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Organized Stalking – Le Nouvel Ennemi Et La Nouvelle Guerre

Nouvelle Guerre mondiale : Méthodes révolutionnaires de contrôle politique – Mark M. Rich

Traduction de l’articleOrganized Stalking – The New Enemy And The New War

Cette nouvelle guerre est menée contre un large éventail de menaces potentielles. Selon la Défense et d’autres sources, il y a un nouvel ennemi qui vit parmi le peuple. Ces menaces à la sécurité nationale américaine sont  » complexes et mal définies « , nous dit le Los Alamos National Laboratory.

En ce qui concerne ces nouveaux ennemis, la publication Unconventional Warfare publiée par l’armée américaine en septembre 2008, proclame : « Les adversaires menacent les Etats-Unis dans un environnement opérationnel complexe, s’étendant des régions critiques d’outre-mer à la patrie. »

L’Institut d’études stratégiques de l’armée américaine a révélé dans son rapport du 15 juin 1998 intitulé Nonlethality and American Land Power qu’à l’avenir, les forces militaires seront confrontées à des adversaires qui ont été formés en Amérique.

« Nous devons également nous concentrer sur les menaces non traditionnelles au pays « , a mentionné le Collège de guerre de l’armée américaine dans son rapport d’avril 2002, Defending the Homeland. « Le pays doit se recentrer et fixer son attention sur la défense de la patrie contre un large éventail de menaces. »

Ce nouvel ennemi comprend des groupes et des individus qui ne sont pas membres d’une force militaire. « Nous ne sommes pas en guerre contre des nations ou de grandes armées, nous sommes en guerre contre des individus « , a proclamé le lieutenant-colonel John Forsythe de l’US Air Force dans un article du Defense Daily du 8 février 2005.

Dans un article intitulé Man-Hunting, Nexus Topography, Dark Networks, and Small Worlds, paru dans le numéro d’hiver 2006 d’Iosphere, l’adjudant-chef 3, John R. Dodson a annoncé : « Les menaces asymétriques qui pèsent actuellement sur la politique nationale américaine ne sont pas celles des grandes armées permanentes. Ce sont des individus et des groupes d’individus aux vues similaires. »

Les ennemis sont rarement des États, dit Toffler Associates, dans un rapport publié pour la Defense Intelligence Agency. Ce sont plutôt des individus et des groupes qui constituent des menaces à la sécurité nationale et qui doivent être neutralisés.

L’armée américaine a déclaré que cette guerre serait menée contre des ennemis confirmés ainsi qu’un large éventail d’autres menaces potentielles. La force multinationale comptera beaucoup sur la population civile pour neutraliser le nouvel ennemi qui vit parmi eux. « De nouvelles menaces asymétriques sont apparues « , a annoncé le Département de la défense dans son rapport annuel 2007. « C’est un ennemi qui vit et se cache parmi la population civile », ont-ils souligné.

« Les menaces d’aujourd’hui », a révélé Applied Energetics, un entrepreneur de la défense du gouvernement, « sont souvent caractérisées par un ennemi non étatique qui opère au sein d’une population civile, dans des zones urbaines et encombrées ». Les nouveaux ennemis ont été décrits comme : insurgés, acteurs non étatiques, menaces asymétriques, menaces irrégulières, adversaires, etc. Avant d’examiner plus en détail le nouvel ennemi, jetons un coup d’œil aux différents termes utilisés pour le décrire.

Les étiquettes du nouvel ennemi

Adversaire

Le 27 février 2008, l’US Army Field Manual Operations définit un adversaire de cette façon : « Un adversaire est une partie reconnue comme potentiellement hostile à une partie amie et contre laquelle l’usage de la force peut être envisagé. » Les adversaires comprennent également des membres de la population locale qui sympathisent avec l’ennemi. Donc, un adversaire est quelqu’un qui pourrait être hostile ou des gens qui le soutiennent.

Ennemi irrégulier

Le document Unconventional Warfare 2008 de l’armée américaine décrit un ennemi irrégulier de la manière suivante : « Les irréguliers, ou forces irrégulières, sont des individus ou des groupes d’individus qui ne sont pas membres d’une force armée régulière, de la police ou d’une autre force de sécurité intérieure. » Ils ne sont généralement pas parrainés par l’État et ne sont pas soumis aux lois et aux frontières d’une nation souveraine. Les ennemis irréguliers utilisent des méthodes non conventionnelles ou asymétriques pour contrer les avantages américains.

Selon l’armée, les ennemis irréguliers comprennent, entre autres, les forces paramilitaires, les entrepreneurs, les particuliers, les entreprises, les organisations politiques étrangères, les organisations de résistance ou d’insurrection, les expatriés, les terroristes transnationaux, les membres désillusionnés du terrorisme transnational, les marchands noirs et autres « indésirables » sociaux ou politiques.

Acteur non étatique

Les acteurs non étatiques (ANE) sont ceux qui opèrent en dehors du contrôle des États ou des gouvernements reconnus par les Nations Unies. Il s’agit notamment des terroristes, des groupes d’autodéfense, des groupes de protection civile qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement et des insurgés. Les autres types d’ANE sont les forces armées dissidentes, les guérillas, les mouvements de libération, les combattants de la liberté, les groupes rebelles d’opposition, les coopératives agricoles, les milices locales et certains individus.

En outre, toutes les diverses organisations de la catégorie des ONG peuvent être considérées comme des acteurs non étatiques si elles ne sont pas sous le contrôle de l’État ou d’entreprises. La RAND Corporation décrit la NSA comme étant  » ceux qui cherchent à confondre les croyances fondamentales des gens au sujet de la nature de leur culture, de leur société et de leur gouvernement « . D’autres adversaires, selon le RAND, sont des « militants de la société civile qui luttent pour la démocratie et les droits de l’homme ». La RAND relie ensuite ces militants sociaux à des groupes anarchistes militants gérés par l’État, tels que le bloc noir, les qualifiant ainsi de terroristes nationaux.

Le livre Network Centric Warfare, écrit par David S. Alberts, John J. Garstka et Frederick P. Stein, et sponsorisé par le Département de la Défense, explique les acteurs comme : Les entités qui ont pour fonction première de créer de la  » valeur  » sous la forme d’une  » puissance de combat  » dans l’espace de combat. Les acteurs emploient des moyens traditionnels (mortels) et non traditionnels (non mortels). »

Dans une autre publication de RAND publiée en 2005, écrite par Deborah G. Barger, intitulée Toward a Revolution in Intelligence Affairs, un acteur non étatique est décrit comme toute personne qui agit ou planifie contre les intérêts de sécurité nationale américains. Les personnes utilisant de telles approches asymétriques, selon le RAND, deviendront la principale menace pour la patrie américaine.

Insurgé

Le 1er août 2007, le document Air Force Doctrine document on irregular warfare, définit une insurrection comme  » un mouvement organisé visant à renverser un gouvernement constitué par la subversion et les conflits armés « .

Une insurrection est une guerre révolutionnaire, dit l’armée américaine. Selon le Dictionary of Military and Associated Terms du DOD, un insurgé est un  » membre d’un parti politique qui se rebelle contre une direction établie « . Les insurrections surviennent habituellement lorsqu’une population est opprimée et sont menées par des gens qui orchestrent ce que la Force aérienne appelle une opération d’information (OI), qui est essentiellement la diffusion de l’information. Les insurgés utilisent les médias d’information et Internet pour communiquer, former, recruter et financer.

Ils accusent également l’entité dirigeante d’être à l’origine de doléances sociales, politiques ou même religieuses latentes et répandues. Ils peuvent utiliser des méthodes violentes ou non violentes pour convaincre la population que leur cause est morale. Certaines insurrections sont internationales.

Les insurgés sont ceux qui tentent de persuader la population d’accepter le changement politique. Si la persuasion ne fonctionne pas, ils peuvent utiliser l’intimidation, le sabotage, la propagande, la subversion, la force militaire ou la terreur. Certains insurgés tentent d’organiser la population en un mouvement de masse, selon l’armée de l’air, pour séparer ou renverser le gouvernement en place.

Si toutes ces conditions doivent exister pour qu’une personne puisse être qualifiée d’insurgé, alors celles qui utilisent des méthodes non violentes pour provoquer des changements peuvent ne pas être incluses. Cependant, si seulement quelques actions non-violentes, comme influencer une population, contraindre un parti au pouvoir à changer son comportement, diffuser des informations (campagnes d’OI), ou organiser un mouvement de masse contre l’oppression sont nécessaires pour répondre à cette explication, alors ceux qui résistent à la tyrannie peuvent être considérés comme insurgés.

Un nouvel ennemi pour une nouvelle guerre mondiale

Comme des sources officielles l’ont mentionné plus haut, ces descriptions du nouvel ennemi sont en effet vagues, ce qui permet de nombreuses interprétations possibles quant à l’identité de l’ennemi. Selon ces définitions, l’ennemi n’utilise pas nécessairement la violence pour promouvoir le changement politique. Leurs méthodes peuvent être non violentes.

