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Armes electroniques

Les armes V2K, manipulation des êtres humains.

https://www.wired.com/2008/05/army-removes-pa/


TRADUCTION

La très étrange page web de l’armée sur les armes « Voice-to-Skull » a été supprimée. C’était étrange qu’il soit là, et c’est encore plus étrange qu’il soit parti. Si vous le recherchez sur Google, vous verrez l’entrée pour « Voice-to-Skull device », mais, si vous cliquez sur le site, le lien est mort.

L’article, toujours disponible sur le site Web de la Federation of American Scientists, se lit comme suit :

Arme non létale qui comprend (1) un dispositif neuroélectromagnétique qui utilise la transmission par micro-ondes de sons dans le crâne de personnes ou d’animaux au moyen d’un rayonnement micro-ondes modulé par impulsions ; et (2) un dispositif sonore silencieux qui peut transmettre les sons dans le crâne de personnes ou d’animaux. REMARQUE : La modulation sonore peut être des messages vocaux ou audio subliminaux. Une des applications de V2K est l’épouvantail électronique pour effrayer les oiseaux à proximité des aéroports.

Le groupe britannique Christians Against Mental Slavery (Chrétiens contre l’esclavage mental) a noté le changement pour la première fois (ils ont aussi une copie d’écran permanente de la page). Un représentant du groupe me dit qu’ils ont contacté le webmestre, qui leur a seulement dit que l’entrée était « définitivement supprimée ».

L’image ci-dessus est une représentation autoproclamée par une personne de la façon dont une arme « voix vers crâne » pourrait fonctionner.



The Army’s very strange webpage on « Voice-to-Skull » weapons has been removed. It was strange it was there, and it’s even stranger it’s gone. If you Google it, you’ll see the entry for « Voice-to-Skull device, » but, if you click on the website, the link is dead.

The entry, still available on the Federation of American Scientists‘ website reads:

Nonlethal weapon which includes (1) a neuro-electromagnetic device which uses microwave transmission of sound into the skull of persons or animals by way of pulse-modulated microwave radiation; and (2) a silent sound device which can transmit sound into the skull of person or animals. NOTE: The sound modulation may be voice or audio subliminal messages. One application of V2K is use as an electronic scarecrow to frighten birds in the vicinity of airports.

The U.K.-based group Christians Against Mental Slavery first noted the change (they also have a permanent screenshot of the page). A representative of the group tells me they contacted the Webmaster, who would only tell them the entry was « permanently removed. »

The image above is one person’s self-styled depiction of how a « voice-to-skull » weapon might work.

[Image: Raven1.net]

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La fusion du cerveau humain à l’ordinateur est pour bientôt

« Les développements technologiques ouvrent la voie à un monde où il est possible de décoder les processus mentaux des personnes », soulignent-ils. « Cela pourrait également créer l’occasion de manipuler directement les intentions, les émotions et les décisions de ces individus. »

Cela est possible depuis les années 60 et le sinistre José Delgado , qu’on pourrait qualifier de fils spirituel du Dr Mengele, ne vous a pas attendu Mr Musk…

Voir Clinatec : le laboratoire de la contrainte


Article paru sur le site l’express : Audrey Duperron 24 avril 2019

 

Neuralink, une startup créée par Elon Musk, serait sur le point d’annoncer la création d’une interface permettant de connecter le cerveau humain aux ordinateurs. C’est ce qu’affirme un tweet du milliardaire américain d’origine sud-africaine, sans préciser aucun autre détail

Neuralink a été créée en 2016 avec l’ambition de développer des équipements pour améliorer le cerveau humain. Néanmoins, ses activités sont demeurées très discrètes, et l’on en sait très peu sur leur teneur exacte.

« Fusionner avec l’intelligence artificielle »

Sur son site internet, elle évoque une technologie basée sur une connexion reposant sur « une bande passante ultra-élevée » entre le cerveau et l’ordinateur.  L’année dernière, Musk a expliqué lors d’un podcast de « The Joe Rogan Experience » que cette technologie permettrait aux humains de « fusionner efficacement avec l’intelligence artificielle ».

Précédemment, le concept de cette connexion avait été détaillé dans un article de la revue Nature Nanotechnology. Il évoquait l’injection d’un circuit flexible dans un cerveau vivant. « Nous essayons de brouiller la distinction entre les circuits électroniques et les circuits neuronaux », avait alors déclaré Charles Lieber, chercheur à Harvard, qui avait co-rédigé cette étude. « Nous devons marcher avant de pouvoir courir, mais nous pensons que nous pouvons vraiment révolutionner notre capacité d’interface avec le cerveau. »

L’IA risque « de transformer les humains en animaux domestiques »

Lors d’une conférence sur la technologie en 2016, Musk a averti que les humains finiraient par être traités comme des animaux domestiques par des machines disposant de l’IA. « Je n’aime pas l’idée de devenir un chat domestique (…) et je pense que la meilleure solution pourrait consister à ajouter une couche d’IA. »

Musk est en effet convaincu que la seule manière d’éviter que l’homme ne soit pas dominé par l’intelligence artificielle est de faire fusionner l’intelligence biologique avec les machines. Les connexions puissantes que l’homme pourrait parvenir à établir entre son cerveau et un équipement numérique devrait donc lui permettre d’échapper à son asservissement.

L’effet perturbateur de l’intelligence artificielle ne réside pas seulement dans sa capacité à effectuer des tâches spécifiques de manière plus efficace que les humains, mais concerne également la vitesse avec laquelle elle peut communiquer avec d’autres des appareils connectés. Les ordinateurs communiquent beaucoup plus vite entre eux que ne le font les humains, ce qui augmente la potentielle menace posée par leur supériorité en matière d’intelligence.

Selon Musk, une dentelle neuronale interagissant directement avec le cerveau permettrait aux utilisateurs de communiquer leurs pensées au travers d’ordinateurs avec davantage de bande passante et avec beaucoup moins de latence que ce qui est actuellement possible via des mécanismes de saisie d’informations tels que le clavier et la souris. C’est donc ce qu’il cherche à créer avec Neuralink : une symbiose entre l’intelligence humaine et la machine.

Des risques de piratage

Cependant, certains experts restent dubitatifs. Ils concèdent que cette technologie pourrait considérablement augmenter la puissance du cerveau humain, mais mettent en garde contre les risques de piratages.  Des individus malveillants pourraient en effet utiliser l’intelligence artificielle pour contrôler et diriger les pensées, les décisions et les émotions des gens, disent-ils.

« Les développements technologiques ouvrent la voie à un monde où il est possible de décoder les processus mentaux des personnes », soulignent-ils. « Cela pourrait également créer l’occasion de manipuler directement les intentions, les émotions et les décisions de ces individus. »

«Les avantages cliniques et sociaux potentiels des diverses applications de la neurotechnologie sont très vastes. Mais pour en bénéficier, nous devons guider ces développements pour qu’ils respectent l’humanité, qu’ils la protègent, et garantissent qu’elle n’offre que ce qu’elle a de meilleur. «
SOURCE
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Remote Neural Monitoring – John Hall

Traduction de l’articleMonitoraggio remoto neurale – John Hall


 

 

