exprimer… C’est le défi relevé par une équipe de scientifiques de la Stanford University.
Leur dispositif est capable de convertir de simples pensées en textes et en audio intelligible
en un temps record.
160 mots par minute… c’est la vitesse moyenne à laquelle nous parlons. De vrais moulins à parole
! Des dispositifs cérébraux existent depuis plusieurs décennies pour « redonner la parole » aux
personnes paralysées. Ils ont pour objectif, en quelque sorte, de traduire leurs pensées. Pour cela,
ces dispositifs utilisent de minuscules réseaux d’électrodes insérés dans le cerveau, qui
permettent de mesurer et d’interpréter l’activité neuronale. Toutefois, atteindre un tel débit de
parole s’avère être un vrai défi technologique. La traduction est donc beaucoup plus lente que
pour notre parler habituel, ce qui peut s’avérer éminemment frustrant pour les personnes qui
tentent de communiquer.
C’est donc la vitesse, principalement, qui constitue l’atout des recherches menées par une équipe
de la Stanford University. Ils ont adopté une approche innovante, tout en bâtissant sur les
1/3dispositifs existants. En effet, ils ont combiné un implant cérébral avec une intelligence artificielle.
Leurs recherches ont été publiées dans bioRxiv, ce qui, il faut le souligner, signifie qu’elles n’ont
pas encore été validées par des pairs.
Une invitation à rêver, prête à être portée.
Les expérimentations n’ont été menées que sur une seule personne pour le moment. Les
chercheurs admettent d’ailleurs bien volontiers que leur « démonstration est une ‘preuve de
concept’ qui montre que le décodage des tentatives de mouvements de parole à partir
d’enregistrements intracorticaux est une approche prometteuse, mais qu’il ne s’agit pas encore
d’un système complet et cliniquement viable ».
Et en effet, une fois toutes ces précautions posées, leurs recherches ont tout de même de quoi
impressionner. La personne sur laquelle les scientifiques ont mené leur étude est une femme de
67 ans, atteinte d’une sclérose latérale amyotrophique. Cette affection prive progressivement le
cerveau de sa capacité à activer les muscles, menant à une paralysie.
En l’occurrence, le sujet, nommé « T12 » dans l’étude, était encore capable d’émettre des sons en
essayant de parler. Toutefois, son discours était totalement inintelligible. Grâce à l’implant posé par
les chercheurs, elle peut désormais s’exprimer à une vitesse de 62 mots par minute. Pas encore
aussi rapidement qu’une personne qui s’exprime naturellement, donc, mais bien plus rapidement
que sur des dispositifs similaires. C’est trois fois plus rapide que les précédents records, précisent
les scientifiques.
Les pensées de T12 sont retranscrites sur un écran, et les mots sont prononcés par une voix de
synthèse en même temps. Au-delà de la vitesse, c’est aussi l’étendue du vocabulaire utilisable qui
marque les esprits. Le dispositif puise en effet dans une bibliothèque de 125 000 mots, ce qui
constitue une base de vocabulaire étendue.
Comment ça marche ?
Pour parvenir à ce résultat, l’équipe a allié deux technologies de pointe : l’implant neuronal et
l’intelligence artificielle. Côté matériel, les scientifiques ont placé quatre microréseaux d’électrodes
à des endroits stratégiques de la couche externe du cerveau. Deux zones ont été précisément
ciblées. La première est celle qui contrôle les mouvements des muscles faciaux entourant la
bouche. L’autre est connue pour être le « centre du langage » du cerveau. Cette zone est aussi
appelée « Aire de Broca ».
L’idée est de détecter au niveau du cerveau les mouvements qu’aurait faits la personne atteinte de
paralysie si elle avait pu bouger ses muscles pour parler. Les scientifiques voulaient donc capter à
la fois ce que la personne souhaite dire, mais aussi l’exécution de la parole par les mouvements
musculaires. Une proposition audacieuse, souligne SingularityHub dans un article : « nous ne
savons pas encore si la parole est limitée à une petite zone du cerveau qui contrôle les muscles
de la bouche et du visage, ou si le langage est codé à une échelle plus globale dans le cerveau »,
2/3rappelle en effet le média. Toutefois, les scientifiques ne se sont pas basés uniquement sur les
informations fournies par les implants pour reconstituer les phrases.
Ils ont ajouté une touche « d’intelligence artificielle ». « Nous avons entraîné un décodeur à réseau
neuronal récurrent (RNN) à émettre, à chaque pas de temps de 80 ms, la probabilité que chaque
phonème soit prononcé à ce moment-là. Ces probabilités ont ensuite été traitées par un modèle
de langage pour déduire la séquence de mots sous-jacente la plus probable, compte tenu des
probabilités des phonèmes et des statistiques de la langue anglaise », décrivent les scientifiques.
En effet, les scientifiques se sont aperçus que les RNN existants étaient capables de différencier
avec une précision de 92% les types de mouvements faciaux adoptés en fonction des phonèmes
prononcés : froncer les sourcils, plisser les lèvres, faire claquer la langue… Et ce, sur la seule
base des signaux neuronaux. Un phonème est la plus petite unité articulatoire distinctive que l’on
puisse isoler dans un langage : en français par exemple, il en existe 36.
Ils ont ainsi constaté que, même paralysée depuis longtemps, une personne garde toute cette
panoplie articulatoire en mémoire, et envoie les signaux neuronaux correspondants. En résumé,
l’IA capte les phonèmes prononcés grâce aux implants, et déduit les suites logiques des
phonèmes. Même si elle ne s’applique pour le moment qu’à une seule personne, cette recherche
pourrait donc bénéficier à de nombreux patients. Elle aura toutefois besoin d’améliorations : pour
le moment, le système montre un taux d’erreur de 10% environ sur une bibliothèque de 50 mots,
et de près de 24% pour celle de 250 000 mots.
Source : bioRxiv
PDF :trustmyscience.com-Un implant cérébral capable de lire dans les pensées grâce à une IA
Trouvé sur la chaine de nicocible
J’observe la non-réaction des gens (peuple), vont-ils laisser le WEF violer leur âme sans rien faire ?
Le libre arbitre, c’est fini
Le libre arbitre, c’est fini, C’est acté et ils le disent !
Les humains sont désormais des « animaux piratables », selon un conseiller de Klaus Schwab, qui a lancé un avertissement effrayant : les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates.
Le Dr Yuval Noah Harari, contributeur officiel du FEM, a été enregistré en train de prononcer un discours dans lequel il explique ce que Klaus Schwab veut dire lorsqu’il affirme que « c’est vous qui êtes changé ».