La considération principale ici est qu’il s’agit de groupes ou d’individus qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement, qui s’opposent au leadership établi et qui peuvent influencer la population à promouvoir le changement politique. Ensuite, il y a les ennemis potentiels qui seront ciblés en raison d’une action qu’ils pourraient entreprendre à l’avenir. Nous découvrirons dans le prochain chapitre que les manifestants non-violents sont étiquetés comme des terroristes. Ces variations de l’ennemi seront appelées tout au long de ce livre le nouvel ennemi.

Résistance au mouvement mondial

« Les menaces les plus pressantes du nouvel environnement de sécurité sont les réactions violentes au mouvement du monde vers un système international unique « , a révélé le ministère de la Défense dans son rapport de novembre 2002 intitulé Opérations basées sur les effets : Appliquer la guerre centrée sur le réseau en temps de paix, de crise et de guerre. « L’hostilité manifeste à l’égard de ce qui est perçu comme une mondialisation fortement américaine « , ajoute-t-il,  » montre clairement que cette évolution ne sera ni facile ni sans danger important « .

De même, le CFR avait ceci à dire au sujet des résistants de ce mouvement mondial : « Dans la transformation d’un processus, il y a souvent des éléments moins sujets à l’évolution. » Selon le CFR, ces résistants évolutifs utilisent un mouvement de résistance dispersé qui est dissimulé au sein de la population civile. Ils suggèrent que l’armée américaine change sa tactique pour neutraliser ces résistants.

« Alors que la mondialisation accroît l’intégration mondiale, explique l’armée américaine, l’ampleur des menaces qui pèsent sur la sécurité et la sûreté publique des États-Unis s’étend à l’ensemble de la planète. « Les ennemis de l’intégration, conseille Toffler Associates, représentent la menace la plus grave pour l’ordre mondial. » Les forces de sécurité, par conséquent, localiseront et neutraliseront de plus en plus ces menaces à la mondialisation, selon l’armée américaine.

Ainsi, ces groupes de réflexion gouvernementaux et ces rapports militaires nous disent que le nouvel ennemi inclut des groupes et des individus ayant des opinions politiques particulières qui font obstacle au développement humain à mesure que notre société évolue vers une civilisation mondiale.

Guerre de l’information

Ces nouveaux ennemis existent partout sur la planète. Selon l’armée américaine et les sous-traitants de la défense du gouvernement américain, ils utilisent des ordinateurs, l’Internet, des télécopieurs, des téléphones portables et des médias publics pour transmettre leurs messages. L’Internet est utilisé pour les communications, la propagande, le financement et la formation, nous disent-ils.

Les ennemis utilisent leur position au sein de la structure militaire, politique ou sociale d’un État pour atteindre leurs objectifs. Ils utilisent les opérations d’information pour influencer les forces de l’État au sein de la population. Dans diverses publications, l’acte de transmettre de l’information a été appelé guerre du réseau, opérations d’information, guerre de l’information, attaques de l’information, etc. Selon la RAND Corporation, la plus grande partie de cette guerre du réseau se fait par l’intermédiaire des médias, notamment les journaux, les magazines, la télévision, les télécopieurs et surtout Internet.

Selon un article intitulé A Theory of Information Warfare, paru dans le numéro du printemps 1995 du Airpower Journal, les attaques d’information visent les systèmes de connaissances ou de croyances des adversaires. Les opérations d’information (OI) ont également été appelées cyberguerre, guerre de l’information (infoguerre), guerre centrée sur les réseaux (netwar, NCW) et guerre de commandement et de contrôle (C2W).

Le DOD décrit IO comme suit : « L’utilisation intégrée des capacités de base de la guerre électronique, des opérations de réseaux informatiques, des opérations psychologiques, de la tromperie militaire et de la sécurité des opérations, de concert avec des capacités de soutien et des capacités connexes précises, pour influencer, perturber, corrompre ou usurper la prise de décision humaine et automatisée accusatoire tout en protégeant nos propres capacités « .

Puisqu’il n’y a aucune référence à l’utilisation des OI par les ennemis dans cette définition, lorsqu’on dit qu’un ennemi s’engage dans des OI, on peut considérer que leurs activités répondent à cette définition. Toutefois, le contexte dans lequel les OI et les termes connexes ont été utilisés par les sources officielles donnent à penser que le simple fait de transmettre des informations, à lui seul, peut être décrit comme une OI.

La définition suivante de l’infoguerre est parue dans une édition de 1999 de l’Air and Space Power Journal, dans un article intitulé What is Information Warfare ? « La guerre de l’information est toute action visant à nier, exploiter, corrompre ou détruire les informations de l’ennemi et ses fonctions, à nous protéger contre ces actions et à exploiter nos propres fonctions d’information militaire. Ainsi, les attaques d’information, les opérations d’information, le commandement et le contrôle de la guerre, la guerre de l’information, etc. sont fondamentalement les mêmes.

La nouvelle guerre est une guerre menée à des fins politiques. Il est fait pour le soutien et l’influence de la population. « Ses batailles se livrent entre les peuples, nous dit l’US Marine Corps, et ses résultats sont déterminés par les perceptions et le soutien du peuple.

Ce qui rend ce nouveau type de guerre différent, selon la Défense, c’est le centre de ses opérations, qui est une population pertinente, ainsi que son but, qui est d’obtenir ou de maintenir le contrôle ou l’influence sur cette population pertinente, et de l’appuyer. L’accent est mis sur la légitimité d’une autorité politique pour contrôler ou influencer une population.

Parce que la force multinationale doit être perçue comme légitime par les civils sur lesquels elle repose, l’information est une arme dévastatrice. Les idées qui influencent la perception d’une personne sont transmises par l’information. « Les techniques de guerre de l’information, explique Steven J. Lambakis dans un article du Joint Force Quarterly intitulé Reconsidering Asymmetric Warfare, constituent des menaces asymétriques pour les États-Unis et leurs intérêts. Cette nouvelle guerre est une « guerre des idées et de la perception », telle que la décrit l’US Marine Corps.

Le livre, La révolution de l’information et la sécurité nationale, publié par l’Institut des études stratégiques, décrit la guerre de l’information comme un type de virus ou d’agent cognitif qui infecte les gens avec une unité d’informationCette nouvelle guerre est menée contre un large éventail de menaces potentielles. Selon la Défense et d’autres sources, il y a un nouvel ennemi qui vit parmi le peuple. Ces menaces à la sécurité nationale américaine sont  » complexes et mal définies « , nous dit le Los Alamos National Laboratory.

En ce qui concerne ces nouveaux ennemis, la publication Unconventional Warfare publiée par l’armée américaine en septembre 2008, proclame : « Les adversaires menacent les Etats-Unis dans un environnement opérationnel complexe, s’étendant des régions critiques d’outre-mer à la patrie. »

L’Institut d’études stratégiques de l’armée américaine a révélé dans son rapport du 15 juin 1998 intitulé Nonlethality and American Land Power qu’à l’avenir, les forces militaires seront confrontées à des adversaires qui ont été formés en Amérique.

« Nous devons également nous concentrer sur les menaces non traditionnelles au pays « , a mentionné le Collège de guerre de l’armée américaine dans son rapport d’avril 2002, Defending the Homeland. « Le pays doit se recentrer et fixer son attention sur la défense de la patrie contre un large éventail de menaces. »

Ce nouvel ennemi comprend des groupes et des individus qui ne sont pas membres d’une force militaire. « Nous ne sommes pas en guerre contre des nations ou de grandes armées, nous sommes en guerre contre des individus « , a proclamé le lieutenant-colonel John Forsythe de l’US Air Force dans un article du Defense Daily du 8 février 2005.

Dans un article intitulé Man-Hunting, Nexus Topography, Dark Networks, and Small Worlds, paru dans le numéro d’hiver 2006 d’Iosphere, l’adjudant-chef 3, John R. Dodson a annoncé : « Les menaces asymétriques qui pèsent actuellement sur la politique nationale américaine ne sont pas celles des grandes armées permanentes. Ce sont des individus et des groupes d’individus aux vues similaires. »

Les ennemis sont rarement des États, dit Toffler Associates, dans un rapport publié pour la Defense Intelligence Agency. Ce sont plutôt des individus et des groupes qui constituent des menaces à la sécurité nationale et qui doivent être neutralisés.

L’armée américaine a déclaré que cette guerre serait menée contre des ennemis confirmés ainsi qu’un large éventail d’autres menaces potentielles. La force multinationale comptera beaucoup sur la population civile pour neutraliser le nouvel ennemi qui vit parmi eux. « De nouvelles menaces asymétriques sont apparues « , a annoncé le Département de la défense dans son rapport annuel 2007. « C’est un ennemi qui vit et se cache parmi la population civile », ont-ils souligné.