La recherche MKULTRA et la recherche en visualisation à distance ont permis aux scientifiques de découvrir des méthodes pour obtenir les effets désirés et de comprendre sur quelle partie du cerveau se concentrer pour obtenir ces effets. Bien que certains scientifiques ne soient pas d’accord avec la théorie des ondes ELF, la plupart des recherches menées aux États-Unis et en Union soviétique ont continué à se concentrer sur les effets des ondes ELF sur le cerveau. Un problème, cependant, n’a pas encore été résolu. De nombreuses victimes du projet MKULTRA étaient des sujets involontaires à qui il avait été menti et qui ont été forcés de participer à des expériences contraires à l’éthique. En raison des restrictions technologiques de l’époque, les victimes devaient être saisies, transportées à l’hôpital, droguées, puis soumises à des traitements électro-chocs, à l’aide d’électrodes appliquées sur le cuir chevelu. Également pour la surveillance physiologique de l’électroencéphalogramme (EEG) et d’autres signes vitaux, des capteurs ont été appliqués sur le sujet. De plus, les chercheurs du projet MKULTRA ont connu une période risquée avant le début des années 1970. Les plaintes et les plaintes des victimes avaient donné lieu à l’ouverture d’audiences du Congrès et la CIA avait commencé à dénoncer des expériences contraires à l’éthique sur des sujets non intentionnels. Sous la direction du sénateur Ted Kennedy, les documents de la CIA qui ont survécu à la déchiqueteuse ont montré une image de l’expérimentation illégale plutôt bizarre, avec des expériences réalisées pour la plupart par des entreprises privées. Si la CIA n’avait pas enlevé des victimes dans des centres de recherche pour le procès et n’avait laissé aucun document comme preuve, il se peut que le fait n’aurait jamais été évoqué et qu’il n’y aurait pas eu d’audience au Congrès. L’opinion publique a été très choquée par ces graves abus. Le congrès a été consterné. La CIA a alors commencé à chercher d’autres moyens de poursuivre ses recherches sur le contrôle mental afin de pouvoir tout nier en le rendant invraisemblable et donc moins susceptible d’être découvert. L’ère de la surveillance neuronale à distance a donc commencé.

 

L’Agency for Advanced Research Projects a accordé un contrat de subvention de 338 000 $ au Stanford Research Institute (CSRI) en février 1972. Le directeur du programme était le Dr George Lawrence et le contrat a été formulé par le Dr Lawrence Pinneo dans le but de déterminer la faisabilité de la communication bio-cybernétique.

Plus précisément, le Dr Pinneo a étudié la faisabilité d’un projet visant à créer un lien de communication entre l’homme et l’ordinateur en utilisant l’activité électrique du cerveau pendant la réflexion verbale. L’hypothèse formulée était que l’activité électrique du cerveau pendant la pensée est similaire à l’activité électrique du cerveau pendant un discours. Les électroencéphalogrammes des sujets ont été mesurés à l’aide d’électrodes du cuir chevelu appliquées sur les lobes frontal et temporal. « La recherche était basée sur l’hypothèse que la pensée n’est rien de plus qu’un discours fait de façon silencieuse ou cachée. Les sujets ont reçu des cartes postales avec des mots auxquels ils devaient réfléchir pendant l’enregistrement de leurs électroencéphalogrammes (EEG). La recherche a conduit à la conclusion que l’électroencéphalogramme ( » EEG « ) révèle des réponses similaires pendant la lecture silencieuse et la lecture forte et que ces réponses peuvent être correctement classées par un ordinateur avec un degré élevé de précision.

L’étude du pavillon de l’oreille s’est également concentrée sur l’identification des modèles d’électroencéphalogrammes (EEG) des homonymes. Les homonymes sont des mots tels que « écrire » et « droit » qui se prononcent de la même manière mais ont des significations différentes.

Les modèles d’EEG étaient semblables lorsque les sujets pensaient aux mots « écrire » ou « bien ». Mais si les sujets pensaient au mot dans le contexte d’une phrase spécifique, avec l’analyse de l’électroencéphalogramme ( » EEG « ), il était possible de distinguer les deux mots autrement prononcés de la même manière. Les électrodes ont été appliquées à diverses parties du cuir chevelu ; cependant, les électrodes sur les lobes temporaux ont montré une précision plus grande et plus importante sur le plan statistique. Au contraire, les électrodes appliquées sur les zones occipitales ou pariétales du cerveau ont eu beaucoup moins de succès dans la création de corrélations.

Il ne faut pas oublier que les recherches de M. Pinnaeus ont été menées en 1972 avec une technologie relativement rudimentaire, surtout en ce qui concerne la mesure de l’électroencéphalogramme. Malgré le fait que les technologies nécessaires n’étaient pas disponibles à l’époque, ils étaient encore capables de créer un dictionnaire EEG de mots qui étaient pensés par sujets. Comme pour la recherche en visualisation à distance, le Dr Pinnaeus a conclu que les lobes temporaux du cerveau étaient les points les plus importants pour mesurer et représenter l’électroencéphalogramme (EEG) de la pensée. De plus, il a ajouté des paramètres avec lesquels il serait possible d’augmenter la précision de l’électroencéphalogramme correspondant au mot ou à la phrase de la pensée. Ces paramètres supplémentaires comprenaient la formation du sujet à l’utilisation du système d’exploitation et l’utilisation d’un « entraînement temporel » pour les réponses cachées, ainsi que la fourniture d’une série de réponses subjectives auxquelles le sujet aurait dû penser et qui étaient significatives pour lui. Dans l’ensemble, les recherches du Dr Pinnaeus en 1972 ont conclu qu’un système de communication bio-cybernétique qui permettrait à un ordinateur d’interpréter la pensée humaine à partir de l’électroencéphalogramme (EEG) était en fait possible. Il n’est donc pas surprenant que les références de son étude comprennent les études menées par le Dr W. R. Adey, un sous-traitant de MKULTRA.

Les recherches qui ont suivi se sont concentrées sur la possibilité de détecter à distance les potentiels électriques générés par le cerveau. La détection à distance par électroencéphalogramme (EEG) permet la surveillance à distance des activités sans qu’il soit nécessaire d’appliquer des électrodes sur le cuir chevelu du sujet et facilite les expériences sur des sujets humains sans leur consentement formel. Un chercheur, Robert G. Malech, a étudié la surveillance neurale à distance et la façon de modifier l’activité cérébrale à distance et ses travaux ont abouti à l’enregistrement d’un brevet américain en 1974, le nombre est 3951134. L’implant qu’il a créé était capable de transmettre un signal de base et un signal primaire au cerveau d’un sujet contrôlé. Dans ce cas, le cerveau du sujet transmet un deuxième signal en réponse aux deux signaux entrants. Essentiellement, les deux signaux entrants s’harmonisent avec la fréquence électrique inhérente du cerveau ou la forme d’onde d’interférence serait renvoyée au récepteur. La forme d’onde d’interférence peut alors être « démodulée », amplifiée et affichée visuellement, puis envoyée à un ordinateur. Selon Malech, la forme d’onde « démodulée » serait alors utilisée pour produire un signal de compensation qui pourrait être transmis au cerveau. Le signal de compensation peut être utilisé pour tenter de modifier artificiellement l’activité cérébrale et de produire un changement souhaitable de l’activité cérébrale chez les sujets. Dans la description de l’implant, Malech parle clairement du potentiel de cette découverte à être utilisée pour la télésurveillance neurale d’un sujet sans son consentement. Son brevet a été publié en 1976 et son implant était composé de composants couramment utilisés dans les systèmes radar de l’époque.

Par une « étrange coïncidence », une autre découverte concernant l’équipement radar a été « L’effet Frey » ou l’effet de l’audition micro-ondes.

Dans le dernier paragraphe du brevet publié par Malech, on peut lire la déclaration suivante : « Les personnes occupant des postes critiques, comme les conducteurs et les pilotes, peuvent être surveillées en permanence afin de permettre l’activation d’un dispositif de secours en cas de défaillance humaine. Les enlèvements, la somnolence et les soubresauts du sommeil peuvent être détectés. Les fonctions vitales telles que le pouls, la régularité de la fréquence cardiaque et d’autres fonctions peuvent être surveillées et des événements tels que les états d’hallucination peuvent être détectés. Le système permet également de rendre les diagnostics médicaux des patients inaccessibles aux médecins généralistes depuis des stations éloignées.