Selon le Dr Harari, Schwab fait référence à l’humanité et à l’évolution soudaine que les élites réservent au reste d’entre nous. « Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu [pirater des millions de personnes], mais personne ne comprenait assez bien la biologie », déclare Harari au début de la vidéo.
« Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et certains gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes », poursuit-il, avant de lâcher une menace effrayante :
« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes désormais des animaux piratables ».
Regardez : Listen To Klaus Schwabs Advisor Doctor Yuval Noah Harari – We Can Hack Humans
https://youtu.be/q2OM9xfK0rA
Mais selon le Dr Harari, cette fusion de la vie humaine avec la technologie ne profitera pas à l’homme ou à la femme moyen pour qu’il ou elle puisse améliorer son propre avenir, mais qu’une poignée d’« élites » ne se contentera pas de « construire des dictatures numériques » pour elles-mêmes, mais « gagnera le pouvoir de réingénier l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir ».
Si les élites parviennent à réorganiser l’humanité, il faudra décider si les données de notre ADN, de notre cerveau, de notre corps et de notre vie « m’appartiennent, ou appartiennent à une société, ou au gouvernement, ou, peut-être, à la collectivité humaine ».
Bien sûr, Bill Gates est impliqué.
Selon Harari, la technologie du cloud, comme la plateforme d’IBM ou celle de Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.
« Les humains sont désormais des animaux piratables », déclare le Dr Harari à un autre moment de la vidéo. « Toute l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, c’est mon libre arbitre, c’est fini ».
« Le libre arbitre, c’est fini », souligne-t-il.
« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé ».
« En cette période de crise, vous devez suivre la science », soutient le Dr Harari. « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID] est l’occasion de faire aussi de bonnes réformes qu’en temps normal les gens n’accepteront jamais. Mais en temps de crise, vous voyez que nous n’avons aucune chance, alors faisons-le ».
Traduction approximative de la vidéo :
…de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire mais personne ne comprenait assez bien la biologie et personne n’avait assez de puissance de calcul dans les données pour pirater des millions de personnes ni la gestapo ni le kgb n’ont pu le faire… mais bientôt au moins quelques sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes. Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes maintenant des animaux piratables. Les données pourraient permettre aux élites humaines de faire quelque chose d’encore plus radical que de construire des dictatures numériques. En piratant les organismes, les élites pourraient obtenir le pouvoir de réingénier le futur de la vie elle-même, car une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi l’ingénier. Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années. Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … Mais notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente. Ainsi, les données sur mon ADN, mon cerveau, mon corps, ma vie, m’appartiennent-elles ? ou à une société ou au gouvernement ou peut-être à le collectif humain ? Les humains sont maintenant des animaux piratables, vous savez, toute l’idée que les humains ont, vous le savez, ils ont cette âme ou cet esprit et ils ont le libre arbitre et personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit dans l’élection ou que ce soit dans le supermarché, c’est mon libre arbitre … c’est terminé le libre arbitre, c’est terminé. Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à une échelle massive. Oui, je veux dire, tout est numérisé, tout est surveillé en ce temps de crise, vous devez suivre la science, on dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre.
Selon les politologues américains préoccupés par ce problème, la Chine fait des progrès dans le développement d’une arme pour « contrôler le cerveau ».
Fin 2021, sous prétexte que les militaires chinois font un travail dangereux dans les recherches en matière de « contrôle du cerveau », le département américain du Commerce a imposé des sanctions d’exportation contre les compagnies technologiques américaines. Les États-Unis sont convaincus que l’Académie chinoise des sciences médicales militaires et plusieurs instituts de recherche utilisent les processus biotechnologiques pour soutenir leurs produits informatiques, notamment à des fins militaires, y compris l’arme pour contrôler le cerveau.
Il est supposé qu’une telle arme ne tue pas un adversaire mais le paralyse ou contrôle son comportement.
Les États-Unis ont plus d’une raison de craindre des percées technologiques de Pékin dans le secteur militaire. En juillet 2021, l’armée chinoise a présenté une arme hypersonique, prouvant que la Chine était capable d’éliminer des cibles partout aux États-Unis avec l’arme nucléaire.
Préoccupés par le leadership technologique de la CIA, les États-Unis créent deux nouveaux grands centres stratégiques, dont un se concentre sur la Chine et l’autre sur les technologies avancées.
La science américaine ne se repose pas non plus sur ses lauriers. En décembre 2021, le centre Belfer de Harvard a publié un rapport sur la Grande rivalité technologique. Le texte est dépourvu de sentiments paniques, mais il conclut que la Chine a obtenu de tels exploits en matière de hautes technologies qu’elle est maintenant un concurrent à part entière des États-Unis : en intelligence artificielle, en semi-conducteurs, en 5G, en informatique quantique, en biotechnologies et en énergie verte la Chine pourrait rapidement devenir leader mondial, voire l’est déjà dans certains secteurs.
Les États-Unis estiment être en tête dans l’aéronautique, la médecine et les nanotechnologies, et pour défendre ce titre, en juin 2021, le Sénat soutenu par les deux partis a adopté la Loi sur les innovations et la concurrence (USICA) autorisant des investissements dans la science et les technologies à hauteur de 250 milliards de dollars dans les cinq années à venir. Cependant, cette loi est restée coincée à la chambre des représentants et son avenir reste incertain dans le cadre du projet de loi annuel sur la défense.
Néanmoins, à l’heure actuelle, il est interdit aux investisseurs américains d’investir dans presque 50 compagnies chinoises inscrites sur la liste noire du Trésor américain.
Mais revenons au contrôle du cerveau. Quelles que soient les frictions politiques entre les États-Unis et la Chine, une chose est sûre : même si cette technologie n’est pas encore en circulation, elle est certainement au seuil de faire son apparition. Son prédécesseur est l’interface cerveau-machine (ICM) conçue pour échanger des informations entre le cerveau et un dispositif électronique. L’interface cerveau-machine est la base du neuronet, le rêve des transhumanistes. Selon ses concepteurs, le neuronet prévoit une interaction entre les gens, les animaux et les objets en transmettant des informations directement du cerveau vers une machine et inversement au cerveau.
Les chercheurs chinois travaillent actuellement sur une interface homme-machine à rétroaction qui consiste à installer de l’électronique flexible sur la peau de l’homme assurant une rétroaction tactile pour contrôler les robots via Bluetooth, Wi-Fi et Internet. La technologie englobe la réalité virtuelle auditive, visuelle et tactile en système robotisé intégré. L’information du cerveau de l’utilisateur est transmise sur un ordinateur à distance connecté à Internet. Les chercheurs déclarent que leurs élaborations offrent des capacités uniques pour des interventions sans contact dans la médecine, dans l’industrie et dans d’autres domaines.