« Les menaces d’aujourd’hui », a révélé Applied Energetics, un entrepreneur de la défense du gouvernement, « sont souvent caractérisées par un ennemi non étatique qui opère au sein d’une population civile, dans des zones urbaines et encombrées ». Les nouveaux ennemis ont été décrits comme : insurgés, acteurs non étatiques, menaces asymétriques, menaces irrégulières, adversaires, etc. Avant d’examiner plus en détail le nouvel ennemi, jetons un coup d’œil aux différents termes utilisés pour le décrire.

Les acteurs non étatiques (ANE) sont ceux qui opèrent en dehors du contrôle des États ou des gouvernements reconnus par les Nations Unies. Il s’agit notamment des terroristes, des groupes d’autodéfense, des groupes de protection civile qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement et des insurgés. Les autres types d’ANE sont les forces armées dissidentes, les guérillas, les mouvements de libération, les combattants de la liberté, les groupes rebelles d’opposition, les coopératives agricoles, les milices locales et certains individus.

Le harcèlement organisé – La nouvelle guerre

Une partie de cette RMA comprend un changement dans les forces concurrentes parce que la plupart des nations ne peuvent pas défier les Etats-Unis avec une force militaire directe. Maintenant que la plupart des nations ont été conquises, soit par la puissance militaire, soit par la subversion économique, la guerre régulière d’État à État sera progressivement éliminée.

Les Etats-Unis et leurs alliés vont maintenant faire la guerre aux individus et aux groupes de toute la planète. La campagne militaire mondiale utilisée pour mener ce nouveau type de guerre a été appelée la guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) et la longue guerre (LW). Cela a été expliqué par la RAND Corporation dans le livre In Athena’s Camp, de cette façon : « A l’avenir, peu d’opposants rationnels seront susceptibles de défier, ou même capables de défier, les Etats-Unis dans un combat avec de grandes forces militaires multidimensionnelles. »

Un tel adversaire, dit le RAND, ne cherchera pas à détruire les Etats-Unis par la puissance militaire, mais à ruiner leurs valeurs fondamentales, en particulier si ces valeurs ne sont pas compatibles avec leurs croyances religieuses, culturelles ou idéologiques profondément ancrées.

La School of Advanced Military Studies de l’armée américaine mentionnée dans son rapport du 22 mai 2003, Deterring and Responding to Asymmetrical Threats : « En raison de la domination militaire conventionnelle, les États-Unis seront très probablement confrontés à des menaces régionales qui les mettront à l’épreuve par des approches asymétriques, telles que les stratégies de déni de zone, la concurrence économique et la guerre de l’information.

Les noms spécifiques donnés aux petites guerres qui seront menées à l’échelle mondiale comprennent la guerre asymétrique (AW), la guerre de quatrième génération (4GW), la guerre de troisième vague (3WW), la guerre en réseau (NCW, netwar), la capacité en réseau de l’OTAN (NNEC) et les opérations militaires autres que la guerre (MOOTW). D’autres sont des conflits de faible intensité (LIC), des guerres irrégulières (IW) et des guerres non conventionnelles (UW). Les termes connexes comprennent les opérations basées sur les effets (EBO), les opérations civilo-militaires (CMO) et les opérations de paix (PO).

Divers termes et définitions sont utilisés pour décrire ce type de guerre. La définition d’un seul terme peut se chevaucher ou être contradictoire lorsque plusieurs sources sont observées. Certaines sources décrivent un type particulier de guerre comme synonyme d’autres types, associant ainsi ses caractéristiques à ces autres types.

Certains termes qui ont été remplacés par des termes plus récents peuvent encore être utilisés par certains auteurs. Certaines sont plus ou moins des théories que des types de guerre. Cependant, il existe un modèle de stratégies et de tactiques que partagent ces méthodes de guerre, que j’appelle des caractéristiques communes.

Dans le cadre de cette étude, les types de guerre que nous venons de mentionner sont synonymes parce qu’ils ont été décrits comme tels par des sources crédibles et parce que j’ai remarqué que chacun contient la plupart des caractéristiques communes, qui sont :

  • Ce sont des guerres politiques internationales, prolongées et politiques qui se déroulent entre les peuples.
  • Il s’agit d’un effort conjoint inter-institutions entre l’armée, les forces de l’ordre fédérales et les forces de l’ordre locales et d’État, connues dans le monde entier sous le nom de force multinationale (FMN), ainsi que les organisations non gouvernementales (ONG) et les organisations intergouvernementales (OIG).
  • Ils utilisent la population civile et le secteur privé du pays hôte (HN) lors d’opérations civilo-militaires (CMO) contre les ennemis internes d’un Etat.
  • Ils doivent être perçus comme légitimes par la population civile du pays hôte afin d’obtenir sa coopération.
  • Ils comptent sur des opérations psychologiques, l’isolement et des armes non létales, généralement pour la destruction de la volonté de l’ennemi.
  • Ils utilisent la synchronisation des tactiques et des stratégies.

Unité d’effort/Inter-agence

Ces guerres sont des opérations internationales inter-organisations qui utilisent une approche combinée, hautement coordonnée et synchronisée pour réaliser l’unité d’effort, aussi appelée action unifiée, pendant les attaques. Parmi les organisations concernées figurent les services de détection et de répression locaux et d’État, qui coopèrent avec les organismes fédéraux et les forces armées du pays d’accueil. Aux États-Unis, cela signifie le FBI, la NSA, la CIA et la FEMA.

Les forces militaires de la plupart des pays y participent par l’intermédiaire d’une force militaire alliée appelée Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Ils travaillent avec la population civile dans le cadre du soutien civil, également appelé opérations civilo-militaires (OCM). Les participants non militaires comprennent : les organisations non gouvernementales (ONG), les organisations bénévoles privées (OVP) et les organisations intergouvernementales (OIG). À l’échelle nationale, cette force combinée s’appelle la force interorganismes ; à l’échelle mondiale, elle s’appelle la force multinationale (FMN).

Le secteur privé est également impliqué. Il ne s’agit donc pas seulement des gens des collectivités, mais aussi des lieux de travail, des magasins, des restaurants, des entreprises, etc. Fondamentalement, toutes les entités centrales qui composent une nation sont impliquées. Certaines de ces activités sont dirigées par les Nations Unies (ONU).

En raison des progrès de la communication, cette force internationale interorganisations, qui est fusionnée avec la population civile, fonctionne comme une seule unité, ou ce que l’armée américaine appelle une action unifiée. Leurs activités aux niveaux stratégique, opérationnel et tactique sont étroitement synchronisées en raison des progrès technologiques.

Synchronisation

La synchronisation est un type d’action unifiée qui consiste en de multiples opérations menées simultanément dans l’espace de combat, généralement à un rythme élevé. Il s’agit d’une tactique militaire ancienne où la vitesse et la séquence des attaques sont organisées pour obtenir la victoire. C’est un produit du C4ISR (qui sera expliqué prochainement) et un concept important dans ce nouveau type de guerre.

L’armée américaine explique l’action unifiée comme suit : « la synchronisation, la coordination et/ou l’intégration des activités des entités gouvernementales et non gouvernementales avec les opérations militaires pour réaliser l’unité d’effort. Elle implique l’application de tous les instruments du pouvoir national, y compris les actions d’autres agences gouvernementales et d’organisations militaires et non militaires multinationales. »

La synchronisation est une fonction internationale et interinstitutions à laquelle participent l’ONU, l’OTAN, des ONG, des entrepreneurs gouvernementaux, le secteur privé, ainsi que des organismes militaires, locaux, d’État et fédéraux du pays hôte.

L’idée est que le lancement d’attaques multiples ou d’une série d’attaques effectuées dans une séquence particulière aura un effet multiplicateur qui « immobilisera, supprimera ou choquera l’ennemi », selon l’armée américaine. La synchronisation se fait aux niveaux stratégique, opérationnel et tactique.

Il s’agit d’un partage vertical et horizontal (harmonisation) de l’information. Sur le plan vertical, le type d’environnement, l’objectif et les forces déterminent le guidage et la flexibilité nécessaires à une opération. La synchronisation se fait horizontalement à travers l’espace de combat au niveau tactique entre les forces et les organisations. La FMN utilise des méthodes informatisées automatisées pour synchroniser l’information. La transmission de ces informations est fréquente et rapide.

Les activités qui sont synchronisées changent continuellement en fonction de toute nouvelle information obtenue par le renseignement. Il s’agit du traitement rapide et de la transmission de l’information obtenue par le renseignement aux commandants, aux planificateurs et aux forces qui se trouvent dans l’espace de combat.

En raison de la vitesse à laquelle l’information est traitée et transmise, les attaques dirigées contre un ennemi peuvent être le résultat d’un renseignement en temps quasi réel, voire en temps réel. Dans le passé, les manœuvres de force étaient retardées par la transmission d’informations. Aujourd’hui, en raison des progrès technologiques, ce sont les commandants qui doivent attendre que leurs instructions précédentes soient exécutées avant de transmettre instantanément l’ensemble suivant de commandes, ce qui peut être le résultat de renseignements en temps réel.

