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Tobias Rathjen, le tireur des fusillades racistes de Hanau, était un Targeted Individual (TI)

Tobias Rathjen

 

Je passe un copié collé d’un site racialiste/suprématiste au nom évocateur, blancheurope.com, qui a commenté et traduit le manifeste du tireur. Il ne fait pas de doute que Tobias Rathjen, était un TI.

Des gens que l’on rend affectivement insensible à leur propre mort (et celle des autres du coup)  grâce au fractionnement du moi par l’utilisation pendant de nombreuses années de la torture blanche (psychologique) . De parfaits exécutants pour qui veut semer le chaos afin de dresser les gens les uns contre les autres, maintenir le peuple occupé avec des guerres horizontales.

 


SOURCE : https://www.blancheurope.com/2020/02/20/manifeste-de-tobias-rathjen-et-analyse/

 

Neufs bougnoules au tapis, la mère et l’auteur de la fusillade morts. Les médias s’en donnent à cœur joie : l’auteur de l’attaque était raciste, voulait exterminer toutes les sous races et faisait même partie du mouvement National-Socialiste.

Depuis quand les journalistes sont des sources fiables ?

Dès que j’ai eu connaissance du manifeste de Tobias Rathjen, je me suis lancé dans une traduction. Qui peut comporter quelques maladresses, mon Allemand étant légèrement rouillé je me suis fait aider à plusieurs reprises.

Autant vous prévenir : ce n’est pas un texte à la cheville de Brenton Tarrant.

Nullement.

Ce n’est même pas un texte idéologique, simplement une vision de sa vie et de la paranoïa qui l’a guidée à penser que tout tournait autour de lui et qu’il avait été placé sous une surveillance par la pensée !

La folie n’explique pas totalement l’entièreté de sa pensée. Il a de nombreuses réflexions qui font état d’une intelligence développée et qu’il avait saisi une certaine vision raciale des choses, d’autant que son texte est d’un Allemand parfait. Simplement, il a pris de nombreuses coïncidences et sa capacité d’anticipation à grande échelle – sur des points politiques et économiques – comme étant la résultante d’une entité secrète qui surveillait ses pensées et s’en servait pour diriger le monde.

Une surveillance globalisée, qui ne se ferait plus par les smartphones ou les caméras, mais directement par les cerveaux.

Rien qu’évoquer cette possibilité nous fera tous sourire.

Pourtant, ce qui reste le plus drôle est la réaction des médias juifs qui se vautrent dans la désinformation la plus TOTALE.

Non, Tobias n’était pas antisémite, il ne se revendiquait pas non plus d’un quelconque mouvement politique et ne glorifiait pas le Troisième Reich.

Il n’est même pas fait mention une seule fois d’Adolf Hitler ou des juifs.

Mais nos chers (((journalistes))) ont-ils au moins pris la peine de lire les 24 pages qui constituent le manifeste ?

Je ne le pense pas. Voilà donc, à titre d’information – ne tombez pas dans le piège de la paranoïa qui touchait ce pauvre homme – la traduction de ce qu’il a vraiment écrit et pensé. Pas ce que racontent les médias pour tirer sans sommation sur l’extrême-droite et la “xénophobie” présente en Allemagne.

En lisant le manifeste, vous serez pris d’un léger mal de crâne et d’un sentiment de malaise. Autant vous rassurer, vous n’êtes pas sur écoute, je vous prendrais pour des imbéciles si je vous imaginais capable de le penser, mais sait-on jamais qui accedera à ce texte.

La situation de nos pays, submergés par les non-Blancs et gouvernés par des élites malades et (((corrompues))) créeront de nombreux Tobias. Des gens qui sont assez intelligents pour comprendre de nombreux sujets importants, tels que la question raciale ou la domination d’une élite, mais qui à force de se trouver seuls ou qui passeront leur temps libre devant des séries ou des films, tomberont dans une paranoïa et basculeront dans la folie.

La seule chose positive dans cette histoire, c’est que 9 envahisseurs soient hors d’état de nuire.

Comme il le dit si bien, il faut d’abord s’occuper de son ennemi intérieur avant de l’ennemi extérieur : soyez sains d’esprits et agissez avec sagesse.

De petits hommes verts ne viennent pas enlever des gens la nuit, et personne ne peut guider vos pensées ou vous contrôler à distance. Nous ne sommes pas dans un scénario de science-fiction.


Ici commence le « nanifeste » traduit

Introduction

Ceci est un message adressé à l’ensemble du peuple Allemand !

Dans ce document, je vais décrire ce qui m’est arrivé dans ma vie et pourquoi chaque Allemand doit le savoir, quel que soit le temps qu’il faudra pour que mon message soit considéré comme étant vrai et correct.

Avant de commencer, je voudrais faire cette déclaration essentielle :

Au cœur de mon message se trouve l’activité d’un soi-disant “service secret”. Je voudrais donc décrire plus précisément ce que j’entends par là à l’avance.

Je suis un citoyen ordinaire, ce qui signifie que je ne suis pas un agent de renseignement, et que je n’ai jamais travaillé pour une organisation de renseignement. Avant qu’un événement décisif de ma vie ne se produise, ma connaissance de ce qu’est un service secret, de ce qu’il fait, ou des moyens et des méthodes utilisées, provenait de sources librement accessibles, même si j’avais d’autres hypothèses très tôt dans ma vie.

Bien entendu, chaque personne qui les lira apportera ses propres idées sur ce qu’est un service secret ou en quoi consistent ses activités.

Mon souci est d’informer tout le monde sur ce qui est possible au-delà, et aussi sur ce que l’on croit être dans le cadre.

1) Au moment de cet enregistrement vidéo, des milliers de citoyens allemands sont sous la surveillance d’un service secret.

2) Cela se produit sans aucune raison concrète.

3) Lorsque je parle de “surveillance”, je veux dire principalement la surveillance acoustique et visuelle dans les maisons privées, dans les pièces du travail et dans d’autres lieux où des personnes sont présentes. Je ne parle pas des caméras qui sont placées de manière visible dans les lieux publics ou dans les magasins d’affaires de toute sorte.

4) Il y a des personnes qui travaillent pour ces “services secrets” qui sont capables de lire les pensées d’une autre personne et qui sont également capables de “s’y raccrocher” et, dans une certaine mesure, de réaliser une sorte de “contrôle à distance”.

5) Ce qu’Edward Snowden a révélé il y a quelques années, cependant, n’est que la partie émergé de l’iceberg”.

Lorsque je parle de “service secret” dans le cadre de ce message, je n’entends pas explicitement un service secret connu par son nom, tel que le Service fédéral de renseignement, la CIA ou la NSA, mais plutôt une organisation qui fonctionne sur la base d’un service secret, mais qui n’apparaît pas officiellement par son nom.

Je vais maintenant décrire pourquoi je sais que je suis sous la surveillance d’un service secret et pourquoi la confirmation de ce que je dis est extrêmement importante, même si je ne peux pas en être témoin maintenant.

Première hypothèse

Ma vie peut être divisée en deux parties. L’une est le moment où je me suis demandé de temps en temps s’il était possible que je sois surveillé, et l’autre est le moment où j’ai acquis la certitude absolue que c’était le cas.

La période pendant laquelle j’ai eu le soupçon qu’un “service secret” me “surveillait” peut être datée rétrospectivement du jour de ma naissance jusqu’au 11 septembre 2001.

Chronologiquement, je voudrais commencer par une impression qui a eu lieu peu après ma naissance.

Aujourd’hui, je ne peux plus dire exactement ce qui n’est finalement pas si important, si 5 jours, 8 jours ou 12 jours se sont écoulés depuis la naissance effective à l’hôpital, mais approximativement dans cette période de temps, j’ai pris conscience pour la première fois, ou en d’autres termes, j’ai perçu mon environnement pour la première fois et je peux donc dire que mon humanité avait réellement commencé à ce moment-là.

J’étais dans l’appartement de mes parents et j’ai été retenu dans la baignoire par ma mère, qui m’a remise peu après à mon père, car elle avait évidemment des difficultés à me tenir et à me laver, ou puis-je encore me rappeler une phrase de ma mère : “Il est si petit …”.

Parallèlement à ces premières impressions, j’ai entendu une voix dans mon esprit, que j’entendais maintenant pour la première fois, mais qui n’était pas amicale et disait : “Oh, c’est idiot, je suis tombé dans le piège”. J’ai immédiatement répondu à cette voix féminine par un “Non” et je me suis rendormi peu de temps après.

Avec le recul, je me souviens encore de plusieurs séquences de mes premières années de vie et surtout du fait que, dès ces premières années, la pensée m’est venue de savoir s’il était possible que je sois supervisé par d’autres personnes, cette pensée étant principalement basée sur la première impression de mon réveil, c’est-à-dire sur la voix que j’ai entendu dans la salle de bains et qui m’a marqué durablement. En outre, j’ai saisi l’humanité elle-même, le monde qui m’entoure et j’ai rapidement réalisé que les gens, pour dire les choses simplement, ne sont pas toujours gentils les uns avec les autres ou qu’une personne est l’ennemi d’elle-même.

Ma question est restée sans réponse, bien sûr, mais j’en suis personnellement arrivé à la conclusion, même petit garçon, que c’était possible, ce qui, bien sûr, était tout sauf une conclusion agréable.

Je n’ai jamais parlé à personne de cette hypothèse à l’âge de 2 ans ou plus tard à l’âge de 6 ou 11 ans et j’ai reporté la réponse à cette question à plus tard, lorsque j’étais adulte.

Je ne veux pas dire que j’y ai pensé tout le temps, mais de temps en temps, quand j’étais jeune, je me demandais s’il y avait des gens qui n’avaient aucune inhibition à envahir ma vie privée ou celle d’autres personnes. La question que je me suis posée était donc la suivante : est-ce concevable ou possible ?

Malheureusement, j’ai dû répondre à cette question par l’affirmative. Cependant, à l’époque, je ne pouvais pas me défendre contre cela et j’ai dû vivre avec ce soupçon.

Conversation décisive avec un collègue de classe – apprentissage bancaire

Je voudrais maintenant remonter dans le temps jusqu’en 1999, car à bien des égards, j’ai eu une conversation importante avec un ancien collègue de l’apprentissage bancaire.

À l’époque, j’avais 22 ans et je l’avais rencontré dans son nouvel appartement à Francfort et nous avions discuté de diverses choses.

Cette conversation, que je reproduis ici, n’est bien sûr pas une conversation selon la formulation exacte, mais un résumé des contenus essentiels.

Je voudrais commencer par dire que j’ai remarqué que les “services secrets” étaient présents lors de la conversation ce jour-là, car je pouvais sentir un “verrouillage”.

Un des sujets de notre conversation était la criminalité, ou plus généralement le mauvais comportement de certains groupes ethniques, à savoir les Turcs, les Marocains, les Libanais, les Kurdes, etc.

Il y avait déjà eu auparavant une sorte de consensus entre nous deux sur cette question.

Nous avions tous deux des expériences personnelles similaires à cette époque, ce qui a entraîné une aversion pour ces groupes ethniques et nous étions donc sur la même longueur d’onde à cet égard.

Du point de vue actuel, je peux certainement décrire ces expériences personnelles comme “inoffensives” entre guillemets, comme les disputes délibérément provoquées sur le chemin du retour de l’école ou les coups stupides portés à quelqu’un dans une discothèque. Inoffensif car il n’a entraîné aucun dommage personnel sous forme de blessures ou de perte d’objets de valeur. Cependant, des amis de l’école ou d’autres connaissances ont également signalé d’autres résultats ou variantes, comme des attaques physiques réelles ou même des attaques au couteau et les blessures correspondantes. Dans les journaux, par exemple, on pouvait lire des bagarres de 5 étrangers contre un Allemand et les blessures graves ou même les décès qui en résultent.

Au cours de ma formation d’employé de banque, j’ai également assisté directement à un braquage de banque et j’ai du consulter les fiches de plusieurs centaines de suspects potentiels au poste de police en tant que témoin, ces personnes étant composées à environ 90% de non-Allemands. Ces non-Allemands étaient à leur tour principalement des méridionaux, c’est-à-dire des Turcs et des Nord-Africains.

Comme aucune expérience comparable n’avait été faite avec les “Allemands”, j’avais déjà à ce stade tiré une conclusion personnelle de toutes ces expériences et impressions.

Ce gain de connaissances s’est fait en plusieurs étapes :

Tout d’abord, je me suis posé la question fondamentale suivante : comment est-il possible que de tels groupes ethniques se trouvent dans mon pays ?

Ces personnes ont un refus instinctif extérieur et, de plus, n’ont pas fait preuve d’efficacité dans leur histoire.

D’autre part, j’ai appris à connaître mon propre peuple comme un pays d’où les meilleures et les plus belles choses que ce monde a à offrir grandissent et se développent. Il ne m’est pas possible d’énumérer ici toutes les réalisations dans tous les domaines de la science, mais les faits parlent d’eux-mêmes.

À mes yeux, quelque chose ne collait pas ici.

D’une part, mon peuple est en partie responsable de l’élévation de l’humanité dans son ensemble, mais d’autre part, il semble que certaines personnes de mon propre pays aient contribué au fait que nous avons maintenant des groupes ethniques, des races ou des cultures parmi nous qui sont destructeurs à tous égards.

J’en suis venu à la première conclusion que lorsque je viens au monde, ces personnes ne devraient pas être là du tout. C’est absurde.

Mais comme ces peuples sont particulièrement nombreux sur cette planète et ne sont évidemment pas disposés à renoncer volontairement à se reproduire ou, au contraire, se trouvent même étonnamment particulièrement grands, alors qu’ils ne le sont pas, un problème doit donc être résolu.

Mon autre conclusion était la suivante :

Par conséquent, un effort pour parvenir à une expulsion complète de ces personnes de notre pays ne peut plus être une solution, car l’existence de certains groupes ethniques est en soi une erreur fondamentale et le problème n’est que reporté sur les générations futures. Il n’est pas possible que je doive faire face à un tel problème, et toutes les générations futures ne devraient pas avoir à faire face à un tel problème en premier lieu.

C’est pourquoi j’ai dit que les peuples suivants doivent être complètement détruits : Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Israël, Syrie, Jordanie, Liban, toute la péninsule saoudienne, Turquie, Irak, Iran, Kazakhstan, Turkmekistan, Ouzbékistan, Inde, Pakistan, Afghanistan, Bangladesh, Vietnam, Laos, Cambodge et Philippines.

Et ce serait d’abord le nettoyage grossier. Ensuite viendrait la purification fine, qui touche les autres États africains, l’Amérique du Sud et centrale, les Caraïbes et bien sûr notre propre population.

C’est ainsi que j’ai remarqué que tous ceux qui possèdent aujourd’hui un passeport allemand ne sont pas de race pure et de valeur ; une réduction de moitié de la population, je peux l’imaginer.

S’il y avait un bouton disponible pour faire cela, j’appuierais immédiatement dessus, si vite que vous ne pourriez même pas regarder. La seule condition pour moi serait que cela se produise d’une seconde à l’autre, parce que je ne suis pas coupable de la souffrance de ces personnes ni intéressé par elle, parce qu’il est concevable qu’il y ait un cycle infini de vie dans cet univers, de sorte que dans toute autre vie, je suis exactement la personne que je veux détruire aujourd’hui. Mais j’éliminerais tous ces gens, même si nous parlons de plusieurs milliards, il faut le faire, surtout compte tenu du fait que nous devons atteindre un objectif ultime, à savoir la “solution de l’énigme”.

Car, je tiens à souligner que nous n’avons pas créé le paradis sur terre avec cela et que quelqu’un doit croire qu’un état satisfaisant serait maintenant atteint sur cette planète lorsque 500 millions de personnes d’origine germanique se promèneront sur terre.

Par “résoudre l’énigme”, je veux dire que la seule chose qui compte est que nous, les humains, nous sachions ce qui se passe réellement. Comment un univers peut-il naître, de quoi s’agit-il, comment la vie en général peut-elle naître, comment l’humanité peut-elle naître, où tout cela mène-t-il, c’est-à-dire forcer systématiquement l’illumination complète, qu’elle soit scientifique et/ou spirituelle.

Il s’agit bien sûr d’une tâche énorme qui nécessitera des milliers de générations supplémentaires, bien qu’il ne soit évidemment pas possible de donner ici un temps exact, si cela prendra 2 000, 5 000 ou 300 000 ans – si tant est qu’il en faille.

Car la question de savoir si l’humanité y parviendra un jour est aussi une question à laquelle on peut certainement répondre par la négative, car il est également concevable que nous ne soyons pas une “espèce victorieuse”.

L’”espèce victorieuse” est définie uniquement par le fait que nous avons résolu le mystère et non par le fait que nous avons en moyenne 120 ans, que nous avons vaincu le cancer, que nous pouvons construire des maisons de 2 kilomètres de haut ou que nous pouvons atteindre les planètes les plus éloignées.

En outre, nous devons faire une “boucle temporelle” et détruire la planète où nous vivons, avant que la première vie ne naisse il y a plusieurs milliards d’années. Parce que nous ne pouvons pas laisser subsister ce qui s’est passé sur cette terre, les millions de fois la souffrance que les humains ont endurée.

En outre, dans cette seule mission pertinente, nous ne disposons pas d’un temps illimité, car il faut tenir compte des catastrophes naturelles de toute sorte, qui peuvent ne pas nous éliminer complètement avant d’atteindre l’objectif, mais qui peuvent toujours nous faire reculer de manière décisive.

Toutefois, à ce jour, seuls quelques peuples ou races y ont apporté une contribution positive, tandis que d’autres races et cultures non seulement n’y ont pas contribué, mais sont destructrices – en particulier l’Islam.

D’où ma conclusion d’éliminer lesdits “pays avec leur population” afin que l’humanité ait une chance de “résoudre le puzzle”, car cela ne réussira certainement pas en présence d’une majorité de crétins numériquement nettement supérieure.

Bien sûr, j’étais alors et je suis maintenant pleinement conscient du sens de ce que je disais, j’ai donc ajouté la question suivante : si mon point de vue est rejeté, à quoi devrait ressembler le développement de l’humanité ?

Ainsi, si l’on nie les différences raciales et donc les différences de performances entre les races, on est probablement convaincu que ces différences ont d’autres causes et ne sont donc que temporaires et qu’un développement positif est possible.

Mais la question se pose alors de savoir comment cette évolution doit se présenter et être réalisée concrètement.
Comme il est impossible d’accueillir des milliards de personnes sur notre territoire pour leur donner de meilleures conditions de vie, nous devons probablement aller vers ces personnes.

Donc pas d’immigration pour nous, mais de l’aide sur place.

Cette aide sur le terrain peut maintenant prendre diverses formes humanitaires et est pratiquée depuis des décennies.

Cependant, outre les préoccupations superficielles telles que le manque de soins médicaux, la faim et l’absence d’un système éducatif, il y a souvent le problème beaucoup plus crucial des régimes criminels corrompus qui prennent le contrôle de leur propre peuple et le font vivre dans un enfer, que ce soit par soif de pouvoir ou par illusion religieuse.

La torture et le meurtre s’y produisent de mille façons différentes, et cela n’est pas empêché par ce qu’on appelle l’Occident, et cela ne peut pas être la solution.

À l’époque, j’ai nommé spécifiquement deux pays, l’Afghanistan et l’Irak, qui peuvent être considérés à la fois géographiquement et politiquement comme le centre du mal ou du retard et qui doivent être développés par l’Occident.

À cette fin, j’ai maintenant exposé des tactiques concrètes et une stratégie de base pour une élimination militaire réussie de ces régimes.

Je ne donnerai pas de détails ici et je me référerai à mon site web www.tobias-rathjen.de.

