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Le libre arbitre, c’est fini

Le libre arbitre, c’est fini, C’est acté et ils le disent !


Les humains sont désormais des « animaux piratables », selon un conseiller de Klaus Schwab, qui a lancé un avertissement effrayant : les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates.

Le Dr Yuval Noah Harari, contributeur officiel du FEM, a été enregistré en train de prononcer un discours dans lequel il explique ce que Klaus Schwab veut dire lorsqu’il affirme que « c’est vous qui êtes changé ».

Selon le Dr Harari, Schwab fait référence à l’humanité et à l’évolution soudaine que les élites réservent au reste d’entre nous. « Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu [pirater des millions de personnes], mais personne ne comprenait assez bien la biologie », déclare Harari au début de la vidéo.

« Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et certains gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes », poursuit-il, avant de lâcher une menace effrayante :

« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes désormais des animaux piratables ».

Regardez : Listen To Klaus Schwabs Advisor Doctor Yuval Noah Harari – We Can Hack Humans

https://youtu.be/q2OM9xfK0rA

Mais selon le Dr Harari, cette fusion de la vie humaine avec la technologie ne profitera pas à l’homme ou à la femme moyen pour qu’il ou elle puisse améliorer son propre avenir, mais qu’une poignée d’« élites » ne se contentera pas de « construire des dictatures numériques » pour elles-mêmes, mais « gagnera le pouvoir de réingénier l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir ».

Si les élites parviennent à réorganiser l’humanité, il faudra décider si les données de notre ADN, de notre cerveau, de notre corps et de notre vie « m’appartiennent, ou appartiennent à une société, ou au gouvernement, ou, peut-être, à la collectivité humaine ».

Bien sûr, Bill Gates est impliqué.

Selon Harari, la technologie du cloud, comme la plateforme d’IBM ou celle de Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.

« Les humains sont désormais des animaux piratables », déclare le Dr Harari à un autre moment de la vidéo. « Toute l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, c’est mon libre arbitre, c’est fini ».

« Le libre arbitre, c’est fini », souligne-t-il.

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé ».

« En cette période de crise, vous devez suivre la science », soutient le Dr Harari. « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID] est l’occasion de faire aussi de bonnes réformes qu’en temps normal les gens n’accepteront jamais. Mais en temps de crise, vous voyez que nous n’avons aucune chance, alors faisons-le ».


Traduction approximative de la vidéo :

…de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire mais personne ne comprenait assez bien la biologie et personne n’avait assez de puissance de calcul dans les données pour pirater des millions de personnes ni la gestapo ni le kgb n’ont pu le faire… mais bientôt au moins quelques sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes. Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes maintenant des animaux piratables. Les données pourraient permettre aux élites humaines de faire quelque chose d’encore plus radical que de construire des dictatures numériques. En piratant les organismes, les élites pourraient obtenir le pouvoir de réingénier le futur de la vie elle-même, car une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi l’ingénier. Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années. Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … Mais notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente. Ainsi, les données sur mon ADN, mon cerveau, mon corps, ma vie, m’appartiennent-elles ? ou à une société ou au gouvernement ou peut-être à le collectif humain ? Les humains sont maintenant des animaux piratables, vous savez, toute l’idée que les humains ont, vous le savez, ils ont cette âme ou cet esprit et ils ont le libre arbitre et personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit dans l’élection ou que ce soit dans le supermarché, c’est mon libre arbitre … c’est terminé le libre arbitre, c’est terminé. Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à une échelle massive. Oui, je veux dire, tout est numérisé, tout est surveillé en ce temps de crise, vous devez suivre la science, on dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre.

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Manipulation de l’esprit : Une réalité probablement inquiétante

 

Un article qui date un peu, qui relève que ce sujet semble étrangement n’ inquiéter personne ou pas grand monde. Ce que met en lumière la conclusion de l’article : Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.

 


 

 

September 29th, 2014

Il y a quelques années, un grand nombre d’articles ont été publiés afin de sensibiliser le public aux dangers que les neurosciences font courir à chaque individu, aux petites communautés et même à la société dans son ensemble.
Et puis, il n’y a plus rien eu. Pas de rapports de suivi, pas de publications, rien. Comme si personne ne s’en souciait plus, au lieu de gens qui manifestaient dans la rue.

Il a été annoncé que la tristement célèbre Agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis a commencé à utiliser une méthode « scientifique » appelée surveillance neurale à distance, censée renforcer la capacité des forces de l’ordre à lutter contre la criminalité et les activités terroristes.

Les conséquences de cette méthode sont horribles, quelle que soit la définition qu’on en donne.Et puis il n’y a rien eu. Plus personne ne semble s’en soucier, au lieu de poursuivre par tous les moyens légaux disponibles. Et puis, il n’y a rien eu.