Hormis les dispositifs qui sont accrochés sur le corps humain, il existe des puces invasives implantées directement dans le liquide céphalo-rachidien du cerveau de manière chirurgicale. Les scientifiques chinois ont simplifié la procédure complexe et douloureuse en inventant une méthode micro-invasive, qui consiste à installer la puce juste derrière le crâne et au-dessus du liquide céphalo-rachidien, ce qui assure un certain niveau de sécurité.
À noter que le développement de l’interface cerveau-machine est l’un des principaux secteurs du China Brain Project, dont le premier plan quinquennal s’est terminé en 2020. Ce projet est axé sur l’étude des fondements neuronaux des fonctions cognitives, le diagnostic et la prévention des maladies du cerveau et la création de technologies de l’information et de l’intelligence artificielle en étudiant le fonctionnement du cerveau.
Le président chinois Xi Jinping, a déclaré :
« Les innovations technologiques sont devenues un champ de bataille dans le champ mondial, et la concurrence pour la domination technologique deviendra d’une intransigeance sans précédent. »
La rivalité grandissante entre les États-Unis et la Chine dans le secteur des technologies neuronales deviendra l’un des symboles de l’année 2022. Et plus la confrontation est résolue entre les deux pays, plus mince devient la limite entre l’usage militaire et civil des technologies numériques.
La guerre propre, France Inter, 17.11.2002
Emission « Histoires possibles et impossibles » Robert Arnaut
Durée totale : 29 min. 39 sec.
Les armes électro-magnétiques et psychotroniques, la lumière qui détruit, l’onde qui paralyse, le radar tueur, la désinformation : ce sont les nouvelles armes des futurs conflits, des armes « sans bavures » pour une guerre « propre »…
Audio déniché sur le site de Daniel Depris, l’un des participants à l’émission.
Émission ne faisant pas partie des archives du Dimanche 17 novembre 2002 : Volonté délibérée ou non de mettre sous le tapis ce genre de sujet ?
C’était l’époque où le service public Français était complotiste 🙂
Encore quelques preuves que ce qu’avancent les TI en racontant de quoi ils sont victimes, n’est peut-être pas à prendre comme la parole de fous Schizo… Il est visiblement plus commode de penser que l’on a encore notre libre arbitre et que nous sommes servis, en tant qu’administrés, par une gentille bande de démocrates bienveillants.
Avec la participation de Messieurs Daniel Depris Pdt du comité Européen pour la protection de l’habitat et l’environnement et de la santé, Francois Debout sous Directeur Technique de la direction des systèmes de force et de la prospective à la direction générale pour l’armement et Michel Hugon pharmacien en chef du service de santé des armées détaché à la direction générale pour l’armement. Reportage Philippe Clair .
09:25 On parle du taureau télécommandé de José Delgado (sans le citer)… puis demande à son interlocuteur si l’on peut enregistrer les ondes cérébrales du taureau et les utiliser à l’inverse. Réponse : il pense que c’est anecdotique, il n’est visiblement pas au courant.
L’animateur fait clairement allusion à ce qui est décrit par Marc Filterman dans son livre Les Armes De L’ombre dont je soumets à votre sagacité l’extrait en question :
12:30 Ces armes existent et servent ! Des armes électromagnétiques secrètes ont été utilisés par l’Allemagne contre les militants verts anti-nucléaire. Et par la police US pendant les émeutes de LA.
-> réponse complètement à côté de la plaque en parlant du Taser.
14:20 Armes anti-personnelle. Le gars qui vous tire dessus avec un canon électromagnétique, vous ne savez même pas où il est. C’est une arme crapuleuse, on comprend que les militaires ne soient pas très tentés d’en faire l’évocation.
22:50 Il va falloir tenir compte de l’arme psy, il n’y aura forcément pas bcp d’info et peut-être de la désinfo.
23:05 On possède déjà des armes favorisant l’autosuggestion des individus, imaginons ces armes entre les mains d’un groupe mal intentionné. Les ondes représentent sans doute l’arme la plus terrible que l’homme n’ait jamais conçu, parce qu’elle peut agir sur notre cerveau, qui est une usine électro-chimique, il est donc possible d’induire des signaux artificiels de façon à provoquer les réactions voulues aussi bien au niveau musculaire que psychique. Il est possible que ce genre d’expérience ai déjà été tentée sur les malades mentaux. En tout cas il est certain que des systèmes de manipulation physique ou mentale par induction électromagnétique sont aujourd’hui disponibles.
25:45 Évocation d’HAARP
26:20 La nouvelle génération d’arme non létale handicapera l’adversaire, le paralysera, le manipulera, modifiera son comportement.
Document original : Mind Control: From Nazis to DARPA
Traduction Mind Control: From Nazis to DARPA
David Salinas Flores Guest Professor, Faculty of Human Medicine, Universidad Nacional Mayor De San Marcos, Peru
Résumé
Le contrôle mental est un processus réducteur dans lequel un homme est réduit à un animal, une machine ou un esclave. Les idées de base du contrôle de l’esprit sont nées à Tavistock et ont ensuite été développées en Allemagne, principalement dans le camp de concentration nazi de Dachau. L’opération Paperclip a recruté les scientifiques nazis qui ont fait l’expérience du contrôle mental chez les prisonniers de Dachau ; ainsi les nazis ont participé aux programmes américains de contrôle mental. Aujourd’hui, des recherches récentes fournissent des preuves de l’existence d’un programme américain d’armes de contrôle mental classifié en plein développement, organisé par la DARPA en association illicite avec des universités américaines corrompues, des transnationales de la technologie et des mafias de procureurs. Le crime organisé de la DARPA développe une expérimentation neuroscientifique humaine secrète, forcée et illicite avec des neurotechnologies invasives comme des nanorobots cérébraux, des micro-puces et des implants pour exécuter le contrôle de l’esprit. Il est nécessaire que la société mondiale soit informée de la vérité sur le contrôle de l’esprit et que les autorités honnêtes prennent des mesures préventives pour empêcher le contrôle de l’esprit massif que la DARPA développe dans le monde entier.
Introduction
Le contrôle mental est un processus réducteur dans lequel l’homme est réduit à un animal ou à une machine [1]. Il s’agit d’une technique visant à supprimer la volonté d’une personne, pour la rendre dépendante de ce qui est dicté par une autre personne ou une organisation.
Les armes de contrôle mental peuvent être plus puissantes que les bombes atomiques ;
le public connaît la puissance des armes nucléaires et peut en débattre et protester, mais le public ne peut pas débattre du danger des programmes de contrôle mental car ce programme est entouré de dénis et de désinformation de la part des nombreux gouvernements.