Si ces guerres sont menées, deux thèses essentielles pour l’avenir de l’humanité peuvent être mises à l’épreuve :

1.) Ces groupes ethniques peuvent se développer pour le mieux ou
2.) Tout espoir est perdu et donc l’anéantissement total est légitime

Mon opinion, à l’époque comme aujourd’hui, était que la thèse 2 est correcte. Les générations suivantes peuvent maintenant vérifier si j’avais raison ou non.

Stratégie pour les États-Unis

Comme les États-Unis étaient à l’époque la seule puissance capable de mener ces guerres, j’ai commencé à traiter fondamentalement de la situation des États-Unis dans la conversation.

En 1999, les États-Unis étaient la première puissance mondiale.

Ma question était, mais le seront-ils encore dans le futur ?

Un regard sur le passé montre que toutes les puissances mondiales, on peut aussi parler ici de civilisations avancées ou de grands empires, que les humains ont jamais créés, sont tombés après un certain temps. Ainsi, s’il existe une sorte de principe naturel d’émergence, d’épanouissement et de déclin, alors les États-Unis ne pourront pas non plus échapper à cette logique d’ascension et de chute.

Prévoir le déclin des États-Unis n’est donc pas un coup de maître intellectuel.
J’étais sûr que dans 5 ou 10 ans, les États-Unis seront toujours une puissance mondiale ou la seule puissance mondiale. Mais qu’en sera-t-il dans 20, 30 ou 40 ans ? Qu’en est-il de la Chine ? En raison de l’importance de sa population, il est possible qu’à un moment donné, il n’est possible que de l’estimer, mais peut-être que vers 2040, elle sera devenue si forte qu’elle sera en concurrence avec les États-Unis pour le titre de superpuissance.

C’est à ce moment que j’ai commencé à formuler une stratégie visant à faire des États-Unis la première puissance mondiale au-delà de 2040.

L’objectif doit être de rester au plus haut niveau, tant sur le plan économique que militaire.

D’abord, l’économie.

Comment identifier une superpuissance économique ?

Bien sûr en comparant le produit national brut, c’est-à-dire que les États-Unis et la Chine ont atteint le même niveau à un moment donné.

Cependant, il faut souligner que la force économique ne dépend pas seulement de la taille du produit national brut ou de l’existence de parts de marché élevées dans le plus grand nombre de secteurs possible, comme 75% pour les machines à laver ou 80% pour les rasoirs, mais aussi de la capacité d’une nation à déclencher des innovations progressives, comme l’invention du téléphone, de la voiture, de l’avion, de la fusée, de l’ordinateur, des remèdes médicaux, etc.

Sur la base de cette performance, il sera décidé si la Chine parviendra à assumer un rôle de premier plan et à devenir ainsi une superpuissance.

À l’époque, en 1999, la situation était la suivante :

La Chine n’est pas encore un pays qui excelle dans le domaine de la haute technologie, c’est-à-dire que même ici, elle fournit des inventions à une échelle significative.

De nombreuses entreprises occidentales ont contribué à la construction de la Chine, soit du point de vue des coûts, afin de servir leurs propres marchés de manière plus compétitive, soit pour être les premières à participer à un futur grand marché très lucratif.

La situation actuelle à l’époque était que les succursales ou les installations de production ouvertes par les entreprises occidentales n’étaient souvent pas des produits de haute qualité ou complexes, mais on peut supposer que cela ne sera qu’une première étape dans une série d’autres étapes de développement.

En outre, il faut s’attendre à ce que les dirigeants chinois s’efforcent de devenir de plus en plus indépendants des connaissances occidentales afin de pouvoir, à terme, fabriquer eux-mêmes les produits et services les plus modernes. Ce ne sera qu’une question de temps.

L’image suivante s’est donc dégagée pour moi :

Cette montée imaginable de la Chine ne sera pas seulement un processus naturel qui ne pourra être arrêté et qui sera fondé sur la diligence du peuple chinois et l’intelligence des dirigeants chinois, mais nous, c’est-à-dire l’”Occident”, porterons nous-mêmes une part substantielle de la responsabilité d’une telle évolution.

Le problème de base peut être décrit comme suit :

Nous ne parlons pas d’un corps homogène lorsque nous parlons des “États occidentaux”. Nous sommes nous-mêmes en concurrence les uns avec les autres, donc ce sera toujours pour les États individuels
ou les entreprises des États-Unis ou d’Europe d’être attractives d’un point de vue microéconomique ou pour un profit à court terme afin de mener à bien des affaires avec la Chine.

Par conséquent, nous devons créer une nouvelle organisation qui fonctionne de manière similaire à l’OTAN et qui est, d’un point de vue économique, une alliance de défense contre la Chine. L’objectif premier de cette organisation doit être de veiller à ce que notre haute technologie n’entre pas en Chine, en d’autres termes, à ce qu’une certaine forme de verrouillage technologique soit imposée et surveillée.

Pour illustrer cette nécessité, j’ai essayé l’exemple suivant :

Supposons qu’au cours des prochaines décennies, 18 technologies clés émergeront dans le monde, que j’ai définies comme des technologies qui ont non seulement le potentiel de créer des industries entièrement nouvelles, mais aussi d’éliminer complètement plusieurs industries.

Sans une telle organisation, la Chine pourrait réussir à posséder 8 de ces technologies par transfert volontaire de technologie ou par copie/espionnage.

Avec une telle organisation ou en raison de ses propres performances, par exemple seulement une ou deux.

Pour résumer : Si la Chine parvient à rattraper la superpuissance américaine en 2040, c’est avant tout un échec de notre part, car l’Occident ne s’est pas uni contre son adversaire et a fait passer les intérêts de profit à court terme avant le succès à long terme.

Outre la Chine, j’ai identifié une autre nation qui doit être mise en avant : Le Mexique.

Dès 1999, je soupçonnais que l’accord de l’ALENA ne serait pas bénéfique pour les États-Unis. Ici, j’ai fait la différence entre deux perspectives. Pour les entreprises américaines, c’est-à-dire du point de vue de la gestion, il peut être intéressant de délocaliser la production au Mexique, c’est-à-dire que cela peut être logique ou judicieux du point de vue de la gestion de l’entreprise. Toutefois, du point de vue de ce qui est bon pour l’ensemble du pays, cet accord de libre-échange s’avérera négatif, car des emplois et des branches entières de l’industrie seront perdus, ce qui ne peut être dans l’intérêt de l’État ou de la population dans son ensemble, surtout s’ils ne peuvent être remplacés par des emplois équivalents ou de nouvelles industries.

Je ne pouvais que deviner les déficits commerciaux avec la Chine et le Mexique que nous connaissons aujourd’hui.

D’autre part, le Mexique est le point de départ de deux autres problèmes auxquels il faut s’attaquer, à savoir le trafic de drogue et l’immigration clandestine.

Ce problème peut être résolu assez facilement en construisant un “mur” continu vers le Mexique.
Retour en Chine. Indépendamment de la question de savoir si la Chine sera en mesure de rattraper économiquement les États-Unis d’ici 2040, il y a un deuxième côté de la médaille, à savoir celui de la force militaire.

Dans cette optique, la divergence entre les deux nations était et est encore plus évidente.

Mais nous parlons de scénarios possibles 40 ans plus tard dans le futur.

Si la Chine doit rattraper économiquement les États-Unis à l’avenir, les ressources sont également là pour construire une superpuissance militaire correspondante.

Bien entendu, il n’est pas conseillé de supposer que l’avance actuelle se poursuivra automatiquement pendant des décennies.

Autrement dit, la première conclusion est qu’il faut faire quelque chose qui va au-delà du maintien du budget de la défense au même niveau et du recours abstrait à une sorte de système de combat que l’on reconstruit petit à petit, comme un nouvel avion de chasse, un hélicoptère d’attaque, un porte-avions, un système de défense anti-missiles, etc.

D’après moi, le pouvoir militaire s’exprime principalement par des troupes ayant une expérience pratique.

De plus, la question de savoir si je dois ou non être une superpuissance est en fin de compte de nature purement fictive, si je n’exerce pas réellement le pouvoir réel que je pourrais exercer.

Par conséquent, la question posée au début, à savoir ce que je peux faire dans la perspective actuelle pour maintenir le statu quo, est la mauvaise question – si le déclin est de toute façon inévitable, ou même si ce contournement réussi du défi chinois ne fait que reporter le véritable dilemme, mais ne le résout pas vraiment.

La question cruciale est de savoir ce que je fais quand j’ai le pouvoir et les moyens, comment j’utilise le statut de superpuissance.

Ma réponse a été la suivante : il y a actuellement suffisamment de despotes, de tyrans et de régimes criminels dans ce monde qui ne représentent pas une menace militaire immédiate, mais il est moralement et humainement plus que nécessaire de les éliminer.

Maintenant, vous pouvez combiner deux choses.

D’une part, utiliser la puissance au profit de l’humanité, d’autre part, soumettre sa propre armée à un entraînement, ce qu’aucune manœuvre de paix ne peut faire.

En plus de la formation de toute la structure de commandement, de la tactique, l’aspect de l’innovation est le point décisif. Puisque, en fin de compte, seule la pratique peut donner les indications décisives sur ce qui fonctionne (en matière d’équipement, de technologie, de tactique) et ce qui ne fonctionne pas, la guerre est en fin de compte le meilleur moyen de développer votre armée.

Mon conseil était donc le suivant : Faites la guerre avec votre machine militaire, car seule la guerre vous rend meilleur. Si vous libérez l’Irak et l’Afghanistan, vous faites aussi quelque chose de bien.
Afin de préserver les ressources, il faut ensuite prévoir une période de repos pour la consolidation d’environ 20 ans.

Recommencez à partir de 2030 avec la formation de vos militaires.

Cette formation devrait garantir que, dans la période 2040, la machine militaire soit à un niveau tel qu’on ait toujours le statut de “puissance mondiale n°1”, même si, économiquement, l’état de parité aurait dû se produire.

Soit dit en passant, la stratégie choisie est extrêmement résistante du point de vue de l’espionnage, car il n’est jamais exclu qu’un service secret étranger puisse apprendre, par exemple, les détails techniques d’une arme et être autorisé à la copier.

Lorsqu’une division ou une armée entière est en service de guerre, elle apprend à mieux faire les choses au quotidien, les procédures changent, s’adaptent, la qualité et la puissance d’une armée ne se mesurent plus seulement au nombre de chars, à la qualité des blindages, etc. mais surtout à l’expérience pratique des personnes qui l’utilisent dans des situations hostiles. Personne ne peut copier cela, s’il ne fait pas la guerre lui-même.

Par rapport aux guerres passées des États-Unis, comme le Vietnam, la Corée ou la Seconde Guerre mondiale, les pertes humaines dans ces deux missions seront nettement inférieures. Je considérais à l’époque que 2 000 à 3 000 morts étaient réalistes. Sans compter les pertes des nations alliées.

En résumé, ma recommandation stratégique pour les États-Unis était la suivante :

Phase 1, axée sur l’armée en renforçant l’armée par la guerre en Irak et en Afghanistan, puis phase 2 avec le renforcement de la propre économie en mettant l’accent sur l’élimination du déséquilibre dans les relations commerciales avec le Mexique et la Chine,

J’ai mentionné qu’un milliardaire (pour la phase 2) devrait prendre la barre, car c’est lui qui, en raison de sa personnalité, est le plus susceptible de fixer le cap économique des États-Unis.

A l’époque, je pensais encore à l’échec de Ross Perot.

Ma stratégie est actuellement mise en œuvre aux États-Unis !

C’est un grand honneur pour moi !

Mais l’histoire ne s’arrête pas là.

Haute trahison

Il y a 20 ans déjà, je suis arrivé à la conclusion, lors de l’analyse du problème, pourquoi l’Allemagne tolère-t-elle ce crime constant des étrangers, que les étrangers délinquants ne sont qu’un côté de la médaille, parce que de l’autre côté, il y a des Allemands, qui sont soit ignorants, soit trop faibles ou trop stupides pour résoudre le problème, c’est-à-dire pour renvoyer tout le monde hors du pays.

Ici, des raisons historiques peuvent jouer un rôle ou un manque d’information, d’empathie ou de “mauvaises expériences”.
Par conséquent, si vous voulez résoudre la question de la “criminalité des étrangers”, vous ne devez pas vous précipiter pour attaquer l’”ennemi extérieur”, mais d’abord vaincre l’”ennemi intérieur”.

Cet ennemi intérieur peut être vous-même ou votre propre peuple.

Puisque, comme je l’ai déjà mentionné, j’avais l’impression ou la présomption qu’un service secret écoutait cette conversation, j’ai fait la déclaration suivante par analogie :

Imaginez que nous soyons tous les deux assis ici et que nous soyons mis sur écoute pendant qu’un étranger commet un crime à quelques kilomètres de là, en ce moment même où nous parlons.

Ce serait une monstruosité et une insolence sans pareilles, car cela signifierait que les Allemands surveilleraient les Allemands sans raison, mais qu’en même temps des crimes seraient commis par des étrangers contre les Allemands, ce qui ne serait pas empêché alors qu’il serait facile de les empêcher, ce qui équivaudrait à une double trahison.

Je suis même allé jusqu’à dire que lorsque j’aurais hérité de la maison de mes parents, je la vendrais et utiliserais le produit de la vente pour faire mon enquête.

Cependant, nous n’avons pu en arriver là, car les prétendus “agents des services secrets” ont joué un jeu malveillant avec moi.

Cependant, le dernier point, qui est en fait une question secondaire, est apparu à peine deux ans plus tard, le 11 septembre 2001.

Au sujet des femmes

Je voudrais revenir sur la conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire, qui a bien sûr aussi abordé le sujet des “femmes”. Tout d’abord, je dois dire que jusqu’à présent, je n’avais pas de petite amie stable, parce que je n’aimais que très peu les “regards” ou que j’avais des attentes particulièrement élevées.

Puisque chaque personne a le désir de ne plus être seule ou le désir de trouver le bon partenaire, l’état de non-réalisation peut être un obstacle à la joie et à la performance.

J’ai ressenti cette chose de 15 à 22 ans. Cependant, un compromis que j’aurais certainement pu faire, à savoir prendre une femme moins belle avec laquelle je m’entendais d’une manière ou d’une autre, était hors de question – je voulais le meilleur ou rien du tout.

Les services secrets, qui m’ont surveillé toute ma vie, connaissaient ce “talon d’Achille”, et j’avais ouvertement déclaré la guerre à ces gens, qui étaient invisibles et inconnus pour moi.

En octobre 2000, j’ai commencé mes études de commerce à Bayreuth dans l’espoir d’y rencontrer enfin une femme attirante.

Au début, je ne devais pas être déçu, car une jeune élève de l’extérieur correspondait à mes attentes.

Cependant, cette rencontre, ainsi que la non-rencontre, était contrôlée par cette “organisation secrète”, dont je n’avais pas connaissance à l’époque.
Au début, je vivais donc dans l’espoir de trouver enfin mon bonheur amoureux, le premier semestre a passé et le semestre d’été 2001 a commencé.

L’évolution suivante n’est pas facile à communiquer, d’autant plus qu’en tant qu’être extérieur, on peut facilement avoir l’impression que ma vie tournait constamment autour du fait que j’étais espionné. Ce n’est pas le cas.

Je voudrais donc souligner que depuis ma conversation d’il y a deux ans, j’ai très rarement eu de telles pensées, voire pas du tout.

Il y a eu une occasion pour cela, mais je ne veux pas en discuter plus ici, car cela n’a finalement aucun rapport avec la question. Mais ce que je peux dire aujourd’hui, rétrospectivement, c’est qu’ils ont voulu tracer une fausse piste.

Par conséquent, je voudrais laisser de côté les détails superflus à ce stade, pour en venir directement au point pertinent, à savoir qu’à un moment donné, j’ai soupçonné que les parents de cette élève m’avaient mis sous surveillance.

J’ai commencé à faire face à cette situation et après quelques semaines, j’ai commencé à parler aux personnes invisibles directement dans mon appartement d’étudiant. Je ne voulais pas porter plainte directement auprès de la police, mais je voulais attendre de voir.

Dans ma naïveté, je croyais à l’époque que c’était le moyen d’amener les gens à s’arrêter et à cesser la surveillance.

Par exemple, j’ai dit : “Pouvez-vous s’il vous plaît arrêter de m’écouter et me regarder…”

Si j’avais su à l’époque que j’étais déjà surveillé à vie, je n’aurais certainement pas dit certaines choses, telles que les suivantes :

(Image qui représente la parole citée si-dessus).

La raison pour laquelle j’ai dit ces choses peut peut-être s’expliquer psychologiquement de telle manière que cette “attention” que vous ressentez, qui est bien sûr extrêmement désagréable d’une part, mais qui est d’autre part une sorte de projecteur dans lequel vous voulez faire bonne figure ou montrer ce que vous savez ou pouvez faire.

J’ai donc commencé à élaborer une stratégie pour la DFB, par exemple, afin de pouvoir à nouveau remporter des tournois. Pour ce qui est des détails, je voudrais revenir sur mon héritage écrit.

Autre exemple : la raison initiale de mon intérêt pour la gestion d’entreprise est due au fait que j’avais lu de nombreux rapports d’entreprise, par exemple du Handelsblatt, du Manager Magazin ou de livres, ce qui a suscité de plus en plus mon intérêt pour la question de savoir ce qui différencie les entreprises qui réussissent de celles qui échouent. Quelles en sont les raisons ? La réponse à cette question est également devenue de plus en plus évidente, car elle a quelque chose à voir avec le terme “stratégie”. Je voulais en savoir plus sur ce sujet.

La réalité de l’université en a été d’autant plus décevante que c’est précisément cette question passionnante et décisive qui n’a pratiquement jamais été abordée. On dansait autour du sujet, pour ainsi dire, et on traitait de questions moins importantes ou dérivées.

J’ai donc exprimé le souhait de créer une nouvelle commission. Ce programme devrait s’appeler “Gestion internationale” et être consacré à l’importante question de la mondialisation de l’économie.

Je ne m’attendais pas vraiment à ce que cela soit mis en œuvre, mais vous pouvez en parler …

Plus précisément, je voulais que le professeur ait un peu plus que l’expérience pratique habituelle et vienne de Siemens. J’ai également commandé l’assistante ou la doctorante en fonction de “certaines apparences” (cheveux blonds courts, avec une grosse poitrine)…et quelques années plus tard, j’ai effectivement obtenu ce que je désirais.

Ce détail mérite d’être mentionné car une si jeune femme devait répondre à plusieurs critères, un diplôme d’études commerciales, l’apparence décrite et bien sûr être capable intellectuellement de remplir un poste de doctorat. À ce moment-là, il n’y aura pas eu trop de femmes en Allemagne qui auraient pu prétendre à un tel poste. Mais ils y sont parvenus, ce qui m’amène à la conclusion que l’intensité de la surveillance en Allemagne est très élevée, et que nous devons supposer qu’il existe un véritable État de surveillance.

Retour au semestre d’été 2001, qui s’est terminé sans le bonheur de l’amour et avec la certitude toujours plus grande d’être suivi.

C’est aussi un fait que les services secrets devaient maintenant supposer que, très probablement pour la première fois de leur histoire, quelqu’un sous leur surveillance était au courant et leur en a même parlé.

Un ami d’école, dont le père avait un parent à la CIA, m’a donné l’idée de faire appel à son aide, ce que j’ai refusé à l’époque.

Dans la nuit du 10 septembre 2001 au 11 septembre 2001 – c’était encore la pause semestrielle, mais entre-temps j’étais de retour dans mon appartement à Bayreuth – j’ai fait un rêve, qui était si désagréable qu’on peut parler d’une visualisation de “surveillance”, et si fort que je me suis réveillé dans mon lit la nuit et me suis exclamé “tu vas récupérer ça”, par lequel je voulais dire les personnes qui me regardaient évidemment en ce moment.

