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Morphéus : Du harcèlement électromagnétique des populations à la neuro-politique du Nouvel Ordre Mondial

Les armes à micro-ondes sont utilisées contre les populations depuis des dizaines d’années. En Angleterre, dans les années 80, lors des grèves de mineurs, Margaret Thatcher avait fait installer des émetteurs dans les quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques.

Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses fréquences (ELF : Extremely Low Frequency) ou à l’inverse des ultra hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le cerveau humain.

C’est l’Institut Tavistock, spécialisé dans la modification du comportement humain, qui aurait développé ce système à partir des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (RMCT : Remote Mind Control Technology). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont trouvé que les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est avéré que ces ondes peuvent également endommager l’ADN. Il a combiné des ondes ELF avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets nocifs.

Sur la base US de Greenham Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande majorité de femmes) manifestaient, ces armes furent utilisées. Fin 1984, ces femmes visées par de hauts niveaux de radiations micro-ondes, ont été atteintes de cancer, nombre d’entre elles sont mortes. Ces armes permettent d’induire un cancer à distance en altérant l’ADN.

Ces armes utilisées secrètement contre les civils engendrent des paralysies temporaires, une désorientation, des brûlures dans certains cas d’exposition, des vertiges, des amnésies. Des scientifiques indépendants avaient constaté les hauts niveaux de radiations électromagnétiques autour de la base Greenham Common, preuve de l’utilisation de ces armes contre des manifestantes.

Armes ELF

Les armes à très basse fréquence (ELF) sont étalonnées selon certaines fréquences cérébrales étudiées et connues des militaires. 6,66 Hertz engendre la dépression, 4,5 hertz provoque une attaque cardiaque, d’autre vont moduler l’humeur de la victime irradiée en la rendant schizophrénique, paranoïaque, suicidaire, violente ou apathique.

Ce type d’arme fut utilisé sur les populations chypriotes par l’armée anglaise, mais également sur les catholiques d’Irlande du Nord dans les années 80

MASER

Le système nommé MASER envoie des micro-ondes spéciales qui permettent de faire de la « télépathie synthétique ». Aujourd’hui on peut lire les pensées de quelqu’un à distance après avoir scanné les ondes électromagnétiques émises par le sujet dans différentes situations.

 

Manipulation du système nerveux

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d’une cible en diffusant certains type d’ondes.

D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait des systèmes manipulant le système nerveux contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80. Vicki Casagrande, ingénieure américaine, a expliqué devant une commission sur le harcèlement électromagnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « Les muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit légèrement ou violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau juste comme une sensation (…) Les victimes peuvent avoir froid par 40°C dehors, ou avoir chaud par -15°C. ».

L’ingénieure Casagrande explique que certaines victimes auraient eu des implants dans le cerveau depuis les années 60, 70.

300 plaintes

Actuellement, dans l’état du Missouri, un élu a recensé 300 plaintes concernant le harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Un certain nombre d’associations comme (l’International Committee on Offensive Microwave Weapons) se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter l’opinion et les décideurs politiques.

Armes interférométriques

Les armes électromagnétiques évoquées plus haut ont déjà 50 ans ou plus. Elles ont un inconvénient majeur, les sujets finissent par comprendre qu’ils sont victimes d’une attaque électromagnétique. Des systèmes beaucoup plus sophistiqués indolores pour manipuler les cerveaux sont à l’œuvre actuellement. On sait parfaitement simuler artificiellement l’activité interférométrique de n’importe quelle zone du cerveau humain. Avec l’assistance de l’intelligence artificielle, il devient possible de remodeler un cerveau à distance en modifiant l’inconscient puis le conscient d’un individu. De fait, nous voyons la 5G et la densification du smog électromagnétique comme des extensions intégrées de ces technologies. Les cerveaux ainsi baignés et modulés demanderont eux-mêmes plus d’asservissement sans même s’en rendre compte. Illusions de liberté, de fraternité ou d’égalité seront induites par des techno-scientifiques aux commandes du formatage cérébral des populations. C’est l’arme ultime d’asservissement des peuples.

L’asservissement techno-politique

Zbigniew Brzezinski lieutenant de David Rockefeller a toujours affiché sa volonté politique d’asservir les populations à l’aide de technologies :

« La société sera dominée par une élite de personnes libérées des valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance quasi permanente sur chacun des habitants de la planète ».

« Cette élite cherchera tous les moyens pour parvenir à ses fins politiques, comme de nouvelles techniques pour influencer le comportement des masses, ainsi que pour obtenir le contrôle et la soumission de la société ».

Hitler en aurait rêvé mais un homme comme Zbigniew Brzezinski dispose de l’intelligence artificielle et de toutes les sciences psychotroniques modernes pour parvenir à ses fins. Son rêve de contrôle mental des masses est à portée de main avec le concours des transhumanistes.

Laurent Alexandre transhumaniste accompli, décrit notre cerveau comme « un ordinateur fait de viande ». Quant à Marc Roux, président de l’association française transhumaniste, il affirme : « Nous avons aujourd’hui les outils pour intervenir sciemment sur notre propre condition. Nous pensons qu’il peut y avoir de bonnes raisons de modifier notre biologie, même de manière invasive, radicale et irréversible. » En Suisse, le Human Brain Project, largement financé par l’Union européenne, a pour but de créer un cerveau artificiel en travaillant sur les interactions entre les neurones et des processeurs électroniques. Le programme est annoncé sans détour. « L’audacieux programme transhumaniste va se répandre… Cela fait partie de la nature non démocratique de la technologie… » CQFD.

Avènement de la neuro-politique

Le Nouvel Ordre Mondial si cher à la famille Bush a toujours été lié à la possibilité technologique d’imposer secrètement une neuro-politique aux populations. Grâce aux avancées des neuro-sciences et des programmes militaires secrets de Contrôle Mental, la « paix mondiale » pouvait être imposée. La caste mondialiste devait faire monter en puissance tous les systèmes d’interconnexions assistés par intelligence artificielle afin que chaque cerveau n’en soit qu’une interface modulable à souhait.

Si techniquement tout cela est devenu possible, en revanche cette approche induit, par pressions électromagnétiques, une telle destruction qu’elle mène à un lent suicide programmé de l’humanité. Rationnellement, il convient de faire machine arrière. Mais il semble que la rationalité ne soit plus à l’ordre du jour. Nous ne savons plus si la caste mondialiste agit et pense par elle-même ou si elle a été assimilée par sa propre technologie de contrôle neuronal. Face à ce fléau, la révolution consciente des peuples devient le seul garde-fou et le temps nous est compté.

Sources : https://aphadolie.com

LIESI & Morphéus

publié dans Morphéus n°93 mai-juin 2019

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« Attaques acoustiques » : le cerveau de diplomates américains à Cuba a été altéré

L’EXPRESS Plusieurs diplomates américains en poste à La Havane se sont plaints de maux qui restent inexpliqués. Mais une étude assure que « leurs cerveaux ont subi quelque chose ».

Que leur est-il arrivé ? Les cerveaux d’une quarantaine de diplomates américains, victimes de phénomènes mystérieux à Cuba, montrent des différences par rapport à un groupe témoin, ont annoncé mardi des chercheurs, qui les ont analysés par imagerie médicale à la demande du gouvernement américain.

L’étude, publiée par le Journal de l’Académie américaine de médecine (Jama) et menée par des professeurs et médecins de l’université de Pennsylvanie, ne permet pas de dégager une cause aux symptômes observés chez les diplomates entre fin 2016 et mai 2018. Mais elle confirme que « leurs cerveaux ont subi quelque chose qui a causé ces changements », explique Ragini Verma, professeure de radiologie à l’université de Pennsylvanie, et spécialiste de l’imagerie médicale.

« Ce n’est pas imaginaire », avance-t-elle. « Cela s’est bien produit dans leur cerveau. Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver. » « Ce qu’il s’est passé n’est pas dû à un antécédent médical », ajoute la spécialiste.

Des diplomates en plein « brouillard cognitif »

Entre fin 2016 et mai 2018, des diplomates en poste à La Havane, ainsi que des membres de leurs familles, ont souffert de maux divers incluant des problèmes d’équilibre et de vertige, de coordination, de mouvement des yeux, ainsi que de l’anxiété, de l’irritabilité et ce que des victimes ont appelé un « brouillard cognitif ».