Gardez à l’esprit que l’implant Malech a été théorisé en 1976 avec des technologies bien inférieures à celles d’aujourd’hui.

Les progrès technologiques en matière de vitesse de calcul et de surveillance ont poussé les recherches du Dr Pinneo sur le dictionnaire des électroencéphalogrammes et l’installation de surveillance à distance des électroencéphalogrammes (EEG) de Malech plus loin que ces chercheurs ne l’auraient imaginé. En utilisant ces concepts fondamentaux, les recherches les plus modernes se sont concentrées sur la conversion des formes d’ondes électromagnétiques reçues en pensées audibles qui peuvent être contrôlées et enregistrées. Essentiellement, l’utilisation de techniques pour lire les pensées est quelque chose qui se fait depuis longtemps dans les milieux des services secrets. En plus de suivre les pensées d’un sujet, les chercheurs ont bénéficié de la recherche sur l’électroencéphalogramme (EEG) et des techniques précédemment utilisées par Malech. Une fois qu’un dictionnaire des formes d’ondes de l’électroencéphalogramme correspondant à divers états émotionnels a été créé, il est devenu relativement facile d’induire des états similaires au cerveau d’un sujet à travers une forme d’onde pour produire un état émotionnel souhaitable. On pourrait conclure qu’en utilisant la même technique, les cortex visuel et auditif du cerveau pourraient être résonés pour stimuler les hallucinations visuelles et auditives. Ainsi, les sujets le percevraient comme des hologrammes ou des sons apparemment réalistes qui ne peuvent être attribués à une source matérielle externe dans leur environnement. En fait, il y a des milliers de personnes aux États-Unis qui ont dénoncé ce genre de phénomène.

Bien que tout cela puisse sembler de la science-fiction à ce stade, si le lecteur place la recherche actuelle dans le contexte des études précédentes du projet MKULTRA, les objectifs réalisables et souhaitables semblent clairs. Les organismes à l’origine de la recherche étaient à la recherche de moyens de lire les pensées en temps réel dans le but de créer des méthodes de communication cachées ainsi que de créer une machine de vérité et de modifier les comportements. Afin de ne pas prendre du retard par rapport à la « guerre psychotronique », les différentes forces armées ont financé leurs propres recherches sur la télésurveillance neuronale de manière autonome. L’armée se réfère à la technologie pour déchiffrer la pensée et la transformer en « signal audible » en temps réel comme « télépathie synthétique ». L’armée a affecté une équipe de chercheurs du Irvine Center de l’Université de Californie 4 millions de dollars pour étudier et développer une méthode permettant aux soldats sur le champ de bataille de communiquer entre eux par télépathie synthétique. Tout cela se fera à l’aide d’une interface ordinateur/cerveau dans laquelle l’électroencéphalogramme (EEG) d’un soldat sera surveillé et décodé à distance, puis transmis à un autre cerveau sous la forme d’un signal sonore ou mental. Les chercheurs admettent qu’il y aura une augmentation de l’apprentissage à mesure que les soldats se préparent à communiquer entre eux en utilisant seulement des pensées et non des mots. L’argent provenant de ce financement provient des frais d’inscription au nom du Programme d’initiative de recherche universitaire multidisciplinaire du Département de la défense des États-Unis d’Amérique. Ce programme mène des recherches qui font intervenir plus d’une science et d’une discipline des métaux. En connaissant les faits, l’admission de l’armée dans cette entreprise peut sembler tout à fait innocente et avoir des implications importantes pour la sécurité nationale. Cependant, il y a un aveu plus alarmant si l’on lit entre les lignes. Leurs recherches actuelles portent sur la télépathie synthétique interactive entre différents combattants sur le champ de bataille. L’auteur est d’avis qu’il s’agit là d’un aveu que la technologie a déjà été perfectionnée dans les deux sens entre un sujet cible et un système de communication. Ceci est particulièrement pertinent si l’on tient compte du nombre croissant de personnes qui se plaignent d’entendre des voix dans la tête. Compte tenu de l’histoire de l’expérimentation secrète dans ce pays, est-il très possible que la population civile ait été utilisée comme cobaye de laboratoire involontaire pour mener des recherches sur cette technologie ? On peut facilement en conclure que c’est le cas.

Les recherches les plus récentes sur la télésurveillance neuronale visaient à décoder le potentiel d’action qui est généré lors d’un discours du cortex qui envoie des signaux aux muscles. Tout le monde connaît le dicton « ne parlez pas sans réfléchir ». Comme les érudits l’ont découvert, c’est impossible. Les pensées sont les précurseurs de la parole et c’est sur cette base que sont basés la télésurveillance neuronale, la télépathie synthétique et les dispositifs de contrôle mental. De nombreux chercheurs se sont concentrés sur l’étude des potentiels évoqués provenant du cortex cérébral responsable du langage (cortex de la parole) dans le but d’utiliser ensuite ces signaux pour contrôler différents dispositifs par la pensée. Pour atteindre cet objectif, nous devons découvrir la biomécanique de la parole et comprendre les corrélations entre les potentiels électromagnétiques générés à la fois dans les centres auditifs et dans les centres de la parole du cerveau. Une fois de plus, les lobes temporaux du cerveau humain se sont avérés être la zone la plus impliquée dans la formulation de la parole et de l’audition. En 1999, des chercheurs de la Albert Einstein School of Medicine ont publié un article dans l’International Journal of Neurophysiology dans lequel ils décrivaient les potentiels de champ enregistrés directement du complexe auditif. Leur étude s’intéressait davantage à la détermination de l' »heure de début de la voix » (VOT), l’intervalle de temps entre le début approprié et le début de la vibration des cordes vocales. L’établissement d’un délai entre le cerveau qui signale aux cordes vocales et les cordes vocales qui répondent réellement afin de générer la parole est important. Il permet de savoir quand et pendant combien de temps un signal sera présent pour être détecté à distance et converti électromécaniquement en une forme qui activera un dispositif. En fait, la recherche a été fructueuse. De nos jours, nous avons des générateurs de voix numériques et des arts robotiques qui peuvent être contrôlés avec la pensée qui vient des centres de la parole du cerveau. Bien que cette technologie puisse être extrêmement précieuse pour les personnes handicapées, le décryptage de la pensée peut avoir de graves conséquences pour la société dans laquelle elle est utilisée d’une manière plus cachée.

Des milliers de personnes aux États-Unis déclarent avoir été victimes de la télésurveillance neuronale. Reste à savoir si cela faisait partie de la phase expérimentale de cette technologie ou si elle est tombée entre les mains de criminels. De nombreuses victimes ont été accusées de délire et de paranoïa. Mais sachant que ce type de maladie mentale aux États-Unis a une incidence de 0,3 % dans la population générale et les nombreuses similitudes dans les histoires des victimes, on peut en conclure qu’il s’agit d’une expérience illégale. Toutefois, cette technologie très intrusive devrait être difficile à commercialiser en raison des craintes du public d’une nouvelle perte de vie privée et de confidentialité. Peut-être pas ! Bon nombre des communiqués de presse mettent l’accent sur des choses comme permettre aux personnes handicapées d’utiliser des appareils contrôlés par la pensée pour rendre leur vie plus confortable. De plus, lors de la Foire internationale des miniatures 2009 en Amérique, deux jouets d’enfants qui utilisaient l’électroencéphalogramme pour déplacer une balle et la faire tourner en réfléchissant ont été exposés. L’entraîneur de force Mindflex et Oncle Milton de Mattel utilise des écouteurs sans fil qui mesurent les ondes alpha et bêta qui sont utilisées pour ensuite produire un décalage d’une balle vers le haut, le bas ou sur le côté. Les jouets sont vendus pour 129,99 $ et 79,99 $ respectivement. Quoi de plus innocent et de moins menaçant que les jouets pour enfants ? Ne vous y trompez pas ; il s’agit simplement d’une tentative délibérée de commercialiser une forme de technologie qui aura de graves conséquences pour la société. Si vous avez encore des doutes, essayez de demander à l’une des victimes de ce genre de recherche qui a perdu sa carrière et sa famille parce qu’elle a été diagnostiquée comme délirante et paranoïaque, puis voyez la technologie qu’on lui a dite inexistante apparaître dans le Toys R US !