Le lendemain, le célèbre attentat contre le World Trade Center a eu lieu.

Intuitivement, je savais qu’il y avait un lien avec moi ou que cette attaque avait été perpétrée par les États-Unis eux-mêmes.

Pendant plusieurs semaines, j’ai résisté à la pression, mais je voyais mes études en danger, et je ne comprenais pas encore tout le contexte des raisons pour lesquelles quelqu’un avait laissé le 11 septembre se produire.

En janvier 2002, je suis donc allé à la police pour la première fois pour signaler une surveillance illégale.

Malheureusement, je n’en suis pas arrivé à un résultat.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, le tableau s’est peu à peu ouvert à moi et si j’avais supposé auparavant que j’étais sous surveillance depuis mes études, j’ai malheureusement dû me rendre compte que j’avais déjà été aux prises avec une organisation secrète toute ma vie.

À l’automne 2004, j’ai de nouveau signalé l’affaire, cette fois à un autre poste de police, et elle a de nouveau été rejetée.

En 2019, j’ai fait la troisième et dernière tentative.

J’ai contacté plusieurs enquêteurs privés et j’ai déposé deux plaintes, l’une auprès du ministère public à Hanau et l’autre auprès du procureur général fédéral à Karlsruhe.

Le meilleur résultat possible a été qu’un enquêteur privé m’a recommandé un institut de “télédétection” en Autriche, que je devrais contacter. Mais aussi ce monsieur (Bernd Gloggnitzer) m’a écrit quelques semaines plus tard qu’il ne pouvait pas m’aider.

Hollywood

J’aimerais maintenant aborder un sujet qui, au départ, sort de l’ordinaire, mais qui a néanmoins une pertinence décisive.

L’organisation secrète qui me surveille influence le choix des films hollywoodiens ou du contenu qui est filmé.

Un autre sujet de conversation avec mon collègue de l’apprentissage bancaire a également porté sur les films et j’ai mentionné certaines choses que j’aimerais voir au cinéma ou comment ces films devraient êtres.

Voici quatre exemples :

Comme j’ai trouvé ou trouve encore Sharon Stone très séduisante, j’ai dit que j’aimerais revoir un deuxième volet de Basic Instinct ; ce film devait se dérouler en Angleterre.

Il serait intéressant que Tom Cruise joue un tueur, car cela sortirait complètement du cadre de son rôle précédent.

Au-dessus de cela, j’ai développé une idée plus détaillée sur deux contenus d’une série ou sur la façon dont cette série devrait être structurée.

Je lui ai dit qu’étant petit garçon, j’avais vu à la télévision le film “Escape from Alcatraz” avec Clint Eastwood, que je trouvais très excitant. Donc, comment l’histoire a été racontée sur la façon dont quelqu’un réussit à s’évader d’une prison, mais aussi qu’à la fin du film, il était dommage que le film soit terminé maintenant :j’aimerais en avoir plus, donc d’une façon ou d’une autre, ça devrait continuer. Je me suis dit que beaucoup de spectateurs ressentiront la même chose, qu’ils sont captivés par un film et qu’ils aimeraient en avoir plus. L’idée m’est donc venue qu’un tel film devrait être tourné à nouveau, mais pas comme un long métrage (donc de plus de 90 ou 120 minutes), mais comme une série et l’histoire devrait être étendue à 10 heures. Cela créerait une toute nouvelle dimension de suspense. En outre, la période suivant l’épidémie pourrait également être filmée dans une nouvelle saison.

Avec la série télévisée “Prison Break”, cela a été mis en œuvre en conséquence – très bien, à mon avis.

Donc, en y repensant, j’ai inconsciemment fourni l’idée de base à l’époque, mais bien sûr je n’ai ni écrit le scénario, ni choisi les acteurs, ni contribué à la réalisation réelle de cette saison.

Je peux dire la même chose de la série “Vikings”.

Ici aussi, j’ai eu l’idée qu’il serait intéressant et passionnant de raconter l’histoire des Vikings dans la perspective d’aujourd’hui avec la puissance d’Hollywood. A commencer par les premiers voyages en Angleterre, les raids, le mode de vie, le premier contact avec une nouvelle religion – le christianisme, la conquête de Paris. Je me souviens que j’ai mentionné que dans une telle épopée, il est important de tourner autant que possible dans la vraie nature, ou en d’autres termes, d’éviter autant que possible les scènes de studio.

Je pourrais donner d’autres exemples, mais je suis sûr qu’il est devenu évident que cela ne peut plus être une coïncidence.

Pendant le semestre d’été, lorsque j’ai parlé aux auditeurs présumés dans l’appartement, j’ai dit, entre autres, que ce fait que j’étais surveillé – j’ai déjà indiqué que j’avais l’intention de me défendre en conséquence – si nécessaire, je me rendrais dans un immeuble en avion pour attirer l’attention appropriée – entrerait dans l’histoire du monde, et que des films hollywoodiens seraient un jour tournés après moi.

Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé à quel point j’avais raison de prononcer ces mots.

Parce que non seulement après le 11 septembre 2001, des films ont été réalisés grâce à mon inspiration, mais le lien avec Hollywood existait avant cela.

De manière cachée, c’est-à-dire dans un format de long métrage, ces personnes ont développé leurs propres capacités ou les capacités extraordinaires qui leur sont accessibles et inconnues du public, parfois de manière plus ou moins concrète.

Voici quelques exemples :

“Regardez qui parle” – Dans le film, le spectateur peut écouter les pensées des petits enfants – en réalité, ces personnes peuvent lire les pensées de moi ou de n’importe qui d’autre.

“The Cell” avec Jennifer Lopez – Le film dépeint une femme qui a le don particulier de pouvoir se brancher sur le cerveau d’un être humain. Plus précisément, elle interfère avec celle d’un meurtrier pour en faire quelque chose de bien, à savoir sauver une femme emportée par la mort – en réalité, elle est utilisée sur moi ou d’autres personnes, sans raison particulière, et vole ainsi leur intimité complète.

“Starship Troopers” – Ce film traite d’un avenir pas trop lointain, où les futures unités spéciales d’une armée ont déjà des “capacités télépathiques” – c’est la réalité depuis un certain temps.

Il y a peut-être beaucoup d’autres séquences de ce type tirées de films et de séries, mais je ne les connais pas toutes et je ne peux pas ou ne dois pas les énumérer ici.

En résumé, je voudrais utiliser ces exemples pour illustrer que cette capacité de “lire les pensées” et de pouvoir “se brancher sur le cerveau d’une autre personne” est exactement traitée en film par la même organisation qui possède cette capacité !

Le verrouillage de cerveau

Comme mentionné ci-dessus, j’ai parlé avec les services secrets à différents jours dans mon appartement pendant l’été 2001. J’ai demandé, entre autres, à être informé des dernières méthodes de renseignement.

Ils ont réalisé ce souhait en illustrant la possibilité de “se brancher sur le cerveau d’un autre” par le rêve.

Dans ce “rêve”, j’ai vu mon père descendre les escaliers de notre maison avec un téléphone à l’oreille alors que je me tenais en bas.

Peu de temps après, j’ai vu une “femme”, qui tenait également un téléphone à l’oreille et me parlait, “cela pourrait être encore plus flagrant” …

Elle m’a donc fait comprendre qu’elle pouvait ainsi influencer le fait que mon père commence à me parler et qu’elle pouvait aussi influencer le contenu ou l’humeur de mon père.

Remarque : Pour éviter tout malentendu, en l’état actuel de mes connaissances, la manipulation fonctionne sans téléphone physique – le téléphone doit donc être compris comme une métaphore.

Normalement, je devrais décrire ce point de manière beaucoup plus intensive, car il pousse l’intensité de la surveillance à l’extrême, puisque même ses propres pensées ne sont plus intimes, c’est-à-dire que le vol de la vie privée s’effectue à presque 100 %, et il décrit également le passage de la surveillance passive à l’intervention active dans la vie, et en particulier en ce qui concerne mes efforts pour porter cette surveillance à la connaissance du public, car les personnes que j’ai appelées à l’aide ont été exposées à cette manipulation.

Cependant, il est resté avec cette seule allusion, en revanche il a été aussi court que je vous l’ai décrit.

Synthèse

Si j’oublie un instant que je n’ai jamais eu de sphère privée ou intime jusqu’à ce jour, il y a plusieurs événements qui ont fait l’histoire du monde qui sont dus à ma volonté et je pourrais m’en réjouir. Deux régimes criminels ont été éliminés, les États-Unis adaptent leur grande stratégie en fonction de mes idées et les films d’Hollywood ont été réalisés selon mon inspiration. À ce stade, je voudrais mentionner brièvement que ce n’est de loin pas tout. Je pourrais citer bien d’autres exemples de la même dimension. Et … Et … ce qui est le plus important maintenant, je ne suis qu’un jeune homme ordinaire d’Allemagne. Au moins, j’étais jeune quand je pensais et disais ces choses, maintenant j’ai 42 ans. C’est vrai, grâce à beaucoup de choses, je pouvais me sentir bien et je l’ai fait.

Cependant, au total, il y a de nombreux effets secondaires négatifs pour moi, que je voudrais préciser ici encore.

L’une des principales conséquences est, par exemple, que je n’ai pas eu de femme ou de petite amie pendant toute une vie, pas au cours des 18 dernières années, simplement parce que je ne veux pas de femme si je sais que je suis surveillé.

Comme j’ai dit à mon collègue que j’irais finalement jusqu’à vendre la maison de mon père, juste pour savoir si quelqu’un m’observait, la réponse ne s’est pas fait attendre, car quelques mois plus tard, mon père a perdu son emploi de directeur d’agence, est resté au chômage pendant plusieurs années et n’a jamais vraiment pu trouver quoi que ce soit d’égale valeur par la suite, mettant ainsi plus ou moins en péril le financement de la maison, qui était toujours en cours.

Cela a été un lourd fardeau psychologique pour ma famille.

Comme la pension n’est pas suffisante, mon père est actuellement obligé de travailler à plein temps à l’âge de 70 ans.

Ce licenciement, soit dit en passant, n’est pas le résultat de deux employés des services secrets qui se sont présentés personnellement à l’ancien employeur de mon père et l’ont amené à donner un préavis de licenciement, mais invisiblement, ils ont puisé dans le cerveau et produit le résultat souhaité par télécommande.

Pour compléter le tableau, je voudrais ajouter que j’ai subi quelques blessures physiques, que j’attribue également à cette “organisation” et qui présentent des traits sataniques ou peuvent être décrites dans la terminologie juridique comme “dangereuses pour le public”.

Je voudrais m’abstenir de toute désignation concrète à ce stade, car l’avenir mettra la vérité en lumière.

Bilan

Pour l’origine de ma surveillance, deux variantes me semblent actuellement possibles.

En raison de la Seconde Guerre mondiale perdue et de la guerre froide qui a suivi, je peux imaginer un contexte américain, où l’Allemagne et sa population étaient visées de manière générale, ce qui était justifié par le passé national-socialiste ou l’espionnage soviétique.

Une autre possibilité est que les auteurs soient des “Allemands”, qui doivent avoir un lien solide avec les États-Unis.

Qu’importe quelle variante soit correcte, le fait est le suivant :

Ces personnes sont (pour le dire simplement à ce stade) quelque peu différentes des gens ordinaires que vous rencontrez.

Cela résulte de ce qui est décrit, car d’une part vous avez été mon compagnon constant dans la vie et selon votre logique vous êtes intervenu tantôt positivement, tantôt négativement dans ma vie.

Je tiens à souligner que j’écris ces lignes avant tout parce que je ne suis certainement pas un cas isolé, et que beaucoup d’autres personnes en Allemagne ou dans le reste du monde sont également prises dans un piège similaire et ont dû vivre des choses similaires, dont elles n’ont même pas pu imaginer la véritable cause.

Ces personnes se tiennent au-dessus du président américain, qui, selon le langage courant, est considéré comme l’homme le plus puissant de la planète.

Lorsque j’ai commencé à communiquer ouvertement avec ces personnes au cours de l’été 2001, cela a probablement déclenché quelque chose que je m’explique comme suit :

Le fait que j’ai été témoin que l’on me surveille est une réussite, peut-être même une réussite exceptionnelle, et certains me qualifieront de “génie” parce que j’ai été capable mentalement de saisir et d’imaginer un processus invisible. Et … il faut le souligner ici encore pour avoir raison !

Comme il doit s’agir non seulement d’une organisation très puissante, mais aussi d’une organisation plus importante comptant au moins plusieurs centaines de personnes, j’avais attiré l’attention à l’intérieur ou à l’extérieur de cette organisation de telle manière qu’un nouveau groupe “s’est impliqué”, car c’est ce que j’associe au 11 septembre.

En bref, quelqu’un a aimé qui je suis, ce que j’ai dit, comment je pense et comment je vois les choses.

Leur principale réussite à ce jour est qu’ils sont restés soudés sur une très longue période. Aucun d’entre eux n’en est arrivé à un point où ils doivent s’arrêter, exposer leurs méthodes et donc l’organisation.

La source de financement n’est pas claire. D’où vient l’argent nécessaire pour effectuer ce contrôle ?

Dans leurs rangs se trouvent des personnes qui ont des dons particuliers, à savoir la capacité de lire les pensées d’une autre personne et de pouvoir s’y engager de manière manipulatrice. La question est de savoir s’il s’agit d’une capacité innée ou d’une capacité qui peut être “apprise” ? Quelles conditions doivent être remplies pour que cela réussisse ? Je ne sais pas non plus avec quelle intensité cette “télécommande” peut être pilotée. Personne ne se heurtera volontairement à un mur, c’est-à-dire qu’on peut être poussé à des actions absurdes, mais dans le contexte de la vie quotidienne, les rencontres, les conversations et les virages peuvent être orientés dans une certaine direction.

Peut-on manipuler quelqu’un pour qu’il se pende ? Cela leur permettrait de réaliser le crime parfait, car ils ne devraient jamais être présents en personne au moment où le crime a été commis ou aucune personne normale ne conclurait que la cause du décès a été causée de cette manière.

Comme j’étais probablement le seul parmi la population à bien deviner ce qu’ils faisaient, je suis devenu un cas ambivalent pour eux.

D’une part, cela l’a certainement impressionné, d’autant plus que j’avais déjà correctement évalué la situation à un très jeune âge, peut-être même en établissant le record mondial ultime, puisque rétrospectivement, j’ai interprété correctement la situation après seulement quelques secondes de ma vie. D’un autre côté, ce n’était pas une situation souhaitable pour eux, car à long terme, ils pouvaient imaginer que je deviendrais un problème pour eux si je n’abandonnais pas et ne poursuivais pas l’éducation jusqu’au bout.

Lors de la mise en œuvre de la stratégie de la DFB, je dois me poser la question suivante : ont-ils réussi à le faire exclusivement par le biais de ce qu’on appelle la “télécommande” ou un représentant de la DFB a-t-il jamais vu mon visage ou entendu un mot que j’ai dit ?

Les données personnelles d’Oliver Bierhoff et de Jürgen Klinsmann, ainsi que celles des entraîneurs américains de fitness, sont la partie visible de la mise en œuvre de ma recommandation stratégique.

Je ne peux pas répondre à la question de savoir si l’équipe de la DFB s’est effectivement retirée volontairement lors du championnat d’Europe 2004, et je ne sais pas non plus dans quelle mesure mes autres recommandations ont été mises en œuvre.

Je doute également que Donald Trump mette sciemment en œuvre mes recommandations, car je suis sûr que cela fonctionne grâce à la soi-disant télécommande.

Il existe donc bien un soi-disant “gouvernement de l’ombre” !

Bien sûr, je ne peux que deviner l’intensité de la surveillance en Allemagne. Mais l’image qui se dégage pour moi est qu’elle doit être d’une ampleur et d’une intensité inimaginables.

Une de mes principales préoccupations est donc qu’une future surveillance centrale de la population ne sera jamais mise en place ou que celle qui existe déjà sera exposée et éliminée.

Conclusion

Tout cela ne peut pas être une coïncidence :
-La guerre en Irak et en Afghanistan (surtout dans la manière dont elle a été menée)
-Les coordonnées de la DFB, les stations d’entraînement de Jürgen Klopp
-La chaire “International Management” à l’université de Bayreuth
-Les films hollywoodiens répertoriés
-Le fait qu’un milliardaire aux Etats-Unis applique maintenant ma recommandation politique (j’ai même développé quelques slogans comme “America First, Buy American et Hire American”)

Comme mentionné ci-dessus, je pourrais donner plusieurs autres exemples qui entrent dans la même catégorie.

J’ai eu le privilège de réfléchir à ces événements marquants au cours des 18 dernières années et d’entraîner mes capacités cérébrales en fonction de ces signaux stratégiques.

Pour moi personnellement, il ne fait aucun doute depuis longtemps que j’ai raison de dire que je suis surveillé par une organisation secrète.

A l’époque, j’avais composé sans le savoir le 911 de la police américaine, ou pour mieux dire, ils m’ont laissé le faire.

Cependant, cet appel d’urgence n’a pas apporté son aide.

Bien sûr, les contenus et les exemples présentés ne représentent qu’une petite partie de ce que j’ai vécu ou dit dans ma vie.

Il n’est pas possible de reproduire toute une vie en quelques pages, surtout les impressions subjectives, ce qui a été vu et vécu, et tous ce a quoi j’ai pensé.

L’objectif principal de mes remarques est de dégager l’essentiel, que je voudrais résumer à nouveau ici :

L’humanité sur cette planète est prise pour une masse d’idiots par une très petite “élite”, qui possède un savoir secret qu’elle cache délibérément aux masses.

Je vous renvoie à d’autres secrets, que vous trouverez sous forme de liens sur ma page d’accueil.

Lorsqu’un voleur ordinaire s’introduit dans une voiture ou entre dans une maison, vous n’avez peut-être vu personne, mais vous savez que vous avez été victime d’un crime parce que vous avez manqué des objets ou que vous pouvez voir des signes d’effraction.

Si une organisation secrète met en place une surveillance, vous êtes également victime d’un crime. Cependant, en règle générale, on n’a même pas remarqué que le crime a été commis.

C’est la seule différence sérieuse et décisive.

Comment la population peut-elle et doit-elle se défendre contre un crime dont elle ne sait même pas qu’il a lieu ?

La deuxième particularité est que les auteurs du “crime” ont été informés de toutes les mesures que j’ai prises pour porter le crime à la connaissance du public. Même en écrivant ces lignes, ils ont pris note en temps réel.

En outre, je suppose que les personnes respectives de la police ou des autorités que j’ai appelées ont été manipulées en conséquence, de sorte qu’elles ont pu empêcher leur propre poursuite.

Quand je n’avais que quelques années, je me suis juré que si j’avais raison sur le fait d’être surveillé, alors il y aurait la guerre !

Pour toutes ces raisons, je n’avais donc pas d’autre choix que d’agir comme je l’ai fait afin d’obtenir l’attention nécessaire.

Cette guerre doit être comprise comme une double frappe, contre l’organisation secrète et contre la dégénérescence de notre peuple !

Les gens vont et viennent. Ce qui reste, c’est le peuple !

À l’avenir, regardez bien qui sont les gens.

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Puis ils sont venus pour votre esprit : L’histoire inédite de la psychochirurgie

SOURCE

Peter et Ginger Breggin – est l’interview complète, brute et encore inédite, du Dr Breggin qui a été utilisée dans notre film « The Minds of Men ».

Le Dr Breggin rend compte de son activisme et de sa lutte contre la psychochirurgie il y a plus de 50 ans – une campagne des années 1960-70 visant à légitimer la destruction du cerveau et à utiliser un mode d’intervention dans le cerveau en constante évolution et de plus en plus technologique, utilisant des électrodes implantées pour cibler des zones minuscules du cerveau liées au comportement, et pour utiliser la surveillance et l’activation par radiofréquence (RF) pour contrôler les humeurs, l’attitude et peut-être même la pensée.