Les Etats-Unis ont rappelé la majorité de leur personnel diplomatique de La Havane en septembre 2017. Certains sont aujourd’hui rétablis, mais d’autres restent en rééducation, selon Ragini Verma.

Washington n’a jamais établi publiquement la nature du phénomène, ni confirmé qu’il pourrait s’agir d’énigmatiques « attaques acoustiques » ou micro-ondes, comme la presse américaine s’en est fait l’écho, sans toutefois apporter aucune preuve. Cuba rejette toute responsabilité. Le Canada a de son côté dénombré 14 « victimes » et également rappelé la majorité de son personnel en janvier.

Pas de « conclusions scientifiques claires », répond Cuba

A la demande du département d’Etat américain, 44 diplomates et membres de leurs familles ont été envoyés à partir de mi-2017 au centre des traumatismes cérébraux de l’université de Pennsylvanie pour subir des examens par imagerie par résonance magnétique (IRM).

Les chercheurs ont comparé les résultats à ceux de 48 personnes comparables de groupes témoins. Les différences sont statistiquement significatives et concernent la matière blanche du cerveau, ainsi que le cervelet, la partie qui contrôle les mouvements.

Un porte-parole du département d’Etat a dit saluer « l’implication de la communauté médicale dans ce problème incroyablement complexe. La priorité du département reste la sûreté, la sécurité et le bien-être de son personnel ». La chercheuse Ragini Verma insiste sur l’importance de suivre l’ensemble des patients régulièrement pour suivre l’évolution des changements dans leurs cerveaux.

Cuba a pour sa part disqualifié cette étude mardi. Celle-ci « ne nous permet pas d’arriver à des conclusions scientifiques finales claires », a déclaré Mitchell Valdés-Sosa, directeur du Centre des neurosciences de l’Etat cubain, lors d’une conférence de presse. L’étude « ne prouve pas, contrairement à ce qui a été spéculé et à ce qui est affirmé dans l’article précédent (de la Jama, publié en mars 2018), qu’un groupe de diplomates a souffert des lésions cérébrales pendant leur séjour à Cuba, » a-t-il déclaré.

 


SCIENCES & AVENIR  Attaque acoustique à Cuba : le cerveau des diplomates américains altéré

En 2017, une affaire digne d’un roman d’espionnage avait fait grand bruit : celle de « l’attaque acoustique » visant des diplomates américains à Cuba. Une étude publiée par le Journal de l’Académie américaine de médecine (Jama) le 23 juillet 2019 avance que les cerveaux d’une quarantaine de ces diplomates montrent des différences par rapport à un groupe témoin.

Certains ont souffert « de légères lésions cérébrales d’origine traumatique »

Les premiers faits suspects ont été signalés fin 2016, mais le gouvernement américain a attendu août 2017 pour évoquer de mystérieux « symptômes physiques » constatés chez plusieurs salariés de l’ambassade des États-Unis à Cuba. Certains ont souffert de « migraines, nausées« , mais aussi « de légères lésions cérébrales d’origine traumatique et d’une perte définitive d’audition« , révélait ensuite le syndicat de la diplomatie américaine. Des problèmes d’équilibre, de vertige, de coordinations mais aussi de mouvements des yeux et d’anxiété ont également été signalés. Le 14 septembre 2017, le nombre d’employés touchés était de 21, avec un dernier « incident » constaté en août, selon Washington. Côté canadien, une source proche de l’ambassade précisait sous couvert d’anonymat que plus de cinq familles avaient été touchées, dont plusieurs enfants. Les États-Unis ont rappelé la majorité de leur personnel diplomatique de La Havane en septembre 2017. Certains sont aujourd’hui rétablis, mais d’autres restent en rééducation.

Washington n’a jamais établi publiquement la nature du phénomène. En 2017, l’agence américaine Associated Press (AP) avait divulgué un enregistrement réalisé par un employé de l’ambassade. Lorsque l’enregistrement leur a été présenté, des victimes de l’attaque l’ont clairement identifié comme le son qu’ils avaient entendu, comme l’expliquait alors Sciences et Avenir dans un précédent article.

« Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver »

A la demande du département d’Etat américain, 44 diplomates et membres de leurs familles ont été envoyés à partir de mi-2017 au centre des traumatismes cérébraux de l’université de Pennsylvanie pour subir des examens par imagerie par résonance magnétique (IRM). Les chercheurs ont comparé les résultats à ceux de 48 personnes comparables de groupes témoins. Les différences sont statistiquement significatives et concernent la matière blanche du cerveau, ainsi que le cervelet, la partie qui contrôle les mouvements.

L’étude – faite à la demande du gouvernement américain donc – menée par des professeurs et médecins de l’université de Pennsylvanie ne permet pas de dégager une cause aux symptômes observés chez les diplomates entre fin 2016 et mai 2018. Mais elle confirme que « leurs cerveaux ont subi quelque chose qui a causé ces changements« , dit à l’AFP Ragini Verma, professeure de radiologie à l’université de Pennsylvanie, et spécialiste de l’imagerie médicale. « Ce n’est pas imaginaire« , avance-t-elle. « Cela s’est bien produit dans leur cerveau. Tout ce que je peux dire c’est que la vérité reste à trouver. » « Ce qu’il s’est passé n’est pas dû à un antécédent médical« , ajoute la spécialiste. La chercheuse insiste désormais sur l’importance de suivre l’ensemble des patients régulièrement pour suivre l’évolution des changements dans leurs cerveaux.

Cuba a pour sa part disqualifié cette étude. Celle-ci « ne nous permet pas d’arriver à des conclusions scientifiques finales claires« , a déclaré Mitchell Valdés-Sosa, directeur du Centre des neurosciences de l’Etat cubain, lors d’une conférence de presse. L’étude « ne prouve pas, contrairement à ce qui a été spéculé et à ce qui est affirmé dans l’article précédent (de la Jama, publié en mars 2018), qu’un groupe de diplomates a souffert des lésions cérébrales pendant leur séjour à Cuba, » a-t-il déclaré.

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Les technologies offensives de contrôle politique : un nouveau péril social

Un document non signé, dont j’aimerai trouver la provenance, donne un aperçu des enjeux et répercutions sur la société civile, de l’état et de l’avancée des technologies du contrôle de  l’esprit.

les_technologies_offensives_de_controle_politique

 

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Armes electroniques

Les armes V2K, manipulation des êtres humains.

https://www.wired.com/2008/05/army-removes-pa/


TRADUCTION

La très étrange page web de l’armée sur les armes « Voice-to-Skull » a été supprimée. C’était étrange qu’il soit là, et c’est encore plus étrange qu’il soit parti. Si vous le recherchez sur Google, vous verrez l’entrée pour « Voice-to-Skull device », mais, si vous cliquez sur le site, le lien est mort.

L’article, toujours disponible sur le site Web de la Federation of American Scientists, se lit comme suit :

Arme non létale qui comprend (1) un dispositif neuroélectromagnétique qui utilise la transmission par micro-ondes de sons dans le crâne de personnes ou d’animaux au moyen d’un rayonnement micro-ondes modulé par impulsions ; et (2) un dispositif sonore silencieux qui peut transmettre les sons dans le crâne de personnes ou d’animaux. REMARQUE : La modulation sonore peut être des messages vocaux ou audio subliminaux. Une des applications de V2K est l’épouvantail électronique pour effrayer les oiseaux à proximité des aéroports.

Le groupe britannique Christians Against Mental Slavery (Chrétiens contre l’esclavage mental) a noté le changement pour la première fois (ils ont aussi une copie d’écran permanente de la page). Un représentant du groupe me dit qu’ils ont contacté le webmestre, qui leur a seulement dit que l’entrée était « définitivement supprimée ».

L’image ci-dessus est une représentation autoproclamée par une personne de la façon dont une arme « voix vers crâne » pourrait fonctionner.



The Army’s very strange webpage on « Voice-to-Skull » weapons has been removed. It was strange it was there, and it’s even stranger it’s gone. If you Google it, you’ll see the entry for « Voice-to-Skull device, » but, if you click on the website, the link is dead.

The entry, still available on the Federation of American Scientists‘ website reads:

Nonlethal weapon which includes (1) a neuro-electromagnetic device which uses microwave transmission of sound into the skull of persons or animals by way of pulse-modulated microwave radiation; and (2) a silent sound device which can transmit sound into the skull of person or animals. NOTE: The sound modulation may be voice or audio subliminal messages. One application of V2K is use as an electronic scarecrow to frighten birds in the vicinity of airports.