Pour les non-initiés, la neuroscience est l’étude de la façon dont le système nerveux se développe, de sa structure, de ce qu’il fait, et se concentre surtout sur son impact sur le comportement et les fonctions cognitives. C’est une science pluridisciplinaire qui fait le lien avec les mathématiques, la linguistique, l’ingénierie, l’informatique, la chimie, la philosophie, la psychologie, la génétique et la médecine. C’est-à-dire tout. On suppose que la science vise à aider les personnes souffrant de troubles neurologiques, psychiatriques et neuro-développementaux.
Tout cela semblait assez discret jusqu’à ce que certaines de ses expériences voient le jour et que le public prenne conscience (ou non… il semble que non) du danger inhérent à cette méthode. L’une des expériences – aux effets plus légers – a révélé que les expérimentateurs ont appliqué des électrodes à un certain nombre de femmes pour tester l’efficacité du processus contre la dépression.

L’expérience a été qualifiée de réussite, car les sujets n’ont subi aucun dommage physique et ont été initiés à des sentiments agréables qui ont permis de dissiper leur trouble.

Les acclamations ont duré jusqu’à ce que l’on découvre que les femmes étaient toutes tombées amoureuses de leurs expérimentateurs au point d’en être absurdes. L’affaire a été portée devant les tribunaux, qui ont jugé que l’effet était imprévisible ( ?) et involontaire ( ?) et ont ordonné que tous les dossiers (identités des expérimentateurs et des sujets, lieux, délais, etc…) soient scellés et effacés.

Il n’y a jamais eu un mot sur la façon dont les sujets ont été traités après cette expérience (journalisme typique – si ça ne se vend pas, c’est que ce n’est pas intéressant) et d’autres expériences ont révélé des résultats bien pires.

D’autres enquêtes menées par d’autres journalistes ont révélé que de grandes entreprises avaient engagé des neuroscientifiques pour créer des moyens d’augmenter l’intérêt du public envers leurs produits.

Leurs armées d’avocats avaient introduit les directives pour que la recherche soit dans les limites de la loi et tout a été balayé sous le tapis.

Mais les implications sont extrêmement claires.
Une fois de plus, on ne savait pas si ces études seraient abandonnées ou si elles seraient mises en œuvre. Puisque les affaires sont les affaires, elles ont probablement été attirées par une couverture plus profonde et mises en œuvre, mais il n’y a aucune preuve de cela.

Pour ceux qui n’ont pas encore été informés, la surveillance neurale à distance fonctionne à distance et tente de contrôler le cerveau dans le but de détecter toute pensée criminelle se produisant dans l’esprit d’un éventuel coupable. La science est basée sur les principes que :

le cerveau humain est trop lent et, par conséquent, ne peut pas rivaliser avec les superordinateurs et que chaque cerveau possède un ensemble distinct de systèmes de résonance biométrique et, par conséquent, est isolable et peut être affecté.
L’ensemble du programme a été financé par les agences de sécurité des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne et de la France. On a laissé entendre qu’un programme similaire avait été développé pour la Russie, mais là encore sans aucune preuve. Les répercussions sont terribles et pourtant personne ne semble s’en inquiéter ! Non pas que l’on puisse vraiment faire quelque chose contre un programme financé par les gouvernements au plus haut niveau…

Ce ne sont pas une, mais deux prétendues sciences qui visent directement le contrôle mental et neural de l’être humain.
Et les gens vaquent à leurs occupations tous les jours, continuent leur vie et s’assoient confortablement dans leur canapé pour regarder la télévision… D’énormes sommes d’argent ont été dépensées (en secret, bien sûr) pour payer des scientifiques afin qu’ils produisent des moyens efficaces de manipulation de l’esprit. Et les gens meurent de faim ou sont plongés dans la pauvreté sans pouvoir y faire quoi que ce soit.

Si une grande entreprise peut vous ordonner d’acheter son produit, si un scientifique vous induit des sentiments et des comportements à volonté, si une agence de sécurité sait exactement à quoi vous pensez, à tout moment, ce qu’il reste qui mérite d’être appelé liberté ?

Où sont passés tous les principes de la liberté de pensée, de parole et de procédure ? Où sont passés les principes « constitutionnels » (du moins pour les pays qui prétendent encore avoir une constitution) ? La réponse : par la fenêtre.

Et la question du suivi est incontournable. Les résultats de ces sciences ont-ils déjà été mis à profit ? Probablement oui. Sinon, il est tout à fait inexplicable que personne ne semble s’en soucier.


References for neuroscience:

  1. Zull, J. (2002). The art of changing the brain: Enriching the practice of teaching by exploring the biology of learning.
  2. Bear MF, Connors BW, Paradiso MA (2001). Neuroscience: Exploring the Brain.
  3. Goswami U (2004). “Neuroscience, education and special education”
  4. “Brain Facts: A Primer on the Brain and Nervous System”. Society for Neuroscience.

References for Remote Neural Monitoring:

  1. Robert C. Gunn, PhD, Arbor, Michigan, NSA clinical psychologist currently indicted for human and Constitutional rights violations of Mind Control. Extracts from the passage of the affidavit of the indictment.
  2. Declassified documents by NSA of the MKULTRA project
  3. R.G. Malech Patent #3951134 “Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves” USPTO granted 4/20/76

 

SOURCE

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Le scientifique fou qui a été le pionnier des expériences de contrôle de l’esprit de la CIA

Traduction Activist Post : The Mad Scientist Who Pioneered the CIA’s Mind Control Experiments

Si vous croyiez en l’existence des expériences de contrôle mental de la CIA MK-ULTRA dans les années 1960, les gens supposeraient probablement que vous avez pris un peu trop d’acide. Et cela aurait très bien pu être le cas si vous aviez été l’un des sujets inconscients du savant fou, Sidney Gottlieb. Gottlieb a développé ses pratiques directement à partir de médecins nazis responsables de certaines des expériences humaines les plus horribles sur les victimes des camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale. À un moment donné, les scientifiques nazis ont été transportés par avion aux États-Unis pour donner des leçons aux agents de la CIA sur les effets du sarin, un gaz toxique mortel.