Pire encore, les praticiens et les décideurs qui ont poussé cette nouvelle ère dangereuse d’intervention dans notre espace mental privé le faisaient sur la base de la désactivation PRÉEMPTIVE de ceux qui étaient identifiés comme « potentiellement violents ». Comme nous l’avons expliqué dans « L’esprit des hommes », une campagne massive était en cours à la suite de fusillades et d’assassinats de masse pour filtrer le public et attirer un large éventail de personnes qu’il souhaitait pacifier et sortir de l’équation.

Il s’agissait de militants et de dirigeants politiques de la communauté noire et d’autres fauteurs de troubles potentiels – des responsables politiques, et non des délinquants ou des personnes qui avaient « fait quelque chose de mal ». Le programme a également ciblé les personnes « à risque » dans toutes les couches de la société.

Le Dr Breggin a joué un rôle essentiel en braquant les projecteurs sur ces pratiques gênantes – en mettant l’accent sur les travaux du Dr Jose Delgado et des docteurs Vernon Mark, Frank Ervin et William Sweet (également représentés dans « The Minds of Men »).

Se dressant contre cette injustice, Breggin a résisté aux menaces de mort et à l’opposition des milieux psychiatriques et psychologiques dans lesquels il a été formé pour mettre fin au financement et à la pratique – du moins ouvertement.

Ce qui a continué dans l’ombre est une autre histoire… mais une histoire qui se rattache solidement à l’endroit que la société a de nouveau atteint – la croyance dangereusement naïve que les « autorités », les « experts », les « milliardaires » et leurs technologies peuvent non seulement améliorer le monde, mais aussi réparer nos cerveaux et nos esprits.

C’est une histoire importante qui était, jusqu’à présent, peu connue.

Le Dr Breggin et la lutte contre la psychochirurgie sont présentés dans « The Minds of Men » :


Complimenting yesterday’s post – a guest article written by Dr. Peter & Ginger Breggin – is the raw, and as yet unreleased full interview with Dr. Breggin that was used in our film “The Minds of Men”.

Dr. Breggin gives an account of his activism and struggle against psychosurgery more than 50 years ago – a 1960s-70s era campaign to legitimize the destruction of the brain, and utilize an evolving and increasingly technological mode of intervention in the brain using implanted electrodes to target minute areas in the brain tied to behavior, and to use radio frequency (RF) monitoring and activation to control moods, attitude and perhaps even thought.

Worse, the practitioners and agenda-makers who were pushing this dangerous new era of intervention in our private mind space were doing so on the basis of PREEMPTIVELY disabling those identified as ‘potentially violent.’ As we detailed in ‘The Minds of Men,’ a massive campaign was underway in the wake of mass shootings and assassinations to screen the public, and draw a wide net of people they wanted to pacify and take out of the equation.

These included activists and political leaders in the black community and other potential troublemakers – political liabilities, not offenders or those who’d ‘done something wrong.’ The program also targeted “at risk” individuals throughout the strata of society.

Dr. Breggin played a pivotal role in shining a spotlight on these troublesome practices – with a focus on the work of Dr. Jose Delgado, and doctors Vernon Mark, Frank Ervin and William Sweet (also depicted in “The Minds of Men”).

Standing up against this injustice, Breggin withstood threats on his life and opposition from within the psychiatric and psychological fields which he was trained in to stop the funding and practice – at least overtly.

What continued in the shadows is another story… but one which connects solidly with the place society has once again reached – the dangerously naive belief that ‘authorities’ and ‘experts’ and ‘billionaires’ and their technologies can not only improve the world, but fix our brains and minds as well.

This is an important story that has been, until now, little known. Please watch and share.

Dr. Breggin and the fight against psychosurgery is featured in “The Minds of Men”:

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Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Armes bio-électromagnétiques : L’arme ultime

Bio-electromagnetic Weapons: The ultimate weapon  

Un système d’armes qui fonctionne à la vitesse de la lumière, qui peut tuer, torturer, asservir et échapper à la détection, Harlan Girard

L’arme ultime

Les armes électromagnétiques fonctionnent à la vitesse de la lumière ; elles peuvent tuer, torturer et asservir ; mais le public ignore largement leur existence, car ces armes fonctionnent de manière furtive et ne laissent aucune preuve physique. Les armes électromagnétiques ont été testées sur des êtres humains depuis 1976. En dispersant largement les sujets de ces tests humains involontaires et en attaquant avec véhémence leur crédibilité, les États-Unis ont pu procéder à ces expériences humaines sans être gênés par des discussions ou des critiques, et encore moins par une opposition.

Ce système d’arme ultime est actuellement déployé en Irak. L’US Air Force et le Marine Corps l’appellent « technologie de déni actif », comme si elle était utilisée uniquement à des fins de défense, mais ce n’est pas le cas (voir encadré 1).

La vérité sur la « technologie du déni actif ».

Il n’y a qu’un seul spectre électromagnétique. Les armes nucléaires libèrent une grande quantité de rayonnements ionisants dans la gamme des hautes fréquences au-dessus de la lumière visible, où l’énergie des rayonnements est capable de rompre les liaisons chimiques. Il est généralement reconnu que les rayonnements ionisants peuvent provoquer le cancer.

L’armée américaine a transformé en armes les radiations non ionisantes en dessous de la gamme visible, les micro-ondes et les ondes radio qui sont utilisées dans les téléphones mobiles et les télécommunications. Le gouvernement américain a vigoureusement nié que les radiations électromagnétiques non ionisantes puissent présenter des risques pour la santé, à la fois pour défendre la recherche sans consentement sur l’homme qu’il mène depuis de nombreuses années mais qu’il n’a pas encore reconnue, et pour dissuader d’autres pays de développer des armes similaires.

Le seul effet biologique des radiations non ionisantes que le gouvernement américain a reconnu depuis de nombreuses années est le réchauffement et, par conséquent, il caractérise la « technologie de déni actif » comme celle qui produit des douleurs dues à un réchauffement soudain de la peau ; mais ce n’est pas ainsi que cela fonctionne réellement.

Lecture des ondes cérébrales et contrôle de l’esprit

En 1959, Saul B. Sells, professeur de psychologie sociale dans une petite université américaine, a soumis une proposition à la Central Intelligence Agency (CIA) pour construire pour eux l’appareil d’électroencéphalographie le plus sophistiqué qui aurait une capacité de calcul intégrale pour analyser et, espérons-le, donner un sens aux ondes cérébrales qu’il enregistre. En d’autres termes, le professeur a proposé de fabriquer une machine qui pourrait dire à la CIA ce qu’une personne pense, qu’elle souhaite ou non divulguer cette information.

La CIA a approuvé le projet en 1960, en y ajoutant des recherches en bibliothèque avec cinq objectifs. Le cinquième objectif de la recherche était, « Techniques d’activation de l’organisme humain par des moyens électroniques à distance ». L’ensemble de cette mission a ensuite été connu sous le nom de sous-projet MKULTRA 119, MKULTRA étant le célèbre programme de contrôle des esprits de la CIA. Il était basé sur l’idée erronée que les Soviétiques possédaient déjà les moyens de contrôler les esprits et que les États-Unis devaient rattraper leur retard le plus rapidement possible.

Les documents relatifs au sous-projet 119 de MKULTRA sont maintenant conservés aux National Security Archives (une organisation non gouvernementale) de l’Université George Washington à Washington, D.C. [1]. John Marks, auteur de The Search for the Manchurian Candidate : The CIA and Mind Control (Times Books, New York, 1979) a fait don des documents MKULTRA ; son livre a été réédité par W.W. Norton & Company, Inc, New York, 1991 et est toujours en cours d’impression.

Le projet Bizarre a suivi le sous-projet 119 de MKULTRA en 1965. Le but de Bizarre était d’enregistrer et d’analyser le signal micro-ondes complexe qui aurait été émis à l’ambassade américaine à Moscou par les Soviétiques depuis un bâtiment situé de l’autre côté de la rue. Ce qui est intéressant dans le projet Bizarre, c’est que si les États-Unis ont nié jusqu’à ce jour qu’il puisse y avoir des effets néfastes sur la santé à cause du rayonnement micro-ondes, ils ont immédiatement suspecté que « le signal de Moscou » produisait divers effets sur la santé du personnel de l’ambassade, en particulier chez les ambassadeurs successifs au bureau desquels il était prétendu que le signal était émis. Au moment même où le Département d’État testait le personnel de l’ambassade pour détecter les cassures d’ADN produites par le signal de Moscou, il s’est senti contraint de ne pas se plaindre aux Soviétiques parce que la puissance de leur signal était une infime fraction de ce que les États-Unis considéraient comme un niveau d’exposition humaine sans danger. Le journaliste Barton Reppert a écrit le compte-rendu le plus fiable sur le signal de Moscou [2]. (Note de la rédaction : les ruptures d’ADN dues à l’exposition aux téléphones portables ont été confirmées par des recherches récentes en laboratoire [3, 4] (Science in Society 24)).

Conversion du son aux micro-ondes

En 1973, Joseph C. Sharp, un psychologue expérimental de l’Institut de recherche de l’armée Walter Reed, a réalisé une expérience qui a été déterminante pour le développement de l’équipement de torture qui est aujourd’hui expédié en Irak. Il a fait installer dans son laboratoire par James Lin un équipement qui convertissait la forme des ondes sonores en un rayonnement micro-ondes qui lui permettait de s’entendre vocaliser les noms des nombres de un à dix dans sa tête, en contournant le mécanisme de ses propres oreilles. Cette expérience particulière n’a jamais été publiée mais est mentionnée dans le livre de Lin, Microwave Auditory Effects and Applications, publié en 1978 [5].

L’expérience a été confirmée par le brevet américain 6 587 729, « Apparatus for Audibly Communicating Speech Using the Radio Frequency Hearing Effect » [6] . Ce brevet concerne une version améliorée de l’appareil utilisé lors de l’expérience en laboratoire de 1973, délivrée le 1er juillet 2003 et attribuée au secrétaire de l’armée de l’air. Il apporte la preuve scientifique qu’il est possible d’entendre des voix menaçantes dans sa tête sans souffrir de schizophrénie paranoïaque.

Pourquoi ce brevet a-t-il été publié ouvertement à un moment où le gouvernement américain pratique un degré de secret qui rivalise avec le Kremlin de Staline ? Je n’ai pas de réponse satisfaisante, si ce n’est que l’appareil faisant l’objet du brevet a déjà été remplacé par un équipement qui permet d’obtenir le même effet par des moyens beaucoup plus sophistiqués. Il bloque les processus normaux de mémoire et de pensée par des moyens électroniques à distance, tout en fournissant des souvenirs et des suggestions fausses, déformées et/ou désagréables par un processus appelé « télépathie synthétique ». L’équipement qui produit la télépathie synthétique est parfois appelé « technologie d’influence ».

Si les voix et les visions, les rêves et les cauchemars sont les manifestations les plus étonnantes de ce système d’armes, il est également capable de paralyser le sujet humain en limitant son amplitude de mouvement normale, en provoquant une douleur aiguë équivalente à la défaillance d’un organe majeur, voire à la mort, et en interférant avec le fonctionnement normal de l’un des sens humains. En d’autres termes, toutes les tortures dont les mots Guantanamo Bay sont devenus synonymes peuvent être réalisées par des moyens électroniques à distance.

Instruments de torture

La technologie d’influence est également capable de persuader les sujets que leur esprit est lu, que leur propriété intellectuelle est pillée, et peut même motiver le suicide ou le meurtre de leur famille, de leurs amis et de leurs collègues. Pendant les années de la « guerre contre la drogue » (qui a précédé la « guerre contre le terrorisme »), les lettres que les sujets humains « involontaires » avaient écrites ou étaient sur le point de recevoir disparaissaient régulièrement du courrier, comme si le gouvernement menait une vaste opération secrète par l’intermédiaire des bureaux de poste du pays. Lorsque George Herbert Walker Bush est devenu président (en 1989), l’incidence des meurtres de collègues dans les bureaux de poste est devenue si importante que l’expression « going postal » a commencé à remplacer l’expression couramment utilisée de « going crazy ». Les meurtres de collègues sur d’autres lieux de travail ont également commencé à attirer l’attention des médias [7].

J’estime que le coût de l’emprisonnement d’un être humain dans son propre corps et de l’application d’une torture incessante est de 5 000 000 à 10 000 000 $US par an (voir ci-dessous).

C’est exactement ce que j’entends par « torture permanente ». Comme ce nouveau matériel de torture ne laisse aucune trace visible, telle que des lésions cutanées, il est possible de torturer les sujets humains involontaires 24 heures sur 24, 365 jours par an. Cela peut être fait et est fait même à Noël et à Pâques [8].

Je suis arrivé à mon estimation du coût des tests/utilisation d’armes électromagnétiques sur un sujet humain en visitant une chaîne de télévision câblée spécialisée dans la vente de marchandises par voie hertzienne 24 heures sur 24. Je me suis interrogé sur le nombre de techniciens nécessaires, leurs horaires de travail et leur fourchette de salaire, ainsi que sur le nombre de personnel d’appoint nécessaire pour préparer la programmation en vue de sa diffusion. Je ne me suis pas enquis du coût de l’électronique et de la grille d’amortissement. J’ai estimé un coût de dépréciation qui est inclus dans mon estimation du coût de la torture d’un sujet humain « involontaire » pendant un an.

La torture est une activité à forte intensité de main-d’œuvre. Quel objectif justifierait cet investissement ? Serait-ce quelque chose d’aussi insensé que de gouverner le monde en asservissant les gouvernements démocratiques des pays les plus peuplés ? Cet objectif est certainement cohérent avec le mépris et l’hostilité des États-Unis envers les Nations unies, les conventions et les pactes internationaux qu’ils ont ratifiés par le passé et le droit international coutumier [9].

Le 1er mars 2001, le Corps des Marines a annoncé une nouvelle arme non létale, la « technologie de déni actif ». Elle produit une douleur énorme en faisant soi-disant bouillir les molécules d’eau de la peau humaine sans endommager la peau elle-même. Comme décrit dans un article publié dans le New Scientist, elle utilise un rayonnement électromagnétique pulsé à une fréquence de 95 GHz avec une portée d’environ 600 mètres [10]. Plusieurs nouveaux rapports ont été publiés dans le magazine en 2005, dont un en juillet [11], décrivant des volontaires participant à des tests visant à déterminer le degré de sécurité de l’arme Active Denial System (ADS) si elle était utilisée dans le cadre d’un véritable contrôle de foule. Il a été rapporté que le faisceau de l’arme ADS provoque une douleur en 2 à 3 secondes, et devient « intolérable après moins de 5 secondes ».

La technologie de déni actif est la pierre angulaire du système utilisé pour torturer 2 000 personnes dans l’intimité de leur foyer, non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier, partout où des pays ont signé des accords sur le statut des forces avec les États-Unis [12]. Les premières allégations de torture ont été reçues de pays avec lesquels les États-Unis ont une relation spéciale de partage de renseignements, à savoir le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Puis des rapports ont commencé à arriver des pays conquis où les États-Unis ont encore un grand nombre de troupes stationnées, c’est-à-dire l’Allemagne et le Japon. Lorsque la France a rejoint le bras militaire de l’OTAN à la fin des années 90, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en France. Très récemment, nous avons commencé à recevoir des allégations de torture en Inde, où des entreprises américaines ont commencé à externaliser, non seulement les lignes d’assistance, mais aussi la programmation [13].

Et puis il y a le cas de la Russie, où les sujets humains « involontaires » d’expériences de torture semblent être à la fois nombreux et bien organisés. On m’a dit avec certitude que tous les scientifiques russes qui parlaient anglais ont maintenant trouvé un foyer dans une université américaine ou un laboratoire gouvernemental. C’est plausible, si l’on considère la crainte fréquemment exprimée par les Américains que les experts de l’ère soviétique en matière d’armes nucléaires et de guerre biologique ne trouvent un emploi en Iran. Il est un fait qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’armée américaine a balayé l’Allemagne dans une opération appelée « Project Paperclip », recrutant notamment des spécialistes des fusées nazies et des experts en médecine aérospatiale. D’autres scientifiques ont été recrutés simplement pour priver l’Union soviétique de cette ressource. Qu’est-il donc advenu des scientifiques soviétiques qui ne parlaient pas anglais ? Nous le saurons avec le temps, mais pour l’instant, on peut supposer qu’au moins certains d’entre eux ont été employés pour étudier le système de valeurs et les processus de décision russes en torturant d’autres Russes avec la « technologie d’influence » américaine [14].

Deux articles intéressants et importants sur les armes bioélectromagnétiques ont récemment été publiés dans le New Scientist : « La nouvelle arme américaine vise la douleur maximale » et « Police toy with ‘less lethal’ weapons », tous deux écrits par David Hambling [15]. Voir aussi US. Brevet 6 536 440 du 25 mars 2003 [16].

Depuis la fin de cet article à la mi-juin 2005, il a été porté à mon attention que les Israéliens déploient un dispositif appelé « The Scream », qui émet des rafales de sons audibles, mais pas forts, à des intervalles d’environ 10 secondes. Un photographe présent sur les lieux d’une manifestation a déclaré qu’il continuait à entendre le son dans sa tête même après s’être couvert les oreilles. Cela me fait penser que l’agent actif est électromagnétique plutôt qu’acoustique. En d’autres termes, les Israéliens ont mis au point un dispositif qui est bien plus intelligent que notre « technologie de déni actif ». Non seulement il dissuade les émeutiers, mais il émet également un avertissement sonore indiquant qu’il a été activé, ce qui n’est pas le cas du dispositif américain, laissant aux hommes enrôlés qui l’utilisent le soin de déterminer l’intensité des brûlures que reçoivent leurs adversaires. La marge d’erreur du dispositif américain est déraisonnable. On peut tout aussi bien l’appeler une arme mortelle car, dans la pratique, elle le sera très fréquemment [17].

La source originale de cet article est le communiqué de presse de l’ISIS

Copyright © Institut des sciences dans la société, Communiqué de presse ISIS, 2007

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Voice to Skull

Voix à Crâne

Le succès de la voix de Joseph Sharp sur le crâne, interprété avec l’émetteur de micro-ondes pulsées du Dr James C. Lin, et annoncé publiquement en 1974 à l’Université de l’Utah, lors d’un séminaire présenté aux facultés d’ingénierie et de psychologie.

Ce séminaire et le principe de fonctionnement de l’expérience réussie de Sharp ont été décrits dans la revue « American Psychologist » de mars 1975. Le principe de fonctionnement, qui a été amélioré au cours des trois décennies qui ont suivi le succès de Sharp, est basé sur le fait qu’une impulsion radar hyperfréquence de puissance moyenne à élevée peut produire un clic audible dans le sens auditif d’une personne en accord avec le signal. Cet effet est appelé « audition radar » depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le Dr Joseph Sharp s’est servi d’un ordinateur pour transmettre une impulsion de type radar à micro-ondes chaque fois que la forme d’onde de la voix d’un locuteur passait de haut en bas.

Le résultat était que lorsque Joseph Sharp était assis en ligne avec un émetteur de micro-ondes émettant des impulsions comme indiqué ci-dessus, il pouvait entendre une voix « robotique » parlant les chiffres de 0 à 9. Il n’a pas poussé l’expérience plus loin, du moins d’après les dossiers disponibles. L’expérience de Sharp a eu lieu en 1973, et bien que le potentiel des rayonnements micro-ondes à causer le cancer n’était pas aussi bien connu, il se peut que le danger des rayonnements soit la raison pour laquelle cette technologie n’a pas, du moins publiquement, été développée davantage.