 

 

 

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Clubic : Un laser capable de vous envoyer un son sans que personne d’autre ne l’entende.

Des chercheurs du MIT ont mis au point un dispositif permettant d’envoyer un son directement à l’oreille d’une personne. Reposant sur un système de laser, il est capable de transmettre précisément un signal audio, de sorte que seul le destinataire puisse l’entendre.

Et si on pouvait transmettre les sons aussi précisément que la lumière via un laser ? C’est le résultat qu’ont obtenu des chercheurs du Laboratoire Lincoln, du MIT (États-Unis).

Lumière + vapeur d’eau = son

Les scientifiques se sont en effet inspirés du fonctionnement du laser. Leur système repose sur la photoacoustique, c’est-à-dire la génération d’ondes sonores à partir d’interactions entre la lumière et la matière. En l’occurrence, c’est la vapeur d’eau contenue dans l’air qui réagit avec l’émetteur laser élaboré par les chercheurs, pour produire le signal audio.

De plus, les auteurs de l’étude ont réussi à exploiter une longueur d’onde fortement absorbée par l’eau, ce qui permet d’augmenter la puissance et la qualité du son produit. Par conséquent, leur dispositif peut fonctionner même dans un environnement relativement sec, ne nécessitant qu’une quantité restreinte de vapeur d’eau.

Un « laser sonore » précis et sûr

Le système ainsi créé permet donc de générer un flux audio et de le transmettre de façon précise jusqu’à son destinataire, et uniquement à celui-ci, même dans un environnement bruyant. Et ce, sans risque pour les yeux ni la peau.

Les tests réalisés ont prouvé son efficacité à une distance de 2,5 m, ce qui reste encore assez limité. Mais d’après les scientifiques, ce résultat n’a été obtenu qu’avec du matériel disponible dans le commerce, et cette performance pourrait donc être aisément améliorée. Ce qui offrirait la possibilité de chuchoter à l’oreille d’une personne, à plusieurs mètres de distance.

Source : BGR


Toujours présenté pour une bonne cause, en omettant les graves dérives possibles. Il n’ échappera bien évidement qu’à l’auteur de l’article, que ceci rend obsolète les diagnostiques psychiatriques concernant la schizophrénie. Tellement insignifiant qu’il est absolument inutile de le mentionner… De même, est il bien nécessaire de parler de voice to skull, la « voix de Dieu » ?

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.


New Technology Uses Lasers to Transmit Audible Messages to Specific People

Photoacoustic communication approach could send warning messages through the air without requiring a receiving device

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.

 

In The Optical Society (OSA) journal Optics Letters, researchers from the Massachusetts Institute of Technology’s Lincoln Laboratory report using two different laser-based methods to transmit various tones, music and recorded speech at a conversational volume.

“Our system can be used from some distance away to beam information directly to someone’s ear,” said research team leader Charles M. Wynn. “It is the first system that uses lasers that are fully safe for the eyes and skin to localize an audible signal to a particular person in any setting.”

Creating sound from air

The new approaches are based on the photoacoustic effect, which occurs when a material forms sound waves after absorbing light. In this case, the researchers used water vapor in the air to absorb light and create sound.

“This can work even in relatively dry conditions because there is almost always a little water in the air, especially around people,” said Wynn. “We found that we don’t need a lot of water if we use a laser wavelength that is very strongly absorbed by water. This was key because the stronger absorption leads to more sound.”

One of the new sound transmission methods grew from a technique called dynamic photoacoustic spectroscopy (DPAS), which the researchers previously developed for chemical detection. In the earlier work, they discovered that scanning, or sweeping, a laser beam at the speed of sound could improve chemical detection.

“The speed of sound is a very special speed at which to work,” said Ryan M. Sullenberger, first author of the paper. “In this new paper, we show that sweeping a laser beam at the speed of sound at a wavelength absorbed by water can be used as an efficient way to create sound.”

Laboratory tests

In the lab, the researchers showed that commercially available equipment could transmit sound to a person more than 2.5 meters away at 60 decibels using the laser sweeping technique. They believe that the system could be easily scaled up to longer distances. They also tested a traditional photoacoustic method that doesn’t require sweeping the laser and encodes the audio message by modulating the power of the laser beam.

“There are tradeoffs between the two techniques,” said Sullenberger. “The traditional photoacoustics method provides sound with higher fidelity, whereas the laser sweeping provides sound with louder audio.”

Next, the researchers plan to demonstrate the methods outdoors at longer ranges. “We hope that this will eventually become a commercial technology,” said Sullenberger. “There are a lot of exciting possibilities, and we want to develop the communication technology in ways that are useful.”

Paper: R. M. Sullenberger, S. Kaushik, C. M. Wynn. “Photoacoustic communications: delivering audible signals via absorption of light by atmospheric H2O,” Opt. Lett., 44, 3, 622-625 (2019).
DOI: https://doi.org/10.1364/OL.44.000622.

About Optics Letters
Optics Letters offers rapid dissemination of new results in all areas of optics with short, original, peer-reviewed communications. Optics Letters covers the latest research in optical science, including optical measurements, optical components and devices, atmospheric optics, biomedical optics, Fourier optics, integrated optics, optical processing, optoelectronics, lasers, nonlinear optics, optical storage and holography, optical coherence, polarization, quantum electronics, ultrafast optical phenomena, photonic crystals and fiber optics.

About The Optical Society

Founded in 1916, The Optical Society (OSA) is the leading professional organization for scientists, engineers, students and business leaders who fuel discoveries, shape real-life applications and accelerate achievements in the science of light. Through world-renowned publications, meetings and membership initiatives, OSA provides quality research, inspired interactions and dedicated resources for its extensive global network of optics and photonics experts. For more information, visit osa.org.

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RAUNI KILDE – Bright Light on Black Shadows

Texte Traduit en Français de la Couverture du Livre du Docteur Rauni Kilde :

Auteure :   Docteur RAUNI – Leena Luukanen – KILDE.

CV :

Ancienne Directrice par intérim de la Santé Environnementale et de l’Education Sanitaire, de l’Institut National de la Santé de la Finlande à Helsinki, et représentante du gouvernement de la Finlande à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Genève.

Présente à la :

Conférence Internationale de 2014 à Bruxelles contre les harcèlements policiers organisés en réseaux de communautés secrètes (Covert Harassment Conference).

Le livre :  « Bright Light on Black Shadows » (= « Lumière Vive sur des Ombres Noires ») : l’homme est un esprit, pas un corps !

Extrait :

Le général Russe Alexei Savin a déclaré dans la Pravda que l’être humain est un système d’information et un système électrique, qui peut être influencé de l’extérieur.

Les premières tentatives d’influencer le comportement humain, les attitudes et les émotions ont été tentées en 1874.

Aujourd’hui, des micro puces de la taille de 2 micro-millimètres sont insérées dans la population générale sans leur consentement pour leur contrôle total.

Le personnel médical travaillant dans ce domaine obtient des informations différentes sur le contenu des vaccins que ce qu’obtiennent les chercheurs et les « initiés » qui suivent l’Agenda 21 des Nations Unies pour un dépeuplement de 85% de la population mondiale avec divers moyen.