Gottlieb a imité ces tactiques nazis sur des sites noirs dans le monde entier.

[Gottlieb] fonctionnait presque complètement sans surveillance. Il a reçu une sorte de chèque de son patron titulaire et de son vrai patron, Richard Helms, et du directeur de la CIA, Allen Dulles. Mais aucun d’eux ne voulait vraiment savoir ce qu’il faisait. Ce type avait un permis de tuer. Il avait le droit de réquisitionner des sujets humains aux États-Unis et dans le monde entier et de les soumettre à toutes sortes d’abus qu’il voulait, jusqu’au point d’en être mortel – mais personne ne regardait par-dessus son épaule. Il n’a jamais eu à faire de rapports sérieux à qui que ce soit. Je pense que la mentalité devait être que ce projet est si important – le contrôle de l’esprit, s’il peut être maîtrisé, est la clé de la puissance mondiale.

Certaines de ses expériences impliquaient des participants volontaires. Par exemple, Whitey Bulger s’est porté volontaire pendant son premier séjour en prison. On lui a dit que les expériences avaient pour but de rechercher des remèdes contre la schizophrénie. En réalité, on lui a administré du LSD tous les jours pendant plus d’un an pour tenter de détruire l’esprit humain. C’était la première étape, avant que l’esprit puisse être remplacé par un nouvel esprit, un esprit que la CIA contrôlerait. Parmi les autres victimes figuraient des hommes attirés par des prostituées et des prisonniers étrangers « sacrifiables » qui n’avaient pas droit à une procédure régulière. Au cours du processus, les gens sont devenus fous, des vies ont été ruinées et des gens sont morts.

Un nouveau livre de Stephen Kinzer est sorti aujourd’hui  intitulé Poisoner in Chief qui plonge au plus profond de l’homme derrière les fameuses expériences de contrôle mental des années 1950 et 1960, MK-ULTRA.

L’empoisonneur en chef de Stephen Kinzer se lit comme un thriller d’espionnage, mais ses révélations sur la carrière macabre de Sidney Gottlieb de la CIA sont profondément troublantes. Le travail de Kinzer souligne une fois de plus le pouvoir narratif de la biographie pour déterrer notre histoire collective. » -Kai Bird, co-auteur de l’American Prometheus, auteur de The Good Spy et lauréat du prix Pulitzer.

Ce sont de telles révélations qui rendent insensé de faire confiance au gouvernement. Ce n’est là qu’un petit exemple parmi tant d’autres de la preuve irréfutable que notre gouvernement peut être psychotique et diabolique. Alors pourquoi diable y a-t-il encore des millions et des millions de personnes qui se battent chaque jour pour que le gouvernement ait plus de pouvoir sur nous ? C’est le renversement ultime, c’est que des citoyens innocents doivent justifier chaque action auprès du gouvernement, alors que le gouvernement, coupable d’innombrables méfaits, fait tout ce qu’il veut en toute impunité. Il faut vraiment être stupide pour ignorer toutes les violations du passé, des expériences de Tuskegee sur la syphilis aux mensonges qui poussent les États-Unis à entrer en guerre après la guerre.

*Ce post contient des liens d’affiliation Amazon, du site original

***

WIKIPEDIA : En avril 1953 il prit la tête du projet top-secret MKULTRA qui avait été décidé par le directeur de la CIA Allen Dulles. Gottlieb testa notamment l’administration de LSD et d’autres substances psychotropes pour désorienter les sujets. Il finança des recherches sur le lavage de cerveau, basé sur la destruction du psychisme de telle manière que le sujet admette n’importe quoi. Il sponsorisa les recherches controversées de médecins tels que Ewen Cameron et Harris Isbell sur des cobayes humains. Beaucoup de personnes souffrirent gravement des conséquences des recherches qu’il finança conjointement avec la Fondation Rockefeller.

 

Tiens tiens, Rockfeller, il semble avoir été dans tous les bons coups celui-là…

 

 

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Le gouvernement US envoie accidentellement à un journaliste un fichier sur les méthodes de « contrôle de l’esprit à distance ».

Sur boingboing :

Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

Lorsque le journaliste Curtis Waltman a déposé une demande de Freedom of Information Act auprès du Washington State Fusion Center (partenaire de Department of Homeland Security) pour obtenir des informations sur les groupes antifa et suprémacistes blancs, il a obtenu un bonus  en plus que les informations qu’il cherchait.

Il a reçu accidentellement un dossier mystérieux sur les « armes psycho-électriques » avec l’étiquette « EM effects on human body.zip« . Le dossier comprenait des méthodes de « contrôle à distance de l’esprit ».

Des images effrayantes comme celles-ci ont été incluses :

Alors, qu’est-ce qui se passe ?