Les recherches sur l’audition radar effectuées par le Dr Allen Frey dans les années 1960 ont établi qu’il fallait environ trois dixièmes de watt par centimètre carré de surface crânienne pour générer les clics à partir desquels la voix est synthétisée. La synthèse de la voix à partir des clics est une forme primitive de « l’audio numérique ».

Depuis quelques années, dans les années 1990 et au début des années 2000, l’armée américaine a reconnu la technologie « voice to skull », qu’elle a abrégée en « V2K », dans son thésaurus en ligne. Pour des raisons inconnues, l’armée a supprimé cette entrée de thésaurus vers 2007.

Certaines références au développement de types plus avancés de la voix au crâne peuvent être trouvées parmi les brevets, et de rares références de l’armée de l’air des États-Unis à la technologie à la fin des années 1990 à l’avenir.

Voice to skull (V2S/V2K), une version commerciale surnommée MEDUSA – « Mob Excess Deterrent Using Silent Audio », a été proposée pour le développement commercial à usage militaire et policier, selon ABC news de l’été 2008.

Les cibles signalent des transmissions sonores invasives de bonne fidélité à différents moments de la journée. Les voix qui disent des choses profanes et désobligeantes sont courantes. Des faux bruits de sonneries de téléphone, de téléavertisseurs, de réveils qui sonnent, de coups à la porte de la cible, et d’autres sons ont été signalés. La fidélité de ces transmissions indique une amélioration par rapport à la méthode démontrée par le Dr Joseph Sharp.

 


 

Voice to Skull

Joseph Sharp’s voice to skull success, performed with Dr. James C. Lin’s pulsed microwave transmitter, and publicly announced in 1974 at the University of Utah, at a seminar presented to the faculties of engineering and psychology.

That seminar, and the operating principle of Sharp’s successful experiment, were described in the March 1975 « American Psychologist » journal. The operating principle, which has been improved upon in the more than three decades since Sharp’s success, is based on the fact that one microwave radar pulse of medium to high power can produce an audible click in the hearing sense of a person in line with the signal. That effect has been called « radar hearing » since World War II.

Dr. Joseph Sharp used a computer to cause one microwave radar-like pulse to be transmitted every time a speaker’s voice wave form swung from high to low.

The result was that when Joseph Sharp sat in line with a microwave transmitter transmitting pulses as shown above, he could hear a « robotic » voice speaking the numerals 0 to 9. He did not carry the experiment further, at least according to available records. Sharp’s experiment took place in 1973, and although the potential for microwave radiation to cause cancer wasn’t as widely known, it may be that radiation danger is the reason this technology has not, at least publicly, been developed further.

Research into radar hearing by Dr. Allen Frey in the 1960s established that roughly three tenths of a watt per square centimeter of skull surface is required to generate the clicks from which the voice is synthesized. Synthesis of voice from clicks is a primitive form of « digital audio. »

For some years in the 1990s and early 2000s, the United States Army recognized « voice to skull » technology, which they abbreviated as « V2K, » in their on line thesaurus. For reasons unknown, the Army removed that thesaurus entry circa 2007.

Some references to developing more advanced types of voice to skull can be found among patents, and rare United States Air Force references to the technology in the late 1990s forward.

Voice to skull (V2S/V2K), a commercial version dubbed MEDUSA – « Mob Excess Deterrent Using Silent Audio », was proposed for commercial development for military and police use, per ABC news in summer 2008.

Targets report invasive sound transmissions of good fidelity at various times of day. Voices saying profane and disparaging things are common. False sounds of telephones ringing, pagers beeping, alarm clocks going off, knocking on the target’s door, and other sounds have been reported. The fidelity of these transmissions indicates improvement over the method demonstrated by Dr. Joseph Sharp.

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Les méthodes modernes d’élimination des individus : l’élimination sociale

Après le dernier post sur « Kubark : Le manuel secret de manipulation mentale et de torture psychologique de la CIA », voilà un chapitre du livre « Missions, méthodes, techniques spéciales des services secrets au 21 e siècle » concernant Les méthodes d’élimination sociale des individus. Ce qui est décrit est très semblable à l’élimination sociale et économique que j’ai eu à vivre, semblable aussi à ce que décrivent les autres TI. C’est un des buts recherché par le gang stalking. Ça ne sort pas de quelques esprits faibles ou dérangés, ce sont des méthodes éprouvées depuis des siècles.

Les méthodes modernes d’élimination des individus

 

 

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Les technologies offensives de contrôle politique : un nouveau péril social

Un document non signé, dont j’aimerai trouver la provenance, donne un aperçu des enjeux et répercutions sur la société civile, de l’état et de l’avancée des technologies du contrôle de  l’esprit.

les_technologies_offensives_de_controle_politique

 

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Remote Neural Monitoring – John Hall

Traduction de l’articleMonitoraggio remoto neurale – John Hall


 

 

La recherche MKULTRA et la recherche en visualisation à distance ont permis aux scientifiques de découvrir des méthodes pour obtenir les effets désirés et de comprendre sur quelle partie du cerveau se concentrer pour obtenir ces effets. Bien que certains scientifiques ne soient pas d’accord avec la théorie des ondes ELF, la plupart des recherches menées aux États-Unis et en Union soviétique ont continué à se concentrer sur les effets des ondes ELF sur le cerveau. Un problème, cependant, n’a pas encore été résolu. De nombreuses victimes du projet MKULTRA étaient des sujets involontaires à qui il avait été menti et qui ont été forcés de participer à des expériences contraires à l’éthique. En raison des restrictions technologiques de l’époque, les victimes devaient être saisies, transportées à l’hôpital, droguées, puis soumises à des traitements électro-chocs, à l’aide d’électrodes appliquées sur le cuir chevelu. Également pour la surveillance physiologique de l’électroencéphalogramme (EEG) et d’autres signes vitaux, des capteurs ont été appliqués sur le sujet. De plus, les chercheurs du projet MKULTRA ont connu une période risquée avant le début des années 1970. Les plaintes et les plaintes des victimes avaient donné lieu à l’ouverture d’audiences du Congrès et la CIA avait commencé à dénoncer des expériences contraires à l’éthique sur des sujets non intentionnels. Sous la direction du sénateur Ted Kennedy, les documents de la CIA qui ont survécu à la déchiqueteuse ont montré une image de l’expérimentation illégale plutôt bizarre, avec des expériences réalisées pour la plupart par des entreprises privées. Si la CIA n’avait pas enlevé des victimes dans des centres de recherche pour le procès et n’avait laissé aucun document comme preuve, il se peut que le fait n’aurait jamais été évoqué et qu’il n’y aurait pas eu d’audience au Congrès. L’opinion publique a été très choquée par ces graves abus. Le congrès a été consterné. La CIA a alors commencé à chercher d’autres moyens de poursuivre ses recherches sur le contrôle mental afin de pouvoir tout nier en le rendant invraisemblable et donc moins susceptible d’être découvert. L’ère de la surveillance neuronale à distance a donc commencé.

 

L’Agency for Advanced Research Projects a accordé un contrat de subvention de 338 000 $ au Stanford Research Institute (CSRI) en février 1972. Le directeur du programme était le Dr George Lawrence et le contrat a été formulé par le Dr Lawrence Pinneo dans le but de déterminer la faisabilité de la communication bio-cybernétique.

Plus précisément, le Dr Pinneo a étudié la faisabilité d’un projet visant à créer un lien de communication entre l’homme et l’ordinateur en utilisant l’activité électrique du cerveau pendant la réflexion verbale. L’hypothèse formulée était que l’activité électrique du cerveau pendant la pensée est similaire à l’activité électrique du cerveau pendant un discours. Les électroencéphalogrammes des sujets ont été mesurés à l’aide d’électrodes du cuir chevelu appliquées sur les lobes frontal et temporal. « La recherche était basée sur l’hypothèse que la pensée n’est rien de plus qu’un discours fait de façon silencieuse ou cachée. Les sujets ont reçu des cartes postales avec des mots auxquels ils devaient réfléchir pendant l’enregistrement de leurs électroencéphalogrammes (EEG). La recherche a conduit à la conclusion que l’électroencéphalogramme ( » EEG « ) révèle des réponses similaires pendant la lecture silencieuse et la lecture forte et que ces réponses peuvent être correctement classées par un ordinateur avec un degré élevé de précision.

L’étude du pavillon de l’oreille s’est également concentrée sur l’identification des modèles d’électroencéphalogrammes (EEG) des homonymes. Les homonymes sont des mots tels que « écrire » et « droit » qui se prononcent de la même manière mais ont des significations différentes.

Les modèles d’EEG étaient semblables lorsque les sujets pensaient aux mots « écrire » ou « bien ». Mais si les sujets pensaient au mot dans le contexte d’une phrase spécifique, avec l’analyse de l’électroencéphalogramme ( » EEG « ), il était possible de distinguer les deux mots autrement prononcés de la même manière. Les électrodes ont été appliquées à diverses parties du cuir chevelu ; cependant, les électrodes sur les lobes temporaux ont montré une précision plus grande et plus importante sur le plan statistique. Au contraire, les électrodes appliquées sur les zones occipitales ou pariétales du cerveau ont eu beaucoup moins de succès dans la création de corrélations.

Il ne faut pas oublier que les recherches de M. Pinnaeus ont été menées en 1972 avec une technologie relativement rudimentaire, surtout en ce qui concerne la mesure de l’électroencéphalogramme. Malgré le fait que les technologies nécessaires n’étaient pas disponibles à l’époque, ils étaient encore capables de créer un dictionnaire EEG de mots qui étaient pensés par sujets. Comme pour la recherche en visualisation à distance, le Dr Pinnaeus a conclu que les lobes temporaux du cerveau étaient les points les plus importants pour mesurer et représenter l’électroencéphalogramme (EEG) de la pensée. De plus, il a ajouté des paramètres avec lesquels il serait possible d’augmenter la précision de l’électroencéphalogramme correspondant au mot ou à la phrase de la pensée. Ces paramètres supplémentaires comprenaient la formation du sujet à l’utilisation du système d’exploitation et l’utilisation d’un « entraînement temporel » pour les réponses cachées, ainsi que la fourniture d’une série de réponses subjectives auxquelles le sujet aurait dû penser et qui étaient significatives pour lui. Dans l’ensemble, les recherches du Dr Pinnaeus en 1972 ont conclu qu’un système de communication bio-cybernétique qui permettrait à un ordinateur d’interpréter la pensée humaine à partir de l’électroencéphalogramme (EEG) était en fait possible. Il n’est donc pas surprenant que les références de son étude comprennent les études menées par le Dr W. R. Adey, un sous-traitant de MKULTRA.

Les recherches qui ont suivi se sont concentrées sur la possibilité de détecter à distance les potentiels électriques générés par le cerveau. La détection à distance par électroencéphalogramme (EEG) permet la surveillance à distance des activités sans qu’il soit nécessaire d’appliquer des électrodes sur le cuir chevelu du sujet et facilite les expériences sur des sujets humains sans leur consentement formel. Un chercheur, Robert G. Malech, a étudié la surveillance neurale à distance et la façon de modifier l’activité cérébrale à distance et ses travaux ont abouti à l’enregistrement d’un brevet américain en 1974, le nombre est 3951134. L’implant qu’il a créé était capable de transmettre un signal de base et un signal primaire au cerveau d’un sujet contrôlé. Dans ce cas, le cerveau du sujet transmet un deuxième signal en réponse aux deux signaux entrants. Essentiellement, les deux signaux entrants s’harmonisent avec la fréquence électrique inhérente du cerveau ou la forme d’onde d’interférence serait renvoyée au récepteur. La forme d’onde d’interférence peut alors être « démodulée », amplifiée et affichée visuellement, puis envoyée à un ordinateur. Selon Malech, la forme d’onde « démodulée » serait alors utilisée pour produire un signal de compensation qui pourrait être transmis au cerveau. Le signal de compensation peut être utilisé pour tenter de modifier artificiellement l’activité cérébrale et de produire un changement souhaitable de l’activité cérébrale chez les sujets. Dans la description de l’implant, Malech parle clairement du potentiel de cette découverte à être utilisée pour la télésurveillance neurale d’un sujet sans son consentement. Son brevet a été publié en 1976 et son implant était composé de composants couramment utilisés dans les systèmes radar de l’époque.

Par une « étrange coïncidence », une autre découverte concernant l’équipement radar a été « L’effet Frey » ou l’effet de l’audition micro-ondes.

Dans le dernier paragraphe du brevet publié par Malech, on peut lire la déclaration suivante : « Les personnes occupant des postes critiques, comme les conducteurs et les pilotes, peuvent être surveillées en permanence afin de permettre l’activation d’un dispositif de secours en cas de défaillance humaine. Les enlèvements, la somnolence et les soubresauts du sommeil peuvent être détectés. Les fonctions vitales telles que le pouls, la régularité de la fréquence cardiaque et d’autres fonctions peuvent être surveillées et des événements tels que les états d’hallucination peuvent être détectés. Le système permet également de rendre les diagnostics médicaux des patients inaccessibles aux médecins généralistes depuis des stations éloignées.

Gardez à l’esprit que l’implant Malech a été théorisé en 1976 avec des technologies bien inférieures à celles d’aujourd’hui.

Les progrès technologiques en matière de vitesse de calcul et de surveillance ont poussé les recherches du Dr Pinneo sur le dictionnaire des électroencéphalogrammes et l’installation de surveillance à distance des électroencéphalogrammes (EEG) de Malech plus loin que ces chercheurs ne l’auraient imaginé. En utilisant ces concepts fondamentaux, les recherches les plus modernes se sont concentrées sur la conversion des formes d’ondes électromagnétiques reçues en pensées audibles qui peuvent être contrôlées et enregistrées. Essentiellement, l’utilisation de techniques pour lire les pensées est quelque chose qui se fait depuis longtemps dans les milieux des services secrets. En plus de suivre les pensées d’un sujet, les chercheurs ont bénéficié de la recherche sur l’électroencéphalogramme (EEG) et des techniques précédemment utilisées par Malech. Une fois qu’un dictionnaire des formes d’ondes de l’électroencéphalogramme correspondant à divers états émotionnels a été créé, il est devenu relativement facile d’induire des états similaires au cerveau d’un sujet à travers une forme d’onde pour produire un état émotionnel souhaitable. On pourrait conclure qu’en utilisant la même technique, les cortex visuel et auditif du cerveau pourraient être résonés pour stimuler les hallucinations visuelles et auditives. Ainsi, les sujets le percevraient comme des hologrammes ou des sons apparemment réalistes qui ne peuvent être attribués à une source matérielle externe dans leur environnement. En fait, il y a des milliers de personnes aux États-Unis qui ont dénoncé ce genre de phénomène.

Bien que tout cela puisse sembler de la science-fiction à ce stade, si le lecteur place la recherche actuelle dans le contexte des études précédentes du projet MKULTRA, les objectifs réalisables et souhaitables semblent clairs. Les organismes à l’origine de la recherche étaient à la recherche de moyens de lire les pensées en temps réel dans le but de créer des méthodes de communication cachées ainsi que de créer une machine de vérité et de modifier les comportements. Afin de ne pas prendre du retard par rapport à la « guerre psychotronique », les différentes forces armées ont financé leurs propres recherches sur la télésurveillance neuronale de manière autonome. L’armée se réfère à la technologie pour déchiffrer la pensée et la transformer en « signal audible » en temps réel comme « télépathie synthétique ». L’armée a affecté une équipe de chercheurs du Irvine Center de l’Université de Californie 4 millions de dollars pour étudier et développer une méthode permettant aux soldats sur le champ de bataille de communiquer entre eux par télépathie synthétique. Tout cela se fera à l’aide d’une interface ordinateur/cerveau dans laquelle l’électroencéphalogramme (EEG) d’un soldat sera surveillé et décodé à distance, puis transmis à un autre cerveau sous la forme d’un signal sonore ou mental. Les chercheurs admettent qu’il y aura une augmentation de l’apprentissage à mesure que les soldats se préparent à communiquer entre eux en utilisant seulement des pensées et non des mots. L’argent provenant de ce financement provient des frais d’inscription au nom du Programme d’initiative de recherche universitaire multidisciplinaire du Département de la défense des États-Unis d’Amérique. Ce programme mène des recherches qui font intervenir plus d’une science et d’une discipline des métaux. En connaissant les faits, l’admission de l’armée dans cette entreprise peut sembler tout à fait innocente et avoir des implications importantes pour la sécurité nationale. Cependant, il y a un aveu plus alarmant si l’on lit entre les lignes. Leurs recherches actuelles portent sur la télépathie synthétique interactive entre différents combattants sur le champ de bataille. L’auteur est d’avis qu’il s’agit là d’un aveu que la technologie a déjà été perfectionnée dans les deux sens entre un sujet cible et un système de communication. Ceci est particulièrement pertinent si l’on tient compte du nombre croissant de personnes qui se plaignent d’entendre des voix dans la tête. Compte tenu de l’histoire de l’expérimentation secrète dans ce pays, est-il très possible que la population civile ait été utilisée comme cobaye de laboratoire involontaire pour mener des recherches sur cette technologie ? On peut facilement en conclure que c’est le cas.

Les recherches les plus récentes sur la télésurveillance neuronale visaient à décoder le potentiel d’action qui est généré lors d’un discours du cortex qui envoie des signaux aux muscles. Tout le monde connaît le dicton « ne parlez pas sans réfléchir ». Comme les érudits l’ont découvert, c’est impossible. Les pensées sont les précurseurs de la parole et c’est sur cette base que sont basés la télésurveillance neuronale, la télépathie synthétique et les dispositifs de contrôle mental. De nombreux chercheurs se sont concentrés sur l’étude des potentiels évoqués provenant du cortex cérébral responsable du langage (cortex de la parole) dans le but d’utiliser ensuite ces signaux pour contrôler différents dispositifs par la pensée. Pour atteindre cet objectif, nous devons découvrir la biomécanique de la parole et comprendre les corrélations entre les potentiels électromagnétiques générés à la fois dans les centres auditifs et dans les centres de la parole du cerveau. Une fois de plus, les lobes temporaux du cerveau humain se sont avérés être la zone la plus impliquée dans la formulation de la parole et de l’audition. En 1999, des chercheurs de la Albert Einstein School of Medicine ont publié un article dans l’International Journal of Neurophysiology dans lequel ils décrivaient les potentiels de champ enregistrés directement du complexe auditif. Leur étude s’intéressait davantage à la détermination de l' »heure de début de la voix » (VOT), l’intervalle de temps entre le début approprié et le début de la vibration des cordes vocales. L’établissement d’un délai entre le cerveau qui signale aux cordes vocales et les cordes vocales qui répondent réellement afin de générer la parole est important. Il permet de savoir quand et pendant combien de temps un signal sera présent pour être détecté à distance et converti électromécaniquement en une forme qui activera un dispositif. En fait, la recherche a été fructueuse. De nos jours, nous avons des générateurs de voix numériques et des arts robotiques qui peuvent être contrôlés avec la pensée qui vient des centres de la parole du cerveau. Bien que cette technologie puisse être extrêmement précieuse pour les personnes handicapées, le décryptage de la pensée peut avoir de graves conséquences pour la société dans laquelle elle est utilisée d’une manière plus cachée.