Le contrôle de l’esprit a été tenté à travers l’histoire de différentes manières, comme la violence physique ou la religion. la religion ; certains gouvernements ont été obsédés par le contrôle de l’esprit, en particulier ceux qui tendaient vers le fascisme, comme les nazis.
Pour beaucoup de gens, la manipulation mentale est un mythe [2], un sujet de science-fiction ou un trouble psychiatrique plutôt qu’une science. Cependant, au 21ème siècle, les progrès des neurosciences conduisent à une réalité scientifique opposée à cette perception. Des recherches récentes considèrent que le contrôle mental devrait être
considéré comme un nouveau problème de santé publique en médecine, une réalité que tout citoyen doit connaître [3,4].
Sommaire
Les idées de base du contrôle de l’esprit sont nées en 1921, à Tavistock, un centre de recherche de l’Intelligence Service britannique, puis elles ont été développées en Allemagne, principalement sous le gouvernement nazi. Dès 1943, les médecins militaires allemands travaillant dans les camps de concentration de Dachau et d’Auschwitz
ont expérimenté les barbituriques, les dérivés de la morphine et la mescaline à des fins d’interrogatoire [5].
La mescaline, un alcaloïde psychotique présent à l’état naturel dans le cactus mexicain peyotl, était la principale drogue utilisée par les scientifiques nazis.Des expériences avec de la mescaline ont été réalisées à Auschwitz et ensuite elles ont été répétées à Dachau. Dachau était le premier camp de concentration nazi ouvert et il est connu pour
les expériences nazies d’hypothermie [6].
À Dachau, les expériences de contrôle mental avec la mescaline ont été menées par le Dr Kurt Plötner, qui a rejoint les SS en tant que médecin dans les années 1930 [7]. Selon Walter Neff, un infirmier de prisonnier impliqué dans les expériences à Dachau, le but était : « d’éliminer la volonté de la personne examinée » [5].
Après des « recherches » sur 30 détenus, Plötner a conclu que la mescaline était « trop peu fiable pour être une drogue de vérité ». Parfois elle fonctionnait, parfois non [5].
Le travail de Plötner dans les camps de concentration a attiré l’attention des services secrets américains. les officiers de renseignement de la marine américaine ont recruté Plötner en 1945, lui permettant de poursuivre ses recherches sur les interrogatoires. En réalité, l’armée américaine a développé une grande opération, l’opération Paperclip ;
le programme secret de renseignement pour amener les scientifiques nazis en Amérique [8] a ainsi recruté trop de scientifiques nazis qui ont vécu en prisonniers de Dachau après la fin de la Seconde Guerre mondiale. En fait, Plötner n’a jamais été inculpé pour ses expériences sur la mescaline [9], il a bénéficié d’une protection particulière. Plötner a continué à vivre sous le nom de « Schmitt » dans le Schleswig-Holstein jusqu’au début des années 1950.
Il est retourné dans le domaine médical en tant que professeur à l’Université
de Freiburg en Allemagne de l’Ouest. Plötner est décédé en 1984. Le gouvernement Américain n’a pas eu de succès avec la mescaline pour le contrôle de l’esprit
et a opté pour un autre hallucinogène, le LSD.
Les États-Unis ont développé plusieurs programmes de contrôle de l’esprit, l’US
marine américaine a commencé certaines des premières expériences sur le contrôle de l’esprit en 1947 [10]. La première participation connue de la CIA date de 1950 avec le lancement du projet Bluebird [10], mais le principal programme était le programme
MKUltra. MKUltra était le nom de code d’un projet secret de la CIA, mené de 1953 à 1964, qui impliquait le contrôle de l’esprit par des médicaments et la modification du comportement [11,12]. Le programme MKUltra développé par la CIA était un programme conçu pour réaliser la plus grande expérience de manipulation mentale, un programme illégal et clandestin d’expériences sur des sujets humains. L’expérience comprenait la participation de scientifiques et de 80 institutions renommées, parmi lesquelles 44 écoles, des universités prestigieuses comme Harvard, Stanford et Yale,
12 hôpitaux, des entreprises pharmaceutiques et des prisons. C’était un projet
qui comprenait 149 sous-projets, tous liés au contrôle de l’esprit. Au moins
139 médicaments ont été étudiés. Bien que le projet MKUltra ait utilisé
principalement des drogues hallucinogènes, le LSD étant l’une des plus utilisées.
drogues les plus utilisées, des techniques expérimentales de stimulation des zones cérébrales profondes ont également utilisées [3]. Aujourd’hui, grâce aux progrès de la science, le contrôle de l’esprit pourrait être développé à l’aide de nanotechnologies cérébrales, des nanorobots, des micropuces et des implants, et l’internet cérébral. L’internet cérébral est le principal outil de contrôle de l’esprit, il s’agit d’un moyen de communication développé chez une personne qui a dans son cerveau une neurotechnologie invasive telle que des implants cérébraux comme le modem cortical, les nanorobots cérébraux et les micropuces avec lesquels une télétransmission de sa vie quotidienne. Cette télétransmission est envoyée via wifi aux téléphones portables, aux ordinateurs et aux télévisions [3]. L’internet cérébral permet également d’envoyer des informations audiovisuelles au cerveau d’une personne à l’aide de nanorobots cérébraux. La neurotechnologie invasive permet d’obtenir le contrôle mental d’une personne, qui plie sa volonté aux objectifs d’une personne ou d’une organisation. Il existe plusieurs mécanismes permettant d’atteindre cet objectif :
Contrôle direct de l’esprit
Contrôler l’activité des neurones : Le délinquant produit une stimulation ou une inhibition des neurones avec l’internet cérébral par wifi chez une victime équipée d’un nanorobot cérébral et peut obtenir un contrôle mental à distance.
Contrôle mental indirect
Torture mentale : Le délinquant envoie des signaux audiovisuels qui peuvent produire des dommages psychologiques à la victime avec des nanorobots, jusqu’à arriver à briser la volonté de la victime et obtenir que la victime accepte d’être subordonnée aux intérêts de la mafia [13].
L’extorsion : La cartographie du cerveau obtenue avec l’internet cérébral
et les nanorobots cérébraux peut être utilisée pour obtenir des informations privées du citoyen, telles que sa vie sexuelle et ses relations sexuelles et avec ce matériel audiovisuel la victime est extorquée, ainsi la mafia des nanotechnologies peut obtenir que la victime accepte de suivre les ordres de la mafia [13].
D’autre part, il existe des preuves solides que le contrôle mental est
développé par plusieurs puissances économiques telles que la Chine, l’Allemagne,
l’Inde et la Fédération de Russie [14] ; cependant, le principal pays qui le développe
qui le développe est les États-Unis.