Par l’intermédiaire du Daily Beast :

Selon Muckrock, une organisation à but non lucratif qui publie des informations gouvernementales recueillies par le biais de demandes de FOIA, les documents de contrôle de l’esprit proviennent de l’agence liée à la sécurité intérieure du ministère de la Sécurité intérieure sous la forme d’un fichier appelé « EM effects on human body.zip ». Le fichier contiendrait divers diagrammes détaillant les horreurs des « effets d’armes psycho-électroniques ».

Un diagramme énumère les différentes formes de tourments qui seraient rendues possibles par les méthodes de contrôle de l’esprit à distance, depuis « l’effacement forcé de la mémoire » et « les démangeaisons violentes et soudaines à l’intérieur des paupières » jusqu’au « fléau sauvage » suivi de « rigor mortis » et d’un « orgasme forcé » induit à distance. on ne sait pas comment les documents se sont retrouvés dans la réponse de l’agence, à une demande standard de FOIA, mais il n’y avait aucune indication que les fichiers de « contrôle à distance de l’esprit » provenaient d’un programme gouvernemental.

Et selon Popular Mechanics :

Le gouvernement fédéral a absolument expérimenté le contrôle des esprits dans une variété de méthodes, mais les documents ici ne semblent pas être officiels.

Waltman n’avait aucune idée de la raison pour laquelle ces documents ont été inclus dans sa demande et ne sait pas pourquoi le gouvernement les détient. La WSFC n’a pas répondu aux demandes de renseignements supplémentaires.

Aussi amusantes que soient les théories de conspiration, Muckrock ne croit pas que les images sont du « matériel gouvernemental ».

L’une semble provenir d’une personne nommée « Supratik Saha », identifiée comme ingénieur logiciel, la lame de cartographie cérébrale n’a pas de source, et l’image du corps agressé par des armes psychotroniques provient de raven1.net, qui n’a apparemment pas renouvelé son domaine.

Muckrock a lancé un appel à la WSFC mais n’a pas encore eu de nouvelles.

Plus de détails Muckrock

 


Government accidentally sends file on « remote mind control » methods to journalist

When journalist Curtis Waltman filed a Freedom of Information Act request with Washington State Fusion Center (which is partnered with Department of Homeland Security) to obtain information about Antifa and white supremacist groups, he got more than the information he was looking for – he also accidentally received a mysterious file on « psycho-electric weapons » with the label “EM effects on human body.zip.” The file included methods of « remote mind control. »

Creepy images like these were included:

So what gives?

Via the Daily Beast:

According to Muckrock, a nonprofit that publishes government information gathered through FOIA requests, the mind-control documents came from the Department of Homeland Security-linked agency in the form of a file called “EM effects on human body.zip.” The file reportedly contained various diagrams detailing the horrors of “psycho-electronic weapon effects.”One diagram lists the various forms of torment supposedly made possible by using remote mind-control methods, from “forced memory blanking” and “sudden violent itching inside eyelids” to “wild flailing” followed by “rigor mortis” and a remotely induced “forced orgasm.” It was not immediately clear how the documents wound up in the agency’s response to a standard FOIA request, but there was reportedly no indication the “remote mind control” files stemmed from any government program.

And according to Popular Mechanics:

The federal government has absolutely experimented with mind control in a variety of methods, but the documents here do not appear to be official.

Waltman had no idea why these documents were included in his request and isn’t sure why the government is holding them. The WSFC did not respond to requests for more information.

As fun as conspiracy theories are, Muckrock doesn’t believe the images are « government material. »

One seems to come from a person named “Supratik Saha,” who is identified as a software engineer, the brain mapping slide has no sourcing, and the image of the body being assaulted by psychotronic weapons is sourced from raven1.net, who apparently didn’t renew their domain.

Muckrock put out a call to WSFC but hasn’t yet heard back from them.

For more details, go to Muckrock.

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Liens 2018

Je vois souvent des article intéressants qui finissent oubliés dans les bookmarks. Je vais alimenter de temps à autre cette page avec ce qui me semble notable et publié sur des sites mainstream, pour éviter toute disqualification d’office, au prétexte fallacieux de complotisme. S’il n’est pas directement question de MK, il sera traité de recherches pouvant s’apparenter.

AVRIL

 Konbini avril 2018 : Grâce à des ingénieurs du MIT, le contrôle par la pensée devient une réalité

sciencepost 2 avril 2018 : Après des mois de silence, la société Neuralink refait parler d’elle !

sciencepost 9 avril 2018 : Voici la première « prothèse » à neurones pour réactiver les souvenirs !

Usbek & Rica 08/04/2018 : « Le transhumanisme n’est qu’un eugénisme relooké »

MAI

Trustmyscience 01 mai 2018 Thomas Boisson : L’holographie pourrait permettre de modifier la mémoire et de recréer artificiellement des sensations

Slate 1 mai 2018 Claire Levenson : En Chine, des capteurs cérébraux pour surveiller les émotions des employés
(Plusieurs entreprises utilisent des capteurs qui analysent les ondes cérébrales de leurs employés afin de détecter le stress, la colère ou l’endormissement.)