Des milliers de personnes aux États-Unis déclarent avoir été victimes de la télésurveillance neuronale. Reste à savoir si cela faisait partie de la phase expérimentale de cette technologie ou si elle est tombée entre les mains de criminels. De nombreuses victimes ont été accusées de délire et de paranoïa. Mais sachant que ce type de maladie mentale aux États-Unis a une incidence de 0,3 % dans la population générale et les nombreuses similitudes dans les histoires des victimes, on peut en conclure qu’il s’agit d’une expérience illégale. Toutefois, cette technologie très intrusive devrait être difficile à commercialiser en raison des craintes du public d’une nouvelle perte de vie privée et de confidentialité. Peut-être pas ! Bon nombre des communiqués de presse mettent l’accent sur des choses comme permettre aux personnes handicapées d’utiliser des appareils contrôlés par la pensée pour rendre leur vie plus confortable. De plus, lors de la Foire internationale des miniatures 2009 en Amérique, deux jouets d’enfants qui utilisaient l’électroencéphalogramme pour déplacer une balle et la faire tourner en réfléchissant ont été exposés. L’entraîneur de force Mindflex et Oncle Milton de Mattel utilise des écouteurs sans fil qui mesurent les ondes alpha et bêta qui sont utilisées pour ensuite produire un décalage d’une balle vers le haut, le bas ou sur le côté. Les jouets sont vendus pour 129,99 $ et 79,99 $ respectivement. Quoi de plus innocent et de moins menaçant que les jouets pour enfants ? Ne vous y trompez pas ; il s’agit simplement d’une tentative délibérée de commercialiser une forme de technologie qui aura de graves conséquences pour la société. Si vous avez encore des doutes, essayez de demander à l’une des victimes de ce genre de recherche qui a perdu sa carrière et sa famille parce qu’elle a été diagnostiquée comme délirante et paranoïaque, puis voyez la technologie qu’on lui a dite inexistante apparaître dans le Toys R US !

 

 

 

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Organized Stalking – Le Nouvel Ennemi Et La Nouvelle Guerre

Nouvelle Guerre mondiale : Méthodes révolutionnaires de contrôle politique – Mark M. Rich

Traduction de l’articleOrganized Stalking – The New Enemy And The New War

Cette nouvelle guerre est menée contre un large éventail de menaces potentielles. Selon la Défense et d’autres sources, il y a un nouvel ennemi qui vit parmi le peuple. Ces menaces à la sécurité nationale américaine sont  » complexes et mal définies « , nous dit le Los Alamos National Laboratory.

En ce qui concerne ces nouveaux ennemis, la publication Unconventional Warfare publiée par l’armée américaine en septembre 2008, proclame : « Les adversaires menacent les Etats-Unis dans un environnement opérationnel complexe, s’étendant des régions critiques d’outre-mer à la patrie. »

L’Institut d’études stratégiques de l’armée américaine a révélé dans son rapport du 15 juin 1998 intitulé Nonlethality and American Land Power qu’à l’avenir, les forces militaires seront confrontées à des adversaires qui ont été formés en Amérique.

« Nous devons également nous concentrer sur les menaces non traditionnelles au pays « , a mentionné le Collège de guerre de l’armée américaine dans son rapport d’avril 2002, Defending the Homeland. « Le pays doit se recentrer et fixer son attention sur la défense de la patrie contre un large éventail de menaces. »

Ce nouvel ennemi comprend des groupes et des individus qui ne sont pas membres d’une force militaire. « Nous ne sommes pas en guerre contre des nations ou de grandes armées, nous sommes en guerre contre des individus « , a proclamé le lieutenant-colonel John Forsythe de l’US Air Force dans un article du Defense Daily du 8 février 2005.

Dans un article intitulé Man-Hunting, Nexus Topography, Dark Networks, and Small Worlds, paru dans le numéro d’hiver 2006 d’Iosphere, l’adjudant-chef 3, John R. Dodson a annoncé : « Les menaces asymétriques qui pèsent actuellement sur la politique nationale américaine ne sont pas celles des grandes armées permanentes. Ce sont des individus et des groupes d’individus aux vues similaires. »

Les ennemis sont rarement des États, dit Toffler Associates, dans un rapport publié pour la Defense Intelligence Agency. Ce sont plutôt des individus et des groupes qui constituent des menaces à la sécurité nationale et qui doivent être neutralisés.

L’armée américaine a déclaré que cette guerre serait menée contre des ennemis confirmés ainsi qu’un large éventail d’autres menaces potentielles. La force multinationale comptera beaucoup sur la population civile pour neutraliser le nouvel ennemi qui vit parmi eux. « De nouvelles menaces asymétriques sont apparues « , a annoncé le Département de la défense dans son rapport annuel 2007. « C’est un ennemi qui vit et se cache parmi la population civile », ont-ils souligné.

« Les menaces d’aujourd’hui », a révélé Applied Energetics, un entrepreneur de la défense du gouvernement, « sont souvent caractérisées par un ennemi non étatique qui opère au sein d’une population civile, dans des zones urbaines et encombrées ». Les nouveaux ennemis ont été décrits comme : insurgés, acteurs non étatiques, menaces asymétriques, menaces irrégulières, adversaires, etc. Avant d’examiner plus en détail le nouvel ennemi, jetons un coup d’œil aux différents termes utilisés pour le décrire.

Les étiquettes du nouvel ennemi

Adversaire

Le 27 février 2008, l’US Army Field Manual Operations définit un adversaire de cette façon : « Un adversaire est une partie reconnue comme potentiellement hostile à une partie amie et contre laquelle l’usage de la force peut être envisagé. » Les adversaires comprennent également des membres de la population locale qui sympathisent avec l’ennemi. Donc, un adversaire est quelqu’un qui pourrait être hostile ou des gens qui le soutiennent.

Ennemi irrégulier

Le document Unconventional Warfare 2008 de l’armée américaine décrit un ennemi irrégulier de la manière suivante : « Les irréguliers, ou forces irrégulières, sont des individus ou des groupes d’individus qui ne sont pas membres d’une force armée régulière, de la police ou d’une autre force de sécurité intérieure. » Ils ne sont généralement pas parrainés par l’État et ne sont pas soumis aux lois et aux frontières d’une nation souveraine. Les ennemis irréguliers utilisent des méthodes non conventionnelles ou asymétriques pour contrer les avantages américains.

Selon l’armée, les ennemis irréguliers comprennent, entre autres, les forces paramilitaires, les entrepreneurs, les particuliers, les entreprises, les organisations politiques étrangères, les organisations de résistance ou d’insurrection, les expatriés, les terroristes transnationaux, les membres désillusionnés du terrorisme transnational, les marchands noirs et autres « indésirables » sociaux ou politiques.

Acteur non étatique

Les acteurs non étatiques (ANE) sont ceux qui opèrent en dehors du contrôle des États ou des gouvernements reconnus par les Nations Unies. Il s’agit notamment des terroristes, des groupes d’autodéfense, des groupes de protection civile qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement et des insurgés. Les autres types d’ANE sont les forces armées dissidentes, les guérillas, les mouvements de libération, les combattants de la liberté, les groupes rebelles d’opposition, les coopératives agricoles, les milices locales et certains individus.

En outre, toutes les diverses organisations de la catégorie des ONG peuvent être considérées comme des acteurs non étatiques si elles ne sont pas sous le contrôle de l’État ou d’entreprises. La RAND Corporation décrit la NSA comme étant  » ceux qui cherchent à confondre les croyances fondamentales des gens au sujet de la nature de leur culture, de leur société et de leur gouvernement « . D’autres adversaires, selon le RAND, sont des « militants de la société civile qui luttent pour la démocratie et les droits de l’homme ». La RAND relie ensuite ces militants sociaux à des groupes anarchistes militants gérés par l’État, tels que le bloc noir, les qualifiant ainsi de terroristes nationaux.

Le livre Network Centric Warfare, écrit par David S. Alberts, John J. Garstka et Frederick P. Stein, et sponsorisé par le Département de la Défense, explique les acteurs comme : Les entités qui ont pour fonction première de créer de la  » valeur  » sous la forme d’une  » puissance de combat  » dans l’espace de combat. Les acteurs emploient des moyens traditionnels (mortels) et non traditionnels (non mortels). »

Dans une autre publication de RAND publiée en 2005, écrite par Deborah G. Barger, intitulée Toward a Revolution in Intelligence Affairs, un acteur non étatique est décrit comme toute personne qui agit ou planifie contre les intérêts de sécurité nationale américains. Les personnes utilisant de telles approches asymétriques, selon le RAND, deviendront la principale menace pour la patrie américaine.

Insurgé

Le 1er août 2007, le document Air Force Doctrine document on irregular warfare, définit une insurrection comme  » un mouvement organisé visant à renverser un gouvernement constitué par la subversion et les conflits armés « .

Une insurrection est une guerre révolutionnaire, dit l’armée américaine. Selon le Dictionary of Military and Associated Terms du DOD, un insurgé est un  » membre d’un parti politique qui se rebelle contre une direction établie « . Les insurrections surviennent habituellement lorsqu’une population est opprimée et sont menées par des gens qui orchestrent ce que la Force aérienne appelle une opération d’information (OI), qui est essentiellement la diffusion de l’information. Les insurgés utilisent les médias d’information et Internet pour communiquer, former, recruter et financer.

Ils accusent également l’entité dirigeante d’être à l’origine de doléances sociales, politiques ou même religieuses latentes et répandues. Ils peuvent utiliser des méthodes violentes ou non violentes pour convaincre la population que leur cause est morale. Certaines insurrections sont internationales.

Les insurgés sont ceux qui tentent de persuader la population d’accepter le changement politique. Si la persuasion ne fonctionne pas, ils peuvent utiliser l’intimidation, le sabotage, la propagande, la subversion, la force militaire ou la terreur. Certains insurgés tentent d’organiser la population en un mouvement de masse, selon l’armée de l’air, pour séparer ou renverser le gouvernement en place.

Si toutes ces conditions doivent exister pour qu’une personne puisse être qualifiée d’insurgé, alors celles qui utilisent des méthodes non violentes pour provoquer des changements peuvent ne pas être incluses. Cependant, si seulement quelques actions non-violentes, comme influencer une population, contraindre un parti au pouvoir à changer son comportement, diffuser des informations (campagnes d’OI), ou organiser un mouvement de masse contre l’oppression sont nécessaires pour répondre à cette explication, alors ceux qui résistent à la tyrannie peuvent être considérés comme insurgés.

Un nouvel ennemi pour une nouvelle guerre mondiale

Comme des sources officielles l’ont mentionné plus haut, ces descriptions du nouvel ennemi sont en effet vagues, ce qui permet de nombreuses interprétations possibles quant à l’identité de l’ennemi. Selon ces définitions, l’ennemi n’utilise pas nécessairement la violence pour promouvoir le changement politique. Leurs méthodes peuvent être non violentes.

La considération principale ici est qu’il s’agit de groupes ou d’individus qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement, qui s’opposent au leadership établi et qui peuvent influencer la population à promouvoir le changement politique. Ensuite, il y a les ennemis potentiels qui seront ciblés en raison d’une action qu’ils pourraient entreprendre à l’avenir. Nous découvrirons dans le prochain chapitre que les manifestants non-violents sont étiquetés comme des terroristes. Ces variations de l’ennemi seront appelées tout au long de ce livre le nouvel ennemi.

Résistance au mouvement mondial

« Les menaces les plus pressantes du nouvel environnement de sécurité sont les réactions violentes au mouvement du monde vers un système international unique « , a révélé le ministère de la Défense dans son rapport de novembre 2002 intitulé Opérations basées sur les effets : Appliquer la guerre centrée sur le réseau en temps de paix, de crise et de guerre. « L’hostilité manifeste à l’égard de ce qui est perçu comme une mondialisation fortement américaine « , ajoute-t-il,  » montre clairement que cette évolution ne sera ni facile ni sans danger important « .

De même, le CFR avait ceci à dire au sujet des résistants de ce mouvement mondial : « Dans la transformation d’un processus, il y a souvent des éléments moins sujets à l’évolution. » Selon le CFR, ces résistants évolutifs utilisent un mouvement de résistance dispersé qui est dissimulé au sein de la population civile. Ils suggèrent que l’armée américaine change sa tactique pour neutraliser ces résistants.

« Alors que la mondialisation accroît l’intégration mondiale, explique l’armée américaine, l’ampleur des menaces qui pèsent sur la sécurité et la sûreté publique des États-Unis s’étend à l’ensemble de la planète. « Les ennemis de l’intégration, conseille Toffler Associates, représentent la menace la plus grave pour l’ordre mondial. » Les forces de sécurité, par conséquent, localiseront et neutraliseront de plus en plus ces menaces à la mondialisation, selon l’armée américaine.

Ainsi, ces groupes de réflexion gouvernementaux et ces rapports militaires nous disent que le nouvel ennemi inclut des groupes et des individus ayant des opinions politiques particulières qui font obstacle au développement humain à mesure que notre société évolue vers une civilisation mondiale.

Guerre de l’information

Ces nouveaux ennemis existent partout sur la planète. Selon l’armée américaine et les sous-traitants de la défense du gouvernement américain, ils utilisent des ordinateurs, l’Internet, des télécopieurs, des téléphones portables et des médias publics pour transmettre leurs messages. L’Internet est utilisé pour les communications, la propagande, le financement et la formation, nous disent-ils.

Les ennemis utilisent leur position au sein de la structure militaire, politique ou sociale d’un État pour atteindre leurs objectifs. Ils utilisent les opérations d’information pour influencer les forces de l’État au sein de la population. Dans diverses publications, l’acte de transmettre de l’information a été appelé guerre du réseau, opérations d’information, guerre de l’information, attaques de l’information, etc. Selon la RAND Corporation, la plus grande partie de cette guerre du réseau se fait par l’intermédiaire des médias, notamment les journaux, les magazines, la télévision, les télécopieurs et surtout Internet.

Selon un article intitulé A Theory of Information Warfare, paru dans le numéro du printemps 1995 du Airpower Journal, les attaques d’information visent les systèmes de connaissances ou de croyances des adversaires. Les opérations d’information (OI) ont également été appelées cyberguerre, guerre de l’information (infoguerre), guerre centrée sur les réseaux (netwar, NCW) et guerre de commandement et de contrôle (C2W).

Le DOD décrit IO comme suit : « L’utilisation intégrée des capacités de base de la guerre électronique, des opérations de réseaux informatiques, des opérations psychologiques, de la tromperie militaire et de la sécurité des opérations, de concert avec des capacités de soutien et des capacités connexes précises, pour influencer, perturber, corrompre ou usurper la prise de décision humaine et automatisée accusatoire tout en protégeant nos propres capacités « .

Puisqu’il n’y a aucune référence à l’utilisation des OI par les ennemis dans cette définition, lorsqu’on dit qu’un ennemi s’engage dans des OI, on peut considérer que leurs activités répondent à cette définition. Toutefois, le contexte dans lequel les OI et les termes connexes ont été utilisés par les sources officielles donnent à penser que le simple fait de transmettre des informations, à lui seul, peut être décrit comme une OI.

La définition suivante de l’infoguerre est parue dans une édition de 1999 de l’Air and Space Power Journal, dans un article intitulé What is Information Warfare ? « La guerre de l’information est toute action visant à nier, exploiter, corrompre ou détruire les informations de l’ennemi et ses fonctions, à nous protéger contre ces actions et à exploiter nos propres fonctions d’information militaire. Ainsi, les attaques d’information, les opérations d’information, le commandement et le contrôle de la guerre, la guerre de l’information, etc. sont fondamentalement les mêmes.

La nouvelle guerre est une guerre menée à des fins politiques. Il est fait pour le soutien et l’influence de la population. « Ses batailles se livrent entre les peuples, nous dit l’US Marine Corps, et ses résultats sont déterminés par les perceptions et le soutien du peuple.

Ce qui rend ce nouveau type de guerre différent, selon la Défense, c’est le centre de ses opérations, qui est une population pertinente, ainsi que son but, qui est d’obtenir ou de maintenir le contrôle ou l’influence sur cette population pertinente, et de l’appuyer. L’accent est mis sur la légitimité d’une autorité politique pour contrôler ou influencer une population.

Parce que la force multinationale doit être perçue comme légitime par les civils sur lesquels elle repose, l’information est une arme dévastatrice. Les idées qui influencent la perception d’une personne sont transmises par l’information. « Les techniques de guerre de l’information, explique Steven J. Lambakis dans un article du Joint Force Quarterly intitulé Reconsidering Asymmetric Warfare, constituent des menaces asymétriques pour les États-Unis et leurs intérêts. Cette nouvelle guerre est une « guerre des idées et de la perception », telle que la décrit l’US Marine Corps.

Le livre, La révolution de l’information et la sécurité nationale, publié par l’Institut des études stratégiques, décrit la guerre de l’information comme un type de virus ou d’agent cognitif qui infecte les gens avec une unité d’informationCette nouvelle guerre est menée contre un large éventail de menaces potentielles. Selon la Défense et d’autres sources, il y a un nouvel ennemi qui vit parmi le peuple. Ces menaces à la sécurité nationale américaine sont  » complexes et mal définies « , nous dit le Los Alamos National Laboratory.

En ce qui concerne ces nouveaux ennemis, la publication Unconventional Warfare publiée par l’armée américaine en septembre 2008, proclame : « Les adversaires menacent les Etats-Unis dans un environnement opérationnel complexe, s’étendant des régions critiques d’outre-mer à la patrie. »

L’Institut d’études stratégiques de l’armée américaine a révélé dans son rapport du 15 juin 1998 intitulé Nonlethality and American Land Power qu’à l’avenir, les forces militaires seront confrontées à des adversaires qui ont été formés en Amérique.

« Nous devons également nous concentrer sur les menaces non traditionnelles au pays « , a mentionné le Collège de guerre de l’armée américaine dans son rapport d’avril 2002, Defending the Homeland. « Le pays doit se recentrer et fixer son attention sur la défense de la patrie contre un large éventail de menaces. »

Ce nouvel ennemi comprend des groupes et des individus qui ne sont pas membres d’une force militaire. « Nous ne sommes pas en guerre contre des nations ou de grandes armées, nous sommes en guerre contre des individus « , a proclamé le lieutenant-colonel John Forsythe de l’US Air Force dans un article du Defense Daily du 8 février 2005.

Dans un article intitulé Man-Hunting, Nexus Topography, Dark Networks, and Small Worlds, paru dans le numéro d’hiver 2006 d’Iosphere, l’adjudant-chef 3, John R. Dodson a annoncé : « Les menaces asymétriques qui pèsent actuellement sur la politique nationale américaine ne sont pas celles des grandes armées permanentes. Ce sont des individus et des groupes d’individus aux vues similaires. »

Les ennemis sont rarement des États, dit Toffler Associates, dans un rapport publié pour la Defense Intelligence Agency. Ce sont plutôt des individus et des groupes qui constituent des menaces à la sécurité nationale et qui doivent être neutralisés.

L’armée américaine a déclaré que cette guerre serait menée contre des ennemis confirmés ainsi qu’un large éventail d’autres menaces potentielles. La force multinationale comptera beaucoup sur la population civile pour neutraliser le nouvel ennemi qui vit parmi eux. « De nouvelles menaces asymétriques sont apparues « , a annoncé le Département de la défense dans son rapport annuel 2007. « C’est un ennemi qui vit et se cache parmi la population civile », ont-ils souligné.

« Les menaces d’aujourd’hui », a révélé Applied Energetics, un entrepreneur de la défense du gouvernement, « sont souvent caractérisées par un ennemi non étatique qui opère au sein d’une population civile, dans des zones urbaines et encombrées ». Les nouveaux ennemis ont été décrits comme : insurgés, acteurs non étatiques, menaces asymétriques, menaces irrégulières, adversaires, etc. Avant d’examiner plus en détail le nouvel ennemi, jetons un coup d’œil aux différents termes utilisés pour le décrire.

Les acteurs non étatiques (ANE) sont ceux qui opèrent en dehors du contrôle des États ou des gouvernements reconnus par les Nations Unies. Il s’agit notamment des terroristes, des groupes d’autodéfense, des groupes de protection civile qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement et des insurgés. Les autres types d’ANE sont les forces armées dissidentes, les guérillas, les mouvements de libération, les combattants de la liberté, les groupes rebelles d’opposition, les coopératives agricoles, les milices locales et certains individus.