Les États-Unis d’Amérique du Nord sont la première puissance militaire mondiale ; ce pays fonde son hégémonie sur ses armes ; il est donc critique pour ce pays de développer de nouvelles armes de guerre. DARPA, initiales en anglais de Defense Advanced Research Projects Agency, est l’agence en charge du développement de nouvelles armes de guerre, sa mission est de maintenir la supériorité technologique de l’armée américaine et de prévenir les surprises technologiques des adversaires américains [15]. DARPA est l’agence militaire scientifique la plus puissante au monde, l’une de celles qui avec une production accrue et l’une de celles avec le plus grand secret.
Elle a été créée par le Congrès des États-Unis en 1958. budget annuel d’environ 3 000 milliards de dollars. La DARPA ne mène pas recherche scientifique mais engage des entrepreneurs de la défense, des universitaires et d’autres organisations gouvernementales pour faire le travail, et facilite ensuite la transition des résultats pour un usage militaire. La DARPA maintient un personnel extraordinairement réduit, en moyenne 120 gestionnaires de programmes par an [16]. En 2018, la DARPA célèbre son 60e anniversaire [17].
La DARPA est promue par ses scientifiques, la presse, la télévision et le cinéma,
comme une institution qui crée de nouvelles armes basées sur son utilisation brillante
du capital intellectuel [16]. Selon le scientifique de la DARPA : Les institutions et les centres de recherche universitaires américains ont été les les chaudrons dans lesquels de nombreuses innovations du DARPA ont été réalisées[17].
Parmi les armes que les USA développent figurent les armes de contrôle de l’esprit. Les plus grands secrets actuels de la DARPA sont les projets de contrôle mental, probablement parce que ces projets nécessitent une expérimentation humaine. Des recherches récentes permettent de soupçonner qu’aujourd’hui plusieurs projets liés aux recherches de la DARPA sur le contrôle mental se développent sur des expériences humaines illégales réalisées en Amérique latine. À cette fin, les citoyens seraient intoxiqués avec boissons et aliments contaminés par des nanorobots cérébraux ou seraient même kidnappés pour leur installer des implants cérébraux comme le modem cortical ou l’hippocampe artificiel sans leur consentement.
De nombreux faits étayent l’existence réelle de cette recherche inhumaine de la DARPA, dont les principales preuves sont les suivantes :
The Brain initiative (L’initiative sur le cerveau)
Récemment, le président des États-Unis d’Amérique du Nord,
Barack Obama, a présenté le projet BRAIN. La DARPA est partenaire principal de ce projet [18]. La DARPA a investi plus de 500 millions de dollars pour soutenir l’initiative de la Maison Blanche pour le cerveau depuis annoncée en 2013 [17]. Rafael Yuste, un des principaux scientifiques de l’initiative BRAIN a déclaré publiquement que l’objectif principal du projet était de manipuler les neurones., on soupçonne donc que l’initiative BRAIN est un programme de recherche secret de contrôle de l’esprit qui est développé en Amérique latine [3,13,19,20]. Les initiales du projet BRAIN signifient « Brain
Research through Advancing Innovative Neurotechnologies ». Les recherches récentes sur recherches récentes soupçonnent que ces « Advancing Innovative Neurotechnologies » (technologies neurologiques innovantes) du projet BRAIN sont en réalité des nanorobots cérébraux [3]. vise donc à être un programme de contrôle de l’esprit par des nanorobots cérébraux.
La découverte des nanomafias
Pour son accessibilité, les nanorobots cérébraux sont la principale arme de contrôle de l’esprit, cependant la recherche sur les nanorobots du cerveau est difficile
car la nanotechnologie agit au niveau atomique et pour cette raison l’expérimentation sur les humains est à haut risque, ce qui entraîne un manque évident de volontaires et, par conséquent, il est difficile d’expérimenter des armes de contrôle de l’esprit comme les nanorobots cérébraux chez l’homme. En raison de ce fait, des recherches récentes ont permis de découvrir que le gouvernement américain et transnationales de la technologie auraient recours à des méthodes criminelles pour obtenir des sujets d’expérimentation humaine ; ainsi, ils utiliseraient la violence, l’escroquerie, l’extorsion et le crime organisé [21,22]. Ces recherches alertent sur l’existence d’un réseau mondial de crime organisé pour développer des projets neuroscientifiques illicites en utilisant des neurotechnologies invasives afin de développer des armes de contrôle mental, principalement en Amérique latine. Ces « rouges corrompus » ont créé une organisation
qui développe une expérimentation neuroscientifique humaine secrète, forcée et illicite
avec des neurotechnologies invasives comme les nanorobots cérébraux, des micro-puces et des implants pour exécuter des projets neuroscientifiques, qui ont même conduit des scientifiques à remporter des prix Nobel de médecine [23]. sur la base de cette expérimentation humaine illicite au détriment de la santé des latino-américains. Les différents types de projets développés avec des nanorobots ont un schéma commun : ils sont développés par télémétrie, par wifi, ils n’ont pas de forme physique, et ils sont intangibles. Vraiment, la nanomafia est la mafia du wifi, la « mafia fantôme », qui rend presque impossible de la dénoncer [21].
La découverte de l’internet cérébral en Amérique latine
Il y a de nombreuses preuves qui indiquent que la DARPA et les propriétaires de chaînes de télévision ont développé un réseau corrompu pour implanter l’internet cérébral dans le monde entier, principalement dans les universités latino-américaines, l’un de ses principaux objectifs étant d’obtenir la vie sexuelle des étudiants et de contrôler leur esprit [24]. Dans les universités latino-américaines, des « centres d’excellence » sont créés de manière suspecte leur nom « excellence » indique qu’il s’agirait de centres créés pour l’expérimentation transhumaniste. Le Centre d’excellence de l’Université nationale de San Marcos est promu principalement par l’Université de Washington et l’US Navy. Il est nécessaire de souligner que l’ambassadeur des États-Unis au Pérou de l’époque, Brian
A. Nichols, était présent lors de son inauguration. Des recherches récentes conduisent à
suspecter que ce centre d’excellence a en réalité un objectif militaire et non un objectif de recherche. Ainsi, sous la direction secrète du gouvernement américain, ces centres d’excellence universitaires, en association illicite avec les cabinets des recteurs, les mafias de professeurs et les centres d’étudiants, organiseraient le contrôle de l’esprit dans les campus universitaires, utilisant secrètement la neurotechnologie sur le personnel de l’université afin d’espionner et de contrôler l’ensemble de l’université [24].
