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Des armes à énergie dirigée invisibles utilisées sur des civils dans le monde entier

Un article trouvé par hasard, parce qu’il renvoi sur un document que j’ai mis en lien en 2014 dont voici la traduction.

 

Il s’agit d’une offre de contrat pour la recherche dirigée sur les effets biologiques de l’énergie à effectuer sur les humains … cela parle de lui-même … le corps et la vie sont utilisés par le complexe industriel militaire à des fins lucratives tandis que ces victimes innocentes sont empêchées de gagner un revenu et sabotées de toutes les manières possibles … dans cette proposition, ils parlent de la «prédiction de la dégradation de la santé» alors qu’ils parlent également de la protection du sujet humain…

Il s’agit d’agression avec une arme mortelle … il s’agit de frapper des citoyens innocents avec des armes militaires sophistiquées … cette information est facilement disponible en ligne …

Je voudrais parler à ces entrepreneurs qui font de l’argent avec la misère humaine…

« TITRE: Recherche dirigée sur les bioeffets énergétiques (DEBR)

LE NIVEAU DE CLASSIFICATION DE SÉCURITÉ EST: Top Secret / SCI / SAP / SAR

1. Contexte, portée, buts, objectifs et besoins.

une. Contexte.

Le contrat Directed Energy Bioeffects Research (DEBR) soutient l’US Air Force, l’un des plus grands développeurs et utilisateurs d’appareils émettant des radiofréquences (RF) et des micro-ondes haute puissance (HPM) dans le monde, qui a été à la pointe de la recherche sur les effets biologiques des rayonnements RF / HPM depuis plus de 30 ans. L’utilisation de l’énergie dirigée (DE) s’étend aux applications militaires et commerciales. Alors que les clients ciblés pour cet effort sont principalement concernés par l’utilisation et l’application des technologies de rayonnement RF / HPM, les services conjoints et d’autres comme le Department of Homeland Security ainsi que les clients commerciaux bénéficieront probablement des recherches menées et des découvertes faites dans le cadre de ce programme.

Cet effort comprend la réalisation de recherches pour identifier les avantages, les risques et les capacités pour une large gamme de systèmes de rayonnement RF / HPM militaires. Cela comprend la prévision et l’atténuation des bio-effets du DE sur les performances du personnel et de la mission et l’exploitation des bio-effets du DE pour les applications DEW.
Mener des études protéomiques, génomiques et métabolomiques qui identifient les changements biochimiques ou moléculaires critiques après l’exposition au DE avant ou pendant les opérations de mission qui aident à prédire la dégradation de la santé.

Utilisation humaine.
L’entrepreneur utilisera des sujets humains dans les études de recherche dans le cadre de cet effort. « 

https://dictacrature.noblogs.org/fil…c-IDIQ-SOO.pdf

http://library.constantcontact.com/d…-2013-0002.pdf

Voyons maintenant certains des militants qui luttent contre cette atrocité…

David Voigts est un ancien officier de marine et diplômé de la US Naval Academy. Tout en travaillant sur la guerre électronique pour la Marine, il a pris connaissance des tests d’armes dirigées à l’énergie qui étaient effectués sur des civils innocents. Il parcourt l’Amérique pour faire connaître cette injustice. C’est un vrai héros américain.

Cette histoire a maintenant été publiée dans dix publications dont Bloomberg News…

http://www.bloomberg.com/research/markets/news/article.asp?docKey=600-201605250331M2______EUPR_____0c08000004d7d78a_3600-1

Si vous souhaitez soutenir cet effort, vous pouvez le faire ici:

https://www.gofundme.com/ti-in-america

Karen Stewart est une dénonciatrice de la NSA qui est maintenant harcelée par l’électronique. Vous pouvez lire son histoire ici…

http://www.washingtonsblog.com/2016/04/nsa-whistleblower-karen-stewart-speaks-candidly-illegal-criminal-nsa-fbi-programs-organized-stalking-electronic-harassment-usa-abroad.html

Elle recueille maintenant les noms des victimes pour une campagne de lettres à tous les fonctionnaires du pays… de nombreuses victimes ont déjà signé…

NSA Whistleblower, Karen Stewart: Synopsis of the Silent Holocaust Taking Place in the United States

Cet activisme ne s’arrêtera pas avant la fin de ces attaques contre des civils innocents.

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Armes electroniques

Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Bio-electromagnetic Weapons: The ultimate weapon  

Un système d’armes qui fonctionne à la vitesse de la lumière, qui peut tuer, torturer, asservir et échapper à la détection, Harlan Girard

L’arme ultime

Les armes électromagnétiques fonctionnent à la vitesse de la lumière ; elles peuvent tuer, torturer et asservir ; mais le public ignore largement leur existence, car ces armes fonctionnent de manière furtive et ne laissent aucune preuve physique. Les armes électromagnétiques ont été testées sur des êtres humains depuis 1976. En dispersant largement les sujets de ces tests humains involontaires et en attaquant avec véhémence leur crédibilité, les États-Unis ont pu procéder à ces expériences humaines sans être gênés par des discussions ou des critiques, et encore moins par une opposition.

Ce système d’arme ultime est actuellement déployé en Irak. L’US Air Force et le Marine Corps l’appellent « technologie de déni actif », comme si elle était utilisée uniquement à des fins de défense, mais ce n’est pas le cas (voir encadré 1).

La vérité sur la « technologie du déni actif ».

Il n’y a qu’un seul spectre électromagnétique. Les armes nucléaires libèrent une grande quantité de rayonnements ionisants dans la gamme des hautes fréquences au-dessus de la lumière visible, où l’énergie des rayonnements est capable de rompre les liaisons chimiques. Il est généralement reconnu que les rayonnements ionisants peuvent provoquer le cancer.

L’armée américaine a transformé en armes les radiations non ionisantes en dessous de la gamme visible, les micro-ondes et les ondes radio qui sont utilisées dans les téléphones mobiles et les télécommunications. Le gouvernement américain a vigoureusement nié que les radiations électromagnétiques non ionisantes puissent présenter des risques pour la santé, à la fois pour défendre la recherche sans consentement sur l’homme qu’il mène depuis de nombreuses années mais qu’il n’a pas encore reconnue, et pour dissuader d’autres pays de développer des armes similaires.