Usbek & Rica 20/05/2018 Annabelle Laurent : « Mon inquiétude, c’est que l’humain devienne de plus en plus stupide »
L’implant est, dit-il, de la taille d’un grain de riz…

Texte par FRANCE 24 23/05/2018 : Chine : l’ambassade des États-Unis enquête sur une lésion cérébrale d’un de ses employés
/*exemple….*/

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Selon un avocat, le gouvernement Trudeau fait taire les victimes dans l’affaire du lavage de cerveau de la CIA.

Jean Steel was a victim of Dr. Ewen Cameron’s CIA-funded brainwashing experiments at Montreal’s Allan Memorial Institute. (Alison Steel)

 

Forty years after revelations that the U.S. Central Intelligence Agency funded brainwashing experiments on unsuspecting Canadians, the Trudeau government is continuing a pattern of silencing the victims, a lawyer for one of the families says.

A recent Department of Justice gag order in an out-of-court settlement was designed to avoid responsibility and avert compensation to more victims and their families, said Alan Stein, who has represented numerous survivors who were once patients at the Allan Memorial Institute in Montreal.

Stein told CBC News that successive federal governments have demanded confidentiality agreements in at least five of the cases he has settled in the last few decades.

« If they hadn’t been confidential and the settlements had the publicity that they should have had, a lot of the victims would have come forward and gone to court, » he said.

The Trudeau government’s quiet non-disclosure payment in March 2017 to the daughter of a now-deceased victim is just the latest development in a decades-old scandal that saw both the CIA and the Canadian government fund brutal science experiments on unsuspecting patients.

« They don’t want to have to deal with more applications, » Stein said of the government’s requirement the settlement details be kept confidential and out of the public eye.

  • If you have information or tips on this topic, please email Harvey.Cashore@cbc.ca or call 416-526-4704.

Stein’s client, Alison Steel, daughter of victim Jean Steel, also believes the confidentiality clause imposed by the Department of Justice limited the possibility that future victims might come forward.

Alison Steel’s mother was one of the hundreds of human guinea pigs in Cameron’s extreme experiments. (CBC)

« Why else would they do it? » she said. « It made me nervous … to even talk to any media. »

Revelations of mental torture on hundreds of Canadian patients first surfaced in the late 1970s and were later the subject of four Fifth Estate documentaries exposing the role of the CIA and the federal government in funding brainwashing experiments during the Cold War.

At the centre of the controversy was Dr. Ewen Cameron, a respected psychiatrist and first director of the Allan Memorial Institute, the psychiatric facility at McGill University where the brainwashing experiments took place from 1950 to 1965.

Cameron, who was also co-founder of the World Psychiatric Association, ran experiments called « psychic driving » and « depatterning » that attempted to erase a patient’s memories and reprogram them with new thoughts.

The federal government provided Cameron with more than $500,000 between 1950 and 1965 — $4 million in today’s dollars — along with a smaller amount of  funding from the U.S. Central Intelligence Agency, using a front organization called the Society for the Investigation of Human Ecology.

To this day, neither the CIA nor the Canadian government has apologized for its role in the experiments.

« The Government of Canada should recognize its legal responsibility, which it has never done, » Stein told The Fifth Estate’s Bob McKeown.

Alan Stein has represented numerous survivors who were once patients at the Allan Memorial Institute in Montreal in lawsuits against the Canadian government. (CBC)

 

It was only after CBC News investigative journalist Elizabeth Thompson discovered a clue about the settlement this fall that the name of Stein’s client was eventually revealed.

Federal Justice Minister Jody Wilson-Raybould declined a request for an interview after a spokesperson cited scheduling issues and concerns about the « non-disclosure clauses » imposed by the Justice Department.

While Stein cannot talk about details behind the settlement for Steel, it comes years after numerous attempts by Steel’s father to obtain compensation for his wife Jean’s needless suffering.

Back in the 1990s, the federal government rejected his claim, citing lack of proof that Jean Steel had been damaged enough to reach a « childlike state » — a condition of a federal government payment plan.

It was only recently that Alison Steel received medical records for her mother through an access to information request to the Department of Justice that provided detailed proof she could use to make a claim.

Federal government stymied class action lawsuit

The records show that Steel’s mother was one of the hundreds of human guinea pigs in Cameron’s extreme experiments.

In February 1957, Jean Steel arrived at the Allan Memorial Institute with a severe case of postpartum depression. She was in and out of the psychiatric hospital over more than three years.

Steel and the patients were given LSD and other experimental drugs, subjected to intensive shock treatments and put into drug-induced comas where they slept for weeks at a time.

They were forced to listen to looped recorded messages for hours on end and even while they slept.

Alison Steel said her father told her that « one time when he tried to take [Jean] back, she tried jumping out of the car. That’s how bad she didn’t want to go. »

Dr. Ewen Cameron was a respected psychiatrist (fuckin’ NAZI) and first director of the Allan Memorial Institute, the psychiatric facility at McGill University where the brainwashing experiments took place from 1950 to 1965. (CBC)

None of the patients provided consent or knew that they were being used for Cameron’s CIA and federally funded research. Instead, they were wrongly told their treatments were medically necessary and for their own well-being.