Le livre, Understanding Information Age Warfare, de David S. Alberts, John J. Garstka, Richard E. Hayes et David A. Signori, commandité par RAND et MITRE Corporations, l’explique ainsi : « En fait, à mesure que la vitesse de la prise de décision et des flux d’information associés au processus C2 augmente, les dynamiques[attaques et mouvements] associées aux éléments de force dans le domaine physique vont définir les limites de la synchronisation globale. »

Champ de bataille élargi

Le champ de bataille pour ce nouveau type de guerre s’est étendu au secteur civil. Pour cette raison, on l’appelle maintenant l’espace de combat. L’espace de combat est mondial. Les batailles se déroulent au sein de la population civile où les militaires utilisent des civils comme forces irrégulières.

L’architecture physique de l’espace de combat comporte plusieurs niveaux. Au sommet se trouve le niveau spatial qui inclut les satellites. Dans l’espace proche, il y a des drones et des avions volant à haute altitude. Ensuite, il y a le niveau de manœuvre qui contient les personnes, les robots, les véhicules, les navires et les avions volant à basse altitude.

« La défense de la patrie implique un espace de combat global et multidomaine « , a proclamé le ministère de la Défense dans son rapport de juin 2005, intitulé Strategy for Homeland and Civil Support. « La portée mondiale des adversaires potentiels et existants nécessite une perspective mondiale. »

La population civile joue un rôle important dans l’expansion de l’espace de combat, selon le DOD. Pour réussir ces nouvelles missions, les actions des organisations militaires et civiles seront coordonnées beaucoup plus étroitement qu’elles ne l’étaient dans le passé. Dans sa publication Network Centric Warfare de 2000, le DOD avait ceci à dire au sujet de la population civile utilisée par les militaires : « Bien que les civils aient été impliqués en tant que victimes et dans le soutien des rôles[de combat] tout au long de l’histoire, ils joueront un rôle de plus en plus important dans les espaces de combat de l’avenir. »

« L’environnement opérationnel s’étendra aux zones historiquement à l’abri des combats « , nous dit l’armée américaine dans son rapport du 27 février 2008 Field Manual Operations,  » y compris la partie continentale des États-Unis et le territoire des partenaires multinationaux, notamment les zones urbaines « . « Toutes les opérations, poursuit-il, se dérouleront  » au sein de la population  » et les résultats seront mesurés en termes d’effets sur les populations.

Selon l’armée, le nouvel ennemi cherchera de plus en plus à se protéger parmi la population civile. La  » lutte de l’avenir « , disent-ils, se déroulera essentiellement parmi les civils et nécessitera donc la domination des Etats-Unis en matière de sécurité dans ces zones.

 

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Qu’est-ce que « Gaslighting » et comment il est utilisé dans le harcèlement criminel organisé ?

Traduction de l’article : What Is Gaslighting and How it is Used in Organized Stalking

Le Gaslighting ou « Ambient Abuse » est une technique psychologique criminelle utilisée par les membres de ces groupes organisés de harcèlement criminel. Le but du Gaslighting est de faire en sorte qu’une victime se questionne sur sa santé mentale et sur les abus psychologiques dont elle est victime, en faisant de petites choses pour essayer de lui faire croire qu’elle devient folle. Le Gaslighting consiste simplement à essayer de convaincre quelqu’un qu’il est fou ou qu’il « imagine des choses ». Par exemple, si vous mentionnez le harcèlement organisé à quelqu’un qui le sait et qu’il vous dit que vous êtes fou ou paranoïaque, il s’agit de quelqu’un qui tente de vous « Gaslighter ». Le terme Gas-Lighting vient du film Gaslight de 1944. Dans le film, le personnage de Gregory Anton, interprété par l’acteur Charles Boyer, tente de rendre fou le personnage de Pauline, interprété par l’actrice Ingrid Bergman. L’expression « Gaslighting » signifie depuis, en Anglais, des actions et des comportements tels qu’ils sont utilisés dans le film, à l’encontre d’une victime.

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Armes electroniques

Clubic : Un laser capable de vous envoyer un son sans que personne d’autre ne l’entende.

Des chercheurs du MIT ont mis au point un dispositif permettant d’envoyer un son directement à l’oreille d’une personne. Reposant sur un système de laser, il est capable de transmettre précisément un signal audio, de sorte que seul le destinataire puisse l’entendre.

Et si on pouvait transmettre les sons aussi précisément que la lumière via un laser ? C’est le résultat qu’ont obtenu des chercheurs du Laboratoire Lincoln, du MIT (États-Unis).

Lumière + vapeur d’eau = son

Les scientifiques se sont en effet inspirés du fonctionnement du laser. Leur système repose sur la photoacoustique, c’est-à-dire la génération d’ondes sonores à partir d’interactions entre la lumière et la matière. En l’occurrence, c’est la vapeur d’eau contenue dans l’air qui réagit avec l’émetteur laser élaboré par les chercheurs, pour produire le signal audio.

De plus, les auteurs de l’étude ont réussi à exploiter une longueur d’onde fortement absorbée par l’eau, ce qui permet d’augmenter la puissance et la qualité du son produit. Par conséquent, leur dispositif peut fonctionner même dans un environnement relativement sec, ne nécessitant qu’une quantité restreinte de vapeur d’eau.

Un « laser sonore » précis et sûr

Le système ainsi créé permet donc de générer un flux audio et de le transmettre de façon précise jusqu’à son destinataire, et uniquement à celui-ci, même dans un environnement bruyant. Et ce, sans risque pour les yeux ni la peau.

Les tests réalisés ont prouvé son efficacité à une distance de 2,5 m, ce qui reste encore assez limité. Mais d’après les scientifiques, ce résultat n’a été obtenu qu’avec du matériel disponible dans le commerce, et cette performance pourrait donc être aisément améliorée. Ce qui offrirait la possibilité de chuchoter à l’oreille d’une personne, à plusieurs mètres de distance.

Source : BGR


Toujours présenté pour une bonne cause, en omettant les graves dérives possibles. Il n’ échappera bien évidement qu’à l’auteur de l’article, que ceci rend obsolète les diagnostiques psychiatriques concernant la schizophrénie. Tellement insignifiant qu’il est absolument inutile de le mentionner… De même, est il bien nécessaire de parler de voice to skull, la « voix de Dieu » ?

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.


New Technology Uses Lasers to Transmit Audible Messages to Specific People

Photoacoustic communication approach could send warning messages through the air without requiring a receiving device

WASHINGTON — Researchers have demonstrated that a laser can transmit an audible message to a person without any type of receiver equipment. The ability to send highly targeted audio signals over the air could be used to communicate across noisy rooms or warn individuals of a dangerous situation such as an active shooter.

 

In The Optical Society (OSA) journal Optics Letters, researchers from the Massachusetts Institute of Technology’s Lincoln Laboratory report using two different laser-based methods to transmit various tones, music and recorded speech at a conversational volume.

“Our system can be used from some distance away to beam information directly to someone’s ear,” said research team leader Charles M. Wynn. “It is the first system that uses lasers that are fully safe for the eyes and skin to localize an audible signal to a particular person in any setting.”

Creating sound from air

The new approaches are based on the photoacoustic effect, which occurs when a material forms sound waves after absorbing light. In this case, the researchers used water vapor in the air to absorb light and create sound.

“This can work even in relatively dry conditions because there is almost always a little water in the air, especially around people,” said Wynn. “We found that we don’t need a lot of water if we use a laser wavelength that is very strongly absorbed by water. This was key because the stronger absorption leads to more sound.”

One of the new sound transmission methods grew from a technique called dynamic photoacoustic spectroscopy (DPAS), which the researchers previously developed for chemical detection. In the earlier work, they discovered that scanning, or sweeping, a laser beam at the speed of sound could improve chemical detection.

“The speed of sound is a very special speed at which to work,” said Ryan M. Sullenberger, first author of the paper. “In this new paper, we show that sweeping a laser beam at the speed of sound at a wavelength absorbed by water can be used as an efficient way to create sound.”

Laboratory tests

In the lab, the researchers showed that commercially available equipment could transmit sound to a person more than 2.5 meters away at 60 decibels using the laser sweeping technique. They believe that the system could be easily scaled up to longer distances. They also tested a traditional photoacoustic method that doesn’t require sweeping the laser and encodes the audio message by modulating the power of the laser beam.

“There are tradeoffs between the two techniques,” said Sullenberger. “The traditional photoacoustics method provides sound with higher fidelity, whereas the laser sweeping provides sound with louder audio.”

Next, the researchers plan to demonstrate the methods outdoors at longer ranges. “We hope that this will eventually become a commercial technology,” said Sullenberger. “There are a lot of exciting possibilities, and we want to develop the communication technology in ways that are useful.”