The U.K.-based group Christians Against Mental Slavery first noted the change (they also have a permanent screenshot of the page). A representative of the group tells me they contacted the Webmaster, who would only tell them the entry was « permanently removed. »

The image above is one person’s self-styled depiction of how a « voice-to-skull » weapon might work.

[Image: Raven1.net]

ALSO:


 

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Remote Neural Monitoring – John Hall

Traduction de l’articleMonitoraggio remoto neurale – John Hall


 

 

La recherche MKULTRA et la recherche en visualisation à distance ont permis aux scientifiques de découvrir des méthodes pour obtenir les effets désirés et de comprendre sur quelle partie du cerveau se concentrer pour obtenir ces effets. Bien que certains scientifiques ne soient pas d’accord avec la théorie des ondes ELF, la plupart des recherches menées aux États-Unis et en Union soviétique ont continué à se concentrer sur les effets des ondes ELF sur le cerveau. Un problème, cependant, n’a pas encore été résolu. De nombreuses victimes du projet MKULTRA étaient des sujets involontaires à qui il avait été menti et qui ont été forcés de participer à des expériences contraires à l’éthique. En raison des restrictions technologiques de l’époque, les victimes devaient être saisies, transportées à l’hôpital, droguées, puis soumises à des traitements électro-chocs, à l’aide d’électrodes appliquées sur le cuir chevelu. Également pour la surveillance physiologique de l’électroencéphalogramme (EEG) et d’autres signes vitaux, des capteurs ont été appliqués sur le sujet. De plus, les chercheurs du projet MKULTRA ont connu une période risquée avant le début des années 1970. Les plaintes et les plaintes des victimes avaient donné lieu à l’ouverture d’audiences du Congrès et la CIA avait commencé à dénoncer des expériences contraires à l’éthique sur des sujets non intentionnels. Sous la direction du sénateur Ted Kennedy, les documents de la CIA qui ont survécu à la déchiqueteuse ont montré une image de l’expérimentation illégale plutôt bizarre, avec des expériences réalisées pour la plupart par des entreprises privées. Si la CIA n’avait pas enlevé des victimes dans des centres de recherche pour le procès et n’avait laissé aucun document comme preuve, il se peut que le fait n’aurait jamais été évoqué et qu’il n’y aurait pas eu d’audience au Congrès. L’opinion publique a été très choquée par ces graves abus. Le congrès a été consterné. La CIA a alors commencé à chercher d’autres moyens de poursuivre ses recherches sur le contrôle mental afin de pouvoir tout nier en le rendant invraisemblable et donc moins susceptible d’être découvert. L’ère de la surveillance neuronale à distance a donc commencé.

 

L’Agency for Advanced Research Projects a accordé un contrat de subvention de 338 000 $ au Stanford Research Institute (CSRI) en février 1972. Le directeur du programme était le Dr George Lawrence et le contrat a été formulé par le Dr Lawrence Pinneo dans le but de déterminer la faisabilité de la communication bio-cybernétique.

Plus précisément, le Dr Pinneo a étudié la faisabilité d’un projet visant à créer un lien de communication entre l’homme et l’ordinateur en utilisant l’activité électrique du cerveau pendant la réflexion verbale. L’hypothèse formulée était que l’activité électrique du cerveau pendant la pensée est similaire à l’activité électrique du cerveau pendant un discours. Les électroencéphalogrammes des sujets ont été mesurés à l’aide d’électrodes du cuir chevelu appliquées sur les lobes frontal et temporal. « La recherche était basée sur l’hypothèse que la pensée n’est rien de plus qu’un discours fait de façon silencieuse ou cachée. Les sujets ont reçu des cartes postales avec des mots auxquels ils devaient réfléchir pendant l’enregistrement de leurs électroencéphalogrammes (EEG). La recherche a conduit à la conclusion que l’électroencéphalogramme ( » EEG « ) révèle des réponses similaires pendant la lecture silencieuse et la lecture forte et que ces réponses peuvent être correctement classées par un ordinateur avec un degré élevé de précision.

L’étude du pavillon de l’oreille s’est également concentrée sur l’identification des modèles d’électroencéphalogrammes (EEG) des homonymes. Les homonymes sont des mots tels que « écrire » et « droit » qui se prononcent de la même manière mais ont des significations différentes.

Les modèles d’EEG étaient semblables lorsque les sujets pensaient aux mots « écrire » ou « bien ». Mais si les sujets pensaient au mot dans le contexte d’une phrase spécifique, avec l’analyse de l’électroencéphalogramme ( » EEG « ), il était possible de distinguer les deux mots autrement prononcés de la même manière. Les électrodes ont été appliquées à diverses parties du cuir chevelu ; cependant, les électrodes sur les lobes temporaux ont montré une précision plus grande et plus importante sur le plan statistique. Au contraire, les électrodes appliquées sur les zones occipitales ou pariétales du cerveau ont eu beaucoup moins de succès dans la création de corrélations.

Il ne faut pas oublier que les recherches de M. Pinnaeus ont été menées en 1972 avec une technologie relativement rudimentaire, surtout en ce qui concerne la mesure de l’électroencéphalogramme. Malgré le fait que les technologies nécessaires n’étaient pas disponibles à l’époque, ils étaient encore capables de créer un dictionnaire EEG de mots qui étaient pensés par sujets. Comme pour la recherche en visualisation à distance, le Dr Pinnaeus a conclu que les lobes temporaux du cerveau étaient les points les plus importants pour mesurer et représenter l’électroencéphalogramme (EEG) de la pensée. De plus, il a ajouté des paramètres avec lesquels il serait possible d’augmenter la précision de l’électroencéphalogramme correspondant au mot ou à la phrase de la pensée. Ces paramètres supplémentaires comprenaient la formation du sujet à l’utilisation du système d’exploitation et l’utilisation d’un « entraînement temporel » pour les réponses cachées, ainsi que la fourniture d’une série de réponses subjectives auxquelles le sujet aurait dû penser et qui étaient significatives pour lui. Dans l’ensemble, les recherches du Dr Pinnaeus en 1972 ont conclu qu’un système de communication bio-cybernétique qui permettrait à un ordinateur d’interpréter la pensée humaine à partir de l’électroencéphalogramme (EEG) était en fait possible. Il n’est donc pas surprenant que les références de son étude comprennent les études menées par le Dr W. R. Adey, un sous-traitant de MKULTRA.

Les recherches qui ont suivi se sont concentrées sur la possibilité de détecter à distance les potentiels électriques générés par le cerveau. La détection à distance par électroencéphalogramme (EEG) permet la surveillance à distance des activités sans qu’il soit nécessaire d’appliquer des électrodes sur le cuir chevelu du sujet et facilite les expériences sur des sujets humains sans leur consentement formel. Un chercheur, Robert G. Malech, a étudié la surveillance neurale à distance et la façon de modifier l’activité cérébrale à distance et ses travaux ont abouti à l’enregistrement d’un brevet américain en 1974, le nombre est 3951134. L’implant qu’il a créé était capable de transmettre un signal de base et un signal primaire au cerveau d’un sujet contrôlé. Dans ce cas, le cerveau du sujet transmet un deuxième signal en réponse aux deux signaux entrants. Essentiellement, les deux signaux entrants s’harmonisent avec la fréquence électrique inhérente du cerveau ou la forme d’onde d’interférence serait renvoyée au récepteur. La forme d’onde d’interférence peut alors être « démodulée », amplifiée et affichée visuellement, puis envoyée à un ordinateur. Selon Malech, la forme d’onde « démodulée » serait alors utilisée pour produire un signal de compensation qui pourrait être transmis au cerveau. Le signal de compensation peut être utilisé pour tenter de modifier artificiellement l’activité cérébrale et de produire un changement souhaitable de l’activité cérébrale chez les sujets. Dans la description de l’implant, Malech parle clairement du potentiel de cette découverte à être utilisée pour la télésurveillance neurale d’un sujet sans son consentement. Son brevet a été publié en 1976 et son implant était composé de composants couramment utilisés dans les systèmes radar de l’époque.

Par une « étrange coïncidence », une autre découverte concernant l’équipement radar a été « L’effet Frey » ou l’effet de l’audition micro-ondes.