Le seul effet biologique des radiations non ionisantes que le gouvernement américain a reconnu depuis de nombreuses années est le réchauffement et, par conséquent, il caractérise la « technologie de déni actif » comme celle qui produit des douleurs dues à un réchauffement soudain de la peau ; mais ce n’est pas ainsi que cela fonctionne réellement.

Lecture des ondes cérébrales et contrôle de l’esprit

En 1959, Saul B. Sells, professeur de psychologie sociale dans une petite université américaine, a soumis une proposition à la Central Intelligence Agency (CIA) pour construire pour eux l’appareil d’électroencéphalographie le plus sophistiqué qui aurait une capacité de calcul intégrale pour analyser et, espérons-le, donner un sens aux ondes cérébrales qu’il enregistre. En d’autres termes, le professeur a proposé de fabriquer une machine qui pourrait dire à la CIA ce qu’une personne pense, qu’elle souhaite ou non divulguer cette information.

La CIA a approuvé le projet en 1960, en y ajoutant des recherches en bibliothèque avec cinq objectifs. Le cinquième objectif de la recherche était, « Techniques d’activation de l’organisme humain par des moyens électroniques à distance ». L’ensemble de cette mission a ensuite été connu sous le nom de sous-projet MKULTRA 119, MKULTRA étant le célèbre programme de contrôle des esprits de la CIA. Il était basé sur l’idée erronée que les Soviétiques possédaient déjà les moyens de contrôler les esprits et que les États-Unis devaient rattraper leur retard le plus rapidement possible.

Les documents relatifs au sous-projet 119 de MKULTRA sont maintenant conservés aux National Security Archives (une organisation non gouvernementale) de l’Université George Washington à Washington, D.C. [1]. John Marks, auteur de The Search for the Manchurian Candidate : The CIA and Mind Control (Times Books, New York, 1979) a fait don des documents MKULTRA ; son livre a été réédité par W.W. Norton & Company, Inc, New York, 1991 et est toujours en cours d’impression.

Le projet Bizarre a suivi le sous-projet 119 de MKULTRA en 1965. Le but de Bizarre était d’enregistrer et d’analyser le signal micro-ondes complexe qui aurait été émis à l’ambassade américaine à Moscou par les Soviétiques depuis un bâtiment situé de l’autre côté de la rue. Ce qui est intéressant dans le projet Bizarre, c’est que si les États-Unis ont nié jusqu’à ce jour qu’il puisse y avoir des effets néfastes sur la santé à cause du rayonnement micro-ondes, ils ont immédiatement suspecté que « le signal de Moscou » produisait divers effets sur la santé du personnel de l’ambassade, en particulier chez les ambassadeurs successifs au bureau desquels il était prétendu que le signal était émis. Au moment même où le Département d’État testait le personnel de l’ambassade pour détecter les cassures d’ADN produites par le signal de Moscou, il s’est senti contraint de ne pas se plaindre aux Soviétiques parce que la puissance de leur signal était une infime fraction de ce que les États-Unis considéraient comme un niveau d’exposition humaine sans danger. Le journaliste Barton Reppert a écrit le compte-rendu le plus fiable sur le signal de Moscou [2]. (Note de la rédaction : les ruptures d’ADN dues à l’exposition aux téléphones portables ont été confirmées par des recherches récentes en laboratoire [3, 4] (Science in Society 24)).

Conversion du son aux micro-ondes

En 1973, Joseph C. Sharp, un psychologue expérimental de l’Institut de recherche de l’armée Walter Reed, a réalisé une expérience qui a été déterminante pour le développement de l’équipement de torture qui est aujourd’hui expédié en Irak. Il a fait installer dans son laboratoire par James Lin un équipement qui convertissait la forme des ondes sonores en un rayonnement micro-ondes qui lui permettait de s’entendre vocaliser les noms des nombres de un à dix dans sa tête, en contournant le mécanisme de ses propres oreilles. Cette expérience particulière n’a jamais été publiée mais est mentionnée dans le livre de Lin, Microwave Auditory Effects and Applications, publié en 1978 [5].

L’expérience a été confirmée par le brevet américain 6 587 729, « Apparatus for Audibly Communicating Speech Using the Radio Frequency Hearing Effect » [6] . Ce brevet concerne une version améliorée de l’appareil utilisé lors de l’expérience en laboratoire de 1973, délivrée le 1er juillet 2003 et attribuée au secrétaire de l’armée de l’air. Il apporte la preuve scientifique qu’il est possible d’entendre des voix menaçantes dans sa tête sans souffrir de schizophrénie paranoïaque.

Pourquoi ce brevet a-t-il été publié ouvertement à un moment où le gouvernement américain pratique un degré de secret qui rivalise avec le Kremlin de Staline ? Je n’ai pas de réponse satisfaisante, si ce n’est que l’appareil faisant l’objet du brevet a déjà été remplacé par un équipement qui permet d’obtenir le même effet par des moyens beaucoup plus sophistiqués. Il bloque les processus normaux de mémoire et de pensée par des moyens électroniques à distance, tout en fournissant des souvenirs et des suggestions fausses, déformées et/ou désagréables par un processus appelé « télépathie synthétique ». L’équipement qui produit la télépathie synthétique est parfois appelé « technologie d’influence ».

Si les voix et les visions, les rêves et les cauchemars sont les manifestations les plus étonnantes de ce système d’armes, il est également capable de paralyser le sujet humain en limitant son amplitude de mouvement normale, en provoquant une douleur aiguë équivalente à la défaillance d’un organe majeur, voire à la mort, et en interférant avec le fonctionnement normal de l’un des sens humains. En d’autres termes, toutes les tortures dont les mots Guantanamo Bay sont devenus synonymes peuvent être réalisées par des moyens électroniques à distance.