Paper: R. M. Sullenberger, S. Kaushik, C. M. Wynn. “Photoacoustic communications: delivering audible signals via absorption of light by atmospheric H2O,” Opt. Lett., 44, 3, 622-625 (2019).
DOI: https://doi.org/10.1364/OL.44.000622.

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Transhumanisme

Usbek & Rica: Interfaces neurales : vers un cauchemar à la Matrix ?

Interfaces neurales : vers un cauchemar à la Matrix ?


Je cite:

Par-delà toutes les applications futures intéressantes des BCI, il s’agit d’une technologie qui pourrait être utilisée pour accéder aux représentations d’un individu contre son gré, voire pour contrôler ou manipuler ces représentations. Les BCI peuvent conduire à mettre en péril la protection de la vie privée, voire de l’identité des personnes

Ce qui, les Ti le disent, est une réalité ! Les recherches et les mises en application, contre des humains non consentants, sont à l’état avancé. Une dictature digne des pires cauchemars s’exerce sur les Ti, qui pour l’instant sont encore pris pour des fous, schyso etc… Thin foil, chapeau d’alu (ou d’hallu…), psychiatrisation des cobayes humains qui lancent l’alerte, est notre lot quotidien.


 

Les interfaces neurales, invasives ou non invasives, deviennent peu à peu une réalité. Si des obstacles techniques subsistent, de nombreuses questions éthiques sont amenées à surgir, souligne PRESANS, spécialiste de l’innovation industrielle, dans le cadre de l’événement DYSTOPIA, qui se tiendra le 5 mars 2019 au Centre Pompidou à Paris.

« Le design idéal d’une interface est celui qui fait oublier à l’utilisateur qu’elle existe. L’interface parfaite est celle à laquelle on ne pense plus quand on s’en sert. » Conception du design naïve ? L’apparition d’interfaces neurales nous incite certainement à nous poser la question…

Une interface neurale, ou brain-computer interface (BCI), c’est par exemple ce que Facebook développe actuellement afin de permettre à ses utilisateurs de taper des messages sans les mains. De son côté, la startup d’Elon Musk Neuralink développe une interface invasive « à bande passante ultra élevée ».

Prototypes peu fiables

De quoi s’agit-il ? Une interface neurale est un système permettant à un utilisateur de contrôler et de communiquer avec un autre système, par exemple un ordinateur, sans faire appel au système moteur, uniquement par l’activité cérébrale. La connexion avec le cerveau ne s’effectue pas au niveau des canaux de sortie nerveux ou musculaires, mais s’opère directement, soit par l’implantation de capteurs à l’intérieur du cerveau (BCI invasive), soit par des techniques externes d’imagerie cérébrale, le plus souvent d’électroencéphalographie (BCI non invasive). L’activité électrique des neurones à l’intérieur du cerveau est mesurée et analysée grâce à des algorithmes de traitement du signal et d’apprentissage automatique. Une BCI unidirectionnelle permet soit d’envoyer, soit de recevoir des signaux. Une BCI bidirectionnelle peut effectuer les deux opérations.

Les BCI non invasives restent pour la plupart des prototypes non utilisés en dehors des laboratoires, en raison de leur faible fiabilité. En dépit des avancées et d’un nombre considérable de recherches en cours, les BCI non invasives actuellement en utilisation tendent à présenter deux grandes lacunes. D’une part, environ 20 % des utilisateurs ne parviennent pas à contrôler l’interface, ce qui limite l’universalité des BCI. D’autre part, le code des signaux associés à l’activité électrique des neurones varie pour un même individu dans le temps, et entre individus. Cette non-stationnarité complique la tâche du décodage des signaux cérébraux. L’amélioration des algorithmes de traitement des signaux ne suffit pas pour faire fonctionner une BCI si l’utilisateur ne parvient pas à exécuter des commandes. Ces lacunes peuvent être réduites par l’amélioration de la formation des utilisateurs, ainsi que par l’amélioration du traitement du signal.

Perte d’identité, perte d’unité

Dans le cas des BCI invasives, les performances sont dans l’ensemble très supérieures grâce à un meilleur débit de la quantité des informations transférées, ainsi qu’à l’accès à un nombre plus élevé de dimensions de contrôle. Les applications des BCI incluent actuellement la recherche en neuroscience et la restauration de fonctions dans un cadre médical, à commencer par les implants cochléaires. Les applications potentielles vont du divertissement procuré par les jeux vidéo aux applications militaires telles que le contrôle d’un groupe de drones semi-autonomes.

Sur le plan du hardware, les BCI commercialisés sont actuellement toutes non invasives. Cependant des BCI invasives sont en cours de développement. Sur le plan du software, l’amélioration du traitement des signaux cérébraux passe par l’invention de meilleurs algorithmes, éventuellement en recourant à des techniques d’intelligence artificielle.

Les BCI existantes peuvent être bénéfiques aux individus en restaurant divers degrés de contrôle moteur ou de communication. Le recours aux BCI invasives peut être justifié par une meilleure efficacité. En cas de patients coupés du monde, l’interface neurale rend envisageable la restauration d’une capacité de communication, mais ne peut par elle-même indiquer dans quelle mesure le patient a pleinement conscience de sa situation.

Par-delà toutes les applications futures intéressantes des BCI, il s’agit d’une technologie qui pourrait être utilisée pour accéder aux représentations d’un individu contre son gré, voire pour contrôler ou manipuler ces représentations. Les BCI peuvent conduire à mettre en péril la protection de la vie privée, voire de l’identité des personnes. Joël de Rosnay envisage ainsi que la possibilité d’interfacer directement des cerveaux entre eux pourrait conduire à la perte du sentiment d’unité et d’identité des individus. Autre possibilité dystopique : les interfaces neurales dans Matrix, quoique laissant intact le sentiment d’identité, substituent un monde virtuel à la perception normale de la réalité. Sauf que l’interface est ici une interface à l’usage des machines. Et si l’interface neurale parfaite, c’était cela ?

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General

RAUNI KILDE – Bright Light on Black Shadows

Texte Traduit en Français de la Couverture du Livre du Docteur Rauni Kilde :

Auteure :   Docteur RAUNI – Leena Luukanen – KILDE.

CV :

Ancienne Directrice par intérim de la Santé Environnementale et de l’Education Sanitaire, de l’Institut National de la Santé de la Finlande à Helsinki, et représentante du gouvernement de la Finlande à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Genève.

Présente à la :

Conférence Internationale de 2014 à Bruxelles contre les harcèlements policiers organisés en réseaux de communautés secrètes (Covert Harassment Conference).

Le livre :  « Bright Light on Black Shadows » (= « Lumière Vive sur des Ombres Noires ») : l’homme est un esprit, pas un corps !

Extrait :

Le général Russe Alexei Savin a déclaré dans la Pravda que l’être humain est un système d’information et un système électrique, qui peut être influencé de l’extérieur.

Les premières tentatives d’influencer le comportement humain, les attitudes et les émotions ont été tentées en 1874.

Aujourd’hui, des micro puces de la taille de 2 micro-millimètres sont insérées dans la population générale sans leur consentement pour leur contrôle total.

Le personnel médical travaillant dans ce domaine obtient des informations différentes sur le contenu des vaccins que ce qu’obtiennent les chercheurs et les « initiés » qui suivent l’Agenda 21 des Nations Unies pour un dépeuplement de 85% de la population mondiale avec divers moyen.

Jamais les écoles de médecine n’enseignent ni le diagnostic différentiel des effets du Contrôle Mental et ni le fait que cette technologie militaire existe et a été utilisée pendant plus d’un demi-siècle dans le secret le plus total.

Chez les militaires le Contrôle Mental est répertorié comme une arme « non létale », mais en psychiatrie l’ensemble du sujet est tabou et considéré comme signe de maladie mentale, pour cacher ces recherches non éthiques sur les humains.

Celui qui contrôle l’esprit des hommes contrôle le monde !

Source

Rauni-Leena Luukanen-Kilde is a well-known lecturer and author on mind control and parapsychology since 1982.

 

Le général russe Alexei Savin a déclaré dans Pravda qu’un être humain est un système d’information et électrique, qui peut être influencé de l’extérieur. Déjà en 1874, à l’hôpital Good Smaritan de Dayton, dans l’Ohio, aux États-Unis, on avait tenté d’influencer le comportement, les attitudes et les sentiments humains d’une patiente lorsqu’on lui avait placé des électrodes dans le cerveau. Elle est morte après l’opération. En Suède, le Dr Alm a inséré des électrodes dans le crâne du bébé Bengt en 1946 à l’insu des parents de l’hôpital pour enfants Saska de Stockholm. Plus tard, sa mère m’a raconté les souffrances qu’il avait endurées toute sa vie à l’âge adulte à la suite de cette opération.