Le harcèlement organisé – La nouvelle guerre

Une partie de cette RMA comprend un changement dans les forces concurrentes parce que la plupart des nations ne peuvent pas défier les Etats-Unis avec une force militaire directe. Maintenant que la plupart des nations ont été conquises, soit par la puissance militaire, soit par la subversion économique, la guerre régulière d’État à État sera progressivement éliminée.

Les Etats-Unis et leurs alliés vont maintenant faire la guerre aux individus et aux groupes de toute la planète. La campagne militaire mondiale utilisée pour mener ce nouveau type de guerre a été appelée la guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) et la longue guerre (LW). Cela a été expliqué par la RAND Corporation dans le livre In Athena’s Camp, de cette façon : « A l’avenir, peu d’opposants rationnels seront susceptibles de défier, ou même capables de défier, les Etats-Unis dans un combat avec de grandes forces militaires multidimensionnelles. »

Un tel adversaire, dit le RAND, ne cherchera pas à détruire les Etats-Unis par la puissance militaire, mais à ruiner leurs valeurs fondamentales, en particulier si ces valeurs ne sont pas compatibles avec leurs croyances religieuses, culturelles ou idéologiques profondément ancrées.

La School of Advanced Military Studies de l’armée américaine mentionnée dans son rapport du 22 mai 2003, Deterring and Responding to Asymmetrical Threats : « En raison de la domination militaire conventionnelle, les États-Unis seront très probablement confrontés à des menaces régionales qui les mettront à l’épreuve par des approches asymétriques, telles que les stratégies de déni de zone, la concurrence économique et la guerre de l’information.

Les noms spécifiques donnés aux petites guerres qui seront menées à l’échelle mondiale comprennent la guerre asymétrique (AW), la guerre de quatrième génération (4GW), la guerre de troisième vague (3WW), la guerre en réseau (NCW, netwar), la capacité en réseau de l’OTAN (NNEC) et les opérations militaires autres que la guerre (MOOTW). D’autres sont des conflits de faible intensité (LIC), des guerres irrégulières (IW) et des guerres non conventionnelles (UW). Les termes connexes comprennent les opérations basées sur les effets (EBO), les opérations civilo-militaires (CMO) et les opérations de paix (PO).

Divers termes et définitions sont utilisés pour décrire ce type de guerre. La définition d’un seul terme peut se chevaucher ou être contradictoire lorsque plusieurs sources sont observées. Certaines sources décrivent un type particulier de guerre comme synonyme d’autres types, associant ainsi ses caractéristiques à ces autres types.

Certains termes qui ont été remplacés par des termes plus récents peuvent encore être utilisés par certains auteurs. Certaines sont plus ou moins des théories que des types de guerre. Cependant, il existe un modèle de stratégies et de tactiques que partagent ces méthodes de guerre, que j’appelle des caractéristiques communes.

Dans le cadre de cette étude, les types de guerre que nous venons de mentionner sont synonymes parce qu’ils ont été décrits comme tels par des sources crédibles et parce que j’ai remarqué que chacun contient la plupart des caractéristiques communes, qui sont :

  • Ce sont des guerres politiques internationales, prolongées et politiques qui se déroulent entre les peuples.
  • Il s’agit d’un effort conjoint inter-institutions entre l’armée, les forces de l’ordre fédérales et les forces de l’ordre locales et d’État, connues dans le monde entier sous le nom de force multinationale (FMN), ainsi que les organisations non gouvernementales (ONG) et les organisations intergouvernementales (OIG).
  • Ils utilisent la population civile et le secteur privé du pays hôte (HN) lors d’opérations civilo-militaires (CMO) contre les ennemis internes d’un Etat.
  • Ils doivent être perçus comme légitimes par la population civile du pays hôte afin d’obtenir sa coopération.
  • Ils comptent sur des opérations psychologiques, l’isolement et des armes non létales, généralement pour la destruction de la volonté de l’ennemi.
  • Ils utilisent la synchronisation des tactiques et des stratégies.

Unité d’effort/Inter-agence

Ces guerres sont des opérations internationales inter-organisations qui utilisent une approche combinée, hautement coordonnée et synchronisée pour réaliser l’unité d’effort, aussi appelée action unifiée, pendant les attaques. Parmi les organisations concernées figurent les services de détection et de répression locaux et d’État, qui coopèrent avec les organismes fédéraux et les forces armées du pays d’accueil. Aux États-Unis, cela signifie le FBI, la NSA, la CIA et la FEMA.

Les forces militaires de la plupart des pays y participent par l’intermédiaire d’une force militaire alliée appelée Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Ils travaillent avec la population civile dans le cadre du soutien civil, également appelé opérations civilo-militaires (OCM). Les participants non militaires comprennent : les organisations non gouvernementales (ONG), les organisations bénévoles privées (OVP) et les organisations intergouvernementales (OIG). À l’échelle nationale, cette force combinée s’appelle la force interorganismes ; à l’échelle mondiale, elle s’appelle la force multinationale (FMN).

Le secteur privé est également impliqué. Il ne s’agit donc pas seulement des gens des collectivités, mais aussi des lieux de travail, des magasins, des restaurants, des entreprises, etc. Fondamentalement, toutes les entités centrales qui composent une nation sont impliquées. Certaines de ces activités sont dirigées par les Nations Unies (ONU).

En raison des progrès de la communication, cette force internationale interorganisations, qui est fusionnée avec la population civile, fonctionne comme une seule unité, ou ce que l’armée américaine appelle une action unifiée. Leurs activités aux niveaux stratégique, opérationnel et tactique sont étroitement synchronisées en raison des progrès technologiques.

Synchronisation

La synchronisation est un type d’action unifiée qui consiste en de multiples opérations menées simultanément dans l’espace de combat, généralement à un rythme élevé. Il s’agit d’une tactique militaire ancienne où la vitesse et la séquence des attaques sont organisées pour obtenir la victoire. C’est un produit du C4ISR (qui sera expliqué prochainement) et un concept important dans ce nouveau type de guerre.

L’armée américaine explique l’action unifiée comme suit : « la synchronisation, la coordination et/ou l’intégration des activités des entités gouvernementales et non gouvernementales avec les opérations militaires pour réaliser l’unité d’effort. Elle implique l’application de tous les instruments du pouvoir national, y compris les actions d’autres agences gouvernementales et d’organisations militaires et non militaires multinationales. »

La synchronisation est une fonction internationale et interinstitutions à laquelle participent l’ONU, l’OTAN, des ONG, des entrepreneurs gouvernementaux, le secteur privé, ainsi que des organismes militaires, locaux, d’État et fédéraux du pays hôte.

L’idée est que le lancement d’attaques multiples ou d’une série d’attaques effectuées dans une séquence particulière aura un effet multiplicateur qui « immobilisera, supprimera ou choquera l’ennemi », selon l’armée américaine. La synchronisation se fait aux niveaux stratégique, opérationnel et tactique.

Il s’agit d’un partage vertical et horizontal (harmonisation) de l’information. Sur le plan vertical, le type d’environnement, l’objectif et les forces déterminent le guidage et la flexibilité nécessaires à une opération. La synchronisation se fait horizontalement à travers l’espace de combat au niveau tactique entre les forces et les organisations. La FMN utilise des méthodes informatisées automatisées pour synchroniser l’information. La transmission de ces informations est fréquente et rapide.

Les activités qui sont synchronisées changent continuellement en fonction de toute nouvelle information obtenue par le renseignement. Il s’agit du traitement rapide et de la transmission de l’information obtenue par le renseignement aux commandants, aux planificateurs et aux forces qui se trouvent dans l’espace de combat.

En raison de la vitesse à laquelle l’information est traitée et transmise, les attaques dirigées contre un ennemi peuvent être le résultat d’un renseignement en temps quasi réel, voire en temps réel. Dans le passé, les manœuvres de force étaient retardées par la transmission d’informations. Aujourd’hui, en raison des progrès technologiques, ce sont les commandants qui doivent attendre que leurs instructions précédentes soient exécutées avant de transmettre instantanément l’ensemble suivant de commandes, ce qui peut être le résultat de renseignements en temps réel.

Le livre, Understanding Information Age Warfare, de David S. Alberts, John J. Garstka, Richard E. Hayes et David A. Signori, commandité par RAND et MITRE Corporations, l’explique ainsi : « En fait, à mesure que la vitesse de la prise de décision et des flux d’information associés au processus C2 augmente, les dynamiques[attaques et mouvements] associées aux éléments de force dans le domaine physique vont définir les limites de la synchronisation globale. »

Champ de bataille élargi

Le champ de bataille pour ce nouveau type de guerre s’est étendu au secteur civil. Pour cette raison, on l’appelle maintenant l’espace de combat. L’espace de combat est mondial. Les batailles se déroulent au sein de la population civile où les militaires utilisent des civils comme forces irrégulières.

L’architecture physique de l’espace de combat comporte plusieurs niveaux. Au sommet se trouve le niveau spatial qui inclut les satellites. Dans l’espace proche, il y a des drones et des avions volant à haute altitude. Ensuite, il y a le niveau de manœuvre qui contient les personnes, les robots, les véhicules, les navires et les avions volant à basse altitude.

« La défense de la patrie implique un espace de combat global et multidomaine « , a proclamé le ministère de la Défense dans son rapport de juin 2005, intitulé Strategy for Homeland and Civil Support. « La portée mondiale des adversaires potentiels et existants nécessite une perspective mondiale. »

La population civile joue un rôle important dans l’expansion de l’espace de combat, selon le DOD. Pour réussir ces nouvelles missions, les actions des organisations militaires et civiles seront coordonnées beaucoup plus étroitement qu’elles ne l’étaient dans le passé. Dans sa publication Network Centric Warfare de 2000, le DOD avait ceci à dire au sujet de la population civile utilisée par les militaires : « Bien que les civils aient été impliqués en tant que victimes et dans le soutien des rôles[de combat] tout au long de l’histoire, ils joueront un rôle de plus en plus important dans les espaces de combat de l’avenir. »

« L’environnement opérationnel s’étendra aux zones historiquement à l’abri des combats « , nous dit l’armée américaine dans son rapport du 27 février 2008 Field Manual Operations,  » y compris la partie continentale des États-Unis et le territoire des partenaires multinationaux, notamment les zones urbaines « . « Toutes les opérations, poursuit-il, se dérouleront  » au sein de la population  » et les résultats seront mesurés en termes d’effets sur les populations.

Selon l’armée, le nouvel ennemi cherchera de plus en plus à se protéger parmi la population civile. La  » lutte de l’avenir « , disent-ils, se déroulera essentiellement parmi les civils et nécessitera donc la domination des Etats-Unis en matière de sécurité dans ces zones.

 

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Qu’est-ce que « Gaslighting » et comment il est utilisé dans le harcèlement criminel organisé ?

Traduction de l’article : What Is Gaslighting and How it is Used in Organized Stalking

Le Gaslighting ou « Ambient Abuse » est une technique psychologique criminelle utilisée par les membres de ces groupes organisés de harcèlement criminel. Le but du Gaslighting est de faire en sorte qu’une victime se questionne sur sa santé mentale et sur les abus psychologiques dont elle est victime, en faisant de petites choses pour essayer de lui faire croire qu’elle devient folle. Le Gaslighting consiste simplement à essayer de convaincre quelqu’un qu’il est fou ou qu’il « imagine des choses ». Par exemple, si vous mentionnez le harcèlement organisé à quelqu’un qui le sait et qu’il vous dit que vous êtes fou ou paranoïaque, il s’agit de quelqu’un qui tente de vous « Gaslighter ». Le terme Gas-Lighting vient du film Gaslight de 1944. Dans le film, le personnage de Gregory Anton, interprété par l’acteur Charles Boyer, tente de rendre fou le personnage de Pauline, interprété par l’actrice Ingrid Bergman. L’expression « Gaslighting » signifie depuis, en Anglais, des actions et des comportements tels qu’ils sont utilisés dans le film, à l’encontre d’une victime.