Jamais les écoles de médecine n’enseignent ni le diagnostic différentiel des effets du Contrôle Mental et ni le fait que cette technologie militaire existe et a été utilisée pendant plus d’un demi-siècle dans le secret le plus total.

Chez les militaires le Contrôle Mental est répertorié comme une arme « non létale », mais en psychiatrie l’ensemble du sujet est tabou et considéré comme signe de maladie mentale, pour cacher ces recherches non éthiques sur les humains.

Celui qui contrôle l’esprit des hommes contrôle le monde !

Source

https://dai.ly/x2cv0z5

Rauni-Leena Luukanen-Kilde is a well-known lecturer and author on mind control and parapsychology since 1982.

 

Le général russe Alexei Savin a déclaré dans Pravda qu’un être humain est un système d’information et électrique, qui peut être influencé de l’extérieur. Déjà en 1874, à l’hôpital Good Smaritan de Dayton, dans l’Ohio, aux États-Unis, on avait tenté d’influencer le comportement, les attitudes et les sentiments humains d’une patiente lorsqu’on lui avait placé des électrodes dans le cerveau. Elle est morte après l’opération. En Suède, le Dr Alm a inséré des électrodes dans le crâne du bébé Bengt en 1946 à l’insu des parents de l’hôpital pour enfants Saska de Stockholm. Plus tard, sa mère m’a raconté les souffrances qu’il avait endurées toute sa vie à l’âge adulte à la suite de cette opération.

Aujourd’hui, des micropuces de la taille de 2 micromillimètres (le diamètre des cheveux est de 50 micromm) sont insérées dans la population générale sans leur consentement, par exemple dans les vaccins – comme le vaccin « swineflu » pour leur contrôle total. Le personnel médical travaillant sur le terrain reçoit des informations différentes sur le contenu des vaccins que les chercheurs et les « initiés » qui suivent l’Agenda 21 des Nations Unies pour le dépeuplement par 85% de la population mondiale avec des moyens divers.

Toutes les facultés de médecine enseignent que l’on est mentalement malade si l’on entend des voix dans sa tête, si l’on se sent surveillé (souvent par ses voisins), empoisonné, irradié par des micro-ondes et des attaques au laser, si l’on a le sentiment que ses pensées et ses rêves sont lus et auxquels des étrangers réagissent, si l’on est en contact avec une personne qui, en 1984, a des valeurs européennes, a des problèmes d’énergie et que 41% des Islandais le sont. Jamais les facultés de médecine n’enseignent le diagnostic différentiel du MK et le fait que cette technologie militaire existe et est utilisée depuis plus d’un demi-siècle dans le plus grand secret. Dans l’armée, le contrôle de l’esprit est considéré comme une arme « non létale », mais en psychiatrie, tout le sujet est tabou et considéré comme un signe de maladie mentale pour dissimuler des recherches non éthiques sur des humains. L’UNIDIR, l’Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement à Genève, a inscrit en 2002 le contrôle des esprits comme une arme de destruction massive aux côtés des bombes atomiques ! L’homme est un esprit, pas un corps quand notre corps est composé de 70% d’eau et notre cerveau de 87% d’eau, donc notre énergie nous maintient ensemble. Selon Einstein, l’énergie ne disparaît jamais, mais change seulement de forme.

Celui qui contrôle l’esprit des hommes contrôle le monde !

Source

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Armes electroniques General

Gouverner par le chaos (chapitre: Le Mind Control)

Gouverner par le chaos

Ingénierie sociale et mondialisation

Table des matières

Politique et massification
Politique et mondialisation
Qu’est-ce que l’ingénierie sociale?
La stratégie du choc
La conduite du changement
Le social learning
La fabrication du consentement
Le tittytainment
Le pied-dans-la-porte
Le mind control
Le virtualisme
La guerre contre-insurrectionnelle
Le reality-building
Le management négatif
La théorie de la Jeune-Fille
Le biopouvoir
Conclusion provisoire
L’Appel des Résistants

 

Le Mind Control

Faisons encore un pas dans la régression mentale
provoquée et le hacking psychosocial. Chacun se souvient
des propos de Patrick Le Lay, alors Président Directeur
Général de TF1, sur « le temps de cerveau disponible »
que sa chaîne de télévision vendait aux annonceurs
publicitaires. Rien d’anecdotique dans cette formulation.
Après le contrôle des émotions et des situations,
l’ingénierie sociale s’est beaucoup intéressée au contrôle
direct du cerveau, dans l’optique de court-circuiter le
champ des représentations pour s’attaquer directement à
la programmation du système nerveux dans sa
matérialité la plus brute. Cette analogie entre cerveau et
ordinateur, déjà perceptible dans la cybernétique, le
cognitivisme et le Social Learning, s’appuie en fait sur le
Learning tout court, c’est-à-dire les théories de
l’apprentissage, au sens de « apprendre à un être vivant à
se comporter de telle façon ». Pour le dire frontalement,
le Learning est la science du dressage et duconditionnement
comportemental.Elle fut originellement testée sur des animaux de laboratoire,
mais rapidement appliquée à l’humain dès les années
1940 au travers des recherches en Mind Control (contrôle
mental), ou MK (Mind Kontrolle), menées dans le but de
créer des Candidats Mandchous et des soldats parfaits,
ignorant la peur, insensibles à la douleur, etc. Divers
protocoles furent mis au point, s’appuyant sur lesprincipes behaviouristes de « conditionnement classique
», issus des travaux de Pavlov sur les réflexes
conditionnés (stratégie directe et déterministe) et de «
conditionnement opérant », issus des travaux de Skinner
sur l’induction de comportements à partir du façonnage
de l’environnement (stratégie indirecte et tendancielle).
Le jeu sur la récompense et la punition pouvant aller
jusqu’à des actes de torture, on ne s’étonnera pas que le
programme de recherche MK-Ultra, dont les dossiers ont
été récemment déclassifiés par la CIA après avoir été top-
secrets pendant une cinquantaine d’années, ait fortement
inspiré non seulement l’ouvrage déjà mentionné de
Naomi Klein mais encore l’enquête très approfondie de
Gordon Thomas, intitulée Les armes secrètes de la CIA —
Tortures, manipulations et armes chimiques. L’auteur y
restitue l’historique complet du projet MK-Ultra, avec ses
savants fous affairés autour de leurs cobayes humains, ou
« sujets jetables », expliquant que la germanisation du
terme control en Kontrolle était un clin d’œil aux origines
des scientifiques qui développèrent les premiers ces
recherches, d’anciens nazis exfiltrés après la guerre aux
États-Unis ou en Angleterre dans le cadre de l’opération
Paperclip. Ainsi, depuis 1945 et dans la continuité de ce
que les scientifiques du Troisième Reich avaient
commencé de mettre au point, de nombreuses
expériences sur l’hypnose, les hallucinogènes, l’influence
subliminale, le lavage de cerveaux et la re-
programmation mentale furent (et continuent d’être)
élaborées sur les individus et sur les masses à l’Institut
Tavistock, au Massachusetts Institute of Technology
(MIT), ou sur d’autres campus universitaires tels que
Harvard. Le malheureuxTed Kaczynski, devenu célèbre sous le pseudonyme «
Unabomber », en fut lui-même victime au début des
années 60, alors qu’il était encore étudiant sous la
direction de Henry A. Murray. Plus récemment, on a vu
naître de ces recherches une nouvelle discipline, le
neuromarketing, fondée sur l’imagerie médicale du
cerveau et visant explicitement à déclencher des pulsions
d’achat irrépressibles par l’activation ciblée de certaines
zones du système nerveux.
Le Mind Control est friand de métaphores
informatiques et relatives à l’Intelligence Artificielle, son
projet consistant à réécrire le programme
comportemental d’une machine vivante mais sans que
cette machine ne s’en rende compte. Piratage psycho-
socio-biologique, où le code source du sujet cobaye a été
craqué, puis effacé et reformaté par une entité extérieure
au sujet, qui s’est ainsi rendue propriétaire de
l’inconscient du sujet et qui peut donc orienter son
devenir. Un hacker s’est infiltré dans la mémoire, en a
pris le contrôle, l’a reconfigurée selon ses plans, a
implémenté de nouveaux habitus, de nouveaux
algorithmes comportementaux et pilote désormais la
machine humaine à distance. Mais surtout, il a effacé
toute trace de son effraction et de sa manipulation. La
philosophie du Mind Control, l’emprise totale sur un être
vivant, emprise autorisée par la réduction de cet être à
une machine computationnelle simplement animée
d’entrées et de sorties d’information (input et output), a
ainsi infusé toute la politique moderne, progressivement
réduite à la gestion de flux quantitatifs. La cybernétique,
même quand elle se veut « humaniste » dans les
conférences de la Fondation Macy (1946-1953) ou dans lerapport Meadows du Club de Rome (1972), ne peut
s’empêcher de chercher à réduire l’incertitude à zéro et
donc à produire un effet de « chosification » du vivant.
Ces diverses approches de la gestion des groupes
humains ont toutes en commun de produire des effets de
nivellement par le bas. À chaque fois, il s’agit de
contourner le lobe frontal du cerveau, le néocortex, siège
du langage et des fonctions dialectiques, pour prendre
directement le contrôle des fonctions pré-linguistiques :
les réflexes primitifs du cerveau reptilien, et les émotions
dans le système limbique. Il s’agit de rendre impossible la
sublimation, c’est-à-dire de désirer des mots plutôt que
des objets, et de maintenir toute la vie entre deux états
mentaux simplifiés pré-langagiers, dérivés des deux
émotions primitives que sont la peur et l’excitation
érogène. Cette atrophie du champ psychique génère
évidemment toute une gamme d’états dépressifs et de
pathologies mentales diverses, que l’on peut rassembler
sous les termes de désymbolisation, de perte de Sens et
de structure mentale. Mais pour parvenir à ses fins, à
savoir la construction d’un système social totalement sûr
et prévisible, l’ingénierie politique des pays développés
n’a pas eu d’autre choix que de considérer l’humain
comme moins qu’un animal : comme un simple objet
plastique et à disposition pour le recomposer à loisir.