Dans le dernier paragraphe du brevet publié par Malech, on peut lire la déclaration suivante : « Les personnes occupant des postes critiques, comme les conducteurs et les pilotes, peuvent être surveillées en permanence afin de permettre l’activation d’un dispositif de secours en cas de défaillance humaine. Les enlèvements, la somnolence et les soubresauts du sommeil peuvent être détectés. Les fonctions vitales telles que le pouls, la régularité de la fréquence cardiaque et d’autres fonctions peuvent être surveillées et des événements tels que les états d’hallucination peuvent être détectés. Le système permet également de rendre les diagnostics médicaux des patients inaccessibles aux médecins généralistes depuis des stations éloignées.

Gardez à l’esprit que l’implant Malech a été théorisé en 1976 avec des technologies bien inférieures à celles d’aujourd’hui.

Les progrès technologiques en matière de vitesse de calcul et de surveillance ont poussé les recherches du Dr Pinneo sur le dictionnaire des électroencéphalogrammes et l’installation de surveillance à distance des électroencéphalogrammes (EEG) de Malech plus loin que ces chercheurs ne l’auraient imaginé. En utilisant ces concepts fondamentaux, les recherches les plus modernes se sont concentrées sur la conversion des formes d’ondes électromagnétiques reçues en pensées audibles qui peuvent être contrôlées et enregistrées. Essentiellement, l’utilisation de techniques pour lire les pensées est quelque chose qui se fait depuis longtemps dans les milieux des services secrets. En plus de suivre les pensées d’un sujet, les chercheurs ont bénéficié de la recherche sur l’électroencéphalogramme (EEG) et des techniques précédemment utilisées par Malech. Une fois qu’un dictionnaire des formes d’ondes de l’électroencéphalogramme correspondant à divers états émotionnels a été créé, il est devenu relativement facile d’induire des états similaires au cerveau d’un sujet à travers une forme d’onde pour produire un état émotionnel souhaitable. On pourrait conclure qu’en utilisant la même technique, les cortex visuel et auditif du cerveau pourraient être résonés pour stimuler les hallucinations visuelles et auditives. Ainsi, les sujets le percevraient comme des hologrammes ou des sons apparemment réalistes qui ne peuvent être attribués à une source matérielle externe dans leur environnement. En fait, il y a des milliers de personnes aux États-Unis qui ont dénoncé ce genre de phénomène.

Bien que tout cela puisse sembler de la science-fiction à ce stade, si le lecteur place la recherche actuelle dans le contexte des études précédentes du projet MKULTRA, les objectifs réalisables et souhaitables semblent clairs. Les organismes à l’origine de la recherche étaient à la recherche de moyens de lire les pensées en temps réel dans le but de créer des méthodes de communication cachées ainsi que de créer une machine de vérité et de modifier les comportements. Afin de ne pas prendre du retard par rapport à la « guerre psychotronique », les différentes forces armées ont financé leurs propres recherches sur la télésurveillance neuronale de manière autonome. L’armée se réfère à la technologie pour déchiffrer la pensée et la transformer en « signal audible » en temps réel comme « télépathie synthétique ». L’armée a affecté une équipe de chercheurs du Irvine Center de l’Université de Californie 4 millions de dollars pour étudier et développer une méthode permettant aux soldats sur le champ de bataille de communiquer entre eux par télépathie synthétique. Tout cela se fera à l’aide d’une interface ordinateur/cerveau dans laquelle l’électroencéphalogramme (EEG) d’un soldat sera surveillé et décodé à distance, puis transmis à un autre cerveau sous la forme d’un signal sonore ou mental. Les chercheurs admettent qu’il y aura une augmentation de l’apprentissage à mesure que les soldats se préparent à communiquer entre eux en utilisant seulement des pensées et non des mots. L’argent provenant de ce financement provient des frais d’inscription au nom du Programme d’initiative de recherche universitaire multidisciplinaire du Département de la défense des États-Unis d’Amérique. Ce programme mène des recherches qui font intervenir plus d’une science et d’une discipline des métaux. En connaissant les faits, l’admission de l’armée dans cette entreprise peut sembler tout à fait innocente et avoir des implications importantes pour la sécurité nationale. Cependant, il y a un aveu plus alarmant si l’on lit entre les lignes. Leurs recherches actuelles portent sur la télépathie synthétique interactive entre différents combattants sur le champ de bataille. L’auteur est d’avis qu’il s’agit là d’un aveu que la technologie a déjà été perfectionnée dans les deux sens entre un sujet cible et un système de communication. Ceci est particulièrement pertinent si l’on tient compte du nombre croissant de personnes qui se plaignent d’entendre des voix dans la tête. Compte tenu de l’histoire de l’expérimentation secrète dans ce pays, est-il très possible que la population civile ait été utilisée comme cobaye de laboratoire involontaire pour mener des recherches sur cette technologie ? On peut facilement en conclure que c’est le cas.

Les recherches les plus récentes sur la télésurveillance neuronale visaient à décoder le potentiel d’action qui est généré lors d’un discours du cortex qui envoie des signaux aux muscles. Tout le monde connaît le dicton « ne parlez pas sans réfléchir ». Comme les érudits l’ont découvert, c’est impossible. Les pensées sont les précurseurs de la parole et c’est sur cette base que sont basés la télésurveillance neuronale, la télépathie synthétique et les dispositifs de contrôle mental. De nombreux chercheurs se sont concentrés sur l’étude des potentiels évoqués provenant du cortex cérébral responsable du langage (cortex de la parole) dans le but d’utiliser ensuite ces signaux pour contrôler différents dispositifs par la pensée. Pour atteindre cet objectif, nous devons découvrir la biomécanique de la parole et comprendre les corrélations entre les potentiels électromagnétiques générés à la fois dans les centres auditifs et dans les centres de la parole du cerveau. Une fois de plus, les lobes temporaux du cerveau humain se sont avérés être la zone la plus impliquée dans la formulation de la parole et de l’audition. En 1999, des chercheurs de la Albert Einstein School of Medicine ont publié un article dans l’International Journal of Neurophysiology dans lequel ils décrivaient les potentiels de champ enregistrés directement du complexe auditif. Leur étude s’intéressait davantage à la détermination de l' »heure de début de la voix » (VOT), l’intervalle de temps entre le début approprié et le début de la vibration des cordes vocales. L’établissement d’un délai entre le cerveau qui signale aux cordes vocales et les cordes vocales qui répondent réellement afin de générer la parole est important. Il permet de savoir quand et pendant combien de temps un signal sera présent pour être détecté à distance et converti électromécaniquement en une forme qui activera un dispositif. En fait, la recherche a été fructueuse. De nos jours, nous avons des générateurs de voix numériques et des arts robotiques qui peuvent être contrôlés avec la pensée qui vient des centres de la parole du cerveau. Bien que cette technologie puisse être extrêmement précieuse pour les personnes handicapées, le décryptage de la pensée peut avoir de graves conséquences pour la société dans laquelle elle est utilisée d’une manière plus cachée.

Des milliers de personnes aux États-Unis déclarent avoir été victimes de la télésurveillance neuronale. Reste à savoir si cela faisait partie de la phase expérimentale de cette technologie ou si elle est tombée entre les mains de criminels. De nombreuses victimes ont été accusées de délire et de paranoïa. Mais sachant que ce type de maladie mentale aux États-Unis a une incidence de 0,3 % dans la population générale et les nombreuses similitudes dans les histoires des victimes, on peut en conclure qu’il s’agit d’une expérience illégale. Toutefois, cette technologie très intrusive devrait être difficile à commercialiser en raison des craintes du public d’une nouvelle perte de vie privée et de confidentialité. Peut-être pas ! Bon nombre des communiqués de presse mettent l’accent sur des choses comme permettre aux personnes handicapées d’utiliser des appareils contrôlés par la pensée pour rendre leur vie plus confortable. De plus, lors de la Foire internationale des miniatures 2009 en Amérique, deux jouets d’enfants qui utilisaient l’électroencéphalogramme pour déplacer une balle et la faire tourner en réfléchissant ont été exposés. L’entraîneur de force Mindflex et Oncle Milton de Mattel utilise des écouteurs sans fil qui mesurent les ondes alpha et bêta qui sont utilisées pour ensuite produire un décalage d’une balle vers le haut, le bas ou sur le côté. Les jouets sont vendus pour 129,99 $ et 79,99 $ respectivement. Quoi de plus innocent et de moins menaçant que les jouets pour enfants ? Ne vous y trompez pas ; il s’agit simplement d’une tentative délibérée de commercialiser une forme de technologie qui aura de graves conséquences pour la société. Si vous avez encore des doutes, essayez de demander à l’une des victimes de ce genre de recherche qui a perdu sa carrière et sa famille parce qu’elle a été diagnostiquée comme délirante et paranoïaque, puis voyez la technologie qu’on lui a dite inexistante apparaître dans le Toys R US !