Aujourd’hui, des micropuces de la taille de 2 micromillimètres (le diamètre des cheveux est de 50 micromm) sont insérées dans la population générale sans leur consentement, par exemple dans les vaccins – comme le vaccin « swineflu » pour leur contrôle total. Le personnel médical travaillant sur le terrain reçoit des informations différentes sur le contenu des vaccins que les chercheurs et les « initiés » qui suivent l’Agenda 21 des Nations Unies pour le dépeuplement par 85% de la population mondiale avec des moyens divers.

Toutes les facultés de médecine enseignent que l’on est mentalement malade si l’on entend des voix dans sa tête, si l’on se sent surveillé (souvent par ses voisins), empoisonné, irradié par des micro-ondes et des attaques au laser, si l’on a le sentiment que ses pensées et ses rêves sont lus et auxquels des étrangers réagissent, si l’on est en contact avec une personne qui, en 1984, a des valeurs européennes, a des problèmes d’énergie et que 41% des Islandais le sont. Jamais les facultés de médecine n’enseignent le diagnostic différentiel du MK et le fait que cette technologie militaire existe et est utilisée depuis plus d’un demi-siècle dans le plus grand secret. Dans l’armée, le contrôle de l’esprit est considéré comme une arme « non létale », mais en psychiatrie, tout le sujet est tabou et considéré comme un signe de maladie mentale pour dissimuler des recherches non éthiques sur des humains. L’UNIDIR, l’Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement à Genève, a inscrit en 2002 le contrôle des esprits comme une arme de destruction massive aux côtés des bombes atomiques ! L’homme est un esprit, pas un corps quand notre corps est composé de 70% d’eau et notre cerveau de 87% d’eau, donc notre énergie nous maintient ensemble. Selon Einstein, l’énergie ne disparaît jamais, mais change seulement de forme.

Celui qui contrôle l’esprit des hommes contrôle le monde !

Source

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Armes electroniques General

Gouverner par le chaos (chapitre: Le Mind Control)

Gouverner par le chaos

Ingénierie sociale et mondialisation

Table des matières

Politique et massification
Politique et mondialisation
Qu’est-ce que l’ingénierie sociale?
La stratégie du choc
La conduite du changement
Le social learning
La fabrication du consentement
Le tittytainment
Le pied-dans-la-porte
Le mind control
Le virtualisme
La guerre contre-insurrectionnelle
Le reality-building
Le management négatif
La théorie de la Jeune-Fille
Le biopouvoir
Conclusion provisoire
L’Appel des Résistants

 

Le Mind Control

Faisons encore un pas dans la régression mentale
provoquée et le hacking psychosocial. Chacun se souvient
des propos de Patrick Le Lay, alors Président Directeur
Général de TF1, sur « le temps de cerveau disponible »
que sa chaîne de télévision vendait aux annonceurs
publicitaires. Rien d’anecdotique dans cette formulation.
Après le contrôle des émotions et des situations,
l’ingénierie sociale s’est beaucoup intéressée au contrôle
direct du cerveau, dans l’optique de court-circuiter le
champ des représentations pour s’attaquer directement à
la programmation du système nerveux dans sa
matérialité la plus brute. Cette analogie entre cerveau et
ordinateur, déjà perceptible dans la cybernétique, le
cognitivisme et le Social Learning, s’appuie en fait sur le
Learning tout court, c’est-à-dire les théories de
l’apprentissage, au sens de « apprendre à un être vivant à
se comporter de telle façon ». Pour le dire frontalement,
le Learning est la science du dressage et duconditionnement
comportemental.Elle fut originellement testée sur des animaux de laboratoire,
mais rapidement appliquée à l’humain dès les années
1940 au travers des recherches en Mind Control (contrôle
mental), ou MK (Mind Kontrolle), menées dans le but de
créer des Candidats Mandchous et des soldats parfaits,
ignorant la peur, insensibles à la douleur, etc. Divers
protocoles furent mis au point, s’appuyant sur lesprincipes behaviouristes de « conditionnement classique
», issus des travaux de Pavlov sur les réflexes
conditionnés (stratégie directe et déterministe) et de «
conditionnement opérant », issus des travaux de Skinner
sur l’induction de comportements à partir du façonnage
de l’environnement (stratégie indirecte et tendancielle).
Le jeu sur la récompense et la punition pouvant aller
jusqu’à des actes de torture, on ne s’étonnera pas que le
programme de recherche MK-Ultra, dont les dossiers ont
été récemment déclassifiés par la CIA après avoir été top-
secrets pendant une cinquantaine d’années, ait fortement
inspiré non seulement l’ouvrage déjà mentionné de
Naomi Klein mais encore l’enquête très approfondie de
Gordon Thomas, intitulée Les armes secrètes de la CIA —
Tortures, manipulations et armes chimiques. L’auteur y
restitue l’historique complet du projet MK-Ultra, avec ses
savants fous affairés autour de leurs cobayes humains, ou
« sujets jetables », expliquant que la germanisation du
terme control en Kontrolle était un clin d’œil aux origines
des scientifiques qui développèrent les premiers ces
recherches, d’anciens nazis exfiltrés après la guerre aux
États-Unis ou en Angleterre dans le cadre de l’opération
Paperclip. Ainsi, depuis 1945 et dans la continuité de ce
que les scientifiques du Troisième Reich avaient
commencé de mettre au point, de nombreuses
expériences sur l’hypnose, les hallucinogènes, l’influence
subliminale, le lavage de cerveaux et la re-
programmation mentale furent (et continuent d’être)
élaborées sur les individus et sur les masses à l’Institut
Tavistock, au Massachusetts Institute of Technology
(MIT), ou sur d’autres campus universitaires tels que
Harvard. Le malheureuxTed Kaczynski, devenu célèbre sous le pseudonyme «
Unabomber », en fut lui-même victime au début des
années 60, alors qu’il était encore étudiant sous la
direction de Henry A. Murray. Plus récemment, on a vu
naître de ces recherches une nouvelle discipline, le
neuromarketing, fondée sur l’imagerie médicale du
cerveau et visant explicitement à déclencher des pulsions
d’achat irrépressibles par l’activation ciblée de certaines
zones du système nerveux.
Le Mind Control est friand de métaphores
informatiques et relatives à l’Intelligence Artificielle, son
projet consistant à réécrire le programme
comportemental d’une machine vivante mais sans que
cette machine ne s’en rende compte. Piratage psycho-
socio-biologique, où le code source du sujet cobaye a été
craqué, puis effacé et reformaté par une entité extérieure
au sujet, qui s’est ainsi rendue propriétaire de
l’inconscient du sujet et qui peut donc orienter son
devenir. Un hacker s’est infiltré dans la mémoire, en a
pris le contrôle, l’a reconfigurée selon ses plans, a
implémenté de nouveaux habitus, de nouveaux
algorithmes comportementaux et pilote désormais la
machine humaine à distance. Mais surtout, il a effacé
toute trace de son effraction et de sa manipulation. La
philosophie du Mind Control, l’emprise totale sur un être
vivant, emprise autorisée par la réduction de cet être à
une machine computationnelle simplement animée
d’entrées et de sorties d’information (input et output), a
ainsi infusé toute la politique moderne, progressivement
réduite à la gestion de flux quantitatifs. La cybernétique,
même quand elle se veut « humaniste » dans les
conférences de la Fondation Macy (1946-1953) ou dans lerapport Meadows du Club de Rome (1972), ne peut
s’empêcher de chercher à réduire l’incertitude à zéro et
donc à produire un effet de « chosification » du vivant.
Ces diverses approches de la gestion des groupes
humains ont toutes en commun de produire des effets de
nivellement par le bas. À chaque fois, il s’agit de
contourner le lobe frontal du cerveau, le néocortex, siège
du langage et des fonctions dialectiques, pour prendre
directement le contrôle des fonctions pré-linguistiques :
les réflexes primitifs du cerveau reptilien, et les émotions
dans le système limbique. Il s’agit de rendre impossible la
sublimation, c’est-à-dire de désirer des mots plutôt que
des objets, et de maintenir toute la vie entre deux états
mentaux simplifiés pré-langagiers, dérivés des deux
émotions primitives que sont la peur et l’excitation
érogène. Cette atrophie du champ psychique génère
évidemment toute une gamme d’états dépressifs et de
pathologies mentales diverses, que l’on peut rassembler
sous les termes de désymbolisation, de perte de Sens et
de structure mentale. Mais pour parvenir à ses fins, à
savoir la construction d’un système social totalement sûr
et prévisible, l’ingénierie politique des pays développés
n’a pas eu d’autre choix que de considérer l’humain
comme moins qu’un animal : comme un simple objet
plastique et à disposition pour le recomposer à loisir.

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Articles de presse

Le gouvernement US envoie accidentellement à un journaliste un fichier sur les méthodes de « contrôle de l’esprit à distance ».