Instruments de torture

La technologie d’influence est également capable de persuader les sujets que leur esprit est lu, que leur propriété intellectuelle est pillée, et peut même motiver le suicide ou le meurtre de leur famille, de leurs amis et de leurs collègues. Pendant les années de la « guerre contre la drogue » (qui a précédé la « guerre contre le terrorisme »), les lettres que les sujets humains « involontaires » avaient écrites ou étaient sur le point de recevoir disparaissaient régulièrement du courrier, comme si le gouvernement menait une vaste opération secrète par l’intermédiaire des bureaux de poste du pays. Lorsque George Herbert Walker Bush est devenu président (en 1989), l’incidence des meurtres de collègues dans les bureaux de poste est devenue si importante que l’expression « going postal » a commencé à remplacer l’expression couramment utilisée de « going crazy ». Les meurtres de collègues sur d’autres lieux de travail ont également commencé à attirer l’attention des médias [7].

J’estime que le coût de l’emprisonnement d’un être humain dans son propre corps et de l’application d’une torture incessante est de 5 000 000 à 10 000 000 $US par an (voir ci-dessous).

C’est exactement ce que j’entends par « torture permanente ». Comme ce nouveau matériel de torture ne laisse aucune trace visible, telle que des lésions cutanées, il est possible de torturer les sujets humains involontaires 24 heures sur 24, 365 jours par an. Cela peut être fait et est fait même à Noël et à Pâques [8].

Je suis arrivé à mon estimation du coût des tests/utilisation d’armes électromagnétiques sur un sujet humain en visitant une chaîne de télévision câblée spécialisée dans la vente de marchandises par voie hertzienne 24 heures sur 24. Je me suis interrogé sur le nombre de techniciens nécessaires, leurs horaires de travail et leur fourchette de salaire, ainsi que sur le nombre de personnel d’appoint nécessaire pour préparer la programmation en vue de sa diffusion. Je ne me suis pas enquis du coût de l’électronique et de la grille d’amortissement. J’ai estimé un coût de dépréciation qui est inclus dans mon estimation du coût de la torture d’un sujet humain « involontaire » pendant un an.

La torture est une activité à forte intensité de main-d’œuvre. Quel objectif justifierait cet investissement ? Serait-ce quelque chose d’aussi insensé que de gouverner le monde en asservissant les gouvernements démocratiques des pays les plus peuplés ? Cet objectif est certainement cohérent avec le mépris et l’hostilité des États-Unis envers les Nations unies, les conventions et les pactes internationaux qu’ils ont ratifiés par le passé et le droit international coutumier [9].

Le 1er mars 2001, le Corps des Marines a annoncé une nouvelle arme non létale, la « technologie de déni actif ». Elle produit une douleur énorme en faisant soi-disant bouillir les molécules d’eau de la peau humaine sans endommager la peau elle-même. Comme décrit dans un article publié dans le New Scientist, elle utilise un rayonnement électromagnétique pulsé à une fréquence de 95 GHz avec une portée d’environ 600 mètres [10]. Plusieurs nouveaux rapports ont été publiés dans le magazine en 2005, dont un en juillet [11], décrivant des volontaires participant à des tests visant à déterminer le degré de sécurité de l’arme Active Denial System (ADS) si elle était utilisée dans le cadre d’un véritable contrôle de foule. Il a été rapporté que le faisceau de l’arme ADS provoque une douleur en 2 à 3 secondes, et devient « intolérable après moins de 5 secondes ».

La technologie de déni actif est la pierre angulaire du système utilisé pour torturer 2 000 personnes dans l’intimité de leur foyer, non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier, partout où des pays ont signé des accords sur le statut des forces avec les États-Unis [12]. Les premières allégations de torture ont été reçues de pays avec lesquels les États-Unis ont une relation spéciale de partage de renseignements, à savoir le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Puis des rapports ont commencé à arriver des pays conquis où les États-Unis ont encore un grand nombre de troupes stationnées, c’est-à-dire l’Allemagne et le Japon. Lorsque la France a rejoint le bras militaire de l’OTAN à la fin des années 90, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en France. Très récemment, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en Inde, où des entreprises américaines ont commencé à externaliser, non seulement les lignes d’assistance, mais aussi la programmation [13].

Et puis il y a le cas de la Russie, où les sujets humains « involontaires » d’expériences de torture semblent être à la fois nombreux et bien organisés. On m’a dit avec certitude que tous les scientifiques russes qui parlaient anglais ont maintenant trouvé un foyer dans une université américaine ou un laboratoire gouvernemental. C’est plausible, si l’on considère la crainte fréquemment exprimée par les Américains que les experts de l’ère soviétique en matière d’armes nucléaires et de guerre biologique ne trouvent un emploi en Iran. Il est un fait qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’armée américaine a balayé l’Allemagne dans une opération appelée « Project Paperclip », recrutant notamment des spécialistes des fusées nazies et des experts en médecine aérospatiale. D’autres scientifiques ont été recrutés simplement pour priver l’Union soviétique de cette ressource. Qu’est-il donc advenu des scientifiques soviétiques qui ne parlaient pas anglais ? Nous le saurons avec le temps, mais pour l’instant, on peut supposer qu’au moins certains d’entre eux ont été employés pour étudier le système de valeurs et les processus de décision russes en torturant d’autres Russes avec la « technologie d’influence » américaine [14].

Deux articles intéressants et importants sur les armes bioélectromagnétiques ont récemment été publiés dans le New Scientist : « La nouvelle arme américaine vise la douleur maximale » et « Police toy with ‘less lethal’ weapons », tous deux écrits par David Hambling [15]. Voir aussi US. Brevet 6 536 440 du 25 mars 2003 [16].

Depuis la fin de cet article à la mi-juin 2005, il a été porté à mon attention que les Israéliens déploient un dispositif appelé « The Scream », qui émet des rafales de sons audibles, mais pas forts, à des intervalles d’environ 10 secondes. Un photographe présent sur les lieux d’une manifestation a déclaré qu’il continuait à entendre le son dans sa tête même après s’être couvert les oreilles. Cela me fait penser que l’agent actif est électromagnétique plutôt qu’acoustique. En d’autres termes, les Israéliens ont mis au point un dispositif qui est bien plus intelligent que notre « technologie de déni actif ». Non seulement il dissuade les émeutiers, mais il émet également un avertissement sonore indiquant qu’il a été activé, ce qui n’est pas le cas du dispositif américain, laissant aux hommes enrôlés qui l’utilisent le soin de déterminer l’intensité des brûlures que reçoivent leurs adversaires. La marge d’erreur du dispositif américain est déraisonnable. On peut tout aussi bien l’appeler une arme mortelle car, dans la pratique, elle le sera très fréquemment [17].