 

 

 

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Transhumanisme

Science mag : Artificial intelligence turns brain activity into speech

Artificial intelligence turns brain activity into speech

For many people who are paralyzed and unable to speak, signals of what they’d like to say hide in their brains. No one has been able to decipher those signals directly. But three research teams recently made progress in turning data from electrodes surgically placed on the brain into computer-generated speech. Using computational models known as neural networks, they reconstructed words and sentences that were, in some cases, intelligible to human listeners.

None of the efforts, described in papers in recent months on the preprint server bioRxiv, managed to re-create speech that people had merely imagined. Instead, the researchers monitored parts of the brain as people either read aloud, silently mouthed speech, or listened to recordings. But showing the reconstructed speech is understandable is « definitely exciting, » says Stephanie Martin, a neural engineer at the University of Geneva in Switzerland who was not involved in the new projects.

People who have lost the ability to speak after a stroke or disease can use their eyes or make other small movements to control a cursor or select on-screen letters. (Cosmologist Stephen Hawking tensed his cheek to trigger a switch mounted on his glasses.) But if a brain-computer interface could re-create their speech directly, they might regain much more: control over tone and inflection, for example, or the ability to interject in a fast-moving conversation.

The hurdles are high. « We are trying to work out the pattern of … neurons that turn on and off at different time points, and infer the speech sound, » says Nima Mesgarani, a computer scientist at Columbia University. « The mapping from one to the other is not very straightforward. » How these signals translate to speech sounds varies from person to person, so computer models must be « trained » on each individual. And the models do best with extremely precise data, which requires opening the skull.

Researchers can do such invasive recording only in rare cases. One is during the removal of a brain tumor, when electrical readouts from the exposed brain help surgeons locate and avoid key speech and motor areas. Another is when a person with epilepsy is implanted with electrodes for several days to pinpoint the origin of seizures before surgical treatment. « We have, at maximum, 20 minutes, maybe 30, » for data collection, Martin says. « We’re really, really limited. »

The groups behind the new papers made the most of precious data by feeding the information into neural networks, which process complex patterns by passing information through layers of computational « nodes. » The networks learn by adjusting connections between nodes. In the experiments, networks were exposed to recordings of speech that a person produced or heard and data on simultaneous brain activity.

Mesgarani’s team relied on data from five people with epilepsy. Their network analyzed recordings from the auditory cortex (which is active during both speech and listening) as those patients heard recordings of stories and people naming digits from zero to nine. The computer then reconstructed spoken numbers from neural data alone; when the computer « spoke » the numbers, a group of listeners named them with 75% accuracy.

A computer reconstruction based on brain activity recorded while a person listened to spoken digits.

H. Akbari et al., doi.org/10.1101/350124

Another team, led by computer scientist Tanja Schultz at the University Bremen in Germany, relied on data from six people undergoing brain tumor surgery. A microphone captured their voices as they read single-syllable words aloud. Meanwhile, electrodes recorded from the brain’s speech planning areas and motor areas, which send commands to the vocal tract to articulate words. Computer scientists Miguel Angrick and Christian Herff, now with Maastricht University, trained a network that mapped electrode readouts to the audio recordings, and then reconstructed words from previously unseen brain data. According to a computerized scoring system, about 40% of the computer-generated words were understandable.

Original audio from a study participant, followed by a computer recreation of each word, based on activity in speech planning and motor areas of the brain.

M. Angrick et al., doi.org/10.1101/478644

Finally, neurosurgeon Edward Chang and his team at the University of California, San Francisco, reconstructed entire sentences from brain activity captured from speech and motor areas while three epilepsy patients read aloud. In an online test, 166 people heard one of the sentences and had to select it from among 10 written choices. Some sentences were correctly identified more than 80% of the time. The researchers also pushed the model further: They used it to re-create sentences from data recorded while people silently mouthed words. That’s an important result, Herff says— »one step closer to the speech prosthesis that we all have in mind. »

However, « What we’re really waiting for is how [these methods] are going to do when the patients can’t speak, » says Stephanie Riès, a neuroscientist at San Diego State University in California who studies language production. The brain signals when a person silently « speaks » or « hears » their voice in their head aren’t identical to signals of speech or hearing. Without external sound to match to brain activity, it may be hard for a computer even to sort out where inner speech starts and ends.

Decoding imagined speech will require « a huge jump, » says Gerwin Schalk, a neuroengineer at the National Center for Adaptive Neurotechnologies at the New York State Department of Health in Albany. « It’s really unclear how to do that at all. »

One approach, Herff says, might be to give feedback to the user of the brain-computer interface: If they can hear the computer’s speech interpretation in real time, they may be able to adjust their thoughts to get the result they want. With enough training of both users and neural networks, brain and computer might meet in the middle.

*Clarification, 8 January, 5:50 p.m.: This article has been updated to clarify which researchers worked on one of the projects. 

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Armes electroniques

Clubic : Un laser capable de vous envoyer un son sans que personne d’autre ne l’entende.

Des chercheurs du MIT ont mis au point un dispositif permettant d’envoyer un son directement à l’oreille d’une personne. Reposant sur un système de laser, il est capable de transmettre précisément un signal audio, de sorte que seul le destinataire puisse l’entendre.

Et si on pouvait transmettre les sons aussi précisément que la lumière via un laser ? C’est le résultat qu’ont obtenu des chercheurs du Laboratoire Lincoln, du MIT (États-Unis).

Lumière + vapeur d’eau = son

Les scientifiques se sont en effet inspirés du fonctionnement du laser. Leur système repose sur la photoacoustique, c’est-à-dire la génération d’ondes sonores à partir d’interactions entre la lumière et la matière. En l’occurrence, c’est la vapeur d’eau contenue dans l’air qui réagit avec l’émetteur laser élaboré par les chercheurs, pour produire le signal audio.

De plus, les auteurs de l’étude ont réussi à exploiter une longueur d’onde fortement absorbée par l’eau, ce qui permet d’augmenter la puissance et la qualité du son produit. Par conséquent, leur dispositif peut fonctionner même dans un environnement relativement sec, ne nécessitant qu’une quantité restreinte de vapeur d’eau.

Un « laser sonore » précis et sûr

Le système ainsi créé permet donc de générer un flux audio et de le transmettre de façon précise jusqu’à son destinataire, et uniquement à celui-ci, même dans un environnement bruyant. Et ce, sans risque pour les yeux ni la peau.

Les tests réalisés ont prouvé son efficacité à une distance de 2,5 m, ce qui reste encore assez limité. Mais d’après les scientifiques, ce résultat n’a été obtenu qu’avec du matériel disponible dans le commerce, et cette performance pourrait donc être aisément améliorée. Ce qui offrirait la possibilité de chuchoter à l’oreille d’une personne, à plusieurs mètres de distance.

Source : BGR


Toujours présenté pour une bonne cause, en omettant les graves dérives possibles. Il n’ échappera bien évidement qu’à l’auteur de l’article, que ceci rend obsolète les diagnostiques psychiatriques concernant la schizophrénie. Tellement insignifiant qu’il est absolument inutile de le mentionner… De même, est il bien nécessaire de parler de voice to skull, la « voix de Dieu » ?

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.


New Technology Uses Lasers to Transmit Audible Messages to Specific People

Photoacoustic communication approach could send warning messages through the air without requiring a receiving device

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.

 

In The Optical Society (OSA) journal Optics Letters, researchers from the Massachusetts Institute of Technology’s Lincoln Laboratory report using two different laser-based methods to transmit various tones, music and recorded speech at a conversational volume.

“Our system can be used from some distance away to beam information directly to someone’s ear,” said research team leader Charles M. Wynn. “It is the first system that uses lasers that are fully safe for the eyes and skin to localize an audible signal to a particular person in any setting.”

Creating sound from air

The new approaches are based on the photoacoustic effect, which occurs when a material forms sound waves after absorbing light. In this case, the researchers used water vapor in the air to absorb light and create sound.