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Articles de presse

Le gouvernement US envoie accidentellement à un journaliste un fichier sur les méthodes de « contrôle de l’esprit à distance ».

Sur boingboing :

Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

Lorsque le journaliste Curtis Waltman a déposé une demande de Freedom of Information Act auprès du Washington State Fusion Center (partenaire de Department of Homeland Security) pour obtenir des informations sur les groupes antifa et suprémacistes blancs, il a obtenu un bonus  en plus que les informations qu’il cherchait.

Il a reçu accidentellement un dossier mystérieux sur les « armes psycho-électriques » avec l’étiquette « EM effects on human body.zip« . Le dossier comprenait des méthodes de « contrôle à distance de l’esprit ».

Des images effrayantes comme celles-ci ont été incluses :

Alors, qu’est-ce qui se passe ?

Par l’intermédiaire du Daily Beast :

Selon Muckrock, une organisation à but non lucratif qui publie des informations gouvernementales recueillies par le biais de demandes de FOIA, les documents de contrôle de l’esprit proviennent de l’agence liée à la sécurité intérieure du ministère de la Sécurité intérieure sous la forme d’un fichier appelé « EM effects on human body.zip ». Le fichier contiendrait divers diagrammes détaillant les horreurs des « effets d’armes psycho-électroniques ».

Un diagramme énumère les différentes formes de tourments qui seraient rendues possibles par les méthodes de contrôle de l’esprit à distance, depuis « l’effacement forcé de la mémoire » et « les démangeaisons violentes et soudaines à l’intérieur des paupières » jusqu’au « fléau sauvage » suivi de « rigor mortis » et d’un « orgasme forcé » induit à distance. on ne sait pas comment les documents se sont retrouvés dans la réponse de l’agence, à une demande standard de FOIA, mais il n’y avait aucune indication que les fichiers de « contrôle à distance de l’esprit » provenaient d’un programme gouvernemental.

Et selon Popular Mechanics :

Le gouvernement fédéral a absolument expérimenté le contrôle des esprits dans une variété de méthodes, mais les documents ici ne semblent pas être officiels.

Waltman n’avait aucune idée de la raison pour laquelle ces documents ont été inclus dans sa demande et ne sait pas pourquoi le gouvernement les détient. La WSFC n’a pas répondu aux demandes de renseignements supplémentaires.

Aussi amusantes que soient les théories de conspiration, Muckrock ne croit pas que les images sont du « matériel gouvernemental ».

L’une semble provenir d’une personne nommée « Supratik Saha », identifiée comme ingénieur logiciel, la lame de cartographie cérébrale n’a pas de source, et l’image du corps agressé par des armes psychotroniques provient de raven1.net, qui n’a apparemment pas renouvelé son domaine.

Muckrock a lancé un appel à la WSFC mais n’a pas encore eu de nouvelles.

Plus de détails Muckrock

 


Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

When journalist Curtis Waltman filed a Freedom of Information Act request with Washington State Fusion Center (which is partnered with Department of Homeland Security) to obtain information about Antifa and white supremacist groups, he got more than the information he was looking for – he also accidentally received a mysterious file on « psycho-electric weapons » with the label “EM effects on human body.zip.” The file included methods of « remote mind control. »

Creepy images like these were included:

So what gives?

Via the Daily Beast:

According to Muckrock, a nonprofit that publishes government information gathered through FOIA requests, the mind-control documents came from the Department of Homeland Security-linked agency in the form of a file called “EM effects on human body.zip.” The file reportedly contained various diagrams detailing the horrors of “psycho-electronic weapon effects.”One diagram lists the various forms of torment supposedly made possible by using remote mind-control methods, from “forced memory blanking” and “sudden violent itching inside eyelids” to “wild flailing” followed by “rigor mortis” and a remotely induced “forced orgasm.” It was not immediately clear how the documents wound up in the agency’s response to a standard FOIA request, but there was reportedly no indication the “remote mind control” files stemmed from any government program.

And according to Popular Mechanics:

The federal government has absolutely experimented with mind control in a variety of methods, but the documents here do not appear to be official.

Waltman had no idea why these documents were included in his request and isn’t sure why the government is holding them. The WSFC did not respond to requests for more information.

As fun as conspiracy theories are, Muckrock doesn’t believe the images are « government material. »

One seems to come from a person named “Supratik Saha,” who is identified as a software engineer, the brain mapping slide has no sourcing, and the image of the body being assaulted by psychotronic weapons is sourced from raven1.net, who apparently didn’t renew their domain.

Muckrock put out a call to WSFC but hasn’t yet heard back from them.

For more details, go to Muckrock.

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Armes electroniques

Manipulation du système nerveux humain à travers les écrans

Il est difficile de trouver des informations sur un certain Hendricus G. Loos, malgré le fait qu’il ait déposé plusieurs demandes de brevet, avec succès, pour des appareils qui traitent de la manipulation du système nerveux humain via un écran d’ordinateur ou un moniteur de télévision. En résumé, il explique ce qui suit :

“Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à une stimulation de la peau avec des champs électromagnétiques faibles qui sont pulsés à des fréquences proches de ½ Hz ou 2,4 Hz, tels que l’excitation d’une résonance sensorielle. De nombreux écrans d’ordinateurs et de téléviseurs, lorsqu’ils affichent des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d’amplitude suffisante pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet par des images pulsantes affichées sur un écran d’ordinateur ou un téléviseur à proximité. Dans ce dernier cas, l’impulsion d’image peut être insérée dans le matériel de programme, ou elle peut être superposée en modulant un flux vidéo, soit comme signal RF, soit comme signal vidéo. L’image affichée sur un écran d’ordinateur peut être pulsée efficacement par un simple programme informatique. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables de résonances sensorielles excitantes chez des sujets proches peuvent être générés même si les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.”