La source originale de cet article est le communiqué de presse de l’ISIS

Copyright © Institut des sciences dans la société, Communiqué de presse ISIS, 2007

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Les technologies offensives de contrôle politique : un nouveau péril social

Un document non signé, dont j’aimerai trouver la provenance, donne un aperçu des enjeux et répercutions sur la société civile, de l’état et de l’avancée des technologies du contrôle de  l’esprit.

les_technologies_offensives_de_controle_politique

 

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Qu’est-ce que « Gaslighting » et comment il est utilisé dans le harcèlement criminel organisé ?

Traduction de l’article : What Is Gaslighting and How it is Used in Organized Stalking

Le Gaslighting ou « Ambient Abuse » est une technique psychologique criminelle utilisée par les membres de ces groupes organisés de harcèlement criminel. Le but du Gaslighting est de faire en sorte qu’une victime se questionne sur sa santé mentale et sur les abus psychologiques dont elle est victime, en faisant de petites choses pour essayer de lui faire croire qu’elle devient folle. Le Gaslighting consiste simplement à essayer de convaincre quelqu’un qu’il est fou ou qu’il « imagine des choses ». Par exemple, si vous mentionnez le harcèlement organisé à quelqu’un qui le sait et qu’il vous dit que vous êtes fou ou paranoïaque, il s’agit de quelqu’un qui tente de vous « Gaslighter ». Le terme Gas-Lighting vient du film Gaslight de 1944. Dans le film, le personnage de Gregory Anton, interprété par l’acteur Charles Boyer, tente de rendre fou le personnage de Pauline, interprété par l’actrice Ingrid Bergman. L’expression « Gaslighting » signifie depuis, en Anglais, des actions et des comportements tels qu’ils sont utilisés dans le film, à l’encontre d’une victime.