“This can work even in relatively dry conditions because there is almost always a little water in the air, especially around people,” said Wynn. “We found that we don’t need a lot of water if we use a laser wavelength that is very strongly absorbed by water. This was key because the stronger absorption leads to more sound.”

One of the new sound transmission methods grew from a technique called dynamic photoacoustic spectroscopy (DPAS), which the researchers previously developed for chemical detection. In the earlier work, they discovered that scanning, or sweeping, a laser beam at the speed of sound could improve chemical detection.

“The speed of sound is a very special speed at which to work,” said Ryan M. Sullenberger, first author of the paper. “In this new paper, we show that sweeping a laser beam at the speed of sound at a wavelength absorbed by water can be used as an efficient way to create sound.”

Laboratory tests

In the lab, the researchers showed that commercially available equipment could transmit sound to a person more than 2.5 meters away at 60 decibels using the laser sweeping technique. They believe that the system could be easily scaled up to longer distances. They also tested a traditional photoacoustic method that doesn’t require sweeping the laser and encodes the audio message by modulating the power of the laser beam.

“There are tradeoffs between the two techniques,” said Sullenberger. “The traditional photoacoustics method provides sound with higher fidelity, whereas the laser sweeping provides sound with louder audio.”

Next, the researchers plan to demonstrate the methods outdoors at longer ranges. “We hope that this will eventually become a commercial technology,” said Sullenberger. “There are a lot of exciting possibilities, and we want to develop the communication technology in ways that are useful.”

Paper: R. M. Sullenberger, S. Kaushik, C. M. Wynn. “Photoacoustic communications: delivering audible signals via absorption of light by atmospheric H2O,” Opt. Lett., 44, 3, 622-625 (2019).
DOI: https://doi.org/10.1364/OL.44.000622.

About Optics Letters
Optics Letters offers rapid dissemination of new results in all areas of optics with short, original, peer-reviewed communications. Optics Letters covers the latest research in optical science, including optical measurements, optical components and devices, atmospheric optics, biomedical optics, Fourier optics, integrated optics, optical processing, optoelectronics, lasers, nonlinear optics, optical storage and holography, optical coherence, polarization, quantum electronics, ultrafast optical phenomena, photonic crystals and fiber optics.

About The Optical Society

Founded in 1916, The Optical Society (OSA) is the leading professional organization for scientists, engineers, students and business leaders who fuel discoveries, shape real-life applications and accelerate achievements in the science of light. Through world-renowned publications, meetings and membership initiatives, OSA provides quality research, inspired interactions and dedicated resources for its extensive global network of optics and photonics experts. For more information, visit osa.org.

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Armes electroniques

Manipulation du système nerveux humain à travers les écrans

Il est difficile de trouver des informations sur un certain Hendricus G. Loos, malgré le fait qu’il ait déposé plusieurs demandes de brevet, avec succès, pour des appareils qui traitent de la manipulation du système nerveux humain via un écran d’ordinateur ou un moniteur de télévision. En résumé, il explique ce qui suit :

“Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à une stimulation de la peau avec des champs électromagnétiques faibles qui sont pulsés à des fréquences proches de ½ Hz ou 2,4 Hz, tels que l’excitation d’une résonance sensorielle. De nombreux écrans d’ordinateurs et de téléviseurs, lorsqu’ils affichent des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d’amplitude suffisante pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet par des images pulsantes affichées sur un écran d’ordinateur ou un téléviseur à proximité. Dans ce dernier cas, l’impulsion d’image peut être insérée dans le matériel de programme, ou elle peut être superposée en modulant un flux vidéo, soit comme signal RF, soit comme signal vidéo. L’image affichée sur un écran d’ordinateur peut être pulsée efficacement par un simple programme informatique. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables de résonances sensorielles excitantes chez des sujets proches peuvent être générés même si les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.”

Ce qui est préoccupant à ce sujet, comme l’explique le brevet, c’est que même une pulsation très faible peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux humain.

Il poursuit en décrivant que la variabilité et la force des impulsions peuvent être contrôlées à l’aide d’un logiciel et explique, en ce qui concerne un moniteur d’ordinateur, des DVD, des cassettes vidéo et plus encore, comment il est possible de les commander à distance à partir d’un autre endroit.

La partie la plus inquiétante est peut-être celle-ci :

“Certains moniteurs peuvent émettre des impulsions de champ électromagnétique qui excitent une résonance sensorielle chez un sujet proche, par des impulsions d’image si faibles qu’elles sont subliminales. C’est dommage, car cela ouvre la voie à une application malicieuse de l’invention, qui expose les gens à manipuler involontairement leur système nerveux pour les besoins de quelqu’un d’autre. Une telle application serait contraire à l’éthique et n’est évidemment pas recommandée. C’est mentionné ici afin d’alerter le public sur la possibilité d’abus cachés qui peuvent se produire en ligne, ou en regardant la télévision, une vidéo ou un DVD.”

L’application est pleine d’exemples cités que “le système nerveux d’un sujet peut être manipulé par des impulsions électromagnétiques émises par un tube cathodique ou un moniteur LCD qui affiche des images avec une intensité pulsée”.

Notre système nerveux contrôle tout dans notre corps, y compris le cerveau. C’est un réseau de nerfs et de cellules qui transmettent des messages du cerveau et de la moelle épinière à diverses parties du corps, et ce n’est un secret pour personne que le gouvernement des États-Unis, entre autres, a une longue histoire d’expériences sur des êtres humains à des fins de contrôle mental. La télévision pourrait-elle être une tactique de contrôle mental ? Cela expliquerait pourquoi tant de gens croient aux histoires et aux explications d’événements qui leur sont présentés par les médias grand public, instantanément, sans même se poser des questions.

Dans certains cas, nous sommes faits pour idolâtrer ce que nous voyons à la télé, comme des célébrités, et imiter le comportement et les désirs.

Parfois, une perspective qui est étayée par des preuves, qui contrecarre complètement l’histoire et l’information que nous recevons des médias grand public, est jetée dans le “monde de la conspiration”. C’est dangereux, avons-nous atteint un point où nos télévisions réfléchissent pour nous ? Pourraient-elles utiliser les techniques décrites ci-dessus pour influencer nos pensées, nos comportements et nos perceptions ?

Compte tenu de ce que nous savons de nos gouvernements et des mesures contraires à l’éthique qu’ils ont prises tout au long de l’histoire, ce n’est vraiment pas inenvisageable.

Il y a une raison pour laquelle les avions et les hôpitaux interdisent l’utilisation des téléphones cellulaires, c’est parce que leurs transmissions électromagnétiques interfèrent avec les appareils électriques critiques. Le cerveau n’est pas différent, c’est un organe bioélectrique extrêmement complexe qui génère des champs électriques. Les scientifiques peuvent en fait contrôler le fonctionnement du cerveau grâce à la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), une technique qui utilise de puissantes impulsions de rayonnement électromagnétique émises dans le cerveau d’une personne pour brouiller ou exciter des circuits cérébraux particuliers.

C’est le même genre de chose que celle décrite dans le brevet, alors dans quelle mesure nos écrans d’ordinateur et de télévision le font-ils ? C’est pourquoi, par exemple, lorsque quelqu’un allume sa Playstation, l’écran lui demande de lire les informations importantes sur la santé avant de jouer. Des recherches ont également démontré que les simples transmissions par téléphone cellulaire peuvent affecter de façon assez significative les ondes cérébrales d’une personne, ce qui à son tour a des effets sur son comportement.

“Le rayonnement électromagnétique peut avoir un effet sur le comportement mental quand il émet à la bonne fréquence.” James Horne, du Centre de recherche sur le sommeil de l’Université de Loughborough (source)

Non seulement cela, mais des centaines de scientifiques se sont rassemblés et sont en train de sensibiliser les Nations Unies aux effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé et de faire des pétitions à ce sujet.

L’initiative a été lancée par le Dr Martin Blank, Ph.D. du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Colombie, qui s’est joint à un groupe de scientifiques du monde entier pour lancer un appel international aux Nations Unies concernant les dangers liés à l’utilisation de divers dispositifs émettant des émissions électromagnétiques, tels que les téléphones cellulaires et le WiFi.

Le Dr Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université Columbia, a déclaré dans un message vidéo : “Ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément.”