La création de la Silicon Valley en Amérique latine
La création récente de ce que l’on appelle les « Silicon Valley » d’Amérique Latine comme Yachay et Guadalajara aurait pour objectif secret de développer l’expérimentation humaine risquée avec des neurotechnologie. En Equateur, l’université de Yachay a suscité suspicion pour son administration ; le comité de direction de cette
université est composé uniquement de professeurs du California Technology
Institute (Caltech), qui est très lié à la DARPA. Arati Prabhakar, directrice de la DARPA (2012-2017), est diplômée de Caltech, une institution militaire qui finance plusieurs projets de Caltech. D’une vue générale, les preuves indiquent que des expériences humaines de contrôle mental seraient menées à Yachay [22,24-26]. D’autre part, IBM a 40 ans d’existence à Guadalajara ; cette société est l’une des plus grandes entreprises de l’industrie. IBM est considéré comme un partenaire principal de la DARPA qui
finance plusieurs des projets neuroscientifiques d’IBM. Des recherches récentes
alertent sur le fait qu’IBM serait en train de développer des expérimentations humaines illicites pour pour réaliser des cartographies du cerveau au Mexique [25] principalement à Guadalajara. Ce soupçon est renforcé par les l’expression des PDG d’IBM au sujet de la technologie qui va se développer à Guadalajara :
« Cette technologie est une extension de l’esprit humain ; nous allons
être capable de faire des choses que notre esprit ne peut pas faire maintenant » [25].
Le fort soupçon de contrôle mental dans les hôpitaux d’ Amérique latine
En Amérique latine, l’une des principales entreprises suspectées d’avoir secrètement
et illégalement de développer le contrôle mental en association illicite avec la
DARPA est la compagnie d’assurance santé péruvienne ESSALUD qui possède un goupe d’hôpitaux au Pérou. L’hôpital Alberto Sabogal est le principal hôpital suspect de l’expérimentation humaine illicite de la DARPA pour son ubication. Il est situé près de la seule base militaire des forces armées américaines en Amérique latine, la NAMRUD-6. Le programme de contrôle mental de la DARPA aurait commencé en 2009 à l’hôpital Alberto Sabogal pendant l’administration du président américain Barack Obama, et de la
secrétaire d’État Hillary Clinton, tous deux ont coordonné le crime organisé avec le Président Alan García Pérez et celui-ci à son tour avec le président d’ESSALUD Fernando Barrios Ipenza [22]. Barrios l’a développé secrètement avec les unités de recherche des hôpitaux péruviens, l’Institut national de la santé, l’institution de l’État péruvien
qui donne la certification officielle pour la recherche biomédicale au Pérou
et l’APRA, le parti qui gouvernait le Pérou à cette époque. Le site
unités de recherche des hôpitaux latino-américains camouflent des projets transhumanistes de plusieurs millions de dollars, en escroquant les patients, comme l’unité de recherche de l’hôpital Sabogal où sont développés des projets de recherche en neurosciences qui visent à être le camouflage d’expériences transhumanistes de contrôle mental dans cet hôpital. Ce fait est renforcé parce que cette entreprise a placé plusieurs publicités avec le mot « contrôle » qui a pour but d’être une promotion subliminale du contrôle mental [22]. Des recherches récentes alertent sur la chirurgie de masse dans l’ESSALUD, opérant environ 20 000 patients en peu de temps.
20 000 patients en peu de temps, campagnes qui se veulent en réalité des campagnes chirurgicales visant à implanter secrètement technologiques à des milliers de patients [22] (figure 1).
Figure 1 : Le contrôle mental : Des nazis à la DARPA. Le camp de concentration de Dachau, l’un des premiers endroits où les programmes de contrôle mental ont débuté. (Gauche) L’hôpital Alberto Sabogal est le principal endroit où la DARPA développe des expériences humaines illicites et forcées avec des nanorobots cérébraux, des micropuces pour exécuter le contrôle mental (Droite).
Suspission de l’expérimentation humaine illicite dans la construction
de puces neuromorphiques financée par la DARPA
La DARPA a financé la création de la puce neuromorphique True North annoncée en 2014 comme la puce similaire au cerveau la plus avancée créée à ce jour. Cette puce est l’une des plus grandes et des plus avancées et les plus avancées qui aient été créées, 768 fois plus efficace que toutes les autres qui a été créée. Il y a des soupçons que cette puce neuromorphique a été créée sur la base d’expériences humaines illégales, et ce pour
plusieurs raisons, notamment, la DARPA elle-même a révélé publiquement qu’il n’y a pas
qu’il n’y a pas de technologie capable de capter les signaux qui informent les scientifiques ce qui se passe exactement à l’intérieur du cerveau. L’absence de telles
études et la rapidité avec laquelle la puce cérébrale a été construite, seulement six années, laissent penser que d’autres sources d’informations seraient
cachées, telles que les expérimentations humaines secrètes et forcées, avec
neurotechnologie invasive comme les implants cérébraux ou les nanorobots dans les pays latino-américains [25-27].
L’annonce de l’épidémie de zombies
Des recherches récentes conduisent à soupçonner que l’apocalypse de zombies
promue par le CDC et l’armée américaine serait en fait une épidémie mondiale de
une épidémie mondiale de contrôle mental utilisant des nanorobots cérébraux [28], camouflée en une épidémie et organisée par le CDC lui-même et l’armée américaine. Il y a également un fort soupçon que le gouvernement américain procède à une dissémination secrète de nanorobots cérébraux dans le monde entier, « une pandémie de
nanorobots cérébraux » [3,28]. Des recherches que le CDC et l’armée américaine n’ont pas démenti. L’élection du Mexique dans la série télévisée sur l’origine de
l’épidémie de zombies n’est probablement pas qu’une fiction ; il est probable que
des milliers de Mexicains sont victimes d’une administration secrète de nanorobots cérébraux pour développer le contrôle de l’esprit [28].
La DARPA fait la promotion du supersoldat
Le scientifique de la DARPA déclare :
« Les soldats n’ayant aucune limitation physique, physiologique ou cognitive seront la clé de la survie et de la domination opérationnelle dans le futur » [29].
La clé de ce projet est la neurotechnologie invasive, les nanorobots et les micropuces du cerveau. Il existe trois applications militaires potentielles de la neurotechnologie invasive dans le super-soldat : a) l’augmentation cognitive, qui alerte les soldats des menaces ; b) la télépathie synthétique, qui permettrait aux soldats de communiquer entre eux ; c) les armes contrôlées par la pensée [30]. Il est évident que la DARPA a besoin d’une expérimentation humaine illicite secrète de contrôle mental pour pouvoir développer cet objectif militaire du projet de super-soldat. Il est nécessaire de souligner que le projet de super-soldat est une fraude. La DARPA n’informe pas que la neurotechnologie invasive peut être une arme contre le soldat ; il perdrait sa vie privée en étant espionné en permanence par l’internet cérébral, il perdrait le contrôle de son esprit, le soldat serait contrôlé par d’autres et perdrait ainsi son autonomie en nous transformant en robots humains.