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Articles de presse

Conférence sur le harcèlement occulte, tenue en novembre 2014 à Bruxelles

Conférence sur le harcèlement occulte, tenue en novembre 2014 à Bruxelles.
Les moyens de vaincre le secret entourant l’existence
des technologies de contrôle mental
Article de Mojmir Babáček
Traduction de Rudy Andria
Il existe depuis une dizaine d’années une tendance évidente de la
politique mondiale à placer la lutte pour le pouvoir au-dessus de la
lutte pour la démocratie. Cela peut s’illustrer par la situation
actuelle en Ukraine. Vous savez probablement que, lors des dernières
élections, la majorité des Ukrainiens de l’Est n’ont pas voté pour les
partis promouvant l’adhésion de l’Ukraine à l’Union Européenne.
Cependant, l’Union Européenne démocratique et les Etats-Unis
soutiennent la guerre démocratique des Ukrainiens occidentaux contre
leurs compatriotes de l’Est, tandis que la Russie démocratique
soutient les Ukrainiens de l’Est dans la guerre contre les Ukrainiens
de l’Ouest. N’est-ce pas la preuve que la démocratie dans le monde
contemporain n’est pas une priorité pour les élites au pouvoir et les
entités financières derrière eux?
La question de la classification des technologies de contrôle mental
fait partie de cette favorisation du pouvoir au détriment de la
démocratie. Il n’y aurait aucune raison de cacher des yeux du public
ces technologies, si nous devions vivre dans un monde où prévaudrait
la démocratie.
Le fait que les technologies de contrôle mental soient classées
secrètes est la raison pour laquelle les technologies en question
peuvent être utilisées sur des individus innocents. Dès lors que les
citoyens savent que leurs gouvernements sont en possession des
technologies en mesure de contrôler les fonctions mentales et
corporelles des citoyens, ces citoyens exigeraient l’interdiction
immédiate et contrôlable de ces technologies, et les gouvernements en
sont parfaitement conscients. Savoir que les gouvernements sont en
possession de ces technologies équivaut à savoir que la démocratie
n’existe plus. D’ailleurs, nos efforts pour diffuser, autour de nous,
des informations sur l’existence de ces technologies sont des efforts
pour sauvegarder la démocratie et la sauvegarde de la démocratie peut
également être définie comme un objectif de la présente conférence.
Pour les victimes de l’expérimentation de ces technologies, la mise au
secret de telles technologies est le principal obstacle qu’elles
rencontrent, dès lors qu’elles souhaitent recouvrer leur liberté et
récupérer leur bonne santé. Une fois que la technologie destinée au
contrôle à distance du système nerveux est déclassifiée, il ne
resterait plus qu’à obtenir une législation interdisant l’usage de ces
technologies, créer des équipes capables de mesurer et de détecter les
radiations nocives et en trouver les sources. Les victimes ciblées par
ces radiations seront en mesure d’exiger le contrôle de l’utilisation
de ces technologies sur leur personne et pourront ainsi mettre fin à
leur torture. Très peu d’individus, jusqu’ici, sont touchés par ces
radiations et, vu leur nombre dérisoire, ils n’ont aucune chance de
l’emporter dans le processus démocratique. C’est là que réside le
problème.
Il y a plusieurs façons d’attirer l’attention d’un grand nombre de
gens sur la question des technologies de contrôle mental et d’amener
les législateurs et les responsables gouvernementaux à oeuvrer pour
l’interdiction de l’utilisation des radiations contrôlant le
fonctionnement du système nerveux:
La première approche consiste à diffuser les preuves convaincantes de
l’existence des technologies de contrôle mental, par le canal
d’Internet. Un certain nombre  d’expériences scientifiques ont été
publiées et prouvent que les micro-ondes pulsées peuvent produire des
effets sur le système nerveux, parmi lesquels des hallucinations
auditives et l’audition via micro-ondes. Cette preuve scientifique
peut être étayée par des informations des sites web des ministères de
la défense des pays de l’OTAN engagés dans le
développement des armes non létales, parmi lesquelles les armes à
radiofréquences agissant sur le système nerveux, comme il est indiqué
dans le rapport du Parlement Européen intitulé « Technologies de
Contrôle des Foules »
http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/etudes/stoa/2000/168394/DG-4-STOA_ET%282000%29168394_EN%28PAR02%29.pdf.
A titre d’exemple, nous pouvons lire sur le site du Ministère de la
Défense de la République Tchèque:. « Rayonnement électromagnétique à
hautes fréquences: il perturbe l’activité du cerveau et du système
nerveux central. L’effet est perçu par l’individu, à la fois comme une
insupportable et douloureuse sensation d’intense bourdonnement et un
grincement accompagné d’anxiété et de malaise, en fonction des
conditions et des paramètres précis du signal « . Afin de cacher cette
information à l’opinion publique tchèque, cet article, apparemment,
n’est plus accessible directement sur la page web du Ministère Tchèque
de la Défense, mais vous pouvez encore le trouver sur le site du
Ministère, dès lors que vous en connaissez l’adresse exacte
http://www.army.cz/scripts/detail.php?id=2212. Une autre preuve
démontrant qu’au moins certains gouvernements sont en possession des
technologies de contrôle mental peut être trouvée dans les actions
politiques visant soit  l’interdiction des technologies de contrôle
mental soit l’usage militaire que l’on en fait.
Déjà, dans le cadre du Comité des Nations Unies en 1986, la Russie a
proposé l’interdiction des armes à hautes fréquences, qu’elle
considérait comme des armes de destruction massive. Seuls les
Etats-Unis ont voté contre . Les armes n’ont donc pas été interdites.
En 1998, la Russie a adressé aux Nations Unies, à l’OSCE et au Conseil
de l’Europe, une proposition pour une convention internationale
interdisant le développement et l’utilisation des armes d’information.
Jusqu’à cette date-là, il a été présenté au Parlement Russe quatre
projets de loi proposant l’interdiction des technologies de contrôle
mental. Il y eut une coopération entre l’Union Européenne et la
Russie, l’année suivante et en 1999, le Parlement Européen a adopté la
résolution visant à interdire la manipulation des êtres humains. La
Russie et l’Union Européenne, de toute évidence, ont uni leurs
efforts, afin d’empêcher la progression du système américain HAARP qui
peut, apparemment, être utilisé pour manipuler le système nerveux de
populations entières. Il semble donc assez clair que la convention
interdisant le développement et l’utilisation des armes d’information,
une fois de plus, n’a pas été signée, en raison de la réticence des
Etats-Unis. Bien au contraire, ils ont réussi à
convaincre les pays de l’Union Européenne d’accepter le développement
des armes non létales, dans leurs doctrines militaires et à abandonner
leurs efforts visant à interdire les technologies de contrôle mental.
En 2001, Dennis J. Kucinich s’opposa à la décision du gouvernement