“Nous avons créé quelque chose qui nous nuit, et cela devient incontrôlable. Avant l’ampoule d’Edison, il y avait très peu de rayonnement électromagnétique dans notre environnement. Les niveaux d’aujourd’hui sont beaucoup plus élevés que les niveaux naturels, et ils augmentent rapidement à cause de tous les nouveaux appareils qui émettent ce rayonnement.”

Cette information est un effet séparé sur le corps du contrôle de l’esprit, mais il est toujours important de mentionner et d’apporter de la lumière.

Non seulement nos appareils électroniques surveillent, observent et enregistrent tout ce que nous faisons, mais ils peuvent aussi influencer notre comportement, nos perceptions, nos pensées et nos sentiments à grande échelle, mais qui sait si “les pouvoirs en place” utilisent ces appareils pour contrôler l’esprit, de la même manière qu’ils les utilisent pour surveiller.

Ne vous méprenez pas, il n’est pas difficile de voir comment les entreprises utilisent la télévision pour influencer notre comportement et nos perceptions, mais peut-être qu’elles, et d’autres autorités, sont en train de changer les choses, comme nous l’avons mentionné plus haut, et de manipuler nos systèmes nerveux à des fins personnelles et en connaissance de cause.

Chamath Palihapitiya, vice-président responsable de la croissance des utilisateurs de Facebook avant de quitter l’entreprise en 2011, a déclaré : “Les boucles de rétroaction à court terme, basées sur la dopamine, que nous avons créées, détruisent le fonctionnement de la société. Pas de discours civil, pas de coopération, de désinformation, que du mensonge. Donc, nous voyons un genre de chose similaire là-bas aussi.”

En matière de contrôle mental, le projet MK ultra était le bébé de la CIA. On croit généralement que ce n’est que du LSD qui a été utilisé sur des sujets humains, mais ce n’était qu’un seul programme. Comme la Cour Suprême des Etats-Unis l’a révélé en 1985, MK ultra consistait en 162 projets secrets différents qui étaient indirectement financés par la CIA, et sous-traités à plusieurs universités, fondations de recherche et institutions similaires. La majorité des enregistrements du MK Ultra ont été détruits et n’ont jamais été vus.

Peut-être que la programmation télévisuelle faisait-elle partie du programme MK Ultra ?

Observations finales

Il est difficile d’imaginer que nous pourrions être manipulés et utilisés à des fins de profit, de contrôle et autres, mais c’est une réalité à laquelle nous devons faire face. Il y a d’innombrables exemples de ceci tout au long de l’histoire jusqu’à nos jours, et tous les aspects de la vie humaine semblent être contrôlés par un petit groupe très sélect du domaine de la santé, des finances, de l’éducation, du divertissement, de la grande nourriture et plus encore. Nous sommes devenus des outils pour leur utilisation, et nos pensées, nos comportements et nos perceptions, pour la plupart, semblent être les mêmes. S’ils sont un peu différents, ou s’ils ne s’adaptent pas vraiment au cadre, on peut être instantanément étiqueté ou devenir un “paria social”.

Il ne fait aucun doute dans mon esprit que notre télévision et d’autres appareils électroniques ont des effets nocifs sur la santé, et qu’ils ont ou peuvent avoir des effets sur notre système nerveux de plusieurs façons différentes. Les données scientifiques à ce sujet sont claires, mais ce qui est moins clair, c’est l’idée qu’il y en a d’autres qui utilisent ces techniques, sciemment, pour contrôler nos esprits.

D’après toutes mes recherches sur le contrôle mental, les mesures prises par nos gouvernements et la mesure dans laquelle ils les ont prises, je serais surpris que la télévision ne fasse pas partie du programme MK Ultra.

À toutes et à tous, c’est une autre bonne raison de passer moins de temps devant votre écran, et plus de temps avec un livre, passer du temps à l’extérieur, ou avec la famille et les amis. S’il y a une chose qui est certaine, c’est que nos écrans nuisent à notre santé de plusieurs façons.

 

 

Source : Collective Evolution

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Implantation de citoyens Polonais, ignorant l’existence d’un tel dispositif

Traduction de l’article de stopzet http://stopzet.org/2016/09/10/implantowanie-nieswiadomych-obywateli/

Ce n’est pas compréhensible à 100%, ne comprenant pas du tout cette langue, mais il  y a plein de choses intéressantes malgré tout.

Il y a beaucoup d’informations sur l’implantation humaine illégale, presque toutes concernent des pays occidentaux en pleine croissance. Mais ils reçoivent de nombreux signaux de personnes qui soupçonnent que des implants ont été injectés en Pologne.

IMPLANTS

Nous avons publié il y a quelque temps les photos que nous avons reçues de votre part du nord de la Pologne. Il était convaincu qu’il avait été implanté dans le microphone d’écoute EEG, et il a donné une fréquence spécifique qui appartient à l’un des principaux opérateurs de téléphonie mobile en Pologne. Selon lui, cela s’est produit il y a une dizaine d’années, il a vu un dentiste dans son appartement privé et il a ensuite perdu conscience. Plus tôt, le même jour, il traitait ses dents avec cette personne. Tout l’événement s’est accompagné d’un état d’hypnose, ou d’un état similaire, probablement causé par une sorte d’appareil portable émettant un rayonnement précis, destiné à un être humain, cause en lui une très forte fatigue, somnolence et même anesthésie. Après tout l’événement, on a dit que l’ORL était sans méfiance, finalement vous avez décidé d’acheter un appareil photo otoscopique et les photos qu’il a réussi à prendre montrent clairement…. Chers lecteurs, tirez vous-même des conclusions.

L’implant est collé sur la peau par le tympan, une photo prise par un individu avec un implant.

Je pense que l’implant a été mal placé parce que sa forme est une preuve de la méthode d’insertion sous la peau au moyen d’une aiguille. Si aucune erreur n’avait été commise et qu’on supposait qu’il était sous la peau, alors nous n’aurions pas eu l’occasion de regarder sa construction sur une photo couleur, donc nous apprécions beaucoup de telles découvertes et nous espérons que la plupart des lecteurs partagent cette opinion, car il pourrait bientôt s’avérer que des milliers d’autres personnes pourraient être secrètement implantées dans le but de désintégrer leur personnalité et causer divers symptômes de maladie mentale, et d’autres inhumains de la recherche scientifique, les opérations de services spéciaux Si nous n’avions pas été courageux et audacieux comme le réalisateur, nous n’aurions peut-être pas été convaincus de cela depuis longtemps. Cependant, à cause de l’erreur d’une personne qui a fait un implant illégal, l’implant était SUR JAMAIS, dans le conduit auditif, juste à côté du tympan.

Dr Jerzy Kulig, lors d’un discours à la télévision polonaise sur l’implantation de nouveau-nés. http://halopolonia.tvp.pl/25221243/05052016-chipowanie-noworodkow dit que les implants injectés sous la peau sont recouverts d’un adhésif en polypropylène, qui est censé les empêcher de se déplacer sous la peau. L’implant que nous voyons sur la photo ci-dessus a donc très probablement été collé sur la peau.

Récemment, nous avons récemment vu d’autres photos intéressantes, cette fois-ci la Résonance Magnétique (les deux premières photos ci-dessous contrastent avec le contraste). Les implants découverts sur eux sont également localisés dans les oreilles, devant le tympan. Veuillez tenir compte de l’angle de pose identique chez les deux personnes, ceci peut indiquer la procédure de pose de ces implants, la formation des personnes qui le font.

M. D. Oreille droite et gauche de l’IRM avec contraste, résultats avec description reçus seulement 15 minutes après l’examen.

Mr K. – oreille droite

Veuillez noter où sur la photo suivante il y a un marteau, une enclume, un cylindre et une vis.

Le film montre les endroits mentionnés ci-dessus dans l’ordre suivant à partir du côté de l’écouteur

Puce RFID -> tambour avec marteau et enclume -> vis

https://youtu.be/QcViv3MIRsU

Ce que l’on peut dire à propos de ces implants, en plus d’être utilisé pour la télémétrie à distance, la lecture de l’EEG (bral) et à l’aide d’un ordinateur qui cartographie notre EEG et non le nôtre, il est possible d’appliquer diverses ondes cérébrales sur le cortex cérébral, de visualiser et d’afficher des mémoires, des pensées intrusives, et il est également possible de placer des images à travers les soi-disant « ondes cérébrales ».

Des informations sur le projet de « modem » cortical sont apparues dans le magazine transhumanistic Humanity Plus, qui indique que l’agence gouvernementale travaille sur une puce de l’interface neuronale directe (DNI), qui peut être utilisée pour le développement de la fonction humaine et les réparations motrices et fonctionnelles.