Sur boingboing :

Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

Lorsque le journaliste Curtis Waltman a déposé une demande de Freedom of Information Act auprès du Washington State Fusion Center (partenaire de Department of Homeland Security) pour obtenir des informations sur les groupes antifa et suprémacistes blancs, il a obtenu un bonus  en plus que les informations qu’il cherchait.

Il a reçu accidentellement un dossier mystérieux sur les « armes psycho-électriques » avec l’étiquette « EM effects on human body.zip« . Le dossier comprenait des méthodes de « contrôle à distance de l’esprit ».

Des images effrayantes comme celles-ci ont été incluses :

Alors, qu’est-ce qui se passe ?

Par l’intermédiaire du Daily Beast :

Selon Muckrock, une organisation à but non lucratif qui publie des informations gouvernementales recueillies par le biais de demandes de FOIA, les documents de contrôle de l’esprit proviennent de l’agence liée à la sécurité intérieure du ministère de la Sécurité intérieure sous la forme d’un fichier appelé « EM effects on human body.zip ». Le fichier contiendrait divers diagrammes détaillant les horreurs des « effets d’armes psycho-électroniques ».

Un diagramme énumère les différentes formes de tourments qui seraient rendues possibles par les méthodes de contrôle de l’esprit à distance, depuis « l’effacement forcé de la mémoire » et « les démangeaisons violentes et soudaines à l’intérieur des paupières » jusqu’au « fléau sauvage » suivi de « rigor mortis » et d’un « orgasme forcé » induit à distance. on ne sait pas comment les documents se sont retrouvés dans la réponse de l’agence, à une demande standard de FOIA, mais il n’y avait aucune indication que les fichiers de « contrôle à distance de l’esprit » provenaient d’un programme gouvernemental.

Et selon Popular Mechanics :

Le gouvernement fédéral a absolument expérimenté le contrôle des esprits dans une variété de méthodes, mais les documents ici ne semblent pas être officiels.

Waltman n’avait aucune idée de la raison pour laquelle ces documents ont été inclus dans sa demande et ne sait pas pourquoi le gouvernement les détient. La WSFC n’a pas répondu aux demandes de renseignements supplémentaires.

Aussi amusantes que soient les théories de conspiration, Muckrock ne croit pas que les images sont du « matériel gouvernemental ».

L’une semble provenir d’une personne nommée « Supratik Saha », identifiée comme ingénieur logiciel, la lame de cartographie cérébrale n’a pas de source, et l’image du corps agressé par des armes psychotroniques provient de raven1.net, qui n’a apparemment pas renouvelé son domaine.

Muckrock a lancé un appel à la WSFC mais n’a pas encore eu de nouvelles.

Plus de détails Muckrock

 


Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

When journalist Curtis Waltman filed a Freedom of Information Act request with Washington State Fusion Center (which is partnered with Department of Homeland Security) to obtain information about Antifa and white supremacist groups, he got more than the information he was looking for – he also accidentally received a mysterious file on « psycho-electric weapons » with the label “EM effects on human body.zip.” The file included methods of « remote mind control. »

Creepy images like these were included:

So what gives?

Via the Daily Beast:

According to Muckrock, a nonprofit that publishes government information gathered through FOIA requests, the mind-control documents came from the Department of Homeland Security-linked agency in the form of a file called “EM effects on human body.zip.” The file reportedly contained various diagrams detailing the horrors of “psycho-electronic weapon effects.”One diagram lists the various forms of torment supposedly made possible by using remote mind-control methods, from “forced memory blanking” and “sudden violent itching inside eyelids” to “wild flailing” followed by “rigor mortis” and a remotely induced “forced orgasm.” It was not immediately clear how the documents wound up in the agency’s response to a standard FOIA request, but there was reportedly no indication the “remote mind control” files stemmed from any government program.

And according to Popular Mechanics:

The federal government has absolutely experimented with mind control in a variety of methods, but the documents here do not appear to be official.

Waltman had no idea why these documents were included in his request and isn’t sure why the government is holding them. The WSFC did not respond to requests for more information.

As fun as conspiracy theories are, Muckrock doesn’t believe the images are « government material. »

One seems to come from a person named “Supratik Saha,” who is identified as a software engineer, the brain mapping slide has no sourcing, and the image of the body being assaulted by psychotronic weapons is sourced from raven1.net, who apparently didn’t renew their domain.

Muckrock put out a call to WSFC but hasn’t yet heard back from them.

For more details, go to Muckrock.

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Armes electroniques

Manipulation du système nerveux humain à travers les écrans

Il est difficile de trouver des informations sur un certain Hendricus G. Loos, malgré le fait qu’il ait déposé plusieurs demandes de brevet, avec succès, pour des appareils qui traitent de la manipulation du système nerveux humain via un écran d’ordinateur ou un moniteur de télévision. En résumé, il explique ce qui suit :

“Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à une stimulation de la peau avec des champs électromagnétiques faibles qui sont pulsés à des fréquences proches de ½ Hz ou 2,4 Hz, tels que l’excitation d’une résonance sensorielle. De nombreux écrans d’ordinateurs et de téléviseurs, lorsqu’ils affichent des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d’amplitude suffisante pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet par des images pulsantes affichées sur un écran d’ordinateur ou un téléviseur à proximité. Dans ce dernier cas, l’impulsion d’image peut être insérée dans le matériel de programme, ou elle peut être superposée en modulant un flux vidéo, soit comme signal RF, soit comme signal vidéo. L’image affichée sur un écran d’ordinateur peut être pulsée efficacement par un simple programme informatique. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables de résonances sensorielles excitantes chez des sujets proches peuvent être générés même si les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.”

Ce qui est préoccupant à ce sujet, comme l’explique le brevet, c’est que même une pulsation très faible peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux humain.

Il poursuit en décrivant que la variabilité et la force des impulsions peuvent être contrôlées à l’aide d’un logiciel et explique, en ce qui concerne un moniteur d’ordinateur, des DVD, des cassettes vidéo et plus encore, comment il est possible de les commander à distance à partir d’un autre endroit.

La partie la plus inquiétante est peut-être celle-ci :

“Certains moniteurs peuvent émettre des impulsions de champ électromagnétique qui excitent une résonance sensorielle chez un sujet proche, par des impulsions d’image si faibles qu’elles sont subliminales. C’est dommage, car cela ouvre la voie à une application malicieuse de l’invention, qui expose les gens à manipuler involontairement leur système nerveux pour les besoins de quelqu’un d’autre. Une telle application serait contraire à l’éthique et n’est évidemment pas recommandée. C’est mentionné ici afin d’alerter le public sur la possibilité d’abus cachés qui peuvent se produire en ligne, ou en regardant la télévision, une vidéo ou un DVD.”

L’application est pleine d’exemples cités que “le système nerveux d’un sujet peut être manipulé par des impulsions électromagnétiques émises par un tube cathodique ou un moniteur LCD qui affiche des images avec une intensité pulsée”.

Notre système nerveux contrôle tout dans notre corps, y compris le cerveau. C’est un réseau de nerfs et de cellules qui transmettent des messages du cerveau et de la moelle épinière à diverses parties du corps, et ce n’est un secret pour personne que le gouvernement des États-Unis, entre autres, a une longue histoire d’expériences sur des êtres humains à des fins de contrôle mental. La télévision pourrait-elle être une tactique de contrôle mental ? Cela expliquerait pourquoi tant de gens croient aux histoires et aux explications d’événements qui leur sont présentés par les médias grand public, instantanément, sans même se poser des questions.

Dans certains cas, nous sommes faits pour idolâtrer ce que nous voyons à la télé, comme des célébrités, et imiter le comportement et les désirs.

Parfois, une perspective qui est étayée par des preuves, qui contrecarre complètement l’histoire et l’information que nous recevons des médias grand public, est jetée dans le “monde de la conspiration”. C’est dangereux, avons-nous atteint un point où nos télévisions réfléchissent pour nous ? Pourraient-elles utiliser les techniques décrites ci-dessus pour influencer nos pensées, nos comportements et nos perceptions ?

Compte tenu de ce que nous savons de nos gouvernements et des mesures contraires à l’éthique qu’ils ont prises tout au long de l’histoire, ce n’est vraiment pas inenvisageable.

Il y a une raison pour laquelle les avions et les hôpitaux interdisent l’utilisation des téléphones cellulaires, c’est parce que leurs transmissions électromagnétiques interfèrent avec les appareils électriques critiques. Le cerveau n’est pas différent, c’est un organe bioélectrique extrêmement complexe qui génère des champs électriques. Les scientifiques peuvent en fait contrôler le fonctionnement du cerveau grâce à la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), une technique qui utilise de puissantes impulsions de rayonnement électromagnétique émises dans le cerveau d’une personne pour brouiller ou exciter des circuits cérébraux particuliers.