Ce qui est préoccupant à ce sujet, comme l’explique le brevet, c’est que même une pulsation très faible peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux humain.

Il poursuit en décrivant que la variabilité et la force des impulsions peuvent être contrôlées à l’aide d’un logiciel et explique, en ce qui concerne un moniteur d’ordinateur, des DVD, des cassettes vidéo et plus encore, comment il est possible de les commander à distance à partir d’un autre endroit.

La partie la plus inquiétante est peut-être celle-ci :

“Certains moniteurs peuvent émettre des impulsions de champ électromagnétique qui excitent une résonance sensorielle chez un sujet proche, par des impulsions d’image si faibles qu’elles sont subliminales. C’est dommage, car cela ouvre la voie à une application malicieuse de l’invention, qui expose les gens à manipuler involontairement leur système nerveux pour les besoins de quelqu’un d’autre. Une telle application serait contraire à l’éthique et n’est évidemment pas recommandée. C’est mentionné ici afin d’alerter le public sur la possibilité d’abus cachés qui peuvent se produire en ligne, ou en regardant la télévision, une vidéo ou un DVD.”

L’application est pleine d’exemples cités que “le système nerveux d’un sujet peut être manipulé par des impulsions électromagnétiques émises par un tube cathodique ou un moniteur LCD qui affiche des images avec une intensité pulsée”.

Notre système nerveux contrôle tout dans notre corps, y compris le cerveau. C’est un réseau de nerfs et de cellules qui transmettent des messages du cerveau et de la moelle épinière à diverses parties du corps, et ce n’est un secret pour personne que le gouvernement des États-Unis, entre autres, a une longue histoire d’expériences sur des êtres humains à des fins de contrôle mental. La télévision pourrait-elle être une tactique de contrôle mental ? Cela expliquerait pourquoi tant de gens croient aux histoires et aux explications d’événements qui leur sont présentés par les médias grand public, instantanément, sans même se poser des questions.

Dans certains cas, nous sommes faits pour idolâtrer ce que nous voyons à la télé, comme des célébrités, et imiter le comportement et les désirs.

Parfois, une perspective qui est étayée par des preuves, qui contrecarre complètement l’histoire et l’information que nous recevons des médias grand public, est jetée dans le “monde de la conspiration”. C’est dangereux, avons-nous atteint un point où nos télévisions réfléchissent pour nous ? Pourraient-elles utiliser les techniques décrites ci-dessus pour influencer nos pensées, nos comportements et nos perceptions ?

Compte tenu de ce que nous savons de nos gouvernements et des mesures contraires à l’éthique qu’ils ont prises tout au long de l’histoire, ce n’est vraiment pas inenvisageable.

Il y a une raison pour laquelle les avions et les hôpitaux interdisent l’utilisation des téléphones cellulaires, c’est parce que leurs transmissions électromagnétiques interfèrent avec les appareils électriques critiques. Le cerveau n’est pas différent, c’est un organe bioélectrique extrêmement complexe qui génère des champs électriques. Les scientifiques peuvent en fait contrôler le fonctionnement du cerveau grâce à la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), une technique qui utilise de puissantes impulsions de rayonnement électromagnétique émises dans le cerveau d’une personne pour brouiller ou exciter des circuits cérébraux particuliers.

C’est le même genre de chose que celle décrite dans le brevet, alors dans quelle mesure nos écrans d’ordinateur et de télévision le font-ils ? C’est pourquoi, par exemple, lorsque quelqu’un allume sa Playstation, l’écran lui demande de lire les informations importantes sur la santé avant de jouer. Des recherches ont également démontré que les simples transmissions par téléphone cellulaire peuvent affecter de façon assez significative les ondes cérébrales d’une personne, ce qui à son tour a des effets sur son comportement.

“Le rayonnement électromagnétique peut avoir un effet sur le comportement mental quand il émet à la bonne fréquence.” James Horne, du Centre de recherche sur le sommeil de l’Université de Loughborough (source)

Non seulement cela, mais des centaines de scientifiques se sont rassemblés et sont en train de sensibiliser les Nations Unies aux effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé et de faire des pétitions à ce sujet.

L’initiative a été lancée par le Dr Martin Blank, Ph.D. du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Colombie, qui s’est joint à un groupe de scientifiques du monde entier pour lancer un appel international aux Nations Unies concernant les dangers liés à l’utilisation de divers dispositifs émettant des émissions électromagnétiques, tels que les téléphones cellulaires et le WiFi.

Le Dr Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université Columbia, a déclaré dans un message vidéo : “Ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément.”

“Nous avons créé quelque chose qui nous nuit, et cela devient incontrôlable. Avant l’ampoule d’Edison, il y avait très peu de rayonnement électromagnétique dans notre environnement. Les niveaux d’aujourd’hui sont beaucoup plus élevés que les niveaux naturels, et ils augmentent rapidement à cause de tous les nouveaux appareils qui émettent ce rayonnement.”

Cette information est un effet séparé sur le corps du contrôle de l’esprit, mais il est toujours important de mentionner et d’apporter de la lumière.

Non seulement nos appareils électroniques surveillent, observent et enregistrent tout ce que nous faisons, mais ils peuvent aussi influencer notre comportement, nos perceptions, nos pensées et nos sentiments à grande échelle, mais qui sait si “les pouvoirs en place” utilisent ces appareils pour contrôler l’esprit, de la même manière qu’ils les utilisent pour surveiller.

Ne vous méprenez pas, il n’est pas difficile de voir comment les entreprises utilisent la télévision pour influencer notre comportement et nos perceptions, mais peut-être qu’elles, et d’autres autorités, sont en train de changer les choses, comme nous l’avons mentionné plus haut, et de manipuler nos systèmes nerveux à des fins personnelles et en connaissance de cause.

Chamath Palihapitiya, vice-président responsable de la croissance des utilisateurs de Facebook avant de quitter l’entreprise en 2011, a déclaré : “Les boucles de rétroaction à court terme, basées sur la dopamine, que nous avons créées, détruisent le fonctionnement de la société. Pas de discours civil, pas de coopération, de désinformation, que du mensonge. Donc, nous voyons un genre de chose similaire là-bas aussi.”

En matière de contrôle mental, le projet MK ultra était le bébé de la CIA. On croit généralement que ce n’est que du LSD qui a été utilisé sur des sujets humains, mais ce n’était qu’un seul programme. Comme la Cour Suprême des Etats-Unis l’a révélé en 1985, MK ultra consistait en 162 projets secrets différents qui étaient indirectement financés par la CIA, et sous-traités à plusieurs universités, fondations de recherche et institutions similaires. La majorité des enregistrements du MK Ultra ont été détruits et n’ont jamais été vus.

Peut-être que la programmation télévisuelle faisait-elle partie du programme MK Ultra ?