américain de maintenir leurs technologies de contrôle mental et
présenta au Congrès Américain le projet de loi sur la Préservation de
l’Espace exigeant, entre autres, l’interdiction de ces technologies.
Cependant, ses efforts n’ont pas duré longtemps. Après le long silence
sur la question, en 2012 la Russie, face au danger que ses armes
nucléaires ne présenteront plus une menace pour les Etats-Unis, a
choisi d’opter pour la ligne d’action opposée et, de ce fait, le
ministre russe de la défense a déclaré que les armes psychotroniques
font partie du programme d’approvisionnement de l’Etat russe en armes,
pour la période allant de 2011 à 2020
http://en.rian.ru/mlitary_news/20120322/172332421.html.
Ces actions des gouvernements et des parlementaires, ainsi que les
publications scientifiques mentionnées plus haut, présentent des
preuves convaincantes de l’existence réelle de dispositifs permettant
la manipulation à distance des fonctions du corps humain et de
l’activité cérébrale.
Le problème réside dans le fait que si vous rassemblez ce type de
preuve et que si vous le publiez sur Internet, vu qu’aucun grand média
n’ose publier des renseignements classés secrets, votre publication
sur Internet se verra ciblée par les agences gouvernementales. En
guise d’exemple, à l’époque où j’ai publié l’article « How Far in the
Future is the Ban of Psychotronic Arms », les messages se rapportant à
ma page web internationale ont été bloqués sur Facebook, car
considérés comme spams et pareillement, sur Twitter comme « maliciels »
ou logiciels malveillants. Enfin, mes pages web relatives à ces
informations, aussi bien en langue tchèque qu’en langue anglaise, ont
été retirées d’Internet. Les services secrets occidentaux et surtout
américains, apparemment, n’ont pas souhaité qu’un événement comparable
au Printemps Arabe se produise également dans un contexte occidental.
Nous aurions besoin d’un travail systématique de dénonciation de tels
agissements des agences gouvernementales au public d’Internet. Cela
signifierait enregistrer avec une caméra les sites abritant ces
informations, quand elles sont placées sur Internet et  enregistrer
avec une caméra, quand elles ne sont plus disponibles ou lorsque les
références sont bloquées sur Facebook ou Twitter. Les videos prouvant
ces agissements des agences gouvernementales devraient ensuite être
placées avec la nouvelle adresse de la page web du texte en question
sur YouTube et toute l’histoire doit être décrite dans des articles
publiés sur Internet. Pour éviter une répression de la part des
agences de l’Etat, cette tâche devrait être effectuée non pas par une
seule personne, mais par tout un groupe. Ce serait le moyen de faire
prendre conscience à un grand nombre de gens que les services de
l’Etat leur dissimulent leur possession de technologies permettant le
contrôle à distance de l’esprit et du corps humain. Si vous souhaitez
prendre part à une telle action, veuillez m’écrire à l’adresse
mbabacek@czin.eu .
La deuxième façon de lutter contre le secret entourant les armes
destinées au contrôle à distance du système nerveux est d’informer les
parlementaires de l’existence de ces technologies. La plupart d’entre
eux n’ont pas, apparemment, les habilitations de sécurité pour obtenir
ce genre d’information. J’ai discuté avec deux membres du Parlement
Tchèque, et, de toute évidence, aucun d’entre eux n’était au courant
de la possibilité de contrôler à distance le fonctionnement du système
nerveux. N’étant donc pas au courant de l’existence des technologies
de contrôle mental, ils ne voient pas l’intérêt ni l’obligation
d’interdire leur utilisation. Quoi qu’il en soit, nous savons que les
parlementaires ne se soucient guère des questions auxquelles le grand
public
lui-même n’attache pas d’importance. Par conséquent, la pression du
public pour l’interdiction des technologies de contrôle mental est
nécessaire pour que les députés se sentent obligés de tendre vers cet
objectif. Les députés doivent être sollicités individuellement, nous
devons nous assurer qu’ils ont reçu les informations et les citoyens
doivent savoir quels députés ont été informés. Encore une fois, cela
ne pourrait être exécuté que par un groupe de gens et c’est ce même
groupe qui devrait s’efforcer d’informer le grand public. Une liste
consacrée strictement à cette tâche doit être établie sur Internet.
La troisième façon d’amener les gouvernements et les organes
législatifs à adopter une loi interdisant les technologies de contrôle
mental et à créer des équipes capables de détecter les rayonnements
nocifs est de présenter la preuve de la faisabilité de ces
technologies aux cours constitutionnelles et de leur demander de
proposer l’interdiction vérifiable de tout développement, possession
et utilisation des technologies qui permettent la manipulation à
distance du système nerveux. Le problème est que les cours
constitutionnelles ne sont généralement pas autorisées à proposer de
nouvelles législations. En République Tchèque, la Cour
Constitutionnelle n’a pas ce droit jusqu’à présent. La seule chose à
faire est de déposer une plainte devant le tribunal civil et s’ils
refusent cette action, en contester la décision auprès de la cour
constitutionnelle. Le problème est que, pour déposer une plainte
significative, nous avons besoin d’une preuve irrévocable. Il est à
espérer que cette preuve peut être obtenue, grâce à l’utilisation de
divers dispositifs de détection.
Une preuve irrévocable est une preuve obtenue d’une manière
scientifique. La plupart des détecteurs disponibles sur le marché
peuvent détecter des fréquences allant jusqu’à 8 GHz. La plupart des
scientifiques qui effectuent des expérimentations sur les effets de
radiations micro-ondes pulsées sur le cerveau humain en sont venus à
la conclusion que les fréquences porteuses de micro-ondes supérieures
à 3 GHz n’ont pas d’effets. La raison en est que plus la fréquence des
micro-ondes est élevée, plus elle est absorbée dans le tissu humain.
C’est pour cela qu’elle ne va pas assez profondément dans le cerveau
pour y produire des effets. Il y a, malgré tout, des fenêtres pour des
fréquences supérieures à 3 GHz, où les ondes électromagnétiques iront
assez profondément dans les tissus du cerveau pour produire des effets
sur le système nerveux. Parmi ces fréquences, il y a celles de la
lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge (PIR). La lumière
rouge de 620 à 750 nanomètres de longueur d’onde va jusqu’à une
profondeur d’environ 1 cm dans le tissu du cerveau et est en mesure
d’affecter environ un quart de la matière grise du cerveau. La lumière
du proche infrarouge (PIR) avec des longueurs d’onde de 700 à 800
nanomètres vont normalement jusqu’à une profondeur de 3 à 4
centimètres dans le tissu (http://www.nirtherapy.com/penetration.php),
mais quand la forme géométrique des ondes de la lumière du proche
infrarouge est modifiée, cette lumière peut être amenée à aller à une
profondeur de 20 centimètres dans le tissu humain. La pénétration de
la lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge dans le tissu
humain s’explique par le fait que la longueur d’onde moyenne de
l’activité du tissu de la cellule dans le corps humain est comprise
entre 600 nanomètres et 720 nanomètres
(http://www.elixa.com/light/healing.htm). Ils correspondent aux
fréquences de la lumière rouge et de la lumière infrarouge. Il y a des
études suggérant la capacité de la lumière du proche infrarouge à
affecter l’activité des fibres nerveuses.
Http://www.revitavet.com/CaseStudies/MechanismsActionInfraredLightTissueHealing.pdf
(p. 6).
Pour que le système nerveux humain soit plus susceptible d’être
contrôlé par des fréquences pulsées de lumière, aucune puce n’est
nécessaire. Les scientifiques ont développé des virus qui peuvent
rendre les neurones plus susceptibles de réagir à des
fréquences pulsées de lumière.
(http://www.realclearscience.com/blog/2014/01/optogenetics_the_physics_of_mind_control_108437.html).
Donc, pour que le système nerveux d’un individu puisse être manipulé,
il suffit de faire manger à cet individu des aliments contaminés ou de
lui faire faire un vaccin. Juste deux exemples: l’un des pionniers de
cette recherche, Gero Miesenbock, coupa la tête d’une mouche, puis
utilisa la lumière pulsée pour obliger son corps à voler et,
effectivement, le corps se mit à voler (http://www.sciam.cz/files
/vydani/SA_03_2010/brezen_2010_rozsveceni_mozku.pdf
). Un autre, Carl
Diesenroth, fit courir une souris et ne lui fit prendre que des
virages à gauche, en utilisant la lumière pulsée
(http://www.youtube.com/watch?v=88TVQZUfYGw).
Cependant, la lumière rouge et la lumière du proche infrarouge (PIR)
ne passent pas à travers les murs et autres obstacles optiques
(http://paginas.fe.up.pt/~ee05005/tese/arquivos/wireless_ir_com.pdf)
et, pour cette raison, elles ne peuvent pas être utilisées pour la
manipulation continue du système nerveux humain. La lumière rouge est
également visible et peut être détectée assez facilement. On peut donc
se demander si les mêmes virus qui peuvent amener des neurones à
réagir à la lumière peuvent amener ces neurones à réagir à des
fréquences micro-ondes de 100 mégahertz à 3 Gigahertz, qui pénètrent
dans le cerveau humain. Si cela ne peut être fait, la science
contemporaine n’a certainement pas de problème pour développer des
virus qui puissent amener les neurones à réagir à des fréquences micro-ondes.
Les fréquences de la lumière du proche infrarouge invisible peuvent
être détectées par des détecteurs spéciaux
(http://www.gigahertz-optik.de/272-0-RW-3702.html). On peut alors se
demander si les formes d’ondes de fréquences supérieures à 3 GHz ne
pourraient pas être trafiquées jusqu’à les faire entrer dans le tissu
humain. Les détecteurs de fréquences utilisés par l’OTAN ( 20-40 GHz)
peuvent être trouvés sur internet
(http://www.bestbuy.com/site/whistler-laser-radar-detector-black-black/1307396490.p?id=mp1307396490&skuId=1307396490Quoi qu’il en soit, de nombreuses expériences, avec les périphériques
disponibles, doivent être effectuées, lors de la recherche de preuve
de l’utilisation des fréquences de micro-ondes pulsées sur les êtres
humains, fréquences appelées « psychoactives ». Si de telles preuves se
confirment, il faudrait les présenter aux médias et aux tribunaux. Ces
preuves devraient être une raison suffisante, pour exiger un projet de
loi prohibant la possession et l’utilisation des technologies de
contrôle mental aussi bien par des particuliers que par des organismes
gouvernementaux. Il est évident que les médias ainsi que les tribunaux
vont vouloir vérifier ces éléments de preuve dans les laboratoires
scientifiques. Pour cela, il est nécessaire de demander aux
laboratoires scientifiques de vérifier ces preuves, avant
même qu’elles ne soient présentées à la presse ou aux tribunaux. Les
scientifiques sont fort serviables, lorsqu’ils ont affaire à des
preuves sur vidéo convaincantes. Ils devraient être bien disposés à
les vérifier avec leurs instruments de précision.
Mais qu’est-ce qu’on entend par « preuves convaincantes »?. Selon divers
rapports, la densité de puissance du rayonnement électromagnétique
dans les villes, la plupart du temps ne dépasse pas 5 microwatts par
centimètre carré. Cependant, il arrive que, dans une ville indienne,
la mesure atteigne 1 MW par centimètre carré. La plupart des
scientifiques, qui ont effectué des expériences avec les effets des
micro-ondes sur l’organisme humain, conviennent que la densité de
puissance nécessaire ne dépasse pas 10 microwatts par centimètre
carré. Dans l’expérience de Frey avec l’effet d’audition par
micro-ondes, la densité de puissance moyenne pour les différentes
fréquences et les  largeurs d’impulsion a varié de 0,4 microwatts par
centimètre carré à 7,1 milliwatt par centimètre carré. Dans les
expériences de Ross Adey avec l’efflux (ou écoulement) de calcium dans
le système nerveux, l’efflux s’est produit uniquement dans la gamme de
densité de puissance de 0,1 à 1 mW par centimètre carré. Adey obtenait
les meilleurs résultats dans d’autres unités, lors de l’utilisation du
champ électromagnétique de 10 V par mètre et 56 V par mètre. Étant
donné que la densité de puissance des fréquences de contrôle mental
est proche du smog électromagnétique à l’intérieur des villes, il est
conseillé de prendre les mesures de la densité de puissance en-dehors
des villes. Les mesures doivent être prises, le plus loin possible des
antennes de téléphone cellulaire, loin également des lignes
électriques, sous lesquelles l’intensité du champ électromagnétique
peut atteindre 100 V par mètre et aussi loin que possible des lignes
électriques à haute tension, sous lesquelles l’intensité du champ
électromagnétique peut atteindre 10,000 V par mètre. Il faudrait que
la distance entre l’individu dont on prend les mesures et l’individu
prenant les mesures permette à ce dernier de voir sur caméra-video si
la densité de puissance augmente, au fur et à mesure que l’individu
dont il prend les mesures s’approche. L’expérience devrait être
répétée plusieurs fois.
Il est possible de trouver sur Internet le détecteur de radiations
électromagnétique DT-1180 pour $ 21. Il mesure, d’une part,
l’intensité des champs électromagnétiques à des fréquences allant de 5
Hz à 400 kHz (avec une précision de 1 Volt par mètre) et, d’autre
part, la densité de puissance des champs électromagnétiques à des
fréquences allant de 300 Megahertz à 2000 mégahertz (2 Gigahertz) avec
une précision de 1 microwatt par centimètre carré.
Quant aux compteurs de fréquences, il est pratiquement impossible de
trouver des preuves d’existence de micropuces, aussi bien à
l’intérieur qu’à l’extérieur des villes, en raison de la forte
présence d’ondes électromagnétiques dans notre environnement moderne.
Mais il existe des grottes ou d’anciennes mines accessibles au public,
où les ondes électromagnétiques des fréquences micro-ondes ne
pénètrent pas. Le personnel de ces sites ne s’oppose pas à la prise de
mesures dans leurs installations.