In the early 1990s, the federal government provided compensation to 77 victims but turned down more than 250 because they weren’t tortured enough, applied too late or because they couldn’t produce medical records.

Stein has represented individual survivors since then, in some cases successfully arguing against the government’s initial rejection of claims.

One successful case involving survivor Janine Huard in 2004 came with a tough pill to swallow — in order to settle her own lawsuit, Stein was forced to drop a class action lawsuit.

Huard was among the nine victims to receive compensation from the CIA in 1988, but she was rejected in an application to the Canadian government. She hired Stein to fight for a  review of that decision and had also wanted to be authorized to institute a class action in her name.

Children of survivors affected

Stein said the federal government is well aware most of the victims and their families do not have the resources to launch individual lawsuits against the government for the mental torture their families endured.

« The government has deep pockets, these individuals do not have deep pockets, » Stein said.

Diane McIntosh’s mother, Helene, spent two years in and out of the Allan. She suffered from postpartum depression after the birth of her second child and was generally depressed because her marriage wasn’t working out.

« I think it’s unbelievable that they would give themselves the right to affect somebody’s life in that way, » said McIntosh, who now lives in British Columbia.

« They must have known that those extreme experiments would have lasting effects. They didn’t just change four years of her life, they changed her whole life. »


McIntosh also wonders why the government hasn’t compensated all those affected — including the young children whose parents were never the same after being subjected to the brainwashing experiments.

« I think a really good case could be made. It just doesn’t make sense that you can take a mother away from her children and ruin her life and other people won’t be affected, too. »

McIntosh said she will never forget the day when, as a five-year-old, she went to visit her mother in hospital.

« When we got  there the place was just like a scene from One Flew Over the Cuckoo’s Nest, » she said. « There were people banging their heads on the walls and droning, and my mother was sitting there completely drugged up. And even as a child I knew that she wasn’t right. »

 

Source : CBC News | Canada

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La TMS pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, par Michael Persinger

Michael Persinger  a fait des recherches sur le Casque de dieu (god elmet) dans le cadre d’une étude en neurosciences sur les effets de la stimulation des lobes temporaux1 et a eu un certain retentissement. Les participants ont rapporté« l’impression d’une présence » (ou « sensation d’une présence éthérée dans la pièce ») alors qu’ils portaient le casque. Plusieurs documentaires télévisés et divers médias ont rapporté le phénomène en utilisant l’expression « casque de dieu »

Dans un article d’avril 2002 sur Wired, il est question des différents usages et techniques de la stimulation magnétique trans-crânienne (TMS) (<- comme d’habitude, sur la fiche wikipedia, c’est le rêve, on ne voit que les applications positives et médicales, Bisounours-Land). Nous avons décidé de partir à la découverte du chercheur américain en neurosciences cognitives et professeur d’université Michael A. Persinger, qui avance que la TMS pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, dans un article publié en 1995 dans Perceptual and Motor Skills Volume 80, Issue 3, June 1995: 791–799., titré « On the possibility of directly accessing every human brain by electromagnetic induction of fundamental algorithms. »

En effet, Persinger cherche à identifier et à cataloguer les algorithmes fondamentaux, une série d’impulsions magnétiques spécifiques qui correspondent à une réaction donnée dans le cerveau. Sans surprise, la technologie est considérée comme potentiellement dangereuse. La TMS est considérée comme une technologie inexacte, mais les chercheurs ont tout juste commencé à explorer son potentiel en neurosciences. L’article suivant traite donc de la possibilité d’influencer le cerveau humain grâce aux ondes électromagnétiques.

La communication au sein du cerveau humain est assurée par les échanges de signaux électriques (influx nerveux) entre les neurones. Ces échanges sont la source de l’ensemble des processus qui se produisent dans le cerveau, et ce chez tous les êtres humains. Partant de ce constat, Persinger étudie l’opportunité d’interférer dans ces processus sur un groupe de personnes grâce aux ondes électromagnétiques, même à distance. Il présente plusieurs exemples d’expériences sur l’homme ou l’animal issus de la recherche académique afin de soutenir sa démonstration.

L’objectif assumé de ce document est de démontrer publiquement qu’il est techniquement possible de parvenir à une telle prouesse, ce qui implique un risque lié à l’utilisation inappropriée de ces technologies. (<- faudra lui dire que certains ne l’ont pas attendus…)

Depuis la rédaction de cet article, de nombreux progrès ont été faits sur la stimulation magnétique trans-crânienne (TMS). Cette technique est désormais utilisée couramment dans le milieu médical par exemple, et est la base de nombreux projets innovants.

Parmi ces projets :

– La TMS pourrait être employée sur des foules indifférenciées afin de manipuler l’activité de leurs cerveaux et ainsi modifier leurs états d’esprit. L’application pourrait être utilisée à des fins de maintien de l’ordre ou même comme arme militaire. ( > voir l’article)

– La société Axilum Robotics développe actuellement un robot afin d’automatiser la TMS. L’entreprise a réussi l’exploit d’envoyer le premier message par télépathie à l’aide de la TMS.