Il existe de nombreuses preuves que la DARPA développe des cyborgs dans les universités péruviennes.
Il est nécessaire de souligner que la neurotechnologie invasive est la principale caractéristique d’un cyborg.
Kevin Warmick, le principal promoteur des cyborgs dans le monde dit :
« J’ai un seul objectif dans ma vie. Je veux être un cyborg. Je veux être le premier être mi-homme mi-machine du monde » [22].
Cependant, Warmick n’utilise pas non plus d’implants cérébraux, lorsqu’on l’interroge sur la possibilité d’utiliser des neurotechnologies invasives, il déclare :
« J’aime vraiment ma vie et il y a de nombreuses possibilités que quelque chose se passe mal, tant lors de l’implantation de la puce que lors de son retrait » [22].
Dans des ouvrages scientifiques récents, on exprime ce qui suit :
« De nos jours, il semble peu probable que des êtres humains utilisent volontairement la puce cérébrale d’Intel, mais elle pourrait probablement avoir des applications pour des personnes comme les tétraplégiques » [26].
La société ne manifeste pas d’intérêt pour l’utilisation d’implants cérébraux, face à cette réalité, la DARPA a étonnamment annoncé qu’elle allait créer une armée de cyborgs, c’est un mystère comment elle fait ses recherches biomédicales. L’expérimentation transhumaine illicite secrète et forcée dans les universités latino-américaines serait le secret de ce programme de robots soldats [22]. Des enquêtes récentes mettent en garde contre la présence d’expériences de contrôle mental dans les universités de Lima dites du « cône nord », comme l’université César Vallejo. Celle-ci appartient à César Acuña, qui a des liens étroits avec IBM, partenaire de la DARPA. La publicité de cette université est très similaire à la propagande menée par le gouvernement américain pour le recrutement militaire et renforce le soupçon d’expérimentation humaine de contrôle de l’esprit chez les étudiants dans le but de les transformer en robots soldats pour l’armée américaine [22].
La DARPA ne se contentera probablement pas de transformer les étudiants universitaires contrôlés par l’esprit en robots humains pour servir l’armée américaine, ce qui est pire, il est probable que le projet réel les transformera également en soldats clones, effaçant son identité et la remplaçant par une autre, effaçant sa mémoire et la remplaçant par une autre, la campagne « désapprendre pour apprendre » et la publicité de nombreuses universités péruviennes où les étudiants universitaires sont montrés comme des clones indique l’existence de ce projet secret [22].
Discussion
Le gouvernement américain fait une campagne millionnaire pour nier le contrôle mental. Le principal intervenant sur la DARPA et le contrôle mental est probablement Jhonatan Moreno, auteur de livres et d’articles sur le contrôle mental [31]. Moreno a été membre du personnel de direction de trois commissions consultatives présidentielles et a siégé dans un certain nombre de comités consultatifs du Pentagone. Il est professeur d’éthique à l’université de Pennsylvanie et rédacteur en chef du magazine en ligne Science Progress du Center for American Progress. L’American Journal of Bioethics l’a qualifié de « bioéthicien le plus intéressant de notre époque ».
Moreno dit à propos du contrôle mental :
« Je crois que les personnes qui pensent avoir été victimes d’expériences gouvernementales de contrôle mental sont malavisées, mais je suis également impressionné par le fait qu’il existe des milliers de ces personnes. J’ai travaillé pour deux commissions consultatives présidentielles et j’ai entendu beaucoup de ces personnes apporter un témoignage parfaitement lucide sur des scénarios que je trouve fantastiques » [3,31].
« Il existe une grande sous-culture qui croit que leur cerveau est manipulé par des forces insidieuses » [3]. « Ce n’est pas parce que vous êtes paranoïaque que quelqu’un ne vous suit pas » [31].
Malgré ses propos, il y a de forts soupçons que Moreno connaisse l’expérimentation humaine illicite de la DARPA et qu’il développe une campagne intentionnelle de désinformation. Ce soupçon est fondé sur le fait que Moreno a accès aux principales informations sur la DARPA. La presse dit à son sujet :
« Les activités de la Darpa ont été suivies pendant une grande partie de cette période par Jonathan Moreno, qui a occupé la position privilégiée d’initié/extérieur qui lui donne à la fois accès et liberté de commenter. Son nouveau livre, Mind Wars, met à jour ses récits précédents sur les guerres de l’armée contre l’esprit pour nous donner des nouvelles effrayantes des derniers projets de la Darpa » [32].
Moreno a également écrit un article intitulé « DARPA on your mind » [33] (une allusion évidente au programme de contrôle mental de la DARPA au moyen de neurotechnologies invasives).
Malgré les propos du conseiller présidentiel et de nombreux scientifiques américains [2], il existe de nombreuses preuves de ce programme de contrôle mental, principalement en Amérique latine [3].
Il est nécessaire de souligner que, contrairement à MKUltra, des chercheurs récents ont découvert le programme américain de contrôle mental en plein développement. MKUltra était un projet secret de la CIA mené de 1953 à 1964 [11,12], mais le projet MKUltra n’a été porté à l’attention du public qu’en 1975. Le rapport des Etats-Unis de 1977 sur MKUltra disait :
« Il faut préciser dès le départ qu’en général,
nous nous concentrons sur des événements qui se sont produits il y a plus de 12 ou même 25 ans » [11].
« Le plus troublant est sans doute le fait que l’on ne connaissait pas l’ampleur des expérimentations sur les sujets humains. Les archives de toutes ces activités ont été détruites en janvier 1973, sur l’ordre du directeur de la CIA de l’époque, Richard Helms » [11].
« Malgré les demandes persistantes de la sous-commission Santé 1977 du Sénat sur MKUltra : Opening Remarks 7 que par la Commission du renseignement, aucun dossier ou information supplémentaire n’a été fourni. Et personne – aucun individu – n’a pu être trouvé qui se souvienne des détails, ni le directeur de la CIA, qui a ordonné la destruction des documents, ni le responsable du programme, ni aucun de ses associés » [11].