Phillip Alvelda, directeur de la technologie de la biologie à la Biology Is Technology Conference de la semaine dernière dans la Silicon Valley, a déclaré que le projet avait pour objectif à court terme de construire un appareil d’une valeur de 10 $ avec une taille de deux pièces de cinq cents qui peut livrer des images sans avoir besoin de lunettes ou d’une technologie similaire.

Source: PrisonPlanet. pl

PETER ROTHMAN:

Premièrement, cette technologie pourrait redonner les sens à ceux qui ne peuvent pas être guéris pour le moment. Deuxièmement, ce matériel pourrait remplacer n’importe quel affichage de la réalité virtuelle ou élargie. En bloquant le système visuel, nous pouvons ainsi afficher des images à l’intérieur du cortex visuel, recouvrant le monde réel d’une image virtuelle. De plus, l’optogénétique permet à la fois la lecture et l’enregistrement des informations. On peut imaginer un appareil dans lequel les objets virtuels sont fortement intégrés au monde réel. Le modem cortical fonctionnel permettrait même la télépathie électronique et la télékinésie. Il s’agit d’une véritable version des interfaces connues des ouvrages de science-fiction d’auteurs tels que Willaim Gibson ou Ramez Naam.

Comme si cela ne suffisait pas, une telle puce peut être utilisée pour effacer électroniquement la mémoire et les voix internes envoyées par transmission radio (sous-seuil), donnant des ordres auxquels on ne peut résister.

Les chercheurs Walter Bowart, Martin Cannon et d’autres ont découvert une méthode psycho-électrique qui pourrait jouer un rôle très important dans les opérations secrètes. Il semble que les scientifiques de la CIA ont mis au point le contrôle intracérébral radio-hypnotique (RHIC-EDOM – Radio Hypnotic Intracerebral Control – Electronic Dissolution of Memory erase).

Ces techniques peuvent induire des états de transe hypnotique, suggérer des commandes ou effacer complètement la mémoire à distance. RHIC nécessite un implant musculaire interne qui est stimulé de telle sorte qu’il active les ordres post mortem

L’EDOM consiste en une perturbation de la transmission synaptique dans certaines régions du cerveau, telle que décrite au chapitre 1. Cette méthode peut être utilisée pour évoquer des trous de temps qui se produisent pendant les enlèvements d’OVNI ou pour effacer des souvenirs d’un événement spécifique.

Le RHIC de la personne testée est utilisé pour implanter un récepteur radio électronique miniaturisé, qui est une procédure qui peut être lue dans les documents COM-12: »L’implantation est réalisée par des forces spéciales spécialement formées et formées. Le traitement implique l’implantation d’un émetteur miniaturisé à l’endroit approprié, tel que des lattes frontales ou temporelles d’objets de test.

Si l’on considère que le Dr Jose Delgado a déjà expérimenté les implants à la fin des années 1950 et au début des années 1960 et qu’il est décrit au chapitre 2 du Stimoceiver, il est raisonnable de supposer que cette technologie a été améliorée et développée au cours des 37 dernières années. Plus loin dans les documents, on peut lire: »L’appareil agit comme un stimulateur pour stimuler les muscles, les nerfs ou les fréquences des ondes cérébrales. Lorsque le signal est reçu, il déclenche la réponse attendue. Le récepteur génère des impulsions sensorielles qui sont reçues par différents nerfs. Les récepteurs servent de base cognitive.

Dès que l’objet à tester est déplacé, l’implant peut être stimulé à distance. De cette façon, une personne peut développer des réflexes conditionnels semblables aux chiens de Paw? ów. Expériences menées par le Dr. Delgado et d’autres scientifiques prouvent que la stimulation électrique peut être utilisée pour évoquer la lévitation, des visions colorées et des émotions diverses.

Le Dr Robert Duncan a écrit le Dr Robert Duncan au sujet du CIRS et de l’EDOM et d’autres programmes, techniques et technologies dans l’un de ses livres, qui doivent être achetés sur amazon

En ce qui concerne les implants et plus encore, le Dr Barrie Trower, qui sert dans l’armée depuis les années 1960, où il se spécialise dans les micro-ondes depuis environ 40 ans, parle très précisément des implants et plus encore. Pendant 8 minutes et 26 secondes, il a parlé du début de l’implantation de microprocesseurs au Royaume-Uni, des raisons pour lesquelles ils ont soudainement cessé d’exister, des types d’implants qui ont été soudainement abandonnés, de ce qui aurait déjà pu être manipulé dans des organismes humains avec leur aide. Quelle est la question des voix envoyées à la tête, quelle est elle (une des techniques utilisées pour stimuler la cochlée dans l’oreille interne), quels types de voix peuvent être envoyées sans fil vers la tête . https://youtu.be/xjyxmrXQ10o?t=8m25s

L’introduction de boyaux biotechnologiques à l’intérieur du corps peut être considérée comme une curiosité et une introduction effrayante et audacieuse de changements dans nos organismes à notre insu et sans notre consentement. Nous avons pu voir cette technologie lors du discours de Kieron Lee Perrin. La présentation a été enregistrée lors de la deuxième Conférence du Projet Terre, qui a eu lieu le 23 avril 2016 au Club littéraire de Varsovie.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg

De 8 minutes à 53 secondes d’une minute, Kieron discute de ces câbles dans la région de la hanche. Il se trouve que par hasard, j’ai trouvé une photo d’un jeune Polonais, où j’ai probablement remarqué ces fils, mais j’ai dû retirer la photo à la demande de cette personne. Je dois avouer que j’ai été choqué par cette découverte, je ne m’attendrais jamais à ce que de telles choses soient également faites en Pologne.

https://youtu.be/DvCmVxtUsZg?t=8m58s

En résumé, l’IRM, sans contraste, est capable de démontrer que des implants sont placés dans les canaux auditifs. Je vous recommande de faire un test BEZ de contraste.

Les implants ont des composants en cuivre, ce qui signifie qu’ils ne doivent pas réagir avec un champ magnétique fort pendant l’IRM, et les personnes qui ont pris les photos ci-dessus ne sont pas capables de bien faire malgré les implants sur le test. Cependant, tous les autres objets métalliques, surtout s’il s’agit d’acier, doivent être déclarés avant l’examen.

Il est très important que vous ne suggériez pas un médecin, un radiologue qui « n’ a rien détecté » parce que toutes les personnes mentionnées dans les photos avaient aussi une telle opinion. Nous vous recommandons de chercher des photos vous-même, maintenant vous savez ce qu’il faut chercher.

Si quelqu’un avait des photos similaires, nous serions très intéressés à envoyer des captures d’écran anonymes à kontakt@stopzet.org

Si vous avez un sondage mais que vous ne pouvez pas le voir sur votre ordinateur, veuillez communiquer avec nous au 789_38_26_28 ou appelez-nous au 789_38_26_28.

pisał Krzysztof Damian

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Articles de presse

Pont-Saint-Esprit (1951) : un village empoisonné par la CIA

Pas facile d’être crédible avec les symptômes d’une pathologie psychologique induite.( principe de déniabilité- facile de nier)

Mais ceci est un début pour attirer l’attention sur le fait que les pires atrocités sont commises sur les populations. Pas qu’ aux USA, le phénomène TI est mondial.

Cette vidéo ahurissante prouve encore une fois le complot de manière aveuglante. Après avoir vu ce documentaire tout ce qu’il y a de plus officiel, diffusé sur France 3 cette semaine, produit en 2015, vous apprendrez que : les USA (CIA et armée) ont tué leurs concitoyens en les utilisant comme cobayes. Ils les ont irradiés, hypnotisés et drogués pour les transformer en tueurs professionnels, ils parlent du projet MK-Ultra, de l’épandage de LSD et autres drogues dans le ciel, de la libération de virus dans le métro… et bien d’autres horreurs inavouables qui sont pourtant déclassifiées et que l’on trouve dans les archives officielles US (trépanations, électrochocs monstrueux qui ont rendu folles les victimes,…) !!! L’histoire de Pont-Saint-Esprit n’est rien à côté de ce qu’ils ont fait à leur propre peuple. On imagine qu’ils ont testé des milliers de choses du même acabit sur les peuples des pays qu’ils ont bombardés et colonisés depuis un siècle.