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Articles de presse

Conférence sur le harcèlement occulte, tenue en novembre 2014 à Bruxelles

Conférence sur le harcèlement occulte, tenue en novembre 2014 à Bruxelles.
Les moyens de vaincre le secret entourant l’existence
des technologies de contrôle mental
Article de Mojmir Babáček
Traduction de Rudy Andria
Il existe depuis une dizaine d’années une tendance évidente de la
politique mondiale à placer la lutte pour le pouvoir au-dessus de la
lutte pour la démocratie. Cela peut s’illustrer par la situation
actuelle en Ukraine. Vous savez probablement que, lors des dernières
élections, la majorité des Ukrainiens de l’Est n’ont pas voté pour les
partis promouvant l’adhésion de l’Ukraine à l’Union Européenne.
Cependant, l’Union Européenne démocratique et les Etats-Unis
soutiennent la guerre démocratique des Ukrainiens occidentaux contre
leurs compatriotes de l’Est, tandis que la Russie démocratique
soutient les Ukrainiens de l’Est dans la guerre contre les Ukrainiens
de l’Ouest. N’est-ce pas la preuve que la démocratie dans le monde
contemporain n’est pas une priorité pour les élites au pouvoir et les
entités financières derrière eux?
La question de la classification des technologies de contrôle mental
fait partie de cette favorisation du pouvoir au détriment de la
démocratie. Il n’y aurait aucune raison de cacher des yeux du public
ces technologies, si nous devions vivre dans un monde où prévaudrait
la démocratie.
Le fait que les technologies de contrôle mental soient classées
secrètes est la raison pour laquelle les technologies en question
peuvent être utilisées sur des individus innocents. Dès lors que les
citoyens savent que leurs gouvernements sont en possession des
technologies en mesure de contrôler les fonctions mentales et
corporelles des citoyens, ces citoyens exigeraient l’interdiction
immédiate et contrôlable de ces technologies, et les gouvernements en
sont parfaitement conscients. Savoir que les gouvernements sont en
possession de ces technologies équivaut à savoir que la démocratie
n’existe plus. D’ailleurs, nos efforts pour diffuser, autour de nous,
des informations sur l’existence de ces technologies sont des efforts
pour sauvegarder la démocratie et la sauvegarde de la démocratie peut
également être définie comme un objectif de la présente conférence.
Pour les victimes de l’expérimentation de ces technologies, la mise au
secret de telles technologies est le principal obstacle qu’elles
rencontrent, dès lors qu’elles souhaitent recouvrer leur liberté et
récupérer leur bonne santé. Une fois que la technologie destinée au
contrôle à distance du système nerveux est déclassifiée, il ne
resterait plus qu’à obtenir une législation interdisant l’usage de ces
technologies, créer des équipes capables de mesurer et de détecter les
radiations nocives et en trouver les sources. Les victimes ciblées par
ces radiations seront en mesure d’exiger le contrôle de l’utilisation
de ces technologies sur leur personne et pourront ainsi mettre fin à
leur torture. Très peu d’individus, jusqu’ici, sont touchés par ces
radiations et, vu leur nombre dérisoire, ils n’ont aucune chance de
l’emporter dans le processus démocratique. C’est là que réside le
problème.
Il y a plusieurs façons d’attirer l’attention d’un grand nombre de
gens sur la question des technologies de contrôle mental et d’amener
les législateurs et les responsables gouvernementaux à oeuvrer pour
l’interdiction de l’utilisation des radiations contrôlant le
fonctionnement du système nerveux:
La première approche consiste à diffuser les preuves convaincantes de
l’existence des technologies de contrôle mental, par le canal
d’Internet. Un certain nombre  d’expériences scientifiques ont été
publiées et prouvent que les micro-ondes pulsées peuvent produire des
effets sur le système nerveux, parmi lesquels des hallucinations
auditives et l’audition via micro-ondes. Cette preuve scientifique
peut être étayée par des informations des sites web des ministères de
la défense des pays de l’OTAN engagés dans le
développement des armes non létales, parmi lesquelles les armes à
radiofréquences agissant sur le système nerveux, comme il est indiqué
dans le rapport du Parlement Européen intitulé « Technologies de
Contrôle des Foules »
http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/etudes/stoa/2000/168394/DG-4-STOA_ET%282000%29168394_EN%28PAR02%29.pdf.
A titre d’exemple, nous pouvons lire sur le site du Ministère de la
Défense de la République Tchèque:. « Rayonnement électromagnétique à
hautes fréquences: il perturbe l’activité du cerveau et du système
nerveux central. L’effet est perçu par l’individu, à la fois comme une
insupportable et douloureuse sensation d’intense bourdonnement et un
grincement accompagné d’anxiété et de malaise, en fonction des
conditions et des paramètres précis du signal « . Afin de cacher cette
information à l’opinion publique tchèque, cet article, apparemment,
n’est plus accessible directement sur la page web du Ministère Tchèque
de la Défense, mais vous pouvez encore le trouver sur le site du
Ministère, dès lors que vous en connaissez l’adresse exacte
http://www.army.cz/scripts/detail.php?id=2212. Une autre preuve
démontrant qu’au moins certains gouvernements sont en possession des
technologies de contrôle mental peut être trouvée dans les actions
politiques visant soit  l’interdiction des technologies de contrôle
mental soit l’usage militaire que l’on en fait.
Déjà, dans le cadre du Comité des Nations Unies en 1986, la Russie a
proposé l’interdiction des armes à hautes fréquences, qu’elle
considérait comme des armes de destruction massive. Seuls les
Etats-Unis ont voté contre . Les armes n’ont donc pas été interdites.
En 1998, la Russie a adressé aux Nations Unies, à l’OSCE et au Conseil
de l’Europe, une proposition pour une convention internationale
interdisant le développement et l’utilisation des armes d’information.
Jusqu’à cette date-là, il a été présenté au Parlement Russe quatre
projets de loi proposant l’interdiction des technologies de contrôle
mental. Il y eut une coopération entre l’Union Européenne et la
Russie, l’année suivante et en 1999, le Parlement Européen a adopté la
résolution visant à interdire la manipulation des êtres humains. La
Russie et l’Union Européenne, de toute évidence, ont uni leurs
efforts, afin d’empêcher la progression du système américain HAARP qui
peut, apparemment, être utilisé pour manipuler le système nerveux de
populations entières. Il semble donc assez clair que la convention
interdisant le développement et l’utilisation des armes d’information,
une fois de plus, n’a pas été signée, en raison de la réticence des
Etats-Unis. Bien au contraire, ils ont réussi à
convaincre les pays de l’Union Européenne d’accepter le développement
des armes non létales, dans leurs doctrines militaires et à abandonner
leurs efforts visant à interdire les technologies de contrôle mental.
En 2001, Dennis J. Kucinich s’opposa à la décision du gouvernement
américain de maintenir leurs technologies de contrôle mental et
présenta au Congrès Américain le projet de loi sur la Préservation de
l’Espace exigeant, entre autres, l’interdiction de ces technologies.
Cependant, ses efforts n’ont pas duré longtemps. Après le long silence
sur la question, en 2012 la Russie, face au danger que ses armes
nucléaires ne présenteront plus une menace pour les Etats-Unis, a
choisi d’opter pour la ligne d’action opposée et, de ce fait, le
ministre russe de la défense a déclaré que les armes psychotroniques
font partie du programme d’approvisionnement de l’Etat russe en armes,
pour la période allant de 2011 à 2020
http://en.rian.ru/mlitary_news/20120322/172332421.html.
Ces actions des gouvernements et des parlementaires, ainsi que les
publications scientifiques mentionnées plus haut, présentent des
preuves convaincantes de l’existence réelle de dispositifs permettant
la manipulation à distance des fonctions du corps humain et de
l’activité cérébrale.
Le problème réside dans le fait que si vous rassemblez ce type de
preuve et que si vous le publiez sur Internet, vu qu’aucun grand média
n’ose publier des renseignements classés secrets, votre publication
sur Internet se verra ciblée par les agences gouvernementales. En
guise d’exemple, à l’époque où j’ai publié l’article « How Far in the
Future is the Ban of Psychotronic Arms », les messages se rapportant à
ma page web internationale ont été bloqués sur Facebook, car
considérés comme spams et pareillement, sur Twitter comme « maliciels »
ou logiciels malveillants. Enfin, mes pages web relatives à ces
informations, aussi bien en langue tchèque qu’en langue anglaise, ont
été retirées d’Internet. Les services secrets occidentaux et surtout
américains, apparemment, n’ont pas souhaité qu’un événement comparable
au Printemps Arabe se produise également dans un contexte occidental.
Nous aurions besoin d’un travail systématique de dénonciation de tels
agissements des agences gouvernementales au public d’Internet. Cela
signifierait enregistrer avec une caméra les sites abritant ces
informations, quand elles sont placées sur Internet et  enregistrer
avec une caméra, quand elles ne sont plus disponibles ou lorsque les
références sont bloquées sur Facebook ou Twitter. Les videos prouvant
ces agissements des agences gouvernementales devraient ensuite être
placées avec la nouvelle adresse de la page web du texte en question
sur YouTube et toute l’histoire doit être décrite dans des articles
publiés sur Internet. Pour éviter une répression de la part des
agences de l’Etat, cette tâche devrait être effectuée non pas par une
seule personne, mais par tout un groupe. Ce serait le moyen de faire
prendre conscience à un grand nombre de gens que les services de
l’Etat leur dissimulent leur possession de technologies permettant le
contrôle à distance de l’esprit et du corps humain. Si vous souhaitez
prendre part à une telle action, veuillez m’écrire à l’adresse
mbabacek@czin.eu .
La deuxième façon de lutter contre le secret entourant les armes
destinées au contrôle à distance du système nerveux est d’informer les
parlementaires de l’existence de ces technologies. La plupart d’entre
eux n’ont pas, apparemment, les habilitations de sécurité pour obtenir
ce genre d’information. J’ai discuté avec deux membres du Parlement
Tchèque, et, de toute évidence, aucun d’entre eux n’était au courant
de la possibilité de contrôler à distance le fonctionnement du système
nerveux. N’étant donc pas au courant de l’existence des technologies
de contrôle mental, ils ne voient pas l’intérêt ni l’obligation
d’interdire leur utilisation. Quoi qu’il en soit, nous savons que les
parlementaires ne se soucient guère des questions auxquelles le grand
public
lui-même n’attache pas d’importance. Par conséquent, la pression du
public pour l’interdiction des technologies de contrôle mental est
nécessaire pour que les députés se sentent obligés de tendre vers cet
objectif. Les députés doivent être sollicités individuellement, nous
devons nous assurer qu’ils ont reçu les informations et les citoyens
doivent savoir quels députés ont été informés. Encore une fois, cela
ne pourrait être exécuté que par un groupe de gens et c’est ce même
groupe qui devrait s’efforcer d’informer le grand public. Une liste
consacrée strictement à cette tâche doit être établie sur Internet.
La troisième façon d’amener les gouvernements et les organes
législatifs à adopter une loi interdisant les technologies de contrôle
mental et à créer des équipes capables de détecter les rayonnements
nocifs est de présenter la preuve de la faisabilité de ces
technologies aux cours constitutionnelles et de leur demander de
proposer l’interdiction vérifiable de tout développement, possession
et utilisation des technologies qui permettent la manipulation à
distance du système nerveux. Le problème est que les cours
constitutionnelles ne sont généralement pas autorisées à proposer de
nouvelles législations. En République Tchèque, la Cour
Constitutionnelle n’a pas ce droit jusqu’à présent. La seule chose à
faire est de déposer une plainte devant le tribunal civil et s’ils
refusent cette action, en contester la décision auprès de la cour
constitutionnelle. Le problème est que, pour déposer une plainte
significative, nous avons besoin d’une preuve irrévocable. Il est à
espérer que cette preuve peut être obtenue, grâce à l’utilisation de
divers dispositifs de détection.
Une preuve irrévocable est une preuve obtenue d’une manière
scientifique. La plupart des détecteurs disponibles sur le marché
peuvent détecter des fréquences allant jusqu’à 8 GHz. La plupart des
scientifiques qui effectuent des expérimentations sur les effets de
radiations micro-ondes pulsées sur le cerveau humain en sont venus à
la conclusion que les fréquences porteuses de micro-ondes supérieures
à 3 GHz n’ont pas d’effets. La raison en est que plus la fréquence des
micro-ondes est élevée, plus elle est absorbée dans le tissu humain.
C’est pour cela qu’elle ne va pas assez profondément dans le cerveau
pour y produire des effets. Il y a, malgré tout, des fenêtres pour des
fréquences supérieures à 3 GHz, où les ondes électromagnétiques iront
assez profondément dans les tissus du cerveau pour produire des effets
sur le système nerveux. Parmi ces fréquences, il y a celles de la
lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge (PIR). La lumière
rouge de 620 à 750 nanomètres de longueur d’onde va jusqu’à une
profondeur d’environ 1 cm dans le tissu du cerveau et est en mesure
d’affecter environ un quart de la matière grise du cerveau. La lumière
du proche infrarouge (PIR) avec des longueurs d’onde de 700 à 800
nanomètres vont normalement jusqu’à une profondeur de 3 à 4
centimètres dans le tissu (http://www.nirtherapy.com/penetration.php),
mais quand la forme géométrique des ondes de la lumière du proche
infrarouge est modifiée, cette lumière peut être amenée à aller à une
profondeur de 20 centimètres dans le tissu humain. La pénétration de
la lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge dans le tissu
humain s’explique par le fait que la longueur d’onde moyenne de
l’activité du tissu de la cellule dans le corps humain est comprise
entre 600 nanomètres et 720 nanomètres
(http://www.elixa.com/light/healing.htm). Ils correspondent aux
fréquences de la lumière rouge et de la lumière infrarouge. Il y a des
études suggérant la capacité de la lumière du proche infrarouge à
affecter l’activité des fibres nerveuses.
Http://www.revitavet.com/CaseStudies/MechanismsActionInfraredLightTissueHealing.pdf
(p. 6).
Pour que le système nerveux humain soit plus susceptible d’être
contrôlé par des fréquences pulsées de lumière, aucune puce n’est
nécessaire. Les scientifiques ont développé des virus qui peuvent
rendre les neurones plus susceptibles de réagir à des
fréquences pulsées de lumière.
(http://www.realclearscience.com/blog/2014/01/optogenetics_the_physics_of_mind_control_108437.html).
Donc, pour que le système nerveux d’un individu puisse être manipulé,
il suffit de faire manger à cet individu des aliments contaminés ou de
lui faire faire un vaccin. Juste deux exemples: l’un des pionniers de
cette recherche, Gero Miesenbock, coupa la tête d’une mouche, puis
utilisa la lumière pulsée pour obliger son corps à voler et,
effectivement, le corps se mit à voler (http://www.sciam.cz/files
/vydani/SA_03_2010/brezen_2010_rozsveceni_mozku.pdf
). Un autre, Carl
Diesenroth, fit courir une souris et ne lui fit prendre que des
virages à gauche, en utilisant la lumière pulsée
(http://www.youtube.com/watch?v=88TVQZUfYGw).
Cependant, la lumière rouge et la lumière du proche infrarouge (PIR)
ne passent pas à travers les murs et autres obstacles optiques
(http://paginas.fe.up.pt/~ee05005/tese/arquivos/wireless_ir_com.pdf)
et, pour cette raison, elles ne peuvent pas être utilisées pour la
manipulation continue du système nerveux humain. La lumière rouge est
également visible et peut être détectée assez facilement. On peut donc
se demander si les mêmes virus qui peuvent amener des neurones à
réagir à la lumière peuvent amener ces neurones à réagir à des
fréquences micro-ondes de 100 mégahertz à 3 Gigahertz, qui pénètrent
dans le cerveau humain. Si cela ne peut être fait, la science
contemporaine n’a certainement pas de problème pour développer des
virus qui puissent amener les neurones à réagir à des fréquences micro-ondes.
Les fréquences de la lumière du proche infrarouge invisible peuvent
être détectées par des détecteurs spéciaux
(http://www.gigahertz-optik.de/272-0-RW-3702.html). On peut alors se
demander si les formes d’ondes de fréquences supérieures à 3 GHz ne
pourraient pas être trafiquées jusqu’à les faire entrer dans le tissu
humain. Les détecteurs de fréquences utilisés par l’OTAN ( 20-40 GHz)
peuvent être trouvés sur internet
(http://www.bestbuy.com/site/whistler-laser-radar-detector-black-black/1307396490.p?id=mp1307396490&skuId=1307396490Quoi qu’il en soit, de nombreuses expériences, avec les périphériques
disponibles, doivent être effectuées, lors de la recherche de preuve
de l’utilisation des fréquences de micro-ondes pulsées sur les êtres
humains, fréquences appelées « psychoactives ». Si de telles preuves se
confirment, il faudrait les présenter aux médias et aux tribunaux. Ces
preuves devraient être une raison suffisante, pour exiger un projet de
loi prohibant la possession et l’utilisation des technologies de
contrôle mental aussi bien par des particuliers que par des organismes
gouvernementaux. Il est évident que les médias ainsi que les tribunaux
vont vouloir vérifier ces éléments de preuve dans les laboratoires
scientifiques. Pour cela, il est nécessaire de demander aux
laboratoires scientifiques de vérifier ces preuves, avant
même qu’elles ne soient présentées à la presse ou aux tribunaux. Les
scientifiques sont fort serviables, lorsqu’ils ont affaire à des
preuves sur vidéo convaincantes. Ils devraient être bien disposés à
les vérifier avec leurs instruments de précision.
Mais qu’est-ce qu’on entend par « preuves convaincantes »?. Selon divers
rapports, la densité de puissance du rayonnement électromagnétique
dans les villes, la plupart du temps ne dépasse pas 5 microwatts par
centimètre carré. Cependant, il arrive que, dans une ville indienne,
la mesure atteigne 1 MW par centimètre carré. La plupart des
scientifiques, qui ont effectué des expériences avec les effets des
micro-ondes sur l’organisme humain, conviennent que la densité de
puissance nécessaire ne dépasse pas 10 microwatts par centimètre
carré. Dans l’expérience de Frey avec l’effet d’audition par
micro-ondes, la densité de puissance moyenne pour les différentes
fréquences et les  largeurs d’impulsion a varié de 0,4 microwatts par
centimètre carré à 7,1 milliwatt par centimètre carré. Dans les
expériences de Ross Adey avec l’efflux (ou écoulement) de calcium dans
le système nerveux, l’efflux s’est produit uniquement dans la gamme de
densité de puissance de 0,1 à 1 mW par centimètre carré. Adey obtenait
les meilleurs résultats dans d’autres unités, lors de l’utilisation du
champ électromagnétique de 10 V par mètre et 56 V par mètre. Étant
donné que la densité de puissance des fréquences de contrôle mental
est proche du smog électromagnétique à l’intérieur des villes, il est
conseillé de prendre les mesures de la densité de puissance en-dehors
des villes. Les mesures doivent être prises, le plus loin possible des
antennes de téléphone cellulaire, loin également des lignes
électriques, sous lesquelles l’intensité du champ électromagnétique
peut atteindre 100 V par mètre et aussi loin que possible des lignes
électriques à haute tension, sous lesquelles l’intensité du champ
électromagnétique peut atteindre 10,000 V par mètre. Il faudrait que
la distance entre l’individu dont on prend les mesures et l’individu
prenant les mesures permette à ce dernier de voir sur caméra-video si
la densité de puissance augmente, au fur et à mesure que l’individu
dont il prend les mesures s’approche. L’expérience devrait être
répétée plusieurs fois.
Il est possible de trouver sur Internet le détecteur de radiations
électromagnétique DT-1180 pour $ 21. Il mesure, d’une part,
l’intensité des champs électromagnétiques à des fréquences allant de 5
Hz à 400 kHz (avec une précision de 1 Volt par mètre) et, d’autre
part, la densité de puissance des champs électromagnétiques à des
fréquences allant de 300 Megahertz à 2000 mégahertz (2 Gigahertz) avec
une précision de 1 microwatt par centimètre carré.
Quant aux compteurs de fréquences, il est pratiquement impossible de
trouver des preuves d’existence de micropuces, aussi bien à
l’intérieur qu’à l’extérieur des villes, en raison de la forte
présence d’ondes électromagnétiques dans notre environnement moderne.
Mais il existe des grottes ou d’anciennes mines accessibles au public,
où les ondes électromagnétiques des fréquences micro-ondes ne
pénètrent pas. Le personnel de ces sites ne s’oppose pas à la prise de
mesures dans leurs installations.
Si la puce ne reçoit pas son énergie à partir de l’antenne extérieure,
elle devrait fonctionner, même quand elle est dans la grotte ou dans
la mine. Elle doit être mesurée par le compteur de fréquences (le
compteur de fréquences Aceco FC-6002 Mk2 enregistrant des fréquences
allant jusqu’à 6 gigahertz peut être acheté, au prix de 149 euros)
ainsi que par un dispositif mesurant la densité de puissance. Les
mesures devraient être enregistrées sur la caméra. Elles devraient
être répétées au même endroit, en l’absence de la personne dont on
prend les mesures et sur une personne qui ne se déclare pas ciblée par
des radiations de contrôle du cerveau, puis devraient être
répétées plusieurs fois devant la caméra. Les enregistrements vidéo
doivent être ensuite présentés aux scientifiques qui ont accès à des
salles électromagnétiques blindées et il faudrait les inviter à
vérifier la présence de la puce avec leur équipement. La preuve
scientifique devrait être ensuite présentée aux médias et aux
tribunaux. (Par souci d’économie, on pourrait commencer uniquement
avec le détecteur de radiations électromagnétiques). Si vous trouvez
cette preuve, veuillez me le faire savoir à mon adresse e-mail
mbabacek@czin.eu .
Encore une expérience qui vaudrait la peine d’essayer, dans le cas où
l’on n’obtient aucun élément objectif. Essayez de vérifier jusqu’à
quel point l’expérience d’une personne qui prétend être ciblée
pourrait changer, lorsque le champ magnétique, dans lequel elle se
trouve, change. Lorsque Ross Adey a effectué ses expériences avec le
flux de calcium à partir de neurones, d’autres scientifiques ont
constaté qu’ ils ont dû utiliser des fréquences d’impulsions de
micro-ondes différentes de celles de Ross Adey, afin d’obtenir les
mêmes résultats. Lors de la recherche des causes de ce phénomène, ils
ont découvert que ce sont les variations de l’intensité du champ
magnétique terrestre, à l’emplacement de leurs expériences, qui ont
été responsables des variations de fréquences d’impulsions efficaces
dans leurs expériences.
Enfin, Ross Adey a placé à côté d’un poulet quelques cerveaux, qu’il
utilisait avec une bobine de Helmholtz, laquelle bobine a coupé en
deux les champs magnétiques terrestres. Pour provoquer le flux de
calcium à partir de neurones, il avait besoin d’une fréquence de
micro-ondes pulsées de 30 Herz, au lieu de fréquences pulsées de 15
Herz. L’explication de ce phénomène est la résonance de cyclotron.
Pour cela, il serait important de voir si l’expérience d’une personne
ciblée pourrait changer, en présence d’un champ magnétique artificiel
puissant ou en présence de bobines de Helmholtz. Dans les années 70 du
siècle passé, les casques des sèche-cheveux produisaient des champs
magnétiques d’environ 30 Gauss. La force du champ magnétique terrestre
varie de 0,25 à 0,65 Gauss. Si les casques des sèche-cheveux actuels
continuaient de produire des champs magnétiques puissants, il serait
utile de vérifier si l’expérience d’une personne ciblée change, quand
elle sèche ses cheveux dans le casque (Sinon, il serait intéressant
d’acheter l’ancien casque) . Si l’expérience de plusieurs personnes
prétendant être ciblées pouvait changer, en raison du changement du
champ magnétique terrestre, ce serait une preuve irréfutable que ces
personnes sont soumises aux effets des radiations micro-ondes
pulsées et il ne resterait plus qu’à trouver la fréquence porteuse
utilisée contre ces personnes. (Si vous tentez cette expérience,
veuillez me faire savoir les résultats à mon adresse
mbabacek@czin.eu ). Une autre façon de découvrir un champ magnétique
artificiel serait de subir un examen par résonance magnétique qui dure
généralement plus d’une demi-heure. Solénoïde fonctionnerait ainsi.
Je crois qu’il devrait y avoir une liste sur Internet, dédiée
strictement à la recherche scientifique, qui se concentrerait sur la
possibilité de l’utilisation des ondes électromagnétiques pulsées
contre les êtres humains.
Il y a environ huit ans, j’ai trouvé sur Internet une proposition des
scientifiques chinois pour développer une communication directe de
cerveau à cerveau avec l’utilisation du concept de connexion non
locale d’électrons et de photons. Vous savez probablement que le
concept de la physique quantique stipule que, dès lors que deux
électrons ou photons se rencontrent, leurs réactions sont couplées,
peu importe à quelle distance de l’un de l’autre ils se trouvent.
Si l’on fait se rencontrer les photons et les électrons dans deux
cerveaux ou dans un cerveau et un ordinateur neuronal, il est tout à
fait possible que les deux cerveaux ou un cerveau et un ordinateur
neuronal soient unis. Comme nous l’avons vu lors de cette conférence,
il est possible de faire entrer la lumière du proche infrarouge (PIR)
jusqu’à 20 cm de profondeur dans le cerveau. Peut-être cela serait-il
un moyen d’amener les photons à se lier avec deux cerveaux et
d’établir l’ interconnexion d’un cerveau avec l’autre cerveau ou bien
avec l’ordinateur simulant une activité cérébrale.
Je sais pertinemment que la détection d’un tel acte malveillant chez
un organisme gouvernemental est plutôt impossible, une fois qu’il est
fait. Je me demande si les armes utilisant des concepts physiques
inconnus, dont les Russes ont récemment annoncé le développement,
comprennent ce concept. La défense possible contre ce genre de
manipulation du cerveau humain pourrait être le remplacement de
photons dans le cerveau par de nouveaux photons, au moyen d’une longue
exposition à la lumière du proche infrarouge (PIR). Si quelqu’un tente
l’expérience, il serait utile d’amener le générateur de lumière du
proche infrarouge à générer la lumière à 20 cm de profondeur dans le
tissu (avec la forme d’onde ajustée). Celui qui en fait l’essai doit
s’assurer qu’il ne génère pas la lumière dans le proche infrarouge qui
réchauffe le tissu et qui pourrait nuire au cerveau. La lumière du
proche infrarouge réchauffe le tissu seulement à 0,2 degré Celsius. Si
quelqu’un essaie cette méthode, veuillez me le faire savoir à mon
adresse e-mail mbabacek@czin.eu .
Pour conclure, je tiens à souligner une fois de plus que, en ce monde
moderne, avec les incroyables progrès de la science et de la
technologie, l’interdiction d’accéder au cerveau humain avec divers
radiations, de la part des gouvernements ou des organismes ou des
individus malveillants, devrait être intégrée dans la constitution de
tous les pays du monde. Sinon, ce serait la destruction des concepts
d’indépendance de l’être humain et de la démocratie.
Aujourd’hui, l’obstacle majeur pour atteindre cet objectif est la
lutte que mènent les Etats-Unis ainsi que leurs entreprises et élites
financières, pour atteindre la puissance mondiale, au lieu de partager
cet objectif avec la Russie, l’Union Européenne, et avec d’autres pays
démocratiques ainsi que la Chine. Si le monde humain est censé avoir
un avenir humaniste et démocratique, il faut qu’il soit mis fin à la
lutte pour la domination du monde par les gouvernements.

http://www.youtube.com/watch?v=88TVQZUfYGw

Mercredi 4 Février 2015