C’est le même genre de chose que celle décrite dans le brevet, alors dans quelle mesure nos écrans d’ordinateur et de télévision le font-ils ? C’est pourquoi, par exemple, lorsque quelqu’un allume sa Playstation, l’écran lui demande de lire les informations importantes sur la santé avant de jouer. Des recherches ont également démontré que les simples transmissions par téléphone cellulaire peuvent affecter de façon assez significative les ondes cérébrales d’une personne, ce qui à son tour a des effets sur son comportement.

“Le rayonnement électromagnétique peut avoir un effet sur le comportement mental quand il émet à la bonne fréquence.” James Horne, du Centre de recherche sur le sommeil de l’Université de Loughborough (source)

Non seulement cela, mais des centaines de scientifiques se sont rassemblés et sont en train de sensibiliser les Nations Unies aux effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé et de faire des pétitions à ce sujet.

L’initiative a été lancée par le Dr Martin Blank, Ph.D. du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Colombie, qui s’est joint à un groupe de scientifiques du monde entier pour lancer un appel international aux Nations Unies concernant les dangers liés à l’utilisation de divers dispositifs émettant des émissions électromagnétiques, tels que les téléphones cellulaires et le WiFi.

Le Dr Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université Columbia, a déclaré dans un message vidéo : “Ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément.”

“Nous avons créé quelque chose qui nous nuit, et cela devient incontrôlable. Avant l’ampoule d’Edison, il y avait très peu de rayonnement électromagnétique dans notre environnement. Les niveaux d’aujourd’hui sont beaucoup plus élevés que les niveaux naturels, et ils augmentent rapidement à cause de tous les nouveaux appareils qui émettent ce rayonnement.”

Cette information est un effet séparé sur le corps du contrôle de l’esprit, mais il est toujours important de mentionner et d’apporter de la lumière.

Non seulement nos appareils électroniques surveillent, observent et enregistrent tout ce que nous faisons, mais ils peuvent aussi influencer notre comportement, nos perceptions, nos pensées et nos sentiments à grande échelle, mais qui sait si “les pouvoirs en place” utilisent ces appareils pour contrôler l’esprit, de la même manière qu’ils les utilisent pour surveiller.

Ne vous méprenez pas, il n’est pas difficile de voir comment les entreprises utilisent la télévision pour influencer notre comportement et nos perceptions, mais peut-être qu’elles, et d’autres autorités, sont en train de changer les choses, comme nous l’avons mentionné plus haut, et de manipuler nos systèmes nerveux à des fins personnelles et en connaissance de cause.

Chamath Palihapitiya, vice-président responsable de la croissance des utilisateurs de Facebook avant de quitter l’entreprise en 2011, a déclaré : “Les boucles de rétroaction à court terme, basées sur la dopamine, que nous avons créées, détruisent le fonctionnement de la société. Pas de discours civil, pas de coopération, de désinformation, que du mensonge. Donc, nous voyons un genre de chose similaire là-bas aussi.”

En matière de contrôle mental, le projet MK ultra était le bébé de la CIA. On croit généralement que ce n’est que du LSD qui a été utilisé sur des sujets humains, mais ce n’était qu’un seul programme. Comme la Cour Suprême des Etats-Unis l’a révélé en 1985, MK ultra consistait en 162 projets secrets différents qui étaient indirectement financés par la CIA, et sous-traités à plusieurs universités, fondations de recherche et institutions similaires. La majorité des enregistrements du MK Ultra ont été détruits et n’ont jamais été vus.

Peut-être que la programmation télévisuelle faisait-elle partie du programme MK Ultra ?

Observations finales

Il est difficile d’imaginer que nous pourrions être manipulés et utilisés à des fins de profit, de contrôle et autres, mais c’est une réalité à laquelle nous devons faire face. Il y a d’innombrables exemples de ceci tout au long de l’histoire jusqu’à nos jours, et tous les aspects de la vie humaine semblent être contrôlés par un petit groupe très sélect du domaine de la santé, des finances, de l’éducation, du divertissement, de la grande nourriture et plus encore. Nous sommes devenus des outils pour leur utilisation, et nos pensées, nos comportements et nos perceptions, pour la plupart, semblent être les mêmes. S’ils sont un peu différents, ou s’ils ne s’adaptent pas vraiment au cadre, on peut être instantanément étiqueté ou devenir un “paria social”.

Il ne fait aucun doute dans mon esprit que notre télévision et d’autres appareils électroniques ont des effets nocifs sur la santé, et qu’ils ont ou peuvent avoir des effets sur notre système nerveux de plusieurs façons différentes. Les données scientifiques à ce sujet sont claires, mais ce qui est moins clair, c’est l’idée qu’il y en a d’autres qui utilisent ces techniques, sciemment, pour contrôler nos esprits.

D’après toutes mes recherches sur le contrôle mental, les mesures prises par nos gouvernements et la mesure dans laquelle ils les ont prises, je serais surpris que la télévision ne fasse pas partie du programme MK Ultra.

À toutes et à tous, c’est une autre bonne raison de passer moins de temps devant votre écran, et plus de temps avec un livre, passer du temps à l’extérieur, ou avec la famille et les amis. S’il y a une chose qui est certaine, c’est que nos écrans nuisent à notre santé de plusieurs façons.

 

 

Source : Collective Evolution

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Armes electroniques

Marc Filterman – Les armes de l’ombre

Marc Filterman a acquis son premier radar en 1976. Il a débuté sa carrière à l’armée de l’air, qu’il a quittée en 1985 pour se consacrer à des recherches sur l’électronique de défense. Il a effectué 10 ans de recherche sur les radars et 30 ans de recherche sur les risques des champs électromagnétiques et sur la manipulation du climat.

En relation avec des experts du monde entier, il est devenu l’un des meilleurs spécialistes de la guerre non conventionnelle, ce qu’a confirmé le succès de la première édition de « Les armes de l’ombre » en 1999.

 

Je me permet de mettre à disposition quelques pages sélectionnées de ce livre. On pourra y trouver les armes qui son utilisées dans le phénomène » Gang Stalking », harcèlement en réseau et voice to skull (V2K). On pourra conclure à l’issue de cette lecture, qu’il existe des systèmes électroniques utilisant des ondes (invisibles, donc concrètement des victimes d’ armes invisibles) permettant entre autre de pulser des voix à distance sur un individu déterminé. De quoi rendre obsolète un tas de diagnostiques psychiatriques. C’est extrêmement grave dans la mesure ou la psychiatrie continue en 2018 à priver de droits et enfermer des personnes sur la base de diagnostiques erronés. Ceux des victimes qui ne sont pas enfermés voient leur vie rendue un véritable calvaire, malgré tout. On peut se poser la question de la dangerosité de l’exposition perpétuelle (24/24) à ce types d’ondes, en plus de l’électro-smog ambiant. Sans etre génie ou devin on peut se douter que de se terreau propice naîtront bien plus facilement les cellules cancéreuses, diminuant ainsi l’espérance de vie des Targeted Individuals.

EXTRAIT N°1

 

EXTRAIT N°2

 

Maintenant, vous qui ne passez pas nombreux par ici, essayez de vous imaginer étant la cible d’une ou plusieurs des ces armes invisibles. Imaginez vous la cible d’un groupe qui tente d’influencer votre comportement…

De là, imaginez vous en train de demander de l’aide, vous serez confrontés à la seule réponse qu’offre de nos jours la société. L’enfermement avec hautes doses de molécules pharmaceutiques qui vous empêcheront de réfléchir et d’être vous même. De quoi effectivement devenir fou, ou se suicider ou de vivre un calvaire sans nom d’une durée indéterminée (probablement jusqu’à la fin)  28 ans en ce qui me concerne.

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Torture et abus sur l’humain dans les démocraties.

Quelques jours après un nouveau massacre (dix-sept morts) dans une école aux USA, dans un lycée de Parkland en Floride.

Le suspect Nikolas Cruz a avoué les faits. Il affirme avoir agit sous l’impulsion de voix démoniaques. Il a déclaré aux enquêteurs que des voix dans sa tête lui avaient donné des instructions sur la façon de mener l’attaque.

On ne peut s’empêcher d’y voir la signature MKUltra.
Une audition du Sénat américain du 3 août 1977 documente le projet MKUltra, un programme, de recherche, de torture et d’abus sur des personnes non consentantes, de la CIA, sur la modification du comportement. Sur le site intelligence.senate.gov, on trouve un rapport certainement édulcoré*, des techniques qui furent employées https://www.intelligence.senate.gov/sites/default/files/hearings/95mkultra.pdf
Aux pages 167 et 168 on nous parle de différentes méthodes par lesquelles un individu peut être «contrôlé» à son insu ou sans son consentement par le biais  de techniques de «contrôle mental basé sur le traumatisme», certaines impliquant même différentes fréquences.

*Torture et mensonges : un rapport du Sénat américain accable la CIA qui montre à quel point les services concernés, d’un pays dit civilisé et démocratique, minimise leurs actes de barbarie.
https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/torture-la-cia-a-menti-a-la-maison-blanche-et-au-congres-selon-un-rapport-du-senat-americain_768517.html