Cependant, la situation du programme américain actuel de contrôle mental est différente. En réalité, les preuves montrent que les États-Unis, par le biais de la DARPA, ont créé un réseau interconnecté de crime organisé dans le monde entier pour développer le contrôle mental, avec le soutien officiel des gouvernements corrompus d’Amérique latine, des universités, des mafias de procureurs et la participation et le silence de la presse. De nombreuses preuves indiquent que les universités américaines, considérées comme les meilleures du monde, telles que Harvard, Yale et Stanford, participent à ce programme sadique de contrôle mental en association illicite avec la DARPA. Ces universités ont également participé au programme MKUltra. Il est également évident qu’étant donné la grande extension de ce programme de contrôle mental dans le monde et la grande quantité d’informations dont disposent des institutions comme les services de renseignement mondiaux et les institutions policières comme le FBI et l’INTERPOL, ces institutions connaissent ce programme secret de contrôle mental de la DARPA. Il peut être une source d’enrichissement illicite et éventuellement une arme secrète de torture et d’extorsion. Comme preuve de sa participation secrète, ni le FBI, ni la CIA, ni le SVR, ni le MOSSAD, ni INTERPOL, ni aucun service de renseignement dans le monde n’a signalé ce programme de contrôle mental.
Ce réseau corrompu de la DARPA pour le développement du contrôle mental des Etats-Unis donne naissance à un cercle corrompu exclusif de « nouveaux millionnaires » en Amérique latine : professeurs de médecine, syndicats de la santé, médecins, infirmières, techniciens, directeurs d’hôpitaux, physiciens, journalistes, éditeurs de revues scientifiques, bibliothécaires, ingénieurs, politiciens, professeurs, policiers, procureurs, juges, militaires, étudiants universitaires et même écoliers qui s’enrichissent illicitement aux dépens de la santé et de l’honneur de leurs victimes.
Les mafias des bureaux des procureurs, de la magistrature et de la police nationale sont les pièces maîtresses de ce réseau criminel qui s’enrichit illicitement en contrôlant l’esprit et en torturant les citoyens.
Actuellement, la presse écrit de nombreux livres et articles visant à sensibiliser les gens aux horreurs de l’holocauste perpétré à Dachau par les nazis, qui comprenait des expériences de contrôle mental, mais elle dissimule et participe au programme sadique de contrôle mental que la DARPA développe dans le monde. En effet, la presse fait la promotion des organisateurs et intervenants du programme américain de contrôle mental tels que Justin Sanchez, Regina Dugan ou Michael Goldblatt [34].
Contrairement à la médecine nazie qui est dénoncée par les médias de masse dans leurs gros titres comme un crime, le programme de contrôle de l’esprit de la DARPA avec les nanorobots du cerveau est un secret de la presse scientifique et il reste inconnu de la plupart de la société qui le considère même comme une fiction en raison de la propre campagne de désinformation de la presse qui présente ce crime comme une fiction. La raison en est qu’il existe de nombreuses preuves que les magnats des médias sont les principaux organisateurs et bénéficiaires de ce réseau nanotechnologique illicite en Amérique latine.
Des livres récents sur le DARPA disent :
« Le secret du succès de la DARPA ne réside pas dans le financement. Ce qui la distingue, c’est son utilisation brillante du capital intellectuel. Sa « seule charte est l’innovation radicale », selon son plan stratégique. Le système d’innovation de la DARPA est également devenu un modèle pour les autres ministères. La DARPA est une agence scientifique, pas un organisme d’espionnage [16].
En réalité, l' »innovation radicale », le modèle pour les autres départements gouvernementaux, est l’expérimentation humaine illicite et forcée de la DARPA en Amérique latine avec des neurotechnologies invasives avec la complicité des mafias de procureurs dans le monde.
Les principales revues scientifiques telles que Science, Nature, The Lancet, Neuroimage, publient de nombreux articles neuroscientifiques des scientifiques de la DARPA qui cachent la vérité :
Le véritable « matériel et les méthodes » sont l’expérimentation humaine forcée avec des technologies neuro-invasives.
La résonance magnétique fonctionnelle est son principal camouflage de l’expérimentation humaine illicite dans la section des matériels et méthodes des journaux scientifiques » [20,26].
La presse connaît la véritable origine des nouvelles armes de la DARPA, les secrets de « l’innovation de la DARPA » [35] mais cache la vérité, l’expérimentation humaine illégale et forcée sur le contrôle de l’esprit que la DARPA développe en Amérique latine.
Les preuves indiquent également que les nanomafias qui organisent le contrôle mental des États-Unis sont interconnectées pour former un réseau international avec un méga projet dont le but est de créer une société fasciste numérique, une oligarchie qui dirige le reste des citoyens, qui porteront des nanorobots et seront des esclaves numériques, une robotisation humaine de la société au service de l’élite millionnaire.
Ce projet fasciste numérique de la DARPA est mondial ; l’objectif n’est pas seulement de contrôler les humains, mais de contrôler la planète entière en utilisant des micropuces dans les êtres humains, les animaux et les objets. « L’Internet des objets » et « la voiture sans conducteur » ont vraiment pour objectif le contrôle fasciste des choses. Chez les hommes, le projet d' »esclave numérique » (robot humain) a différentes composantes : le contrôle de l’esprit, l’espionnage permanent avec l’internet cérébral, la privation sensorielle, la vie dans une réalité virtuelle, la suppression de la mémoire et l’élimination de la sexualité.
Dans une vision générale, les expériences nazies de Dachau sur le contrôle mental sont poursuivies par ce réseau d’expérimentation global pour implanter le nouvel ordre mondial [36], le nouveau fascisme : Le fascisme numérique (Figure 2)
Figure 2 : Fascisme numérique : L’objectif du contrôle de l’esprit. Les neurotechnologies invasives telles que les nanorobots, les micropuces et les implants cérébraux peuvent être utilisées comme des armes de contrôle de l’esprit (à gauche), ces neurotechnologies invasives peuvent conduire au fascisme numérique, une ploutocratie qui dirige le reste des citoyens qui seront des esclaves numériques, un gouvernement rêvé par les nazis (à droite).
En réalité, l’expérimentation humaine illégale que la DARPA réalise dans le monde pour développer son programme de contrôle mental est sa véritable histoire, l’histoire non censurée de la DARPA.
Conclusion
Le contrôle mental est le plus grand secret actuel de la DARPA. La DARPA organise une vaste campagne d’expérimentations humaines illégales pour développer le contrôle mental dans le monde, principalement en Amérique latine, avec le soutien officiel de gouvernements corrompus, de mafias de procureurs et avec la participation et le silence de la presse. Il est nécessaire que la société soit informée de la vérité sur le projet de contrôle mental de la DARPA et que les autorités honnêtes prennent des mesures préventives pour bloquer le contrôle mental massif que la DARPA développe dans le monde.
Citation: Salinas D. Mind Control: From Nazis to DARPA. SM Phys Med Rehabil. 2018; 2(1): 1007.
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