– Un rapport de 2013 du Comité Consultatif National d’Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé traite des stimulants cognitifs, de la stimulation électrique transcrânienne directe, de la stimulation cérébrale focale et profonde et de la stimulation magnétique trans-crânienne. (> voir l’article)

– Plusieurs équipes indépendantes de chercheurs issus d’universités prestigieuses travaillent sur des interfaces « cerveau-à-cerveau » fonctionnant grâce à la TMS. (> voir l’article)

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Source

 

C’est le genre de sujet qui devrait avoir sa place dans les grands médias nationaux, mais ceux-ci préfèrent couvrir la météo, c’est vrai, début février c’est tellement incroyable 10 cm de neige, un événement qui mérite bien qu’on en parle pendant une semaine sur toutes les chaînes.

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Articles de presse

Des news du front des implants !

On nous parle comme d’habitude des merveilleuses applications médicales, et le reste, restera en suspend…

Un implant cérébral pour booster la mémoire, c’est fait.

Grâce à un implant cérébral, des chercheurs ont amélioré les capacités de mémorisation d’une vingtaine de patients en leur délivrant des impulsions électriques ciblées dans l’hippocampe, région clé pour l’apprentissage et la mémoire.

PROTHÈSE. Apprendre plus vite et mémoriser mieux, sans effort : telle est la perspective ouverte par un nouvel implant cérébral conçu et testé à l’université de Californie du Sud. En utilisant un dispositif délivrant des impulsions électriques au cœur du cerveau, l’équipe du docteur en ingénierie biomédicale Dong Song, est parvenue à améliorer de 30 % la mémoire des 20 participants à l’expérience. L’annonce de ces travaux a été faite au congrès annuel de la Society for Neuroscience, qui s’est déroulé à Washington (États-Unis) à la mi-novembre, et relayée par le NewScientist. « Cela n’avait jamais été fait auparavant », a précisé le Dr Song, qui parle d’une véritable « prothèse de la mémoire ».

Les volontaires étaient des patients atteints d’épilepsie déjà équipés d’implants cérébraux pour traiter leurs crises. L’idée était donc de réorienter temporairement la fonction du dispositif pour le bien de l’essai. Pour cela, il a fallu étudier la façon dont la mémoire s’activait dans le cerveau de chaque participant, afin de savoir précisément comment le stimuler. Concrètement, les chercheurs ont distingué deux types de mémoire : celle à court terme, qui stocke l’information de façon passive sur une durée inférieure à une minute ; et la mémoire de travail, qui s’étale sur une durée plus longue et enregistre les informations de façon active permettant de les manipuler. Dans un premier exercice, les volontaires devaient se souvenir de formes indistinctes et inhabituelles — type bulles informes —  perçues 5 à 10 secondes auparavant ; dans le second, il s’agissait de reconnaître des images présentées 10 à 40 minutes avant.

Améliorer… puis manipuler le cerveau

Ces résultats ont permis d’établir les schémas d’activité cérébrale adéquats à renforcer par stimulation électrique. En effet, au lieu de stimuler au hasard l’hippocampe — structure clé dans l’apprentissage et la mémoire —, « nous écrivons le code neural pour améliorer le fonctionnement de la mémoire », a expliqué le Dr Dong Song. Ainsi, avec le bon modèle d’activation cérébrale, les participants ont vu leurs capacités augmentées d’environ 15 % dans les exercices de mémoire à « court terme » et de 25 % sur ceux concernant la mémoire de travail. En revanche, une stimulation aléatoire avait plutôt tendance à détériorer les résultats de référence. Mieux vaut donc être précis…

L’essai ouvre ainsi des perspectives dans le traitement des troubles de la mémoire, notamment les formes de démence comme Alzheimer. « Dans ces affections, un grand nombre de cellules au niveau de l’hippocampe sont détruites. Une prothèse de mémoire pourrait pallier le déficit de ces zones endommagées. Cela devrait restaurer les fonction cognitives », explique le Dr Song au NewScientist. Ces résultats ont en tout cas été accueillis avec enthousiasme par plusieurs de ses pairs qui n’ont pas travaillé sur ce projet. « Des résultats excitants et potentiellement importants » pour Sinead Mullally, de l’Institut des neurosciences de l’université de Newcastle (Royaume-Uni).

Au-delà de l’intérêt de ces travaux pour remédier en partie aux déficits cognitifs, l’expérience pourrait ouvrir la voie à toutes sortes de manipulations neurales. L’équipe travaillerait d’ailleurs au renforcement d’autres fonctions. « Si vous pouvez améliorer telle région, vous pouvez appliquer la technique à d’autres structures », imagine le Dr Song. Ainsi des fonctions plus ou moins localisées du mouvement (cortex moteur) ou de la vision (cortex visuel). Plus inquiétant, il serait même techniquement possible de créer de faux souvenirs… En théorie, il « suffirait » de cerner le schéma neural de telle ou telle perception pour activer le cerveau en ce sens et lui faire croire en une perception qu’il n’a pas eue. « Nous avons commencé à travailler là-dessus », prévient Dong Song.

Source :  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/un-implant-cerebral-pour-booster-la-memoire-c-est-fait_118548

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Articles de presse

Pont-Saint-Esprit (1951) : un village empoisonné par la CIA

Pas facile d’être crédible avec les symptômes d’une pathologie psychologique induite.( principe de déniabilité- facile de nier)

Mais ceci est un début pour attirer l’attention sur le fait que les pires atrocités sont commises sur les populations. Pas qu’ aux USA, le phénomène TI est mondial.