Si la puce ne reçoit pas son énergie à partir de l’antenne extérieure,
elle devrait fonctionner, même quand elle est dans la grotte ou dans
la mine. Elle doit être mesurée par le compteur de fréquences (le
compteur de fréquences Aceco FC-6002 Mk2 enregistrant des fréquences
allant jusqu’à 6 gigahertz peut être acheté, au prix de 149 euros)
ainsi que par un dispositif mesurant la densité de puissance. Les
mesures devraient être enregistrées sur la caméra. Elles devraient
être répétées au même endroit, en l’absence de la personne dont on
prend les mesures et sur une personne qui ne se déclare pas ciblée par
des radiations de contrôle du cerveau, puis devraient être
répétées plusieurs fois devant la caméra. Les enregistrements vidéo
doivent être ensuite présentés aux scientifiques qui ont accès à des
salles électromagnétiques blindées et il faudrait les inviter à
vérifier la présence de la puce avec leur équipement. La preuve
scientifique devrait être ensuite présentée aux médias et aux
tribunaux. (Par souci d’économie, on pourrait commencer uniquement
avec le détecteur de radiations électromagnétiques). Si vous trouvez
cette preuve, veuillez me le faire savoir à mon adresse e-mail
mbabacek@czin.eu .
Encore une expérience qui vaudrait la peine d’essayer, dans le cas où
l’on n’obtient aucun élément objectif. Essayez de vérifier jusqu’à
quel point l’expérience d’une personne qui prétend être ciblée
pourrait changer, lorsque le champ magnétique, dans lequel elle se
trouve, change. Lorsque Ross Adey a effectué ses expériences avec le
flux de calcium à partir de neurones, d’autres scientifiques ont
constaté qu’ ils ont dû utiliser des fréquences d’impulsions de
micro-ondes différentes de celles de Ross Adey, afin d’obtenir les
mêmes résultats. Lors de la recherche des causes de ce phénomène, ils
ont découvert que ce sont les variations de l’intensité du champ
magnétique terrestre, à l’emplacement de leurs expériences, qui ont
été responsables des variations de fréquences d’impulsions efficaces
dans leurs expériences.
Enfin, Ross Adey a placé à côté d’un poulet quelques cerveaux, qu’il
utilisait avec une bobine de Helmholtz, laquelle bobine a coupé en
deux les champs magnétiques terrestres. Pour provoquer le flux de
calcium à partir de neurones, il avait besoin d’une fréquence de
micro-ondes pulsées de 30 Herz, au lieu de fréquences pulsées de 15
Herz. L’explication de ce phénomène est la résonance de cyclotron.
Pour cela, il serait important de voir si l’expérience d’une personne
ciblée pourrait changer, en présence d’un champ magnétique artificiel
puissant ou en présence de bobines de Helmholtz. Dans les années 70 du
siècle passé, les casques des sèche-cheveux produisaient des champs
magnétiques d’environ 30 Gauss. La force du champ magnétique terrestre
varie de 0,25 à 0,65 Gauss. Si les casques des sèche-cheveux actuels
continuaient de produire des champs magnétiques puissants, il serait
utile de vérifier si l’expérience d’une personne ciblée change, quand
elle sèche ses cheveux dans le casque (Sinon, il serait intéressant
d’acheter l’ancien casque) . Si l’expérience de plusieurs personnes
prétendant être ciblées pouvait changer, en raison du changement du
champ magnétique terrestre, ce serait une preuve irréfutable que ces
personnes sont soumises aux effets des radiations micro-ondes
pulsées et il ne resterait plus qu’à trouver la fréquence porteuse
utilisée contre ces personnes. (Si vous tentez cette expérience,
veuillez me faire savoir les résultats à mon adresse
mbabacek@czin.eu ). Une autre façon de découvrir un champ magnétique
artificiel serait de subir un examen par résonance magnétique qui dure
généralement plus d’une demi-heure. Solénoïde fonctionnerait ainsi.
Je crois qu’il devrait y avoir une liste sur Internet, dédiée
strictement à la recherche scientifique, qui se concentrerait sur la
possibilité de l’utilisation des ondes électromagnétiques pulsées
contre les êtres humains.
Il y a environ huit ans, j’ai trouvé sur Internet une proposition des
scientifiques chinois pour développer une communication directe de
cerveau à cerveau avec l’utilisation du concept de connexion non
locale d’électrons et de photons. Vous savez probablement que le
concept de la physique quantique stipule que, dès lors que deux
électrons ou photons se rencontrent, leurs réactions sont couplées,
peu importe à quelle distance de l’un de l’autre ils se trouvent.
Si l’on fait se rencontrer les photons et les électrons dans deux
cerveaux ou dans un cerveau et un ordinateur neuronal, il est tout à
fait possible que les deux cerveaux ou un cerveau et un ordinateur
neuronal soient unis. Comme nous l’avons vu lors de cette conférence,
il est possible de faire entrer la lumière du proche infrarouge (PIR)
jusqu’à 20 cm de profondeur dans le cerveau. Peut-être cela serait-il
un moyen d’amener les photons à se lier avec deux cerveaux et
d’établir l’ interconnexion d’un cerveau avec l’autre cerveau ou bien
avec l’ordinateur simulant une activité cérébrale.
Je sais pertinemment que la détection d’un tel acte malveillant chez
un organisme gouvernemental est plutôt impossible, une fois qu’il est
fait. Je me demande si les armes utilisant des concepts physiques
inconnus, dont les Russes ont récemment annoncé le développement,
comprennent ce concept. La défense possible contre ce genre de
manipulation du cerveau humain pourrait être le remplacement de
photons dans le cerveau par de nouveaux photons, au moyen d’une longue
exposition à la lumière du proche infrarouge (PIR). Si quelqu’un tente
l’expérience, il serait utile d’amener le générateur de lumière du
proche infrarouge à générer la lumière à 20 cm de profondeur dans le
tissu (avec la forme d’onde ajustée). Celui qui en fait l’essai doit
s’assurer qu’il ne génère pas la lumière dans le proche infrarouge qui
réchauffe le tissu et qui pourrait nuire au cerveau. La lumière du
proche infrarouge réchauffe le tissu seulement à 0,2 degré Celsius. Si
quelqu’un essaie cette méthode, veuillez me le faire savoir à mon
adresse e-mail mbabacek@czin.eu .
Pour conclure, je tiens à souligner une fois de plus que, en ce monde
moderne, avec les incroyables progrès de la science et de la
technologie, l’interdiction d’accéder au cerveau humain avec divers
radiations, de la part des gouvernements ou des organismes ou des
individus malveillants, devrait être intégrée dans la constitution de
tous les pays du monde. Sinon, ce serait la destruction des concepts
d’indépendance de l’être humain et de la démocratie.
Aujourd’hui, l’obstacle majeur pour atteindre cet objectif est la
lutte que mènent les Etats-Unis ainsi que leurs entreprises et élites
financières, pour atteindre la puissance mondiale, au lieu de partager
cet objectif avec la Russie, l’Union Européenne, et avec d’autres pays
démocratiques ainsi que la Chine. Si le monde humain est censé avoir
un avenir humaniste et démocratique, il faut qu’il soit mis fin à la
lutte pour la domination du monde par les gouvernements.

http://www.youtube.com/watch?v=88TVQZUfYGw

Mercredi 4 Février 2015