Observations finales

Il est difficile d’imaginer que nous pourrions être manipulés et utilisés à des fins de profit, de contrôle et autres, mais c’est une réalité à laquelle nous devons faire face. Il y a d’innombrables exemples de ceci tout au long de l’histoire jusqu’à nos jours, et tous les aspects de la vie humaine semblent être contrôlés par un petit groupe très sélect du domaine de la santé, des finances, de l’éducation, du divertissement, de la grande nourriture et plus encore. Nous sommes devenus des outils pour leur utilisation, et nos pensées, nos comportements et nos perceptions, pour la plupart, semblent être les mêmes. S’ils sont un peu différents, ou s’ils ne s’adaptent pas vraiment au cadre, on peut être instantanément étiqueté ou devenir un “paria social”.

Il ne fait aucun doute dans mon esprit que notre télévision et d’autres appareils électroniques ont des effets nocifs sur la santé, et qu’ils ont ou peuvent avoir des effets sur notre système nerveux de plusieurs façons différentes. Les données scientifiques à ce sujet sont claires, mais ce qui est moins clair, c’est l’idée qu’il y en a d’autres qui utilisent ces techniques, sciemment, pour contrôler nos esprits.

D’après toutes mes recherches sur le contrôle mental, les mesures prises par nos gouvernements et la mesure dans laquelle ils les ont prises, je serais surpris que la télévision ne fasse pas partie du programme MK Ultra.

À toutes et à tous, c’est une autre bonne raison de passer moins de temps devant votre écran, et plus de temps avec un livre, passer du temps à l’extérieur, ou avec la famille et les amis. S’il y a une chose qui est certaine, c’est que nos écrans nuisent à notre santé de plusieurs façons.

 

 

Source : Collective Evolution

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Armes electroniques

Marc Filterman – Les armes de l’ombre

Marc Filterman a acquis son premier radar en 1976. Il a débuté sa carrière à l’armée de l’air, qu’il a quittée en 1985 pour se consacrer à des recherches sur l’électronique de défense. Il a effectué 10 ans de recherche sur les radars et 30 ans de recherche sur les risques des champs électromagnétiques et sur la manipulation du climat.

En relation avec des experts du monde entier, il est devenu l’un des meilleurs spécialistes de la guerre non conventionnelle, ce qu’a confirmé le succès de la première édition de « Les armes de l’ombre » en 1999.

 

Je me permet de mettre à disposition quelques pages sélectionnées de ce livre. On pourra y trouver les armes qui son utilisées dans le phénomène » Gang Stalking », harcèlement en réseau et voice to skull (V2K). On pourra conclure à l’issue de cette lecture, qu’il existe des systèmes électroniques utilisant des ondes (invisibles, donc concrètement des victimes d’ armes invisibles) permettant entre autre de pulser des voix à distance sur un individu déterminé. De quoi rendre obsolète un tas de diagnostiques psychiatriques. C’est extrêmement grave dans la mesure ou la psychiatrie continue en 2018 à priver de droits et enfermer des personnes sur la base de diagnostiques erronés. Ceux des victimes qui ne sont pas enfermés voient leur vie rendue un véritable calvaire, malgré tout. On peut se poser la question de la dangerosité de l’exposition perpétuelle (24/24) à ce types d’ondes, en plus de l’électro-smog ambiant. Sans etre génie ou devin on peut se douter que de se terreau propice naîtront bien plus facilement les cellules cancéreuses, diminuant ainsi l’espérance de vie des Targeted Individuals.

EXTRAIT N°1

 

EXTRAIT N°2

 

Maintenant, vous qui ne passez pas nombreux par ici, essayez de vous imaginer étant la cible d’une ou plusieurs des ces armes invisibles. Imaginez vous la cible d’un groupe qui tente d’influencer votre comportement…

De là, imaginez vous en train de demander de l’aide, vous serez confrontés à la seule réponse qu’offre de nos jours la société. L’enfermement avec hautes doses de molécules pharmaceutiques qui vous empêcheront de réfléchir et d’être vous même. De quoi effectivement devenir fou, ou se suicider ou de vivre un calvaire sans nom d’une durée indéterminée (probablement jusqu’à la fin)  28 ans en ce qui me concerne.

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Articles de presse

La TMS pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, par Michael Persinger

Michael Persinger  a fait des recherches sur le Casque de dieu (god elmet) dans le cadre d’une étude en neurosciences sur les effets de la stimulation des lobes temporaux1 et a eu un certain retentissement. Les participants ont rapporté« l’impression d’une présence » (ou « sensation d’une présence éthérée dans la pièce ») alors qu’ils portaient le casque. Plusieurs documentaires télévisés et divers médias ont rapporté le phénomène en utilisant l’expression « casque de dieu »

Dans un article d’avril 2002 sur Wired, il est question des différents usages et techniques de la stimulation magnétique trans-crânienne (TMS) (<- comme d’habitude, sur la fiche wikipedia, c’est le rêve, on ne voit que les applications positives et médicales, Bisounours-Land). Nous avons décidé de partir à la découverte du chercheur américain en neurosciences cognitives et professeur d’université Michael A. Persinger, qui avance que la TMS pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, dans un article publié en 1995 dans Perceptual and Motor Skills Volume 80, Issue 3, June 1995: 791–799., titré « On the possibility of directly accessing every human brain by electromagnetic induction of fundamental algorithms. »

En effet, Persinger cherche à identifier et à cataloguer les algorithmes fondamentaux, une série d’impulsions magnétiques spécifiques qui correspondent à une réaction donnée dans le cerveau. Sans surprise, la technologie est considérée comme potentiellement dangereuse. La TMS est considérée comme une technologie inexacte, mais les chercheurs ont tout juste commencé à explorer son potentiel en neurosciences. L’article suivant traite donc de la possibilité d’influencer le cerveau humain grâce aux ondes électromagnétiques.

La communication au sein du cerveau humain est assurée par les échanges de signaux électriques (influx nerveux) entre les neurones. Ces échanges sont la source de l’ensemble des processus qui se produisent dans le cerveau, et ce chez tous les êtres humains. Partant de ce constat, Persinger étudie l’opportunité d’interférer dans ces processus sur un groupe de personnes grâce aux ondes électromagnétiques, même à distance. Il présente plusieurs exemples d’expériences sur l’homme ou l’animal issus de la recherche académique afin de soutenir sa démonstration.

L’objectif assumé de ce document est de démontrer publiquement qu’il est techniquement possible de parvenir à une telle prouesse, ce qui implique un risque lié à l’utilisation inappropriée de ces technologies. (<- faudra lui dire que certains ne l’ont pas attendus…)

Depuis la rédaction de cet article, de nombreux progrès ont été faits sur la stimulation magnétique trans-crânienne (TMS). Cette technique est désormais utilisée couramment dans le milieu médical par exemple, et est la base de nombreux projets innovants.

Parmi ces projets :

– La TMS pourrait être employée sur des foules indifférenciées afin de manipuler l’activité de leurs cerveaux et ainsi modifier leurs états d’esprit. L’application pourrait être utilisée à des fins de maintien de l’ordre ou même comme arme militaire. ( > voir l’article)

– La société Axilum Robotics développe actuellement un robot afin d’automatiser la TMS. L’entreprise a réussi l’exploit d’envoyer le premier message par télépathie à l’aide de la TMS.

– Un rapport de 2013 du Comité Consultatif National d’Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé traite des stimulants cognitifs, de la stimulation électrique transcrânienne directe, de la stimulation cérébrale focale et profonde et de la stimulation magnétique trans-crânienne. (> voir l’article)

– Plusieurs équipes indépendantes de chercheurs issus d’universités prestigieuses travaillent sur des interfaces « cerveau-à-cerveau » fonctionnant grâce à la TMS. (> voir l’article)

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Source

 

C’est le genre de sujet qui devrait avoir sa place dans les grands médias nationaux, mais ceux-ci préfèrent couvrir la météo, c’est vrai, début février c’est tellement incroyable 10 cm de neige, un événement qui mérite bien qu’on en parle pendant une semaine sur toutes les chaînes.