Cette vidéo ahurissante prouve encore une fois le complot de manière aveuglante. Après avoir vu ce documentaire tout ce qu’il y a de plus officiel, diffusé sur France 3 cette semaine, produit en 2015, vous apprendrez que : les USA (CIA et armée) ont tué leurs concitoyens en les utilisant comme cobayes. Ils les ont irradiés, hypnotisés et drogués pour les transformer en tueurs professionnels, ils parlent du projet MK-Ultra, de l’épandage de LSD et autres drogues dans le ciel, de la libération de virus dans le métro… et bien d’autres horreurs inavouables qui sont pourtant déclassifiées et que l’on trouve dans les archives officielles US (trépanations, électrochocs monstrueux qui ont rendu folles les victimes,…) !!! L’histoire de Pont-Saint-Esprit n’est rien à côté de ce qu’ils ont fait à leur propre peuple. On imagine qu’ils ont testé des milliers de choses du même acabit sur les peuples des pays qu’ils ont bombardés et colonisés depuis un siècle.

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Articles de presse

Pologne : puces implantées, permis délivrés…

Le policier confirme: « Les puces sont bien implantées, les permis sont délivrés par les plus hautes autorités et nous ne pouvons rien faire pour arrêter cela »

SOURCE http://peacepink.ning.com/group/francophone/forum/topics/le-policier-confirme-les-puces-sont-bien-implant-es-les-permis

Je recopie ici parce que le 1er § résume bien de quoi il s’agit et ce que les TI vivent.

Traduction de l’article se trouvant en dessous de la video sur le site de STOPZET

http://stopzet.org/2017/03/11/policjant-czipy-sa-wlaczone-zezwoleni…

Le policier confirme: « Les puces sont bien implantées, les permis sont délivrés par les plus hautes autorités et nous ne pouvons rien faire pour arrêter cela »

La conversation entre Mme Agata et l’agent de police en service montre que de telles activités sont susceptibles d’avoir lieu avec la permission et l’aval des plus hautes autorités de l’État. Surveillant les pensées de citoyens sans leur consentement, les torturant et les harcelant à distance, parlant dans la tête des victimes au moyen de voix hypnotiques, etc…, c’est-à-dire par l’induction artificielle des symptômes de la schizophrénie paranoïaque. Le pire de tout, c’est que les personnes en bonne santé soumis à ces tortures 24h/7j/365jours sont le plus souvent diagnostiquées et traitées psychiatriquement, détruisant leur vie, leur santé, leur famille. Mais ce qui est le plus irritant, c’est que le ministre Macierewicz ne soit pas au courant au sujet de telles actions, résumant: « Il y a des centaines de victimes et je vous assure qu’il n’y a pas d’autorisations de la sorte et qu’il n’est pas nécessaire d’enquêter sur ce sujet. Une telle déclaration sans enquête, sans preuve, sans entrevues avec les victimes, est incroyable et nous espérons que nos lecteurs nous soutiendront dans à ce sjuet. »

+ La traduction du Premier Ministre Polonais Macierewicz durant son allocution télévisée en Mars 2016.
https://www.youtube.com/watch?v=YgVs4-m0lNY

Au mois de Mars 2016, sur l’une des principales chaînes de TV polonaises, le Ministre de la Défense Nationale s’exprimait à propos de dangers autres que ceux de l’U.E.
A la question : « Est-ce que la Pologne a une stratégie concernant les expérimentations illégales, c’-à-d les tests d’armes électromagnétiques sur des citoyens polonais? »
Monsieur le Ministre répondit : « En ce moment, nous faisons une analyse pour identifier où les personnes qui se plaignent d’une telle affection sont localisées. Dans six mois, je pense être capable de vous en dire plus en ce qui concerne ces questions. Mais d’après les informations limitées dont je dispose, les régions du Sud-ouest (Basse Silésie) et du Nord-Ouest de la Pologne sont les régions d’où nous sont parvenus le plus de plaintes.»
Le commentateur de la chaîne : « Le Ministre de la Défense n’a pas précisé quelle commission préparera le rapport sur l’usage expérimental d’armes électromagnétique contre des citoyens polonais. »

+ La traduction de l’interview télévisée qui a été depuis supprimée sur Youtube de l’ex-vice Premier Ministre Luwik Dorn
https://youtu.be/luQ74XEAcek vidéo supprimée par Youtube.

L’ancien vice-Premier ministre de la Pologne avait reçu de nombreuses plaintes des citoyens concernant le harcèlement électromagnétique.

Dans une interview à la télévision polonaise, l’ancien vice-Premier ministre de Pologne, Luwik Dorn, a mentionné que les gens le contactaient en masse, lui et son assistant, d’abord en tant que membre du Comité de Défense des Travailleurs (KOR), d’une société civile de Pologne , puis en tant que vice-Premier Ministre pour leur dire qu’ils étaient persécutés et délibérément irradiés. Il ajoute: «C’est le cas. Et le ministre de la Défense l’a pris au sérieux. (il ne voulait plus commenter).